Un Rêve de sable chaud.

Que faire d’autre avec une esclave comme ça que lui faire l’amour ? Rhian comptait bien lui donner d’autres tâches, mais, pour l’heure, il était temps que Kanede découvre l’hospitalité papuanne. Elle lui sourit donc, et caressa ses cheveux devant les propos très serviles de la femme. Pas de fantasme, si ce n’est les siens... Rhian hocha la tête, et claqua des doigts, demandant à ce qu’on lui apporte un collier avec une laisse. Pendant ce temps, elle demanda à Kanede de grimper sur ses genoux. La jeune servante obtempéra, et Rhian s’empressa de l’embrasser tendrement. Elle caressa ses cheveux, ses cuisses, pressant ses lèvres contre les siennes, l’embrassant longuement, rompant le baiser, pour le reprendre ensuite, frottant son corps contre le sien.

« Voilà, ma belle... Tu as des lèvres très agréables, tu sais. »

Elle lui sourit tendrement, et une servante approcha, tenant un plateau en argent avec un élégant collier doré, accompagné d’une laisse. Rhian hocha la tête, et reposa doucement Kanede au sol, puis récupéra le collier. Lentement, elle se pencha ensuite, et l’attacha doucement à son cou. C’était un léger collier en cuir, qui ne gênait pas trop, et était même plutôt élégant. Elle attacha ensuite la laisse derrière, et se redressa en souriant légèrement.

« Prête, ma chérie ? »

Rhian tira ensuite sur la laisse, et se mit à marcher, calmement, se dirigeant vers sa chambre.

« Je vais bien m’occuper de toi, Kanede, tu verras... Il y a beaucoup de choses à faire pour toi ici, à Papua, tu ne regretteras pas de m’avoir comme Maîtresse... Mais bon, ça, je crois que tu ne le regrettes déjà pas, n’est-ce pas ? »

Question purement rhétorique, en réalité, tandis que le duo s’avançait dans des couloirs agréables et aérés, luxueux et élégants, témoignant de la richesse des lieux...

Ma réponse ne semble pas trop la surprendre. Après tout c’était un peu ce qu’était censé répondre une esclave. Même si certain on surement leur propre envie. Je ne sais pas mais moi je suis comme ça, je ne pense qu’au plaisir de ma Maitresse, même si je la rencontre juste. Oh un collier pour moi ? Je suis curieuse de voir à quoi il va ressembler. Il y a donc des servantes plus ordinaires pour ce genre de service. Monté sur ses genoux, avec plaisir, je n’espère ne pas être trop lourde. Bon je suis petite et légère ça devrait aller…ah ses lèvres son si agréable. Oh elle apprécie les miennes, sa fait plaisir.

-Ah vous aussi Maitresse !

Oh voila le fameux collier. Je descends, c’est vrai que c’est plus pratique pour me le mettre. Elle y va doucement, se me donne des frissons d’excitation.  Sa confirme que je lui appartiens. J’aime bien sa couleur en plus. Une laisse en plus, je ne sais pas trop pourquoi, mais j’aime bien les laisses, me faire entrainer comme le souhaite ma maitresse, se petit coté animal de compagnie, oui j’aime bien ça. Il ne me reste plus qu’a la suivre ainsi tirer comme un petit chien ou chienne pour moi.

-Je vous suis Maitresse.

Ses mots ! J’adore entendre ça, bien s’occupé de moi. Je ne sais pas se qu’elle entend par là. Que se soit en bien ou en mal tant que je ne suis pas délaissé ça me convient. Oh non je ne risque pas le regretté.

-Oh non je regrette rien, je préfère servir quelqu’un que resté simple attaché à attendre que quelqu’un est besoin de moi.

La chambre de la Princesse de Papua était à la hauteur de son statut : belle, grande, agréable, luxueuse… Il y avait un grand lit à baldaquin avec une moustiquaire, et une terrasse, séparée de la chambre par des rideaux blancs qui ondulaient lentement sous l’effet du vent. L’ensemble était très agréable, avec un canapé circulaire dans un angle, comprenant un nombre élevé de coussins. De la tapisserie recouvrait les murs, et un énorme tableau représentait les parents de Rhian, prenant la pose. Tomeyrus était debout, le regard sévère, sa main posée sur l’épaule de Khaora, assise sur le trône, qui souriait doucement en tenant entre ses mains un petit bébé encore enveloppé dans un fin drap blanc. On voyait l’un des pieds du bébé, et la main de la Reine s’approchait doucement de son visage. Elle tenait un hochet, et les rubis à ses doigts étincelaient. Le titre du tableau était très évocateur : « La Naissance De Rhian ». Il était donc normal que le tableau orne sa chambre. Un grand et beau tableau à l’huile, qui remplissait une bonne partie du mur.

En outre, de l’encens donnait à la pièce une agréable odeur. Tenant toujours Kanede par la laisse, Rhian se rapprocha du lit, et une petite silhouette ne tarda pas à en émerger, avant de bondir au sol. Rhian sourit, et caressa le corps de la bête. On aurait pu croire à un chat, car il s’agissait bien d’un félin, mais…

« Kanede, je te présente mon petit animal de compagnie. »

Elle lui expliqua qu’elle s’appelait Tisha, et n’était rien de plus qu’un bébé panthère. Un bien curieux animal de compagnie ! Ceci dit, Kanede ne devait pas encore savoir que Rhian avait comme autres animaux de compagnie trois redoutables tigres, Naja, Baja, et Taja. Ils n’obéissaient étrangement qu’à elle, et étaient souvent parfaits pour chasser les prétendants un peu trop collants. Tisha était en tout cas très câline, et Rhian la prit entre ses bras tout en s’asseyant sur l’un de ses fauteuils. Pendant plusieurs secondes, elle joua avec la petite bête, avant de finir par la relâcher. Tisha grogna légèrement, et observa silencieusement Kanede, la reniflant un peu, puis bondit ensuite sur un coussin rose assez rembourré pour poursuivre sa sieste.

Rhian sourit encore, rêveusement, puis observa ensuite Kanede. La jeune esclave devait très certainement attendre la suite, et Rhian se pinça doucement les lèvres.

« Voici ma chambre, Kanede, comme tu as sans doute pu le deviner. Tu devras veiller à l’entretenir régulièrement. Faire le lit tous les matins, les coussins, nettoyer les poils de Tisha, la brosser, passer la serpillière, le balai… Et t’occuper de moi. »

Rhian avait déjà toute une équipe pour ça, et l’assistance de Kanede ne serait pas trop. Toutefois, entretenir les quartiers de la Princesse n’était rien par rapport à sa dernière phrase, qu’elle avait lâché hâtivement, presque comme si ça n’avait aucune importance : s’occuper d’elle. Mais que voulait dire Rhian par là ? Elle se releva, et sourit mystérieusement à Kanede, avant de se rapprocher d’une porte latérale.

« La porte au fond, de l’autre côté, mène à la salle de bains. Ici… Tu verras par toi-même. »

La porte s’ouvrit sur une pièce très sombre. Rhian y fit entrer Kanede. Il n’y avait aucune fenêtre ici, et un courant d’air frais les traversa. Rhian s’assura que Kanede soit entrée avant de fermer la porte. Elle récupéra une lampe à huile côté de la porte, et appuya dessus, déclenchant une flammèche qui enflamma une sorte de tige. Le feu se répandit à travers la tige, et éclaira un chandelier au-dessus d’elles.

Kanede put ainsi voir un chevalet, une croix de Saint-André, des sangles, un présentoir avec des fouets, un placard fermé...

« Bienvenue dans mon donjon, Kanede ! C’est là que tu passeras une bonne partie de ton temps, entre mes mains… » rajouta Rhian, avec une pointe de sensualité et de malice.

C’est étrange, mais j’aime bien suivre ma Maitresse comme ça tenue en laisse. Se sentiment de lui appartenir d’être diriger selon ses désirs…Voilà donc notre destination sa chambre. Qu’elle est grande ! C’est luxueux, ça à l’air confortable aussi. C’est sa famille sur le tableau ? Et le petit dans le drap c’est ma Maitresse enfant ? Oh, il m’a fait peur. C’est quoi un chat ? Euh non je ne crois pas, on dirait plutôt un petit d’une autre espèce de félin…il est adorable. Pour l’instant il à l’air d’un mignon petit animal de compagnie, mais plus tard, il ne risque pas être dangereux ?

-Il est mignon.

Pour l’instant j’ai envie de la prendre dans mes bras, mais je vais me retenir. De toute façon il préfère la Maitresse. J’espère que plus tard il saura rester le même…enfin ce n’est pas à moi de le juger. En tout cas je devrais surement m’occupé de lui en plus de la pièce et de ma Maitresse. M’occuper d’elle ? Sa peut être tellement de chose, l’habiller, la coiffer, la laver ou des choses plus intime… Quoi que se soit je ferrais de mon mieux pour la satisfaire.

Oh il reste donc de la visite, une salle d’eau, bien sûr c’est une personne de haut rang, elle n’a qu’une grande chambre mais aussi une salle d’eau personnel. La aussi je devrais surement l’entretenir…Ah il y aussi autre chose ? C’est quoi cette pièce ? Il fait bien sombre et un peu frais se qui n’est pas désagréable. Ah un peu de lumière, alors voyons…Whoua ! C’est quoi tout ça ? Une salle de torture ? Un donjon ? Alors c’est ce qui m’attend aussi ? Une partie de mon temps ? Quand je ne la servirais pas je resterais attacher ici ? Olala je m’imagine déjà installer là-dessus. Il va falloir que je m’y habitue rapidement.

-Bien…bien sur je serrais ravie de m’abandonné ainsi entre vos mains.

Il va falloir que je sois forte et que j’assure. Même si j’appréhende un peu, je suis quand même curieuse de voir comment ça va se passer…

Rhian esquissa un léger sourire devant la réaction de Kanede. La jeune femme allait-elle paniquer devant ce tableau très sensuel ? Le donjon de Rhian était un endroit très particulier, typique de l’atmosphère papuanne. Ici, la morale religieuse de l’Ordre Immaculé n’avait jamais pris court, elle n’avait jamais réussi à s’installer. Papua restait encore gouvernée par sa religion polythéiste, qui tolérait et encourageait la liberté sexuelle. Rhian se tenait donc avec Kanede, et la jeune femme observa nerveusement tous les instruments, craignant sans doute le pire. Rhian sourit alors malicieusement à cette dernière, et caressa de la main son visage.

« Ne t’inquiète pas, nous allons y aller progressivement, Kanede. Je ne suis pas une Maîtresse inutilement cruelle, tu sais. »

Elle lui sourit tendrement, et se déplaça ensuite, quittant le donjon pour rejoindre la pièce principale de ses appartements. Là, Rhian commença à retirer quelques-uns des très légers vêtements qu’elle portait, en l’espèce quelques ornements dorés. Elle retira surtout ceux à hauteur de ses seins, tout en tournant le dos à Kanede. Les bijoux dorés cliquetèrent en tombant sur le sol, puis la Papuanne se retourna ensuite vers Kanede, assise sur le lit.

Jambes sensuellement croisées, elle pencha doucement la tête sur le côté, et tendit sa main vers Kanede, avant de remuer le doigt, lui faisant signe d’approcher.

« Viens voir ta Maîtresse, ma belle... » glissa-t-elle.

Difficile de dire non, n’est-ce pas ? Kanede s’approcha donc, et Rhian écarta les jambes, tout en caressant d’une main la joue de la belle, puis alla l’embrasser tendrement, frottant son corps au sien.

« Hmmm... »

Une délicieuse mise en bouche, même !

Se donjon personnel c’est donc se qu’elle me réserve…j’avoue que ça me fait un peu peur, mais en même temps c’est peut-être pas si mal. J’ai entendu parler de gens qui aimer se genre de chose après tout…Peut être que je vais aimer ça être attacher là et qui sais, il n’y a peut-être pas que la douleur qui m’attend.

Bon on ne va pas voire plus loin pour l’instant ? Elle retourne à la chambre, voudrais mieux que je la suive. Qu’es qu’elle fait ? Oh elle se déshabille ? Qu’elle est belle, se corps qu’elle a…je ne suis qu’une petite fille comparée à elle qui fait si femme, si mature…Oh oui il faut que j’approche bien sûr, je ne vais pas la faire attendre. Elle se forte contre moi, je me sens comme envouté par sa beauté, je me sens toute chose. Oh la la je dois être toute rouge.

Sa douce main contre ma joue, sa langue qui viens de ma bouche, je lui appartiens complétement, je…je crois que même sans mon statut je serais bien incapable de lui résister.  Même si c’est de la torture sexuelle qu’elle me réserve, j’ai envie de découvrir tout ce qu’elle me réserve.

Rhian ne la ferait pas souffrir par cruauté. Elle était certes sa Maîtresse, mais ça ne signifiait nullement qu’elle devrait être mauvaise avec elle. Elle ignorait encore vraiment de quoi Kanede était capable. C’était un étrange cadeau divin, et, si Rhian était convaincue que cette femme n’était pas un piège, elle sentait aussi sa jeunesse, sa fragilité. Et Rhian avait toujours eu le cœur sur la main. Généreuse et douce, elle prendrait son temps avec elle. Même si Kanede ne cessait de lui dire que Rhain pouvait faire avec elle tout ce qu’elle voulait, Rhian savait que les êtres humains n’étaient pas des automates, et avaient toujours des préférences. Il restait à les trouver, et, pour ça, rien n’était meilleur que l’expérience. Et, pour s’en convaincre, il suffisait de repenser au regard de Kanede quand Rhian lui avait dit de grimper sur le lit, qu’elle avait adopté une posture sensuelle. Ce que Rhian avait vu dans ses yeux, c’était un mélange de désir et d’innocence, car ce regard, elle le connaissait. Elle l’avait déjà vu chez d’autres, et elle s’en régalait à chaque fois.

Kanede l’avait donc rejointe, et Rhian, allongée sur elle, l’embrassa assez longuement. Un baiser qui s’entrecoupa de légers soupirs, avant qu’elle ne retourne à l’assaut, fourrant sa langue dans la bouche de la femme, caressant ses cheveux, sa joue, son épaule, frottant son corps au sien.

« Hmmm... »

La Papuanne savourait son corps, et, pendant ce temps, ses mains se déplaçaient. Sa langue jouait contre celle de Kanede, et elle titilla ses seins, pinçant délicatement son téton, appuyant sur son corps, sentant ce dernier répondre. Rhian rompit finalement le baiser, et se redressa lentement.

« Allez, ma chérie, montre-moi ton corps... »

En explorant son corps avec ses mains, elle avait compris comment la déshabiller, et c’est ce que Rhian fit. Ses mains tirèrent sur les boutons, déboutonnèrent, soulevèrent, et elle déshabilla ainsi Kanede. Lentement, délicatement, Rhian la mit toute nue, et observa son corps, en souriant encore.

« Tu es très belle, Kanede... Mais tes petits seins gagneraient à être plus gros. »

Rhian en caressa d’ailleurs un, et tira sur le téton, puis approcha encore ses lèvres, venant embrasser son cou, mordillant la peau située dans le creux, puis descendit encore, embrassant tendrement ses seins.

« Tu aimes quand je t’embrasse ici, Kanede ? »

Tout en l’embrassant, Rhian descendit sa main, la glissant entre les cuisses de la femme, et la caressa à cet emplacement. Elle ne cherchait pas forcément à la pénétrer encore, et caressait donc le pourtour de ses lèvres intimes, afin de faire doucement monter la chaleur dans le corps de Kanede...

Me voilà allonger sur son lit et avec elle au-dessus de moi. Elle est si proche…si belle…si envoutante. Elle m’embrasse…et si bien en plus, heureusement que je sais y faire sinon j’aurais honte de la décevoir. Son corps qui se frotte contre le mien, son corps de femme contre mon corps de gamine… Pourtant elle passe ses mains sur moi, mes joues, mes cheveux, je lui plais ?
Oh elle retire le peu de vêtements que je porte, j’espère qu’elle en va pas être déçut. Sur ses terre désertique et chaude, les gens on la peau bronzé. Es que ma peau blanche va pas trop la décevoir ? Et mes petites formes ? Heureusement je ne ressens aucune honte à me montrer nue devant n’importe qui. C’est une des premières choses qui est appris aux esclaves après tout.
Elle me trouve belle ? C’est vrai ? Que ça me fait plaisir.

-Merci Maitresse, mais je suis loin d’égalé votre beauté. Et je ne dis pas pour flatter, mais sincèrement

Oui que je la trouve belle et envoutante…Elle joue avec mes petits siens…oui moi aussi j’aimerais qu’il soit plus gros…Sa renforce mon impression d’être une petite fille face à elle. Mais si je lui conviens ainsi alors tant mieux. Je me sens excité par ses caresses, pas son corps et ses mouvement si féminin, si sexy. Elle me tire les tétons, viens passé sa langue dessus…ah…ses si agréable si excitant aussi…oui mon corps ses chauffes, mes tétons réagissent, impossible de le nié, elle me fait un effet fou…

-Oh oui, j’aime beaucoup. Vous sentir contre moi, joué ainsi de mon corps, j’adore ça Maitresse.

Et ses mains qui s’approche de mon sexe, tout ça ne peu être qu’un début. Olala quand je pense à tout se qui se passé derrière…non il ne faut pas que je pense trop et que se savoure se moment, tout en restant prête à réagir. Pour l’instant elle savoure mon corps, et moi j’adore me laisser faire, mais peut être qu’elle vas me demandé d’agir aussi et il faut que je sois prête pour ça, même si mon corps lui est déjà prés.

Rhian était supérieure à cette femme. Elle était sa Maîtresse. Elle était une Princesse. Et, même sans tenir compte du statut social, Rhian, avec sa peau basanée, ses formes magnifiques, son corps parfait, était aussi plus belle que Kanede. C’était incontestable, et Rhian ne cherchait pas à nier les évidences. Elle sourit donc quand Kanede, confuse, heureuse, et visiblement assez nerveuse, glissa qu’elle adorait que sa Maîtresse joue avec elle comme elle le faisait en ce moment. La Papuanne lui sourit encore, et se pencha vers elle, l’embrassant dans le creux du cou, léchant doucement sa peau, mordillant également légèrement sa chair.

« Hmmm... Tu as des petits seins, et un corps jeune, Kanede... Tu es un peu comme une belle poupée blanche... Ma poupée ! »

Pour Kanede, c’était sans doute un immense honneur que de savoir quelle serait sa position, son rôle... Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle était bien tombée. Rhian la fit lentement se tourner, et Kanede se retrouva ensuite couchée sur le ventre. Restant toujours contre elle, Rhian continuait à explorer son corps, y allant tendrement, patiemment, sans jamais chercher à vouloir la forcer. Elle savourait le corps de Kanede, tout simplement. Ses lèvres embrassèrent son dos, glissant sur ses omoplates, et elle continua ainsi à descendre, par le biais de multiples baisers, le long de son dos, jusqu’à rejoindre une partie plus bosselée.

Là, Rhian sourit, et déposa un premier baiser sur ses fesses.

« Tu as un joli cul, tu sais... Je n’ai pas l’habitude d’avoir des femmes à la peau aussi pâle dans mon lit, mais... J’aime ce changement, c’est nouveau. »

Rhian avait après tout davantage l’habitude des partenaires à la peau plus bronzée, comme elle. Elle déposa plusieurs baisers sur son postérieur, et le malaxa également avec ses mains. Même si elle avait compris que Kanede n’avait aucune intention de s’opposer à elle, et que ses goûts seraient ceux de Rhian, la Papuanne avait toujours aimé se renseigner sur les goûts personnels de ses esclaves. Et ce n’était clairement pas avec Kanede qu’elle allait déroger à cette tradition.

Par conséquent, Rhian enchaîna :

« Tu préfères que je t’embrasse où ? Sur le ventre... Ou sur le dos ? Sur les fesses, ou sur ton sexe ? »

Ah sa bouche dans mon cou, la langue de ma maitresse qui me léche la peau…J’en frissonne mais c’est un frisson agréable. Une poupée ? C’est plutôt jolie une poupée, je suis donc ça poupée ? Si c’est se qu’elle souhaite c’est avec plaisir.

Oh, elle veut que je me tourne, elle en donc finit avec mes petit sien pour l’instant. Me voilà alors sur le ventre et elle qui reprend à découvre mon corps. Je la vois moins, mais je la sens-là. Ah sa bouche sur la peau de mon dos, se contact si doux…oui je suis bien comme ça…je n’ai pas peur de me livrer à elle ainsi, même en sachant se qu’il y a dans la pièce sombre.

-Moi un joli fessier ? C’est vrai ?

Bien sûr, je ne veux pas mettre en doute ses paroles, mais je suis surprise. En même temps ça me fait très plaisir de le savoir. J’avais peur d’avoir peu de qualité face aux femmes de ce pays qui semble toute si belle et féminine comparé à moi. Maintenant ses mes fesses qui reçoivent leur par de baiser, jusqu’où je vais en avoir droit ? Oh voilà qu’elle m’en pose la question, es qu’elle aurait lut en moi ? Tous les choix son tentant, mais qu’es qui serrais le mieux ? Bien sûr vue mon état, j’ai bien envie de mon intimité, mais es que ça ne ferait pas trop perverse ?

-Ah…je…sur le sexe…vous n’avez pas encore regardé.

je suis certaine, je dois être rouge comme une tomate, je n’ai même pas osé la regardé en le disant. Mais je suppose que c’est se qu’elle attend de moi que je sois honnête avec elle non ?

Même si Kanede s’écrasait totalement devant elle, et lui avait avoué qu’elle obéirait à tous ses ordres, et que les fantasmes de Rhian seraient les siens, la Princesse ne comptait pas laisser la jeune femme s’en tirer si facilement. Ce n’était pas dans sa mentalité, et elle n’entendait pas laisser ainsi Kanede s’en sortir ! La jeune esclave allait devoir choisir, car Rhian n’était pas une tortionnaire, même si elle appréciait fortement l’idée d’avoir des esclaves. Cette fille était un véritable cadeau divin, et, rien que pour ça, Rhian comptait en prendre soin. Après tout, il ne fallait pas courroucer les Dieux, et la Papuanne ne comptait pas prendre ce risque. Elle laissa donc Kanede choisir... Et celle-ci, en rougissant timidement, demanda à ce que la Princesse s’occupe de son sexe.

Rhian sourit malicieusement, et la retourna donc à nouveau, la couchant sur le dos, puis posa ses mains à hauteur de ses cuisses, écartant ses jambes.

« Là, là, montre-moi ça, Kanede... »

Sa voix était douce, avenante. Elle ne voulait pas brusquer sa jeune partenaire, et, tout en écartant ses cuisses, vit son sexe. Une intimité qui avait déjà été épilée, ce qui la fit légèrement sourire. La Papuanne se pencha ensuite. Elle s’était en effet redressée pour écarter les jambes de la femme, et se courba donc, approchant son visage de son sexe, et le renifla doucement, avant de déposer plusieurs baisers dessus. Elle y allait tendrement, calmement, sans précipitation, afin de ne pas paniquer sa jeune partenaire.

« Comme ça, Kanede... ? Tu aimes ? »

Un nouveau baiser, et sa langue commença à se balader sur la peau de la femme, glissant naturellement le long de ses lèvres intimes...

Elle ne fait pas de commentaire sur mon choix, je suppose qu’elle l’a apprécié. Me voilà de nouveau retourné. Je la vois de nouveau face à moi…Elle m’écarte les jambes et s’approche. Oh la la je rougie surement encore, c’est si gênant et à la fois si excitant. C’est moi qui l’ai voulu de toute façon. Elle commence par venir en sentir l’odeur, j’espère qu’elle n’est pas désagréable…encore qu’elle n’a pas l’air d’avoir de réaction négative. Malgré la gêne, je n’arrive pas à décrocher le regard d’elle. Ah…elle viens de poser ses lèvres dessus, se contact est si doux…si agréable. Elle me demande se que j’en pense ? Impossible de le cacher !

-J’adore ça Maitresse !

Oh oui, la sensation de sa bouche sur mon sexe…mais ah ! Elle vient lécher maintenant, c’est encore mieux ! Oh la la voilà que je gémie comme une petite fille. Le plaisir qu’elle me donne juste avec sa langue et encore c’est peut être qu’un début.

-Hum…oui j’adore ça…

Ce qu’il y avait de bien avec les jeunes femmes comme Kanede, celles à la peau pâle, c’est qu’on les voyait très facilement rougir. Et Rhian se délectait de voir le plaisir s’afficher en temps réel sur le corps de sa nouvelle servante, se manifestant à travers des rougissements sur ses joues. Elle s’attaquait directement à son sexe. Rhian n’avait aucun intérêt de se montrer cruelle envers la femme, de vouloir la faire souffrir, ou de l’humilier. Elle se montrait donc comme elle était : avenante et sympathique, prenant son temps avec elle. Rien ne pressait, et elle comptait bien convertir doucement Kanede au sexe. Que faire d’elle ? En réalité, Rhian n’avait pas un besoin impératif d’une nouvelle esclave, en ayant déjà suffisamment assez pour s’occuper d’elle. Elle était tout de même la Princesse de Papua ! Pour autant, elle ne comptait pas rejeter Kanede.

*En faire une poupée sexuelle, c’est bien aussi, et je ne pouvais tout de même pas décliner un cadeau divin, aussi improbable soit-il...*

Rhian s’attaquait donc au sexe de Kanede. Sa langue glissait dessus à plusieurs reprises, s’enfonçant à l’intérieur, et elle soupirait doucement, poursuivant son cunnilingus, se régalant de la mouille de la jeune femme, de ce fluide intime qui filait d’entre ses lèvres. Sa langue glissait en elle, s’attaquant à ses parois intimes, les léchant tendrement, venant ensuite se concentrer sur son clitoris. Elle pinçait son bouton de plaisir avec sa langue, le titillait régulièrement, tout en ayant elle-même très chaud. Rhian continuait donc, encore et encore, léchant son sexe, remuant doucement sur place, tout en caressant avec ses doigts l’aine de Kanede.

Ses doigts finirent d’ailleurs par se déplacer, et, retirant sa langue, elle en profita pour y glisser son doigt, le remuant en elle, allant chercher le clitoris, souriant ensuite en entendant Kanede hurler à son contact. Ses onctueux gémissements, ses soupirs, ne faisaient que la motiver. Rhian, elle, en profitait surtout pour confirmer son talent dans l’exploration du corps féminin, poursuivant sans relâche ses assauts sur son corps. Pour Kanede, impossible de lutter, et Rhian ne manqua pas de l’encourager :

« Allez, ma belle, vas-y, oui... Jouis donc, mon amour... Relâche-toi, ma belle, allez, là... Offre un bel orgasme à ta Maîtresse, d’accord ? »

Est-ce que ce serait son premier orgasme ? Rhian se posa brusquement cette question, et choisit alors de retourner la lécher, plus intensivement encore, se concentrant sur son bouton de plaisir, jusqu’à ce que Kanede ne jouisse en elle...

Oh la la qu’es qu’elle est douée ! Elle me donne tant de plaisir, je sans sa langue passée sur mes lévre, exploré mon entre, joué de mon bouton de plaisir. Elle varie les plaisirs, ne reste pas à la même chose. Hum oui ma Maitresse sais y faire…mais sur quoi je me base pour le savoir ? Je me souviens pas d’autre expérience pourtant…mais je sais que je ne me trompe pas. Après tout je ne simule pas ses petits cris de plaisir…J’en est presque honte d’extériorisé comme ça, en même temps ça semble lui plaire et la motivé encore d’avantage.

Hum se doigt en plus…se plaisir qu’elle me donne, si je dois lui rendre par la suite, j’ai intérêt à me donner à fond. Heureusement, même si j’ai oublié pas mal de chose de mon passé, il me reste mes talents, enfin mes connaissances pratique. Surement que j’ai déjà servie d’esclave sexuel, ou que j’ai était formé pour. Peut-être par les renardes qui m’ont livré à ma Maitresse ? Qu’importe…ah je n’arrive pas trop réfléchir, avec toute ses sensations délicieuses qu’elle me donne. Hum oui jouir, ça ne vas surement pas tarder. Je le sens, le plaisir monte, même gémissement et cris de petite fille s’intensifie…Oh oui je le sens…de plus en plus fort. Mon corps en tremble de plaisir et se cris…je m’en suis même accroché frénétiquement au drap.

-ah…merci Maitresse. C’était trop bon.

Oh oui j’ai adoré ça, si elle aime me faire ce genre de chose, je vais adoré être son esclave. Enfin, il ne s’agit pas de moi, mais d’elle après tout. En attendant j’en suis essoufflé, heureusement que je récupéré vite Après tout, elle ne va peut-être pas vouloir en rester là.

Rhian léchait avidement le sexe de sa jeune esclave. Celle-ci pouvait ainsi réaliser que Rhian n’était pas une Maîtresse cruelle, ou déraisonnablement autoritaire. La jeune Princesse comprenait et acceptait le concept de servitude, mais elle n’aurait jamais été jusqu’à imposer sa loi aux autres. Au contraire, elle y allait doucement, avec tendresse, récompensant l’obéissance et la fidélité par la caresse et les douceurs. Si Kanede avait voulu une Maîtresse ayant plus de poigne, une femme qui s’amuserait à faire d’elle une masochiste accroc à la douleur, elle s’était trompée. Rhian n’était pas contre les plaisirs extrêmes, mais, de manière générale, elle se contentait juste de faire l’amour. Et elle était douée dans sa matière ! Ses coups de langue se mélangeaient à ses doigts intrusifs, et la jeune Kanede était bien incapable d’y résister. Sa délicieuse esclave, dans  une série de soupirs, et même de hurlements, se mit alors à jouir frénétiquement, ses doigts se crispant sur la couverture. Elle se relâcha contre le visage de Rhian, qui était aux premières loges pour y assister.

Un sourire victorieux sur les lèvres, Rhian se redressa doucement. Elle s’allongea à nouveau contre le corps de Kanede, mais son visage était désormais collé contre celui de Kanede. De cette manière, Rhian put l’embrasser longuement, plaquant sa bouche contre la sienne, sa langue allant se faufiler en elle. Ses lèvres étaient recouvertes de la mouille de Kanede, donnant à ce baiser une saveur encore plus exquise.

« Hmmm... !! »

La belle Papuanne l’embrassa encore, faisant volontiers durer le plaisir, sentant le corps de Kanede se blottir contre le sien, les mains de la jeune femme caressant ses hanches, glissant sur sa peau. Elle l’embrassa encore, pendant de nombreuses secondes, rompant le baiser pour mieux le reprendre ensuite. C’était un domaine dans lequel Rhian avait une certaine expertise, comme Kanede pouvait le voir. Rhian rompit ainsi son baiser au bout d’une bonne minute, souriant ensuite doucement à la jeune femme allongée devant elle.

« Là, Kanede, c’est très bien... C’était bon, hein ? Et ce n’est que le début... »

Que faire, maintenant ? En réalité, les idées ne manquaient pas à Rhian, qui se redressa donc, et s’installa à côté de Kanede, s’allongeant de nouveau sur le lit. Elle était couchée sur le flanc, observant sa belle proie, la caressant encore, ses doigts glissant sur son corps, allant jusqu’à tripoter ses lèvres.

« Je me suis attaquée à la devanture, alors... Il est temps que je passe à la suite, non ? »

Un nouveau sourire pervers éclaira ses lèvres. Elle la caressa encore, puis donna ses instructions :

« Allez, mets-toi à quatre pattes... Présente-moi ton joli cul, Kanede ! »