La petite brune qui lui sert de poisson pilote pour trouver ce qu’il cherche dans les rayons du magasin de meuble est drôlement bien roulée, et il ne se gène pas pour l’admirer sous toutes les coutures. Il ne voit pas pourquoi il s’en priverait vu la tenue qu’elle porte, décolleté merveilleusement bien garni dans un bustier cintré à la taille, jupe courte rouge bordeaux qui moule un petit cul de rêve, et le tout sur des bas résilles dessinant ses longues jambes fines et délicieusement galbées, il est absolument évident que tout est fait pour qu’elle soit très désirable. Et comme jusque là elle avait été toute miel avec lui, il ne savait pas trop s’il devait prendre ça pour des avances ou pas.
- Nous y voilà Monsieur Jakal, tous nos miroir sont ici, lequel vous plairait-il ?
Dit-elle avec un petit air semble-t-il légèrement agacé que Khal n’est pas sûr de comprendre. Il fait un effort pour détourner les yeux des rondeurs de la naissance de sa poitrine si bien mis en valeur pour regarder les miroirs. Puis, les désignant du doigt, il dit :
- Je vais prendre ces 2 là, celui-là… ha et aussi celui du haut là-bas, c’est possible ?
La petite brune acquiesce et décroche un à un les miroirs, mais pour le dernier, elle est obligée de prendre un escabeau roulant pour aller le décroche. Je ne vous dis pas la vue, quel cul ! Il est était au pied de l’escabeau regardant sans vergogne la petite culotte de la belle qui en redescendant siffle entre ses dents :
- Ne vous gênez pas surtout !
- D’accord... Avec plaisir… dit-il en mettant sa main directement entre les cuisses de la fille sous sa jupette.
‘CHLAAACK !!!’
La gifle avait claquée tellement fort que toute les têtes s’étaient tournées vers eux. Imperturbable, Khal retira sa main, un poil déçu, en disant :
- Je suppose que vous avez changé d’avis ?
- Changer d’avis, mais vous êtes sérieux ?
- Ça dépend, à propos de quoi ?
Elle n’avait plus daigner répondre et s’était contentée de repartir vers les caisses en tirant sa jupette vers le bas.
- Ce sera tout ?
- Oui, pour aujourd’hui, pouvez-vous faire livrer le tout à cette adresse dès demain ?
Puis il avait réglé sa facture avec des grosses coupures et était reparti tranquillement sans trop comprendre les quelques regards désapprobateurs.
Déjà quelques semaine qu’il s’est fait violemment parachuté à Seikusu pour une mission qu’il ne connaît pas encore, et il a vraiment beaucoup à faire. Entre les contacts qu’il doit prendre pour comprendre comment fonctionne la pègre du coin, les démarches en tous genre et les achats qu’il doit faire pour s’installer, il ne chôme pas. Remarquez il lui reste encore toutes ses nuits, personne ne le demande ici. Bon, ça paraît normal, personne encore ne sait ce qu’il est. Dans son pays, en Inde, presque tous le monde sait qu’il est un avatar de Meghnath, un démon très demandé pour ses compétences sexuels.
Le corps et le sexe ne sont pas du tout vu de la manière ici. On dirait que c’est un poil tabou, limite faux-cul même, mais c’est encore trop tôt pour porter un jugement définitif. Toujours est-il qu’il est à peu près sûr d’avoir taper dans l’oeil de plusieurs femelles autochtones, mais aucune n’avait été suffisamment claire pour qu’il sache si oui ou non elles voulaient qu’il les baise. La brunette de tout à l’heure avait été très souriante au début, limite aguicheuse, tu m’étonne, il avait quand-même lâché dans les 11.000 balles de meubles. Puis, lorsqu’il avait perçus son agacement, il pensait sincèrement qu’elle le trouvait peut-être un peu trop timoré ou quelque chose dans le genre, alors il avait pris son ‘ne vous gênez surtout pas’ un poil trop ‘premier degré’.
Ça ne lui viendrait jamais à l’idée de ‘courtiser’ qui que ce soit, il ne sait que répondre à des demandes lui, du coup, ça fait des semaines qu’il n’a pas sorti son lingham pour honorer une femme.
C’est pas que ça lui manque mais faut bien avouer que ça fait quand-même un putain de contraste. Je vous rappel que lorsque ses dieux ont décidé de l’arracher, sans prévenir, pour l’envoyer ici en le balançant dans un éclair orageux, et atterrir complètement à poil dans une ruelle de Seikusu, une de ses plus fervente adoratrice était en train de s’empaler sur lui pour la troisième fois de la journée… Et il n’était que 10h du mat’. En fait, lorsqu’il n’était pas en mission, c’était son activité principale de baiser. La plupart étaient de jolies jeunes femmes fraîchement mariées, parfois très jeunes même, en Inde il y a encore énormément de mariage d’enfant, c’est interdit bien sûr, mais on ne va pas à l’encontre de traditions ancestrale avec une simple loi. Et puis c’est la loi des hommes, ça ne le concerne pas vraiment, alors il tringlait à longueur de temps.
Les vieux pervers qui s’offraient des gamines en mariage commençaient par les déflorer eux-même, rarement avec la délicatesse qui conviendrait, quand ce n’était pas carrément du viol, pour ensuite les lui confier. Soit pour les éduquer sexuellement, je ne vous dit pas l’état dans lequel il les récupérait. Soit pour les rendre fertile, et c’est sa semence qui s’en chargeait, mais sans les mettre directement en cloque bien sûr, en ce qui le concerne, il ne peut avoir d’enfant que sous certaines conditions bien particulières.
Heureusement ce n’était quand-même pas le plus fréquent les gamines, il y a de très nombreuses femmes qui viennent de leur propre chef. Culturellement, aucun homme ne considérera cela comme une tromperie, alors s’offrir les dons sexuels d’un démon est extrêmement couru en inde, elles viennent de partout, les plus belles femmes d’inde se dispute ses faveurs et c’est dans ces cas là qu’il s’autorise à choisir. Refuser une fertilisation serait très mal vu par les dieux, donc il accepte tout, et il accepte aussi presque toutes les ‘éducations’ sexuelles des gamines. Ne vous méprenez pas, c’est pas tellement qu’il en est friand, il préfère largement un belle femme bien faite, expérimentée, très coquine et gourmande à souhait, mais pour ces toutes jeunes filles, c’est un peu leur unique porte de sortie, une des rare possibilité de ne pas sombrer dans le sordide. Il les répare psychologiquement d’abord, physiquement si nécessaire, il a en effet quelques pouvoir guérisseurs, puis, et c’est là que ça devient intéressant, il les rend tellement compétentes sexuellement parlant, qu’elles peuvent aisément s’en servir pour ‘contrôler’ leurs gros cons de maris.
Mais revenons en à maintenant, il faut qu’il aille régler son déménagement de demain, dans l’attente de mieux, il avait fini par prendre une suite au palace de Seikusu, mais maintenant qu’il s’était trouver une baraque, il passerait sa dernière nuit à l’hôtel ce soir.
Il n’y a plus de pousse-pousse ici, alors il s’était résolu à prendre le métro même s’il n’aimait pas trop ça. Trop de monde et ça pu le renfermé. Ça devrait changer dans pas trop longtemps ça aussi, dès que ce sera possible, il prendra une caisse avec chauffeur et on oubliera le métro mais pour l’heure il prend son mal en patience, comme tout le monde, et accepte tous ces corps qui viennent se presser plus ou moins fort contre lui en fonction des vagues humaines qui entrent et sortent de la rame dans laquelle il se tient. Il y a de tout, impassible et dominant d’une bonne tête la multitude de ces corps plus ou moins bien fait, il les observe tous, c’est presque une étude sociologique de prendre le métro.
Il y a quelques très jolies femmes dans le flux, et lorsque l’une ou l’autre vient se presser contre lui en s’excusant, il réponds parfois que tous le plaisir est pour lui, en pensant être plutôt polie, mais soit elles rougissent sans répondre, soit elles s’offusquent. Bref, ça ne plaît pas trop apparemment.
Encore 3 stations avant d’arriver au palace lorsqu’une petite blonde au visage angélique et particulièrement bien roulée se retrouve pile poil face à lui, sa généreuse poitrine venant l’effleurer juste au dessus du nombril. C’est plutôt rare, la plupart essayaient de lui tourner le dos plutôt. La vue plongeante est des plus merveilleuse et les sensations aussi, tous les chaos et les virages du métro sont un véritable enchantement. Alors en croisant son regard pour la première fois, c’est avec un naturel presque innocent, en apparence, qu’il lui adresse son plus beau sourire. En voilà une qu’il aimerait beaucoup honorer pendant des heures, et dans tous les sens, si elle le lui demandait se dit-il…
Dans la même seconde, un gros freinage vient la projeter contre lui, écrasant ses sublimes seins contre ses abdos et, repensant à ses mésaventures précédentes, il ne peut s’empêcher de dire :
- Ne vous excusez surtout pas s’il vous plaît...