En la voyant agir de cette manière aussi importune, je décidais de passer à l'offensive. Cela ne sous entendait pas que je détestais me faire claquer le cul, loin de là. Au contraire, j'adorais cela, quand c'était bien fait, évidemment. Et mine de rien, elle savait s'y prendre, la petite. Après tout, elle devait être comme moi, avoir plusieurs siècles sous le capot. Cela aidait pas mal dans de tels moments. L'expérience jouait pas mal, et cette dernière ne pouvait s'acquérir que de deux manières. Avec l'âge, mais aussi avec la pratique. Une débutante ne saurait pas du tout comment le faire de la bonne manière. Il fallait déjà savoir observer, être attentive aux réactions de l'autre, et s'y adapter. Sans adaptation, pas de chance de réussite, même avec de l'expérience et de la pratique. Je la laissais donc me claquer le cul, mais en passant à l'offensive. A chaque fois qu'elle le ferait, mes mouvements du bassin seraient de plus en plus brutaux.
Et c'était ce que je fis. Je mis mes pensées à exécution. Pour chaque claque, mes coups de bassin devenaient de plus en plus puissants, mon bassin tapait tellement contre le sien qu'au final, mes gémissements n'étaient pas assez puissants pour camoufler le bruit de nos bassins. Et ce genre de bruit avait le don de m'exciter au plus haut point. Ce qui amenait à un but unique. Me faire aller de plus en plus vite. Elle avait me claquer le cul, je n'allais pas lâcher le sien pour autant. Je le malaxais tellement qu'il ressemblerait bientôt à de la pâte à pain. Mais si cela la dérangeait, elle me l'aurait fait savoir, d'une manière ou d'une autre, donc je n'avais pas grand chose à craindre.
- Très chère, ne sois pas vulgaire, c'est mal, et je n'ai guère envie de devoir te laver la bouche avec du savon.
J'avais beau essayer de parler d'une façon correcte, mes gémissements trahissaient mon état d'esprit. Je n'allais plus tenir très longtemps, et j'en étais suffisamment consciente, cependant, je n'allais pas aller moins vite pour autant. Une fois à mon régime maximal, il ne me restait que quelques secondes d'endurance, avant de basculer de l'autre côté du miroir. Mais il n'était pas vraiment question de battre des records d'endurance, loin de là. Je pourrais très bien utiliser mes pouvoirs pour ralentir le temps, mais je détestais tricher à ce sujet. Après de très longs gémissements, je venais me taire, venant mordiller la peau de son cou, alors que je m'immobilisais totalement, me laissant fortement aller en elle, avant de pousser un long gémissement de bien-être une fois tout ceci fait. J'étais réglée comme une horloge. Ma poitrine, collée à celle de Bayonetta, venait lentement se soulever et se baisser, alors que je tentais de reprendre un rythme cardiaque stable.