La voleuse et l'ange. [PV Xiombarg]

Le monde était vaste et Maheiliane en avait arpenter une grande partie à la recherche d’objet à voler, que ce soit d’anciens artefacts oubliés dans une forêt ou la babiole d’un riche marchand, la terranide chassait tous les trésors possibles. Sa spécialité était les objets magiques, quelque soit leur utilité, elle aimait les subtiliser, c’était facile à revendre et à un très bon prix. Pour retrouver ce genre d’objet, elle avait en sa possession un bracelet qui réagissait aux émanation magique provenant de réceptacle.

Cela faisait maintenant quelques temps qu’elle était retourné à Nexus, cette ville était gigantesque et elle accueillait en son sein beaucoup de trésor. Les bas-fond fourmillaient de receleur et d’informateur, de quoi savoir tout ce qu’il y avait à savoir  sur les lieux. Il n’y avait pas meilleur endroit pour trouver des objets magiques que les ateliers de magiciens., alors elle était aller demander où est-ce qu’elle pouvait trouver ce qui l’intéressait. Elle ne savait pas trop quel genre d’objet, elle voulait dérober aujourd’hui mais tant que ça faisait des choses magiques, elle s’en contenterait.

C’est une académie de magie qui était devenu sa cible, il y avait forcément es trésors intéressant à y dérober. Y entrer n’avait pas été compliqué de nuit pour une voleuse aguerrie comme elle, il n’y avait plus qu’à trouver de quoi faire son bonheur.

La nuit, dans chambre Xiombarg dormait à poings fermés. Une lumière rouge clignotante la réveilla, elle savait ce que cela voulais dire, il y avait un intrus dans l'académie. Elle se leva nue et se mit devant son miroir qui d'un geste de la main s'assombrit et lui révéla une vue du dessus du bâtiment, elle se concentra et passa en revue les pièces de l’académie une à une. Les dortoirs où ses filles dormaient, rien d’anormal, les cuisines, la bibliothèque, la salle des Professeurs, L'étable, la serre Idem. Une ombre attira son attention dans la salle des artefacts, elle zooma sur cette pièce et observa l'intrus, c'était une jeune  terranide.

Elle allait mettre la main sur la broche de méduse, si elle la touchait elle finirai pétrifiées. Il n'y avait pas de temps à perdre, Xiombarg ouvrit un portail magique qui donnait juste derrière La  terranide, elle ne prit pas le temps de s'habiller et franchit le portail.
Une fois dans la salle des artefacts, elle frappa dans ses mains, la lumière s'alluma, les portes claquèrent et des grilles vénèrent fermer les fenêtres.

Elle lui dit d'une voix calme mais ferme "Je serait vous je ne toucherai pas à ça!!!" en déployant ses ailes dans son dos pour avoir l'air plus impressionnante, sans ce rendre compte qu'elle était nue.

Entrer n’était pas un problème même lorsqu’il s’agissait de s’introduire dans un bâtiment de puissants monarque alors entrer dans ce qui lui avait été présenté comme une école n’était pas vraiment un problème. Maheiliane chassait les trésors magiques et elle possédait tout ce qu’il fallait pour ne pas se faire détecter, devenir invisible aux yeux des gardes et bien évidemment elle avait de quoi ouvrir tous les verrous même les plus complexe ou sceller par magie. Une fois à l’intérieur il avait cependant fallu trouver ce qu’elle était venu chercher.

Tout ce qui semblait avoir de la valeur finissait dans les poches sans fond de la terranide qui se laissait guider par son détecteur de magie, dans une école de magie il y avait des émissions magique partout mais seuls les incrustations dans des objets l’intéressaient. Lorsqu’elle trouva la pièce aux trésors , la magie qui la rendait invisible disparu sans qu’elle n’y soit pour quelque chose et réutiliser l’objet qui la lui prodiguait ne fonctionna pas, ce n’était que très rarement arrivé dans sa vie de voleuse et c’était toujours lorsque le butin étaient conséquent que ce genre de sécurité étaient là, elle était donc ravie.

La pièce qu’elle découvrit était une véritable mine au trésor pour elle, son détecteur s’affolait devant tous ces objets magiques, elle n’avait aucun moyen de savoir quel pouvoir renfermait les objets alors elle les manipulait avec précaution avant de les fourrer dans ses poches pour qu’ils rejoignent son butin. Son œil fut attiré par un bijou qui devaient déjà valoir une bonne somme d’argent en tant que tel alors elle s’en approcha pour aller le récupérer.

Un portail s’ouvrit devant elle pour en laisser sortir une femme ailée totalement nue qui lui indiqua de ne pas toucher à l’objet. Maheiliane plissa ses yeux pour regarder la nouvelle arrivante en se demandant de qu’elle essence elle était, elle avait déjà eu à faire à des objet enchanté qui faisait apparaître un gardien parfois réel parfois qu’une illusion lorsqu’on tentait de les dérober :

«  Et pourquoi ça ? »

S’il fallait se battre, la terranide n’était pas à son avantage, elle avait des objets pour se défendre ou attaquer mais elle était une voleuse, pas une combattante. La nudité de la femme ailée ne l’interpellait même pas, elle même était quasiment nue, il n’y avait que ses outils de voleuses qui la recouvrait.

Parce que cette relique est maudite, si vous y touchez vous vous transformerez en statue de pierre.
Elle la regarda presque nue et sourit. Je me nomme Xiombarg et je suis la directrice de cette école, vous êtes dans une bien mauvaise posture. Rendez ce que vous avez volé et je vous laisserai partir.
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Elle examina son aura et décela un fort potentiel magique en elle. Elle se demanda si elle ne pourrait pas en faire sa disciple, ça faisait longtemps qu'elle n'en avait pas eu.
Je vous propose quelque chose, restez quelque temps avec moi et je vous enseignerait la magie, je ne vous demande rien en échange juste d'être studieuse et obéissante. Lui dit elle en lui souriant.
Puis elle claqua des doigts et la salle sembla tourner sur elle même, puis se dissoudre dans la réalité. Les meubles disparurent petit à petit pour être remplacer par une nouvelle pièce. Elle savait que ce sort de téléportation pouvait être déroutant et donner le tournis les première fois, mais elle y était habituée.
La nouvelle pièce était une chambre à coucher, avec un grand lit à baldaquin, une commode où était posé un grand miroir d'argent poli, de deux grandes armoires de bois sculpter de motifs ésotériques qui semblait être en mouvements lents et perpétuels. Deux fenêtres donnaient sur un balcon qui offrait une vue magnifique sur le jardin et la forêt entourant l'académie. Un épais tapis aux couleurs  changeante recouvrait le sol dans presque l'entièreté de la pièce. Sur les mirs était déposé tes tentures qui représentait des scènes vivantes et changeantes au grès des humeurs et envies de celle qui les regardait.
acceptez vous mon offre?

Maheiliane plissa les yeux lorsque l’inconnu lui révéla la nature de l’objet, ce ne serait pas la première à mentir pour ne pas se faire dérober un objet :

« A oui ? Alors prouver le. »

Le fait que la femme ailée soit la directrice des lieux ne fit pas plus d’effet pour dissuader la voleuse de continuer son larcin, elle n’abandonnait pas si facilement un trésor et elle pouvait faire preuve de ressource même si elle n’était pas entraînée pour se battre. La proposition de devenir une disciple de l’inconnue la fit s’immobiliser et pencher la tête d’interrogation, elle n’était pas une magicienne, elle ne savait pas utiliser la magie autrement que par l’utilisation d’objet qui la renfermait alors elle ne voyait pas pourquoi on la ferait entrer dans une école de magie. De plus, on lui demandait d’être studieuse et obéissante, elle était une voleuse alors ce n’était pas vraiment des adjectif qui la qualifiait le mieux :

«  Je suis une voleuse, pas une magicienne alors pourquoi je suivrai votre apprentissage. En plus je suis pas faite pour obéir. »

L’autre femme utilisa un sort pour les faire changer de lieu mais ça n’impressionna pas la voleuse qui regarda autour d’elle pour voir où elle se trouvait. Elle haussa un sourcil en constatant qu’elle était dans une chambre à coucher :

« C’est comme ça que vous compter m’amadouer ? »

Les plaisirs sexuels n’étaient pas vraiment une priorité dans la vie de la terranide et ce n’était pas ça qui allait la faire changer d’avis.

Je sent un grand potentiel magique en toi, qui ne demande qu'à être révélé.
Elle lui souriait en s'asseyant sur son lit. Mais tu est libre de partir si tu le desire
Elle lui désigna la porte.
Mais sache que ma proposition est à durée limité dans le temps. Une fois sortie de cet établissement, tu ne pourras jamais y revenir, sans mon accord.