Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Sous l'eau, le vice est invisible... [PV une jolie sirène]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Illunia

Avatar

La terre est une planète bien intrigante pour moi. Il y a des tas d'humains, qui semblent parfois étonnés de voir une démone se promener parmi eux. Mais cela ne me dérange pas, j'aime sentir leurs regards se poser sur moi. Bien souvent, ils regardent en premier les deux cornes qui s'enroulent de chaque côté de ma tête, et leurs yeux tombent ensuite sur la fine queue rouge, au niveau de mon postérieur. Ils s'étonnent de voir la forme qu'elle a au bout, une forme de coeur. Et ils prennent parfois peur quand ils comprennent que ce n'est pas un accessoire, que cette fameuse queue bouge toute seule. Mais je suis amusée de voir que certains sont plus vicieux. Malgré mon apparence qui peut surprendre, certains passent outre ça. Je sens les regards glisser tout le long de mon corps, épouser mes formes généreuses avec un plaisir qui se trahit souvent par un tressaillement de ma queue. Je sais que ma tenue, similaire au latex, qui laisse apparaître une partie de ma poitrine est assez tentatrice. Le joyau, bien entendu en toc, faisait parfois briller les regards des plus intéressés par l'argent, mais je les ignorais. Puis leurs pupilles croisaient les miennes, et dès lors que je leur faisait un clin d'oeil, en posant mon index ganté sur ma bouche, dans un geste paraissant si innocent, ils cédaient à la tentation de mon corps. Et ils n'étaient jamais déçus, certains en redemandaient encore et encore. Je leur faisais découvrir tellement de choses, ils devenaient accro à mon corps de déesse. J'avais pris cette vile habitude de les entraîner dans mes draps, de leur faire tellement plaisir qu'ils n'étaient jamais pleinement satisfait qu'après être passés dans chacune de mes chambres, qui toutes avaient un "thème". Grâce à moi, ils exploraient le monde de la luxure dans tous les sens, profitaient de tout mon savoir et en repartaient plus nymphomanes que moi.

J'aimais leur faire découvrir mon corps, mais aussi le leur. Leur apprendre la frustration, leur montrer ce que je savais faire avec ma langue, mes doigts, mon intimité. Les hommes comme les femmes, tous aimaient passer entre mes mains expertes, et les plus chanceux avaient l'opportunité de rejoindre mon harem. Ils pouvaient échanger entre eux tous les moments qu'ils voulaient, chaque pièce était libre d'accès. Sauf ma chambre, bien entendu. C'était comme une grande famille, mais une grande famille incestueuse. Ils pouvaient faire leurs propres jeux de rôles, et je m'ajoutais parfois à leurs parties de jambe en l'air pour pimenter le jeu. Quoi de mieux qu'avoir sa Maîtresse en tant qu'amante ? Ils aimaient que je satisfasse leurs désirs, à l'unique condition que ce soit réciproque. Ils devaient être à mes ordres, obéir sans jamais rechigner, et surtout répondre à toutes mes exigences sexuelles. Je n'étais pas difficile, et beaucoup d'entre eux étaient avides d'apprendre de nouvelles choses appartenant au merveilleux monde de la luxure. J'aimais leur faire découvrir de nouvelles failles de la débauche, et leur faire partager ma couche pour mon simple plaisir personnel. Mais ils ne s'en plaignaient pas, loin de là. Et aujourd'hui, j'étais venue sur Terre pour agrandir mon harem, ma famille. Les Terriens ne m'intéressaient pas, bien que certains d'entre eux soient de bons coups. J'avais essayé tout types de gens, et je dois avouer avoir été surprise plus d'une fois par des personnes que je ne pensais pas ainsi. Mes pas me conduisirent, comme par un instinct qui m'était encore inconnu, au nord de la ville. Mes yeux parcouraient les alentours, tandis que les mouvements de ma queue trahissaient un grand calme intérieur. Je découvrais une nouvelle partie de cette grande ville japonaise.

Mes prunelles se posèrent sur la douceur automnale des feuilles, qui commençaient peu à peu à joncher le sol. Cela donnait un petit air de princesse, comme si la nature m'offrait un tapis de feuilles mortes, afin de saluer l'arrivée de la Maîtresse sur Terre. En même temps, c'est ce que j'étais, dans un sens. La Maîtresse de mon harem, que je venais agrandir avec une nouvelle personne. Femme, homme, hybride ou humain, peu m'importait. Mais je devais d'abord l'essayer, et encore une fois j'avais laissé mes pas me guider d'eux-mêmes vers ma nouvelle rencontre. Peu à peu, en passant entre les chemins qui se croisaient et se recoupaient, j'arrivais à un petit coin tranquille. C'était assez joli, je trouvais même cela assez romantique. Et, en m'approchant un peu plus près, je découvrais la surface légèrement opaque d'un lac. Assez grand, et semblant profond, je commençais à me demander pourquoi j'étais arrivée là. Mes pas me guidaient rarement dans une mauvaise direction, mais personne ne semblait être présent ici. Alors je m'approchais de l'eau, ôtant mes longues bottes en cuir rosé, venant alors plonger mes deux jambes dans l'eau fraîche. Cela me fit du bien, je commençais à avoir un peu chaud sous cette couche de cuir qui collait à ma peau. Mais, rapidement, je ressortis mes membres de l'étang. J'avais senti, non-loin de mes mollets, un mouvement aquatique qui ne me rassurait pas. Cela semblait trop gros pour un simple poisson, et je savais que bien des créatures pouvaient peupler le monde sous-marin. Je ne voulais prendre aucun risque, j'avais besoin de mes deux jambes. Je restais cependant proche de l'eau, afin d'observer si quelque chose passait. Presque comme si je m'attendais à une réponse, je pris la parole avec une voix assurée, regardant la surface opaque de l'eau :

Qui est là ?

Je n'avais pas peur, bien au contraire. Mon instinct me disait que c'était ça, la raison de ma présence ici.

Lyli

Créature

Re : Sous l'eau, le vice est invisible... [PV une jolie sirène]

Réponse 1 lundi 29 octobre 2018, 10:11:53

Non... pas tout de suite... Attends encore un peu Sélène...

Entre le sommeil et le réveil, je murmure doucement au fond de l'eau quelques paroles, pendant que Sélène est allongée érotiquement contre moi. Ca c'est dans le monde onirique car dans la réalité je suis allongée dans un tapis d'algue, mon corps piégé dans ce rêve érotique avec Sélène, une elfe qui avait partagée ma longue nuit. Elle était la raison pour laquelle j'allais si souvent m'aventurer au lac du grand parc ces temps-ci, il était devenu un point de rendez-vous chaque semaines que je ne manquais jamais. Hier soir encore nous avions partagés beaucoup de moments intimes dans la faible lueur des lucioles, sur la berge, ou sous l'eau, nous avions encore fait des folies partout. Si bien que j'en rêvais encore jusqu'à ce qu'un bruit sur la berge ne me réveille. Ca pouvait paraitre anodin vu de l'extérieur mais comme le sons se propageait mieux dans l'eau et que mes sens étaient plus aiguisés dans celle-ci, ça avait eu le don de me tirer de mon léger sommeil.

Sélè... Mhhh ? Ah oui ce n'était qu'un rêve... elle est repartie sur terra après que nous... Mais plus important c'était quoi ce bruit ?

Je devais faire attention maintenant et rester discrète, me cacher au fond du lac jusqu'au soir. En journée, je n'aurais que peu de chance de regagner l'océan sans problème avec la chaleur encore assez élevée, je me voyais forcée d'attendre la fraicheur de la pleine nuit. C'était l'un des revers de la médailles lorsque l'on était une sirène, alors je devais bien faire attention à qui s'invitait dans le lac pour éviter les mauvaises surprises. Nageant vers la source des bruits, je découvre une silhouette retirant de longues bottes avant de plonger à l'eau. Comme ce n'était pas le genre de chaussure que les humains portaient habituellement cela me rendait curieuse et je m'avançais encore, pour essayer de démasquer cette femme, aux contours encore cachés par les aveuglants rayons du soleil. Juste un peu, juste encore un peu et elle n'y verra rien... Et mince, je crois que j'ai effleuré sa jambe, ça n'as pas loupé. Tant pis, je prends le risque, elle en sait pas encore que je suis une sirène de toute façon alors je sors la tête de l'eau avec un sourire radieux.

Dommage que tu ai retiré ces bottes, j'aimais beaucoup... Un instant, mes yeux s'éclaircissent devant cette superbe chevelure rose. Mais ce qui me captive se trouve à l'intérieur, une paire de corne qui me fait briller les yeux de curiosité. Je me redresse soudainement hors de l'eau pour aller les saisir et les caresser.

Waaaaaaaaaaaaaah ! Mais tu as des cornes, et ce sont des vrais... Alors ça veut dire que. Et effectivement, en jetant un oeuil par dessus son épaule je croire le regard avec une longue queue dont le bout est en coeur. Je la saisit pour la caresser affectueusement avant de me rappeler que ces appendices sont souvent sensibles, voir érogènes chez certains type de démon. Je la relâche donc très vite en m'excusant.Wah désolée mais c'est que... j'adore les démones, les succubes et tout ça ! Vous êtes vraiment des créatures magnifiques, et vous possédez tant de connaissance et d'ouverture d'esprit dans les domaines sexuels...

On aurait presque pu croire à une groupie ayant rencontré son artiste de rock préféré, mais en réalité cette admiration était du même ressorts que les humains ou autre créatures avaient à mon égards. Les sirènes étaient autant connu que les succubes pour leurs danger et leurs charmes.

Bon si t'es pas une humaine y a aucune raison de te mentir je vais tout de suite éclaircir tes doutes. Si tu ne m'as pas vu arrivé c'est parce que je suis une sirène. Tu vois, je suis bloquée ici jusque la nuit tombe... toute seule... Je fais mine d'entortiller une mèche dans mon index pour parraitre mignonne, comme si je lui demandais de briser cette solitude en la charmant. Alors c'est pas un problème si tu veux rester ici et continuer à te baigner ! Tu pourras me raconter qui tu es et d'ou tu viens. Je suis curieuse de savoir ce qu'une succube fait en ville... De nouveau, j'aventure mon corps dans l'eau, la faisant ruisseler sensuellement sur mes courbes, mes cheveux et mes lèvres humides. Aurait-elle envie de rester maintenant ?

Illunia

Avatar

Re : Sous l'eau, le vice est invisible... [PV une jolie sirène]

Réponse 2 lundi 29 octobre 2018, 11:20:38

Je ne craignais pas de me faire embarquer dans les fonds marins par la sublime créature qui sortit de l'eau suite à ma question. Elle était tout à fait le genre de femme que je voulais dans mon harem. Une jolie femme, aux cheveux courts, brun et paraissant tout à fait à l'aise dans l'eau. Pendant un instant, je me demandais comment elle avait pu arriver là, sans que je puisse m'en rendre compte. Mais elle avait un petit quelque chose, je ne saurais pas dire quoi, qui me disait qu'elle n'était pas comme toutes les personnes qui vivaient dans ce bas monde. Je laissais mes yeux parcourir son corps, sans aucune gène, me permettant de détailler son physique comme l'eau me le permettait. Intéressant... Une poitrine assez généreuse, mais loin d'être disproportionnée, une silhouette fine mais qui serait idéale pour être attrapée partout, et des gants roses qui couvraient la moitié de ses bras. J'en aurais bien fait mon goûter, ici et maintenant, mais pour l'heure je préférais laisser la jolie demoiselle parler, affirmant alors qu'elle aimait beaucoup mes bottes. J'esquissais un sourire, elle avait l'air dans le même état d'esprit que moi. Cette rencontre allait être intéressante, j'en avais bien l'impression. Elle aussi m'observa, et je la laissais faire. Je me savais désirable, et particulière. Ses yeux se figent alors sur les deux belles cornes qui ornent ma splendide chevelure. Brillantes, soignées, elles avaient le chic pour intriguer plus d'une personne. De façon assez soudaine, la jeune femme sort de l'eau habilement, venant s'approcher de moi. Ses yeux brillent d'un éclat curieux. Je devine ses doigts sur la surface dure de mes cornes, et je la laisse découvrir leur texture. Semblables à des cornes de rhinocéros, elles sont solides et pourraient sans peine lui casser la main si je faisais un mouvement trop brusque. Mais je n'en ai pas l'intention, je préfère me montrer docile et la laisser faire. Elle s'exclame alors, comme si elle comprenait tout juste ce que j'étais :

Waaaaaaaaaaaaaah ! Mais tu as des cornes, et ce sont des vrais... Alors ça veut dire que. Wah désolée mais c'est que... j'adore les démones, les succubes et tout ça ! Vous êtes vraiment des créatures magnifiques, et vous possédez tant de connaissance et d'ouverture d'esprit dans les domaines sexuels...

Ses doigts, lorsqu'ils s'étaient posés sur ma queue, m'avaient procurés un effet électrisant. En effet, car ce membre était, contrairement à mes cornes, un endroit assez sensible. C'était comme si elle venait de commencer à caresser une zone érogène, car il faut bien l'admettre, c'en était une. Je posais, presque par réflexe, mes mains sur ses hanches. Sa peau était douce, comme du velours. Elle avait l'air d'une gamine venant de rencontrer son idole, ou quelque chose comme ça. Cela pouvait se comprendre, sa réaction, et je ne lui en voulais pas. Une légère moiteur entre mes cuisses m'apprit qu'en effet, je n'allais pas partir d'ici sans en avoir fait une partenaire sexuelle. Son compliment à l'égard de notre ouverture d'esprit me fit doucement sourire lorsque je fis le rapprochement avec mes dizaines de chambres. J'aimais tout essayer, découvrir de nouvelles choses et partager mon savoir. Et j'avais comme l'impression que j'allais encore en apprendre des tas avec elle. Je ne savais toujours pas ce qu'elle était, cependant, et j'avais une irrésistible envie de le savoir. Après tout, elle avait découvert ma nature, mais j'ignorais encore tout d'elle. Elle sembla le comprendre, parce que rapidement elle vint effacer mes doutes avec une simple confidence. Je ne l'avais pas vue arriver parce qu'elle était une sirène. Ceci expliquait cela, elle devait alors été là avant que j'arrive, tout simplement. Elle m'expliqua ensuite sa situation, étant bloquée ici toute seule. Je lui trouvais un petit charme qui me donnait envie de lui sauter dessus tout de suite. Elle faisait mine d'être innocente, mais rien qu'à voir son savoir sur les succubes de mon genre, je savais qu'elle ne l'était pas. Elle me proposa alors de rester, finissant par me demander de lui parler de moi. Savoir d'où je venais, ce que je faisais ici.

Elle s'éloigna ensuite, retournant dans son élément. L'eau glissait sur ses courbes, donnant à son corps une dimension bien plus perverse. Mes pieds la suivirent, presque d'eux-mêmes, pendant que mes yeux ne la quittaient pas. Elle était tout à fait à l'aise dans l'eau, et moi je me débrouillais assez pour aller nager avec elle. Cependant, je brisais rapidement la distance entre nous pour coller ma poitrine contre son dos. Elle m'avait aguichée, elle devait en payer les conséquences, et mon petit doigt me disait qu'elle n'allait pas dire non. Mes doigts glissèrent tout doucement sur ses hanches, plaquant ainsi tout son corps contre le mien. Je commençais, doucement, à caresser son ventre de bout des doigts, en faisant de petits cercles de ma main droite. L'autre la maintenait toujours contre moi, glissant lentement sur sa cuisse. Ma bouche se rapprocha de son oreille, je voulais bien lui raconter ce que je faisais là. Mais je comptais bien m'occuper un peu d'elle en même temps. Et voir si la jolie sirène savait concentrer son attention sur deux choses à la fois, ou si elle était bien trop perverse pour m'écouter. Mes ongles glissaient doucement sur son ventre, remontant parfois juste sous sa poitrine. J'avais toujours pieds, donc je n'avais aucun mal à rester à la surface. Et, finalement, ma main gauche s'agrippa à sa cuisse doucement. J'avais serré légèrement mes doigts au niveau de l'intérieur de sa cuisse, sans lui faire mal, mais assez fort pour qu'elle ne puisse pas se sauver. Je prenais les choses en main, comme on dit, et j'allais m'amuser avec la créature aquatique. Elle voulait découvrir les succubes, en apprendre plus sur moi, elle l'avait dit elle-même. Mes lèvres frôlèrent lentement son oreille, tandis que ma main continuait son petit jeu sur son ventre. Puis je pris la parole, assez calmement :

Je viens de Terra, et j'étais ici pour rechercher certaines personnes... Et je t'ai trouvée...

Finalement, ma main s'aventura sur son sein, le palpant et le malaxant. Elle avait une poitrine parfaite, comme le reste de son corps. Je voulais la faire mienne, m'envoyer en l'air avec elle autant de fois que nécessaire pour la convaincre de me rejoindre. Mes doigts finirent, inévitablement, par venir pincer son téton. Je guettais ses réactions, continuant ma torture sur sa poitrine. Et ce n'était que le début...

Lyli

Créature

Re : Sous l'eau, le vice est invisible... [PV une jolie sirène]

Réponse 3 lundi 29 octobre 2018, 20:17:16

Les succubes sont des créatures entreprenantes c'est un fait, mais de là à venir prendre l'initiative sur mon corps dans l'eau... dans mon propre milieu, celui ou je contrôlais d'habitude toujours tout... Il fallait quand même une sacrée dose d'audace. Ce n'est pas comme si je lui avait caché pourtant, elle était bel et bien consciente qu'elle tripotait une sirène. Intéressant, j'aurais pu l'attirer au fond de l'eau tout de suite, mais sa prise de risque méritait au moins bien de la laisser découvrir un peu mon corps. D'ailleurs, cherchait-elle à jouer un rôle ou la succube était vraiment une créature qui aimait dominer ? Par sécurité, je ne sortirais pas de l'eau pour vérifier... juste au cas ou.

Tu n'as vraiment peur de rien belle succubes... n'as tu jamais entendu ces histoires ou les vilaines sirènes noient leurs proies après leurs dernier orgasme ?

Je n'étais bien sure pas de celle-ci heureusement pour elle, ni même l'une de ces sirènes qui dévoraient leurs proies. Non, je n'étais qu'une sirène en quête de luxure et de liberté, si bien qu'ont m'avait déjà toisé du nom de " succube des mers " à diverses reprises. Un surnom bien amusant, mais qui ne me déplaisait pas. Pour le moment la succubes des mers que j'étais se laissais faire juste pour voir jusqu'ou la démone irait. Ca commençait lentement avec de petites caresses jusqu'à ce qu'elle me coince la cuisse d'une main, me coupant toute retraite. Oh alors elle voulait jouer au jeu de la capture ? Mais j'allais lui faire lâcher prise moi, j'avais déjà repérer l'une de ses points faibles. Avant de me libérer je pouvais cependant bien profiter de quelques doux instant à me faire masse la poitrine de manière érotique. J'aimais son doigté, et je ne l'aimais que d'avantage à l'intérieur de ses gants de cuir. Ses gouts vestimentaires étaient excellents et maintenant qu'elle avait mis les pieds dans l'eau avec elle ne devrait pas compter sur moi pour que je la laisse sortir. Elle les garderait sur elle jusqu'à ce que je les enlèves lentement de mes propres mains, hi hi ! Oui, je ne portait aucun autre vêtements que des dessous mais j'aimais beaucoup les textiles humains, je trouvais certaines tenus très gracieuses et excitantes. Tant pis pour elle si elle les mouille maintenant.

En parlant de mouiller je sentais une certaine humidité émanée d'entre mes cuisses, autre chose que de l'eau. Mes tétons réagissaient aussi sans se faire prier entre les doux doigts de la succube, se durcissant et enflant pendant que je me commençais à lentement frotter mon dos contre son buste. Elle aussi avait bien le droit à un peu de caresse, d'ailleurs son corset semblait un tout petit peu chaud à l'intérieur, comme si la chaleur l'avait déjà rendu un peu plus moite.

Tu m'as trouvé hein ? Je sais pas ce que tu veux de moi mais... une sirène ça se mérite ma belle.

Rester prisonnière contre son corps ok, mais restée à ne rien faire et seulement profité hors de question. Je voulais lui montrer que je savais répondre aux attentes même dans cette position captive. Alors mes fesses ainsi que mon sexe féminin se frottait à l'une de ses belles cuisses en simulant de petit gémissements gourmand. Je me léchais même les lèvres pendant ces déhanchés sur sa cuisse et sa poitrine.

Mais tu sais, tu ne vas pas me garder en place très longtemps belle succube.

Car mes deux mains étaient encore libres et de nos position il n'était pas très difficile de tirer mes bras vers l'arrières pour aller les poser sur ses fesses. C'est qu'elle avait de belles formes la créature des enfers ! C'était très plaisant de les masser avant de passer aux choses sérieuses. Dans un petit rire, je me resserre vers le milieu, m'approchant de son anus et... Pouf, en un instant je saisi délicatement la bases de sa queue à deux mains. Je l'avais bien compris, il s'agissait d'une zone très érogène et je comptais bien lui faire lâcher prise grâce à cette appendice je commençais à caresser d'abord tendrement.

Aller ma belle lâche prise... je suis sure que même une succube comme toi n'as jamais partagée ses draps avec une sirène... je vais te montrer les sensations qu'ont peut éprouver à faire l'amour sous l'eau... Tu apprendras de nouveaux jeux vicieux dont tu ne te doutais même pas...

Les petites caresses se transforment bientôt en ce qui ressemble à une masturbation. Du mieux que je le pouvais de ma position, je masturbais littéralement sa queue de démone comme s'il s'agissait d'une verge, toujours en ondulant contre son corps...

Illunia

Avatar

Re : Sous l'eau, le vice est invisible... [PV une jolie sirène]

Réponse 4 vendredi 02 novembre 2018, 22:57:35

Je savais exactement ce que je faisais. Mes doigts s'amusaient sur son corps, appréciant les réactions que je procurais à la belle sirène. Je sentais, sous ma main gantée, ses tétons se tendre et gonfler, preuve que mes petites caresses ne lui déplaisaient pas. Au contraire, à en sentir les actions de tout son corps... Elle prit la parole, affirmant que je n'avais peur de rien, et évoquant alors les légendes parlant de sirènes qui attiraient leurs amant(e)s au fond de l'eau après leur dernière partie de jambes en l'air. Cela ne m'effrayait pas, j'avoue que j'étais curieuse d'en découvrir plus sur cette belle sirène. Elle n'avait pas l'air d'être ce genre de créatures, mais plutôt de celles qui les laissaient remonter pour leur laisser le loisir de revenir un jour profiter d'une bonne baise. Et je pensais ne pas me tromper, rien qu'à sentir son corps se frotter contre le mien. Sentir son dos faire de tels mouvements contre ma poitrine, qui n'était couverte que par du latex, c'était absolument plaisant. Je sentais bien que mon être entier réclamait d'en sentir plus, encore plus et toujours plus. Mes propres seins commençaient à se sentir à l'étroit dans ma tenue, qui glissait légèrement sous l'effet de ses mouvements. Si je ne pointais pas autant, cela ferait sans doute longtemps que mon corset aurait glissé le long de mon corps. Mes doigts tirèrent alors d'un coup, assez sensuellement, sur ses petits bouts de chair roses, tendus sous l'effet de mes caresses. Je laissais mes mains s'amuser, l'une continuant de martyriser ses seins tandis que l'autre commençait à s'aventurer dans l'intérieur de ses cuisses. J'avais bien envie de découvrir un peu son intimité, la rendre folle d'envie, même si cela n'était pas bien loin d'être le cas. Mes doigts commençaient, par de lentes caresses, à s'approcher de sa fleur d'amour.

Tu m'as trouvé hein ? Je sais pas ce que tu veux de moi mais... une sirène ça se mérite ma belle. Mais tu sais, tu ne vas pas me garder en place très longtemps belle succube.

En prenant la parole, elle commençait elle aussi à jouer. S'amuser, en frottant son intimité contre ma cuisse. Je sentais alors mes doigts s'en éloigner, et c'est avec une envie grandissante que je décidais de porter ma seconde main au même endroit que la première, pour continuer de malaxer sa poitrine. Elle était aussi émoustillée que moi, et je sentais contre ma cuisse un liquide plus chaud qui s'écoulait de son corps. Elle mouillait, et cela ne m'étonnait même pas. Elle avait l'air d'une sacrée cochonne, et quelque chose en moi m'affirmait que j'avais bien raison. Elle frottait cette partie si sensible d'elle contre moi, et j'avais même légèrement plié le genou pour lui rendre les choses plus faciles. Elle glissa alors, de façon assez rapide, ses bras dans mon dos. J'avais été surprise, tellement concentrée dans mes tripotages, j'en avais presque oublié de tenir ses bras. Elle posa alors ses mains sur mon postérieur, lui offrant un massage dont je profitais tout en lui rendant autant de douceur. Elle rapprocha alors peu à peu ses mains de mon trou de balles, et j'ai un instant cru que mes jambes allaient défaillir. Elle venait d'attraper ma queue démoniaque à la base, avec ses deux mains. Je ne cachais pas mon gémissement de plaisir, serrant subitement sa poitrine entre mes mains latexées. Elle avait trouvé mon gros point faible, et je sentis alors que j'allais finir par craquer. Elle la caressait avec douceur, me faisant alors frissonner de plaisir. Mais aussi de désir. J'avais envie de l'attraper dans tous les sens, de la laisser m'entraîner sous l'eau aussi longtemps qu'elle le désirerait. Et, justement, je sentais que je n'étais pas loin d'accéder à mes désirs les plus enfouis. Elle pris la parole, se mettant à caresser ma queue comme s'il s'agissait d'une belle verge gorgée de désir :

Aller ma belle lâche prise... je suis sure que même une succube comme toi n'as jamais partagée ses draps avec une sirène... je vais te montrer les sensations qu'ont peut éprouver à faire l'amour sous l'eau... Tu apprendras de nouveaux jeux vicieux dont tu ne te doutais même pas...

Comme si elle m'avait envoutée, j'obéissais à ses demandes. Ma main glissa entre ses cuisses, deux doigts s'enfonçant dans son antre. J'avais envie de lui rendre son plaisir, et c'est ainsi que je me mis à enfoncer mes doigts aussi loin que possible dans son corps. Ensuite, je les retirais et les remis, faisant des vas et viens avec envie. Ma queue frissonnait de plaisir, et cela se traduisait dans la lenteur de mes gestes. Je voulais la faire languir, lui rendre le plaisir qu'elle me donnait aussi longtemps que possible. Finalement, j'enfonçais mes doigts dans son antre un peu plus profondément, les laissant là. Je fis alors des ronds à l'intérieur, caressant les parois de son vagin avec délicatesse. Je vins mordiller son cou, y faisant un merveilleux suçon, bien rouge. Puis je murmurais à son oreille :

Je serais ravie d'apprendre de nouvelles choses, belle sirène... Je suis toute à toi...

D'habitude, j'aimais dominer et partager mon savoir. Mais, pour une fois, je comptais me soumettre et apprendre de l'enseignement de ma sirène.

Lyli

Créature

Re : Sous l'eau, le vice est invisible... [PV une jolie sirène]

Réponse 5 dimanche 04 novembre 2018, 12:23:39

Ses capacités tactiles ne sont pas celles d'une débutantes, la succubes a parcouru le corps de nombreux amantes te amantes c'est une certitudes. Je me demande alors combien ont succombé, combien sont devenus fou de plaisir en sentant les gants recouvrant ses mains caresser leurs parties les plus intimes. En les imaginant saisir une verge et en faire le pantin de ses désirs entre ses doigts le plaisir montait, oh comme j'avais hâte de lui montrer ma capacité d'hermaphrodite, j'aurais l'occasion de voir comment elle est capable de s'occuper des deux sexes... un pur bonheur ! Mais pour l'instant c'est bel et bien mes seins qui étaient capturés dans ses assauts. Je pointais déjà avec fermeté, peut-être même plus que ceux de la succubes qui se forgeait une place dans son corset en cuir. Quel dommage, de ma position je ne pouvais les saisir, je ne pouvait qu'y frotter mon dos en me pinçant la lèvre inférieure entre mes dent, imaginant ce que je pourrais lui faire en une meilleure position.

Je serais ravie d'apprendre de nouvelles choses, belle sirène... Je suis toute à toi...


Ces mots furent comme un déclencheur et alors que je laissais un cri envoutant et suaves s'échapper de mes lèvres, en sentant ses mains gantées stimuler le fond de mes parois intimes, mes deux mains tiraient d'un coups plus violent sa queue de démone, comme si celle-ci était le clé de sa jouissance. Je la tirait vers l'arrière d'une seule main alors que l'autre remontait pour caresser sa chevelure rose. J'aurais voulu rester ainsi à la laisser me mordiller, capturée entre ses bras mais... elle venait de lâcher du leste, de me dire que j'étais tout à elle... Alors je ne peux résister à l'envie de tirer assez fort sur sa queue pour qu'elle me lâche, et que je puisse me blottir contre elle, face à face. Poitrine contre plus poitrine, il est déjà plus plaisant de s'y frotter qu'en utilisant le dos comme précédemment.

Alors prends ton souffle belle succube.

Puis je m'enfonce dans un baiser langoureux tout en agitant mon buste contre le siens, pendant que je nous dirige lentement sous l'eau. Progressivement nous sombrons, mais en restant proche de la surface tout d'abord pour l'habituer. Je n'y reste que quelque seconde avant de remonter et de couper ce baiser langoureux lors duquel ma langue tournoya avec la sienne. Un léger filet de salive relie nos langues et s'étale sur sa poitrine pour démontrer à quel point j'ai été gourmande. Mon regard est intense puis je disparais sous l'eau avec un sourire pour remonter par derrière et la saisir de la même manière qu'elle l'avait fait plus tôt.

C'est mieux si on inverse les rôles non ? Toi avec ta queue, tu peux toujours me stimuler même prisonnière de mes bras...

Et c'est cette fois-ci le grand plongeon. Toutes les deux étalées comme des feuilles, nous sombrons au fond du lac, à la seule différence que je n'ai moi pas besoin de retenir ma respiration. Mais le fait qu'elle soit en apnée ne me fera pas accélérer le rythme ni même me presser, au contraire, je comptais bien prendre mon temps, de toute façon je pouvais subvenir à ses besoins d'air même au fond de l'eau alors aucun soucis à se faire. Je pouvais me concentrer sur cette fabuleuse descente lors de laquelle je pétrissais avec amour sa poitrine, avec une main. Je pouvais enfin tirer sur ses tétons dur, les pincer tout en malaxant généreusement sa poitrine moelleuse. Maintenant que l'eau avait mouillé son corset, le cuir était en plus d'avantage moulant, se resserrant contre sa peau.... s'en était que plus divin. De l'autre main, je caressais ses cuisses avec une certaine tendresse et lenteur, voguant le bout de mes doigts entres celles-ci.

Je ne connaissais pas ses capacités en apnée mais entres quelques bisous sur sa nuque et le creux de ses épaules, je lui susurrais à l'oreille la douce promesse d'un plaisir infini, d'une voix envoutante.

Tu vas sentir l'excitation grandir... grandir encore et encore au fur et à mesure que l'oxygène s'envolera... Ta perception ne sera plus la même, l'adrénalyne boostera ton plaisir et t'offrira un orgasme puissant, ma succube chérie...

Cet douce promesse ne vient pas seule, et alors que ma main dérape sur sa queue pour la caresser tendrement et me demander ce qu'elle allait en faire pour me donner du plaisir... je dérape finalement sur son intimité et y glisse l'index tout le long. Si ce doigt-ci tournoie sur son clitoris avec douceur, le majeur lui s'ancre sans retour arrière à l'intérieur de ses lèvres, et s'y agite...

Illunia

Avatar

Re : Sous l'eau, le vice est invisible... [PV une jolie sirène]

Réponse 6 mercredi 14 novembre 2018, 14:17:39

C'était une vilaine sirène que j'avais avec moi. Elle me caressait la queue, source d'un plaisir non négligeable, mais je lui rendais bien la pareille. Enfin, au niveau du plaisir. Je jouais sur sa poitrine mais aussi dans son sexe, le pénétrant de mes doigts habiles pour la caresser de l'intérieur. Elle appréciait ça, je le sentais, mais elle voulait sans doute autre chose. Elle tira alors sur ma queue, la douleur se transformant en plaisir. Je la lâchais légèrement sous le coup de la surprise mêlée à l'envie. Elle était expérimentée, cela se sentait, mais je voulais en apprendre encore et encore plus. Elle se tourna alors, se mettant ainsi face à moi, collant tout son corps au mien. Et le pire c'est qu'elle commençait à se frotter, faisant monter en moi l'excitation comme la pluie dans le pluviomètre lors d'intempéries. Elle m'intima alors de prendre mon souffle, ce que je fis sans hésiter. Elle m'embrassa alors langoureusement, et je répondis à son baiser avec autant de fougue qu'elle. Elle se frottait toujours, la coquine, et nous enfonçait peu à peu dans l'eau. Je ne lâchais pas ses lèvres, comprenant alors pourquoi je devais prendre mon souffle. C'était une grande première pour moi de le faire dans l'eau, mais cela ne me dérangea pas. Elle éloigna alors sa bouche de la mienne, nos langues se quittant. Je retenais toujours mon souffle, avec facilité. J'étais une démone après tout, j'avais une endurance plus accrue qu'une humaine, et cela se voyait bien. En quelques secondes, elle s'était éloignée et je la sentis revenir se coller à moi, mais par derrière. Elle se tenait contre moi exactement comme je m'étais positionnée avec elle avant, et je sentais que j'allais pouvoir m'amuser. Je n'avais pas peur de me noyer, la sirène me permettrait de survivre, j'en étais persuadée. Alors elle pris la parole :

C'est mieux si on inverse les rôles non ? Toi avec ta queue, tu peux toujours me stimuler même prisonnière de mes bras...

Et nous plongions pour la descente ultime. Je n'avais pas peur, j'avais hâte de découvrir ça. On glissait doucement vers le fond de l'eau, je ne bougeais pas et je ne disais rien. J'avais, je ne sais pas pourquoi, confiance en cette sirène qui allait me faire vivre une partie de jambes en l'air mémorable. L'eau serrait ma tenue, elle en profita même pour venir malaxer mon sein avec une main, torturant mes tétons. Je me retenais de gémir, mais mes grimaces parlaient pour moi. J'en avais envie, vous n'imaginez pas à quel point. Ses doigts se promenaient sur mes cuisses, avec une tendresse qui me surprit, mais sans jamais satisfaire mon envie qu'elle me pénètre de ses doigts. J'aurais voulu lui demander, mais je ne pouvais pas. Elle était maline, elle jouait avec moi et le pire c'est que j'adorais ça. Ma cyprine coulait sur mes cuisses, je savais qu'elle le sentirait, mais je m'en foutait. Elle m'embrassa alors, la nuque et le cou, et alors je laissais échapper un gémissement. L'air manquait un peu dans mes poumons mais j'en avais assez pour tenir encore un moment. Elle prit la parole, dans mon oreille, susurrant de sa voix de sirène :

Tu vas sentir l'excitation grandir... grandir encore et encore au fur et à mesure que l'oxygène s'envolera... Ta perception ne sera plus la même, l'adrénalyne boostera ton plaisir et t'offrira un orgasme puissant, ma succube chérie...

En parlant, sa main alla se poser sur ma queue caudale et la caressant. Je me tortillais légèrement, sous le coup du plaisir. Elle savait ce qu'elle faisait, elle était vraiment une déesse du sexe. Et, rapidement, je sens son index se glisser sur la totalité de ma fente. Je ne pus m'empêcher de laisser ma tête tomber en arrière, sous le plaisir qu'elle me procure. Elle le fait tournoyer autour de mon bouton de rose, qui est bien sensible, alors que son majeur j'enfonce en moi pour s'y abandonner en des vas-et-vient qui me font tourner la tête. C'est tellement bon de faire ce genre de choses sous l'eau... Pour ma part, je venais titiller son entrée avec le bout de ma queue. Je ne faisais que la frôler, la faisant languir, mais rapidement ce petit jeu m'ennuya. Alors j'appuyais légèrement sur sa vulve, la pointe de ma queue venant légèrement se glisser en elle sans aller très loin. La forme n'était pas idéale pour se loger dans l'intimité d'une femme, mais je sus ce que j'allais faire. J'attrapais, avec ma queue, une herbe non loin. Rigide, assez grosse, elle serait parfaite. Je l'agitais un peu dans l'eau pour la nettoyer des saletés, avant de l'enfoncer vivement dans l'antre de la sirène. c'était donnant-donnant, et je faisais de mon mieux pour lui procurer du plaisir. Ma queue agitait l'herbe dans sa chatte, le bout de cette fameuse herbe venant de temps à autres chatouiller son clitoris. Mais, malgré tout, je restais soumise à elle, et je lâchais un gémissement qui vida mes poumons...


Répondre
Tags :