Honnêtement, Vaas avait tué des gens à Rook Island pour moins que ça. Venir le faire chier, c’était souvent très risqué, car le mercenaire n’était pas connu pour sa grande patience, surtout quand il avait pris du
rakyat. Il vit bien que cette salope mal baisée se retenait. Le rouge lui montait délicieusement aux joues, et elle le fusilla du regard. Resté debout, l’homme soutint son regard, goguenard, un sourire moqueur sur les lèvres. Plutôt que de se battre, la contrôleuse se retourna alors, s’éloignant de lui... Et acheva de le convaincre. Honnêtement, Vaas aurait pu faire l’impasse sur tout ceci. Même si la contrôleuse appelait la police, le temps que celle-ci arrive, lui et ses potes seraient bien loin. Et il n’avait pas pris assez de
rakyat pour partir au quart de tour. Vaas se contentait juste de répondre avec son mordant naturel, et il aurait donc pu en rester là... Mais il observa sa chute de reins, et son délicieux cul. Vaas frémit alors, et se pinça doucement les lèvres.
Chez lui, il avait une pute personnelle, une
ganguro qu’il avait ramassé dans un taudis appartenant à la Mafia russe,
Sakura. Elle était devenue sa salope personnelle, mais, plus il la baisait, et plus il avait envie de la baiser. Et, ce soir, avec sa mission, il avait oublié de se la farcir. Autant dire que, là, dans le bus, à voir le joli cul de la femme, son délicieux cul terriblement serré dans sa jupe serrée, Vaas sentit la soif remonter en lui.
Le temps sembla se suspendre autour de lui. Sous l’effet de l’adrénaline, le
rakyat remonta dans ses veines. Il observa ce joli cul, et vit la femme attraper son téléphone portable. Elle commença à composer le numéro de la police, et, alors que la première sonnerie résonna contre son oreille...
...Une main se posa brusquement sur le cul de la femme.
Vaas venait de se glisser dans son dos, et posa sa main sur la bouche de la femme, étouffant son cri de surprise contre sa paume, la surprenant visiblement. Il se plaqua contre elle, ses muscles l’immobilisant, et ses doigts se serrèrent sur sa jupe, sentant sa culotte, s’enfonçant dans sa chair moelleuse. Elle trembla sur place, et Vaas se pressa contre elle, son sexe en érection commençant à appuyer sur les fesses de la femme.
«
Je crois que tu as besoin qu’un mec te défonce le cul proprement, ma salope mal baisée... » grogna-t-il.
Et il réagit rapidement. Sa main s’écarta de la bouche de la femme, et il poussa la femme contre la vitre. Cette dernière en lâcha son téléphone portable, que Vaas écrabouilla d’un coup de talon, mettant fin à l’appel. Le visage de la femme se retrouva contre la vitre. Pendant ce temps, le seul passager resté en place s’était relevé, surpris, et les deux comparses de Vaas s’approchèrent de lui.
«
Dégage de là, amigo. -
Mais... -
Fous le camp, connard ! »
Restait encore le chauffeur à s’occuper. Les hommes de Vaas étaient fort heureusement plutôt réactifs, et s’approchèrent de lui, pendant que Vaas, lui, serrait son corps contre celui de la femme, retournant pincer son cul avec sa main.
«
Petite salope... Tu m’as chauffé exprès, hein ? Tu voulais que je te baise en fin de soirée, ma chérie, hein ? Je te comprends... Les petites bites des citoyens japonais, c’est pas pour ton calibre de super-salope, ça... Avec ta tenue serrée comme une corde de violon, t’es un appel ambulant à te transformer en sac à foutre, ma salope... »
Il lui lécha alors la joue, une lueur malicieuse et perverse dans les yeux...