Miranda continuait à la lécher avidement, goulûment, tout en sachant qu’elle était aidée par les modifications apportées sur le corps de Linda. Sa femme avait été pensée, réécrite, pour ressentir avec Miranda un plaisir bien plus important qu’avec d’autres partenaires. Ceci ne l’empêchait nullement de prendre son pied avec d’autres femmes, mais il y aurait toujours, avec Miranda, ce petit
plus, qui se faisait sentir ici. Après tout, Miranda poussa Linda dans ses derniers retranchements en usant seulement de sa langue, et, même si la virginité corporelle de Linda aidait en ce sens, la PDG se souvenait très bien de ses multiples séances de sexe avec Jenny. Il en fallait alors bien plus pour contenter la Grande Sénatrice, une femme très expérimentée, et un simple cunnilingus n’était, somme toute, qu’une préparation, qu’une
introduction... Mais, là, Miranda sentit les mains de Linda se serrer sur ses cheveux, plaquant sa bouche contre sa fleur intime. Elle posa ses propres mains en appui sur les fesses de sa partenaire, et soupira longuement, la léchant encore, titillant son clitoris, appuyant sur son bouton de plaisir... Ce qui déclencha alors un bel orgasme.
Linda se relâcha joyeusement, et Miranda accueillit tout ça avec grand plaisir. Elle eut ensuite à peine le temps de se relever que Linda, semblant encore plus assoiffée, la plaqua contre la paroi, serrant ses poignets contre ses mains, et s’écrasa contre elle, avant d’aller l’embrasser frénétiquement. Un baiser fiévreux, plein de passion, d’une soif de sexe qui était en train d’exploser au fur et à mesure qu’elle l’embrassait.
«
Hmmm... !! »
Ses lèvres étaient délicieuses, son appétit réel, et Miranda y répondit également, réalisant qu’elle était elle-même... Profondément attirée par Linda. Bien plus qu’elle ne l’aurait cru initialement, en tout cas, car tout son corps tremblait, au fur et à mesure que la femme l’embrassait. Dès que Miranda récupéra l’usage de ses mains, elle en posa une sur la nuque de Linda, empoignant ses cheveux, répondant à son long baiser. Elle jouait avec sa langue, et répondait aux mordillements de Linda par les siens, tirant sur la lèvre inférieure de sa future femme, se cramponnant à elle, donnant de légers coups de reins avec son bassin, filant d’avant en arrière sur quelques centimètres, sans que leur baiser ne semble jamais devoir se terminer.
Il dura bien plusieurs minutes, où elles se contentèrent juste de s’embrasser, sans même que Miranda ne songe à aller palper les délicieuses fesses de Linda. La future Sénatrice termina ce baiser en avouant à Miranda qu’elle l’aimait. La PDG lui sourit alors affectueusement, puis Linda se pressa contre elle, comme une chatte qui aurait ronronné de plaisir en se lovant contre sa maîtresse. Miranda l’enlaça, en tout cas, et embrassa sa peau en retour.
«
Je t’aime aussi, mon cœur... »
Elle laissa passer quelques secondes avec elle, câlinant Linda. Un geste empreint de tendresse, d’un élan de douceur inhabituel pour cette femme, qu’elle termina en lui caressant le dos, puis en lui faisant signer de sortir. Miranda coupa l’eau de la douche, et enclencha des jets de vapeur. Le sol de la douche s’illumina alors, et elle retourna embrasser Linda, tandis que la cabine se remplissait d’une vapeur blanche, qui eut pour effet de rapidement les sécher, tout en laissant leurs corps légèrement humides.
Les deux femmes s’embrassèrent ainsi pendant ces quelques secondes supplémentaires, puis sortirent ensemble, nues, main dans la main. Miranda continuait à régulièrement sourire à Linda... Qui n’était pas au bout de ses surprises. Et ça, Linda allait le réaliser... Dès qu’elles sortiraient de la salle de bains.
L’appartement de Miranda était plongé dans la pénombre, avec quelques bougies dessinant un tracé sur le sol, illuminant des pétales de rose rouge. La fidèle Hannah avait reçu des instructions, et avait tout mis en œuvre.
«
Viens, mon amour... »
Le chemin conduisait jusqu’à la chambre de Miranda. Là aussi, des bougies avaient été dispersées sur des candélabres et sur le sol, éclairant toutefois un
lit en forme de cœur, avec des draps et des couvertures en soie de couleur rouge. Des pétales de roses avaient également été répandues dans la pièce. Miranda se retourna alors vers Linda, et l’embrassa à nouveau, sans rien dire... Puis posa sa main sur son épaule, et la poussa en avant.
Linda s’étala au milieu du lit, et, le temps qu’elle se redressa, elle put voir que Miranda avait de nouveau fait appel à ses gènes hermaphrodites. Son chibre se dressait fièrement devant elle, et elle se rapprocha lentement, sensuellement...
«
Il est temps que je te prenne ta virginité, mon amour... Et que nous baisions ensemble toute la nuit ! »
Cette nuit leur appartenait. Elle était à elles, rien qu’à elles, et la puissante Miranda comptait bien en savourer chaque seconde !