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Ne tirez pas (sur) le Messager - PV Ghar Grondesang

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Ghar Grondesang

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Re : Ne tirez pas (sur) le Messager - PV Ghar Grondesang

Réponse 15 dimanche 01 novembre 2020, 00:49:40

Si la situation se voulait partiellement discrète, certainement aussi à cause de la docilité extraordinaire de l'esclave, Ghar passait difficilement inaperçu dans sa position. Debout et le dos droit, fier comme un orc plus malin que les autres peut l'être. Seule Alecto semblait dissimulée à la face du monde, cachée d'une part par ce mur, qui semblait presque seul décor de cette scène quasi dramatique, et de l'autre, par ce mastodonte de muscles à la peau grise, qui se complaisait à faire frémir de moult émotions, cette petite colombe, tombée entre ses griffes.

Otto et sa bande, eux, semblaient profiter de leur côté aussi. Des éclats de rire parvenaient aux oreilles du duo, Ghar étant le seul à avoir une vue dégagée et donc seul à savoir ce qu'il se passait réellement. Pour être honnête, il aurait préféré rester dans l'ignorance, tout comme sa proie entre ses cuisses. L'un des maraudeurs avait baissé son froc devant la troupe, alors que son chef, Otto dit "Le fou", s'amusait à lancer ce qui s'apparentait à des fléchettes, en direction de ce séant redressé, comme une cible rose, ornés de petits boutons rouges et poilus. Plutôt que de contempler ce fessier, la brute grommela en revenant à sa petite servante.

Le pal face à elle, était pour certaines, une véritable oeuvre d'art de sauvagerie et bestialité propre pour la luxure, pour d'autres, c'étaient certainement la verge la plus épaisse et la plus infâme qu'elles n'avaient jamais vues et auraient peut-être voulu ne jamais voir. Ghar le savait bien et dans les deux cas, il s'en amusait toujours bien.
Mais si seulement, ce n'avait été que l'apparence, si seulement, cela n'avait été que son odeur. Le goût de cet épieu de chair obèse, à la peau grise et grasse, couvertes de veines se gonflant et pulsant d'excitation. Un goût qui était à la hauteur ignoble de cette odeur. L'orc n'était clairement pas le genre de créature à souvent prendre un bain, il va de soi que dans les bas-fonds, très peu, voir aucun, n'a le loisir de prendre des bains à sa guise. Alors que Alecto léchouillait timidement, faisant coulisser machinalement sa langue, sur cette hampe dure et tendue comme l'acier, son bourreau, qui commençait seulement son office, poussa un long soupir.

"Hmpf... T'essaye au moins...?"

Peut-être était-ce pour la motiver ou simplement l'orc était réellement devenu blasé d'un seul coup. Mais sa gueule semblaient réellement ennuyée, son regard ayant doucement perdu en intensité. L'effet de quelques secondes, pour qu'un regain se fasse soudain.

Empoignant de sa main gauche, la base de ce membre tressaillant, Ghar s'essaya à une motivation plus physique et un poil dégradante. Alors que le mât de chair grossier, s'échappait à sa langue, la petite esclave n'aura pas le temps de se poser de la moindre question, qu'il reviendra aussitôt à la charge. Si pivoines ses joues étaient, écarlates elles deviendraient. Dans un mouvement brusque et éhonté, la brute venait de faire claquer sa verge contre la joue droite de Alecto, un coup de matraque qui s'en suivit d'un second et d'un troisième. La petite colombe n'était rien d'autre qu'une poupée de chiffon entre les pattes de l'orc, qui avait décidé de s'amuser avec elle.

La gifle de l'orc était humiliante, les frottements obscènes précédents, encore plus, mais lorsque Ghar se mit à claquer de sa virilité, cogner même, le visage de la belle, la traitant comme une vulgaire souillon, Alecto savait qu'il n'allait pas être aussi tendre qu'un humain, plus vulgaire encore que certains mercenaires.

"J'pensais pas avoir b'soin d'me défouler sur une putain, avant maintenant... Tu va m'éviter une passe au bordel, petite chienne."

Ces mots qu'il prononçait en la biflant vulgairement, des paroles que l'orc trouvait naturelles et encore douces. Mais pour Alecto, c'était surtout le bruit sourd du claquement de ce corps de chair lourd contre ses joues, qui venait occuper ses pensées. Ces coups semblaient si violents, presque rien de sexuel ne se dégageait des motivations de l'orc, sur le moment, semblant juste motivé par les réactions de la petite esclave.

Mais alors qu'elle voulu lui répondre, docile et servile, sous le choc de ce traitement réservé aux putains des bordels qui vous filaient la chaude-pisse pour se venger en retour, c'est les yeux écarquillés qu'elle se vit privée de respirer avec son nez.

À genoux face à cette bête, celle-ci prouvait encore sa cruauté en venant pincer le nez d'Alecto, entre son pouce et index de la dextre, tout en forçant une intrusion entre ses lèvres. L'envahisseur, bien trop large pour cette petite mâchoire, se sera contenté de passer la tête entre ces lippes pulpeuses et bien trop appétissantes au goût du mercenaire orc.

"Hmpf... De nos jours, faut vraiment tout faire avec les putains !"


Privée de sa respiration, elle était obligée d'utiliser sa bouche, si elle ne souhaitait pas finir sa vie médiocrement étouffée par un mandrin bien trop épais pour elle. La brute comptait bien là dessus, mais il voulait aussi mettre son grain de sel. Si seulement l'embout de cette virilité était glissé entre les lèvres d'Alecto, il avait réussi à combler sa petite bouche. Ghar reposa alors sa sénestre sur la hanche gauche, maintenant le nez de sa proie, pincé entre ses deux doigts, bien trop massifs pour qu'elle puisse s'en soustraire de ses maigres forces.

L'odeur irradiait alors les poumons, le goût se glissant dans son œsophage, par les perles de sève grasse, qui s'écoulèrent soudainement du gland, se gorgeant avec affection des réflexes erratiques de la langue d'Alecto. Ghar en jubilait, à la vue dégoûtée de la petite esclave, mais elle allait apprendre à aimer, c'était dans son intérêt après tout.

Alecto Nemed

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    ~Esclave de Thiana Gian~
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Re : Ne tirez pas (sur) le Messager - PV Ghar Grondesang

Réponse 16 dimanche 01 novembre 2020, 10:12:03

L’Orc ne semblait en rien satisfait de ses efforts, mais Alecto n’eut pas le temps de s’excuser comme une bonne petite Servante, pas le temps de tenter de redoubler d’énergie, qu’elle sentait cogner le membre colossal et gris contre sa joue, fermant les yeux par instinct, comme n’importe quelle frappe.

C’était un réflexe qu’elle n’arrivait pas à retirer de ses réactions, bien qu’elle sache que cela déplaisait parfois à certains Maîtres. A plusieurs reprises, la hampe chaude et visqueuse cogna, et à chaque fois, la petite Colombe endura en sursautant, couinant sous le choc, dégoûtée par le geste obscène.

Selon elle, la Créature monstrueuse ne faisait pas une très bonne affaire avec elle, puisqu’elle le lui avait dit : elle n’était pas une Fille de Joie. Elle était une piètre amante, des dires de ses Maîtresses et Maîtres successifs, mais dans ce cas, pourquoi y revenaient-ils tous trop souvent ? Pour Alecto, la sexualité avait toujours été un péché, et y prendre du plaisir était bien pire encore, évidemment. C’était sans doute, pourtant, les sévices qu’elle avait le plus enduré depuis qu’on avait vendu sa vie pour racheter son crime.

Cela semblait si facile, si évident, pour certains Esclaves, de satisfaire les Maîtres, d’onduler avec provocation… Les larmes qui n’avaient pas quitté ses yeux reprirent, sous les bifles humiliantes, maculant ses joues de contusions qui seraient sans doute des bleus très prochainement, et y déposant chaotiquement quelques gouttes blanchâtres odorantes.

Mais elle n’était pas au bout de ses peines… Dans un geste vif pour un tel Mastodonte, les gros doigts de l’Orc avaient pincé son nez, l’obligeant à ouvrir la bouche derechef pour tenter de respirer, appelant l’air de manière sporadique et nerveuse, la panique se lisant immédiatement dans les iris brillantes et inondées qu’elle venait de découvrir à nouveau.

Elle essaya de protester, cette fois, emplie de terreur soudaine en sentant le sommet de ce gourdin charnu et veiné forcer ses lèvres, mais elle suffoquait, empêchée de tousser, asphyxiée. Le manque d’air la faisait gigoter, mais la poigne sur son nez l’empêchait de bouger, tout comme la virilité puissante bloquait sa tête contre le mur.

Sa mâchoire craqua alors qu’elle tentait d’ouvrir assez grand la bouche pour satisfaire les attentes du Monstre, les larmes parcourant les sillons creusés par les grimaces de ses efforts. La pointe s’inséra difficilement, mais il fallait avouer que la petite Esclave était malléable, contre toute attente. On ne pouvait lui retirer cette qualité, au moins, de se soumettre aux volontés de son Assaillant.
Le contact de cette peau grise et grasse contre son palais, et surtout le goût qu’elle n’avait pas qu’effleurer jusqu’alors, lui donnèrent un haut le cœur, mais Alecto creusa les joues, s’étouffant toujours dans des bruits gutturaux et des suintements.

Elle s’appliqua à lécher ce qui lui déformait les lèvres, coûte que coûte, essayant de mettre de côté les douleurs causées par cette déformation, en frémissant pitoyablement. L’air lui manquait, elle aspirait sans le vouloir chaque perle âcre qui s’échappait de l’embout qui pulsait sur sa langue, en s’étranglant.

Chaque succion était un supplice, rendu potentiellement mortel à chaque tentative pour inspirer, et la jolie Poupée releva ses petits yeux de biche aux abois bien haut pour les poser sur le visage diabolique de l’Orc, comme pour le supplier de la laisser respirer. Cette fois, la réprimande ayant sans doute encore toute sa place dans sa mémoire, elle léchait avec plus n’énergie, à moins que ce ne soit les rétrécissements et mouvements causés par l’asphyxie qui la rendaient bien plus douée…

Alors elle s’appliquait, révélant sans doute des talents qu’on ne soupçonne pas sur une gamine aussi gauche, qui semble s’excuser de vivre à chaque instant. Le goût de ce membre par trop inquisiteur et repoussant avait envahi chaque papille de sa bouche, la forçant à se concentrer pour ne pas avoir la nausée.

Alecto savait qu’il lui faudrait satisfaire la Bête pour pouvoir délivrer le Message. C’était sa seule perspective, elle faisait tourner cet objectif en boucle dans son crâne, comme une démente, le répétant mentalement avec dévotion, alors que tout son corps tremblait nerveusement.

Ghar Grondesang

Créature

Re : Ne tirez pas (sur) le Messager - PV Ghar Grondesang

Réponse 17 mardi 03 novembre 2020, 16:32:28

Était-il de bonne foi ? Pouvait-on réellement faire confiance à cette brute qui, sans remords, pouvaient mettre à mort, femmes et enfants pour de l'argent. La réponse était évidente, mais chacun cherche une étincelle d'espoir dans les pires situations. Rares sont celles et ceux qui se laissent pénétrer aussitôt par cette émotion, le désespoir. Abandonnant tout désir pour laisser s'envahir de cette agitation vacillante et morbide, une envie éphémère qui bien souvent est suffisante pour passer à l'acte ou laisser les choses se faire.

Alecto n'était rien, une petite esclave dans ce monde cruel où seuls les plus malins et les plus mauvais régnaient en maître. Elle n'avait pas grand chose, peut-être même pas de perspective d'avenir. Mais abandonnait-t-elle ? Pas vraiment. La loyauté, certainement.
Cherchant à satisfaire cette grosse brute, cette créature grise et colossale, la jeune colombe se donnait corps et âme à son bourreau, dans le maigre espoir d'accomplir son boulot.

"Hé bien... On dirait qu'finalement, tu commence à comprendre..." - Souffla-t-il entre ses crocs, se mordillant brièvement la lèvre inférieure en toisant cette petite en frayeur.

La scène était absurde, en plus d'être ignoble. Alecto avait les plus grandes peines du monde à laisser cette verge, bien loin d'être noble, de par son allure infâme et son odeur âcre, s'engloutir entre ses lèvres. Mais la brute voyait les choses autrement.

Continuant de pincer ce petit nez entre ses phalanges, ne la laissant plus respirer, dans l'unique but de la faire aspirer cet vit de chair qui, laissait un désagréable goût macéré. Il ne fait aucun doute qu'elle n'allait rien apprécier de tout ceci, contrairement à l'orc qui lui, s'en donnait à coeur joie, pour torturer gentillement cette pauvre fille. Cela aurait pu être bien pire, cela pouvait le devenir encore. Alecto s'en doutait bien, elle devait bien l'avoir vécu déjà.

Très vite, ces mouvements de va-et-vient entre les lippes charnues, et à présent luisantes d'un mélange gras et humide, provoquèrent une délicate symphonie obscène. La colombe pouvait s'en dégoûter, mais Ghar, lui, s'en réjouissait. Cet embout de chair obèse, n'étant à peine qu'un tiers de ce pal monstrueux, lui caressant le plais, frottant chaque recoin de sa bouche et distillant cette sève goudronneuse et chaude, qui telle un sirop, s'écoulait langoureusement dans la gorge de la petite esclave, laissant le loisir à ses papilles de s'habituer et d'apprécier ce goût, tantôt âpre, tantôt doux, tout n'est qu'une question de temps.

Mais soudainement, une voix se vit entendre. Un nom prononcé. Alors que la jeune fille semble bien trop concentrée sur cet épieu de chair, Ghar détournera son regard mesquin de ces yeux de biche, pour aviser la troupe un peu plus loin.

"Ghar ! Bouge ton cul gris et viens boire avec nous... Reste de la bière naine et du vin... j'crois qu'c'est du vin ou du sang..."

Otto haussa une épaule en avisant, d'un oeil clos, le fond de cette outre, où devait se trouvait ce sois-disant vin rouge. Cela faisait quelques longues minutes déjà, que la brute se trouvait là et chacun des maraudeurs, pouvaient l’apercevoir, sans réellement savoir ce qu'il se passait derrière. Mais avant même que l'un d'eux ne rebondissent sur cette proposition.

"J'pisse déjà c'que j'ai bu et on verra après !" - Beugla Ghar, presque dans un refus, en haussant la voix à son tour pour se faire entendre.

Les mercenaires, qui s'apparentaient plus à une bande de coupe-jarrets et de d’escrocs, firent fi du désagréable rejet de la part de cette bête à crocs, ces derniers, saillant, avaient d'ailleurs tendance à attirer l’admiration d'Otto, un sentiment assez désagréable pour l'orc.

Tout cela mettait en évidence qu'ils n'étaient pas seuls au monde, cette scène se déroulant dans un cadre particulier où tous étaient acteurs. Ghar souhaitait en rester le protagoniste pour le moment et, relâchant le nez d'Alecto, poussant de ses hanches pour laisser coulisser plusieurs centimètres de ce manche de chair épais, en maintenant la petite tête de la colombe en place, de ses deux paluches.

"Haaan... Courage... Tu vas y arriver, petite chienne..." - Grognera-t-il entre ses crocs.

 Sentant l'orée de cette gorge étroite et délicate, qu'il s’apprêtait à pénétrer, comme s'il escomptait violer l'intimité vierge d'une bonne-soeur. Pourtant, Alecto n'en n'était pas à sa première fois, mais avec Ghar et sa virilité, tout devenait une première fois.
« Modifié: mardi 03 novembre 2020, 16:54:32 par Ghar Grondesang »

Alecto Nemed

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    Crédule, extrêmement pieuse, facilement impressionnable et très discrète, elle va rougir si vous continuez à la regarder ainsi !

Re : Ne tirez pas (sur) le Messager - PV Ghar Grondesang

Réponse 18 mardi 03 novembre 2020, 20:51:27

Les larmes roulaient de ses yeux délavés emplis de terreur sur ses joues sales, jusqu’à la commissure déchirée de ses lèvres, et Alecto, les narines enfin libérées des odieuses phalanges, secouait la tête comme une démente.

Son petit visage si doux était étiré à l’extrême comme hurlant un cri surhumain et silencieux qui déformait son expression, dessinait la négative de toutes les maigres forces qu’il lui restait. Elle était docile et servile à souhait, mais sentir le colossal membre forcer encore un peu plus sa gorge était un supplice qui mettait en danger sa survie. Aussi n’était-ce qu’un réflexe instinctif, levant ses grands yeux pleins de sanglots vers le facies démoniaque de l’Orc dans une ultime supplique.

Incapable de parler, respirant à peine en suffoquant et s’étranglant dans les fluides impropres et gras qu’elle ne pouvait qu’avaler en s’étouffant, Alecto sentait son endurance s’amenuiser, petit à petit, et son corps peiner à la supporter. Elle avait mis une telle énergie à sucer et laper la hampe qui la dégoûtait et l’agressait avec brutalité, que ses forces commençaient à l’abandonner.

Ses yeux roulèrent vers le haut, prise de nausées, alors qu’elle avalait un peu plus encore la virilité bestiale et sauvage en faisant craquer sa mâchoire avec incertitude, et son teint déjà blanche se terni, laissant à son front perler des gouttes de sueur. La tête lui tournait, désormais, et elle ne tenait debout que retenue par les deux grosses mains de l’Orc qui guidait avec mépris son visage vers sa ruine.

Les bruits autour d’elle étaient de nouveau saccadés, son audition amoindrie par les paluches du Monstre, mais surtout à cause de l’évanouissement qui perlait… Alecto sentit ses tympans vrombir, et fut prise d’une crise de tremblements qui la convulsa à l’extrême, tordant sa bouche et sa gorge et se contractant par réflexe autour du membre veiné qui pulsait en elle.

Ses mouvements chaotiques cognèrent contre le débris de mur qui la masquait aux yeux de la troupe de mercenaires, et descella une des pierres abimées qui tomba avec fracas, attirant l’attention des misérables compères… Deux redressèrent le nez, et dans l’interstice devinèrent certainement la soyeuse chevelure d’encre de la misérable Esclave sur le point de s’évanouir. Ce furent sans doute les chaînettes dans ses cheveux qui fut, à y réfléchir, digne de leur intérêt premier.

Plusieurs se levèrent, dont le simulacre de Chef, et approchèrent de leurs jambes arquées à la démarches caractéristiques de ceux qui débutent la journée par l’alcool.


- Tu caches quoi, Ghar ?

- Dis-donc, ça brille quand tu pisses, toi…

- Tu la jouerai po perso, par hasard, hein mon grand…
Finit par souffler Otto, en plissant les yeux.


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