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[FINI] Invocation démoniaque [Desmina]

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Asuka Kahori

Humain(e)

Re : Invocation démoniaque [Desmina]

Réponse 60 lundi 13 août 2018, 01:03:39

Je n’en menais effectivement pas large du tout, allant de surprise en surprise. Cette journée était complètement folle, et nous n’étions même pas à l’heure du déjeuner ! Déglutissant sur place, je réalisai qu’Homura-senseï était une professeur très catin, très perverse, qui prenait visiblement plaisir, non seulement à coucher avec ses élèves, mais aussi à les punir ! C’était bien là la preuve, s’il en fallait encore une, que toutes les rumeurs circulant sur le lycée Mishima étaient fondées. Homura-senseï se glissa dans mon dos, tandis que ma Maîtresse y vit là une juste punition pour avoir osé remettre sa parole en doute sur l’existence du corset en cuir.

« Mais, Maîtresse, jamais je…
 -  Shhhhttt… Tu es avec moi, maintenant, Kahori-san. Petite rebelle effrontée… »

Je ne pus que fermer les yeux, écartant les jambes en déglutissant, sentant Homura-senseï pousser sur mon visage, me plaquant doucement contre le bureau. Sa cravache glissa contre mes jambes, remontant ensuite sur mes cuisses, passant sous la minijupe. Ma Maîtresse s’était assise dans un coin, et, alors que je me tortillai doucement sur place, en ayant furieusement chaud, j’entendis la voix de ma Maîtresse dans ma tête. Elle me proposa de l’aide à condition que je prononce son nom, mais, dans ce cas, elle irait punir Homura-senseï !

Cette perspective me fit déglutir, et je secouai la tête.

« N-Noonn…
 -  Hmmm… Tu te rebelles encore, Kahori-san ? »

Oh, que j’avais chaud ! Je soupirai encore, avant de la sentir se pencher vers moi, me murmurant dans le creux de l’oreille qu’elle allait faire de moi sa chose, et, surtout, me faire oublier ma Maîtresse. Je secouai alors vigoureusement la tête en tentant de me redresser tout en protestant :

« Non, c’est ma Maîtresse, et je… »

La cravache s’abattit brusquement sur ma culotte, m’arrachant un petit cri suraigu. Je frissonnai sur place, yeux clos, avant de sentir la cravache me punir à nouveau, s’abattant pile à l’emplacement de mon sexe, m’arrachant un cri supplémentaire. Je me pinçai encore les lèvres, l’esprit empreint de confusion. Homura-senseï était très belle, et je comprenais maintenant pourquoi tant de gens fantasmaient sur elle, sur sa beauté, sur son autoritarisme naturel. Oui, il était très dur de rivaliser avec cette femme, mais… Elle n’était pas ma Maîtresse ! La cravache s’abattit encore sur moi.

Cherchant un moyen de secours, je gémis alors :

« Je… Je vais arriver en retard au prochain cours ! »

Homura-senseï gloussa en me frappant encore, m’arrachant un nouveau cri. Elle-même, n’avait-elle pas des élèves après ce cours ? Je me dandinai sur place, avant de sentir la main d’Homura-senseï remplacer sa cravache. Elle se mit à caresser ma culotte, à l’emplacement de mon sexe, m’arrachant de nouveaux soupirs, différents de mes couinements de douleur. Mes joues étaient en train de rougir.

« Là, voilà… Ta senseï peut se montrer méchante, mais elle sait aussi récompenser les élèves quand il le faut, même les mauvaises élèves comme toi…
 -  Sen-Senseï, haaaa…
 -  Oh, mais ça a l’air très humide par là ! Tu aimes les femmes fortes, hein ? Celles qui savent comment s’occuper de toi, je me trompe ?
 -  Ouuii, hmmm… »

Un sourire moqueur sur les lèvres, Homura-senseï se retrouva ensuite vers ma Maîtresse.

« Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle t’est fidèle. Tu l’as bien dressé, Katõ-san… »

À ce moment, je ne savais pas si je devais en être fière ou pas.

Tout ce que je savais, tout ce que je sentais, c’est que le plaisir était en train de monter insidieusement en moi… Et que ça faisait du bien !
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Desmina

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Re : Invocation démoniaque [Desmina]

Réponse 61 samedi 18 août 2018, 01:43:57

Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce lycée s’était avéré bien plus distrayant que je ne l’aurais imaginé. La perversité était-elle la devise de l’établissement ? Je commençai à le croire volontiers. Nous n’avions suivi que deux cours, et j’étais d’emblée confrontée à deux professeurs perverses, quoique dans un style différent. Celui d’Homura-senseï s’était terminée à peine quelques minutes auparavant, et il n’avait pas fallu très longtemps pour que l’ambiance change drastiquement.

Asuka, ma soumise et ma propriété, s’était vite retrouvée collé au bureau, la cravache de la senseï filant le long de ses cuisses, sous les plis de sa jupe d’écolière. Cette vue était plutôt amusante, en particulier le visage rubicond de mon esclave, mais malgré cela, je ne pouvais pas me départir d’une certaine mauvaise humeur. Certes, Homura-senseï procédait avec mon consentement, mais cette mortelle était tout de même à moi !

*Ainsi, tu t’obstines à protéger tes professeurs à ce que je vois.*

Cette petite effrontée venait de refuser ma proposition ! Cela m’agaçait d’autant plus de la laisser aux mains de la senseï autoritaire qui cherchait secrètement à la détourner de moi. Ce qui n’avait strictement aucune chance d’arriver. Je restai nonchalamment assise sur l’un des bureaux, les jambes croisés, lascivement penchée en arrière tandis mon regard suivait les claquements de la cravache sur les ravissantes fesses de ma soumise.
Néanmoins, il était désormais hors de question d’intervenir. Je venais de laisser un choix à Asuka, et celle-ci m’ayant signifié son refus, il n’était pas acceptable de revenir sur mes mots. Du moins, tant que Homura-senseï ne dépassait pas les bornes. Ce n’était pourtant l’envie qui me manquait de soumettre cette insolente professeur, qui s’estimait plus douée que moi, de la faire ramper et couiner pour l’ajouter à ma longue collection de soumise.

La punition fut pourtant courte. Elle était double pour Asuka, qui était infiniment gênée d’être ainsi, les fesses claqués par sa propre senseï auquel elle vouait un bien trop grand respect. Quant à moi, je fus également satisfaite, non du châtiment physique mais du comportement de ma soumise malgré les douces caresses sur sa féminité et ses gémissements de plaisir. Ne venait-elle pas de faire preuve d’une fidélité exemplaire ? Un point pour moi. J’adressai narquois envers Homura-senseï pour toute réponse.

« Je suis très douée pour dresser. » Lui affirmai-je. « Je vais d’ailleurs la récupérer, nous avons cours. »

L’expérience avait assez duré. Asuka devait certainement en réclamer davantage, mais elle m’appartenait à moi, et à moi seule. Homura-senseï fit une moue, visiblement peu encline à laisser s’échapper sa nouvelle victime.

« Oui, évidemment. » Elle marqua une pause, et son regard s’arrêta sur le bijou autour du cou d’Asuka, en particulier sur l’inscription. « Joli collier, Kahori-san… »

Je ne répondis rien. C’était une limite à ne pas franchir que de toucher à ce collier, un précieux cadeau offert à mon esclave ! Fort heureusement pour Homura-senseï, celle-ci décida sagement d’abandonner la partie, reposant la cravache avant de se laisser tomber dans son siège, songeuse. Je remis consciencieusement en place la jupe d’Asuka, réajustant sa culotte en une caresse ferme sur son postérieur, geste qu’elle connaissait bien.

« Bonne journée, senseï. » Dis-je poliment, tandis que celle-ci me répondait d’un hochement de tête.

La seconde sonnerie, signalant l’entrée en classe résonna brusquement, alors que nous sortions justement de la salle. Les couloirs se vidaient rapidement de leurs élèves. Toutefois, avant de nous rendre en cours, une petite précision s’imposait. A peine sortie, je me retournai brusquement vers Asuka, examinant ses joues rougies et ses cheveux légèrement en désordre.

« Tu t’es bien comportée, Asuka. Tu as été obéissante et fidèle, je suis satisfaite de toi et en vertu de ça, je t’accorde une faveur. N’importe laquelle, tu as jusqu’à la fin de la journée. »

N’était-ce pas naturel de la récompenser ? Je savais punir, mais je pouvais également féliciter une fidélité envers moi, et Asuka le méritait bien. Quant à la nature de la récompense, à en juger par la délicieuse chaleur émanant de ses cuisses, je pouvais évidemment en avoir une idée. Mais le choix était déjà une récompense en soi.

« Réfléchis pendant que nous marchons. » Lui dis-je en recoiffant ses mèches en désordre, un geste presque tendre avant de lui prendre la main et de l’entrainer.

Le plus merveilleux dans tout cela, était que cette récompense allait probablement semer une plus grande confusion dans sa tête. Une manière diabolique de resserrer mon emprise sur ma petite Asuka.

Asuka Kahori

Humain(e)

Re : Invocation démoniaque [Desmina]

Réponse 62 dimanche 19 août 2018, 22:07:47

Quand Homura-sensei feignit de s’intéresser à mon collier, je posai instinctivement ma main dessus, comme pour le protéger, et pour empêcher cette femme de le retirer. Certes, elle était ma professeur, et, même si elle était une perverse qui aimait battre le cul de ses élèves avec une cravache, je lui devais le respect, mais... Ce collier était mon collier ! Ou, plus précisément, celui de ma Maîtresse ! Et, même si je n’osai pas encore me moquer du corps enseignant comme Maîtresse Desmina le faisait, je la voyais comme ma Maîtresse. Homura-sensei sourit doucement, puis nous laissa filer. Le cœur battant la chamade, je me retrouvai donc dehors, en compagnie de ma Maîtresse, l’esprit empreint de confusion... Tout était allé si vite ! Avais-je seulement eu le temps de réaliser ce qui venait de me tomber dessus ? À peine ! Et, alors que je commençai à retrouver mes esprits, ma Maîtresse se montra... Inhabituellement bienveillante envers moi. Bon, je ne la connaissais que depuis hier, mais j’avais déjà compris qu’elle était une démone, et qu’elle aimait beaucoup me mettre en difficulté ! Mais, manifestement, mon comportement envers Homura-sensei lui avait fait plaisir, ce qui, je dus bien l’admettre, fit doucement bondir mon cœur dans ma poitrine.

« Maî-Maîtresse... »

Elle m’avoua alors que j’aurais droit à une récompense, et... Bon, en fait, il était assez facile de deviner ce que j’allais demander ! En tout cas, je me pinçai les lèvres, toute heureuse, toute excitée. J’avais donc vraiment réussi à impressionner ma Maîtresse ? À faire en sorte qu’elle soit fière de moi ? C’était... C’était tellement excitant ! Je lui souris donc, et elle me recoiffa ensuite les cheveux, me faisant encore furieusement rougir. Toutefois, alors que nous approchions de la prochaine salle, ma main se serra subitement sur le poignet de ma Maîtresse.

Prenant mon inspiration, je la regardai alors, et me lançai :

« Vous êtes ma Maîtresse ! Homura-sensei est une professeur, mais... Je n’ai qu’une seule Maîtresse, et c’est vous ! »

J’avais envie de la prendre dans mes bras, ou de lui baiser la main, mais nous étions en retard, et je ne savais pas trop comment expliquer ce geste spontané, cet aveu irréfléchi et rapide, mais bien évidemment sincère. J’ouvris ensuite la porte de la salle, après avoir toqué à cette dernière, et me courbai en avant pour présenter mes excuses. Le cours avait à peine commencé, et, comme il était 10h, c’était un cours réduit d’une demi-heure avant une pause de 15 minutes, puis un dernier cours, un peu plus long, avant la pause-déjeuner.

Les cours d’une demi-heure étaient souvent l’occasion de faire des modules, des cours particuliers, notamment en éducation civique. Je m’installai donc, tandis que le professeur, un jeune homme, reprit le cours. Plutôt calme, il avait axé ce module autour du système électoral japonais. C’était assez barbant, et je ne retins rien de cette demi-heure, car je commençais en fait à avoir très chaud entre les cuisses, attendant désespérément que la pause arrive. Mais que ce fut long ! Maudite horloge ! Maudit « dieu sinistre », comme l’avait écrit Baudelaire, elle se refusait à avancer ! Et moi, mon esprit partait en roue libre, repensant à tout ce que ma Maîtresse m’avait fait la veille ! J’avais de plus en plus chaud entre les cuisses, une démangeaison qui m’amenait presque inconsciemment à me caresser sur le rebord de la chaise, cherchant le meilleur moyen de glisser le rebord de la chaise entre mes cuisses, me pinçant les lèvres, écrivant nerveusement.

Au bout d’un moment interminable, la sonnerie libéra enfin les élèves. Je me retournai alors vers ma Maîtresse, et, sur un regard suppliant, et sur un ton implorant, je lui demandai ce qu’elle devait bien se douter :

« Maî-Maîtresse, je vous en supplie, je... Prenez-moi dans les toilettes ! Comme si j’étais vo... Votre chienne ! »

Mais n’étais-ce pas ce que j’étais, après tout ? Sa chienne ? Sa délicieuse et magnifique chienne ? J’aurais dû me sentir horrifiée à l’idée de me considérer ainsi, comme une chienne... Mais appliquer ce qualificatif à moi en parlant de ma Maîtresse, en réalité...

Et bien, ça m’excitait beaucoup !
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Re : Invocation démoniaque [Desmina]

Réponse 63 jeudi 23 août 2018, 15:44:19

Asuka devenait une bonne petite esclave. Cela ne faisait aucun doute, alors que la moindre petite attention de ma part la faisait bondir de joie, même lorsqu’il s’agissait de lui rappeler sa place d’objet. Ma propriété en l’occurrence. Elle était à mes ordres, et même plus encore, sa fidélité se transformait en une loyauté amoureuse sans faille. Une preuve que mon éducation est une réussite ! Nous marchions à pas rapides dans le couloir, progressant aussitôt vite que possible vers le cours suivant, et je la sentis m’agripper le poignet.

*Bien Asuka, brave petite soumise.* Pensai-je en écoutant sa déclaration passionnée.

Un aveu spontané et sincère, ça ne faisait aucun doute. Encore quelques semaines ainsi, et je pourrais en faire absolument tout ce qu’il me plaira. Quel destin allais-je lui réserver ? Honnêtement, je n’avais pas encore pris une décision finale, mais déjà, quelques idées me traversaient l’esprit. Asuka resterait à mes côtés, ça ne faisait désormais aucun doute, seule la manière dont cela allait se concrétiser restait encore à déterminer.
La demi-heure suivante fut particulièrement assommante. Le thème du cours ne m’intéressait absolument pas. Les notions de démocratie et de choix électoraux propres aux humaines étaient si absurdes, si imaginaires que je n’écoutai pas un mot de la leçon. Dans quel monde illusoire vivent-ils, pensai-je. Quant à Asuka, elle ne tenait plus en place. Ces pensées chaotiques me firent sourire à maint reprises alors qu’elle revivait notre nuit précédente, cherchant à se caresser à ce simple souvenir.

Je l’avais mise dans un sacré état ! Un véritable volcan qui menaçait d’exploser mais, par pure facétie, je fis mine de ne rien remarquer. Comme cela avait été simple d’établir mon emprise sur cette mortelle, et comme c’était distrayant de la faire sombrer dans la luxure et le vice. Sa requête ne faisait désormais aucun doute, et j’étais persuadée qu’Asuka n’allait même pas pouvoir terminer la journée pour m’en faire la demande. Il n’était pas encore midi après tout.

« Très bien. » Répondis-je simplement face sa requête, formulée alors que la classe se vidait tout juste.

Une issue prévisible. Mais voilà ce côté masochiste qui ressortait de ma petite Asuka, me suppliant de la prendre comme une vulgaire chienne en oubliant sa timidité. Je conservai un air parfaitement impassible en rangeant mes affaires, prenant délibérément mon temps, et pris finalement la main de ma soumise pour la guider hors de la salle. Son vœu allait être exaucé, je n’avais qu’une parole. Les toilettes étaient comme tout le reste de l’établissement, très propres, et je les localisai facilement à travers les couloirs.
Asuka était bouillante, et je pouvais entendre son cœur battre follement derrière moi alors que je poussai la porte des toilettes. Cela ne se voyait pas sous ma jupe, mais j’avais déjà préparé mon coup, juteux et épais comme cette nuit. Les toilettes étaient étrangement désertes, mais l’inverse ne m’aurait pas réellement arrêté. Je poussai ma soumise sans ménagement dans le premier cabinet vide et la plaquai férocement contre le mur, baladant déjà mes doigts sur ses fesses.

« C’est bien Asuka, tu as compris ta place. Ta place de chienne à sa maitresse, et puisque tu as été bien docile, je vais te donner ta friandise favorite… »

Ah, elle voulait que je la prenne brutalement ? Son vœu allait être exaucé. D’un geste sec, je soulevai sa jupe et lui baissai la culotte jusqu’aux genoux, lui assénant une claque sonore sur son postérieur rebondit pour lui faire cambrer le dos. Aucun préliminaire, aucune tendresse. Sans cérémonie, je baissai moi aussi ma culotte, exhibant une érection de bonne taille et l’orientai aussitôt vers la féminité avide d’Asuka. Celle-ci était si excitée que je l’empalai sans le moindre mal, mon sexe glissant en elle de toute sa longueur, la plaquant contre la paroi en un seul coup de rein.

« Ta chatte est trempée, petite chienne, tu as aimé te faire caresser par tes professeurs ! » Me moquai-je.

Mes mains vinrent saisir ses hanches et, fidèle à sa demande, je la pris violemment, profondément. Mon bassin tapait contre son fessier, ravageant son intimité de ma belle verge épaisse, la pilonnant sans la moindre pitié. Comme une véritable chienne. Les toilettes résonnaient de ce bruit humide et lubrique de la chair contre la chair, et je glissai la pointe de ma langue dans l’oreille d’Asuka, lui mordillant le lobe de temps en temps sans pourtant arrêter mes coups de bassin.

Son ouïe humaine ne s’en était peut-être pas aperçu, mais mes sens aiguisés avaient bien remarqué les pas qui venaient d’entrer timidement dans les toilettes. Nous n’étions pas vraiment discrètes entre les gémissements d’Asuka, et mon bassin tapant contre ses fesses. De plus, je n’avais pas complètement fermé la porte de notre cabinet…

Asuka Kahori

Humain(e)

Re : Invocation démoniaque [Desmina]

Réponse 64 lundi 27 août 2018, 00:52:16

J’étais de plus en plus excitée, dans un état difficilement contrôlable. Cette femme me faisait tellement d’effet... Ma Maîtresse ! Depuis ce matin, je devais endurer ses provocations, ses baisers, ses caresses, ses insinuations. Elle m’avait roulé une pelle devant l’établissement, et elle avait même laissé une professeur me fesser ! Sans parler des fois où elle usait de sa magie rose sur les autres enseignants ! Si ça se trouve... J’en venais en fait même à demander si elle n’utilisait pas ça sur moi aussi, pour être honnête. Ou peut-être que je me cherchais juste une excuse ? Ce qui est sûr, c’est que j’avais très envie de me faire baiser. Ce n’était sans doute pas très moral, surtout dans un lycée, un établissement public, mais, après tout... Tout le monde ici était un pervers potentiel ! Je ne faisais que suivre le rythme, moi !

Quand la sonnerie sonna, ma tension nerveuse était toujours aussi forte, et, prenant tout son temps, ma Maîtresse continuait à me frustrer. Sérieusement ? Est-ce qu’elle ne voyait pas dans quel état j’étais ? Tout mon corps me donnait l’impression de trembler sur place, tandis que je ne pouvais m’empêcher d’imaginer le contact de sa queue en moi. Oh oui ! Je n’avais aucune honte à le penser, mais, en ce moment, je fantasmai clairement là-dessus. Nous rejoignîmes ainsi les toilettes. Au lycée Mishima, comme partout ailleurs, les élèves se chargeaient après les cours, par roulement, de l’entretien des salles et des classes, et il fallait bien admettre que nous faisions plutôt un bon travail. De plus, ces toilettes n’étaient pas très souvent utilisées, surtout à l’heure de la pause récréative, car ils étaient assez éloignés. Il n’y avait d’ailleurs que nous, et je me retrouvai très vite acculée entre, d’un côté, la paroi, et, de l’autre, le corps de ma Maîtresse, qui m’exhiba sa grosse sucette.

« Maîtresse..., me mis-je à gémir de nouveau. Pitié... »

Difficile de dire à quel point, en ce moment, je voulais sentir cette grosse queue me perforer, me prendre énergiquement, et me faire hurler comme une folle. Oui, là, tout de suite, il était difficile d’imaginer à quel point tout ce que j’avais en tête, c’était la sensation de remplissage, de complétude en sentant ma Maîtresse me prendre. Je mouillai, et sentis ensuite ma Maîtresse se rapprocher de moi. Elle abaissa ma culotte, et je lui tournai le dos, cambrant mes fesses, avant de couiner en sentant sa main me gifler.

« Haaa... N-Non, Maîtresse, c’est... Vous avez passé toute la matinée à côté de moi, à me titiller, à me provoquer, haaa... Comment voulez-vous que je vous résiste, hmm... Maîtresse, ma Maîtresse... »

Oui, sa Maîtresse ! Un possessif un peu mal choisi, mais qui, à mes yeux, illustrai surtout le fait que j’étais ravie d’avoir une Maîtresse. C’était... Eh bien, j’étais sans doute folle, mais, pour moi, c’était comme si je venais d’avoir un petit-ami. Et, en fait, c’était sans doute encore mieux que ça. Je goûtais en ce moment à une plénitude incroyable, un sentiment de bonheur absolu qui me remplissait de joie, au point que je risquai le débord. Je la sentais là, dans mon dos, à me prendre, et je manquai bien d’avoir un orgasme pile quand elle me pénétra... Mais, hey, je devais tout de même être à la hauteur des ambitions de ma Maîtresse ! Je me retins donc, soupirant, m’appuyant sur la cuvette des toilettes, gémissant à nouveau, sentant le membre de ma Maîtresse se glisser plus profondément en moi. De la salive coula de mes dents, tandis qu’elle continuait à me prendre.

Toute à mon excitation, je n’entendis évidemment pas une personne supplémentaire arriver. Ces quelques bruits de pas m’échappèrent donc. La femme referma doucement la porte à clef derrière elle, puis s’assit sur un lavabo, et attendit patiemment, observant ses longs ongles en souriant encore.

Après tout, ce n’était pas tous les jours qu’une vampire comme Mélinda Warren surprenait dans les toilettes une démone en train de besogner férocement une jeune femme...
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Re : Invocation démoniaque [Desmina]

Réponse 65 mercredi 29 août 2018, 18:36:39

Quelques semaines, peut-être même quelques jours supplémentaires, et j’étais persuadée que la rééducation d’Asuka prendrait une nouvelle dimension. A peine avais-je approuvé sa requête, que ses pensées n’étaient plus que chaos et luxure, mon esclave ne songeant plus qu’à se faire baiser sauvagement. Cette histoire ne pouvait se terminer que d’une seule manière. Cette mortelle allait devenir un vulgaire objet sexuel, le mien en l’occurrence, en oubliant ses anciennes notions de respect ou d’humanité.

Un avenir qui n’était plus si éloigné. Même si j’écoutai secrètement ses pensées, ce n’était pas réellement nécessaire pour comprendre qu’Asuka était totalement accro à moi, et à cette grosse queue improvisée. Dommage, ça n’était pas ma méthode favorite. Quoiqu’il en soit, je la besognai sans ménagement contre la paroi immaculée des cabinets, l’écoutant gémir, couiner, et soupirer d’aise. Je souris imperceptiblement. Ah, ma petite esclave, pensai-je, tu seras bientôt parfaite.

« Ta maitresse, hmm ?... Tu es bien sûre de toi, Asuka. Je t’accorde une légère faveur, et déjà tu te croise toute permise. C’est mauvais, très mauvais. Il va falloir te rappeler ta place, et combien tu dois prouver que tu mérites mon attention. »

Là-dessus, j’assénai une claque bien sentie sur son postérieur, puis une deuxième sur l’autre fesse. Le bruit résonna dans les toilettes, et je tournai enfin la tête vers l’arrivante, patiemment assise sur le lavabo. Cette jeune femme n’avait même pas l’air surprise de la scène, rien d’étonnant avec un pareil lycée. Je lui souris en retour, le plus naturellement du monde sans cesser mes coups de reins, ni même avertir Asuka de sa présence. Une autre parfaite occasion pour la mettre en difficulté.

Toutefois, l’observatrice inconnue titillait mes sens. Cette fille n’était définitivement pas humaine, et je me rappelai brièvement les mots de la senseï à propos des autres créatures qu’hébergeait ce lycée. De quoi sérieusement pimenter la situation. Mes mains glissèrent sous le chemisier d’Asuka pour venir caresser ses seins, et pincer ses tétons, la serrant d’autant plus fermement contre moi pour la pénétrer avec plus de force. Maintenant que l’on nous observait, je me devais de compromettre mon esclave davantage.

« Je ne t’entends pas assez, Asuka. Dis-moi bien fort combien tu es une chienne soumise, et combien tu aimes te faire baiser par les femmes autoritaires. » Lui glissai-je à l’oreille.

Ma langue vint conclure cette déclaration, serpentant le long de sa nuque, étrangement longue et chaude. Asuka n’avait probablement pas entendu notre spectatrice entrer, et il était plus bien drôle de lui faire crier des paroles salaces en sa présence. J’assénai deux nouvelles claques sur le postérieur de ma soumise, avant de passer mon bras autour de son cou pour appuyer encore davantage mes coups de reins, comme une vulgaire poupée.

Tout cela m'amusait énormément et il était de temps de passer à la seconde étape. Je passai mon bras libre autour de la taille de ma soumise, et la fit basculer avec moi sur les toilettes, m’asseyant sur le siège. Ma soumise demeurait empalée sur ma queue, les jambes écartées en direction de la porte et donc de l’inconnue qui devait désormais profiter d’une vue exceptionnelle. Je soulevai les cuisses d’Asuka, l’humiliant davantage en la plaçant bien en face de notre spectatrice perverse.

« Enchanté, mademoiselle dont je ne connais pas le nom. Si ce spectacle vous intéresse, ne restez donc pas à l’écart. Ma petite chienne ne demande que ça. »

Je remuai un peu dans la chatte dégoulinante d’Asuka, afin de la faire gémir et de démontrer explicitement mes paroles. Celle-ci devait bien se rendre compte que non seulement on nous observait depuis un moment, mais que cette fille avait tout entendue de ces aveux.

« Sois polie Asuka, et dis bonjour. » Lançai-je d’un ton sec.

En réalité, j’étais également plutôt curieuse. Cette créature était d’une beauté parfaite, véritablement angélique, sans quoi je ne l’aurais probablement pas invité aussi facilement. Qu’allait-elle donc décider ? Se faisant, je continuai à pénétrer Asuka énergiquement, longuement, la faisant sauter encore et encore sur mon bassin pour l’empaler avec des bruits lubriques. Le retour en classe allait sans doute devoir attendre…

Asuka Kahori

Humain(e)

Re : Invocation démoniaque [Desmina]

Réponse 66 samedi 08 septembre 2018, 15:35:33

Autant dire que je n’étais clairement pas en état de réaliser que nous n’étions plus seules, et que nos ébats avaient attiré très rapidement d’autres femmes de puissance ici. En fait, je ne savais pas que Mélinda avait bloqué l’entrée des toilettes avec l’aide d’une surveillante, qui était l’une de ses esclaves, et qu’elle utilisait en ce moment un téléphone portable pour filmer la scène, ou, surtout, l’enregistrer. Après tout, je ne cessai de hurler, de gémir, tandis que les faibles murs de la cabine tremblaient sous nos coups de reins. Moi, là, j’étais clairement ailleurs. Envolée, la jeune femme timide, la jeune élève nerveuse, je me transformai en une pure perverse… Ce qui n’échappait nullement à ma Maîtresse, et moi, bien obéissante, je ne pouvais que lui répondre :

« H-Han, Maî-Maîtresse, hmmm… !! O-Oui, je… Hmmm… Je… Haaa… »

Nouvelle claque, une bonne fessée pour m’inculquer le respect. Yeux clos, je m’appuyai contre la cuvette des toilettes, crachant ma salive sous les puissants coups de reins de ma Maîtresse. J’étais évidemment surexcitée par la situation présente, par ce qu’elle me faisait, par le fait que je couchais avec une démone dans les toilettes du lycée (dans les toilettes du lycée, bon sang !), que, tout en couinant, je me mis à hurler, yeux clos, les joues en feu :

« JE SUIS UNE GROSSE SALOPE SOUMISE QUI AIME SE FAIRE DÉFONCER LA CHATTE PAR SA MAÎTRESSE !! »

C’était sorti. Comme ça. Sans crier gare. Une phrase qui s’accompagna de gémissements et de hurlements, avant que je ne sente ma Maîtresse me retourner. J’étais comme un vulgaire poupée de chiffon entre ses bras, et, après quelques instants, je me retrouvai assise sur les cuisses de ma Maîtresse, celle-ci posant ses mains sur mes cuisses pour les écarter. Je couinai encore… Avant de voir la porte s’ouvrir. Mes yeux s’écarquillèrent brusquement en voyant une jeune femme devant nous, un téléphone portable à la main, me filmant, zoomant visiblement sur le phallus planté dans ma chatte… Et ce pile au moment où j’atteignais mon orgasme.

Je me mis à gémir devant l’objectif de la caméra, et jouis donc en direct, gémissant profondément, la mouille dégoulinant sur le sol, coulant le long des toilettes, tandis que la femme se mit à glousser. Je la reconnus ensuite, et déglutis doucement.

« Mé… Mélinda… ?! »

Ma Maîtresse m’avait dit de lui dire bonjour, mais la panique se mit à croître tandis que la femme devant moi se mit doucement à glousser. Sérieusement… Qu’est-ce qu’elle fichait ici ?! Je sentis la panique croître, mais, avec la queue de ma Maîtresse bien plantée en moi… Réfléchir devenait difficile !

« Tu n’as pas entendu ce que ta Maîtresse t’a dit, petite Asuka ?
 -  Haaa… Je… Hmmm… »

Je me pinçai les lèvres, me demandant si tout cela n’était pas un piège de ma Maîtresse. Il y avait tant de rumeurs circulant sur cette Mélinda… Une élève très souvent absente, et dont l’absentéisme ne dérangeait personne. Les professeurs ne lui disaient jamais rien, et j’étais partagée entre une certaine forme de peur, de fascination, et aussi de sincère excitation en pensant à elle, car… Et bien, toute considération mise de côté, elle était d’une beauté incroyable ! Une beauté angélique, mais qui semblait presque trop belle, avec son visage de porcelaine, pour être réelle !

Je sentis ma Maîtresse me pincer, et couinai encore, sentant sa langue et ses dents dans le creux de mon cou.

« Hnnn… Bon… Bonjour, haaaa…
 -  J’ai été devancée, tu sais… Je comptais m’inscrire à l’une de tes séances de kinbaku pour t’attacher moi-même, et te baiser comme une truie… Mais j’ai été devancée. »

Je me mis à rougir, étrangement gênée d’apprendre que tant de femmes voulaient m’asservir. Ce lycée était incroyable ! C’était un véritable baptême, aujourd’hui, où je découvrais une facette incroyable du lycée ! Je vis alors Mélinda poser le téléphone à côté d’elle, puis se déshabiller lentement. Elle déboutonna son chemisier, et le posa au sol, ainsi que sa minijupe, révélant un corps magnifique. Elle avait une superbe poitrine, parfaitement proportionnée, une très longue chevelure, et se déshabilla totalement… Exhibant entre ses cuisses une grosse verge en érection, un vit dressé et légèrement trempé, qui me fit déglutir.

Mélinda se déplaça doucement, approchant sa verge de mes lèvres. J’avais les yeux rivés sur sa queue, ce qui fit que je ne pouvais pas voir son regard, car j’aurais alors vu ses yeux se mettre à rougeoyer. Elle souriait malicieusement révélant toutefois des dents pointues.

« Tu n’es pas la seule démone ici, tu sais… Montre-moi à quoi tu ressembles, Desmina… »

Elle savait que ma Maîtresse était une démone ? J’avais plein de questions à poser, mais je pensais surtout à la verge qui me défonçait la chatte… Et à celle qui dansait devant moi, caressant mon menton.

« Ne vous en faites pas, notre prochain cours a lieu avec l’une de mes esclaves… Nous pouvons arriver en retard, elle ne dira rien. Mais toi, petite chienne, ouvre bien la bouche… »

Je sentis la main de Mélinda serrer mes cheveux, son autre main se posant sur la base de son sexe, et elle fourra sa queue dans ma bouche, m’arrachant un long soupir, tandis que je continuai à me faire pilonner la chatte par ma Maîtresse, ce qui, somme toute, m’approchait d’un second orgasme.

Et moi, j’étais prise entre deux superbes femmes, qui avaient l’air d’être aussi autoritaires que belles…

…Comment est-ce que je ne pouvais pas jouir en série, moi ?!
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Re : Invocation démoniaque [Desmina]

Réponse 67 lundi 17 septembre 2018, 15:36:24

Asuka était quasiment prête désormais. Le dénouement approchait, je pouvais déjà l’imaginer, et ce même si l’endroit n’était pas très approprié pour un triomphe. Qu’une intruse vienne l’humilier davantage ne faisait que me faciliter les choses pour son propre avenir. A mon service. Car bien évidemment, je ne comptais nullement m’éterniser dans ce monde mortel, bien que ce lycée possède son lot de distractions. Mon but avait été fixé au moment même où une humaine écervelée m’avait importuné par une agaçante invocation.
La punition physique n’était pas une solution à court terme. Comme en témoignait les jouissances à répétition qui secouaient le corps d’Asuka durant mes sévices, elle adorait cela. A ce stade, la chute était si proche, que l’humaine ne s’en rendait plus compte, et qu’au final, elle allait la souhaiter, voire la réclamer de ma part. Le cri de la parfaite soumise était grandiose, exactement ce que je recherchai, et l’humiliation de l’orgasme face à une tierce personne était simplement parfaite. Une orchestration à point nommé.

« Ne m’oblige pas à me répéter. » Insistai-je sèchement en mordant son lobe d’oreille pour l’obliger à dire bonjour.

Tout ceci était un déroulement imprévu. Mais cela n’allait pas m’empêcher d’emporter Asuka avec moi, comme je lui avais maint fois répété, elle était condamnée au moment même où cette petite gourde m’avait invoqué. Je ne cessai mes coups de reins, empalant ce phallus factice plus profondément dans la chatte détrempée d’Asuka, la rendant de plus en plus dépendante à cette luxure hors norme.
Pendant ce temps, la nouvelle arrivante ne perdit pas un instant pour profiter à son tour de la situation. A en croire ses paroles, cela lui tenait à cœur depuis un petit moment. Qui aurait pu le croire ? Qu’une petite sotte comme Asuka, timide le jour et perverse la nuit, puisse attirer autant de convoitise ? De mon propre avis, cette mortelle allait faire une excellente servante… En enfer !

« C’est une nouvelle leçon pour toi. Quand une demoiselle t’accorde un minimum d’attention, tu dois la remercier convenablement, en bonne chienne que tu es, Asuka. »

Nue et une verge dressée entre les jambes, cette Mélinda illustrait exactement le type de remerciement dont je parlais. Une vampire s’ajoutait au bestiaire improbable de ce lycée. Ce physique était si reconnaissable, que je n’eus pas le moindre doute sur son identité. Quant au fait d’autres démons erraient en ces lieux, ce n’était guère surprenant non plus, quand les succubes devaient adorer ce lycée de la perversion.
Asuka n’irait jamais au prochain cours. Mais je ne dis rien de mes plans, et continuais, infatigable, à marteler son entrejambe de vigoureux coups de hanches, si trempée que ma queue s’y agitait aussi parfaitement qu’un piston bien huilé. De toute manière, mon esclave avait un meilleur usage à faire de sa bouche qu’argumenter, et c’est avec une certaine satisfaction que je la vis engloutir le sexe nouveau venu.

« Depuis quand les petites vampires ordonnent aux démons ? » Répondis-je à Mélinda.

Tandis que ma soumise la suçait avec une dévotion exemplaire, je ceinturai les hanches de celle-ci d’une main, pour venir caresser les testicules de notre invitée surprise de l’autre. Un geste si étroitement mêlé d’érotisme et de possession, que cela me semblait difficile d’y discerner mes intentions.

« Nous ferons connaissance quand le moment sera venu. En attendant… » D’un geste souple, je soulevai Asuka, faisant émerger ma verge de son intimité dégoulinante. Traitant Asuka comme un simple objet, un cadeau diplomatique en somme, j’orientai mon sexe raide entre ses petites fesses et, lentement mais sûrement, la sodomisai sans cérémonie. « Je vais te faire une place par souci de cordialité. »

Les jambes écartées, et la chatte humide, bien ouverte d’Asuka n’avaient besoin d’aucune explication pour comprendre ma proposition. Cette humaine était mon objet. Mélinda n’était qu’une excuse supplémentaire pour la soumettre encore plus profondément que jamais, et Asuka allait adorer ça, j’en étais convaincue.

Asuka Kahori

Humain(e)

Re : Invocation démoniaque [Desmina]

Réponse 68 lundi 24 septembre 2018, 01:21:45

Je me trouvai en situation... Incroyable. Honnêtement, j’avais encore du mal à réaliser clairement ce qui m’arrivait. Ma Maîtresse me baisait sur les toilettes, et, devant moi, il y avait cette étonnante élève, Mélinda Warren, qui, non seulement était une Maîtresse, mais aussi... Une vampire ! Je ne comprenais plus rien, si ce n’est qu’elle avait, elle aussi, une queue, qu’elle me fourra dans la bouche. Décidément, je découvrais un tout nouvel aspect du lycée Mishima, et je n pus que soupirer, déplaçant mes mains pour les appuyer sur le corps de Mélinda. Cette fille m’avait toujours intrigué, et le fait d’apprendre qu’elle voulait de moi pour être son esclave... Pouvais-je donc être si populaire ? Cette nouvelle était très surprenante, et, tandis que je m’y faisais, les femmes continuaient à me bourrer. Maîtresse serra davantage mon corps contre le sien, et je déglutis doucement, sentant la verge de Mélinda, grosse et massive, aussi épaisse que celle de ma Maîtresse, s’enfoncer jusqu’à la garde. La main de ma Maîtresse frôla mon visage, et caressa les testicules de la vampire, comme pour l’accompagner. Moi, je recouvrai sa verge de ma délicieuse salive, et, tandis que le temps passait, ma Maîtresse décida de passer aux choses sérieuses.

Elle se retira brusquement de mon vagin trempé, et me tira doucement en arrière. Mon dos heurta son ventre, et je soupirai alors, ayant très chaud, voyant Mélinda se déplacer encore. La femme s’était intégralement déshabillée, à l’exception de ses collants, et, soudain, je sentis le vit de Maîtresse Desmina s’approcher de mon fondement. Elle n’allait tout de même pas...

« Maî-Maîtresse, nnn... »

Quand même pas ! Je voulais lui dire de ne pas le faire, mais, au même moment, sa queue s’enfonça dans ma rondelle. Mes yeux s’écarquillèrent, et un cri mourut dans ma poitrine, tandis que la femme enfonça durement son chibre en moi. Mes yeux se révulsèrent dans leurs orbites, et un gémissement ténu s’échappa de mes lèvres. Toutefois, le pire était encore à venir, car Maîtresse Demsina s’était déplacée. Elle avait posé ses mains sur mes cuisses, et, rapidement, Mélinda la rejoignit. Les mains griffues de la vampire se posèrent sur mes fesses, en soutien, et elle me pénétra à son tour, s’enfonçant dans ma chatte trempée. Sentir ces deux femmes se coller à moi m’arracha alors un premier cri, puis, quand elles se retirèrent toutes les deux, et s’enfoncèrent de nouveau, un nouveau cri s’échappa de mes lèvres.

« Haaaaannn...
 -  Si étroite, et pourtant, hmmm, ta chatte se déforme bien... Ta Maîtresse n’a pas dû t’épargner, hein, petite salope ? »

Mais où diable avais-je débarqué ? Où donc étais-je pour que ces femmes m’insultent aussi librement, sans aucune gêne ? Je rougis furieusement en me pinçant encore les lèvres, sentant les deux bites s’enfoncer en moi. Le pire, c’est que je frissonnai à chaque fois qu’elles m’insultaient, ou que... Mélinda m’arracha encore un cri en pinçant brusquement mes fesses, facilitant ainsi les mouvements de la femme. Ma main se posa sur l’épaule de la vampire, et l’autre tapa contre la cloison des toilettes. Mon corps continuait à rebondir, sans défense, ballotté entre ces deux terribles beautés. Une démone, une vampire... Et une pauvre humaine entre les deux qui se faisait maltraiter par elles !

Le fait est qu’elles n’y allaient pas de main morte. Tout en me torturant sexuellement, et en me faisant enchaîner les orgasmes, et même en me faisant couler des larmes, Mélinda continua à parler, serrant et collant son corps contre le mien :

« Alors... Hmmm... Tu comptes rester ici longtemps... Des-Desmina, hmmm... ? »

Elles n’allaient tout de même pas se mettre à discuter tout en me baisant, si ?!

Ah, ces pestes étaient terribles dans leur domaine !
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Re : Invocation démoniaque [Desmina]

Réponse 69 mardi 25 septembre 2018, 18:51:59

Aussi confortable que pouvait l’être le joli cul d’Asuka, où j’étais actuellement enfoncée sur jusqu’à la garde, le siège des toilettes ne l’était pas, lui. Ah, qu’il me tardait de gagner meilleure demeure. Le monde des mortels, en particulier ce lycée, avait beau receler quelques surprises amusantes, ce n’en était pas moins qu’une distraction passagère. Mon humeur se tournait déjà vers l’avenir. Une âme de plus, nouvelle et jeune pour enrichir mon personnel, et agrémenter mon tout dernier palace infernal.
Asuka ne le savait pas encore mais, brusque lubie de ma part, elle serait sans doute parfaite dans l’uniforme de femme de ménage. Le temps dicterait plus exactement ce que j’allais faire d’elle. Peut-être une simple esclave mortelle, et qui sait, peut-être une succube si son service me convenait ? Elle était déjà suffisamment obéissante et fidèle pour me permettre de la traiter comme un simple objet, ainsi prise entre mon sexe et celui de Mélinda.

« Oui… Et une seule nuit a suffit à la transformer en fourreau à bites, alors qu’elle était vierge. Elle est pré disposée à cet usage. » Expliquai-je après le compliment de la vampire.

Une autre sorte de compliment de ma part. Car, sans aucun doute, j’appréciai beaucoup profiter de mon esclave, de son corps tendre et qui réagissait au moindre coup de reins. Je pouvais même sentir les mouvements du sexe de Mélinda tandis que le mien sodomisait profondément, sans la moindre pitié, le fondement d’Asuka. D’une main, je ceinture sa taille pour la tenir près de moi, de l’autre main, mes doigts viennent courir sur sa confortable poitrine, en pincer les tétons pour la faire crier.
A dire vrai, la vampire captait mon intérêt également. Naturellement belle, surnaturellement même, son physique était forcément agréable à regarder, fidèle à sa race, et je m’amusais beaucoup de son arrivée inopinée. Réellement inopinée ? Ou bien était-elle déjà au courant, alors qu’elle convoitait Asuka de son propre aveu ? Quoiqu’il en soit, sa participation était la bienvenue pour couronner le dressage de ma nouvelle esclave en beauté. Nul doute qu’un éclair d’intérêt traversa brièvement mon regard.

« Eh bien, non… Je termine le dressage de ma dernière acquisition aujourd’hui, et puis… Je l’emmène à mon service, maintenant qu’elle est prête… N’est-ce pas, ma petite salope ? » Lui répondis-je, non sans mordre le cou d’Asuka.

Mon affirmation se ponctua par le pincement cruel d’un téton, tandis que mes doigts continuaient de caresser ses seins. Combien c’était amusant, je dois bien le reconnaitre, de la pénétrer toute deux sans cesser de faire connaissance. Heureusement que je disposais d’une résistance à toute épreuve, sans quoi l’érotisme de cette situation et le délicieux cul d’Asuka, m’aurait déjà fait jouir. Ma main descendit le long du ventre de mon esclave, venant caresser son clitoris, en rajoutant encore à la délicieuse torture qu’elle subissait, déjà déchirée par deux verges en même temps, et de belles tailles !

« Une nouvelle vie t’attend, Asuka, avec ta maitresse. Tu vas pouvoir la servir, être à ses pieds, devenir l’objet sexuel dont tu rêvais tant…  Et ce pour l’éternité. » Susurrai-je à son oreille.

L’éternité, peut-être pas. Qui sait ? Cela dépendra de son comportement, peut-être saurait-elle suffisamment me distraire pour que j’en fasse une des nôtres ? Ce cas de figure n’était pas impossible, mais qu’elle puisse terminer comme tant d’autres âmes torturées pouvait être aussi une réalité. Asuka se représentait sans doute l’Enfer comme un puit d’horreur, de hurlements et de douleurs, ce qui pouvait être vrai dans certains cas, mais je planifiai une retraite autrement plus luxueuse.

« Et toi, à ce propos, que fais-tu ici ? » Sans perdre mon souffle, je revins à Mélinda. « Qu’est-ce qu’une vampire aussi charmante trouve à ce lycée de la débauche si ce n’est des chiennes à remplir ? »

Quoi de mieux qu'une esclave commune pour faire connaissance, n'est-ce pas ?

Asuka Kahori

Humain(e)

Re : Invocation démoniaque [Desmina]

Réponse 70 lundi 01 octobre 2018, 01:05:48

J’étais totalement en transe. Je ne comprenais plus rien, et, avec les deux verges qui me défonçaient, je n’arrivai plus à me contrôler. Je passais mon temps à gémir, à hurler, à me tortiller sur place, tandis que ma Maîtresse parlait à l’autre femme, à Mélinda, comme si... Comme si je n’étais rien de plus qu’un vulgaire trou qu’elle labourait. Elle me pinçait les seins au passage, tout en continuant à me faire longuement l’amour. Son vit dans mon cul continuait à me ramoner, et Mélinda n’était pas en reste. Ses doigts griffus lacéraient ma chair à hauteur de mes cuisses, et elle les posa ensuite sur mes fesses, torturant monc ul pendant que Maîtresse Desmina pinçait mes seins.

« Hmmmm... !! »

Mes longs soupirs se déversaient dans ma poitrine, et j’avais encore du mal à répondre à ma Maîtresse, qui évoquait la publicité de m’emmener en Enfer avec elle, de faire de moi son esclave « pour l’éternité »... Je couinai donc, hochant lentement la tête. Là, sous l’effet de l’excitation sexuelle, tout mon corps était transi de désir, et je n’étais plus en état de songer à autre chose qu’à ce que je voulais. Être une esclave, servir ma Maîtresse jusqu’à l’éternité, être sa petite chienne... Oh oui, oui, tout ça me faisait follement fantasmer ! Là, je m’imaginai lui lécher longuement les pieds, subir pendant des heures les assauts de sa féroce trique tandis que j’aurais un collier autour du cou.

Rien de tout cela n’était clair pour moi, je n’étais plus en mesure de me contrôler. Je continuai donc à gémir, mouillant tandis que deux solides queues me pilonnaient, appartenant à deux magnifiques femmes. Nos corps se frottaient les uns contre les autres, leurs onctueux soupirs emplissaient mes oreilles, et Mélinda revenait régulièrement m’embrasser. Ses lèvres étaient magnifiques, d’une incroyable tendresse, et moi, mes bras ballottaient en l’air, se relevant parfois pour saisir les cheveux de la femme. J’essayai de conserver le contrôle, autant que possible, mais, en réalité, il n’y avait plus rien, ou presque, que je ne pouvais contrôler, si ce n’est ma propre propension à avoir des orgasmes en série.

Ma Maîtresse continuait à me sodomiser, déformant mes parois anales, et je faisais face à une dose de plaisir incroyable. Une belle prise en sandwich. Yeux clos, je visualisai la scène, les deux corps se frottant à moi,  deux belles beautés qui me torturaient sexuellement, me faisant gémir, encore, et encore, ou même hurler, surtout quand elles agrémentaient leurs coups de reins de pincements, voire de morsures ! Des morsures ! Ces femmes étaient vraiment monstrueuses ! Mais je ne pouvais pas nier que j’adorais ça !

« Mmmhh... Haaaaann, Maîtresse, haaaaa... !! »

Le seul fait de réussir à dire cela relevait, en soi, du miracle, tant je me faisais joyeusement bourrer. Et, tandis qu’elles continuaient à me prendre, et qu’un orgasme me traversait, Maîtresse Desmina s’enquit de la présence de Mélinda ici, presque comme si elles étaient dans un salon de thé. En même temps, il fallait bien avouer que Mélinda témoignait du même calme surnaturel que ma Maîtresse en me baisant, contrôlant ses coups de reins, donnant des coups secs, rapides, et profonds.

Mélinda sourit d’ailleurs devant la remarque de Desmina, et releva son visage pour la regarder, se pressant contre mon corps, m’étouffant sur place quand les corps des deux femmes s’écrasaient sur le mien, me noyant sous un solide cocon de douceur et de chaleur.

« Oh, hmmm... Pas de simples chiennes, non... Tu n’imagines pas... Comment les filles d’ici sont douées et... Appréciées là d’où je viens, hmmm... Ce lycée... Il n’est qu’une couverture, un terrain de chasse pour des gens comme toi et moi. Un endroit exceptionnel, hmmm... Où la finalité première est d’éduquer sexuellement les élèves qui y sont. »

Ce qui était sûr, c’est que ce n’était pas moi qui pourrais, au vu de ma position, prétendre le contraire...
DC d’Alice Korvander.

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Re : Invocation démoniaque [Desmina]

Réponse 71 vendredi 05 octobre 2018, 00:09:39

Asuka cédait. Et Asuka allait bientôt sombrer. Je pouvais entendre non seulement ses pensées lubriques, mais également son désir croissant de m’appartenir pour l’éternité, l’abandon total comme elle l’avait refusé au départ. Ne prenez pas mon âme, avait-elle clamé, au début de notre rencontre ! Et pourtant, tout cela allait m’appartenir pour l’éternité, cette âme de soumise, cette chair tendre et rose qui allait rougir de bonheur sous le fouet une fois le dressage terminée.
Seulement, mon esclave n’en avait pas encore pris totalement conscience. Quant à moi, dans un autre registre, je commençai également à céder. La sensualité de la scène, le corps chaud d’Asuka pressé contre le mien, ses gémissements et ses fesses étroites, les mouvements de Mélinda que je percevais à travers elle… Tout cela me pressait de jouir. Il ne me restait qu’à donner le coup de grâce avant cela, et abattre la dernière fierté de cette mortelle.

« Inutile de parler Asuka… J’entends tes pensées de salope depuis le début de notre rencontre, tu ne l’avais pas compris ?... Je sais combien tu rêves d’être ma chienne, de me lécher les pieds et de te faire prendre quand j’en aurais envie… Avec ton collier. »

Exactement ce qu’elle venait de penser à l’instant. Je ricanai en lui mordillant délicieusement la peau tendre de la nuque.

« Tu n’as aucun secret pour ta maitresse… Et tu vas avoir ce que tu veux bientôt… » Lui susurrai-je à l’oreille

Concluant ce murmure par de vigoureux coups de reins, déformant le cul délicieusement serré d’Asuka en imprimant un rythme double… Puis triple ! Cette fois, plus question de la ménager quand moi, sa maitresse, était sur le point de jouir et je me mis à lui imposer une vitesse surnaturelle, lui défonçant littéralement le fondement. N’était-elle pas prête à devenir ma chienne personnelle ? Cette mortelle devait se préparer à des critères physiques bien plus élevés qu’à l’accoutumée, si elle voulait me satisfaire convenablement, moi ou les invités qu’elle recevra…
En maid, oui, un rôle parfait. Cette perspective provoqua l’apparition d’un sourire, presque aussitôt remplacé par un long râle, presque guttural, tandis que l’orgasme me submergeait. Enfin, pourrais-je dire ! La trique bien enfoncée entre les fesses d’Asuka, je les lui remplissais onctueusement, généreusement, prise de quelques spasmes de plaisir que je calmai en mordillant ses épaules. Je la plaquai de plus belle contre moi, le sexe bien au chaud dans son fondement, laissant Mélinda la baiser tout son soûl.

« Qu’il est bon de se vider dans ton cul, Asuka ! » Mon regard de braise se tourna alors vers la splendide vampire qui continuait sa besogne. « Je vois ce que tu veux dire. Celle-ci je vais la garder, elle m’a l’air bien assez éduquée. »

Cependant, force est de constater que la déclaration de Mélinda me laissait entrevoir des perspectives pour le moins intéressantes. Moi qui manquait cruellement de d’actualisations quant à l’évolution du monde, je ne pouvais donc que supposer l’existence de sociétés peuplées de créatures surnaturelles. Quant à la ravissante vampire, nul doute que cette beauté de porcelaine ne devait avoir aucun mal à tirer profit de ce commerce, en y attirant les mortelles.
Tandis que mon identité humaine s’effilochait, que ma peau retrouvait peu à peu sa couleur naturelle, un rouge carmin décoré d’arabesques complexes, je caressai toujours de manière possessive la poitrine d’Asuka. Le départ était proche. Je recouvrai petit à petit ma forme originale, et adulte, tandis que le sexe factice disparaissait lui aussi des fesses de mon esclave, lui laissant son petit trou béant après tant d’exercices, et moi mes lèvres intimes. Ma chevelure recommença à flamboyer, générant une vague de chaleur, et une écrasante aura démoniaque dans cet étroit cabinet que nous allions quitter sous peu.

« Remercie Mélinda pour ces bons traitements, et pour daigner te remplir. » Lui murmurai-je en retrouvant ma forme originale.

Asuka Kahori

Humain(e)

Re : Invocation démoniaque [Desmina]

Réponse 72 lundi 08 octobre 2018, 01:12:34

Oh, Dieu, que j’avais mal au cul ! Ma Maîtresse se lâchait vraiment, et je n’étais plus qu’une petite poupée entre ces deux femmes. Difficile de dire, en toute objectivité, laquelle était la plus terrible des deux. Je ne connaissais jusqu’à présent Mélinda que de réputation. Elle était une femme arrogante, une lycéenne absentéiste qui se moquait de l’autorité des enseignants, mais qui avait toujours, avec elle, quantité d’amis, ou de larbins. Les gens se méfiaient d’elle, et moi, tout ce que je savais sur elle avant ce moment, c’est qu’elle était une fille redoutablement belle, avec un visage poupon, une tête d’ange, mais avec des yeux verts acérés, très intelligents, qui trahissaient une femme à l’esprit profondément affuté. Et, maintenant, je pouvais dire que mes intuitions avaient été très bonnes ! Cette femme était une redoutable perverse, et elle me pénétrait avec talent. Tout en y allant franchement, elle était aussi suffisamment calme pour parler avec ma Maîtresse... Ma Maîtresse, qui rappela qu’elle pouvait lire dans mon esprit, ce qui me fit rougir. Honnêtement, si on m’avait dit, il y a quelques jours, que je me ferai prendre dans les toilettes du lycée par une démone et une vampire hermaphrodites, je n’y aurai jamais cru ! C’était pourtant là tout ce qui me tombait dessus.

Oui, en ce moment, je rêvai d’être encore la soumise de ma Maîtresse... Mais je n’étais pas en état de réfléchir ! Là, seul le désir parlait pour moi. Toute mon intelligence avait été remise au placard, et je me faisais délicieusement prendre en sandwich. La vampire me labourait, et chacun de ses baisers était un délice. J’y répondais avec appétit, me blottissant contre elle, sentant sa langue s’enfoncer dans ma bouche. Elle mordilla même ma lèvre inférieure avec ses dents, m’arrachant un couinement, ainsi qu’un long frisson. J’étais dans un état tel qu’il m’était impossible de dire combien de fois j’avais joui. J’enchaînai les orgasmes, tandis que ma Maîtresse continuait à m’éclater le cul.

« Haaaaaaa... Hmmmmmmmmmm... HAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNN... !! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNN... !!
 -  Là, oui, hurle, salope, HURLE BIEN FORT !! »

Il était impossible de lutter contre de telles femmes, tout simplement. Je n’étais qu’une humaine, une simple petite humaine. Je ne pouvais pas les combattre, et je laissai donc ces deux terreurs faire de moi ce que bon leur semblait... Car ce que je vivais en ce moment était phénoménal. Je n’avais jamais ressenti jusqu’à présent un tel pied ! Elles me défonçaient bien, et c’était... C’était si bon ! Douloureux, certes, mais j’étais arrivée à une espèce de stade supérieure à la douleur et au plaisir, comme si ces deux sensations se mélangeaient. Et ma Maîtresse me pilonna encore, accélérant le rythme, m’envoyant régulièrement m’aplatir contre le corps de Mélinda, me faisant encore hurler.

En ce moment, j’hurlai comme une folle, et il suffisait que quelqu’un passe dans le couloir pour entendre mes cris. Mais impossible de me retenir ! Ma Maîtresse y allait trop fort. Yeux clos, je me laissai submerger, comme une digue qui viendrait de sombrer une marée insurmontable. Encore, encore, encore ! Elle y allait sans relâche, sa grosse verge m’éclatant l’arrière-train. Je mouillai furieusement, les minutes défilant à toute allure, fondant comme des secondes tandis que la femme continuait à me prendre. Mes cris moururent finalement dans un ultime orgasme, et ma Maîtresse s’abandonna en moi. C’est d’ailleurs là que j’eus mond ernier orgasme, en la sentant se vider en moi. Cette idée me remplissait de joie, j’irradiai alors d’un tel bonheur que... Que tout mon corps se relâcha brusquement.

Je venais de jouir encore, et sentis le corps de ma Maîtresse évoluer. Ses mains sur mes seins devinrent plus fortes, et je frémis en sentant ses griffes, et en voyant sa peau rougir. Elle venait de reprendre son apparence normale, grandissant sur place, et libéra mon cul de sa présence. Son sperme se mit alors à couler dans le trou béant qui était mon anus, m’arrachant des soupirs. Je pouvais sentir les caresses de l’air sur mes parois déchirées, et la sensation de sentir son foutre dégouliner de mon corps m’excitait fortement. Mélinda n’en avait toutefois pas encore fini avec moi, et se servit du corps de ma Maîtresse comme support, continuant à me baiser.

« Haaaaa... !! »

Ceci dit, avec mon cul désormais libre, j’allais mieux... Mieux, dans le sens où mon esprit n’était plus autant fracturé. Ma tête était nichée contre les seins de ma Maîtresse, et je soupirai doucement,  J’étais là, contre elle, et j’étais bien, si bien... Puis Mélinda gémit alors, et se pinça les lèvres. Je l’observai alors, la trouvant... Très belle. Elle était là contre moi, yeux clos, contractant ses muscles, et me remplit à son tour. Avec sa peau mate, ses rougeurs ressortaient à merveille, et la jeune femme aux cheveux bouclés s’abandonna en moi, crachant sa semence.

Quand elle se retira, je m’effondrai sur le sol, baignant dans une flaque de sueur, de mouille, et de sperme, contre les jambes de ma Maîtresse. Celle-ci n’eut pas besoin de dire quoi que ce soit que je me penchai déjà vers ses jambes, et les embrassai, les léchant spontanément, en signe de ma profonde servitude, de ma soumission totale à celle-ci. Elle me donna alors un ordre, et je regardai Mélinda, avant de m’exécuter :

« Merci, Mélinda, merci de m’avoir... De m’avoir baisé si fort... »

Celle-ci sourit malicieusement en retour.

« Tu es une bonne salope, Asuka. Je suis toujours un peu frustrée de ne pas t’avoir comme esclave, mais... Desmina s’occupera très bien de toi, j’en suis convaincue. »

Elle me tapota affectueusement la tête, comme une petite chienne.

« Pourquoi te déguiser en lycéenne, Desmina ? Je croyais que les démons n’aimaient pas recevoir des ordres des humains. Tu serais bien mieux en professeur, surtout pour tourmenter Asuka... »

Mélinda se rapprocha alors de Desmina, et caressa son corps.

« En tout cas, tu es magnifique... Je connais une démone qui adorerait en savoir plus sur toi. Tu lui ressembles un peu, d’ailleurs... »

Je soupirai encore, pendant que mes pensées me trahissaient en imaginant Desmina en professeur sévère, dans un costume sombre et serré... J’avais encore du boulot à faire pour protéger mes fantasmes de la curiosité de ma Maîtresse, moi !
DC d’Alice Korvander.

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Desmina

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    Puissante démone manipulatrice et autoritaire.

Re : Invocation démoniaque [Desmina]

Réponse 73 samedi 13 octobre 2018, 14:29:54

Quel était-donc cette antique formule humaine ? Tout est bien, qui finit bien, à quelques détails près. L’affront allait être finalement lavé, celui de m’avoir appelé comme une vulgaire démone de basse extraction, avec la chute d’Asuka aux enfers, devenant ainsi mon éternelle servante. Mais était-ce réellement une punition pour cette mortelle ? L’extase submergeant ses pensées, ses hurlements de jouissance et sa manière de se blottir contre moi me poussait à croire que me suivre était son désir le plus cher.
Ce dressage était parfait ! Asuka ne désirait plus qu’une chose, me satisfaire, et cela voulait dire qu’elle était donc fin prête. Un sentiment de fierté, d’accomplissement m’envahit, tandis que la vampire tirait grand plaisir du corps de mon esclave frémissante et chaude contre moi. Mélinda la gratifia d’un orgasme, la remplissant de foutre en guise de cadeau d’adieu, et je laissai glisser mon esclave le long de mon corps, la laissant s’échouer à mes pieds.

« Bien, très bien… » Approuvai-je aux remerciements d’Asuka, et à ses baisers des plus soumis sur mes cuisses.

Inconfortable comme l’était ces toilettes, il était vraiment temps d’en sortir, en plus d’être potentiellement dégradant pour mon image. Je me levai souplement, tout en grâce évidemment, laissant la possibilité à Asuka de cajoler mes mollets comme une parfaite soumise, et observai longuement Mélinda. Un véritable angelot de marbre.

« Je ne comptais pas m’attarder dans ce monde-ci à vrai dire. Cette petite chienne a eu l’impudence de m’invoquer comme une vulgaire succube, et je suis restée suffisamment pour la remettre à sa place. »

Je jetai un coup d’œil condescendant la mortelle à mes pieds avant de reprendre. « Comme tu vois, ça ne m’a pas pris longtemps. Le rôle de professeur me lasserait vite, je te remercie. »

La vision lubrique de ma propre personne dans une tenue d’éducatrice sévère traversa l’esprit de mon esclave comme un éclair que je surpris aussitôt. Décidément, cette salope ne s’arrêtait donc jamais ! Nul commentaire de ma part ne s’entendit, mais je notai cette idée pour plus tard. Quant à demeurer ici plus longtemps, non, et certainement pas pour m’occuper de la libido d’adolescentes. La main de Mélinda s’aventura imprudemment sur mes courbes, et je répondis en saisissant son menton entre le pouce et l’index, lui soulevant délicatement pour scruter son regard.

« Oh, vraiment ? J’ai encore beaucoup de choses à découvrir, je ne me suis pas éveillée depuis des siècles, vois-tu.  Peut-être nous reverrons-nous dans ce cas… »

Les mots franchirent à peine mes lèvres, que je les apposai sur celles de Mélinda. Un profond baiser brûlant, littéralement, que je fis durer un long instant avant de l’en délaisser, mordillant sa lèvre inférieure.

« … Ou peut-être viendrais-je vous trouver. »

Le sol se mit soudainement à vibrer sous nos pieds. L’air qui nous entourait devint étouffant, une odeur de souffre emplit la pièce alors le carrelage impeccable commença à se fissurer juste à côté d’Asuka. Un pouvoir démoniaque, la démonstration du mien, alourdissait l’atmosphère d’une chape de plomb et bientôt, un morceau entier du sol disparu, comme engloutit par un gouffre béant en train de s’ouvrir littéralement à côté de nous.
Était-ce une illusion, ou bien la réalité ? Les cabinets, les lavabos et même la porte fermant l’accès des toilettes se trouvèrent eux aussi emportés dans la fosse qui continuait à s’élargir. L’abysse n’était pas noire complètement noire, mais au contraire, flamboyait d’une couleur de lave, et une monstrueuse bouffée de chaleur suffocante y soufflait. J’aurais pu choisir un endroit plus accueillant de l’Enfer pour y ouvrir un portail, mais jamais je ne ratais une occasion pour tourmenter Asuka.

« La vue te plait, Asuka ? C’est là que nous allons. » Déclarai-je en la saisissant dans mes bras.

Au beau milieu du lycée, à la place des cabinets, un gouffre béant vers l’Enfer venait de s’ouvrir, manifestation magique que je contrôlais pleinement. D’ailleurs, j’avais laissé à Mélinda un ilot de sol suffisant pour ne pas chuter. Mon dos cramoisi se déforma et se gonfla d’ailes noires, gigantesques et terrifiantes, ses dernières nous soulevant de terre, mon esclave et moi, au-dessus de l’abime.

« Si tu as un dernier mot d’adieu pour ton ancienne vie terrestre, c’est le moment… »

Un hurlement peut-être, pensai-je, telle la fin tragique d’un pacte avec le diable ? Cela n’allait rien changer de toute façon. L’Enfer compterait une âme de plus dans un instant !

Asuka Kahori

Humain(e)

Re : Invocation démoniaque [Desmina]

Réponse 74 lundi 22 octobre 2018, 01:03:33

« Je t’accueillerai chez moi avec plaisir, Desmina... »

J’avais franchi le point de non-retour. Définitivement. Sans doute aurais-je pu, à la base, repousser cette femme, mais, non seulement je l’avais invoqué, mais j’avais largement pris mon pied avec elle. Le fait est que je lui avais donné mon âme, et, même si je n’étais pas une grande experte en démonologie, j’avais vu suffisamment de films sur la question pour savoir qu’il était trop tard pour faire marche arrière. Et, si une partie de moi l’avait encore voulu, cette séance de baise dans les toilettes avait achevé de taire cette partie. En moins d’une journée, cette démone avait su me transformer, réveillant en moi mes plus sombres et mes plus perverses pulsions. Quel intérêt de nier l’évidence ? De contester le fait que j’étais devenue son esclave, sa chienne personnelle ? Une esclave sexuelle qui offrirait à ma Maîtresse un accès permanent sur Terre. Je continuai à embrasser ses pieds, léchant sa peau rouge, tandis que Mélinda alla embrasser ma Maîtresse. Un long baiser, qui sonna comme un au revoir, au moins temporaire.

Ma Maîtresse ouvrit ensuite un Portail. Les yeux écarquillés, je vis le sol se fissurer devant moi, s’effritant progressivement. Le carrelage disparaissait, et une forte chaleur accueillit mon visage, tandis que ma Maîtresse se mit à flotter, déployant une paire d’ailes magiques noires. Elle me maintint ensuite entre ses bras, me serrant contre elle, et je me mis à frissonner. La peur revint de nouveau en moi, tandis qu’elle m’annonçait ma nouvelle destination, ma nouvelle maison. J’allais donc... En Enfer ? Je déglutis doucement, sentant celle-ci s’envoler. Mélinda nous faisait face, sans réaction, veillant toutefois à ne pas passer dans cette brèche, et ma Maîtresse m’indiqua qu’il était temps pour moi de dire adieu à mon ancienne vie terrestre.

Je tournai alors la tête, observant Mélinda... Un moment infini qui se suspendit à mes lèvres. Puis je me retournai vers Desmina, observant ma flamboyante Maîtresse, et l’embrassai sur les lèvres.

« Je sais que je ne suis pas encore à la hauteur de vos espérances, Maîtresse... » glissai-je alors.

Il m’était inutile de le nier, et je me redressai un peu, me collant bien à elle. Je tremblai nerveusement, en voyant l’air de désolation autour de nous, pensant encore que tout cela était une plaisanterie, et que j'allais revenir bien rapidement chez moi !

« Nous... Nous reviendrons sur Terre, h-hein ? Je... Il y a plein de gens fascinants là-bas, et... Enfin, je... Je pensais pouvoir vous inviter régulièrement sur Terre pour... Euh... Vos activités démoniaques, Maî-Maîtresse... »
DC d’Alice Korvander.

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