Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Quand deux destins se croisent et ce séparent. (PV Kamui)

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Fiela

Humain(e)

cela faisait plus d'un mois que les signes d'un grand malheur se manifestaire, de plus mon côté humain prenait trop le dessus, engendrant des conséquence qui à chaque avait faillit m'attirer les foudres de Zeus

- Fiela ! Vient ici !

La voix de Zeus parcourut tout l'Olympe et j'accourus vers le temple de la divinité.

- Oui Zeus.
- J'en ai marre d'une personne et j'hésite entre le tuer tous de suite ou te laisser l'honneur de le calmer et de lui prendre la vie si nécessaire.
- Qui est-ce seigneur ?
- Meïsa Kamui, celui avec qui tu t'es amouraché.

Mon visage fut parcourut d'un peur et je dit avec une voix qui montrait ma peur.

- Pitié ne le tué pas, je me chargerais de lui, je vous le promet.

- Ha bon ?
- Je vous le promet, aussi ne déversé pas votre foudre sur la seule personne que j'aime.
- Que feras-tu si tu échoues ?
- Je ne sais pas, mais je ferais tous pour que cela n'arrive pas.

Zeus se mit à réfléchir et finit par sourire.

- si tu réussit tu pourras formuler un vœux, n'importe lesquels et il sera exaucer, si tu échoues tu deviendra une humaine et je laisserait le soin à Hera de te punir en lui murmurant que tu as couché avec moi.

J'avale ma salive, si j'étais vraiment humaine alors autant dire que je mourrais très vite sous les mains de la femme de Zeus. Il me congédia et je partie à la recherche de mon essence divin, que Kamui avait en lui et trouva la localisation, il allait attaquer un autre lieux de culte.

Je me matérialise devant ces deux chiens et les tue avant qu'il n'y ai eut une victime, mon regard était triste et joyeux, triste de voir ce qu'était devenue mon amour et joyeux de le revoir, même si ce n'était pas le moment, j'avais prit mon apparence sur Terre et avance vers Kamui en lui criant dessus, disant ce qui j'avais sur le cœur depuis tous ce temps, laissant verser les larmes que j'avais retenues dans l'Olympe.

- Kamui tu es un idiot !! Si tu en voulais aux dieux, tu aurais du me le dire via une prière que tu leurs en voulait, je serais venues te voir ! Mais à la place tu tue des personnes, tu sais pourtant que je déteste te voir faire souffrir les autres !

Je continue à verser des larmes, je les sèches.

- Tu sais au moins que Zeus veux en finir avec toi ?! si il ne l'a pas fait c'est parce que je m'y suis opposée ! S'il te plaît par notre amour, arrête cette guerre. Qu'est-ce que fera Mistile pour expliquer à nos enfants, que leurs parents ne viendront plus jamais les voir ! Je t'en supplie Kamui arrête cette bataille, je suis prête à me mettre à genoux devant toi pour te le demander.

Sans m'en rendre compte je m'approche et enlace le corps de mon époux en pleurant sur son épaule et en disant des  "S'il te plaît" presque inaudible.

Kamui Meisa

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Re : Quand deux destins se croisent et ce séparent. (PV Kamui)

Réponse 1 samedi 29 août 2009, 19:30:57

Le champs de bataille était éreintant, franchement. Je sentais mon bras ma faire affreusement mal. Les mages autour de moi lançait des sorts contre une armée de serviteurs divins. Des dryades, valkyries, des dragons et autres, tous étaient contre nous. Au milieu de la mêlée, je faisais siffler Ashura de droite à gauche, fendant des boucliers d'un mouvement. Je sentais la colère des dieux de me voir contre leurs forces et pire encore, d'y rivaliser. J'avais mal de partout. Mes jambes me soutenaient à peine, mes ailes ensanglantées n'arrivaient plus à battre, mes tentacules gisaient au sol, inertes. Je regardais mes ennemis avec pitié. Le sang qui giclait autour de moi me donnait envie de vomir, mais c'était ça, la guerre. Le temple de Dionysos était devant nous, on y était presque, mais je n'avais presque plus de troupes. Qui aurait pu croire que Zeus protégerais aussi bien un si petit temple. Les pierres noires dans ma poche n'avaient presque plus d'énergie en elles et elles tomberont bien vite en poussière.

Darimon et Caïn étaient à mes côtés, protégeant mes arrières. Mon projet était une véritable folie. Je ne pourrais pas détrôner par moi-même les dieux. Même Luhimi n'y pourrait rien. Jusqu'à maintenant, j'ai enlevé la vie de huit divinités mineures, mais ce n'était rien comparé aux Olympiens. Je voyais bien la terreur qui se teintait sur le visage de mes amis. Dans les enfers, mes troupes étaient en train d'évacuer les morts que j'avais fait. Je savais que je n'avais plus la moindre chance, parce que mes forces n'étaient plus. Je tremblais de partout et, au bout de mes forces, je plantais mon sabre dans le sol et j'invoquai la sorcellerie. Nous fûmes ramené à un avant-poste. Les deux mercenaires n'en pouvaient plus. Sur un sourire désolé, je leur ordonnai d'abandonner cette quête personnelle insensée. De toute façon, je sentais Fiela approcher. M'appuyant contre la pierre d'un pilier, je la vis apparaître et se mettre à m'insulter. Je savais depuis longtemps que la déesse n'était plus vraiment mon Abigaelle, qui n'aurait jamais osé me parler comme ça. Elle était bien moins diplomate que son précédent elle-même. La douleur de la voir était aussi intense que le jour où elle est partie. Alors comme ça, Zeus ne voulait pas jouer fair-play et en finir avec moi d'un coup bas ou d'un coup de foudre (Littéralement parlant). Je la serrai contre moi avec amour. Elle me demandait d'arrêter cette entreprise, que moi-même je trouvais désormais bien futile. Elle me dit qu'elle était prête à se mettre à genoux pour me demander de m'arrêter. Bien sûr, c'était inutile. Aussi, je me mis à genoux devant elle et je la serrai par le bassin contre moi.

-Fiela... tu arrives un peu trop tard pour me demander de me retirer de cette guerre.

Je fermai les yeux et je la serrai encore plus. J'avais toujours espéré la revoir et il fallait que je fasses la plus grosse connerie du monde pour qu'elle vienne enfin à moi. J'étais si fatigué de me battre pour quelque chose que je ne pourrais jamais gagner. Les hommes avaient besoin de relever des défis pour se prouver leur valeur, mais moi, je ne trouvais aucune fierté dans les gestes que j'ai posé. Je ne suis pas Luhimi, moi, mon coeur n'est pas de marbre aux souffrances que j'ai causée. D'une lettre à Hana, nouvelle bien-aimée d'Hadès, j'ai demandé la résurrection de toutes les personnes innocentes que ma croisade avaient dépouillées de leur vie.

-Toutes mes erreurs sont en train de s'effacer petits à petits. Les morts quittent leurs tombes, les temples se font reconstruire et je vais certainement mourir bientôt pour racheter mes péchés... car tu vas bientôt partir et je doutes que tu aies jamais envie un jour de me revoir, cette fois.

Je sentais déjà la colère de ma femme monter en elle, ou alors c'était de la pitié ou du dégout, qu'est-ce que j'en savais, moi, à ce moment. Je souriais légèrement, plein de remords et de culpabilité. Je me relevai doucement et je la regardai avant de l'embrasser passionnément, la serrant contre moi. Certes, je mourrai un jour, mais mes filles seront grandes et Taya n'aura plus besoin de moi, ni même son enfant. Mes pensées se ramenèrent sur la femme que j'aime depuis des années, celle que mon coeur réclame et mon corps désire. Une main tendre glissait dans ses magnifiques cheveux noires alors que ma main libre la soutenait par la taille pour ne pas qu'elle disparaisse, usant d,un tout petit peu de magie.
« Modifié: samedi 29 août 2009, 19:36:30 par Kamui Meisa »
Se battre pour une cause et mourir au combat est chose honorable.
Vivre après une défaite et assumer sa responsabilité est un acte courageux.
Vivre dans la haine et la peur est le comportement d'un lâche.

Fiela

Humain(e)

Re : Quand deux destins se croisent et ce séparent. (PV Kamui)

Réponse 2 samedi 29 août 2009, 21:19:31

Mon côté humain pris totalement le pas, laissant verser d'autre larmes en sentant la baiser et ces mains qui m'enlacèrent , pour ne pas me lâcher, pour éviter que je ne parte encore une fois. Dans mes larmes j'avais de la peine, la peine d'entendre mon époux parler cette manière, il ne voulait pas mon bonheurs ou celle des ces filles ? Mes larmes étaient aussi teintées de fureur, comment pouvait-il se permettre de risquer sa vie ainsi, sans penser au mal qu'il pouvait me faire de cette manière. un coup de tonnerre me fit sursauter, Zeus s'impatientait, je formule une prière lui disant d'aller se faire foutre et de me laisser plus de temps. Je sépara mes lèvre juste de quoi lui murmurer.

- Kamui arrêtes de parler, tu ne dis que des bêtise, je suis celle qui a du le plus s'inquiéter de ton sort, si je n'avais vraiment plus voulut te revoir, j'aurais laissé Zeus te tuer.

Un autre coup de tonnerre gronda et cette fois je dis tous haut ce que je pensais, quitte à me faire punir plus tard.

- Laisse nous ensemble vieux débris ! Laisse nous en paix deux minutes !

Je regarde dans les yeux de Kamui.

- J'aimerais que tu vives aussi longtemps que possible, que je sois la première à t'accueillir de l'autre côté et non le contraire, j'aimerai faire beaucoup de chose, là, maintenant, mais comme tu l'as dit mon avenir ne sera pas radieux, alors je te demande une dernière fois d'arrêter cette guerre et de permettre à ton avenir de briller deux fois plus pour éclaircir le mien. 

Avant qu'il ne réponde, je lui donne un baiser contenant tous l'amour que j'avais pour lui, un amour qui avais été séquestré dans mon coeur et qui avait gagné en intensité, même si je n'était plus Abigaelle, j'avais encore cet amour qui avait grandis pendant notre séparation.

Si il refusait, je devrais me faire saigner le cœur pour le mettre dans un état qui ne le permettrait plus de combattre les dieux et ainsi sauver sa vie, mais je serais punit sur le champs, une divinité ne doit pas changer le cour d'un évènement pour une raison de sentiments comme l'amour, cela avait déjà causer de grand problème il y a longtemps. Je resserre mon étreinte pour garder sa chaleur sur mon corps, mon aura nettoya et fit cicatriser ces blessures.

Je ne voulait pas qu'il périsse, je ne voulais pas qu'il meurs, même si je devais mourir, je ne voulais pas qu'il se batte contre les dieux et y laisse sa peau, tous ce que je voulais, c'était pouvoir vivre avec lui, comme un couple. Un autre coup de tonnerre sonne et atterrit à dix mètre de nous. J'utilise ma magie divine pour que tout éclair voulant frapper Kamui m'atteigne à la place, je voulais protéger mon seul amour, la seule personne qui avait ravit mon cœur, la personne qui élèverais mes enfants avec amour et leurs apprendrait que leurs mère les avaient quittés pour leur bonheur, pour les écarter de tous danger. D'une voix pleurnichant je dit.

- Avant de répondre à ma demande, dis moi comment vont les enfant et Mistile. Est-ce qu'ils sont quand même heureux, malgré que leurs mère les aient abandonné ? Raconte moi comment cela se passe dans les moindre détails.


Kamui Meisa

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Re : Quand deux destins se croisent et se séparent. (PV Kamui)

Réponse 3 samedi 29 août 2009, 21:58:57

Elle était triste, je le sentais en moi. Je sentais Zeus qui voulait mon départ. Je savais que tout devait se terminer et que je reprenne la vie que je menais auparavant. Je caressai tendrement son visage parfait, écoutant chaque mot comme si c'était les derniers qu'elle prononçait à mon égard. Je sentais les orages s'approcher. Elle me réclama une nouvelle fois de tout arrêter, pas en tant que Fiela la déesse, mais la femme que j'ai épousée et que j'aime. Je ne pouvais lui refuser, j'étais incapable de désirer le malheur de cette femme.  Je savais qu'elle le faisait pour mon bien et que lui tenir tête aurait été idiot et totalement vain. Lorsqu'elle m'embrassa de nouveau, je la serrai contre moi pour lui rendre ce baiser. Mon amour et le sien étaient si grand que j'en avais presque les larmes aux yeux. Je caressai sa joue de mes doigts blancs à cause du manque de sang. J'étais très pâle et mes plaies peinaient à guérir, mais elle le fit pour moi. Lorsqu'elle me demanda comment allait les enfants et Mystile, je ne pus m'empêcher de sourire. Je collai mon front au sien et je murmurai:

-Ama grandit et elle te ressemble énormément. Ses mains sont aussi douces que les tiennes. Elle a hérité de ton plus irrésistible sourire qui m'empêche de lui refuser quoi que ce soit. Elle s'ennuie de toi et, bien qu'elle le cache, elle pleure souvent ton départ et me demande toujours de repartir à ta recherche. Hime, pour sa part, ressemble davantage à Izuna qu'à moi-même. Elle a mes yeux, mais ses queues commencent à pousser. Ton départ l'a beaucoup affectée car elle regarde toujours l'Olympe en espérant que tu reviennes pour jouer avec elle. Mystile est surtout celle qui nous soutient tous, comme un pilier. Elle est compréhensive avec les enfants, elle s'occupe de Taya qui accouche bientôt de son garçon et elle m'empêche de perdre les pédales, à commencer par m'avoir privé du saké.

Sur ce, je souris, amusé par certaines choses. Je baissai alors la tête.

-Je crois que nous souffrons tous de ton départ... et c'est de ma faute aussi... je ne suis pas un très bon père... à commencer par cette guerre inutile perdue d'avance qui m'a éloigné d'elles...

Un nouvelle orage résonna, cette fois, je grondai de rage, énervé d'être interrompu par ce vieux sénile capricieux alors que je revoyais mon épouse pour la première fois depuis des années. J'approchai de la trentaine (bien que j'ai encore 19 ans physiquement parlant) et je voulais un peu de calme avec la femme que j'aime.

-C'est bon! Je me retire, alors, tu me laisses un moment avec mon épouse et je fiches le camp à mon tour!

Enfin, le dieu tint sa langue. Déjà que j'en avais marre de tout ça, je n'avais vraiment pas envie d'entendre ce gros bébé pleurnicher parce qu'on se promène dans son espace. Je regardai Fiela avant de l'embrasser tendrement dans le cou, la serrant contre moi. J'avais l'impression que je ne la reverrai pas avant un moment. Bien que je sois immortel, je voyais très bien le temps passer. Je plaquai doucement mon épouse sur le pilier où je me trouvait l'instant précédent puis je m'emparai à nouveau de ses lèvres avec amour, me collant à elle. Je brisai mon baiser et je la regardai dans les yeux. Mes yeux verts se plongèrent dans les siens un moment et je sortis d'une petite bourse un collier que j'avais fait pour elle. Je lui souris avec douceur et le passa à son cou. Il s'agissait d'un collier d'orichalque avec un pendentif représentant un lys fait de rubis. Cinq mois pour faire ce bijou et j'en ai fait quatre autres, pour moi, Ama, Mystile et Hime.

-Je sais que ce n'est probablement pas le moment de te faire une offrande... mais je tenais à te donner ça... J'ai pris des mois pour obtenir ce résultat.

Mes mains sur ses hanches se mirent à les caresser alors que les nuages s'éclaircissait. Pour la première fois depuis notre séparation, une telle proximité avec une femme ne réveillait pas le vice en moi. J'étais calme, je n'avais aucune envie particulière autre que la toucher le plus longtemps possivble.
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Fiela

Humain(e)

Re : Quand deux destins se croisent et ce séparent. (PV Kamui)

Réponse 4 dimanche 30 août 2009, 11:48:59

J'étais contente et triste, contente que tous le monde aille bien et grandisse sans moi, triste car je culpabilisais, si je pouvais revenir en arrière, je le ferais, scellant à jamais mon pouvoir en moi, redevenir la femme que Kamui avait connut, la petite esclave qui lui servait et avait finit par tomber amoureux. Il me donna un collier, je pouvais sentir toutes la douceur de mon mari, juste après qu'il est dit qu'il arrêtait cette guerre. Je sentais que ce collier n'était pas unique, je pouvais voir que la Lys était fait en cinq partie, le coeur de la fleur étant le plus beau, sans qu'il n'ai besoin de le dire, je savais qu'il avait fait les même pour chacun des membre de notre famille. J'utilise une dernière fois mes pouvoirs divin pour que ma famille puisse vivre longtemps, je leurs cédais à tous une partie de mon immortalité. Si tous le monde voulaient attendre mon retour, autant que je puisse les voir dans une autre vie, car nul doute que Zeus me punirait pour ce que j'avais proféré à son égard, même si il me devait un vœu.

L'idée de devoir encore être loin de mon époux m'était insupportable, mais cela serait inévitable la Pythie me l'avait prédit, aussi que j'aurai une autre vie et qu'il se pourrait que je puisse un jour continuer ma vie avec lui, mais que avant cette période je souffrirais. Mais j'allais profiter de cet instant autant que possible. L'espace d'un instant je me mit d'accord avec Zeus pour ma forme de ma nouvelle vie, la divinité le dit son jugement et sa sentence, aussi je décide de faire une autre crasse au dieu.

- Je risque d'être encore absente un moment, cherche moi, demande à nos fille de faire pareille. Je vais me faire encore taper sur les doigt, mais tu sais que j'adore attirer les ennuies. Je vais te montrer à quoi je ressemblerais, mais ne souffre pas si,quand tu me reverras, je ne te reconnais pas. Une divinité ne dois plus se rappeler de son ancienne vie quand elle renait dans le monde des mortels, c'est une règle primordiale.


Mon corps changea, mon époux devais être une peu peiné de devoir à nouveau aller me chercher sous une nouvelle forme, aussi pour le consoler, je me serre le plus possible sur mon époux et lui murmure à l'oreille.

- Kamui, profitons de cet instant le plus possible, pour que malgré que mes souvenirs soient effacés, que je me rappel de ton corps dans les moindre détail.

J'ouvris sa chemise et passa mes mains dessous pour l'enlacer et lui donner un très long baiser.

« Modifié: mardi 01 septembre 2009, 16:17:00 par Fiela »

Kamui Meisa

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Re : Quand deux destins se croisent et ce séparent. (PV Kamui)

Réponse 5 dimanche 30 août 2009, 18:27:51

Lorsqu'elle m'annonça que, par ma faute, elle allait encore être punie et être envoyée loin de moi et qu'en plus, elle m'oublie, mon cœur se serra, mais je m'efforçai de rester sûr de moi. Je la laissai détacher ma cotte de maille et m'enlacer alors que je l'embrassais tendrement. Mon cœur frémissait et craignait son départ mais je devais profiter au maximum de l'instant présent et de laisser ma marque sur son corps pour que sa peau reconnaisse la mienne, que ses lèvres ne soient satisfaites que des miennes et que ma voix lui soit familière même si elle ne se souviendra pas de moi. Elle changea sous mes yeux de physique et je gravai chaque instant dans ma mémoire. Délicatement, j'entourai sa taille de mes bras et je l'embrassai à nouveau, ma langue partant à la recherche de la sienne, si douce, si chaude... Je la serrai davantage contre moi et je l'embrassai dans le cou avec amour. Mystile m'avait bien dit que cela allait arriver. Même si je retrouvais mon épouse, elle ne pourra pas revenir à mes côtés. J'étais condamné à la poursuivre sans cesse, à la tenir dans mes bras qu'un bref instant avant qu'elle ne s'y dérobe pour affaire encore plus urgente. Je me penchai sur elle et je lui mordillai doucement l'oreille en lui chuchotant:

-Si tu savais à quel point je t'aime, ma Fiela... s'il est possible de trop aimer, alors, je t'aime trop... Je te retrouverai, peu importe ce qu'il m'en coûtera, je te serrerai encore dans mes bras, même si je dois te poursuivre dans le Grand Nord.

Je continuai à l'embrasser dans le cou avec tout l'amour que je ressentais pour elle. Doucement, je glissai une main sous sa robe et je caressai doucement sa cuisse. Autour de nous, la sorcellerie déviait la lumière et bloquait les vibrations de l'air, nous rendant invisible et insonore pour les oreilles extérieurs. Mon autre main imita sa soeur et se glissa doucement dans le dos de ma femme pour caresser la chair tendre que cachait ses vêtements. Aucune peau n'équivalait la sienne, aucune peau n'était aussi douce, invitante aux caresses et baisers et capable de faire monter le désir torride qui brûlait en moi. Je la regardai tendrement avant de l'embrasser sur les lèvres, d'une passion hors de l'ordinaire, dénonciatrice d'un amour sans borne. Je ne sais pas combien de temps je passai à l'embrasser, mais ce fut un sacré moment. Je décollai à nouveau mes lèvres des siennes, un fil de salive unissant toujours nos langues qui se rompit la seconde suivante et je lui souris.

-Peu importe les moyens, je te ramènerai à la maison... et cette fois, je te ferai un enfant, Fiela... un vrai.

Je lui souris. Bien sûr, je ne disais pas cela pour dire que je ne considérais pas mes homuncules pour mes enfants, mais je voulais surtout qu'elle forme un réel lien maternel avec son propre enfant. Certes, l'amour qu'elle portait à l'homuncule qu'on a créé était digne de celui d'une mère, mais le véritable lien se fait alors que l'enfant grandit à l'intérieur de sa mère, alors qu'il se prépare à venir voir tous ceux qui l'attendent. C'était ca être une mère, il fallait donner naissance dans l'effort. L'alchimie, c'est simple et cela ne demande que l'équivalent, mais un enfant conçu dans l'amour était inégalable, et cela, Fiela le savait très bien.
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Fiela

Humain(e)

Re : Quand deux destins se croisent et ce séparent. (PV Kamui)

Réponse 6 dimanche 30 août 2009, 19:55:22

Pourquoi les Parques s'amusent-elle à nous torturer de cette manière, je ne sais pas mais j'aimerai avoir la réponse. Je devais laisser mon statut de déesse de côté, je devais tous laisser du passé et garder au plus profond de mon être ce que Kamui voulait me graver sur ma peau et dans mon esprit. Je laisse ma langue emprisonner la mienne et ces bras enlacer ma taille pour m'approcher en douceur vers lui. Je me laisse allez à ce que mon coeur me dictait.

- Si mon amour avait une puissance elle pourrait renverser tout les obstacle qui nous sépare.

Je laissa les baiser de Kamui embraser mon corps, ma jambe dont la cuisse était caressée par mon époux se leva pour enlacer ces hanches, alors que mon dos recevais la main douce de Kamui qui passait ces doigts dessus  faisant frémir ma peau, je fermait les yeux, pour mieux ressentir ces caresses et l'enfouir plus facilement en moi, même si Zeus me murmurait que cela ne servirait strictement à rien, je plaça un prière lui disant de se la boucler et de me laisser profiter de cet instant et qu'après je serais se qu'il veut que je sois.

La remarque de me faire un enfant me fit sourire, comme j'aurais un nouveau corps, il était tout à fait possible que je puisse enfin enfanter et cela me rendrait heureuse de pouvoir offrir de mon être un petit frère ou une petite sœur à Ama et Hime. Je me décola et me mit à embrasser sont torse, remontant petite à petit, passant par le cou et lui rendit le mordillement à l'oreille.

- Je te le promet, dès que tu m'auras retrouvée et reconquis, je te donnerais un autre enfant et cela m'apprendra des choses que je ne pouvais pas faire.

Je fit glisser ma robe dévoilant un soutient-gorge bleu ciel avec la culotte assortie. Me plaque ma poitrine contre son torse, non sans le caresser, je sentais que Zeus voulait couper court à cette situation mêlant romantisme et drame, aussi je lui murmura à l'oreille.

- Si nous partagions à fond de nos dernier moments en tant que couple immortel.
« Modifié: mardi 01 septembre 2009, 16:17:37 par Fiela »

Kamui Meisa

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Re : Quand deux destins se croisent et ce séparent. (PV Kamui)

Réponse 7 dimanche 30 août 2009, 21:27:14

Si seulement tout était plus simple, si seulement elle n'avait pas été destinée à devenir une déesse et si seulement je n'étais pas aussi attiré par elle. Mon corps au complet voulait le sien, mon âme et mon esprit étaient toujours à sa recherche, voulant être près d'elle. Lorsque sa robe tomba, ma cotte de maille l'accompagna sur le sol ainsi que mon pantalon alors que j'unissais mes lèvres aux siennes encore une fois. Je ne pris pas racine et je me mis à masser doucement son sein gauche de la main droite alors que ma main gauche détachait doucement sa culotte avant que celle-ci ne tombe à son tour. Son corps était toujours aussi parfait. Peu importe ce qu'elle était ou qui elle était, elle restait parfaite. Je lui souris tendrement. Cette fois, je ne la laisserai pas se dérober à moi, quitte à me taper une petite foudre. Je frottai doucement son nez au mien.

-Je t'aime, Fiela.

Doucement, je lui retirai son soutien-gorge et je l'admirai dans son plus simple appareil. Je me mis alors à embrasser son cou, au niveau de la trachée, remonter sa mâchoire, atteindre son oreille pour en mordiller doucement le lobe, redescendre sa nuque avant de continuer ma descente sur la colline de chair de son sein droite, couvrant le globe de baisers amoureux. Lorsque j'atteins enfin son mamelon, je me mets à caresser son auréole divine du bout de la langue puis à laper la petite pointe qui durcissait lentement. Lorsqu'elle fut assez dure, je me mis à la suçoter doucement. Après quelques secondes de ce traitement, je retournais assiéger son cou à coups de baisers, mordillements et suçons. Ma main libre caressait doucement une de ses fesses et je retournai l'embrasser sur les lèvres.

-Tu vas me manquer horriblement... encore une fois...
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Fiela

Humain(e)

Re : Quand deux destins se croisent et ce séparent. (PV Kamui)

Réponse 8 mardi 01 septembre 2009, 18:16:04

Kamui n'avait pas changé, enfin si, il était encore plus fou amoureux de moi, pour preuve qu'il me tenait fermement. Je le laissa s'emparer de mon corps d'y faire ce que bon lui semblait, n'est-ce pas une marque de confiance ? Je sentait la chaleur de sa main s'imprégner dans la chair de ma poitrine.

Mon époux me retira les dernier vêtements qui m'habillait, mais je ne rougie pas, avec le temps j'avais apprit à ne plus ressentir la moindre gêne à être toute nue, je ne montrais pas le plaisir qui commençait à apparaitre, permettant de faire durée encore plus longtemps ce moment. Zeus nous observait, mais je n'avais que faire des dieux maintenant, j'allais redevenir ce que j'aurais du être depuis toute ma vie, une humaine toute simple. Je savourait chaque instant m'imprégnant le plus possibles de la douceur de ces lèvres, de la sensations que ces mains dégage et j'entendis sa remarque, une larme coula le long de ma joue.

- Toi aussi tu vas me manquer, dis toi que comme j'oublierais, ma souffrance sera atténuée.

De ma mains droite je me mit à caresser le cou et le menton de Kamui.

- Montre toi fort et dis toi que quand tu me retrouveras je ne partirais plus jamais.

Une autre larme perla ma joue pour tomber au sol. Je savais qu'il ne fallait pas que je pleure, que je reste forte, mais c'était trop ... trop douloureux, même si je restais humaine, je mourrais avant eux et c'est moi qui devrais les attendre de l'autre côté. Je l'embrasse, pour masquer mes larmes, je ne voulais pas qu'il me voit pleurer, je l'enlace avec toute la force que j'ai, en pleurant.

- Je ne veux pas encore attendre ! Je ne veux pas encore voir ton visage triste quand tu vois une autre Fiela devant toi ! Je veux ... Je ...

Je continuais à pleurer, comme la bonne vieille Abigaelle que Kamui avait connut, celle qui avait peur de l'inconnue, celle qui ne savait pas quoi faire toute seule et qui s'apaisait sous les caresse de son maître, devenue plus tard son époux. Je ne voulais pas encore le quitter, si j'avais sut je ne l'aurait pas rencontrée, pour lui donner du bonheur et non des malheur.

 

Kamui Meisa

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Re : Quand deux destins se croisent et ce séparent. (PV Kamui)

Réponse 9 mardi 01 septembre 2009, 22:28:35

Lorsque je la vis pleurer, je sentis immédiatement mon cœur se serrer dans ma poitrine. Je cessai mes caresses sur le champ puis je la regardai dans les yeux. Doucement, je séchai ses larmes sur ses joues des pouces puis je l'attirai contre moi pour la serrer avec amour. Peu importe qui elle était pour le reste du monde, Fiela sera toujours la même pour moi, la demoiselle douce que j'ai épousée et que j'aime de tout mon cœur. Doucement, je l'embrassai sur les lèvres en la serrant contre moi. Je ne voulais plus qu'elle soit triste. Je pris ensuite son visage entre mes mains en collant mon front au sien, plongeant l'émeraude de mes yeux dans les siens.

-Fiela... je t'aime plus que tout... et je ne serai pas long, je te le promets. Je ne te ferai pas attendre.

Je frottai doucement mon nez au sien puis je l'embrassai doucement dans le cou. Je ne supportais pas la voir pleurer, parce qu'elle ne méritait pas d'être triste. Elle devrait être vouée au bonheur après tout ce qu'elle a vécu. Après quelques baisers sur sa nuque, je remontai embrasser ses lèvres avec tendresse. Si quelqu'un devrait souffrir, c'était moi et pas elle. Je lui souris un moment puis je pris sa main dans la mienne et, du pouce, j'en caressai le dos. Mes yeux s'emplirent de mélancolie alors que je pensais que même si je la recherchais, les risques qu'elle tombe amoureuse d'un autre étaient très grands et je manquai de m'étouffer avec la boule de tristesse qui me remontait la gorge. Je la réprimai cependant pour ne pas affoler mon épouse et je m'agenouillai. Je pris doucement une de ses jambes et, commençant par le pied, je couvris sa peau de baiser amoureux, embrassant ensuite l'intérieur de sa cuisse.

-Je voulais te demander pardon... pour toutes les fois où je t'ai fait de la peine... que je t'ai fait souffrir... que je n'ai pas été un bon mari... pour toutes les fois où je t'ai rendue malheureuse... pardon pour tout, ma chérie...

Je repensai aussi aux fois où je l'ai trompée, à cause de ce vice et ce besoin de luxure incontrôlables en moi et la culpabilité vint s'ajouter à la tristesse qui habitait déjà mon cœur. J'étais vraiment trop nul... j'étais loin de la mériter et pourtant, elle disait qu'elle m'aimait et que j'allais lui manquer. Je restai là, immobile, à embrasser sa jambe, me préparant à un sacré coup de genoux que j'aurais certainement bien mérité. Elle aurait le droit d'être vexée par mon infidélité et en plus, à cause des résidus de sa force en moi, elle pouvait savoir ce que j'ai fait, tout ce qui pourrait la pousser à ne plus jamais me revoir, mais Fiela était exceptionnelle et elle savait que les hommes étaient déjà des êtres plein de vice et qu'avec un déclencheur en plus en moi, je ne pouvais réfréner ce vice et je me laissais aller au péché.

-Je serai quelqu'un de bien pour toi, à l'avenir... c'est promis...
Se battre pour une cause et mourir au combat est chose honorable.
Vivre après une défaite et assumer sa responsabilité est un acte courageux.
Vivre dans la haine et la peur est le comportement d'un lâche.

Fiela

Humain(e)

Re : Quand deux destins se croisent et ce séparent. (PV Kamui)

Réponse 10 mercredi 02 septembre 2009, 09:45:22

Je l'entendais me faire la promesse de venir me trouver rapidement et je lui répondit avec ma voix douce.

- J'attendrai ta venus, même si c'est dans dix, vingts, cent ans. Je prierais pour une amie d'en haut, pour qu'elle te bénisses dans ma recherche.

Kamui continua de me caresser le dos,mais je sentais bien que quelque chose le tracassait, une peur, je savais très bien à quoi il pensait et préfère taire ce que je voulais dire, puis vint des excuses avec de nouveaux baiser, il n'eus rien hormis ma main sur ma tête.

- Nous avons tous deux pêchés, aussi reste le même, tant que tu me murmure ton amour et que tu reste aussi gentil avec moi et notre famille, cela me convient. Nous avons tous deux connut la corruption par le vice, aussi je vais te le retirer pour que tu deviennes l'époux que j'ai toujours aimé.

Je ferme les yeux et concentre les résidus en lui dans ma main, une fois tous retiré, un trait de lumière partie dans le ciel, jusqu'à disparaitre de notre vue, je pris le visage de Kamui, que je colle contre mon ventre, lui caressant les cheveux, comme il aimait me le faire, avec tendresse.

- L'infidélité permet aux être humain de connaitre leurs amour envers une personne, aussi ne change pas, si tu veux passer une nuit avec une femme, je ne te blâmerais pas, si tu veux être dans les bras d'une femme se comportant comme une mère, alors ne refuse pas ces moments d'apaisements. Si une femme te déclare son amour agit normalement, ne pense pas toujours à comment je réagirais, car j'accepterais tout tes choix, même si c'est partager mon époux.


Ce que je disait étais vrai, je pouvais faire tous les sacrifice pour que pendant mon absence il reste heureux

Kamui Meisa

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Re : Quand deux destins se croisent et ce séparent. (PV Kamui)

Réponse 11 mercredi 02 septembre 2009, 13:32:31

Je sentis alors l'espèce de déclencheur quitter mon corps. Surpris mais soulagé, je sus que Fiela me le retirait. Je n'étais plus un demi-dieu, car les poussières divines n'était plus en moi. Je la laissai m'attirer contre son ventre, comme je le faisais moi-même lorsqu'elle était troublée, triste, effrayée ou repentante. Je la laissai me réconforter, ses paroles réchauffant mon cœur, y retirant le doute et la culpabilité pour le remplacer par une douce sensation d'apaisement. Je ne pourrais jamais trouver une personne aussi parfaite qu'elle ne l'était. Je me relevai doucement et je caressai sa joue. Cette peau si douce, ce visage parfait que je gravais dans ma mémoire. Fiela était vraiment faite pour moi et sa compréhension me touchait énormément. Maintenant que le vice n'a plus son amplificateur, je serai capable de résister aux autres femmes, bien que je risques, en tant qu'homme, de succomber quand même. Doucement, je l'embrassai tendrement, la serrant contre moi.

-Je ne ferai pas de femmes autres que toi. Je n'aime que deux autres personnes, dont l'une me hait depuis que je m'en suis prit à Hadès dans les enfers. La seconde vit avec nous depuis un moment.

Je ne lui dis cependant pas qu'il s'agissait de Taya et qu'elle portait en plus mon enfant en elle, appréhendant sa réaction qui ne promettait pas d'être plaisante du tout. Certes, j'ai conçu un enfant avec ma sœur, ce qui était un péché énorme, mais d'un autre côté, nous étions deux êtres humains qui s'aimaient et qui étaient consentants. Surtout que j'ai encore plus de responsabilité envers ma sœur que j'en avais déjà, incluant de les protéger, elle et l'enfant qu'elle portait.

Doucement, je me remis à genoux et j'embrassai doucement son ventre, le couvrant de petits baisers et suçons ici et là. Je descendis davantage et je lapai doucement son pubis, poil pubien compris dans le traitement. Glissant mes bras entre ses jambes de manière à ce qu'elle soit "assise" sur mes épaules, je saisis doucement ses fesses, les malaxant tendrement en la soutenant, alors que je lapai maintenant son intimité sans le moindre scrupule, comme une glace. Je parcourus ses grandes lèvres du bout de la langue environ une dizaine de fois puis j'enfonçai mon appendice lingual entre elles. Je caressai les petites lèvres avant de monter, les yeux fermés, vers son clitoris, passant sans gêne sur son urètre. La petite boule de chair fut saisie entre mes lèvres et doucement suçotée. Je n'avais aucun tabou quand je faisais l'amour, excepté la fellation, qui était, à mes yeux, une preuve de soumission de la part d'une femme, ce que je n'aimais pas particulièrement, car dégradante.

Après quelques minutes de traitement, je relevai la tête.

-Tu n'auras pas à attendre plus de deux ans. Je te retrouverai dans deux ans, c'est une promesse.
« Modifié: lundi 16 novembre 2009, 13:29:04 par Kamui Meisa »
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Fiela

Humain(e)

Re : Quand deux destins se croisent et ce séparent. (PV Kamui)

Réponse 12 dimanche 06 septembre 2009, 10:42:47

J'étais heureuse pour lui, il avait quelqu'un à aimer pendant mon absence, je n'éprouvais pas de jalousie, car je connaissais Kamui et j'arrivais à ressentir qu'il me cachait quelque chose au sujet de cette femme chez nous, même si c'était Mistile, je ne lui reprocherait rien, Kamui ne choisirait jamais une femme qui ne veuille pas m'accepter et puis tant que mon époux était joyeux, cela me convenais.

Je me laisse faire et il me prend dans une position que je n'avais encore jamais faites, cela eut comme réflexe de me faire pousser un petit cris de surprise, suivit rapidement de gémissement, il était toujours aussi habile avec sa langue, très vite je me détendis pour profiter un maximum des sensation qu'il m'offrait.

Puis il me dit que je n'aurais qu'à attendre deux ans maximum, je lui fit un sourire.

- Essayons de nous rejoindre le plus vite possible.


Je pris cette fois les commande, je fis fais un demi-tour à mon corps, de tels sorte à ce que pendant qu'il continue à s'occuper de mon sexe, je puisse occuper le sien, j'avais donc la tête en bas, une fellation aurait été plus facile, mais la dernière fois que je l'avais fait, il n'avait pas trop apprécié, donc j'utilisai mes seins pour prendre en sandwich son membre et j'utilise ma langue pour titiller son gland. La poitrine était très sensible, je fit des mouvements pour exciter le membre de Kamui, tout en mettant de léger coup de langue.

Kamui Meisa

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Re : Quand deux destins se croisent et ce séparent. (PV Kamui)

Réponse 13 dimanche 06 septembre 2009, 17:47:32

En la voyant changer de position, je me dépêchai de me redresser pour ne pas qu'elle se frappe la tête sur le sol. Pour l'empêcher de tomber, je l'adossai sur le mur, continuant de lécher son intimité avec une tendresse infinie. Lorsque j'eus fini d'ingurgiter son divin liquide, je sortis mon visage de son entrejambe pour respirer. Soudainement, deux tentacules surgirent du sol, munis de petites bouches. Elles se posèrent sur sa poitrine et entourèrent de leurs mamelons pour les étirer avec force de suçotements. Puisque ses seins étaient très sensibles aux caresses, je devais leur donner leur content.

Sentant ses caresses sur mon membre, je ne pus que lâcher un soupir de plaisir. Elle avait vraiment une poitrine d'une douceur hors du commun et une langue parfaite. En plus, puisqu'elle s'exerçait dans son domaine, ses caresses étaient encore plus efficace. Pour ce qui est de ce domaine, j'en savais un rayon, puisque moi-même, je pouvais faire jouir une femme normale en trois minutes, ce qui n'est pas long du tout. Un sourire triste se dessina sur mon visage alors que je me remis à lécher ses lèvres humides. Je n'arrivais pas à croire que j'allais la perdre à nouveau... et qu'en plus, elle ne se souviendra pas de moi. Une bouffée de tristesse remonta et une larme perla de mes yeux alors que je pensai qu'elle pourrait tomber amoureuse d'un autre et qu'elle décide de vivre sa vie avec lui, m'effaçant de sa vie et de son avenir. Vint ensuite la jalousie dans mon coeur, parce que je savais que si elle donnait son coeur à un autre que moi, je sens que je deviendrai fou. Taya était importante à mes yeux, car elle portait mon enfant et que je l'aimais beaucoup, mais c'était avec Fiela que j'avais décidé de passer ma vie. La savoir capable d'aimer un autre parce qu'elle ne se souviendra plus de moi éveilla des tremblements horribles dans mon corps. Mais aussitôt que ces tremblements se montrèrent, je repris le contrôle et je les arrêtai pour ne pas affoler mon épouse. Doucement, je la replaçai tête en haut.

-Je préfères être capable de te voir...

De toutes façons, si elle restait comme ça, elle risquait d'être malade et ça gâcherait notre dernière nuit ensemble. Nos lèvres s'unirent à nouveau alors que les tentacule sur sa poitrine la laissèrent tranquille pour s'enrouler autour de ses genoux et la soulever, lui gardant les jambes parfaitement écartées. Bien sûr, je lui accordait toutes possibilités de mouvements, la laissant se libérer quand elle le voulait. Je repris un beau sourire, décidant de reprendre des pensées positives. Après tout, je la retrouverai très vite. J'en étais sûr et même persuadé. Si j'y mettais les efforts nécessaires, je pourrai la ravoir dans mes bras dans quelques mois tout au plus. Je décrochai mes lèvres de la douceur des siennes puis je me mis à genoux pour suçoter son clitoris en enfonçant mon index en elle, y faisant quelques ronds pour étirer ses parois vaginales, y cueillant un peu de cyprine avant de ressortir et d'aller l'étendre doucement sur son anus pour le lubrifier. Je collai mon corps contre elle, bassin contre bassin, lèvres contre lèvres.
Se battre pour une cause et mourir au combat est chose honorable.
Vivre après une défaite et assumer sa responsabilité est un acte courageux.
Vivre dans la haine et la peur est le comportement d'un lâche.

Fiela

Humain(e)

Re : Quand deux destins se croisent et ce séparent. (PV Kamui)

Réponse 14 mardi 06 octobre 2009, 20:23:49

Dire que cette nuit sera la dernière avant de devoir de nouveau nous séparer, que je maudissais ma naissance, tout en la gratifiant pour la rencontre de mon amour, Kamui était mon âme soeur, mon autre moi, la moitié de mon corps et le destin s'acharne à me l'arracher.

Je ne cacha pas mon plaisir en sentant deux formes longue et infini entourer et prendre dans leurs étreintes, chaude et ferme ma poitrine, je continua de mon côté la mise en place du second acte, tout en gémissant sous les étirements de mes tétons, je sentais qu'il avait lui aussi sa dose de plaisir, mais je voulais lui en procurer plus, inconsciemment je voulait montrer à Kamui que j'étais la meilleur femme au lit. Que voulez-vous l'instinct de compétition existe partout.

Je ne fut nullement offensée qu'il veuille que j'arrête d'avoir la tête en bas et il avança davantage, tout en le faisant avec lenteur, dans les préliminaires. Etant dos à la pierre, je releva mes mains, formant des arabesques sur le granit, pour finir les mains vers le ciel, tels une vierge ayant rencontrée son héros, une image romantique et qui ravirait Kamui, je savait que même son côté sombre ne serait pas indiffèrent à ce spectacle qui aurait charmer un aveugle.

Un son sortie de ma ouche quand une petit doigt, quelque peu baladeur, se mit à visiter mon vagin, pour utiliser mon liquide comme lubrifiant sur mon anus, cela me fit frissonner de plaisir, même si j'avais en tête de faire durer le moment trop longtemps, je voulait entrer dans les ébats plus rapidement, non sans pour autant forcer mon amour. Nos lèvres et nos corps ne forment plus qu'un et je bougea un peu mon bassin pour que son pénis, qui était entre mes jambes, frôle mon entre-jambe, je glissa ma main droite entre nos deux corps et pris fermement son membre génital, sans pour autant lui faire mal, mais la pression que j'exerçais permettait de garder le membre bander, près à l'emploi, je lui murmura avec douceur et délectation à l'oreille.

- Si nous commencions vraiment à gouter à cette nuit.


Aussitôt, je le fis légèrement reculer, pour pouvoir faire coulisser son membre dans mon vagin, en y allant en douceur, cela faisait tous de même longtemps que je n'avais pas eut une personne qui me fasse l'amour et donc j'étaie un peu rouiller sur le principe. Une fois bien installée, je m'avança vers lui pour me retrouver, les mains attacher autour de son cou et mes jambes replier derrière son dos, près à subir les assauts qu'il allait me donner, non sans douter qu'il y mettrait de la douceur.


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