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L'Invocation [Sœur Alix]

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Le Diablotin

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L'Invocation [Sœur Alix]

lundi 02 juillet 2018, 00:41:13

Couvent de la Sainte-Espérance
La nuit


Seikusu n’était pas une ville comme les autres. C’était une ville magique, où on trouvait quantité de choses incroyables, d’artefacts magiques, de créatures surnaturelles, et même de super-héros ! Dans ces conditions, il était normal que l’une des sœurs du couvent ait fini par proposer cette idée incroyable : appeler un Ange par le biais d’un rituel magique et de la prière ! C’était une tâche très saine, supervisée par l’une des sœurs supérieures du couvent, Sœur Carmilla, et, pour l’occasion, Carmilla avait réuni un petit groupe de sœurs pour organiser le rituel, comprenant :




Ce rituel était visiblement très important, et Carmilla avait insisté pour que les religieuses y participent. Le rituel était organisé dans la chapelle du couvent, devant la nef. Un haut lieu symbolique, et qui était fermé ce soir

« Allez-y, mes sœurs, leur intima Carmilla, agenouillez-vous à chaque pointe du sceau magique. »

Sœur Carmilla avait tracé à la craie un long cercle avec une série de glyphes. L’idée était ensuite de réciter une longue litanie écrite, non pas en latin, mais dans une autre langue, Carmilla ayant indiqué qu’il s’agissait de la langue pure des Anges. Elle leur avait expliqué tenir cette formule de l’un des grimoires sacrés du couvent, et personne n’avait cru bon de contester devant elle ses dires. Après tout, Sœur Carmilla était l’une des dirigeantes du couvent, une femme à la beauté redoutable, mais qui se montrait aussi très proche des nonnes. La vie dans un couvent n’était pas très facile, et les sœurs étaient donc très proches les unes des autres.

Le rituel put donc commencer. Carmilla y participait, et, au bout de quelques instants, des courants d’air émanèrent du sceau, tandis que les lignes tracées à la craie se mirent à scintiller. Carmilla avait disposé plusieurs bougies tout autour du cercle, et plusieurs s’éteignirent, tandis que les sœurs répétaient à foison les mots inscrits sur leurs feuilles. Finalement, de la fumée s’échappa des bougies, jusqu’à former une épaisse couche de fumée au centre du sceau. Impossible d’y voir quoi que ce soit, jusqu’à ce que les religieuses puissent commencer à discerner une forme humanoïde à l’intérieur…

…Et, quand la fumée disparut, les religieuses purent voir le corps rouge et seyant d’un démon nu, avec une magnifique verge, une queue caudale, en train d’embrasser à pleine bouche Sœur Carmilla, qui se tenait à côté de lui, une main griffue sur les fesses de la religieuse.

L’invocation avait réussi… Mais ce n’était visiblement pas un Ange ailé qui venait de sortir !
DC d’Alice Korvander.

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SoeurAlix

Humain(e)

L'Invocation [Sœur Alix]

Réponse 1 lundi 02 juillet 2018, 10:09:44

La nuit tombe, sur le Couvent de la Sainte Espérance, et je suis très fébrile. Sœur Carmilla, l’une des plus vénérées, même plus que la Mère sup, m’a fait l’immense plaisir de m’inviter à participer à un merveilleux miracle. J’ai beau avoir pesté, depuis mon arrivée, sur cette maudite prison qu’est le couvent, je reste intéressée par cette expérience : nous allons faire venir un Ange. Allez, si ça marche, je veux bien revoir mes pensées anti-religieuses, surtout s’il est aussi beau qu’on en voit dans les représentations. Un beau blond, juste avec une tunique légère, qui cache à peine une virilité majestueuse, voilà qui égayera ces mornes lieux.

Sœur Carmilla est une religieuse que j’adore, que je respecte, que je crains. Je l’adore, car elle a gardé un côté humain, malgré la tenue de nonne, et elle est d’une beauté à faire se damner les saints, gardant cette fraîcheur et ce charme, malgré les interdictions du moindre maquillage que nous avons ici. Je la respecte, car sa parole est juste, posée, irréversible, et qu’elle a toujours été conforme à tout ce qu’elle m’a dit, que ce soient consignes ou conseils. Je la crains car, parfois, je vois passer dans ses yeux une étrange lueur, et je sens parfois dans sa voix un certain écho.

Mais je ne suis pas seule avec Sœur Carmilla. Trois autres religieuses, novices ou plus anciennes, ont également été conviées. D’abord, il y a Sœur Jeanne, une nouvelle venue si fraîche, mais que j’espère assez forte pour ce soir ; c’est même surprenant qu’elle soit là, aussi novice. Puis il y a Sœur Louise, si jolie, si secrète, si fragile dirais-je, que j’ai parfois eu envie de prendre sous mon aile. Et enfin il y a Sœur Marie, presque aussi belle que Sœur Carmilla, mais si mystérieuse parfois, presque trop belle et trop douce pour ne pas cacher quelque secret.

Etrange groupe, mais je fais confiance à Sœur Carmilla. Toutefois, c’est quand nous prenons place, dans la chapelle, que me vient une question. Nous sommes cinq. Mais pourquoi cinq ? J’essaie de rassembler mes connaissances. Cinq comme un pentacle, mais cinq pointes sur un cercle, et avec tous ces symboles au sol. Je n’ai pas le temps de réfléchir, que Sœur Carmilla me tend, comme aux autres, un papier avec un truc incompréhensible à lire. Il paraît que c’est la « langue pure des Anges », mais, si je lis ça à haute voix, peut-être répéterai-je, sans le savoir, que « je veux me faire enculer par dix démons ce soir ».

Pas le temps de réfléchir, la lecture commune commence, litanie inintelligible à haute voix, et, plutôt vite, des choses bizarres apparaissent. Je vois Sœur Jeanne qui ne semble pas très à l’aise, contrairement à Sœur Carmilla dont la lueur dans les yeux fait écho aux lumières, parfois vacillantes, des bougies. Mais nous ne faiblissons pas dans notre lecture ; je le veux, moi, ce bel ange monté comme un dieu, au moins le voir à défaut de le toucher. Il y a bien quelque chose qui va sortir de la fumée qui envahit les lieux !

Ah oui ! Sauf que ce truc n’est pas blanc pur, mais rouge vif, et qu’il est en train d’embrasser Sœur Carmilla, tout en la pelotant. Eh ben, si tous les anges sont comme ça, je vais réfléchir.
« Oh, cette queue ! », lance-je, presque malgré moi. Enfin, je voulais parler de l’excroissance caudale de ce qui ressemble plus à un démon qu’à un ange, en fait, et pas du machin énorme qu’il a entre les jambes, et qui doit vous ramoner la chatte à vous faire monter plus haut que le septième ciel. Sauf que, quand je vois le clin d’œil d’une de mes comparses de rituel, j’en déduis que mon expression a été tout autrement interprétée.

D’ailleurs, je n’arrive pas à détacher mon regard de cette verge ! Si Maxime en avait eu une comme ça, je l’aurais harcelé jour et nuit. Mais, si mon regard à moi est captivé, je trouve que Sœur Carmilla ne met pas grand entrain à s’extraire de cette emprise ; même à travers sa robe de bure, ça a l’air de lui plaire, la main au cul. En plus, elle n’a pas non plus l’air d’être gênée par le patin qu’il lui roule.
« Modifié: lundi 09 juillet 2018, 09:34:45 par SoeurAlix »

Le Diablotin

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Re : L'Invocation [Sœur Alix]

Réponse 2 lundi 09 juillet 2018, 00:32:26

L’apparition de ce démon n’était pas normal. N’était-ce pas un Ange qui aurait dû être invoqué ? Si oui, alors les anges avaient décidément une apparence très particulière... Entièrement nu, l’individu embrassait délicieusement Carmilla, sous le regard médusé des quatre religieuses. Un moment assez plaisant, tandis que sa verge dressée faisait face aux quatre sœurs. Des quatre, Sœur Maria semblait être la moins surprise, se pinçant doucement les lèvres, tandis que le baiser entre le démon et Sœur Carmilla se poursuivit encore. Les nonnes purent entendre leur sœur supérieure soupirer doucement, gémissant tandis que la langue du démon s’insinuait dans sa bouche, et que sa main se crispait plus fermement encore sur son cul, tirant doucement sur sa bure.

Puis le baiser se rompit et le démon porta son attention sur les quatre religieuses, silencieusement agenouillées sur le sol, malgré la remarque de Sœur Alix sur sa queue... Qui n’avait pas échappé à l’oreille attentive de l’incube.

« Bien, mes sœurs, il est temps de vous expliquer la raison de ce rituel...
 -  Tu as trouvé une belle sélection, Carmilla... Comme toujours.
 -  Douterais-tu de moi ? ironisa Carmilla en souriant doucement.
 -  Jamais, et encore moins maintenant » répliqua-t-il en souriant également à son tour.

Carmilla regarda ensuite à nouveau les religieuses.

« Mis à part Sœur Maria, qui était là lors du dernier rituel, pour vous trois, c’est une première. Vous devez savoir que le Couvent de la Sainte-Espérance a, comme bien des bâtiments de Seikusu, connu un véritable renouveau après la guerre. Le couvent avait été détruit, et, lors de la reconstruction, les religieuses de l’époque ont recueilli bon nombre d’orphelins, dont certains étaient... Sexuellement perturbés. C’est là que le couvent a vu se développer en son sein une confrérie plus secrète, pour canaliser l’énergie sexuelle des sœurs de l’époque. Le rituel a perduré depuis, et est organisé par moi. »

Une histoire que les jeunes religieuses devait partiellement connaître. Lors de la Seconde Guerre Mondiale, Seikusu avait été ravagée par les bombardiers américains, qui avaient jeté sur la ville de multiples bombes incendiaires. D’innombrables bâtiments avaient été rasés, Seikusu ayant été l’une des villes japonaises les plus meurtries par les raids aériens américains. L’incube se déplaça doucement, observant les femmes, une belle érection redressant toujours fièrement son sexe.

Carmilla reprit à nouveau :

« Je suis une sorcière avant d’être une religieuse, mes beautés. Sœur Maria est l’une de mes plus fidèles disciples, et ce démon que vous voyez est un incube... Il s’appelle Alastar Magoa, mais on le connaît davantage sous le sobriquet du...
 -  ...Du Diablotin. »

Alastar se déplaça alors, et sa main caressa le visage de Sœur Alix, glissant sur sa coiffe, tandis que son sexe s’approchait de ses lèvres. La jeune religieuse put alors constater que le sexe de l’incube dégageait une délicieuse odeur. C’était une odeur puante, comme pouvait l’être n’importe quel sexe, mais... Avec une sorte d’agréable arrière-goût.

« Carmilla choisit les nonnes les plus dépravées du couvent pour l’organisation de ce rituel. Vous pouvez voir ça comme une sorte de catharsis... Pendant une nuit, je vais exaucer tous vos fantasmes les plus fous, et l’une d’entre vous aura la chance inouïe de porter mon enfant. »

Les règles étaient toutefois claires, et, même si les religieuses avaient invoqué le démon dans une langue qu’elle ne connaissait pas, Alastar ne pouvait pas usurper leur consentement.

« Si cela vous convient, mes chéries, vous pouvez déposer un baiser sur mon sexe, en jurant d’être mien jusqu’à ce que le soleil se lève. Dans le cas contraire...
 -  Si vous avez peur, j’utiliserai un sort d’amnésie sur vous, de sorte que vous oublierez ce qui vient de se passer... Mais vous n’aurez plus jamais l’occasion de participer à ce rituel, et d’assouvir vos fantasmes avec l’amant le plus exceptionnel qui soit. »

Visiblement, Carmilla était depuis longtemps sous le charme du démon... Mais pouvait-on en dire autant des jeunes religieuses ? C’était à voir !
DC d’Alice Korvander.

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SoeurAlix

Humain(e)

L'Invocation [Sœur Alix]

Réponse 3 lundi 09 juillet 2018, 09:33:39

Bon, au moins, ça, c'est clair :
« Tu as trouvé une belle sélection, Carmilla... Comme toujours. »
Soeur Carmilla n'a pas fait d'erreur :
« (...) une confrérie plus secrète, pour canaliser l’énergie sexuelle des sœurs de l’époque. Le rituel a perduré depuis, et est organisé par moi. »

En fait, c'est aussi moi qui ai appelé ce démon. Je me demandais ce que je pouvais bien raconter dans cette langue étrange. J'ai la réponse, en chair et en os, tout nu et bien monté devrais-je plutôt dire. Alors, quand je sens sa main incroyablement douce sur ma peau, et qu'il me présente le gland juste au bord des lèvres, je sens une de ces violentes attaques au creux des reins.

« (...) l’une d’entre vous aura la chance inouïe de porter mon enfant. »
Je m'en fous complètement, quand je vois ce pieu de chair, tout dressé sans même le caresser. Bon, c'est sûr que de tripoter Soeur Carmilla, ça a dû l'exciter. Car, pour une sœur sorcière, elle est bien gaulée, même en robe de bure ! Moi, ce n'est pas de me faire engrosser qui m'intéresse ; j'aimerais mieux pas, d'ailleurs. Mais qu'il me ramone avec un chibre comme ça, ça m'intéresse.

« Si cela vous convient, mes chéries, vous pouvez déposer un baiser sur mon sexe, en jurant d’être mienne jusqu’à ce que le soleil se lève. (…) »
Je n'hésite pas une seconde, c'est trop beau. Un gland aux formes subtilement arrondies, à la grosseur déjà appréciable, première ligne d'une tige longue, belle, grosse, droite, dure. Je l'aimais bien, Maxime, mais, quand il avait tiré son coup, il redevenait mou. Alors que ce Diablotin, comme il se dit, ne doit pas faiblir au premier assaut !
Encore assise à ses pieds, j'ose lever mon regard vers son visage, délaissant à regret ce phallus. Démoniaque ou pas, je m'en fous, du moment qu'il va et vient avec vigueur ! Et, quand mes yeux croisent les siens, c'est tout mon corps qui s'embrase des flammes de l'Enfer. Je veux bien devenir Soeur Alix de l'Enfer Brûlant !

Sans quitter son regard, j'avance alors mon visage. Je le vois pencher la tête, je sais qu'il ne veut pas davantage quitter mes yeux. J'arrondis mes lèvres, juste au ras de ce gland turgescent. J'arrondis mes mains, presque comme en prière, autour de ce saint phallus. La peau en est à la fois douce et chaude, si loin du diable velu que la Mère sup nous incite à fuir. Moi, je n'ai pas envie de fuir ; je suis même sure que ses yeux ont trahi un trouble quand j'ai posé mes mains.
Et je ne vais pas m'en arrêter là. Je tourne doucement ma langue sur les lèvres, juste la pointe en fait le tour de l'arrondi, avant de la poser juste là où est la source de jaillissement du plaisir. Je suis, là encore, sure qu'il a réagi ! Doucement, j'avance mes lèvres, je les pose en un rond délicat sur ce beau globe, au goût étrange, à la fois âcre et sucré, comme repoussant et attirant.
Il y a trop longtemps que je n'ai pas taillé une pipe. Rien depuis que je suis là, dans ce couvent prison. Et là, une grosse et belle queue s'offre à moi, et je devrais me contenter d'un chaste baiser ? J'écarte les lèvres, avance doucement sur ce joli gland, presque avec difficulté tant il est imposant. J'avais presque oublié ces sensations. « Putain, que c'est bon, quand on tient un mec comme ça ! », je retrouve cette chaleur en moi, et ses yeux ne semblent pas dire non.

« Eh Alix, on le sait que tu es en manque, mais laisses-en aux autres ! »
Soeur Maria, j'aurais dû me douter qu'elle serait jalouse.

« Oui, Soeur Alix, rappelez que nous vous avons appris le partage, ici », surenchérit Soeur Carmilla. D'ailleurs, vu le regard qu'elle avait pour le Diablotin, quand il la pelotait, je pense aussi qu'elle me fait une scène de jalousie.

C'est donc à regret que je détache mes lèvres de ce joli phallus, avec un goût de revenez-y.

Le Diablotin

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Re : L'Invocation [Sœur Alix]

Réponse 4 lundi 16 juillet 2018, 00:47:17

Au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, donc, Seikusu était en miettes. Une ville détruite, ravagée. Les bombes incendiaires américaines n’avaient toutefois pas fait que détruire les immeubles, ils avaient aussi réveillé une faille antique située sous la ville, qui avait absorbé cette dernière, avant que celle-ci ne soit canalisée, et contenue, avec seulement quelques points de chute à des endroits précis. Ce passage avait néanmoins marqué les habitants de la ville, et, suite à cela, Seikusu s’était rempli de pervers, d’individus ayant des besoins sexuels très forts. Il avait fallu inviter des institutions pour contrôler les pulsions sexuelles débridées des habitants. Ce couvent avait été, à la base, créé pour ça. Carmilla entretenait donc ce dernier, et, de fait, elle était là depuis la création du couvent. Cette sorcière utilisait sa magie et ses gènes très particulières pour entretenir son corps. Elle avait déjà eu la chance de porter plusieurs des enfants du Diablotin, et l’invitait donc à chaque fois lors de ses sabbats impies et exquis. Elle recrutait avec soin les nonnes y participant, et, ce soir, elle savait que Sœur Maria espérait beaucoup être l’heureuse élue du Diablotin. L’année dernière, elle y avait échappé de peu, et, ce soir, elle allait faire tout ce qui était en son possible !

Pour l’heure, Alastar se tenait devant la jeune Sœur Alix, qui était la cadette du groupe. Elle observait avec un fort appétit la magnifique verge dressée devant elle. Une tige presque hypnotique, car la queue de l’Incube était effectivement magique. Elle était... Belle. Irrésistible. Une grosse queue rouge élancée, en érection, légèrement luisante, qui se dressait fièrement devant Alix. La jeune nonne se desséchait sur place, et croisa brièvement le regard hypnotique du Diablotin, qui lui sourit tendrement, tout en sentant ensuite ses douces mains se serrer sur son membre, religieusement, avec adoration. Les yeux de cette femme transpiraient de son désir, un désir fou, torride, tandis que sa bouche s’entrouvrit. Sa langue commença à suçoter le sexe de l’homme, qui frémit doucement, et la laissa faire. Il ne dit rien, jusqu’à ce que les autres religieuses ne s’impatientent. Alastar sourit alors, et sa queue caudale se déplaça entre ses jambes, et vint doucement frotter le visage de Sœur Alix.

« Mon seul regret est que tu ne sois pas vierge, Sœur Alix, déclara-t-il doucement. Mais ça ne change rien, je baise toujours les cadettes en premier... »

Sa main caressa ensuite le visage de la femme, mais il ne s’arrêta pas pour autant, et reprit encore :

« Mais je n’ai pas entendu ta prière, Sœur Alix... Tu es une religieuse, non ? Alors... Jure d’être ma petite chérie jusqu’à ce que le soleil ne se lève. »

Alastar, sur ce point, était assez intransigeant, et attendit que la femme s’exécute. Il s’agenouilla alors, et, posant sa main sur le menton de la jeune religieuse, releva doucement son visage, puis l’embrassa tendrement. Un bref baiser, et elle put constater combien ses lèvres étaient tendres, douces, magnifiques... L’Incube les retira ensuite, puis lui sourit encore, et se rapprocha des autres religieuses.

Sœur Jeanne l’observa avec appétit, et s’empressa de déposer un beau baiser sur sa queue, avant d’y frotter son visage :

« Han ouiii, Maître, je jure d’être votre petite chienne toute cette nuit, et même plus encore !! »

Alastar sourit, et l’embrassa également, puis s’intéressa à Sœur Louise, qui lui offrit la même dévotion, embrassant son sexe à plusieurs reprises. Finalement, l’Incube atteignit Soeur Maria, qui lui sourit tendrement.

« Je suis si heureuse de vous revoir, Maître...
 -  Et moi donc... Tu espères enfin porter ma graine, hein ? »

Sœur Maria hocha vigoureusement la tête.

« Cette fois, je tiendrais bon, Maître, je ne tomberai pas dans les pommes ! Je... Je me suis beaucoup entraînée, depuis, j’ai porté des ceintures de plaisir pendant des heures, en allant à confesse, en priant... J’ai sucé et baisé avec tellement de gens depuis, Maître...
 -  C’est très bien, ma sœur... Tu jures donc sans difficulté... ? »

Elle hocha la tête, et déposa plusieurs baisers sur sa queue.

« Oh oui, Maître, je suis votre petite chienne, vous le savez... Je l’étais déjà avant, il n’y a que votre queue qui me fait plaisir comme je le veux ! »

Alastar l’embrassa à son tour, puis se redressa. Soeur Carmilla se rapprocha alors de Soeur Alix, et caressa ses épaules en se glissant dans son dos, puis posa sa main sur son visage. Elle le tourna vers le sien, et l’embrassa alors tendrement.

« Alastar va te baiser bien fort, ma chérie... Alors, grimpe sur l’autel, ma belle, allonge-toi dessus, et demande à notre Maître qu’il te baise... »

Voix sensuelle, suave...

Ensorcelante.
DC d’Alice Korvander.

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SoeurAlix

Humain(e)

L'Invocation [Sœur Alix]

Réponse 5 jeudi 19 juillet 2018, 10:02:40

« Mon seul regret est que tu ne sois pas vierge, Sœur Alix », je me demande comment il sait ça.
« Oh Maître, cela ne signifie pas que j'aie déjà été bien baisée ». En lui répondant cela, je ne peux m'empêcher de baisser les yeux sur son pieu de chair. Tout ce que j'ai connu avant ça, c'était de la gnognotte, aucun doute. Vu comme il bande, je me passe la langue sur les lèvres avec gourmandise. J'ai hâte que vienne mon tour, même si Soeur Maria commence à m'énerver de jouer sa débauchée sous son visage de mijaurée. Elle cachait bien son jeu, celle-là, aussi !

« Je baise toujours les cadettes en premier... », et toc pour Soeur Maria. Tu l'as dans la cul, ma petite chérie, enfin si on peut dire, car c'est oi qui l'aurait en premier, et je vais même m'en charger avec grand soin, pour qu'il n te reste rien. Mais, en regardant les yeux enamourés de Soeur Maria, finalement aussi brillants que ceux de Soeur Carmilla, je me dis que ce Diablotin doit quand même avoir l'endurance d'en honorer plusieurs à la suite.

Mais je serai la première ! Alors, avec des yeux où je veux mettre toute la braise qu'il y a aussi dans son regard, je le fixe : « Je jure d'être vôtre, Maître, de vous appartenir jusqu'à ce que le soleil se lève, de faire tout ce que vous m'ordonnerez, de lever pour vous toutes mes barrières, d'être la digne dépravée de vos plus perverses idées ». Je suis fière de moi, et je ne doute pas que ça va en irriter plus d'une. Mais c'est une course à la queue, et, vu le morceau de choix, à chacun ses arguments et sa persuasion.

D'ailleurs, ça y va de la surenchère ! Soeur Jeanne est prête à bien plus qu'une nuit. Soeur Louise n'en dit rien, mais n'en veut pas moins. Et Soeur Maria veut se faire engrosser. Elle m'énerve de plus en plus, à mettre en avant son ancienneté, son expérience ! Elle oublie que Soeur Carmilla a beaucoup d'avance sur elle... et que c'est moi qui y passerai la première.

D'ailleurs, Soeur Carmilla s'est approchée de moi, et la suite est limpide : « Alastar va te baiser bien fort, ma chérie... Alors, grimpe sur l’autel, ma belle, allonge-toi dessus, et demande à notre Maître qu’il te baise... »

Je regarde Soeur Maria de mon plus provocant regard de garce, avant de fixer Soeur Carmilla dans les yeux : « Oui, Soeur Carmilla, je veux que notre Maître soit fier et comblé de baiser la cadette. Je saurai être digne de la confiance que vous m'avez donnée.
Et je monte sur l'autel, comme demandé. Je jette au loin les stupides chaussures plates, et je déboutonne au plus vite la robe de bure, balancée aussi à terre. J'ai l'avantage sur les autres nonnes d'avoir réussi à cacher dans ma valise de jolis dessous de ma vie d'avant.
Dont ce soutien-gorge noir, paré de fine dentelle sur les bonnets, au point que mes tétons font plus que se deviner. Sans quitter Alastar des yeux, je le dégraffe, le laissant choir, fière d'exhiber ma poitrine que la jeunesse rend arrogante et dressée.
Deux doigts, un de chaque côté, me suffisent à faire glisser le string au bas de mes jambes, sans détourner mes yeux d'Alastar, et je balance le frêle tissu du pied dans sa direction, aussi loin que je peux.
Nue, debout sur l'autel, je ne vais pas m'en arrêter là. Je m'allonge, jambes repliées, de telle manière que mon entrejambes soit dans l'axe de vision d'Alastar. Puis, saisissant les petites lèvres, je les masse bien, les étire même, sentant comme le trouble est déjà là.
« Je suis à vous, Maître », lui dis-je, simplement.

Le Diablotin

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Re : L'Invocation [Sœur Alix]

Réponse 6 dimanche 22 juillet 2018, 23:02:07

Alastar était un incube qui avait toujours eu une certaine attirance pour les religieuses. C’était son trip’, son fantasme. Les nonnes l’attiraient, elles le fascinaient, et il comptait bien s’occuper de ce petit groupe. Le Couvent de la Sainte-Espérance était un endroit que Le Diablotin appréciait clairement beaucoup, un lieu où il avait toujours l’occasion de satisfaire ses profondes pulsions, de coucher avec des religieuses perverses, mais aussi avec de vraies nonnes, qu’il corrompait lentement. Sœur Carmilla dirigeait ce cercle secret au sein du couvent, et Alastar misait en réalité beaucoup sur Sœur Alix. Il était fort peu probable qu’elle soit enceinte ce soir, mais il comptait bien faire d’elle une nonne corrompue, et l’utiliser ensuite pour attirer d’autres religieuses et d’autres femmes. Il n’eut de fait aucun doute sur la perversité naturelle de la femme, car Sœur Alix s’empressa de se déshabiller, et finit rapidement toute nue. Une rapidité qui en était presque regrettable, vu comment Alastar aimait baiser les nonnes, mais il n’allait pas reprocher à la femme d’être impatiente, vu comment elle avait salivé sur sa magnifique érection. Le Diablotin ne semblait d’ailleurs guère perturbé, comme s’il était habitué à avoir une telle érection. Sa queue rouge se redressait fièrement, et il vit la jeune femme préparer ses lèvres intimes, très bien épilées, demandant à son Maître de venir la prendre.

Le Diablotin se rapprocha donc, un léger sourire sur le coin des lèvres. Sa queue était toujours aussi tendue, toujours aussi grosse, et, pendant qu’il se positionnait, les religieuses autour de l’autel se mirent en position de prière.

« Les règles sont très simples, Alix. Je vais te baiser jusqu’à ce que tu n’en puisses plus, et je baiserai tes sœurs pendant que tu reprendras des forces. Pendant ce temps, tes sœurs ne resteront pas inactives, car elles vont psalmodier ensemble des prières païennes. »

Très clairement, l’idée de déshonorer la religion, de l’offenser, de lui retirer son caractère sacré, n’était pas sans exciter fortement Le Diablotin. Et puis, quand il s’agissait de partenaires aussi belles... Il grimpa alors sur l’autel, faisant face à la femme, et posa ses mains sur les épaules de la beauté, s’allongeant contre elle. Les doucereuses lèvres d’Alastar se posèrent sur celles de la nonne, et sa main empoigna les cheveux d’Alix, puis il la coucha encore sur l’autel... Pour fourrer sa queue en elle.

« Hmmm... »

Son membre se glissa en elle, et Alastar accéléra doucement le rythme, sentant la résistance naturelle du corps de la femme. Ses lèvres intimes étaient bien serrées, et Le Diablotin grogna lentement, reculant sa verge, puis s’enfonça encore, entamant les mouvements d’aller-et-retour de son sexe. Et, autour du couple, les religieuses se mirent à prier, employant la langue des sorcières, une langue qui résonnait toujours étrangement au sein d’un lieu sacré.

« Hmmmm... Ma belle Alix, haaaa... »

Cette séance allait être aussi longue que jouissive pour les deux !
DC d’Alice Korvander.

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