Comment profiter d'un ami (PV Aya Crawford)

Il y a parfois des hasards qui tombent à point. Rien, ne rien emporter de trop, ne se concentrer que d'un volumineux sac à dos pour emporter l'essentiel, fuir cette vie et cette chute. Une dernière fois, Camille regarde cet appartement qu'il doit quitter précipitament. Plus assez d'argent pour le loyer, un travail en dent de scie, à peine de quoi acheter à manger. Et ce hasard, ce merveilleux hasard, qui lui a fait croiser Ryo, qu'il avait un perdu de vue ces dernières semaines, alors que, depuis longtemps, ils étaient inséparables comme deux frères.

Ryo le connaissait presque mieux que lui-même, et avait aussitôt décelé la contrariété sur le visage de Camille. L'invitant à prendre un thé, il avait écouté, tel un frère, Camille lui conter ses malheurs, jusqu'à l'expulsion imminente, avec la perspective de dormir à la rue au milieu d'individus parfois peu recommandables. Mais, avec le froid qui arrivait, Ryo ne pouvait pas imaginer de laisser son meilleur ami affronter une telle galère et, gentiment, Camille s'était vu proposer le gite et le couvert, au moins le temps de se refaire.

Ryo est comme ça, gentil et spontané. Mais, alors que Camille s'est malgré lui souvent mis dans des galères, Ryo a toujours conservé ce côté sérieux, travailleur quand Camille était oisif. Toutefois, Camille se souvient que Ryo avait eu quelques soucis à son travail, sans se rappeler ce que c'était. Mais s'en était-il inquiété alors ?

Camille regarde à nouveau le papier où Ryo lui a écrit l'adresse. Cela doit correspondre à une maison, dans une jolie banlieue de Seikusu. C'est vrai que, aussi proches soient-ils, Camille n'est jamais allé chez Ryo. Tout ce qu'il sait de sa vie privée, c'est qu'il vit en couple, et n'a jamais tari d'éloges sur sa compagne, la huitième merveille du monde à l'en croire.

Le bus dépose Camille juste au coin de la rue où il doit se rendre. Paisible quartier, en effet, à la fois simple et accueillant. Camille trouve sans souci, trimballant son gros sac, qu'il lâche à terre juste devant la porte. C'est Ryo qui lui ouvre, avec toujours ce sourire immuable. « Hello, c'est moi. Tu es vraiment sûr que je ne te dérange pas ? ».

Aya était tranquillement chez elle en train de faire bronzette près de leur piscine. Son époux était un riche homme d'affaires et de ce fait ils avaient une très belle maison. Mais qu'elle ne fut pas sa surprise lorsqu'il lui annonça qu'une vieille connaissance à lui aller habiter chez eux quelques temps, apparemment l'homme avait eut des difficultés financières et avait du mal à retomber sur ses pattes aussi il l'avait invité de bon cœur.

Ryo passait tous ses journées au travail alors naïvement sa femme s'été dit que ça lui ferait un peu de compagnie... d'un naturel plutôt gentille et aimable elle ne refusait pas non plus d'aider autrui. D'ailleurs le voila qui sonnait à la porte. C'est Ryo qui partit lui ouvrir, le rassurant sur le fait que cela ne le génait pas du tout, après tout il en avait les moyens, avant de venir le présenter à sa femme. Aya se leva de son transat pour aller saluer son invité en lui faisant la bise.

-Salut moi c'est Aya la femme de Ryo tu dois etre Camille enchantée.

Se présenta la belle avant que son époux n'intervienne. Il la prévint qu'il avait juste un petit rendez vous d'affaires urgent à régler avant de venir et qu'elle n'avait qu'a profiter de ce moment pour lui faire visiter la maison et lui montrer sa chambre pour qu'il y installe ses affaires. La jeune femme embrassa alors son mari un peu déçue qu'il ne doive déjà partir mais bon il assurer seul leurs revenus alors elle ne lui en voulait pas trop. Elle le laissa s'en aller et passa alors la première dans son petit maillot de bain deux pièces pour lui faire le tour du propriétaire et lui montrer sa chambre d'amis.

-Voila c'est ici que tu vas dormir si tu as des questions hésites pas et si je peux t'aider j'en serai ravie.

« Ryo a tout réussi, et moi j'ai tout raté », Camille s'enfonce plus encore dans ses échecs, en découvrant que, malgré la façade discrète, la maison de Ryo est superbe, autrement plus avenante que le minable studio qu'il vient de fuir.

« Oui, il a tout, il a même une nana super sexy », songe Camille, lorsque Ryo, arrivant au bord de la piscine, lui présente une délicieuse créature en maillot de bain, dont le haut exprime sans vulgarité deux jolies rondeurs, et dont le bas dessine sans exagération une jolie chute de reins.

« Très à l'aise, mais bon, elle est chez elle », son parfum trouble Camille, son baiser est d'une douceur divine. « Oui, c'est moi. Merci à vous deux ; je me ferai discret ». Mais la dénommée Aya ne semble même pas avoir attendu la fin de la phrase, et se rapproche de son mari.

« Ils s'aiment, ceux-là ; il en a de la chance, Ryo". Mais il y a parfois de petits nuages, et Camille semble comprendre que Aya est un peu chagrinée que Ryo doive s'absenter. « Hum, moi, je ne dis pas non », songe Camille, apprenant qu'elle va lui faire le tour du propriétaire.

Alors qu'elle l'invite à la suivre, toujours encombré par son baluchon, son regard s'attarde sur le joli fessier bien dessiné, se remémorant le film porno « Amis amants », où l'héroïne, en maillot de bain aussi mini, se faisait prendre par le meilleur ami de son mari, dans la première chambre où ils entraient.

Justement, la chambre, « sa » chambre. Aya est rentrée, Camille à sa suite, et continue la visite à toute vitesse. « Attends ! », d'un geste bref, Camille a posé la main sur son épaule nue, au ras de la bretelle du soutien-gorge, s'électrisant par le contact de cette peau douce.

Camille relâche aussitôt la pression, la jeune femme se retournant vers lui : « Si ça ne te dérange pas, j'aimerais déjà me doucher », ajoute-t-il, posant enfin son sac sur le lit. Il est là, seul dans une chambre avec une magnifique jeune femme en maillot de bain. « Camille, arrête tes conneries ! C'est la femme d'un ami qui t'aide ». Mais des picotements incontrôlés traversent son bas-ventre.

Aya était d'un naturel très jovial, plutôt à l'aise avec son corps, elle ne s'en rendait pas compte mais c'était vrai qu'elle été en train de faire visiter sa maison à un parfait inconnu pour elle et cela en maillot de bain plutôt révélateur... m'enfin c'était un ami de Ryo donc ca devrait aller. Le duo arriva alors dans la chambre de l’intéressé et la jeune femme sentit sa main se poser sur son épaule la faisant frissonner car elle ne s'attendait pas à ça. Elle se retourna vers lui, les deux protagonistes se trouvaient près l'un de l'autre elle n'avait pas fait attention avant mais Camille la dominait d'une bonne tête de plus. Il lui annonça alors qu'il aimerait bien se doucher si cela ne la dérangeait pas ce à quoi elle répondit.

-Ah euh... oui bien sur non il n' y a pas de problèmes c'est par là suis moi...

La jeune femme lui emboîta le pas à nouveau, elle ne faisait pas exprès mais elle roulait du cul à chaque pas faisant sautiller son postérieur... ce n'était pas de sa faute ou qu'elle cherchait à plaire... mais sa morphologie était juste parfaite et faite pour stimuler le désir... c'était d'ailleurs comme ca que Ryo été tombé sous son charme. Mais comme dit plutôt ce n'était pas intentionnel de la part de la candide Aya, nombreux sont les hommes qui lui ont fais des avances mais seul Ryo compte pour la demoiselle, ce serait son premier et son dernier.

-Voila la salle de bain, si tu as besoin de quoi que ce soit n'hésites pas.

Conclut la jeune femme en ouvrant la porte en souriant dévoilant sa dentition parfaite.

Tout près, si près de lui . Aya s'est retournée, il a senti son parfum léger mais captivant. Et, presque contre son torse, sa poitrine bien moulée par le soutien-gorge, de beaux globes, une raie entre eux bien visible.

« Si l'occasion se plaisante, je me la fais ! »
Hélas, Aya s'écarte presque aussitôt, en finissant sa phrase d'un « suis-moi" très intéressant.

Et, à la suivre, Camille apprécie davantage encore ses fesses bien moulées dans le léger maillot, à lui en provoquer un début d'érection. « Elle m'allume, cette salope. Ryo ou pas, je me la ferai ! ».

Aya ne peut savoir quelles pensées traversent Camille ; elle lui semble si pure, si innocente. Comment, sinon, pourrait-elle se balader, aussi provocante, devant un quasi-inconnu ?

La salle de bains arrive presque trop vite mais, heureusement, Aya se fend d'un « si tu as besoin de quelque chose » qui ouvre bien des portes.
« Oui, salope, j'ai juste envie que tu t'agenouilles pour me sucer la bite, avant que j' t'encules plaquée au mur », les pensées obscènes affluent en Camille, au même rythme que le sang afflue en son sexe.

Devant lui, Aya, si menue et fragile, est juste adossée au mur carrelé. Passant ses mains de part et d'autre d'elle, il les appuie au mur, pour lui empêcher toute fuite. « Oui, il y a quelque chose qui me ferait très plaisir, maintenant ». Camille guette son regard. S'il sent la moindre faiblesse, il en profitera. S'il sent la moindre velléité, il reverra ses plans ; c'est tellement excitant de briser la femelle qui se rebelle. « Tu seras à ma botte, Aya ! ».

Mais rien de tout ça, Aya n'est décidément pas comme les autres. Sans s'écarter d'elle, Camille ôte sa tunique, apparaissant torse nu. Après tout, elle est en mini maillot de bains. Il veut aussi voir sa réaction, le visage de l'excitante femme de Ryo si proche de ce torse désormais nu.

Même si ses mains ne font plus étau autour d'elle, il continue cette forme de domination passive, voulant lui interdire, pas sa stature bien plus haute, toute échappatoire. Et Camille continue ; d'un geste bien coordonné, son pantalon et son caleçon tombent à terre.

Si la situation devient conflictuelle, il lui suffira de dire qu'il voulait juste en profiter pour prendre un bain ; Aya semble si innocente, elle ne pourra que le croire. Seul argument contraire, son sexe n'est pas tout à fait au repos !

Aya attendait adossé au mur juste a coté de la porte de la salle de bain, le visage radieux et souriant elle vit son invité se rapprocher d'elle encore plus près que tout à l'heure, une puis deux et voila que les mains de Camille se retrouvèrent des deux cotés de son visage comme pour la bloquer alors qu'il lui avoua qu'effectivement il y avait quelque chose qui lui ferait très plaisir en ce moment... Elle prit un peu peur en le voyant agir de la sorte et demanda..

-Euh oui... qu'est ce que c'est ?

C'est alors que l'homme se mit à l'aise... c'était le cas de le dire puisqu'il se déshabilla devant elle, dévoilant son torse nu devant la jeune femme dont la proximité était très oppressante elle avait l'impression de se faire dominer par Camille qui se dénudait chaque seconde sans qu'elle comprenne pourquoi... pour finalement terminer par faire tomber à ses chevilles son pantalon ainsi que son calecon... dévoilant son sexe en pleine érection... la belle fut choquée, qu'il ose faire ça mais aussi par la taille de son membre... elle plaqua sa main contre sa bouche en signe de stupéfaction et de l'autre elle la posa contre son torse pour le repousser en arrière...

-Mais... mais qu'est ce que tu fais Camille... ca vas pas la tête pourquoi tu te déshabilles comme ça devant moi... je n'ai pas besoin de voir... ça...

Termina t elle en désignant son sexe...

« qu'est-ce que tu fais (…) je n'ai pas besoin de voir... ça », une réponse juste parfaite d'une effarouchée qui s epromène quasi nue devant lui, gonflant la poitrine et roulant du fessier. Camille s'y attendait, mais le léger temps d'hésitation, avant de prononcer le « ça », est un signe qui ne trompe pas.

« Mais voyons, Aya, je t'ai dit que je souhaitais prendre un bain, et tu m'as gentiment montré la salle de bains. C'est normal de se baigner nu, non ? »

D'ailleurs, ses mains, contre son torse, n'étaient pas très virulentes pour le repousser ; c'étaient même de tendres caresses. Si elle avait vraiment voulu se défaire de son emprise, il lui suffisait de se glisser sur le côté. Mais elle n'en a rien fait, preuve que ça ne la dérange pas. Peut-être même que  Ryo ne peut rivaliser en ce domaine.

« Pas besoin de voir ? Mais tu peux aussi toucher », ajoute Camille, en s'emparant du frêle poignet de Aya, serrant suffisamment pour qu'elle ne puisse pas résister, mais ne serrant pas trop afin de lui montrer qu'elle n'offre pas toute la résistance qu'une épouse soi-disant offusquée devrait montrer.

Et il amène la main de Aya jusqu'à son membre qui, libéré du caleçon et encouragé par la situation, prend de plus en plus de volume.
« Rassure-toi, Ryo est un ami ; je ne te ferai aucun mal, car tu es la femme d'un ami »
Il ne faut rien brusquer. « Je te baiserai, Aya, mais je ne dois pas me trouver à la rue juste après ».
« Mais, puisque tu es la femme d'un ami, je me dois aussi de répondre à tes demandes ».
Avec un sourire narquois, Camille cherche à percer ce qui se cache derrière les yeux de Aya. Peu de chances qu'elle s'agenouille de suite pour le gober. « Dommage, je me la ferais bien là, à la hussarde. Il y a trop longtemps que je n'ai pas tiré un coup ».

Mais Camille préfère laisser redescendre la pression. S'écartant soudainement, offrant une bouffée d'oxygène à Aya qui en perd le contact avec son membre toujours aussi dressé, il se retourne, lui offrant la vision d'un dos marqué, juste des épaules aux reins, d'une immense estafilade.
« Voilà, c'est ça que je voulais te demander, comme service. Rassure-toi, ce n'est qu'un coup de lame, qui n'a rien touché. Mais ça fait encore très mal en cicatrisant. Pourrais-tu me mettre une crème de protection, avant que je ne prenne une douche ? »
« J'espère qu'elle ne va pas encore me jouer la sainte vierge ! »
« Dis-moi, Aya, qu'est-ce que tu croyais, pour avoir réagi comme ça ? »

Aya est soudainement toute rouge... elle n en revient pas que l ami de Ryo ose se mettre entièrement nu devant elle comme ça ce qui la laisse choquée et fait qu elle ne le repousse pas correctement... de son côté Camille fait comme si c'était normal et prétexte qu il faut être nu pour prendre un bain.

Euh oui mais tu aurais pu attendre que je sois partie avant de te déshabiller c est la moindre des choses...

Cependant cela sonnait comme une excuse puisqu'il en profita pour attraper son poignet et l amener jusqu'à son sexe.. mais pourquoi faisait il ça.. l homme semblait particulièrement excité a en juger par son érection.. et que sa queue était grosse.. bien plus que celle de Ryo s en été indécent. Il essaya de la rassurer en lui disant que c'était la femme d un ami alors elle n avait rien a craindre. Elle enleva directement sa main de sa  chose et répondit.

Ca veut dire quoi que si j était pas la femme de Ryo je craindrais quelque chose ? Je crois pas que ce genre de comportement plaise a mon mari...

Mais Camille essaya alors de détendre l atmosphère en se reculant et en lui montrant une cicatrice dans le dos, prétextant que c'était juste une blague et qu il voulait juste qu elle lui mette de la crème... ils ne devaient pas avoir le meme sens de l humour visiblement car elle répliqua.

Euh je crois pas que me forcer a touché ton sexe soit très adapté pour parler de ta cicatrice... je ne suis pas ce genre de femme et tu ferais mieux de ne pas reiterer ce genre de choses si tu veux rester dans cette maison... mais je vais être magnanime j imagine que ça doit faire un moment qu une femme ne t as pas touché... ne recommence plus c est tout.


Conclut Aya en prenant le tube pour commencer a badigeonner de crème sa cicatrice.

« Oh oui, ma poule, si tu n'étais pas la femme de Ryo, je t'aurais déjà baisée ». Si les pensées de Camille sont claires, il évite d'attiser le feu, bien que Aya soit encore plus troublante avec le rouge aux joues.

« Je ne crois pas que ce genre de comportement plaise à mon mari », la sentence est tombée, sèche, prévisible. « cette nana se balade quasiment à poils devant moi, et elle joue les effarouchées ! », Camille préfère faire redescendre plus encore la pression. « Ryo sait que je suis quelqu'un de naturel, se balader nu n'est pas une provocation pour moi ; d'ailleurs, on le faisait souvent ensemble autrefois ».
 
Elle fait sa prude, mais Camille a une petite voix qui lui murmure : « Elle fait sa mijaurée, mais elle n'a pas tout de suite enlevé sa main de mon sexe ». Malgré la menace d'être mis à la porte, il n'a pas envie de cesser ses tentatives. « Je me rappelle que Ryo en avait une petite, alors elle ne devrait pas dire non bien longtemps encore ».

Pourtant, les menaces sont claires ; ce petit bout de femme a de l'assurance. Elle est chez elle, elle peut virer l'importun. Enfin en théorie, parce qu'elle ne ferait pas vraiment le poids s'il devait insister. Aya est un petit gabarit, elle perdrait vite au corps à corps. Et Camille est de plus en plus sûr de lui : « tu es peut-être la femme d'un ami, mais tu seras comme toutes les autres, une fois que tu auras goûté à ma queue ». Les images défilent dans sa tête ; face à lui la poitrine arrogante de Aya est un appel à se jeter sur elle. Dans ses souvenirs, ses jolies petites fesses qui se trémoussaient ne demandent qu'à être prises. Son érection ne se calme pas, malgré les mots durs de son hôtesse.

Elle semble quand même très fâchée. Tournant le dos pour recevoir un peu de crème apaisante, Camille fait semblant d'apaiser ses envies, même si son sexe ne semble pas décidé à en faire de même. « Oui, comme les autres, et quand j'aurai fait quelques photos sympas de toi, tu me supplieras pour pas que je les envoie à Ryo ou que je les mette sur les réseaux sociaux ».

Le cerveau de Camille gamberge à tout va. Il est nu, une femme en minuscule maillot de bain lui caresse le dos ; Et son sexe ! Il a repris sa progression, il se dresse, il grossit. Aya manie la sanction de le virer, et manie la caresser à l'exciter. « Je vais laisser faire, on va voir si elle mate, si elle crie, si elle s'enfuit ».

Camille s excuse alors en pretextant que pour lui c'etait normal de se balader nu et que ca n avait rien d une provocation car ils avaient l habitude avec Ryo d etre ainsi..elle ne savait pas trop quoi penser de cette remarque..

-Euh ouai.. tu faisais ce que tu veux avec Ryo mais pas avec une femme que tu viens a peine de rencontrer.. qui plus est SA femme..

C etait bizarre.. mais le duo était a présent dans la salle de bain. Camille assis sur leur tabouret et Aya qui lui passait de la crème dans le dos. La nudité ne semblait pas déranger l homme qui restait nu.. et meme si il ne disait rien sa queue continuait de prendre de l ampleur.. elle le voyait très bien étant au dessus de lui quand elle lui passait la pommade.

*Ce type est bizarre mais il en a une sacrément grosse... elle doit faire au moins 20 voir 25cm... rien a voir avec Ryo... ça devrait pas mais ça m excites... même si il ne se passera rien entre nous je peux quand meme profiter du spectacle..*

Et Aya prenait son temps pour lui appliquer son baume.. profitant du fait qu'elle été derrière lui pour qu il ne puisse pas voir qu'elle matait son chibre.. se mordillant la lèvre.

L'ambiance s'est heureusement un peu apaisée. « Ouais, c'est vrai, tu y es allé fort, de lui sortir ta queue comme ça. Tu ne l'as jamais fait aussi vite. Bon faut dire qu'elle est super sexy ». Camille cogite pour la suite ; mais, dès qu'il a une idée sulfureuse, cela influe sur le volume de son sexe. Il ne parvient pas à faire retomber la tension.

Camille baisse un peu le dos, pour offrir son dos meurtri au baume apaisant. Aya manie le massage avec dextérité, mais là, ça ne la dérange pas de masser un quasi inconnu nu chez elle. Ses mains sont douces, ses gestes sont délicats ; tant qu'elle reste persuadée de masser un blessé, elle ne va pas s'emporter, et va oublier les derniers mots.

« Merci Aya, tu es très douée pour masser ; ça me fait un bien fou », mais, ce disant, Camille sent son sexe gonfler de volume encore. Oh, pas à être au paroxysme, mais d'une manière qui ne laisse aucun doute sur son excitation.

Alors, comme d'un jouet, il s'amuse à poser juste un doigt au bout de son sexe, à le faire tourner un petit peu. Ne surtout pas donner l'impression d'une masturbation, c'est vulgaire. Et il arrête très vite. Un peu de temps passe. Puis, mettant deux doigts en anneau, il les fait coulisser, effleurant à peine le membre qui se redresse malgré tout. Et il arrête très vite.

Aya semble ne pas réagir. Feint-elle l'indifférence, ou est-elle à mater discrètement ? Camille décide de mettre fin au doute. « Si elle mate et que ça lui plaît, il va falloir qu'elle montre un peu de bonne volonté pour en avoir davantage ! »

Camille se lève soudainement, se retournant vers Aya, posant un baiser sur son front avec une douceur amicale. « Merci Aya, ce fut très agréable ». Ce faisant, il s'est rapproché d'elle, très près même, au point que son torse nu effleure la belle poitrine encore masquée du soutien-gorge, et que l'extrémité de son sexe frôle la petite culotte de maillot de bain.

Ils sont très proches. Ils pourraient, mais non. Camille s'écarte presque aussitôt, avec un grand sourire, entre dans la douche et déclenche un jet d'eau juste tiède. Offrant son profil à Aya, faisant mine de ne pas savoir qu'elle est là, il se met à masser son sexe à lui donner d'encore plus belles proportions.
Si elle est restée là, elle doit mater. Si elle est partie, elle va en rêver.

La situation semble s'etre calmée en apparence. Tant mieux car elle ne voulait pas non plus etre en froid avec l'ami de Ryo. Ce dernier lui annonce d'ailleurs qu'il est plutot satisfait de son massage entre guillemets car ce n'en est pas vraiment un vu qu'elle lui met de la pommade... avec insistance certes... et le bougre semble apprécier cela... ou alors ce n'est pas le massage mais juste Aya qui lui fait de l'effet à en juger par son érection.

La jeune femme qui n'en perds pas une miette le vois d'ailleurs s'amuser de temps à autres à se caresser quelques secondes comme si de rien était... ça doit le gêner énormément de bander de la sorte... cependant il décide de mettre fin à ce "massage" en se relevant de leur tabouret pour venir déposer un baiser sur le front d Aya qui prend peur mais n'as pas le temps de réagir... décidément il est bien trop tactile ce Camille... c'est alors qu'elle sent quelque chose plus bas, en se retournant il lui a donner un coup de queue avec sa poutre.. il n'as sans doute pas fait attention... et le voila qui s'en vas dans la douche et sans perdre un instant il la fait couler et se lave... cet animal ne tient pas en place pensa la belle en le voyant commencer à se frotter... surtout qu'il commence par son sexe... mieux vaut lui laisser un peu d'intimité...

Aya sort alors de la salle de bain en refermant la porte derrière elle... se rendant compte qu'elle est plutot excitée par ce qu'elle vient de voir elle se colle au mur et constate avec stupéfaction qu'elle est pas mal trempée dans son maillot de bain... elle ne se pensait pas comme ça mais la vue de son sexe l'a plus émoustillée qu'elle ne voulait l'admettre... elle se dépêche de rejoindre sa chambre alors et fait glisser sa main contre son intimité. Puis commence à se débarrasser de son excitation en trifouillant ses lèvres intimes ainsi qu'en appuyant contre son clitoris... n'arrivant pas se défaire de cette image dans sa tête... celle de la queue de Camille, pensant alors...

-Hmmm... si seulement Ryo en avait une comme çaaaah il a interet à me baiser comme il faut ce soir hmmmm...

Après quelques minutes d'intenses masturbation Aya retourne près de la piscine comme si de rien était. Ayant simplement changé de maillot de bain en attendant le retour de Camille et Ryo.

Le coup du siècle ! Camille est fou de joie. Il a réussi le coup du siècle.

Car, sous la douche, c'était plus fort que lui ; il a fallu qu'il regarde de côté, discrètement, bien aidée par la fumée que dégageait l'eau. Aya a passé un moment à le mater, il en est sûr. Si elle était aussi pride qu'elle le prétend, elle serait sortie de suite, mais pas là. Elle est tellement restée, qu'il a pu se passer de l'eau sur tout le corps, tout en insistant à se caresser.

Hélas, elle n'a pas osé le rejoindre. Trop réservée la femme de Ryo. Elle est si belle et sexy, elle mérite mieux que lui, surtout que, au lit, il doit être trop romantique aussi. Une femme comme aya, il faut la faire grimper aux rideaux ! « Ne t'inquiète pas, je vais m'en occuper de ta femme ». Camille a le feu en lui, il ne veut pas que la pression retombe trop vite en elle.

A peine a-t-elle fermé la porte qu'il se jette sur la serviette, s'essuie à toute vitesse, ouvre à son tour la porte de la salle de bains. Pas un bruit. Ils sont passés devant la chambre de Ryo et Aya tout à l'heure ; par réflexe, il pousse jusque là. Nu en érection dans le couloir, ça ne pardonnera pas ; si Aya ou Ryo le trouve ainsi, c'est viré direct.
Mais son flair ne l'a pas trompé. Un léger souffle provient de leur chambre, dont la porte n'est pas fermée. Tel un chat, il avance sans bruit, passe la tête lentement. Le spectacle est au delà de son imagination.

Allongée sur le lit, débarrassée de la culotte de bain, les cuisses bien écartées, Aya se caresse, remuant autour de sa propre main qui l'explore. Camille en sent aussitôt l'impact sur son érection, assortie d'une folle envie de venir remplacer les doigts de Aya par sa queue. "Elle est dans un tel état d'excitation, qu'elle prendrait n'importe quoi ou n'importe qui pour se soulager". Mais il se retient in extremis ; il y a mieux à faire.

Dans le même silence, il rejoint sa chambre d'ami, prend son smartphone, retourne à ce beau spectacle, qu'il filme, plan large, zoom sur les doigts ou sur le visage, pas top qualité mais suffisant. Toute à son plaisir, Aya a les yeux fermés, et cela est sécurisant. « Si elle résiste trop, ça pourra la persuader ». Ainsi enregistre-t-il jusqu'à l'orgasme de Aya ; « Dommage qu'elle n'ait pas osé crier, la vidéo en aurait été meilleure. Mais ça ira, on voit bien sa tête et ses doigts dans la chatte ».

Camille retourne vite à sa chambre, comme si de rien n'était. Oui, le coup du siècle, il le tient. « Elle rampera à mes pieds pour me supplier de ne rien diffuser ». Il range soigneusement son smartphone, avec le trésor bien enregistré. « Pour te remercier de ton hospitalité, Ryo, je vais faire de ta femme une bouffeuse de bites. Tu auras intérêt à assurer. »

Mlagré son érection, Camille enfile tant bien que mal un caleçon de bain. Son sexe, loin d'être au repos, dessine une bosse que nul ne peut ignorer. Pas le choix. Aya a dû retourner tuer son oisiveté au bord de la piscine, qu'il trouve facilement.
De loin, il la voit, plein soleil, sur une chaise longue. Elle a changé de maillot ! « Ben oui, quand on mouille, on laisse des traces ». Il avance, s'arrangeant pour être de profil ou de trois quarts face, afin que la bosse soit bien visible. « Ah, ça fait du bien, une douche comme ça ».
Camille vient s'installer sur la chaise longue juste à côté, s'étendant presque plat hormis une bosse qui, décidément, ne mollit pas. « Un grand merci, Aya ; ton massage m'a procuré de très agréables sensations. Tu es vraiment très douée pour caresser la peau ».

Ca faisait du bien de se soulager de la sorte. L excitation passagère d Aya s en été allée et elle pouvait se reposer tranquillement en prenant le soleil. Sans savoir ce que l autre énergumène manigancait en douce. D ailleurs le voila qui revenait le sourire aux lèvres venir se positionner sur le transat a coté d elle en annonçant qu une bonne douche faisait toujours du bien.

-Oui effectivement beaucoup de bien.

Repondit la belle en souriant. Alors qu elle venait de se rendre compte que sa bosse était toujours la.. il aurait pu profiter de la douche pour se calmer un peu... si Ryo rentrait maintenant il allait juste passer pour un pervers qui bande sur sa femme.. pas sûre qu il apprécie. Néanmoins elle fit comme si de rien été pensant que c était l affaire de quelques secondes avant qu il ne débande.

-Ah euh oui merci.. je fais toujours de mon mieux dans tout ce que je fais.

Conclut elle en s allongeant et fermant les yeux pour se relaxer et surtout ne pas voir l erection de Camille.

« Ouf, elle ne semble plus être fâchée », Camille se doute que la masturbation a dû calmer Aya. Elle a quand même menacé de le mettre à la porte ; il faut être prudent à ne pas aller top fort trop vite, mais la vengeance viendra. Quand il l'aura bien sous sa coupe, il lui fera payer son arrogance.

La situation est si calme que, si Ryo rentrait, il ne verrait que sa femme et son ami, à bronzer au soleil, discutant de tout et de rien. A un détail près, toutefois ; l'érection est toujours là, et Camille, les yeux mi-clos, guette le moindre regard de Aya. « Si elle s'est masturbée aussi fortement, c'est que ça lui avait fait de l'effet de voir un aussi joli chibre ».

Mais elle semble assoupie. Pas calmé, Camille sort son smartphone de la poche de caleçon de bain, fouille dans son stockage de vidéos crues, pour regarder à nouveau la vidéo volée. Il a déjà filmé certains de ses ébats, avoué ou caché, mais celle du jour est d'un sacré niveau. Avec pas trop de son quand même, pour ne pas affoler les voisins. Hélas, qualité du micro oblige, il doit vite monter le son, pour bien entendre les soupirs de Aya, encore plus explicites quand on mate la vidéo associée.

Sauf qu'il a oublié que, à un moment, avant même la fin calée sur sa jouissance, elle a poussé un cri très évocateur, et que, vu le volume du smartphone, ce cri déchire le silence. Trop tard pour couper ! Il regarde aussitôt vers Aya ; elle semble toujours assoupie. De toutes façons, peu probable qu'elle aurait reconnu ses propres cris; elle était bien trop occupée à ce moment-là.

Rien que ce cri, coïncidant avec un gros plan sur des doigts enduits de cyprine, a encore augmenté l'érection de Camille. « Je dois vite me calmer, sinon je la culbute là sur son transat, qu'elle le veuille ou pas ».

Laissant le téléphone posé sur son transat, son coupé heureusement, mais sans avoir désactivé la vidéo, il se jette aussitôt dans la piscine, espérant que l'eau calmera un peu ses ardeurs. « Je vais éviter de me baigner à poil devant elle, sinon elle va encore aller se tripoter, sans rien me donner ! »

Pour vraiment faire redescendre son excitation, Camille tourne le dos à Aya, s'agrippant à une immense bouée, et se laisser alle. « Faut que j'oublie ses doigts dans son sexe. Et puis aussi ses gros seins. Et même son cul qui se tortille. Ah non, je ne peux pas ! ».

Camille cogite des plans pour la suite. "Le plus fun serait qu'elle me supplie de la baiser, mais bon ce n'est pas gagné". Les idées tournent "Et si je lui demandais si elle a une copine sexy à mettre dans mon lit". Camille se dit que jalousie et envie ont parfois des effets combinés surprenants. "Et il faut que je sache quand Ryo rentrera; pas sûr qu'il apprécierait de me voir culbuter sa femme".