Make a Bimbo out of Me... [PV]

Sarah Hopkins était une femme à la carrière brillante. Sortie de hautes-études en commerce international, c’était une femme active et intelligente, qui ne jurait que par ses propres performances professionnelles. En d’autres termes, elle était très douée en affaire ; au point où elle fut recrutée dans une très grande entreprise après quelques années. Sarah avait fait ses preuves et elle était devenue ni plus ni moins qu’une importante directrice ! Avec un tel parcours, on ne pouvait que lui trouver des qualités et des éloges ... A quelques détails près. Si professionnellement elle était réussite, et si même intellectuellement elle était très bien lotie, il demeurait un point sur lequel Sarah était très en retard.

Le social. En effet, elle n’avait jamais vraiment eu de réelles expériences en la matière. Non pas qu’elle était asociale ... Mais, le plus simple aurait été de dire que de par son implication dans ses études autrefois, de par son sérieux qui lui avait permis d’être aussi instruite et bonne élève, Sarah avait dû sacrifier sa vie sociale. Ce qui eut pour résultat qu’elle était assez fermée aux autres, et qu’elle ne ressentait pas spécialement le besoin de faire le premier pas. Pas beaucoup d’amis, très peu fêtarde, Sarah cumulait ces petits défauts par-dessus un qui était là depuis sa naissance. Ce n’était pas un défaut en soi mais, il avait parfois porté préjudice à la jeune femme. Dans un milieu où les apparences comptaient plus que tout, Sarah ne pouvait rivaliser avec ses collègues féminines.

Elle était, physiquement, banale. Ni laide, ni belle. Pour elle cela n’avait jamais été un problème mais dans ce monde de concurrence, si ce n’était pour sa grande intelligence et ses excellentes compétences, elle n’aurait jamais pu faire son chemin. Ceci étant dit, tout s’apprêtait à changer. Tout était venu si subitement, si soudainement. Elle n’avait rien vu venir ... Ou du moins, n’avait pas prêté assez attention. Car quand elle s’était rendue chez un futur partenaire commercial, elle ne fut pas plus étonnée de voir que la réalité était différente de l’image qu’elle s’était faite de cette entreprise. Lors de ce voyage d’affaire, Sarah devait se rendre chez un club extrêmement réputé ; un établissement de luxe, où les plus fortunés se donnaient rendez-vous la nuit pour y passer les fêtes et les soirées les plus extravagantes du pays, et le jour pour afficher toute leur fortune dans un bar branché, où le soda pouvait frôler le prix à deux chiffres.

Sarah était sur le point de répondre à un appel d’offre des plus juteux qu’il soit pour son entreprise. C’était l’affaire du siècle. Un partenariat exclusif avec ce club, qui permettrait de générer des bénéfices conséquents. La visite aurait dû se passer normalement ... Mais, ce ne fut pas le cas. Sarah aurait dû avoir la puce à l’oreille quand dès son arrivée, elle se rendit compte que le club n’était pas dirigé par un homme ou une femme, mais par un groupe ! Un groupe d’associées. Mais, cela n’avait pas suffi à l’alerter. Cela n’avait pas suffi à lui faire éviter le pire. Après toute une journée de visite, de formalités professionnelles, Sarah s’apprêtait à repartir avec le précieux contrat en poche mais, il n’aura fallu qu’une seule minute d’inattention pour tout faire échouer. Malencontreusement, la directrice laissa trainer ses oreilles à la sortie du dernier meeting avec les associées dirigeant ce club.

Ce qu’elle entendit lui fit froid dans le dos ; Sarah s’apprêtait en réalité à passer un contrat avec un groupe de malfaiteurs. Ces femmes utilisaient leur club comme façade pour effectuer toutes sortes d’activités illégales et immorales comme la prostitution organisée, le trafic de drogue, et pire encore. Horrifiée par cela, Sarah tenta de garder son calme malgré tout mais, fut débusquée par l’une des associées qui l’avait surprise en train d’écouter. La suite ? Un trou noir. Sarah se rappela uniquement d’un poids qui se plaqua à son dos, puis d’une main puissante puis colla un chiffon puant le chloroforme. Sarah s’évanouit. Il se passa un certain temps, pendant lequel ses souvenirs s’étaient envolés. Elle ne se rappelait plus de grand-chose quand elle finit par se réveiller.

Son réveil fut cependant perturbé quand Sarah découvrit, avec horreur, qu’elle était attachée à une chaise et bâillonnée ! « HMPF ! » Meugla-t-elle au travers son bâillon, s’agitant sur sa chaise, tentant de se libérer en vain. Ses yeux balayèrent la pièce à droite et à gauche. Elle parvint à une effroyable conclusion ; elle venait d’être enlevée ... Et enfermée dans une sorte d’antichambre remplie d’étranges armoires et accessoires. Elle se mit à paniquer, à gémir, craignant pour sa vie. Qu’allait-il donc lui arriver ? Qu’est-ce que ces femmes allaient bien lui faire ? Et surtout, comment allait-elle parvenir à s’échapper d’ici et dénoncer ce qui se passait ici ?

Pour le moment la réponse n’était pas évidente. Sarah était fermement attachée à une chaise et elle était bâillonnée. Etrangement, on lui avait retiré ses chaussures et son tailleur, ne la laissant qu’en chemise, jupe et collants ...

Protagonistes du groupe [NSFW] :

- Cindy
- Audrey
- Jade
- Amélie

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Il était vendredi après-midi, le club allait bientôt ouvrir ses portes. Mais juste avant, la visite d'une représentante d'un grand groupe américain allait venir afin de conclure un partenariat. Cindy, la présidente du CLUB était dans ses bureaux. Le téléphone sonna :

« Oui ?
- Salut Cindy, la femme est à l'entrée, je peux la laisser rentrer ?
- Oui oui, vas-y, je vais m'en occupé. Merci Amélie. »

Cindy, habillée sobrement d'un tailleur, d'une jupe et d'une jolie chemise, ne cachant pas du tout son énorme poitrine, s'approcha de la porte de son bureau. Elle ouvrit la porte et vit au fond du couloir la jeune commerciale approcher. Elle la fit entrer à l'intérieur afin de discuter de leur arrangement.

Une bonne heure et demie passa, et la porte se rouvrit. Cindy serra la main de la jeune femme et lui souhaita bon retour. Croyant à ce moment là, qu'elle ne la reverra plus de si tôt. La jolie blonde ferma derrière elle et se dirigea vers un escalier. Elle le descendit et se retrouva face à une autre porte. Elle l'ouvrit, mais ne ferma pas derrière elle, laissant la porte entrouverte. Elle se dirigea alors vers le club en lui même. Deux filles étaient assisent sur un sofa.

« Bon les filles, la coincée est partie. Elle ne se doutera de rien.
- Aaah ! J'ai vraiment cru qu'elle allait tout cafeter celle-là.
- Non, à vrai dire je ne suis même pas sûr qu'elle sache quoi que ce soit de tout ça.
- Quoi ? Du club ? Ou de la pièce de torture ?
- Aucune des deux et de tout ça. T'inquiètes. Bon et pour ce qui est de la drogue, on a reçu ce qu'il fallait, les chinois ont bien livré ce qu'ils nous devaient ce matin ?
- Oh oui ! Toute la drogue, ainsi que les piqûres de métamorphose sont dans la pièce de torture, comme d'habitude.
- Super, je ... »

Mais à ce moment là, les trois filles entendirent un bruit sourd derrière elles, venant plus précisément de derrière la porte. Cindy resta immobile, s'apprêtant à voir quelqu'un apparaître, les deux filles avec elle, avaient déjà sorti deux P250 et étaient prêtent à faire feux.

« Du calme, du calme ! C'était juste la coincée qui voulait nous faire un petit coucou. » dit Amélie qui surgit de l'angle d'un mur.

En effet, la jeune femme apparût avec la jeune commerciale, un bout de tissu collé à son visage.

« Elle écoutait à la porte et allait s'en aller. Heureusement que j'étais là, parce que ce que vous disiez avait l'air de l'intéresser. » dit-elle en la trainant à présent sur le sol.
« Putain c'est ma faute, j'aurai dû me méfier un peu plus de cette salope ! » dit Cindy en se rapprochant du corps. « Procédure habituelle. Tu me l'amènes dans la chambre de torture, on va devoir s'occuper de celle-là aujourd'hui les filles.
- YES ! » crièrent de concert toutes les filles du groupe.

Pendant quelques minutes, Amélie installa Sarah sur une chaise, avant de l'attacher et de la ballonner. Cindy, ainsi que Jade et Audrey s'occupèrent de l'ouverture du club. Elle demanda à leurs employés de ne pas les déranger pendant une durée indéterminée. Mais de toute façon, le groupe allait se relayer à l'intérieur de la chambre. Afin de pas paraître trop suspect et que les filles puissent s'amuser et gérer le club à leur convenance.

Plusieurs clients arrivèrent, le club se remplit assez vite, Cindy allait s'occuper de Sarah la première. Elle entra dans la pièce et alluma le projecteur qui était diriger droit vers la commerciale.

« Alors, on a bien dormi ? » dit-elle en ricanant légèrement. Elle s'avança et agrippa ses cheveux et les tira en arrière. « Putain, ce que t'es moche ! » dit-elle en lui crachant au visage. « Mais heureusement pour toi, je vais m'occuper de tout ça. Parce que comme tu peux le voir ici, c'est pas une pièce comme les autres. Pour faire bref, on va appeler ça, la pièce d'une nouvelle vie ! » dit-elle en s'écartant du milieu de la pièce. Cindy était habillée différemment de tout à l'heure. A présent, elle était vêtu d'un large manteau, cachant tout son corps.

« Normalement je ne m'occupe pas des cas comme toi. Mais ce qui me dérange, c'est que tu as vu et surtout entendu des choses que tu ne devais pas savoir. Alors ... » dit-elle en enlevant son manteau, laissant apparaître son corps tout entier. Elle était seulement habillée d'un juste au corps en filet, laissant apparaître toutes ses formes, ainsi qu'un énorme pénis. Cindy se rapprocha de Sarah. « Comme tu peux le voir, j'ai eu quelques transformations ici et là sur mon corps. Et je compte en faire de même pour toi. Mais avant. » dit-elle en déchirant le chemise de Sarah, ainsi qu'en enlevant sa jupe. Elle retira ensuite son soutien-gorge et sa culotte. « Je veux profiter de toi, j'ai vraiment besoin de me soulager. »

Elle rapprocha son visage du sien et lui lâcha un baiser. Sa main baladeuse, commença à lui caresser le peu de poitrine que Sarah avait. Ensuite, sa main vint descendre jusqu'à son sexe, elle commença à le caresser délicatement, avant d'enfoncer trois doigts d'un coup. La bite de Cindy commença à grandir, toujours collée à son ventre, elle atteignit à présent ses deux énormes seins et se retrouva entre eux deux. Elle se baissa et s'accroupit face au vagin de Sarah. Elle approcha son visage et commença à lui lécher le sexe. Sa langue très longue et humide caressait le clitoris de la jeune femme avant de rentrer dans son vagin. Pendant plusieurs minutes, Cindy s'occupa de Sarah de cette façon.

Cindy se releva et retira son pénis de son juste au corps. Elle le pointa vers Sarah, elle se branla quelques secondes et du sperme jaillit de son énorme chose, elle aspergea la jeune fille de tout son foutre.

« Aaaaaah putain ! » dit-elle en continuant d'inonder Sarah de son foutre. « J'avais vraiment besoin de ça ! »

Une fois qu'elle eut fini, Cindy se rapprocha de Sarah, son énorme pénis vint se poser sur son visage.

« Même avec du sperme sur tout le corps, tu n'arrives pas à être sexy. » ajouta-t-elle en pénétrant violemment la bouche de Sarah. Avec ses mains, elle commença à étrangler la jeune fille, qui commença lentement mais surement à s'étouffer.

Qu’est-ce qui était en train d’arriver à Sarah. La jeune femme se revoyait en train de sortir de ce bureau, de faire quelques pas avant d’entendre des voix. Elle se souvenait d’avoir été choquée par ce qu’elle venait d’entendre. Néanmoins, que s’était-il passé ensuite ? Le néant. Le trou noir. La femme peinait à recoller les morceaux dans sa tête mais parvint, finalement, à se souvenir de quelque chose. Une main forte et puissante s’était collée contre son visage, avec pour intermédiaire une sorte de chiffon imprégné d’une très forte odeur. Du chloroforme. Ses yeux s’écarquillèrent alors, se rendant alors compte de la situation pour de bon ...

Elle venait d’être kidnappée ! Par ces femmes, par ces truandes avec qui elle avait failli conclure une affaire. Elle devait à tout prix sortir d’ici et les dénoncer mais, c’était plus facile à dire qu’à faire. Sarah était solidement attachée à une chaise, autant par les poignets que par les chevilles. Il n’y avait pour le moment qu’une maigre chance qu’elle puisse s’en sortir ... Chance qui s’envola alors que Cindy, l’une des quatre femmes entra dans la pièce. Pétrifiée, apeurée, Sarah n’osa dire quoique ce soit ; surtout avec son bâillon en place. Elle ne put que plisser des yeux quand le projecteur s’illumina droit sur sa face, et gémir de douleur contre son bâillon quand on lui tira les cheveux en arrière.

C’était un cauchemar. Elle était en train de cauchemarder ... Pourtant, ce crachat était très réel. Se sentant humiliée, Sarah tenta de se débattre mais, en vain. Cette femme venait de lui cracher dessus ! De quel droit osait-elle ... C’était si humiliant. Sarah grognait contre elle mais à part faire cela, elle ne pouvait pas faire grand-chose. Quand Cindy expliqua alors qu’elle se situait dans la pièce de nouvelle vie, Sarah ne put que paniquer davantage. Qu’est-ce que cela voulait dire ? Et surtout, qu’allait-on lui faire ... Finalement sa bouche fut libérée du bâillon et Cindy retira également son manteau, laissant alors la captive sans voix. Stupéfaite et apeurée en même temps, son regard se figea complètement quand elle aperçut le corps de Cindy, vêtue uniquement d’un body qui la serrait énormément. Et qui permettait aussi de retenir un pénis !

« Mais qu’est-ce que ... Qu’êtes-vous au just ... ! » S’exclama Sarah interrompue quand sa bourrelle décida de lui retirer de force sa chemise, sa jupe et ses sous-vêtements. Sarah rougit furieusement, de gêne, de honte et de colère. « A-ARRÊTEZ ! » S’exclama-t-elle encore, avec le vain espoir de faire changer d’avis Cindy. « Ça ne changera rien à ce que j’ai entendu ! Je vous dénoncerai, je vo - ... » Dit-elle, interrompue à nouveau mais cette fois-ci par un geste qui la fit écarquiller grandement des yeux. Cindy se pencha et vint lui rouler une pelle en bonne et due forme, perturbant Sarah au plus haut point et la coupant dans son élan. « Hmpf !!! » Gémit-elle, tentant de se refuser à Cindy, de ne pas céder à ce geste obscène et forcée. Mais d’une part elle en était incapable par sa situation et d’autre part, son corps menaçait de la trahir.

Elle crispa ses cuisses quand la grande et plantureuse femme décida de caresser sa poitrine au même moment, mais se vit forcée de les rouvrir quand une main baladeuse décida de venir chercher son sexe. « HMMM ! » Rugit Sarah contre les lèvres de Cindy, contestant comme elle le pouvait. Elle tentait de refermer ses cuisses mais, la poigne était trop forte. Ses joues rougirent d’un seul coup et son souffle s’accéléra alors qu’elle luttait corps et âme contre ces doigts qui étaient en train d’aller et venir en elle. La pauvre Sarah luttait pour ne pas tomber dans le piège, pour ne pas céder à ses plus instincts, à ses années et années de frustration sexuelle. Néanmoins Cindy arrêta tout d’un seul coup, laissant un très court répit à Sarah qui haleta. « Qu-Qu’allait vous me faire ... Pitié je ... HAAN ! » Gémit-elle d’un coup, se crispant alors qu’une langue se glissa en elle.

Tout allait vite. Tout était trop soudain. Sarah peinait à comprendre le but de tout ceci. Allait-elle être violée ? Être tabassée ? Ou pire, se faire tuer ? Elle ne savait rien. Après que Cindy l’avait amené au bord d’un orgasme forcée, non consentant et donc humiliant, celle-ci se décida à utiliser son sexe qui de toutes évidences, n’était pas d’origine. Sarah se remettait à peine qu’elle hoqueta quand un jet de foutre chaud éclaboussa son visage, coulant ensuite lentement sur sa poitrine. « V-Vous le paierez ! » S’insurgea-t-elle. Même si Cindy plaqua ensuite sa trique contre son visage, Sarah lui adressa un regard agressif. Mais il aura suffi à la femme de lui rappeler à quel point elle était moche, pas sexy, pas désirable, pour commencer à la déstabiliser.

C’était vrai. Sarah n’avait jamais été attirante ... Au point que même ses violeuses la trouvaient peu sexy. Une humiliation de plus mais qui, cette fois-ci, fractura l’estime de soi de Sarah. Elle n’eut donc aucun temps pour réagir face à la soudaine fellation forcée, encore moins à la strangulation qui l’accompagnait. Sarah couinait, ses yeux étaient révulsés alors que sa gorge se déformait, lui faisait horriblement mal. Mais, avec l’air qui lui manquait, sa tête devenait légère ... Très légère. Ses pensées devenaient confuses, plus troubles. Elle perdait pied avec la réalité, résultant du fait qu’elle ne se débattit pas, sa gorge aspirant donc la juteuse queue de Cindy.

De fines larmes coulèrent sur les joues de Sarah qui sombrait petit à petit à mesure que l’oxygène alimentait de moins en moins son cerveau. Son mascara commença à couler, lui donnant ainsi une piètre apparence. Fait du manque d’oxygène ou pas, Sarah sentit son corps réagir à tous ces stimulus et malgré elle, malgré sa dignité qui s’érodait, sentit un feu commencer à se déclarer entre ses cuisses, la forçant à les crisper l’une contre l’autre ...

La bite de Cindy continuait de forcer l'entrée de la gorge de la jeune femme. Malgré son presque mètre de longueur, elle arrivait à présent à la rentrer complètement. Elle resta au fond de sa gorge pendant quelques instants, ses mains toujours serrer autour de sa gorge. Elle la voyait à présent tourner de l'oeil, ce qui l'excita encore plus. D'ailleurs, elle se mit à jouir à l'intérieur, son sperme remplissant très rapidement son ventre. Elle se dégagea, sa bite énorme pendant vers le sol. Du sperme commença à faire son apparition au fond de la gorge de Sarah et couler sur le sol. C'était ce qu'elle voulait. Une partie de la transformation physique et surtout mentale, passait par l'abandon de soit, être dans un état second, avoir mal, se faire mal, frôler la mort. C'était ce stade là, que Cindy et son équipe recherchaient. Le corps humain était ensuite plus facilement maniable, elles pouvaient en faire ce qu'elles voulaient. Il était beaucoup plus docile et absorbait tout ce qu'on lui donnait.

Cindy se rapprocha de Sarah, elle tira une nouvelle fois ses cheveux en arrière et pouvait ainsi voir que du sperme était toujours présent en grande quantité dans sa bouche.

« Quoi ? Mon sperme n'est pas assez bon pour toi ? » dit-elle en giflant la jeune fille.

Sa bite était de nouveau dure et toujours aussi énorme, elle la dirigea vers le sexe de Sarah. Elle frotta son gland contre elle et entra dans sa chatte avec force. Elle commença les vas et vient. Plus les vas et vient se succédait et plus Cindy se rendait compte que la jeune femme mouillait en abondance. Les premiers signes étaient encourageant.

Pendant presqu'une heure, Cindy baisa le presque cadavre de Sarah. Presque, car même si la jeune fille ne parlait plus, la cyprine qu'elle dégageait, ainsi que ces tétons fièrement dresser et dur trahissait la jeune femme. Son corps prenait du plaisir et c'était ce qui comptait. En effet, il fallait que Sarah devienne accroc au sexe, accroc à la bite de Cindy, ainsi qu'à son corps à elle et ses trois autres partenaires. C'était une première étape. Evidemment, il s'agissait juste de son corps. Son cerveau et sa conscience viendront après. C'était une étape particulière, l'usage de drogue, ainsi que la dépendance au sexe faisait parti intégrante de l'engrenage.

Dans un dernier coup de rein, Cindy se déchargea dans Sarah. Des litres et des litres de sperme remplissaient à présent le vagin de la jeune femme. Une bosse sur son ventre, signifiait bien qu'elle était remplie. Cindy retira sa bite et observa le résultat de ce qu'elle avait fait subir à la jeune fille. Elle était fière d'elle. Cependant, ce n'était pas fini pour aujourd'hui. La blonde se dirigea vers une petite chambre froide, elle tapa un code sur le pavé digital et entra à l'intérieur. Elle remplit trois seringues de produit dopant, mélangé à la drogue que les chinois leur avait livrés le matin même. Elle referma la porte derrière elle et se plaça devant Sarah.

« Ma chérie, je ne sais pas si tu m'entends, mais je vais te faire trois piqûres, qui vont t'aider à devenir moi dégueulasse que tu ne l'aies en ce moment. Et apprécier un peu plus ton séjour chez nous ! » dit-elle en plantant la première seringue dans le sein de droit de Sarah. La deuxième seringue quant à elle, fut planter dans son sein gauche. Enfin, la dernière, vint se planter dans le clitoris.

« Ces petites piqûres t'aideront à avoir de jolies formes ! Ainsi qu'un plus beau clitoris, car celui là est comment dire … A jeter ! » dit-elle en assénant un énorme coup de pied dans l'entre-jambe de Sarah.

Les piqûres que Cindy utilisent, feront leurs premiers effets dès le lendemain. En effet, Sarah gagnera presque trois taille de poitrine, rien que le premier jour.

Cindy ramassa son manteau, et commença à ouvrir la porte de la pièce de torture. Un dernier regard sur Sarah et elle sorti de la pièce laissant Sarah, assise, dans le noir, toujours attachée.

Le lendemain matin, sous les coups de sept heures, Audrey fit son apparition. Elle était habillée d'un simple maillot de bain noir et jaune, très fin. Laissant voir ses formes parfaites. Audrey était une fille assez timide et réservée ; et surtout très gentille. Mais il ne faut pas se fier à ça, car elle est la pire lorsqu'elle se met dans un état de rage. Elle entra alors dans la pièce et vit Sarah toujours à la même place, nue. Elle alluma la lumière afin de mieux la voir et s'approcha.

« Woah ! Cindy t'as pas loupé hier ! Ma pauvre ... » dit-elle en relevant le menton de Sarah afin qu'elle la regarde. Un large sourire réconfortant était visible sur le visage d'Audrey.

Elle s'attarda alors sur le corps de Sarah. Les piqûres avaient parfaitement fonctionnées, Sarah avait à présent de beaux seins, ainsi qu'un clitoris très gros et très appétissant. Elle commença à caresser les nouveaux seins de Sarah, elle approcha alors sa bouche et les embrassa, les mordillant à quelques reprises.

« Tu dois être contente d'avoir de si beaux seins maintenant ! Mais, sache qu'ils sont toujours un peu trop petits pour le club ! » dit-elle en se mettant de nouveau à lui lécher les seins.

En effet, bien que ses seins avaient grossit, Sarah n'avait pas encore la poitrine assez grosse. Rien à voir encore avec les poitrines que portaient Cindy et sa bande.

Audrey continua de s'occuper des seins de Sarah, sa main droite étant libre, elle s'occupa de caresser son nouveau clitoris. Pendant plusieurs minutes, elle continua son mouvement, avant de se relever et se mettre face à Sarah.

« Je suis en manque d'attention, tu pourrais t'occuper de moi, s'il te plait ? » dit-elle en se déshabillant complètement. Révélant à Sarah, une nouvelle fois, un corps parfait.

Elle posa alors une de ses jambes sur la chaise de Sarah, afin qu'elle puisse lui lécher la chatte, en effet son sexe était à présent juste devant sa tête.

Sarah était au bord de l’inconscience. Le manque d’air, le fait que sa gorge se faisait forcer aussi fortement, tout était fait pour la faire perdre pied avec la réalité. Elle ne parvenait plus à lutter et son esprit s’envola bien qu’elle continuait de sentir, au loin, que son corps était violé. Il n’y avait pas d’autres termes possibles ; il s’agissait là d’un viol en bonne et due forme. Seulement, les choses étaient très particulières car Sarah était dans une transe étrange, le cerveau comme déconnecté, l’esprit anesthésié par cette strangulation. Sa gorge lui faisait atrocement mal mais ce n’était pas le pire ...

Elle sentit son sexe se faire forcer. Ce n’était qu’à ce moment-là que le viol était réellement devenu réalité. Sarah n’avait clairement ni la force ni les moyens de riposter. Cindy la pénétrait de toutes ses forces, profitant de son état léthargique pour profaner tout ce qu’elle avait de plus intime et secret. Sans parler de l’état dans lequel elle la laissait ; le visage et la bouche couvert de foutre, le maquillage coulant et bientôt, le sexe à l’air et bien dilaté par cette queue aux proportions dantesques. Si Sarah n’était plus vraiment consciente du monde autour d’elle, son corps lui l’était. Il réagissait même beaucoup ... Sa féminité s’enflammait à chaque coup de rein, savourant cette trique juteuse venant lui rendre visite. Un visiteur bienvenu, tellement ils étaient devenus rares !

De telle sorte qu’elle mouilla très rapidement et que malgré elle, malgré Sarah, malgré son rejet ... Son corps lui fit subir un orgasme au même moment que celui de Cindy. La femme éjacula pleinement en elle et une sensation de libération, de bien-être tabou et interdit s’empara de Sarah qui définitivement entra en transe, déconnectée de la réalité. Elle remarqua à peine le dangereux petit jeu de la femme, quand celle-ci partit chercher de curieuses et inquiétantes seringues. Sarah n’émit qu’un faible gémissement plaintif au contact de la piqûre sur sa peau, sentant un liquide couler en elle, mais sans plus. Puis ... Plus rien. La pièce se retrouva plongée dans le noir, et elle était à présent seule avec elle-même. Seule et sans espoir.

Comment s’était-elle retrouvée là ? À servir de poupée gonflable pour une bande de salopes, de bandits ? Comment allait-elle s’en sortir ? Elle n’en avait aucune idée. La fatigue et la douleur s’empara brutalement d’elle alors que nue, le corps violé, elle restait là, attachée à sa chaise. Ce ne fut qu’au matin – bien que dans cette pièce elle perdait la notion de temps – qu’elle se réveilla. Ce fut la visite d’Audrey qui la réveilla. Encore dans les vapes, Sarah reprenait lentement conscience. Elle écarquilla néanmoins ses yeux quand la rousse s’attaqua à sa poitrine. D’une part elle n’était toujours pas résignée à servir de poupée et d’autre part, la sensation était très différente ... Sa poitrine était bien plus sensible qu’auparavant ! Au point qu’elle en rougit subitement en sentant une douleur très typique, avant de se reprendre et se fermer.

« Ne me touchez pas ! » S’exclama-t-elle, avant de découvrir avec stupeur que sa poitrine avait effectivement gonflée, et que sa perle féminine – son clitoris – en avait fait de même. Elle s’en rendit particulièrement compte quand Audrey se mit à la caresser par ici tout en jouant de sa bouche sur ses nouveaux seins. « Ahh ! A-Arrêtez, vieille v-vicelarde ! » Dit-elle en rougissant, tentant le plus que possible de se refuser à toutes ces sensations. Audrey enfonça le clou en venant retirer son seul vêtement qui cachait son sexe, pour venir présenter celui-ci à la jeune femme. Tout en lui demandant, comme si de rien n’était, de la lécher. « Je ... Je vous ferai payer tout ça ... Espèce de folle ! » Dit-elle, la voix sensiblement moins agressive. Serait-ce la fatigue ? Ou bien un effet secondaire de cette drogue qui venait de changer sa poitrine ? Quoiqu’il en soit, Sarah était incapable de décrocher son regard du corps d’Audrey, malgré son apparente hostilité.

C’était bel et bien son corps qui lui réclamait de s’en mettre plein les yeux. Mais, elle parvenait encore à résister et à ne pas approcher davantage son visage de cette chatte qui lui était offerte ... À ses risques et périls.

Sarah était, comme prévue, encore très têtue et avait son petit caractère bien à elle. Cependant, Audrey remarqua qu'elle continuait de regarder son corps. Un sourire en coin s'installa sur le visage de la jeune femme.

« Teu teu teu ! Pas de vulgarité entre toi et moi ! J'essaye d'être la plus gentille possible, et c'est comme ça que tu me remercie ? » dit-elle en regardant en l'air.

Elle posa alors une de ses mains sur le visage de Sarah, lui caressant le front, puis descendit jusqu'à sa bouche et lui effleurer les lèvres.

« Ma chérie … Je ne suis pas dupe, tu sais. Je vois bien que tu me veux. Ton regard, je le connais. Nombre des femmes et d'hommes sont venues ici avant toi et ils avaient tous le même regard que toi. Et tous, je dis bien tous, ont eu ce qu'ils voulaient. Alors, je te prie, une dernière fois, de me lécher la chatte ! » dit-elle en mettant sa main derrière le crâne de Sarah.

Ni une, ni deux, Audrey força Sarah à s'approcher de son sexe. Maintenant qu'elle était collée à elle, elle sentit quelque chose d'humide la toucher.

« Et bien … Mmmh … Tu … Tu te débrouilles pas trop mal pour quelqu'un qui ne voulait pas ! » dit-elle en continuant d'appuyer violemment sur l'arrière du crâne de Sarah.

Pendant quelques minutes, Audrey força Sarah à lui lécher la chatte. C'était plutôt agréable. Loin du plaisir que lui procurait ses collègues, mais pour une captive, c'était un bon début. Elle tira sur les cheveux de Sarah afin d'arrêter et descendit de la chaise. Elle se toucha l'entrejambe afin de s'essuyer et retourna dans la petite pièce, où était rangé toutes les seringues. Aujourd'hui, une autre sorte de drogue, allait être injecté dans le corps de Sarah. Audrey remplit sa seringue d'un liquide violet et retourna près de la jeune fille. Elle s'approcha très vite d'elle et la piqua au niveau du cou et y injecta tout le liquide.

« Voilà. C'est parfait comme ça ! » dit-elle heureuse. « Inutile de te dire ce que c'est, tu t'en rendras compte bien vite. » dit-elle en balançant la seringue dans la poubelle.

Audrey commença à se rhabiller, elle remit en place son haut et bas de sous vêtement et se dirigea vers la sortie.

« Je reviens dans une dizaine de minutes. D'ici là, le produit aura fait son petit effet. » dit-elle en sortant de la pièce, laissant une nouvelle fois Sarah dans le noir.

Seize minutes plus tard, Audrey entra dans la pièce et alluma la lumière. Elle s'approcha de Sarah.

« PAR-FAIT ! Ça a fonctionné parfaitement sur toi ! Je suis trop contente ! »  dit-elle en sautillant sur elle-même.

En effet, le produit que lui avait injecté la jeune femme, consistait à la mettre en manque. Dans un stade très haut, vraiment très haut. Avec des effets très visibles sur le corps de la personne. Et sur Sarah c'était très marqué. Puisqu'elle avait les tétons rouges et pointaient fièrement. Du liquide sortant de sa chatte, dégoulinait jusque sur le sol et enfin, Sarah avait le regard presque vide, la bouche grande ouverte, le souffle court, de la bave coulait le long de son menton.

Audrey s'approcha un peu plus et se mit à lui toucher les seins. Du lait commençait à en sortir.

« Waouh ! Je serais presque jalouse de tout ce lait que t'arrives à produire, espèce de coquine va ! » dit-elle en commençant à lui lécher les tétons. Sa main libre lui touchait la chatte. Elle continua son action pendant quelques instants avant de s'arrêter.

Elle détacha Sarah de la chaise, la laissant assise, mais libre de tout mouvement. Audrey quant à elle, se coucha, nue sur le sol, les jambes écartées, face à Sarah.

« Voyons voir, à quel point tu en as envie ! Viens … VIENS ! » dit-elle en commençant à se caresser l'entrejambe.

Un véritable cauchemar. Ou était-ce le cas ? Sarah était sur le point de se faire forcer à lécher l’entrejambe d’une femme, qui si en apparence semblait plus gentille que les autres, était trahie par ses actes qui n’en n’étaient pas moins exécrables. Sarah sentit une forte poigne venir serrer l’arrière de sa tête puis la pousser, forçant celle-ci à plaquer ses lèvres contre le sexe de cette femme. Sarah émit des couinements et des gémissements en protestation mais elle ne pouvait faire grand-chose contre cette dame qui avait une sacrée poigne.

Ainsi donc, elle fut dans l’obligation d’obéir et sortit sa petite langue pour la presser contre la chair intime d’Audrey. Celle-ci esquissait un doux sourire et semblait satisfaite, mais qu’en était-il de Sarah ? Celle-ci avait fermé ses yeux, afin de ne pas se voir elle-même en train de faire quelque chose d’aussi humiliant que ça. Mais son corps … Son corps semblait être d’un autre avis. Humiliant ? Non. Elle sentait de l’excitation, du plaisir, une chaleur commençant à se manifester entre ses cuisses mais qu’elle réprimait de toutes ses forces. Elle n’avait pas le droit de tirer plaisir de tout ceci, autrement, cela voulait dire qu’elle n’était qu’une salope.

C’était ce que voulaient ces femmes ! Mais Sarah tiendrait bon, même si elle allait devoir lutter contre elle-même et ses années de frustration sexuelle. La femme continua de lécher mais sentit Audrey finir par s’écarter. Elle fit arrêter Sarah en lui tirant les cheveux en arrière, provoquant une douleur assez aigue et désagréable, ce qui eut pour effet de faire revenir la victime à la réalité, en lui faisant réaliser qu’elle venait de lécher cette femme ! Sans voix, encore sous le choc, elle reprenait son souffle tout en remarquant d’Audrey s’éclipsa pour revenir ensuite une seringue à la main. « Non, pas ça ! Pas encore, pitié ! » S’exclama alors Sarah, se crispant sur sa chaise, appréhendant les effets de cette seconde piqure.

Sa poitrine était devenue douloureuse tellement elle lui réclamait de se faire utiliser. Sarah parvenait difficilement à réaliser tout ceci, et voilà qu’une autre piqure allait lui être fait. Dans le cou, cette fois-ci. Le liquide pénétra son système et se rependit dans son organisme. Audrey quitta la pièce pendant dix minutes afin de laisser le produit faire effet … Et quel effet. Sarah sentait une torpeur s’éprendre d’elle, qui se transforma rapidement en euphorie. Comme si elle était en était d’ébriété, sans être pour autant déconnectée de la réalité ou folle. Elle était extasiée ! Elle luttait encore et encore contre ça mais la chimie était ce qu’elle était.

Sarah commença à se tortiller sur place, tellement elle avait chaud. Tout son corps entier fourmillait et réclamait quelque chose dont elle avait de plus en plus envie … Du sexe ! Sarah chassait toutes ces idées mais elles revenaient l’instant suivant, harcelant et mettant à terre sa volonté qui dès lors, commençait à se briser. La femme gémissait et bavait légèrement, tellement elle mourrait finalement d’envie de se soulager, d’apaiser ce feu entre ses cuisses, qu’importe les moyens ! Audrey tomba donc à pic quand elle revint. Pour preuve qu’elle savait parfaitement les effets de la piqure, elle détacha toutes les attaches qui maintenaient Sarah captive sur sa chaise, puis pressa son téton. « HAA ! » Gémit fortement la femme, qui rougit comme une tomate en sentant une sensation subite et très, très plaisante.

Puis, la belle mais maléfique Audrey se coucha au sol et écarta ses cuisses. Elle était nue. Sarah écarquilla ses yeux devant cette scène, qu’elle aurait trouvé indécente et scandaleuse il y a quelques minutes mais qui maintenant, provoquait en elle une telle excitation, une telle bouffée de sensations extrêmes et sexuelles, qu’elle se rua au sol. Sarah posa ses mains sur les cuisses de la femme puis, les écartèrent avant de se pencher, de se cambrer. Ni de une ni de deux, elle prit d’assaut l’appétissante entrejambe d’Audrey en venant plaquer ses lèvres contre sa féminité, qu’elle lécha fortement et tendrement. « Hm !  Hmmmm ! » Gémit Sarah, possédée par le liquide étrange de la seringue, qui l’avait plongé dans un état outre ; un appétit sexuel incontrôlable ! Sarah la coincée était alors en ce moment-même en train de lécher le minou d’une autre femme, de lui procurer du plaisir autant à elle qu’à elle-même … Le faisait-elle consciemment ? C’était là toute la question.

En attendant elle obéissait à son corps et ses désirs et finit par enfoncer langoureusement sa langue entre les fines lèvres féminines d’Audrey, remuant dedans avec fougue et entrain, assouvissant ses pulsions et son appétit ! Elle se rendait alors compte à quel point le corps de cette femme était beau, était parfait et aguicheur … Sarah se rendait compte à quel point Audrey était sexy !

Audrey se faisait maintenant lécher la chatte par Sarah. Elle n'en revenait pas comment elle y mettait autant du sien. Cette drogue était vraiment géniale. Une petite dose et le corps d'un ou d'une parfaite inconnue devenait avide de sexe. Et cela marchait donc très bien pour Sarah. Audrey continua de profiter de sa langue. Même si elle n'était pas experte en la matière, Sarah se débrouillait plutôt pas mal. Audrey posa alors une main sur son crâne afin de l'inciter à aller plus loin.

« C'est très bien Sarah. Maintenant étouffe toi avec ! » dit-elle en serrant ses jambes autour de sa tête. « Je veux sentir ta langue jusqu'au bout ! Sinon, tu n'auras plus rien ! » dit-elle en continuant de la serrer de toutes ses forces.

Elle continua ce petit jeu pendant presque une minute, lorsqu'elle commença à entendre Sarah s'étouffer. Elle décida de stopper l'étreinte.

« C'était très bien Sarah. Maintenant si tu pou... » dit-elle lorsqu'elle fut interrompu par la venue de Cindy dans la pièce. « Oh Cindy ! Pile au bon moment. » dit-elle  toute souriante, avec Sarah toujours en train de lui lécher l'entrejambe.

Cindy seulement habillée d'une robe unie très prête du corps, s'arrêtant juste au niveau de ses cuisses.

« J'ai été un peu prise ces temps-ci. Il faut dire que les autorités commencent à se demander où cette pute à bien pu passer. Mais bon, ils n'ont pas été trop chiant cette fois-ci. » dit-elle en se positionnant derrière Sarah.

Elle enleva alors sa robe pour se mettre toute nue, laissant apercevoir ses énormes seins, ainsi que sa bite toujours aussi grosse et longue.

« J'ai pas arrêté de vous regarder sur l'écran depuis tout à l'heure. Et il faut dire que j'ai été un peu jalouse de tout ça. C'est pourquoi je suis venue. Et m'occuper de ça ! » dit-elle en enfonçant sa bite dans la fente de Sarah. « Aaaah … Oui … Ça fait du bien. J'avais besoin de ça ! » dit-elle en mettant ses mains de chaque côté de la taille de la jeune fille.

Cindy commença alors les vas et vient sans retenue. Pour elle, Sarah n'était qu'une pute qu'il fallait dévergonder le plus vite possible. Elle n'avait aucun respect pour ce qu'elle était en cet instant. Une sale fouineuse, voilà ce qu'elle était.

De longues minutes passèrent et Sarah continua de se faire pilonner par Cindy. Mais elle continua de lécher le sexe d'Audrey. Pendant ce temps là, Cindy avait déverser des litres et des litres de sperme à  l'intérieur de la jeune femme. Son ventre avait, du coup, un peu grossit. C'est alors que Cindy prit la parole.

« Pour la première et dernière fois, Sarah, je vais te donner le choix. » dit-elle en enfonçant complètement sa bite à l'intérieur du sexe de Sarah. « Veux-tu avoir un pénis ? Je vois que tu manges carrément la chatte de ma jolie Audrey, mais voudrais-tu pouvoir la baiser ? » dit-elle sans ménagement.

« Oh oui ! S'il te plait Sarah ! Baise moi avec ta grosse bite ! » dit Audrey en rigolant.

De la folie. Cette situation n’était que pure folie ! Comment Sarah pouvait-elle s’en échapper ? Pour le moment la réponse n’était même pas évidente pour elle-même car, droguée, elle léchait avec appétit le sexe d’Audrey malgré elle. Le produit chimique agissait en elle tel un poison, excitant tout ses bas-instincts les plus vils et pervers. De tout temps, elle n’avait jamais été attirée par les femmes et pourtant voilà qu’elle était en train de s’adonner à un cunnilingus. Que dire de cela ? Cette drogue était puissante et agissait parfaitement en Sarah.

La jeune femme continuait de lécher ce sexe, sa langue proliférant dans cette fente sucrée et chaude. Elle était si accueillante et si douce, jamais elle n’avait ressenti pareille chose. C’était comme si elle revenait à elle-même, revenait à ce qu’elle avait toujours aimé faire même s’il était évident que ce n’était pas le cas. Sarah mangeait cette chatte, elle y mettait du siens. Elle ne faisait qu’obéir à son corps, à ses pulsions qui avaient largement prit le dessus sur sa raison. On pouvait se poser la question ; Sarah était-elle consciente ou pas ? La drogue était certainement responsable de ses agissements mais, serait-elle aussi puissante si au fond cette femme n’était pas une grande frustrée qui cachait beaucoup, beaucoup de vice ?

Elle sentit un doucereux frisson la parcourir quand Audrey pressa son crâne davantage contre elle. Se coller contre ce corps si parfait et chaud, c’était juste bon ... Mais, quelqu’un vint rapidement s’ajouter à la partie. Cindy, la cheffe du groupe, émergea dans le dos de Sarah et commença à expliquer qu’elle s’était occupée des autorités cherchant Sarah. Une larme coula sur la joue de l’intéressée qui comprit dès lors que la recherche allait s’arrêter ; par conséquent, personne ne penserait à venir la sauver ! Elle était donc livrée à elle-même, seule et démunie. Cependant elle ne pouvait s’arrêter d’offrir du plaisir à Audrey. Quelque part, son corps était envoutée par celui de la rousse, poussé à vouloir lui offrir du plaisir coute que coute.

Si l’on rajoutait la soudaine pénétration de Cindy qui fit gémir puissamment Sarah, le tableau était déjà bien chargée. « HM ! » Rugit-elle malgré elle, malgré qu’elle continuait de lutter contre cette drogue dans son organisme. En vain. Le coït arriva et son corps réagit en conséquence ; le plaisir grimpait comme une flèche en elle, provoquant des frissons très extrêmes et plaisants partout. Ainsi, pendant que sa langue continuait de s’enfoncer dans les chairs intimes d’Audrey, sa propre féminité se faisait savamment explorer par une Cindy au top de sa forme. Si sportive, si conquérante ... Si séduisante. Les pensées de Sarah devenaient confuses au fur et à mesure que l’extase et l’euphorie sexuelle prenait le pas. Ces femmes étaient incroyablement belles ! Et si sûres d’elles. Leur clan semblait puissant et influent. Elles étaient, quelque part, un modèle de réussite.

Mais à quel prix ? Tremper dans des affaires louches et immorales ? Êtres de véritables bimbos dédiées au sexe ? Le prix était très cher. Cependant, on proposa rapidement à Sarah de commencer à le payer ; son ventre se gonflait de sperme de minute en minute, à force que Cindy jouit en elle de manière répétée. De longues, très longues minutes s’étaient écoulées et voilà que Sarah était au bord de l’effondrement. Le sexe était en présent en elle et dans sa tête, monopolisant ses pensées et ses désirs. Oui, elle désirait tant baiser Audrey et la faire hurler. Oui, elle désirait juste prendre son pied une bonne fois pour toute mais ... Ce serait la fin. La fin de sa réussite, de sa carrière, de sa dignité ! Le prix était trop cher pour le moment. Mais un premier versement était sur le point d’être fait quand les deux femmes proposèrent avec insistance de doter Sarah d’une bite.

A tour de rôle elles quémandèrent à ce qu’elle accepte. A ce que Sarah accepte de se faire à nouveau droguer pour on ne sait quel résultat. Qui sait ce que cela allait donner ? Avoir un pénis, c’était devenir un homme ... L’idée était affreuse ! Mais, cela pouvait aussi vouloir dire être comme toutes ces femmes ... Belles, mais avec un petit supplément. « Je ... Je ... P-Pitié ... Je veux ... Audrey ... » Dit-elle mystérieusement, se remettant à dévorer la féminité de la concernée avec une certaine voracité sexuelle. Elle adjoigna ses doigts pour faire plus d’effet en parallèle. Elle ne venait pas de dire oui à la proposition mais, elle n’avait pas dit non également. En somme, Cindy pouvait faire ce qu’elle voulait tant que Sarah pouvait s’occuper du magnifique corps d’Audrey.