Une dette qui coûte chère... [PV Magdalena Taeko]

Aya n'en revenait pas... comment avait il osé... non mais quel crétin... sérieusement comment peut on être aussi débile. Ryo venait de lui apprendre qu'il avait perdu toutes leurs économies dans ses soirées de poker clandestin... le résultat de plusieurs années de travail... mais pas seulement ça... le crédit pour la maison la voiture ect... il ne leur restait plus rien... le couple allait finir à la rue c'était certain... Aya était aux bors des larmes... mais c'est alors qu'il vint vers elle encore plus honteux... il lui avoua à demi mots qu'il y avait peut etre une solution... mais que ça ne l'enchantait pas du tout... La jeune femme se remit debout, si il y avait un moyen d'arranger les choses alors ils devaient essayer... Ryo continua de lui expliquer... ses créanciers lui avait laissé une porte de sortie... c'était un habitué et il le connaissait bien... ils lui avaient proposé de lui rendre tout ce qu'il avait perdu... en échange de leur laisser Aya pour une nuit...

Au début elle n'en crut pas un mot... pensant que c'était une mauvaise blague... mais non il était bien sérieux... mais lui ne voulait pas de cette option.. il savait que ses créanciers étaient de gros pervers et il n'imaginait pas une seconde laissait Aya payer pour ces fautes. Il lui dit qu'il trouverait une solution et qu'il arrangerait tout... mais cette situation ne pouvait pas s'arranger en un claquement de doigt.. tout cet argent... ca représentait presque 8 ans de travail... la belle lui répondit alors qu'elle allait le faire c'était la seule option pour rattraper ses bêtises. Elle irait voir ses créanciers et même si c'était des pervers elle s'en sortirait, contrairement à son mari elle arrivait négocier elle, aussi Aya ferait en sorte que tout se passe bien et qu'elle en ait à faire le moins possible... et que dans tous les cas il ne pouvait s'en prendre qu'a lui même, qu'il s'estime heureux de pouvoir retrouver leurs économies.

C'est comme ca qu'Aya se rendit à l'adresse indiqué par les créanciers. Elle avait rendez vous sur le coup de vingt heures dans une résidence ou tout avait déjà été préparé pour elle. Une femme en tailleur l'attendait à l'entrée lui présentant un contrat... elle le lut entièrement... c'était bien ce que lui avait dit Ryo... les termes étaient assez vagues mais cela garantissait bien le remboursement de sa dette. En échange de quoi elle devait rester dans cette résidence jusqu'au lendemain matin neuf heure avec pour contrainte d'obéir aux demandes des maitres de maison. Elle signa la case prévu à cet effet, et fut conduit dans une salle d'attente ou elle était seule assise sur une chaise. Elle pestait intérieurement... son petit ami allait l'entendre demain, elle lui passerait un de ses savons qu'il n'aura plus jamais envie de parier le moindre centimes...

Le problème avec les jeux de hasard c’est que l’on ne sait jamais à l’avance ce qu’il va se passer autour de la table de jeu, gagner ou perdre sont les seules possibilités et toute deux peuvent avoir des conséquences extrêmes : devenir aussi riche que Crésus ou bien tout perdre jusqu’au moindre petit centime. Neiji était le digne hérité de la famille Hitani, l’un des plus influents noms de la pègre  local, son arrière-arrière-arrière-arrière grand-père était partie de rien et voila que son descendant était à la tête de tout un réseau de casino clandestin qui rapportait gros, très gros.

Évidemment, dans ce milieu si certains gagnent cela implique que d’autre perdent et c’est ce qui est arrivé à ce Ryo, un habitué de la table n°37. Ce soir là, il avait mis en jeu sa vie et comme cela arrive souvent dans ces cas là, le sort ne lui avait pas été favorable et il devait désormais une somme astronomique à Neiji, le genre de somme qu’un homme comme lui mettait des années à amasser. Évidemment, il ne pouvait pas rembourser sa dette mais Neiji était un homme clément et avait fait plusieurs propositions à ce perdant, l’un impliquait sa mort mais ce n’était pas rentable, une autre était extrêmement humiliante mais c’était un moyen simple de faire disparaître sa dette : laisser sa femme à Neiji et ses hommes pendant une nuit. Ce fut donc cette proposition qui fut choisie.

Neiji avait donc donné rendez-vous à la jeune femme dans une grande villa, une de ses résidences qu’il louait beaucoup à des sociétés de production de film pour adulte, il fallait bien rentabiliser les lieux ainsi que combler le manque à gagner du au mauvais payeurs tel que Ryo. Il avait laissé une de ses employées, Héléna, s’occuper de l’accueil :

« Monsieur Neiji ne devrait pas tarder de venir à votre rencontre. Il vous fait cependant savoir que lui et ses amis aimeraient beaucoup vous voir porter une tenue en particulier. »

Elle lui présenta une caisse avec toute la panoplie de la parfaite lycéenne sexy avec même une illustration de comment ça rendait au cas où qu’elle soit trop bête pour savoir s’habiller correctement. Une jupe très courte, un top très léger, des bas noirs ainsi que des escarpins sans oublier de quoi se faire des couettes, Neiji et ses amis avaient des envies assez précises de ce qu’ils voulaient.

Le maître des lieux n’avait pas l’air très pressé car il ne daigna venir à la rencontre de son invité qu’une bonne demi-heure après son arrivée. C’était un homme à la carrure assez imposante et possédant un certain charisme dans son costard implacable malgré ses cheveux blonds coiffés un peu n’importe comment et ses lunettes aux verres teintés en intérieur :

« Je vous souhaite la bienvenue chez moi. Pardonnez moi de vous avoir fait attendre mais le remboursement d’une dette aussi grosse que celle de votre mari nécessite des aménagements particuliers  assez embêtant à mettre en place. Veuillez me suivre. »

Le soir et la nuit s’annonçaient longs, Neiji comptait bien se faire rembourser jusqu’au dernier centime et cela se ferait à sa manière, avec tous les moyens qu’il avait à sa disposition. La jeune femme allait faire les frais de l’imprudence de son mari. Il l’emmena dans un salon où six de ses hommes faisaient une partie de billard comme si de rien était.

Aya se trouvait seule dans la salle d'attente... elle avais le fameux colis que l’hôtesse lui avait remis à l’accueil de la villa, qui comportait la fameuse tenue qu'elle devait porter ce soir... elle ne fut qu'a moitié surprise en ouvrant la boite et en tombant sur un uniforme d'écolière sexy... c'était le fantasme de pas mal d'hommes après tout. Elle se déshabilla rapidement de peur qu'on ne la surprenne en train de se changer et enfila alors les vêtements du colis.

Aya ne savait pas si c'était volontaire ou non mais le moins qu'on puisse dire c'était que l'ensemble n'était pas vraiment à sa taille... la jeune femme se sentait compresser dans cette tenue, la jupe trop courte ne cachait que les deux tiers de ses fesses, le top blanc était presque transparent et on pouvait voir son soutient gorge au travers... seul les bas noir avaient la bonne taille et s’arrêtaient juste en dessous de ses genoux. Elle termina de faire ses couettes au moment ou le fameux monsieur Neiji entra dans la pièce.

A première vu ca avait l'air d'un homme d'affaire vu comment il était habillé, du moins quelqu'un de riche pour sur, pourtant il s'adressa à elle très poliment à sa grande surprise, elle n'aurait pas pensait que c'était le genre de type à s'excuser du retard mais il le fit tout de même et Aya apprécia cette attitude. Elle ne pouvait pas être énervé contre lui aussi elle répondit timidement.

-Bonsoir, il n' y a pas de mal pour l'attente... c'est déjà bien gentil de votre part d’effacer la dette de mon mari, je suis votre obligée...

Elle ne croyait pas si bien dire, la jeune femme suivit alors Neiji pour arriver dans une salle, un espèce de bar ou plusieurs hommes faisaient une partie de billard, elle jeta un rapide coup d'oeil, il n'y avait pas d'autres filles, elle devint tout à coup pas très à l'aise d'être dans cette tenue dans une pièce comme celle ci, elle croisa ses bras devant sa poitrine pour la cacher à travers son haut. Attendant près de la porte qu'on lui dise ce qu'elle devait faire...

Neiji était toujours propre sur lui, vêtu en costume mais il ne fallait pas se leurrer ses belles paroles douces et polies n’était qu’une façade pour mettre la jeune femme en confiance. Tous les deux savaient ce qui allaient se passer ce soir mais ce n’était pas non plus une raison pour que l’ambiance soit froide. L’homme mena donc son invitée dans le salon où ses amis jouaient au billard, rien n’était dû au hasard et chacun avait un rôle à jouer.

Un des hommes s’approcha de Neiji et Aya en ayant toujours sa queue de billard en main. Habillé de manière bien plus décontracté que son patron, le rouquin n’avait pas l’air d’être du genre à passer par quatre chemin afin d’arriver à son objectif et il avait un langage assez cru :

« C’est qu’tu nous ramène une petite poupée. Elle donne envie de la démonter, c’est clair. »

Il sourit en la regardant et s’approcha encore plus pour pouvoir poser sa main libre sur les fesses à peine recouverte par la jupe :

« C’est un joli petit cul que t’as là. Je suis sûr que mes potes ont envie de le voir aussi. Mais avant j’veux qu’tu m’suce »

Il se planta devant elle sans bouger alors que Neiji ne disait rien et était aller se servir un verre de whisky. Le rouquin avait parfaitement lancé les hostilité et la soirée pouvait donc commencer pour le plus grand bonheur de tous. Il n’y avait plus qu’à voir la réaction de la femme venue ici pour offrir son corps pour que son mari n’ait plus de dettes, le chef des lieux aimait beaucoup se scénario.

Alors qu'Aya attendait dans son coin, un des hommes de Neiji arrivait vers elle, il avait clairement une allure de bad boy, rien que la façon dont il s'exprimait la jeune femme savait qu'il était un homme peu recommandable. Elle l'entendit lui dire qu'il avait ramené une sacrée poupée qui donnait envie de la démonter... rien que ça... et ben il ne perdait pas de temps, la belle préféra tournait le regard et faire comme si de rien était. Mais il en avait décidé autrement, Neiji laissa son acolyte seul avec Aya alors qu'il lui posait la main sur les fesses, les touchant malgré sa jupe qui ne cachait pas grand chose, il enchaina immédiatement en la complimentant, si on pouvait appeler ca un compliment, sur la beauté de son derrière... il était sure que ces autres potes à la table de billard voudrait aussi le voir mais avant ça... il voulait qu'elle le suçe...

Le sang de la marié ne fit qu'un tour... elle savait très pertinemment à quoi s'attendre en venant ici, mais elle ne pensait pas que ca arriverait si vite. Elle devrait surement faire deux ou trois pipes durant la soirée, rien de plus, pensait elle naivement qu'ils allaient se satisfaire de juste la mater en petite tenue. Mais avec une tel somme d'argent en jeu elle se fourvoyait... mais la jeune femme n'avait pas le droit à l'erreur... si elle refusait alors elle perdrait tout. Elle lui répondit alors en baissant les yeux, évitant son regard.

-Ah.. oui... tout ce que vous voudrez... je suis la pour ça...

Aya se mis à genoux, sa jupe était si petite qu'en s'abaissait de la sorte elle remontait jusqu'a ses hanches devoilant entièrement son fessier couvert uniquement par sa petite culotte. Ses mains allèrent défaire la fermeture éclair du rouquin et l'abaissa doucement, elle n'était pas pressait de passer à l'action, elle était la jusqu'a demain matin alors autant perdre le plus de temps possible. Elle abaissa quelques peu le tissu et vit une grosse bosse dans le boxer du malfrat... elle hésita un peu avant de plonger sa main dedans pour en sortir sa chose... elle était grosse, vulgairement grosse même, la longueur était normal mais sa queue était épaisse...

C'était la première fois qu'elle en voyait une autre que Ryo... elle n'avait pas du tout envie de faire ça... mais pour sauver sa famille et les économies du reste de sa vie... Aya se mit à le masturber de haut en bas, faisant ressortir sa verge... elle colla sa langue contre son appendice et se mit à le lécher doucement... son gland à la porte de ses lèvres elle le fit entrer et sortir de sa bouche... c'était dégoutant... la jeune femme préférait fermer les yeux en faisant ça... et il fallait dire qu'elle n'y mettait pas beaucoup d'entrain...