Perdue, mais pour combien de temps? [Mozaria]

Je déhambule les rues sans raisons... Je ne sais plus ou aller, ni quoi faire. Je suis perdue, abandonnée par celle que je prenais pour une déesse, qui n'etait autre qu'une manipulatrice, m'ayant amené a lui remettre un bijou, pour ensuite mieux m'abandonner. Seulement, mon coeur lui, est devasté. J'ai connu l'amour de cette déesse un bref instant, un instant sublime certes, mais tellement éphémere. Je la regrette, et la déteste en méme temps, Fiela, absente depuis de longues semaines, ne m'a laissé aucunes nouvelles, ni aucunes consignes. Depuis que je l'ai rencontré, je suis devenue dépendante, et soumise. Dans mon ancienne vie, nul ne pouvait me dire quoi faire, j'etais rebelle, tellement forte et fiére, mais aujourd'hui, plus rien n'est pareil.

Mes pas m'ont conduit dans ces ruelles... Sombres, Glauques, limites malfamées méme. Mais je n'ai pas peur, a quoi bon avoir peur quant on a rien a perdre? Les gens me regardent, me dévisages, comme si j'etais une ame errante. Ca doit étre vrai finalement. Mais tandis que je poursuit ma route, m"enfoncant de plus en plus loin dans la rue, un homme me suit, sans que je ne le remarque. Un homme aux idées pas trés net, qui va sans doute vouloir me coincer... Ici, pas d'echapatoire, pas de secours, c'etait plus la peine de compter sur l'arriver magique de ma maitresse... Tandis que mes pas et ceux de l'homme resonne dans la rue desertique, je pleure doucement, me resignant a subir ce que le violeur voudra me faire...

(court desolée, je debute toujouts trés mal)

Qu'est-ce qui avait attirée la sorcière dans les bas fonds, une réponse fort simple, mais compliquée pour les simples d'esprits. Elle était là car elle avait rendez-vous avec le destin, une maîtresse de la divination avait prédit qu'elle trouverait une belle perle qui la servirait. Mais il n'y avait pas que cela, elle devait trouvez une personne qui lui donnerait les gages qu'ils devaient, c'est à dire, un magnifique manoir, bien que un peu vieillot. Une ivrogne  tenta d'abuser de sa personne et en fit les frais, elle brisa un bras et une jambe, tout en susurrant au bandit avec un sourire cynique.

- La prochaine fois j'utilise ma magie et je te brise ta vie.

Elle pouviat sentir de par son statut de sorcière tout sorte d'essence magique, elle repéra justement un aura fort intriguant, une magie puissante qui semblait avoir chuté d'un coup comme si il était brisée. Par curiosité Mozaria suivit l'essence et vit un violeur fort banale essayer de capturer ce qui était devenue la proie de la sorcière, l'humain était d'ailleur celui qui lui devait les gages promit en échange d'avoir coucher avec. Au moment où la tension étati à son zénith, elle intervint, tels un chevalier  secourant sa demoiselle.

On pouvait voir dans cette action du cynisme de la part de la sorcière, qui savait pertinemment que cet humain était trop faible pour faire le moindre mal à une pratiquante de magie d'azur. Elle enlaça son bras autour du cou du violeur en lui murmurant une petite berceuse fort bien connut dans ce coin, la musique portait le mélodieux nom de "Vent de la Mort" Un musique qui annonçait un mort et dix seconde plus tard, elle utilisa le poignard du violeur contre lui, lui offrant une mort lente et douloureuse, sous le regard de Mozaria qui prenait un plaisir inhumains à le voir mourir.

- Quant tu seras de l'autre côté dit au chef de lieux que je vendrait le voir un jour, pour ... discuter.

Le pauvre humains mourut après les parole de la sorcière, qui fouilla le cadavre et trouva un papier qui était un acte de propriété de deux manoirs, l'un sur Terra et l'autre sur Terre. Elle vit la prêtresses et s'approcha avec douceur et silence, jusqu'à mettre ces deux mains sur ces épaules, juste pour prendre encore du plaisir à la voir éventuellement sursauter ou la regarder avec un regard suppliant.

- Et bien mademoiselle, il ne faut pas se promener ici, un type vous poursuivait, vous étiez au courant ? N'ayez crainte, je me suis occupé de lui.