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Le tranchant des sentiments. [Libre]

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Lana Méhari

Le tranchant des sentiments. [Libre]

mercredi 19 août 2009, 02:48:22

Music Box : Coldplay - For You


Le changement, voilà ce qu'était devenu la vie de Lame. Un immense chamboulement, sentimental, stratégique, et même plus profond, psychologique. Après avoir été la mercenaire la plus douée de sa patrie, pour venger son père, elle avait acquit une grand sagesse et un calme redoutable. Oui, elle était devenue une mercenaire par talent, mais surtout par intérêt. Assister à la mort de son propre père, le jour de son anniversaire, Lana ne l'avait pas supporté, et elle savait très bien que c'était un mercenaire qui avait fait le coup, elle comptait bien en devenir une et se faire craindre du monde entier, juste pour leur faire comprendre l'erreur qu'ils avaient fait. Mais, du jour au lendemain, elle avait changé de vie, pourquoi cela ? Elle ne le savait elle même pas.

Elle avait quitté son poste lucratif de trancheuse de tête pour devenir une femme normale au Japon. Elle avait apprit à combattre sa rage, à réfléchir avant d'ôter la vie. Car du haut de ses 21 ans, elle avait fait tomber bon nombre d'hommes, plus d'une centaine sûrement. Elle fut la plus prisée des tueuses à gage, et tuer sans scrupule était pour elle un jeu d'enfant. Mais à présent qu'elle avait suivit son enseignement, qu'elle avait apprit ce que valait une vie, elle n'éprouvait que du dégoût à trancher des têtes innocentes. Se promener dans les landes dévastées était une toute autre chose, oh oui. Ici elle pouvait user sa lame sans crainte, car elle ne tuerait que des bandits ou des criminels, et ce parce qu'ils auront essayé de lui sauter dessus. La belle Lana n'avait personne à envier, avec son physique athlétique et appétissant, elle avait le don d'attirer les caïds vers elle, et se faisait un plaisir de séparer leurs têtes de leur corps, en un coup de sabre.

צדק était décidément sa meilleure amie, elle n'avait confiance qu'en sa lame aiguisée, et se sentait vulnérable quand elle ne longeait pas sa cuisse gauche. Elle était son arme depuis ses débuts, elle l'avait acheté en Israël, l'avaient emmenée avec elle au Japon, et maintenant servait Arès avec. Cette arme serait sûrement convoitée par les plus grand maîtres d'armes, pour son passé et ton nombre de tête au compteur. Décidément, sentir sa meilleure amie couper net entre deux vertèbres et transpercer la carotide des homme lui faisait ressentir le plus grand plaisir possible. Elle préférait de loin celui là à celui que lui procurait son maître. Et puis, de toute façon, il n'avait d'yeux que pour Elosia et ne faisait appel à elle que lorsqu'il avait une envie de sexe, et nom d'affection. Et dans tout les cas, Lana ne convoitait pas Arès, car le serment qu'elle avait prêté avec Despina le lui interdisait. Et c'était sûrement mieux ainsi, car toutes ses Sœurs de Bataille avaient le béguin pour lui, et Lana était la seul capable de le divertir efficacement et rapidement, avec efficience donc.

Après avoir coupé une dizaine de têtes coupables, et avoir marché plus de 6 heures dans les landes arides et dangereuses, Lana s'assit au milieu de nulle part, en tailleur, et se mit à méditer. Elle se demandait pourquoi couper la tête de la gente masculine lui procurait tant de plaisir, c'était presque si cela la mettait en transe oui. Une transe si étrange, car lorsque le soir elle fermait les yeux, tout devenait différent, plus sombre. Elle se mettait à rêver de ses victimes, les voyant la supplier de ne pas la tuer, elle revoyait le sang sur sa lame, sur le sol, et le sommeil devenait impossible. Elle avait bien changé, et ce qui en était la cause, c'était la méditation. Car cela ne pouvait pas être la faute d'Arès, il était le Dieu de la guerre, du sang, de la violence. Elle était honorée d'être à son service, elle était la plus grande des mercenaires ainsi, elle avait la capacité de tuer ses anciens collègues. Elle avait aussi la responsabilité de la garde d'Arès, les hommes de cette garde étaient comme formatés et jamais elle n'avait eu droit à une mutinerie.

L'autorité de Miss Méhari était infaillible. Jamais un soldat ne s'était rebellé contre elle, à vrai dire jamais personne n'avait contredit la fille de Hamed Méhari, car depuis la mort de son père, elle régnait en maîtresse sur la ville que gouvernait jadis son géniteur. Ici, toutes les décisions lui revenait, et toutes les tentatives d'assassinat avaient échoué, on retrouvait toujours l'assassin assassiné, et souvent sans sa tête, ou bien juste la tête. Lorsqu'elle était partit de cette ville, sa mère était morte de chagrin, à cause du décès de son père, et elle était fille unique. Elle avait légué le pouvoir au chef d'état, qui élirait un nouveau gouverneur. Elle avait confiance en cette homme, mais pas autant qu'elle confie en Arès. Elle méditait encore, se demandant qu'est-ce qu'il lui manquait dans sa vie, et elle ne trouvait pas la réponse, cherchant au fin fond de son coeur.

Il était logique qu'elle ne trouve pas, car cela n'existait pas en elle, ou du moins cela avait disparu il y a 11 ans, lorsqu'elle vit son papa tomber du haut de médina, et que le bassin devint rouge sang. Elle avait une énorme carence, qui était à l'origine de ses tourments, elle le savait, mais elle ne trouvait pas comment y remédier. Ce dont elle manquait, ce qu'elle n'avait pas, c'était des sentiments. Joie, peine, amour .. Elle n'avait que la colère, la colère, la colère. Et pour retrouver les disparus, elle devait trouver une homme, faire l'amour, et tomber amoureuse, car aimer c'est être heureux, et aimer c'est souffrir, elle serait ainsi une femme normale, et pourrait peut-être espérer ne plus se tourmenter. Elle voudrait tellement dormir, sans êtres hantée par les cadavres des 10 dernières années. Il fallait que tout cela change, et que toute cela change, maintenant, aujourd'hui, et dans ces landes précisément.


Calintz

Re : Le tranchant des sentiments. [Libre]

Réponse 1 vendredi 23 octobre 2009, 01:48:28

Le temps avait passé, ou bien... Ou bien peut-être pas. Son dernier souvenir; Était ce combat dans la neige et la glace des Landes d'Ankivior; Ce combat qui, dans son dernier souvenir... Lui avais couter la vie alors qu'il venais de mettre a bat son ennemis et que sa compagnie était quant à elle; Déjà loin... Ses yeux c'était fermer dans l'immensité ténébreuse du Néant; Et il avais rouvert les yeux, ses poumons reprenant vie comme s'il venais de naitre; En plein milieu de nul part. Nul part ou pas exactement; La terres était rouge oranger. De nombreux monticules rocheux l'entourait, baignant du soleil du matin. Ce lieu ressemblait à l'enfer; mais pourquoi ? Qu'avait il fait pour mériter d'aller en enfer ? Lui qui n'avais que peu vécu, à cause des nombreuses années que l'Agogë lui avait volé, cet entrainement militaire... Alors que sa respiration ce stabilisai et ce calmer; Qu'il ce redresser, le jambes toujours au sol -Position assise donc- il soupiras de ce souvenir de l'une des bête innocente qu'il avais dû abattre pour le dit « examin »...

En cet assassinat devait résider son erreur... Ou bien résidait il dans un passé plus lointain encore; Celui qui l'avais rattrapé il n'y avais que trois ans et demi de cela; N'avais il pas expié du passé de Fenris, de son plus lointain passé ? Il ce redressa alors; Et plus il pensais, plus la rage montait en lui... C'était; Quelque chose qu'il n'aimais pas mais pourtant; Dès qu'il faisait appel aux souvcenirs les plus lointain de son ancienne vie en tant que créature déifiée; cela ce produisait... Toute sa souffrance attacher, toute les torture, la faim... Et cette façon démoniaque de penser qui entrai en conflit avec la bonté naturelle du jeune 'barbare' de naissance.

Alors sortit de derrière des roches une étrange créature déboula vers le jeune homme; Qui plus énerver que surprit regarda la créature; Détachant Tyr sa sharpness; une épée de la catégorie la plus intéressante contenant l'énergie de la main de Tyr; La seule qui porta jamais aide à Fenris et qui échoua... Une épée qui disait ont; Était capable d'estropier un adversaire en un seul coup contre sa lame. Ceci ne fonctionnant généralement que face aux créatures faible d'esprit; La créature qui fonçait sur lui était un espèce d'humanoïde géant chauve; Au crane très ouvert; Au visage fort et à la peaux brunâtre. Les yeux sévère et mesurant bien deux mètres et demi. S'affaissant légèrement sur ses appuis -Pliant les genoux- l'arme au poing; Lorsque la créature leva puis envoya son poing toujours sa course contre l'ancien 'Barbare' honoré d'un titre de Héros Païen; Celui-ci fit violé le tranchant de sa lame vers le poing de l'ennemi alors qu'il avais glissé l'un de ses pieds pour être en meilleur position.

-Poing et Lame ce percutèrent et; Dans une explosion de sang qui partit dans la direction du Troll; Le poing de celui-ci avait explosé; Littéralement explosé; Un bout de son moignon restant tranché en deux sur bien quarante centimètres; Dans le même mouvement latéral il ramena l'épée dans le fourreau présent dans son dos; Sans prendre sois de la nettoyer; La créature hurla; Et due certainement s'énerver mais plus encore, s'apeurer; car elle prit la fuite bien rapidement alors que Calintz souriait de manière arrogante; Avant que ses yeux d'ambre flamboyante ne s'atténue de teinte améthyste; Il tomba alors à genoux et prit son visage entre ses mains; Les dents serrée; Une larme au coin de chaque œil...


« -Démon ! Démon ! »

S'insulta il lui même; s'efforçant de penser à son passer, le sien; pas celui du démon loup; Mais il avais si peu de chose au quel ce raccrocher qu'il dû bien attendre; Que sais-je ? Trois ? Six ? Huit heures ? Peut-être plus ? Tous ce qui fut certain c'est que le soleil était haut dans le ciel lorsque notre jeune homme à la chevelure argentée ce redressa enfin; Les yeux livides; Mais enfin calmé... Enfin... Il regarda de nouveau alentours; Aucune autre créature n'était apparue; Certainement que l'immondice qu'il avais combattus c'était vidée de son sang non loin; Indiquant le péril plus que potentiel dans le secteur ? Plus probable encore; Il eu beaucoup de chance qu'aucune autre créature ne s'en vienne à sa rencontre car aucune ne ce trouvait dans les environ...

S'il était en enfer; Il venais de vaincre un démon... Et si tel étais le cas; Il avait donc une chance de survivre dans cet enfer aussi nommé dans le Panarii de son monde comme l'enfer des Combats; ou l'éternité le damné devra combattre. Un sort qu'il trouvais injuste mais au quel il c'était persuadé de s'être résilié. Espérant une chose; Un petit espoir vain; De pas être effectivement en Enfer ! Oui ! Cela serait, si merveilleux; De pouvoir enfin vivre ! EN tant que Fenris; Il n'avais eu qu'une vie faite de chaine et de douleur. Réincarner en humain sa vie avait était celle d'un barbare manipuler, et entrainer jusque ses dix sept ans et depuis ses sept ans... Conditionné depuis sa naissance; Bref... Il n'avais connus qu'à son châtiment une vraie vie avant de mourir et ce réveiller ici; dans ce chaos désertique ! Mais puisqu'il avais vaincus un démon; même en enfer, il ferai tout pour vivre une vie pleine; Malgré le risques de combats et de douleur; il ferait tout ! Après tout; N'avait il pas était -Bien que créature- Enfant de dieu, et donc dieu lui même ? Un simple enfer hors de son panthéon ne devait pas lui être insurmontable à ce point...

Ainsi il avança; Vidé d'expression suite à sa lutte interne; Mais plein d'espoir ! Il marcha donc; Il estima cette marche à une demi heure lorsqu'une ombre dans le lointain ce profila, Mais elle n'avais rien de celle du monstre de tous à l'heure. Plissant les yeux et mettant une main en visière car le soleil était contre lui; Il avança d'une dizaine de pas; Pour être certain; loin de lui l'envie de combattre à nouveau un monstre; Et l'allure humaine de l'ombre pouvais aussi être celle d'une succube ou que sais-je encore ? Pourtant; il retira sa main en visière et sourit légèrement; car son espoir l'obligeait à essayer, et à être certain qu'il y avais là bas; assez loin; Une humaine ! Il arrivais sur son flanc légèrement en arrière et cria alors commençant à courir:


« -Hey ! Là bas ! S'il vous plait arrêtez vous ! » Qu'elle s'arrêta; ou pas; Il la rattrapa et s'arrêta à bien cent mètres; Posa ses mains sur ses genoux et souffla assez fort, courir sous le soleil; Là était certainement sont point faible ! Enfin; il tendit un bras vers elle:

« -Je... » Reprenant sa respiration « -Je suis perdu et... » Il la regarda alors et s'arrêta; Comme s'il redoutait quelque chose; Qu'elle fut un démon et qu'elle l'attaque peut être ? Si c'était le cas, il avais relevé le regard trop tard pour éviter l'assaut-A moins d'une arme alors, il pourrait paré...

Lana Méhari

Re : Le tranchant des sentiments. [Libre]

Réponse 2 lundi 26 octobre 2009, 13:10:08

Complètement vide, comme l’univers, comme les galaxies, le vide régnait dans le corps de Lana. Elle avait peut-être tué 30 personnes juste pour assouvir sa pulsion, son envie meurtrière, et elle ne voulait pas qu’un innocent approche, car elle ne savait pas si son envie de meurtre était apaisée totalement, et si elle pourrait se retenir de lui faire goûter au tranchant de sa lame, qui était aiguisée comme ses sentiments. Elle était à terre depuis quelques heures, les yeux fixés vers la terre rougeâtre, couleur du sang, oxydée par le temps comme son cœur par les tueries. Son souffle était haletant, elle ne parvenait pas à se calmer, sa poitrine ondulait comme lorsqu’elle le faisait lorsqu’elle jouissait dans un de ses ébats avec Arès. Elle n’avait qu’une envie, s’allonger au sol et percer les nuages noirs à la recherche du soleil, percer ses idées sombre pour apercevoir l’espoir.

Elle se laissa tomber en arrière et ferma les yeux, se plongeant dans le noir infini, les larmes transperçant ses paupières comme ses sentiments ouvraient une brèche dans son cœur. Elle avait trop pensé être forte, être une battante, invulnérable, solide comme le roc, dure comme la pierre des plus hautes montagnes. Israël était si loin, son pays était sur une autre planète, ailleurs, séparée d’elle par un vide infini. Elle avait dans sa tête les airs orientaux que jouaient son orchestre de chambre, lorsqu’elle vivait au palais, et ils disparaissaient peu à peu pour laisser place à des bruits de lame, des cris d’agonie, qu’elle reproduit. Ses yeux s’ouvrirent sur des iris de la couleur du sang, des pupilles plus grosses que le rouge.

Elle hurla, une douleur profonde envahissant son cœur, comme un poignard dans son ventricule droit. Elle fixait le néant, en hurlant, envahie par les spasmes, la tétanisant, les cambrant, comme lorsque le venin des vampires pénétrait dans le sang humain. Sa tête chauffait, ses membres brûlaient, son sang était si froid qu’il la carbonisait de l’intérieur. Elle resta dans cet état de longues minutes durant puis enfin ferma les yeux et tomba dans un profond sommeil hanté par son maître, par le sang, la guerre, les cadavres, comme si toutes ses âmes qu’elle avait envoyé en Enfer venaient se venger et agiter son sommeil…

Lorsqu’elle se réveilla, elle se leva, épuisée, léthargique, et elle marcha droit devant elle vers le fin fond des terres sauvages, on apercevait Olympe à l’horizon. Le paysage changeait peu à peu, et le soleil au zénith faisait perler la sueur sur son front. Devant elle, tout était flou, la chaleur qui brulait le sol dégageait un rayonnement qui rendait l’air invivable et l’horizon illisible. Dans ce néant elle ne voyait rien, juste rien, et cela l’importait peu car, elle n’avait pas envie de tuer à présent. Alors, elle entendit des bruits de pas dans l’argile rougie du sol, des pas qui accéléraient, qui se rapprochaient. Elle ne se retourna pas pour le moment, car elle se fichait qu’un brigand l’approche, Lana avait le main sur le pommeau de son épée et était prête à trancher à la moindre agression.

Mais alors une voix arriva à ses oreilles, ce qui la fit se retourner brusquement, la main sur son épée, méfiante. Cette voix était douce, désespérée, essoufflée, tout ce qui l’adoucissait au milieu des terres sauvages. Un homme, d’une beauté froide et fixe, le regard un peu perdu, elle sentait dans son aura qu’il était perdu, et c’est ce qu’il dit, la peur qu’il dégageait était telle qu’elle figea Lame. Elle lâcha doucement le pommeau de son arme et s’approcha de cet homme dont elle ressentait une puissance affaiblie. Lorsqu’elle se retrouva à moins d’un mètre de lui, elle perça son regard, froide comme la glace, ne laissant rien transparaitre de son agonie intérieure. Elle dit alors, d’une voix froide et indifférente :


« Vous êtes dans les Landes Dévastées, la sortie est de l’autre côté. »



Calintz

Re : Le tranchant des sentiments. [Libre]

Réponse 3 lundi 26 octobre 2009, 20:15:42

Bzzz; Et voilà qu'il étais arriver assez proche; les jambes courbée; le bras droit tendu; La main appuyer sur le genoux du même coter. Son autre bras, le gauche puisqu'il était « gaucher » tendus au maximum de l'énergie qu'il pu déployer vers la personne à un ou deux mètres de lui; Son regard un instant poser sur le 'dos' de la demoiselle partit vers le sol; La sueur coulant tel des larmes de crocodiles sur ses joues; Mouillant légèrement ses cheveux -J'exagère Han lol-  Il relevas alors son regard lorsqu'il entendis le frotter métallique d'une lame contre son fourreau; La personne en face avais donc dû agripper sa lame en l'entendant venir et ce préparer déjà à lui trancher la George; Ce qui aurai étai chose facile vus que le chaud commençait à faire son effet sur le monstre scandinave. Mais en fait; Malgré qu'il y pensa; cela ne l'importa que peu, il étais fatiguer, ou plus; Assoiffé ! Quelques pas maitriser et régulier lui indiquèrent en s'intensifiant légèrement qu'elle s'approcher; Ce pourquoi il relevas son regard vers la personne; Qui s'avérait être une femme. Son regard puisque allant du sol jusqu'au visage n'oublia pas de regarder au passage tous le reste du corps. Il ne pus donc s'empêcher de ce dire d'abord que ses jambes était parfaite; Ainsi que sa taille; Arriver en haut plongeant son regard affaibli dans celui de fier demoiselle; Il conclu pour lui même qu'elle ressembler fort à une déesse. Il nota d'ailleurs la ressemblance avec la belle Freiya; Première Valkyrie. Ce fut lorsque son regard ce plongeas dans celui de la guerrière qu'il en fut le plus déstabiliser. Un regard qui obliger à ne pas s'en détourner. Aussi neutre et -par conséquent- brutal que celui de celle qui était chargée dans le pays nordique des amour et de la guerre.

Son souffle étais rapide; Mais sembler s'être bien calmer. Pourtant il garda sa bouche légèrement entre ouverte. Le chaud avait cet effet sur lui, même sous cette forme; Il devais ce retenir pour ne pas sortir la langue... Chose qui durant son enfance lui avais valus un nombre incalculable de moquerie. Nullement difficile de penser qu'il était aujourd'hui habituer à ce retenir. Mais que valent vingts année a ce retenir contre des siècles à agir ? Elle lui répondit enfin; Enfin n'étant pas vraiment le mot adéquat puisqu'elle ne le fit pas attendre plus d'une ou deux secondes, certainement... Sa vois était froide comme la glace et ceci semblât réchauffer le cœur du réincarner. L'indifférence manifester indigner une partie de lui et en flatter une bien plus présente. Il ce redressa lentement avec élégance et aisance retenue. Fermant la bouche; Il resta quelques brèves secondes à la regarder. Puis un léger sourire ce dessina sur son visage;


« -J'ai bien peur de ne plus avoir la force... »

Il rester les yeux expriment le ravissement; Car c'était bien ce qu'il était de croiser en ce qu'il penser être Hell -L'enfer-. Son sourire assez léger et doux; S'élargit à peine un peu plus... Bien qu'il ce savait incapable de traverser ses landes écarlates; Il tenait sa seule chance en face de lui. Ou tous du moins; C'était ce qu'il pensai. Alors; toujours la vois essoufflée mais douce et clair; Pour une vois d'homme tous du moins.

« -Vous semblez connaître le pays, et supporter ce soleil destructeur... Accepteriez vous de me servir de guide ? »

Il ne lui parla pas de paiement; Bien qu'une petite bourse de pièce d'or ce trouva bien cachée dans ses vêtements; Il eut était in convenable du point de vus de certaines femmes de proposer paiement à service. Cette idée pouvant sembler sexiste n'en était pas moins inscrite dans les murs dans son pays. Bien qu'il penser à la payer et ne souhaitant prendre aucun risque; Il ce dit assez simplement qu'il valait mieux si elle accepter l'idée; Qu'elle ne demande elle même paiement. De plus; Prendre cette initiative la ferai forcément sortir de sa froide neutralité envers le pauvre argenté. Alors qu'il venais de terminer ses mots une légère brise passa sur les deux jeunes adultes; faisant voler cheveux et vêtements trop amble s'il y avait; Caressant d'un doux et trop bref coup de fouet les visages asservi par la sueur.


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