Un volé pour un rendu. [Iruka]

Sous une nuit paisible, éclairée occasionnellement par les phares des rares voitures encore en activité à cette heure de la nuit, un entrepôt désaffecté à proximité de la zone industrielle allait devenir le lieu d'une sacré agitation. Cet entrepôt de tôles et de briques était isolé des regards indiscret et servait à la perfection de planque pour ce nouveau groupe de voleurs originaire de Terra. Il est rare qu'un voleur se fassent volé son butin et lorsque cela arrive, le plus souvent ce ne sont que les histoires que l'on raconte aux enfants, des histoires de bandit au grand coeur, volant aux riches pour donner aux pauvres, ce genre d'idiote en gros. Mais cette nuit, ce qui allait se passer dans cette entrepôt, pourrait s'apparenter à ces histoires de Robin des Bois, bien qu'en l'occurrence, la voleuse ici, n'avais pas la moindre intention de donner ce butin aux pauvres, bien au contraire.

Du haut des toits, Sasha avait l'entrepôt sous surveillance, analysant les allées et venues de deux types servant de vigile pour ce groupe de voleurs, ces derniers étaient en pleine soirée inventaire, notant et répertoriant tout le fruit de leurs larcins, ce groupe d'une dizaines de criminels expérimentés venait tout droit de Terra, Sasha n'avait pas pousser l'investigation plus loin que ça sur eux, mais elle imaginait bien ces gugusses travailler pour le compte de quelques ou d'un autre groupe, ils étaient étrangement trop bien organisé et préparer, sachant que le QI de tous réunit ne devait probablement pas excéder cent, mais aussi stupide peuvent-ils être, ils n'en reste pas moins dangereux.

Après avoir atteins l'une des fenêtres de l'entrepôt, elle sauta des hauteurs, pour retomber délicatement sur le sol, telle une ninja, elle s’élança dans une course silencieuse, zigzagant entre les rangées de caisses scellées. À l'exception des deux vigiles extérieurs, les autres voleurs semblaient être en pleine pause au centre de la pièce, jouant aux cartes sur l'une de leurs caisses de marchandises utilisant de petits barils et caisses comme siège de fortune. Cachée derrière une énorme caisse de bois, certainement de facture Terrarrienne, Sasha écouta volontairement, mais discrètement la discussion bruyante de ces criminels.

- ... en tout cas, avec ce bidule magique, y'a moyen de s'ouvrir un bordel pour pas un sous, hahaha!

- Clairement haha!

L'objet de discussion n'était autre que le raison de la présence de la jeune voleuse, un artefact magique, qui avait attiré la convoitise de certaines personnes du milieu. Bien que son ancien propriétaire, un magicien lunatique originaire d'Elfania en parlait comme d'un "échec", cet objet magique, appelé le "love sower" par son propre propriétaire, était capable de siphonner la magie environnante afin de l'utiliser pour dégager son propre aura de phéromone magique, vous l'aurez compris, cet artefact n'était rien de plus qu'un truc pour rendre les hommes bien dures et les femmes bien trempées, comme par... magie. Il est vrai que l'idée d'utiliser cet objet à des fins personnels avait clairement traversé l'esprit de Sasha, une idée des plus amusantes à dire vrai et c'est certainement cette même idée que l’instigateur du vol de l'artefact devait avoir au moment où il a engager ces abrutis. Le magicien, propriétaire du Love Sower, n'avait pas engager Sasha, mais cette dernière avait obtenue toutes les infos nécessaire par hasard lors d'une soirée retrouvaille dans une taverne des rues puantes et mal fréquentées des, très, mauvais quartiers de Nexus.

- ... n'empêche, avec ce truc là.. on pourrait carrément se faire n'importe quelle femme, genre... ça balance des trucs magique qui fait que t'as envie de baiser après et parait que personne peut résister à ça!

- Ouais enfin, le boss a aussi dit qu'il fallait de la magie pour que ça marche et aucun de nous n'en a...

- ... ouais c'est con.

Amusée par les mines abattues de ces hommes, Sasha continua son avancée furtive à travers l'entrepôt. Escaladant quelques étagères industrielles, à l'abris derrière ces caisses superposées l'une sur l'autre, la jeune voleuse arriva en haut de l'escalier de métal, devant la porte de ce qui semblait être l'ancien bureau de l'entrepôt désaffecté. Avec précaution, elle longea le mur de droite cloisonnant le bureau et passa la tête discrètement pour tenter d’apercevoir quelque chose à travers la fenêtre latéral du bureau. Bingo! L'artefact était là, avec d'autres babioles sur un vieux bureau poussiéreux. Posé avec ordre, ces objets faisaient face à un homme au crane rasé et au visage couturé, un vrai coupe-jarret de Nexus celui-là. Ce dernier semblait admirer son butin, en soulevant un de temps en temps comme pour l'admirer et mesurer son poids, un sourire béat au coin des lèvres. il ne restait plus qu'à mettre cet homme hors d'état de nuire et d'ensuite récupérer l'artefact, peut-être une ou deux babioles en plus tant qu'à faire et le tour était joué...

Fou de rage, je l’étais. Voilà bientôt dix jours que j’avais été cambriolé. Un soir, alors que j’étais seul comme souvent, des gens avaient pénétrés dans me demeure et avaient usé d’un artefact magique pour m’affaiblir et profiter de l’effet pour me mettre hors d’état de nuire. Mon manoir sur terre avait été mis à mal et parmi tout les objets, l’un d’eux m’avait été volé. En effet, une babiole qui semblait être un simple bracelet m’avait été arraché de force. Loin d’imaginer son potentiel, c’est surtout le fait qu’il soit ce qu’il me reste d’Arashi qui faisait que j’étais vénère. Ces gens ne paieraient rien pour attendre, mais avant de partir à la “ chasse “ je me devais de calmer mes ardeurs. Et pour cela, c’est une véritable destruction environnementale qui se produit en périphérie de la ville. Laissant mon aura exploser, les arbres finissaient carbonisés ou explosés et ce n’est que vingt minutes plus tard que je me calmais enfin pour retourner dans mon manoir et essayer de mener ma petite enquête.

Malheureusement, je n’arrivais à rien, ces enfoirés n’avaient rien laissés derrière eux et semblaient s’être volatilisés. Cela allais me faire chier, mais j’allais devoir faire appel à “ elle “. Sortant mon portable encore en vie, je vins à composer un certain numéros. Rien que d’entendre sa voix, ça me faisais chier, mais je n’avais pas le choix hein ? Dès qu’elle répondit, je sentis déjà mon énervement augmenter en flèche et je lui dis de venir chez moi. Il ne lui fallut que quelques minutes pour ouvrir un “ portail “ et ainsi débarquer chez moi. Cette sorcière qui m’avait donner ce fameux sort pour me transformer en femme. Cette “ arnaqueuse “ mais aux informations bien pratiques. Sans doute est-ce pour cela que je ne lui avais pas pompé tout le sang d’ailleurs...

Eliza, sorcière terrestre

La voyant dans une tenue légère comme souvent, je soupirais de lassitude alors que déjà, elle faisait entendre sa voix cristalline.

“ Et bien mon choux ? On a besoin d’un coup de main ? “
“ Eli’... Fait vite, j’ai d’autre chats à fouetter... “
“ Ohhh... Ne t’en fais pas, je m’en rappel très bien de la dernière fois... D’ailleurs, comment se porte ton don que je t’ai fais hein ? “

La repoussant alors qu’elle me faisait encore du charme, je vins à gueuler de plus belle, me retenant de lui sauter dessus.

“ Comme d’hab, c’est instable idiote, mais dépêche toi... On m’a volé un artefact qui m’est précieux. J’ai besoin d’indice Eli’. “

La demoiselle se mit à observer les lieux. Elle marchait, écrasait des débris et semblait s’amuser d’un tel chaos. La sorcière terrestre la plus chaotique qui soit... Pourquoi diable ais-je cédé à ses avances la dernière fois moi. Un jour je réfléchirais autrement qu’avec ma bite moi. Bref, respirant un grand coup, je la pressais comme je pouvais.

“ Tu sais ce qu’il va t’en couter hm ? ... Un petit service mon choux. “
“ Ok ! Ok ! Tout ce que tu voudras, mais bordel fait vite. “

Faisant un pacte avec moi qui allait me faire déchanter un peu plus, c’est uniquement après ce marché qu’elle se mit à user de sa magie. Rapidement, elle trouva de quoi faire guise de piste. Analysant cette dernière, elle reforma le pseudo objet et pu en conclure une chose : il s’agissait d’un truc de Terra. Soupirant de lassitude, je savais que rien que ça, ça allait être chiant. Mais elle ne s’arrêta pas là, en effet, elle identifia un petit signe qui allait grandement m’aider. En effet, escrot de toujours, elle connaissait les choses à savoir dans le monde underground et elle me donna un nom d’un groupe de voleurs ou petits criminel sur terra à qui appartenait ce symbole.

Notant dans ma tete les informations qu’elle me donnait, je vins à grogner et retenir mon aura d’exploser de rage de plus belle. Il me fallait partir, mais sans portail... Difficile. C’est donc encore à la belle que je m’adressais.

“ C’est un supplément mon choux tu sais ? “

Serrant un point, je vins m’approcher d’elle pour alors venir l’embrasser. J’avais horreur de ça, surtout depuis qu’elle m’a arnaqué, mais je savais que ce genre d’attention lui plaisait. Moi je ne pouvais plus la voir en peinture, mais elle, elle me désirait comme pas deux. Lui faisant goûter mes lèvres et ma langue, c’est après un moment tendre que je me reculais pour alors la laisser me faire plaisir. M’offrant un aller simple pour Terra, je m’engouffrais dans ce portail pour alors atterrir là où je devais me rendre. Restais plus qu’à trouver ces types...

Cherchant des gens peu fréquentables qui pourraient me renseigner, je faisais pression et menaçais certaines personnes pour obtenir mes informations et quand après une grande heure j’y arrivais, je me dirigeais vers le fameux entrepôt qui ne laissait rien voir à l’extérieur. Foncer dans le tas ne ménerait à rien, s’ils ont quelqu’un capable de changer de dimension par exemple c’est râpé. Puis ils doivent bien avoir prévu un transfert de marchandise rapide en cas de pépin... Je devais donc me faire furtif. La nuit étant tombé, je me faufilais dans l’endroit en usant des ténèbres dans cet endroit et vins à rester sur une poutre au plafond. Observant le lieu, je ne me trouvais pas dans la bonne pièce, l’entrepot étant immense. Regardant autour de moi, je remarquais quelques gardes et n’y tenant plus, je sauta sur eux les écrasant au sol. Etouffant leurs gémissements, je vins à approcher mon visage du leur et parler d’un ton clairement sombre, témoignant de ma mauvaise humeur.

“ Où sont les principaux truc que vous volez ? ... “

Voyant qu’ils ne voulaient pas parler, je continuais de serrer leurs nuques et parfois appuyer leur crâne contre le sol, menaçant de la faire péter tant je mettrais de pression. L’un d’eux semblait enfin vouloir coopérer et c’est donc d’une oreille attentive que je me mis à l’écouter me désignant la marche à suivre. Suite à ces mots, je les assommais me montrant assez... Clément. Décidé à récupérer mon bien, je me dirigeais lentement mais sûrement vers le butin, loin d’imaginer que quelqu’un était déjà là pour ça et en plus.. Avec plus d’avance que ma simple personne.

Comment s'y prendre, le bureau n'avait qu'un seul accès, une vieille porte en métal aux gonds très certainement rouillés qui risquerait de faire un bruit d'enfer en l'ouvrant et alerterait directement l'homme assis dans son siège, Sasha pourrait aussi bien l'attirer en dehors de la pièce et l’assommé, mais encore une fois, l'entrée du bureau était en vue depuis le centre de l'entrepôt, elle ne voudrait pas risquer de se faire repérer si près du but. Fouillant dans ses poches, elle en sortit un petit d'objet de cuivre de l'apparence d'une fiole. Si la voleuse disposait de matériel magique, elle était aussi munie de quelques gadgets technologique. Contrairement à ce que l'on pouvait trouver sur terre, ce design rudimentaire laissait imaginer une origine Nexusienne du gadget en question. Sasha n'avait pas encore prit la peine d'améliorer son équipement avec des objets Terrien, bien que sans le moindre doute la technologie de la Terre était supérieure à celle de Terra (Sans compter Tehkos), la jeune femme avait prit l'habitude d'utiliser cet équipement depuis des années et qui jusqu'à maintenant ne l'a jamais trahis, qui plus est, elle avait lié une certaine amitié avec l'ingénieur et sa fille qui s'occupaient de son équipement à Nexus. Cet objet n'était autre qu'un diffuseur de gaz miniature, sa taille rendait le gadget inutile dans de grandes pièces, mais ce bureau ne faisant que quelques mètres carré et le gaz soporifique du gadget était l'un des plus puissant sur le marché, quelques secondes d'inhalation et le gaz ferait son effet.

Dévissant délicatement le bout de la fiole en cuivre, elle la fit glisser entre les lames ventilantes située à l'arrière de la pièce, juste derrière l'homme assit dans son siège en cuir. Le bruit métallique du gadget tombant sur le sol de béton fit se retourner le malfrat qui distingua directement l'objet.

- Ca vient d'où ça?

Se penchant pour saisir l'objet dans ses mains, il se mit à souffler dessus en voyant le gaz soporifique se dégager lentement du bout de la fiole. Non sans savoir l'identité de ce qui s'apparentait à de la fumée pour l'homme, il se mit rapidement à bailler et tourner de l’œil avant de s’effondrer en avant la terre contre le sol et le derrière en l'air.

Enroulant une écharpe autour de son visage en plus de sa cagoule, la voleuse entra dans le bureau discrètement. Elle récupéra sa fiole au sol et ne manqua au passage pas d'admirer la scène pitoyable que donnait l'homme au sol dont on pouvait déjà entendre les ronflements, l'idée de l'humilier encore plus effleura son esprit, mais l'heure n'était pas à la rigolade. Même sans ses informations, elle devina rapidement lequel des trois objets posé sur le bureau était l'artefact magique aux pouvoirs digne de magie rose .

*Sérieusement, entre la boîte remplie de pierres précieuses, le bracelet runique quelconque et la statuette en or avec une forme phallique des plus évidentes...*

Dans le doute, Sasha prit le bracelt avec... et les pierres précieuses aussi, on ne sait jamais...

Une bonne chose de faite, il ne lui restait plus qu'à repartir de là où elle était venue avant que le gros au crane rasé ne se réveille, tout ça ni vu, ni connu. Mais alors qu'elle sortit du bureau, elle sentit une présence menaçant planée au dessus d'elle, la voleuse sentait un danger imminent, un ennemi? Et au moment où elle sentit se frisson passer dans son dos, elle entendit la détonation d'une arme à feu suivit rapidement d'une phrase que Sasha se serait bien passé d'entendre.

- Alerte! Des intrus!

Ces gars n'étaient pas très malin pour utiliser leurs armes à feu en pleine nuit sans silencieux, aussi éloigné des habitations qu'ils pouvaient être, il y aurait bien un passant pour alerter la police, mais l'idée du tapage nocturne que pouvait causer ces voleurs à la gâchette facile n'était pas la priorité de la jeune femme, c'était plutôt celle de se sortir de là avant de se retrouver cribler de balles. En sautant du haut de l'escalier pour se réfugier derrière les caisses de l'entrepôt, la phrase du garde quelques secondes auparavant venez de lui faire tilt.

*Attend... "Des intrus"?*

L’entrepot était immense avouons le. Il m’aurait fallut des heures pour le fouiller de fond en comble et c’est pour cela que je m’étais mis à agresser des gardes. Ce n’est pas la discrétion totale, mais au moins, j’avancerais plus vite. Assommant donc ces gens, j’allais me diriger vers le fameux bureau du patron pour choper ce qu’ils m’ont volés. Qu’il soient voleur ce n’est pas mon souci, moi-même ayant déjà voler des choses à d’autres personnes. En revanche, la chose que je déteste par dessus tout, c’est le dicton comme quoi le médecin doit tâter de sa propre médecine. Très peu pour moi... Je baise les gens, mais ne me fais pas baiser. J’avais voler, mais refuse de me faire voler. Cela ne changera jamais. Ainsi donc, j’avançais en laissant derrière moi les corps inanimés de ces gens.

Me référant aux informations de Eliza, ce groupe était assez bien organisé, mais pas le plus redoutable qui soit. Ils avaient surtout le bras long, mais n’étaient pas du genre à être impitoyable. Une sorte de pègre sans la violence qui se doit d’être de base... Un regroupement massif de malfrats spécialisés dans le cambriolage sur Terra et la Terre. Quoi qu’il en soit, peu importe le nombre, j’allais les mettre K.O s’il le faut et détruire leur entrepôt pour leur faire payer. Sentant mon humeur se dégrader, je vins à marcher en silence mais à allure régulière, jusqu’à arriver à ce qui semblait être la zone où je devais me rendre. Ne remarquant pas que dans le bureau ça s’agite, moi, je me retrouvais proche de certains gardes. Trop nombreux pour ne pas me faire voir, je me devais de faire vite. Ils ont beau être facilement huit... Une fois l’alerte donnée, les autres rappliqueront. Et s’ils sont si nombreux que ça, cela se résumera à du... Trente ? Voir plus ? Bref, je devais me décider.

Repensant à Arashi, je vins à serrer les poings. Certes nous n’étions plus ensemble, oui elle était devenue une esclave qui s’assume et on pouvais dire qu’on avais “ rompu “ face à sa trahison, mais je me refusais à la perdre totalement, d’où mon attachement à ce bracelet. Il représentait le dernier vestige de mon amour passé et désormais que je m’interdisais. Sans doute est-ce pour ça que j’étais aller voir Eliza qui m’a arnaqué... Plutôt que créer une version de moi femme qui pourrait me plaire, elle m’avait infligé un sort me faisant MOI devenir une femme. Ceci explique sans doute pourquoi je suis si énervé de m’être fait avoir non ?
Bref, revenons en à mon bracelet... Il était trop précieux pour rester entre les mains de vulgaire malfrats tel que eux. Grognant de mécontentement, je vins alors à arrêter de me cacher et avancer.

Sortant de ma cachette, je vins à fracasser le garde le plus proche de moi pour alors me faire repérer. Les gens s’affolaient un peu alors qu’un des gardes semblait recevoir un appel. Ne comprenant pas que j’étais seul, ils disaient déjà “ des “ intrus, alors que j’étais seul, ou du moins... Je le pensais. Plissant les yeux, je vins à commencer à déboiter des mâchoires à coup de beignes quand certains tentaient de m’atteindre et ils se mirent à être plus sérieux en voyant ma férocité. En effet, ils avaient pensés pouvoir m’avoir au nombre, mais très vite ils avaient comprit que s’était vain. Ils y allaient donc à l’arme à feu. Un coup retentit et cela m’amusa. La visée était merdique, mais le danger bien réel... Je me mis donc à me cacher derrière une caisse et réfléchir à un plan d’attaque. Ils étaient plus nombreux et moi, je me devais de faire vite. Si je faisais tout exploser, les alentours allaient devenir bordélique... Rho puis merde, au fond, je suis “ terrien “, alors pourquoi devrais-je m’en faire ? De plus, des armes à feu ici, ce n’est pas top pour le voisinage. Je ne suis pas le plus en faute dans l’histoire.

Soufflant pour le calmer, je me mis à me concentrer alors qu’une sorte de fumée rouge semblait s’échapper de moi et m’envelopper. Ils allaient... Brûler. N’imaginant pas que le bureau était en train d’être attaqué et que ma scène de combat était une vraie opportunité pour la voleuse de voleur à l’heure actuelle, je sortis de ma cachette pour laisser parler ma colère. Avançant à pas de loup, je fixais l’homme principalement armé qui tentait de m’arrêter. Esquivant tant bien que mal les balles, une seule d’entre elle se planta dans mon corps, mais se mit à fondre lentement, minimisant les dégâts. Arrivant à hauteur de l’homme, je pris son arme et la fit fondre avant de la jeter au sol.

“ ... Brûle... “

Mon aura se déchaina alors immédiatement. Tel une déflagration, elle se rependait un peu partout dans la zone au sol, donnant une sensation de brûlure à toutes choses touchées. Les voleurs étaient tous touchés et bientôt, ils seraient dévorés par ces flammes sous forme d’aura. D’humeur exécrable, je n’allais en laisser aucun indemne. Ils allaient se souvenir de la leçon. Je commençais donc à m’acharner sur eux, les rouant de coups et les brûlant autant que possible sans les tuer.

Ne remarquant guère ce qui se passait dans le bureau, ce n’est qu’une fois mon affaire terminée que je vins à me retourner pour me diriger vers ce fameux endroit où le “ boss” devait se trouver. Montant en douceur les escaliers, je ne me doutais pas du tout que mon humeur allait être encore plus sombre qu’actuellement.

Repensant encore et toujours à Arashi, je me faisais presque mélancolique, cela calmant mon aura colérique. Je repensais à sa douceur, sa gentillesse... Elle qui ne s’acceptait pas en métamorphe, comment diable pouvait-elle m’avoir trahit ainsi. Une de mes mains se mit à trembler tant cela me faisait mal. Je m’étais jurer de n’aimer personne et elle avait réussis à me toucher, pour mieux me blesser. Je désirais plus que tout goûter à cette douceur de nouveau, mais personne n’arrivait à faire revivre mon organe vital. Je m’arrêtais aux relations charnelle. Tsss... Conneries... Arrivant au bureau donc, je vins à enfoncer la porte d’un coup sec, voyant alors le patron au sol, semblant inerte.

“ Hm ? “

Qu’est-ce que c’est ce bordel ? Il c’est quand même pas suicidé si ? Je me mis à froncer les sourcils et chercher du regard ce qui pourrait être un butin ou un coffre. 

Alors que la jeune Sasha avait sauté par dessus la barrière de l'escalier de métal pour courir se mettre à couvert, elle remarqua rapidement qu'elle n'était pas le centre d'intérêt, certes elle avait été remarqué, mais c'était à présent un homme de grande taille, à la carrure athlétique et aux cheveux rouge, qui détenait toute l'attention de la bande de voleurs. Caché derrière une caisse, la petite voleuse se sentait bien impuissante face à tant de brutalité et de puissance, un petit aperçu du pouvoir de cet homme mystérieux. Qui était-il, se demandait-elle, un mercenaire envoyé par le propriétaire de l'artefact ou peut-être le propriétaire lui-même, après tout elle n'avait aucune indication sur la description de cet homme, tout ce qu'elle savait c'était qu'il était mage, et n'était-ce pas de la magie à l'instant, une puissante magie destructrice, ceci dit, Sasha ne connaissait aucun mage se battant au corps à corps. Il était hors de question de sortir de sa cachette de suite, tout le monde semblait l'avoir oublié et c'était tant mieux.

Tout en se posant ses multitudes de questions sur cet homme mystérieux à chevelure flamboyante, elle le suiva du regard alors qu'il montait pas à pas les marches de l'escalier menant au bureau de l'entrepôt. Au moment où il passa le seuil, la voleuse en profita pour sortir de sa cachette et, en se dirigeant vers l'un des rideaux de métal, suffisamment relever pour faire passer une personne par en dessous, elle ne put s'empêcher de zyeuter sur une des caisses proche du carnage provoqué par le, supposé magicien, quelques instants plus tôt. La caisse avait subit la déflagration de flammes magique et laissait s'échapper son butin sur le sol, de magnifiques  billets marrons japonais, une chance pour la jeune femme que ce n'était pas de lourdes et encombrantes pièces d'or. Poussée par son avidité, elle fit demi-tour pour récupérer quelques liasses de billets bonus, malheureusement pour elle ce petit détour aller rendre sa nuit plus agitée que si elle avait tracé sa route.

Après avoir remplis à ras-bord sa sacoche et ses poches, elle se releva, non sans laisser s'échapper quelques billets montrant à tel point que ses poches étaient pleines, et s’apprêtant à repartir, sans regard croisa celui de l'homme aux cheveux rouge qui venait tout juste de sortir du bureau. Dans sa combinaison en cuir et avec sa cagoule, Sasha était impossible à reconnaître et elle avait bien l'intention que ça continue. Avant que l'homme n'ait le temps de dire quoi que ce soit, la jeune femme se rua vers le rideau de fer, se laissant glisser au sol pour ne pas freiner dans sa course, passant les jambes la première, elle se remit debout d'un geste vif de la paume avant de continuer sa course vers les bâtiments d'en face. La voleuse ne prit pas la peine de regarder derrière elle et à quelques mètres des autres entrepôt, elle tira son grappin pour monter sur les toits, continuant de courir frénétiquement, l'idée de se faire carboniser ne l'enchantait guère, pour cette raison que la jeune femme donnait tout ce qu'elle avait pour mettre le plus de distance possible entre ce "pyromancien" et elle. Craignant par la même occasion qu'il ne soit à la recherche de l'artefact, déduction plausible en sachant qu'il ne s’intéressa pas aux autres objets de valeurs éparpillé dans l'entrepôt mais était directement monté dans le bureau, là où se trouvait l'artefact.

Après plusieurs dizaines de minutes à courir sur des voies ferrées, escaladant des murs et grimpant sur des toits, Sasha était arrivée à l'une de ses planques, un vieil appartement miteux aux murs moisis, avec un mobilier neuf et moderne faisant contraste avec le lieu en lui-même. Elle était passé par la fenêtre de sa chambre qu'elle avait fait installer avec serrure extérieure pour faciliter une entrée discrète et rapide dans les lieux et à cette hauteur sans appuis, difficile que quelqu'un vienne forcer son appartement pas la fenêtre. La voleuse laissa la fenêtre ouverte pour laisser le vent doux de la nuit la rafraîchir après une telle course, encore essoufflée, elle déposa sa sacoche dans un coin de la chambre, jeta sa cagoule sur le lit au sol et dézippa sa combinaison avant de se rendre complètement nue dans sous la douche.

Entrant dans le bureau où était censé se trouver mon butin, je vins à voir un homme au sol. Hm ? Que se passait-il ici ? Grognant de mécontentement, je vins à simplement observer les lieux. Une drôle d’odeur s’y trouvait démontrant la présence d’autres personnes. Approchant de l’homme, je vins à examiner son corps et voir qu’il n’était pas mort. Le chopant par la nuque, je le soulevais et c’est là que quelque chose ou plutôt quelqu’un s’échappait. Ne voyant quasiment rien si ce n’est un habit qui passait outre la fenêtre je me dirigea vers celle-ci pour observer la silhouette. Merde... Cagoulé. Impossible de voir à quoi ressemblait la personne, ni même deviner son identité. Pestant intérieurement, mon aura commençait à fumer autour de moi, menaçant d’exploser à tout moment. Entendant des gémissements comme quand on se réveil d’une longue cuite, je me retournais vers le boss. Ah, voilà un gars utile.

“ Toi... Debout. “

Il somnolait presque, mais moi, je le chopais à la nuque pour alors le presser contre le mur essayant de le réveiller de force. Commençant à pester comme pas deux, je gueulais à même sa gueule, mais rien n’y fais, il ne savait rien. Sentant ma colère ne faire qu’un tour dans mes veines, je vins à laisser libre court à ma rage. D’un geste puissant, je le fis passer à travers la fenêtre, le laissant à son triste sort. Je devais fouiller les lieux.
Retournant le bureau, je foutais un bordel monstre qui allait rester dans la mémoire de ces gens. Arrachant une partie du mur qui contenait un petit coffre, je gagnais juste une petite carte censée être rare, mais pas mon précieux bracelet en vu. La silhouette de tout à l’heure doit avoir dérober des truc, c’est la seule chose plausible que j’imagine. Ce n’était pas quelqu’un qui s’échappait de moi, mais bien de l’endroit. Un tiers ? Serrant les poings, je vins alors à laisser faire mon aura et exploser d’un coup. De nouveau, cette “ magie “ vint à carboniser les alentours et ne laisser que des ruines. L’entrepôt prenant rapidement feu, pour ma part je me dirigeais vers la fenêtre pour me barrer de là et je pu miraculeusement remarquer un bout de tissu. Sans doute arraché lors de la fuite ? Le prenant, je quittais les lieux et sortais des flammes tel un démon.

M’éloignant de la zone un peu, je vins à examiner alors le tissu pour tenter d’avoir de maigres informations. Pas de sang dessus, j’allais devoir simplement me fier à mon odorat... Dommage que je ne sois pas un lycan, cette sale race elle savait y faire en pistage via une simple odeur, mais moi, sans sang... C’est une autre histoire. Tentant d’analyser l’odeur, je trouvais celle-ci presque.. Séduisante. Une touche légère et non une marque brutale. Serait-ce... Une femme ? Fronçant les sourcils à cette idée, je vins alors à chercher dans les alentours d’autres indices et des traces m’aidaient à tracer doucement mais surement la personne.
Tandis que la belle était dans sa douche - moi l’ignorant - je commençais à peine à quitter les lieux. C’est donc quarante-cinq minutes de répit qu’elle avait. En effet, après de longues minutes à pister sa trace, je me retrouvais donc devant un lieu semblant inhabité depuis un moment. Pourtant, l’odeur semblait bien provenir de là et les traces à peines visibles menaient à ici. Fronçant les sourcils, je tentais donc de trouver un moyen d’entrer et je cru voir une fenêtre ouverte. Oh ? ... Est-ce .. Vraiment abandonné ?

Commençant à imaginer un plan pour piéger la possible personne qui pourrait être là, je vins vers la porte principale et priant que la personne ne soit pas juste derrière, je vins à user de mon aura pour chauffer la poignée à tel point qu’elle fondit. Difficile d’ouvrir une porte sans la poignée de celle-ci en état n’est-ce pas ? Il ne me restais plus qu’à entrer par la fenêtre et prier qu’il n’y ait pas d’autres sorties de secours.

Plus j’approchais de la fenêtre, plus j’y sentais de la vie. Une odeur de shampoing ou de savon se faisait sentir, et l’odeur était bien forte. Nul doute, il n’y a pas pas personne ici. Fronçant les sourcils donc, je vins me faufiler d’un coup tel un prédateur et me redressais immédiatement en me craquant la nuque.

“ .... “

Mes iris cherchaient une victime, un responsable pour ce bordel. Et quand je vis quelque part un semblant de butin, je ne pouvais que me sentir énervé de plus belle. Trouvant ce qui semblait être une silhouette, ne me méfiant pas et ne sachant pas s’il s’agissait d’une illusion ou un système de défense illusoire, je vins à fixer celle-ci.

“ ... Bonsoir... “

Mon air était sombre et peu jovial à première vue. Je ne me sentais pas d’humeur très amicale et pourtant, comme il s’agit d’une femme, je ne pouvais pas vraiment lui sauter dessus si ? Ne notant pas encore sa tenue inexistante ou très légère, je vins à fixer principalement les iris couleur or. J’allais lui laisser une chance.

“ ... Vous avez quelque chose qui m’appartient je crois. “

Mon ton glacé attendait une réaction. Allait-elle chercher la bagarre ? Tenter de fuir ? Les deux ? Ou essayer de négocier ? Mon regard se porta sur la silhouette puis le reste de la pièce. Un petit coin de paradis pour elle, mais pour moi un vrai enfer.

“ Faisons vite... J’ai d’autre chats à fouetter... “

Ne le remarquant pas, mes yeux commençaient à virer au rouge.

La douche bien chaude après ses activités de nuit était le moment préféré de la jeune voleuse, l'eau glissant le long de son corps et la buée venant se former sur les vitres de la douche, elle appréciait cet instant, nettoyant son corps de toute sueur, faisant le vide dans sa tête, l'un de ses rares moment de tranquillité. Sasha avait déjà rapidement mit les événements de l'entrepôt derrière-elle, se sentant en sécurité et tranquille pour la nuit, elle se prélassa sous la douche, en profitant pour prendre soin de ses cheveux.

Le trois pièces de la jeune femme était vieux et délabré, mais assez spacieux. Après une bonne demi-heure sous la douche, Sasha en sortit entièrement nue avec un simple serviette de bain autour du cou, elle se pressa le pas en direction du mini-frigo dans le salon, pour se saisir d'une canette de bière fraîche de marque japonaise. Dans ses pensées, elle n'avait pas sentie la présence de l'homme, attendant patiemment debout dans sa chambre. Buvant une gorgée de sa boisson fraîchement ouverte, elle s'arrêta nette en direction de sa chambre, prise de surprise, elle manqua de recracher sa boisson.

“ ... Bonsoir... “

Le mystérieux homme de l'entrepôt était là, dans sa chambre et il n'avait pas l'air content. Mettant de côté le fait qu'elle était totalement nue, Sasha se focalisa sur l'instant et d'un geste lent et visible déposa sa canette de bière sur la commode à côté d'elle, la dernière chose qu'elle voulait serait de provoquer cet homme capable de réduire cet appartement en cendre en claquant des doigts, mais elle se libéra les mains pour, au cas où, pouvoir se saisir du fusil à pompe posé contre le mur de son côté de la pièce, à cette distance, il serait impossible pour ce dernier d'esquiver et un tir direct le tuerait à tous les coups, la voleuse voulait éviter ça, mais en dernier recours...

“ ... Vous avez quelque chose qui m’appartient je crois. “

L'artefact était donc bel et bien son objectif, mais était-il un envoyé ou le propriétaire en question. Une chose était certaine, Sasha allait devoir la jouer fine sur ce coup-là, si l'homme était bel et bien le mage à qui appartient l'artefact, difficile de le raisonner autrement quand lui rendant son bien, par contre s'il était un mercenaire envoyé par le mage ou même quelqu'un comme elle voulant simplement le revendre au plus offrant, alors ils allaient peut-être pouvoir trouver un terrain d'entente. Pensive quand à la meilleure façon d'aborder la situation, l'homme à la chevelure rougeoyante la ramena à la réalité sur un ton froid et sévère.

“ Faisons vite... J’ai d’autre chats à fouetter... “

Les yeux de hommes commençaient à changer de couleurs, virant de la même couleur que ses cheveux, rouge vif, mais cela ne signifiait pas grand chose pour la voleuse, si ce n'est qu'elle n'avait pas envie de savoir ce qui pouvait se passer si elle ne trouvait pas rapidement quelque chose à dire. Faisant le premier pas, sans prendre une attitude agressive, dans la direction de l'homme, elle rentra finalement dans la pièce, constatant au passage qu'elle n'avait toujours rien enfiler sur elle dès l'instant où elle sentit le vent de l'extérieur venir caresser son corps.

- Laissez-moi au moins mettre une tenue un peu moins légère... à moins que vous ne préfériez que je reste ainsi...

Sur cette dernière phrase à peine un poil provocatrice, la jeune femme adressa un sourire espiègle avant de se pencher, jambes jointes, pour ramasser un débardeur blanc sur le sol. Prenant plus de temps qu'il n'en fallait pour saisir ce vêtement, elle laissait, volontairement, l'occasion à l'homme derrière elle d'admirer la vue plongeante sur ses fesses et son intimité. Pour meubler l'instant et pour éviter de faire s'impatienter un peu trop cet intrus qui, malgré son attitude froide et colérique, ne semblait pas lui vouloir "trop" de mal, la jeune femme ne voulait pas que les intentions de l'homme change si elle continuait à l'ignorer.

- Rien ne me prouve que cet objet vous "appartient" réellement. Que dirait son vrai propriétaire si je venais à lui expliquer que je me suis "trompé" de personne, mmmmh?

En même temps qu'elle s’adressait à l'homme, Sasha finissait de s'habiller. Les bras vers le haut, elle enfila son débardeur, peinant à passé au niveau de la poitrine, il vint au final parfaitement marier les formes du corps de la jeune femme. Non sans oublier d'afficher son sourire malicieux à l'homme, elle se saisit d'une petite culotte blanche, simple et l'enfila, la faisant glisser lascivement jusqu'en haut pour finir par un claquement de l'élastique sur sa peau. Elle était certes habillée à présent, mais encore trop légèrement et le blanc éclatant de son débardeur et de sa culotte cachait à peine son corps qui, encore humide de sa douche, rendait le tout un poil transparent. Elle n'hésitait pas à jouer de ses charmes, aucun homme n'avait résisté à Sasha et elle avait bien l'intention que cela continue, qui plus est, en mettant à part son attitude froide, il était assez sexy pour la jeune femme.

- Je pense que nous sommes partis du mauvais pied. Je suis Sasha et vous êtes... ?

la voleuse essayait de gagner du temps, gagner du temps pour trouver une solution à cette situation, même si la pêche fut bonne cette nuit avec ces plusieurs centaines de milliers de Yen, ces pierres précieuses et même ce bracelet qu'elle n'avait encore eu temps d'examiner, Sasha n'avait pas très envie d'abandonner l'artefact qui devrait lui rapporter un gros pactole lui aussi. S'il était bien mage ou du moins utilisateur de magie, peut-être pourrait-elle utiliser l'artefact.

Après sa question, elle se dirigea vers sa sacoche en cuir dans un coin de la pièce, à l'opposé de l'homme, lui tournant légèrement le dos, elle gardait un oeil sur lui, bien qu'il n'avait pas montré de mauvaises intentions, la belle ne lui faisait pas confiance et cela devait être réciproque. Fouillant dans sa sacoche faisant mine de chercher ce pourquoi l'homme était là, elle souleva la glace protectrice magique de l’artefact, à présent, l'objet magique devait pomper l'énergie magique alentour, l'utilisant comme catalyseur à son pouvoir, c'était une idée comme une autre, peut-être qu'après une nuit de plaisir, l'homme serait plus enclin à la négociation. Si c'était un magicien expérimenté, il devrait sentir son mana être drainé, dans le cas contraire, Sasha n'avait qu'à attendre quelques minutes pour que l'artefact fasse son effet, aussi bien sur l'homme que sur elle.

La traque m’avait mené ici, dans cette véritable petite pièce miteuse habitée. Visiblement, je tombais mal et je m’en rendis compte assez tardivement. En effet, alors que j’avais parler, la personne s’était tournée et m’observait. Elle est nue ? Observant alors ses courbes, je la laisse faire un petit commentaire qui m’amuse presque. Elle ose se faire charmeuse ou tentatrice ? Elle n’a peur de rien on dirais... Ne disant rien, je fixais ses yeux principalement et divaguais parfois sur ses courbes. Il est rare de croiser une telle plastique, elle était vraiment charmante à tel point que je repensais à Arashi...

La voyant alors se pencher, je fus étonné de la vue qu’elle m’offrait. Rougissant quelques secondes, je ne pu m’empêcher certaines pensées peu catholiques... Quel déesse. Ahem... Fronçant les sourcils, je manquais de la presser un peu histoire qu’elle se dépêche un peu. Mais voilà qu’elle remet en doute l’appartenance de ce bracelet à ma personne. Hein ? Elle se fou de moi j’espère ? Mon humeur redevient execrable et mes sourcils se froncent grandement. Elle doute de moi ? Sérieusement ?

“ Garde tes “ si “ pour toi... Je n’aurais jamais fais ce chemin jusqu’ici sans une réelle raison. Et si j’étais un voleur, je ne prendrais pas le temps d’admirer ta personne et discuter. “

La regardant de nouveau se faire sexy et se rhabiller, je vins à tapoter du pied sur le sol impatient comme jamais. Bordel de merde... Et la voilà qui tente de négocier ? Croisant les bras, je vins soupirer de lassitude mais l’écoutant quand même. Peut-être pouvions nous effectivement discuter, si cela aide à faire en sorte que j’obtienne mon bien, alors... Pourquoi pas ?

“ ... Iruka. “

La regardant aller fouiller un sac, j’attendais que le temps passe, mais voilà, elle met du temps... Trop de temps. Mon aura n’était guère de la magie mais un don. Cependant, une certaine magie se trouvait en moi, une malédiction qui plus est. Pour une raison que j”ignore, je commençais à me sentir pas très bien, comme lors des fois où je m’apprête à me transformer, bien que là ce soit pas mon désir. Hm ? C’est... Louche. Je n’aime pas ça. À pas de loup, je m’avance vers elle pour arriver derrière elle et tenter de saisir son poignet en douceur.

“ Que fais tu ? “

Tirant sur elle, je vins à fixer ses yeux. La distance entre nous étant très courte, trop courte. Mais soudain, l’artefact dans son étui semblait briller quelque peu, nous irradiant de sa lumière, puis... Il redevins normal.

“ ... C’est mon bracelet. “

Mais alors que je vins approcher ma main de l’objet, sans que je ne puisse l’expliquer, je déviais pour poser une main sur sa nuque, caressant sa peau pour le moins... Douce. Mon regard venant retrouver le sien de nouveau, je sentais une chaleur monter en moi. Mon aura commençait à se dégager et doucement envelopper la pièce, mais plutôt que tout faire brûler, elle réchauffait juste l’atmosphère. Que diable se passe-t-il. Dans un ultime mouvement incompréhensible, mes lèvres osèrent se poser sur sa nuque, dégustant sa douceur. Wow... Que se passe-t-il ?
Me reculant d’un coup, je semblais revenir à moi ne comprenant pas quel était ce sentiment d’attirance. Comme si nos corps se poussaient l’un vers l’autre.

“ Qu’as... Tu fais ? “

L'étui de verre de l'artefact était une protection enchanté, une précaution de l'ancien propriétaire, et même si Sasha ne risquait pas de se faire drainé sa magie, étant donné qu'elle n'en possédait pas, les pouvoirs de l'objet influençait l'esprit et les émotions de tout être vivant à proximité. De ce fait, la jeune femme au contact de l'artefact, sentait une vive chaleur au niveau de son ventre qui se propagea rapidement au reste du corps. La méthode d'activation de l'artefact magique était peut-être encore à rediscuter, mais l'intensité de son pouvoir était indéniablement au point. Même une personne comme Sasha, habituée au sexe et sachant contenir certaines de ses envies, se sentait de plus en plus excitée et d'humeur joueuse. Iruka venant lui saisir le poignet allait très vite succomber aux mêmes effets.

“ Que fais tu ? “

L'homme dans l'instant remarqua un objet au fond de la sacoche de cuir de Sasha, illuminant son regard, encore vide un instant à peine, et il se tourna vers la jeune femme posant cette affirmation comme attendant la réponse à une autre question; Que fait-il là?

“ ... C’est mon bracelet. “

L'artefact magique s'emballa en quelques fractions de secondes et irradia en un instant la pièce d'une vive lumière bleue, avant de s'éteindre aussi vite, sans un nouveau signe d'activité. Iruka et Sasha se fixèrent dans le blanc des yeux, comme si leurs esprits furent emportés ailleurs pendant cet instant et c'est le jeune homme qui brisa ce moment, gardant en tête son objectif de récupérer son bracelet. Mais au moment où il approcha de la sacoche, sa main changea de direction pour venir se poser délicatement sur la nuque de Sasha. La voleuse ne le repoussa pas et au contraire, affichait un ravissant sourire, en sentant cette main virile et en même temps si tendre, caresser sa peau avec affection.

La pièce devenait de plus en plus chaude malgré la fenêtre qui laissait le vent frais d'automne parcourir la chambre, une intense chaleur, agréable, enivrante. Leurs regards se croisèrent à nouveau et alors son esprit embrumé commençait à la perdre dans ces yeux rubis, le jeune homme approcha sa bouche de Sasha, frôlant son visage, il déposa ses lèvres sur cette nuque qu'il caressa tendrement une nouvelle fois.

- ... Mmmmmh!

Sasha ne put empêcher son plaisir de laisser s'échapper un son plaintif, son corps était en ébullition et ce geste de tendresse commençait à l'exciter comme jamais. Mais à peine Iruka avait gouté cette enveloppe douce et parfumée, il se retira soudainement, surprenant la jeune femme.

“ Qu’as... Tu fais ? “

*Oh c'est vrai... nous sommes sous l'effet du sort.* Pensait Sasha.

L'homme assis au sol s'était reculé de la voleuse, dos au mur, comme s'il craignait qu'elle soit la raison de son esprit embrouillé, il n'aurait pas totalement tord, mais la jeune femme n'avait pas l'intention de lui jeter un maléfice ou de lui faire du mal, tout le contraire. Le visage rouge d'excitation et affichant un sourire lubrique, elle se rapprocha d'Iruka, se déplaçant à quatre pattes dans une démarche féline. L'homme ne semblait pas repousser la jeune femme qui n'était qu'à quelques centimètres de son visage, il pouvait contempler ses yeux doré guider par l'excitation et sentir son souffle saccadé caressant sa peau.

- Ce que j'ai fais... Mais, j'ai l'impression pourtant que tu es celui qui vient de m'embrasser la nuque...

Sans lui laisser le temps de répondre ou de réagir, Sasha vint se coller contre le corps d'Iruka, et rendit la pareille à ce dernier, en venant posé sa petite langue rose dans le cou du jeune homme, léchant amoureusement sa nuque quelques instants avant de remonter langoureusement avec sa langue jusqu'au lobe d'oreille, le mordillant tendrement. Elle se dégagea un brève instant et continuant de fixer les yeux flamboyant du jeune homme, elle se déshabilla de son débardeur, qui laissait à peine transparaître la poitrine de la jeune femme. Torse nue, Sasha se colla à nouveau contre le jeune homme, pressant ses seins contre le corps de ce dernier, elle approcha ses lèvres de l'oreille d'Iruka pour lui susurrer ces mots...

- Ose me dire que tu n'en n'as pas envie...

Et sur ces derniers mots, sa main se balada au niveau de l'entre-jambe d'Iruka, caressant la bosse se faisant sentir depuis déjà un petit moment.

Elle avait bien l’objet de mes convoitises. Ignorant l’effet néfaste de la babioles, j’étais donc proche d’elle avec pour idée de lui prendre, mais voilà, rien n’y fais. La lumière avait eu comme un drôle d’effet. Quel est ce sentiment de chaleur hein ? Pourquoi diable est-ce que je commence à me sentir “ faible “ face à ses charmes ? Et pourquoi mon corps avait agit ? Ma langue s’était baladée sur sa nuque et celle-ci avait adoré à en juger par son son plaintif de plaisir. Douce mélodie à mes oreilles, mais je me retirais. Bordel, il se passe quoi ici ? Aurait-elle usée de magie ? La raison me quitte et je me sens vaciller.

Je l’admire approcher telle une féline. Son odeur vient chatouiller mes narines alors qu’elle est là, proche de moi, face à moi. Ses yeux d’or croisent les miens et j’en souris sensuellement. Putain, elle me donne tellement envie... J’étais venu pour quoi déjà ? Je me perds dans ses yeux en or et soupire de plaisir. Elle me touche et me rends la pareil.

“ Hmmmm.... “

Comme elle, un son plaintif masculin se fit entendre. Bordel, elle me plait cette voleuse. Soupirant d’aise, je lui donne un meilleur accès à ma nuque alors que mes doigts flirtent avec sa chevelure. Si douce et soignée. Son parfum me titille le nez alors qu’elle se retire. Elle fait quoi là ? Fronçant les sourcils, je me détends de nouveau quand elle se déshabille. Who putain, quel corps... Charmé au plus haut point, je la laisse revenir contre moi et sens sa poitrine charnue se presser à moi. Le son de son coeur se fait entendre et je me laisse bercer par celui-ci, alors que ses paroles sont un poison duquel je ne me lasse pas.

“ Tais toi... Et arrache moi ces habits... “

Ton sombre, autoritaire, mon aura nous enveloppe un peu plus, telles des flammes qui lèche notre peau délicatement. La chaleur était comme si nous étions sous des draps bien chauds. Mais est-ce que je m’arrêtais là ? Non... Bien sûr que non... Ma main passa derrière sa nuque pour l’attirer à moi et ... Je n’attendis pas une seconde de plus pour élancer mes lèvres vers les siennes. L’embrassant fiévreusement, je ne tardais pas non plus à ajouter ma langue à ce baiser plutôt chaste. Le rendant vite langoureux donc, je traduisais ma passion et mon envie de bien plus... Dégustant sa personne de cette façon, je rompis le baiser pour admirer le léger filet de salive qui nous reliais. Ne quittant pas son regard, je vins à sourire en coin pour la première fois.

“ Fait moi plaisir. Vite. “

Mes mains venant palper sa poitrine généreuse, je revins l’embrasser avec autant de passion que tout à l’heure. M’abandonnant doucement à elle, je n’en revenais pas de ce que je faisais... Quel con. Mon membre à l’étroit vint à se faire presque douloureux tant s’était en train de s’exciter. Délaissant un de ses seins, je vins ouvrir mon jean pour l’abaisser un peu, puis faire de même avec le boxer. Ma verge tendue n’attendait qu’à être toucher... Ou plus.

“ Use de ta bouche ma belle.. Puis... Le lit sera notre prochaine destination. “

Léchant ses lèvres avec envie, j’en oubliais presque mes crocs. La faim commençait à se faire sentir et je me permis de griffer son dos, descendant vers ses cuisses pour tenter de retirer sa sublime culotte. Elle me plait et pas qu’un peu.

“ Tais toi... Et arrache moi ces habits... “

Iruka avait perdu toute raison et se laissait guider par ses émotions, par ses envies. L'homme passa sa main derrière Sasha pour l'approcher de lui au plus près, visant ses lèvres, il embrassa fébrilement la jeune femme, presque comme si sa vie en dépendait. Elle  répondit à ce geste en enroulant sa langue autour de la sienne, passionnément, fougueusement, ils s'embrassèrent comme si le temps avait arrêter de s'écouler et après un moment, ils se séparèrent, laissant ce filet de salive les relier encore quelques secondes. Iruka vint placer une de ses mains sur la joue droite de la voleuse et d'un sourire lui fit une demande qui fit luire d'une lueur de luxure les yeux de cette dernière.

“ Fait moi plaisir. Vite. “

Ses mains descendirent au niveau des seins de Sasha, les saisissant, il se mit à les malaxer agréablement, en évitant d'être trop brusque, et ne laissant pas une seconde à la jeune femme, Iruka occupa à nouveau ses lèvres se saisissant de la bouche de la voleuse en l'embrassant avec passion. Sasha se laissait faire et appréciait ce baiser, était-ce la situation ou l'artefact magique, en tout cas, la jeune femme ne cessait de se caresser l'intimité qui commençait à être déjà bien trempé. L'homme rompa une nouvelle fois ce baiser après avoir préalablement descendu son jean et son boxer, laissant sa verge se dresser fièrement sous le regard en appétit de sa partenaire.

“ Use de ta bouche ma belle.. Puis... Le lit sera notre prochaine destination. “

Il n'en fallait pas plus pour que Sasha saisissent de ses deux mains l'épée de chaire, d'une taille bien plus que respectable, du jeune homme. Elle se plaça à côté de l'homme, à quatre pattes telle une quadrupède et le dos creusé afin d'offrir une vue plus qu'agréable sur son fessier. Comme pour titiller les instincts de son partenaire, la jeune femme se mit à frotter son visage contre ce bâton de chaire, le caressant contre ses joues, avec le bout de son nez, avec le bout de ses lèvres et puis, le sentant pulser de plus en plus fort, elle lui offrit une sensation de plaisir éphémère, en léchant la verge de l'homme, de bas en haut, le plus langoureusement possible, avant de finir par un tendre baiser sur le sommet. Affichant un sourire farceur, elle jeta un dernier regard sur Iruka, voyant bien qu'il était au bord et n'attendait plus qu'une chose, Sasha cessa de jouer avec et lui offrit ce qu'il désirait et cela sans attendre une seconde de plus, elle referma ses lèvres autour du gland, le léchant de sa petite langue rose quelques instant, avant de l'engloutir complètement. Dans la précipitation, elle manqua de s'étouffer avec, mais la jeune femme reprit très vite le contrôle, commençant ses vas-et-viens, de la base jusqu'au sommet, roulant sa langue tout autour de cette verge impressionnante, elle n'avait pas l'intention de le faire jouir le plus vite possible, mais elle était bien trop excitée, que son appétit prit le dessus sur son expérience, la forçant presque à combler ses envie en dévorant cette queue. À chaque vas-et-vient, l'homme s’enfonçait profondément dans cette bouche humide et chaleureuse, Sasha insistait avec sa langue sur chaque recoin de son pénis, ne manquant pas de laisser passer quelques sons érotiques. Suçant avec passion son partenaire, elle sentait Iruka passant sa main le long de son corps pour venir saisir fermement ses fesses galbées. Sasha reçut une intense sensation de plaisir lorsque le jeune homme vint s'ouvrir un passage dans l'intimité de la jeune femme en enfonçant lentement deux de ses doigts. Elle savourait le membre épais d'Iruka, mais la voleuse avait d'autres idées en tête. Elle arrêta sa fellation, laissant cette verge dégoulinant de salive et tout en malaxant amoureusement de ses mains, les bourses du jeune homme, elle exprima son envie:

- Je suis déjà, Aaaah... bien assez mouillée plus bas. Tu n'as pas envie de me prendre, là... maintenant?

En réaction, l'homme retira ses doigts du vagin de sa partenaire, venant les mettre dans la bouche de cette dernière qui ne se refusa pas à lécher ces doigts déjà humidifié par son propre jus. Il la souleva ensuite avec une aisance folle et la tenant dans ses bras, se dirigea vers le lit, la jetant dessus. Sasha se retrouva sur le dos et fixant le membre en érection, elle se pinça la lèvre inférieure en s'imaginant déjà toutes les choses qu'il allait lui faire. La belle n'était pas du genre à demander, elle préférait aguicher ses partenaires,joué avec eux, faire en sorte qu'ils la supplie de les laisser entré en elle, mais ici la jeune femme écarta directement ses jambes, invitant ce bel homme à la prendre fougueusement.

- Je ne peux plus attendre... baise-moi... baise-moi fort!

Les deux partenaires d'un soir étaient rouge d'excitation et sans attendre, l'homme se débarrassa à la hâte de tous ses vêtements, superflus, avant d'agripper de chaque main les jambes de la jeune femme allongée sur le lit. L’intimité de cette dernière était trempée et ses yeux appelaient de désir le jeune homme, il n'y avait plus qu'une chose à faire pour lui.

La situation dégénérait totalement... Mais putain que c’est plaisant. Perdu dans ce plaisir que je m’offrais et que la belle aussi s’offrait, nos corps bougeaient en rythme et les actions que nous faisions était la plus divine des sensations. Que demander de plus à cet instant hein ? Le plaisir charnel était une des trois choses qui me faisaient sentir “ en vie “. Tout le reste est fade, sans saveurs quelconques et ne me font sentir que différent. Là, dans les bras de cette superbe voleuse, je me sentais comme fort, doté d’une force surhumaine, supérieur... Son corps chaleureux était en harmonie totale avec le mien et mon aura n’aidait en rien à faire baisser la température. Bien au contraire... Deux de mes doigts dans sa fente, j’y glissais avec une telle aisance... Et accompagné par ses actions à elle, je ne pouvais que me sentir bien. Sa bouche mettait presque sous vide ma bite alors qu’elle léchait soigneusement ma verge de haut en bas. Titillant le corps de la bête mais n’oubliant pas aussi son sommet, j’avais là droit à une fellation de classe supérieur. Bien des femmes seraient jalouses d’un tel talent et pour le coup, je dois bien avouer ne pas regretter toutes ces histoires de ce soir.

Succombant à sa pipe d’enfer, je mettais plus d’entrain à la doigter comme une femme qu’elle était à mes yeux. Lubrique, je pris un de ses seins avec ma seule main libre et le tripota tendrement mais avec puissance jusqu’à ce qu’elle se décide à passer au reste. S’interrompant dans sa fellation, je tournais aussitôt mon attention vers elle, prêt à grogner mon mécontentement, mais fort heureusement pour la belle dame à la chevelure blanche, j’entendis sa proposition qui ne laissa pas sans réaction mon membre. Après un bref regard vers sa croupe, je pouvais en effet voir que celle-ci dégoulinait presque de fines perles de plaisir. Hmmm... Ce nectar.
Retirant mes doigts de son sacré saint, je proposais mes doigts à la belle et la vit avec joie lécher sa propre mouille. Me délectant de la vue, ce fut ensuite à moi de lécher mes propres doigts, goûtant le savoureux mélange de sa salive à l’arrière goût de mouille et de pré sperme. Putain... La soirée fait que commencer et j’ai déjà bien des idées. Est-ce le fait d’avoir perdu Arashi qui me rendait si facile au plaisir ? Ou un possible coup de foudre ? Allez savoir...

La prenant et la soulevant sans mal, je la dirigeais vers la chambre et l’y jetais tel un sac de pomme de terre. Ricanant en la voyant rebondir, aussitôt elle me fixa et écarta ses cuisses. Ses doigts fins s’enfonçaient presque dans ses cuisses tant elles étaient dodues, mais le plus aguichant était la vision de ses deux trous... Sa fente suintait de plaisir et la mouille formait un fin ruisseau qui coulait jusqu’à ses fesses et sa raie en passant par son petit trou. Divine vue que voilà, je vins à m’approcher et saisir ses cuisses fermement. Ma lance tendue, je voyais sa chatte palpiter de plaisir alors que le mien pulsait en réponse. Souriant de façon lubrique, je me penchais pour alors écraser mon torse musclé à ses formes généreuses. Collant nos corps l’un à l’autre, ma main se posa sur son sein droit et le palpait, tandis que ma bouche dévorait la sienne avec appétit. Une douce ondulation du bassin faisait frotter le long de mon pénis toute la longueur de sa chatte humide, provoquant d’ailleurs un son érotique et excitant. Frissonnant de plaisir, je vins rompre notre baiser, le souffle court, un filet de salive reliant nos lèvres.

“ Je tiens plus... Sasha... “

Première fois que je prononçais son nom depuis qu’elle me l’avait donné. La fixant elle et ses yeux d’or, je vins à me concentrer entre deux réflexions internes et une fois nos sexes l’un face à l’autre, c’est d’une poussée soudaine et sûre que j’entrais dans son saint des saints. Humide à souhait, mon gland puis le reste de ma poutre entra en elle comme un couteau dans du beurre. La facilité était si déconcertante que j’en ouvris grand les yeux en sentant déjà taper au fond d’elle. La surprise se lisait sur mon visage, mais très vite, ce fut le plaisir qui prit le dessus. Notre compatibilité semblait si... Plaisante. Me mordant la lèvre, je vins à gémir de plaisir.

“ Hmmm... Je t’aime déjà toi... Vile demoiselle... “

De nouveau, mon souffle chaud se mélangea au sien et d’un baiser fougueux, j’échangeais salive et envie auprès d’elle. Plus bas, mon corps s’agitait déjà frénétiquement, entrant en elle avec tant d’aisance, qu’on croirais que nos corps sont fait l’un pour l’autre. La baise intense était d’une telle intensité que j’en grognais de plaisir chaque fois que le bout de mon membre allait embrasser les tréfonds de sa merveilleuse chatte. Allant même jusqu’à faire bouger parfois ce satané lit sur lequel nous nous trouvions, je me sentais comme ... Ailleurs.
Mon coeur battait à tout rompe et mon corps s’unissait à merveille au sien. Cette fille, Sasha, elle avait un truc qui me plaisait et plutôt que le garder pour moi, je lui en fis part. Saisissant sa jambe droite, je la souleva pour indirectement forcer son corps à basculer en sens inverse, usant sa jambe comme appuie pour m’enfoncer diablement profondément dans sa chatte.

“ D... D’ordinaire... Hmmm Putain.... Je ne garde jamais contact mais.... Aaaaah... Juste là bordel !!! ... Là... Je te veux à mes côtés... Pour plus taaaaaah.... Tard ! “

Une invitation aussi soudaine que sincère. Je vins lécher sa cheville, alors qu’entre deux léchouille, je posais mon regard sur elle puis nos deux sexes s’embrassant violemment dans une danse des plus érotique. La belle en peu de temps venait de gagner un puissant allié, ou accessoirement un bon coup régulier. Continuant de m’incruster en elle avec une envie débordante, je ne délaissais nullement son corps, titillant cette merveilleuse cuisse, puis son pied avant de revenir à la cuisse en général. Grognant maintes fois, j’aimais sentir ses chaires se refermer sur mon membre, lui donnant un faux semblant de résistance. Putain ce qu’elle est bonne... Je fonds sur place moi... La chaleur ne faisant que grimper, j’espérais que mon appétit était partagé, car je ne comptais pas m’arrêter à cette simple position. La nuit promettait d’être longue et éreintante.