Nom : Elle devait en avoir un de plus développé, au temps de... avant. Mais bon, maintenant, c'est Cannelle, tout simplement.
Age : Personne ne sait vraiment, entre 15 et 20 ans.
Sexe : Totalement femelle !
Race : Terranide.
Sexualité : Au bon vouloir de ses maîtres et maîtresses.
ApparenceLa corpulence de Cannelle est plus que suffisante, avec de jolies courbes bien marquées. Sa principale qualité au yeux des marchands d'esclaves étant ses formes plus que généreuses, beaucoup se sont toujours mis d'accord pour lui donner à manger régulièrement et la garder bien en chair. Vu qu'en plus, on ne peut pas trop vanter ses qualités intellectuelles, cela est devenue un de ses indispensables arguments de vente. Une poitrine et des fesses bien rondes, peut-être moins fermes que celles des femmes plus sveltes qui l'accompagnent dans sa cage, mais l'on n'y pense pas spécialement quand on a l'un ou l'autre en main. Elle n'est pas très grande de taille, avec une taille d'à peine plus d'un mètre soixante.
Sa jolie peau de rousse présente quelque tâches de rousseurs ici et là, y compris sur les traits délicats de son visage. La terranide est très expressive par ses regards et ses sourires, on décèle aisément la nature de ses sentiments dans ses grands yeux à l'iris indigo. Sa bouche pulpeuse abrite quelques crocs, dont elle se sert à l'occasion si elle n'aime pas ce qu'on lui dit ou fait, et ils se font vite oublier face à l’agilité de sa langue et la beauté de ses lèvres pulpeuses et roses. Son petit nez fin est une merveille en terme de détection, la chienne capte des odeurs indécelables par centaines, quel que soit l'environnement où elle se trouve. Tout a une odeur pour elle, sentiments y compris. Cannelle sait flairer la peur, la colère, le plaisir, et c'est ce qui en fait également une esclave aussi compétente pour répondre aux désirs et besoins de ses maîtres et maîtresses. Quant à sa coupe, rien d'élaboré, un simple carré sauvage, d'une couleur flamboyante. Les oreilles et la queue sont de la même couleur et leur poil en est tout aussi doux, c'est un plaisir à caresser ou à saisir entre les doigts. La plupart du temps, elle est habillée de guenilles, avec un énorme collier autour de son petit cou. Elle ne porte ni culotte, ni chaussures, ayant rarement à supporter l'un ou l'autre. Il n'est d'ailleurs pas rare que Cannelle se balade à quatre pattes, une position avec laquelle elle sait aisément se déplacer et même courir.
CaractèreCannelle fonctionne au sensoriel. La terranide ne sait pas parler ou écrire, on peut donc se douter que la réflexion n'est pas son point fort. Ce n'est pas pour autant qu'elle ne sait pas réfléchir ou élaborer des plans, mais en général, la chienne agit ET réfléchit ensuite. Son tempérament envers vous est rythmé par les sentiments qu'elle a à votre égard : si elle vous apprécie, elle sera plus que docile, câline, adorable et très facile à contenter. Mettez-vous la à dos, et elle s'exprimera à coup de grognements et de morsures. Elle n'a pas une très grande tolérance à la douleur, lui infliger des coups est souvent le seul moyen de la dompter. Mais jamais elle ne cessera de vouloir vous échapper. Cannelle ne croit pas en le fait que les gens changent, c'est une rancunière née qui ne pardonne ni n'oublie.
La terranide n'est pas une peureuse et cela lui donne un côté téméraire. L'esclave protège les êtres qu'elle aime, tient tête à ceux qui lui veulent du mal, ne fuit pratiquement jamais et attaque plus qu'elle n'aboie. La mignonne petite chienne peut facilement se transformer en bête enragée, parce qu'elle a peu souvent idée des conséquences de ses actes et des risques encourus. Encore une fois, sa capacité de réflexion est celle d'un animal. Sa volonté est de fer, c'est une têtue.
Son côté enfantin se fait voir beaucoup plus facilement quand elle apprécie la personne en face d'elle. Câline, joueuse, Cannelle réclame beaucoup d'affection et est définitivement très tactile. Elle aime les papouilles, les chatouilles, attirer le centre de l'attention, c'est une attraction dés qu'elle le peut. La pauvre n'est par contre pas très résistante face aux réclamations de son propre corps et fera facilement des caprices si elle s'ennuie, si elle est fatiguée ou si elle a faim. SURTOUT si elle a faim. C'est une phobie pour elle, un trop gros manque de nourriture la fait automatiquement vriller, à grands coup de crises d'angoisses et de larmes, ainsi que d’agressivité exacerbée. Très exacerbée, à vrai dire... disons qu'étaler sa propre chair devant elle, dans ces moments-là, pourrait se révéler être une mauvaise idée.
Pour le sexe, Cannelle refuse rarement. Elle aime les sensations que cela procure, se laisse totalement emporter par le courant quand elle passe à l'acte. Elle en redemandera souvent, jouant l'innocente, initiant parfois les sessions de câlin pendant ses chaleurs. Aucun tabou ne l'encombre et elle n'a pas peur d'exprimer ses préférences. Ce qui lui plaît surtout, c'est quand il y a beaucoup de personnes pour s'amuser avec elle !
HistoireIl y a pas mal de temps, Cannelle avait un nom. Un vrai nom, en deux parties, lisible sur un tableau noir quand elle en écrivait les idéogrammes en classe en début d'année pour se présenter. C'était une enfant japonaise comme les autres, avec des parents, une maison en banlieue, une école où aller, des amis à aller voir. C'était une belle enfance que celle qu'elle a eu, sans trop de problèmes plus grave que la mort de ses trois poissons rouges. Dommage qu'elle ne soit pas capable de s'en souvenir, du coup.
Un jour, ses parents l'ont déposée à son arrêt de bus habituel, ils l'ont vu disparaître dans le gros engin jaune. Rien d'inhabituel, jusqu'en fin d'après-midi, où on leur annonçait que leur fille n'avait pas été présente à sa maternelle, ce jour-là. Les parents se sont inquiétés, bien sûr. Et puis, on a fini par retrouver leur enfant dans le parc de la ville, où elle s'était échappée pour aller donner à manger aux écureuils. Après l'avoir réprimandé, ils ont exprimé leur soulagement et l'ont ramené chez eux. Leur fille était de nouveau là, pour eux, tout allait bien. Et c'est encore le cas aujourd'hui, d'ailleurs.
Au final, ces parents n'ont jamais su que la petite fille en question n'était qu'une substitution. Et ils ne le seront jamais, du moins, tant que la slime femelle, heureuse de trouver une famille, profitera de ses pouvoirs de métamorphose pour imiter leur fille.
L'organisation tekhanne criminelle responsable de cet échange n'en était pas à son premier kidnapping. L'accord conclu avec le peuple des slimes permettait des filatures discrètes et fructueuses, en plus de l'obtention d'un savoir ancien et puissant - celui d'un peuple capable de transformer son ADN pour se métamorphoser à sa guise. Les esclaves terriens étaient en général en bien meilleure condition que ceux de Terra ou d'Ashnard, une condition plus apte à supporter les expériences génétiques qu'on leur imposait pour les changer, les transformer, en faire la crème de la crème des esclaves et amasser une fortune en les revendant et en les faisant s'accoupler pour faire perdurer de si parfaites lignées. Lorsqu'il en fallait un de plus dans les stocks, il y avait toujours un slime prêt à procéder à l'échange pour obtenir une plus jolie vie. Des centaines d'enfants avaient ainsi été échangés au cours de ce siècle sur les multiples continents et remplacés par ces créatures, sans qu'aucun membre de leur famille ou de leur amis ne s'en rendent jamais compte. Le trafic s'en tenait souvent à eux parce qu'ils étaient évidemment plus faciles à attirer et à dresser par la suite.
Cannelle fut donc de ces victimes, et elle protesta au début, évidemment. De nature déjà sensible, son kidnapping lui fit un choc. Et les différents traitements qu'on lui administra par la suite n'arrangèrent en aucun cas les choses. La génétique mêlée à la magie permit l'obtention de ses gênes terranides. Comme beaucoup de ses congénères, son cerveau eut du mal à encaisser les traumatismes. Elle oublia sa courte vie passée, au grand bonheur de ses dresseurs. Le hic, c'est que le traitement fut peut-être un peu trop efficace, car elle oublia aussi comment parler, comment compter, comment lire. Quand elle oublia comment marcher et manger, les scientifiques en charge se dirent qu'il était peut-être temps de ralentir un peu le processus...
L'ex-humaine retrouva sa motricité, mais pas sa parole. Une esclave qui ne savait ni lire, ni écrire, se révélait compliquée à faire évoluer au stade d'esclave parfait. Elle était un échec au niveau intellectuel, ce qui en baissait sa valeur. Cannelle fut donc mise au rebut, là où l'on envoyait toutes les expériences "ratées".
Là-bas, les besoins des différents résidents n'étaient pas forcément respectés. Cannelle y connu donc ses premières famines, où elle devait se battre pour avoir un bout de pain. Étant jeune et faible, ce n'était pas forcément très efficace. Elle supportait la fatigue, les mauvais traitements, l'environnement immonde. Mais la faim était quelque chose qu'elle ne pouvait pas supporter, c'était trop pour sa personne. Elle pouvait tout endurer, sauf ça.
La privation exacerba son agressivité, de manière effrayante. Les esclaves qui passaient devant elle voyait une terranide blottie dans son coin, de la bave coulant hors de sa bouche et les yeux révulsés d'horreur, observant chacune des parties molles de leurs corps...
Une des esclaves disparut, un jour. Personne ne sut ce qu'elle était devenu. Comme elle était de nature plutôt pataude et boulotte, on supposait qu'elle n'avait pas pu s'enfuir hors du sous-sol. Les traces de sang et les os rongés ne se dirigeaient d'ailleurs pas vers aucune sortie. On supposa qu'un animal était rentré et l'avait embarqué, et vu les traces impressionnantes de dents sur les os, ça devait être un animal plutôt féroce. Personne ne tenait vraiment à parler très longtemps de cette histoire. Et quand Cannelle fut jetée dehors parce qu'elle n'avait plus de valeur marchande, tout le monde fut plutôt soulagé.
La terranide se retrouva donc dans les contrées sauvages, se fit évidemment capturer par des marchands d'esclaves qui passaient par là, et son trafic recommença dés lors. Bizarrement, ça ne la dérangeait pas plus que ça. Elle avait en effet conservé des formes marquées malgré les privations grâce à la puberté, et après que l'on lui ait fait découvrir le sexe de manière plutôt abrupte, elle remarqua la puissance que pouvait avoir cette curieuse pratique. Si elle venait d'elle-même proposer à celui qui la gardait de recommencer, elle obtenait plus facilement ce qu'elle demandait par la suite. En l’occurrence, vous l'aurez deviné, de la nourriture. Et tant qu'on lui donnait de quoi manger, Cannelle était satisfaite. Ses instincts ressemblaient parfaitement à ceux des animaux, désormais. En ce sens, les kidnappeurs avaient en fait fait d'elle une réussite.
ExpérienceAu début, le sexe a été une monnaie d'échange pour Cannelle, et c'est en pratiquant autant qu'elle a appris à aimer ça. Donc, elle a fait pas mal de trucs différents selon ce qu'on lui demandait : classiques fellations et sodomies bien sûr, mais aussi zoophilie, scato, uro... en fait il y a peu de choses qu'elle n'ait PAS fait. Son enthousiasme est équivalent au type de nourriture qu'on lui propose après. Et si on ne lui donne pas ce qu'on lui a promis, je vous renvoie à l'incident du sous-sol dans la bio et vous suggère de surveiller vos arrières
Je suis un DC !