Les pensées impures (Pv Magdalena Takao)

Julien Besca était ce qu'on l'on appelait un pervers sexuel. Il le savait et cela lui ruiner sa vie. C'est pourquoi, il s'était inscrit chez les dérangés sexuel anonyme. Il pouvait y rencontrer d'autres personnes comme qui souffrait de la même pathologie, la nymphomanie. Des hommes et des femmes qui étaient nymphomanes et qui tenter de lutter contre leur nature. Julien Besca était suffisamment mignon pour avoir des propositions pou pour draguer malgrè lui et la tentation était d'autant plus dur.

En ce moment, une jeune femme très bien de sa personne lui avait proposé un plan cul au sein même de là où se déroulait la réunion, elle avait même appuyer sa demande ne lui caressant les bourses à travers son pantalon. Il avait eut bien du mal à s'extirper du lieu et c'était même enfui. En gardant, les images qu'il avait de son parfum, de son décolleté et de la sensation de sa peau.

Voyez-vous, il était tourmenté au point d'entrer dans une église pour se confesser car Julien était croyant. Un lieu saint et rempli de grâce était le lieu idéale pour oublier ses pensées tumultueuses. Il entra donc dans l'église qui à cette heure de la nuit était désert et s'agenouilla sur cette espèce de grande chaise qui permettait de se confesser. Il vit que la personne ne charge était rapidement une nonne mais la regarda sans vraiment la regarder, honte qu'il avait de ses pensées impures. Il l'avait uniquement reconnu au style vestimentaire.

-Pardonnez-moi ma soeur car j'ai péché et je m'en repends.

Il laissa les formalités d'usages et il commença sa confession.

-Ma soeur, je me tiens devant vous car j'ai péché de la plus horrible façon...

Il lui avoua tout. Le fait qu'il était nymphomane et enregistré à un groupe pour lutter contre ses pensées et que aujourd'hui en particulier cela avait été compliqué car il avait faillit succomber à ses démons avec une douce et gentille jeune femme et qu'il s'en voulait. C'était principalement la raison de sa venue.

Puis, il attendit la tête penchée vers le bas, agenouillé dans cette position compliquée et attendit la sanction de la nonne.

Le chemin de la foi était une route compliquée et semer d’embûche, le Seigneur mettait ses ouailles à l’épreuve en les soumettant à la tentation, le défi était de ne pas tomber dans la facilité et se laisser avoir. Mais parfois, le défi était si grand que même une foi puissante ne pouvait pas nous éloigner du péché. Cependant lorsque l’on péchait, il était toujours possible d’aller demander pardon en se confessant à quelqu’un qui avait décidé de consacrer a vie au service du Seigneur.

La jeune Maria était une nonne âgée de dix-sept ans, une demoiselle tout à fait ravissante au teint hâlé, aux cheveux blonds et aux grands yeux rouge. C’était elle qui faisait l’office aujourd’hui et qui se trouvait donc à l’église. Elle avait été formée spécifiquement pour aider les personnes sexuellement déviante à revenir dans le droit chemin. Pour le culte dont elle faisait parties, la sexualité déviante n’était pas un expression utilisé pour désigner des préférences ou des pratiques sexuelles particulière, toutes étaient acceptées mais cela désignait le comportement des délinquants sexuels. Maria avait donc la lourde charge d’accorder le pardon aux violeurs, aux pédophiles, aux zoophiles et tous les autres actes sexuels interdits par la loi. Évidemment, cela ne retirait en rien leur crime au point de vue civil mais religieusement, elle devait les remettre sur le droit chemin.

Lorsque l’homme était venu pour demander le pardon, elle n’avait pas vraiment compris de pourquoi il voulait se repentir. Avoir de furieuse envie de sexe, n’était en soit pas quelque chose de condamnable, c’était lorsque celle-ci amenait à commettre des crime que ça le devenait. Elle s’approcha donc de lui avec douceur :

« Le Seigneur t’as mis au défi afin d’éprouver ton amour pour lui. Cependant, les faiblesses des hommes t’ont fait échoué dans cette entreprise. Peut-être peut-il t’accorder son pardon mais il va falloir le mériter. Je t’en pris raconte-moi. Confesse tous tes péchés, absolument tous. Depuis le premier que tu ai commis jusqu’au dernier que tu as énoncé en arrivant. »

La religieuse c’était placé à coté de l’homme et le regardait avec bienveillance afin de l’encourager à tout dévoiler.

L'homme émis un soupir. Il était résigné à parler à cette soeur des moindres soucis qu'il avait vécu jusque là. Il releva la tête pour la première fois. Il était là pour se repentir mais malgré ça, il rechignait. Mais le visage angélique et bienveillant de la soeur et le fait qu'il la trouvait mignonne lui permit de commencer son récit.

-Eh bien ma soeur, je crois que tout a démarré quand j'ai découvert mes envies à l'adolescence, il s'avère qu'à l'époque, ma cousine n'était pas une sainte et m'a initié à certains jeux. Des jeux auxquels j'ai très vite pris goût. Oh, bien sûr tout a démarré par une simple fellation mais ma cousine était comment dire portée sur la chose? Et, elle m'a initié à des jeux plus coquins et plus féroces, n'hésitant à me forcer à l'attacher et à la fouetter violemment, à l'étrangler. Car, ma soeur, elle aimait ça et bon sang j'ai adoré ça aussi. Avoir le pouvoir, me sentir puissant dans un tel acte. Savez-vous ce que cela fait ma soeur? Cela rend fou tout simplement. En grandissant, j'ai fréquenté assez naturellement les club échangistes et libertins afin de rencontrer d'autre personnes qui avaient cette... passion qui les animaient.

Julien Besca avait clairement le regard qui s'illuminait et un sourire torve en racontant cela. En fait, imaginer ce qu'il  avait fait dans le grenier avec sa cousine l'avait naturellement excité.

-Voyez-vous ma soeur, ce sentiment de puissance m'a déjà poussé  à avoir envie de jeunes femmes seules dans la rue. Et je l'avoue, ici dans cette église mon plus grand crime est d'avoir forcé ces femmes à avoir une relation alors que l'on ne se connaissait pas. Ma cousine m'avait appris comment faire et plus une femme me résiste et plus j'aime ça. La forcer à admettre qu'elle aime se faire prendre violemment est ce qui m'excite, voyez-vous? C'est pour ça que j'ai juré d'arrêter de faire ça. Je sais que c'est mal mais c'est plus fort que moi. J'en ai envie. Mais le pluspart des femmes ne veulent pas ce genre de relation. Elle trouve étrange que je prenne mon pied en les étranglant pendant que je les sodomise et ce même quand elle sont consentante.

Julien avait ce regard un peu lubrique au moment où il parlait de ça.

-J'ai donc trouvé ce groupe et arrêté d'être tenté. Cela fait trois semaines que je me suis abstenue mais pour autant, leurs décolleté et leur formes m'appellent et j'en ai tout simplement envie. Avec ma cousine, j'ai découvert quelque chose qui me fait honte et qui ne me lâchera plus. Et pourtant, il ne faut plus faire ça, je le sais bien.

Julien se sentait maintenant clairement excité, il revoyait dans sa tête les images de femmes qu'il avait soumis. Il regardait la nonne avec ce regard d'envie plongeant dans son regard d'innocence, l'imaginant perdre cette innocence cruellement mais il ferma les yeux car il se rappelait de se pourquoi il était venu en premier lieu.

-Voilà pourquoi, je viens me repentir ma soeur. Il me faut lutter sans cesse et aujourd'hui dans ce couloir j'étais prêt à le faire à nouveau avec cette jeune femme mais aurait-elle aimé que je lui fasse mal? Que je la violente? Peut-être....