Karen continuait à la sodomiser tendrement, mais non moins fermement. Entre les deux femmes, c’était une séance de sexe sans fin, qui ne s’interrompait que pour mieux reprendre. Depuis combien de jours est-ce qu’elle baisait ? Karen avait annulé tous ses rendez-vous, toutes ses réunions, pour faire l’amour avec Helena. Malgré sa fortune considérable, sa richesse et ses immenses responsabilités, rien n’était plus important, à ses yeux, que le sort d’Helena. Sa délicieuse Helena, son amour magique, sa future femme, et, bientôt, celle qui porterait son bébé... Elle exprima ses difficultés à l’idée de coucher avec d’autres, ce qui fit glousser doucement Karen, qui, tout en la pénétrant, ne put s’empêcher de dire, en lui mordillant le creux du cou :
«
Vu ce que tu as fait avec Ishtar, ma chérie, et ce que nous avons fait avec mes pensionnaires, tu ne peux pas vraiment prétendre être une chaste jeune fille... »
Elle commença ensuite à la gifler, et, comme d’habitude, en dosant ses coups. Bien que la fessant à faible intensité, elle y mettait sa puissance surnaturelle, faisant rebondir le fessier d’Helena, tandis que Karen continuait à la baiser. Le bureau remuait doucement, tandis que les cris et les gémissements de la jeune Huntress accompagnaient les coups de reins de Karen, qui continuait à la prendre sans ménagement, accélérant et amplifiant progressivement ses coups de reins. Les cris d’Helena se muèrent en un long soupir quand la femme eut un orgasme, mais, même après cela, Karen, qui n’avait pas encore joui, continua, de son côté, ses coups de reins, faisant remuer le corps de la femme, jusqu’à s’installer derrière elle, le corps redressé, filant d’avant en arrière, arrachant à Helena une série de soupirs. Elle y alla plus franchement dans cette position, tout en continuant ses pénétrations, sa grosse queue enflant férocement dans le corps de sa partenaire.
Karen continua donc à la prendre, jusqu’à sentir sa propre queue lui faire mal.
«
He-Helena, haaaa... »
Dans un énième soupir, Karen se mit alors à jouir, se relâchant dans son corps. Elle remplit le cul d’Helena de foutre, toujours avec le même plaisir, et se retira ensuite, un sourire sur les lèvres. Helena ne tarda pas à la rejoindre, et lui proposa, entre plusieurs baisers et caresses, un dernier petit plaisir avant de s’arrêter là : la voir en tenue de secrétaire.
«
Hmmm... »
Karen considéra silencieusement sa proposition, avant de sourire malicieusement :
«
Tu sais bien que j’ai une garde-robes spéciale rien que pour toi, Helena... »
En l’état, Karen songeait à
un très joli tailleur pour femmes, sans excès, mais qui allait plutôt bien, pour peu qu’on aime les femmes d’affaires. Mais, avant de lui mettre, Karen lui mit un bandeau noir autour des yeux, laissant juste à Helena le temps d’observer, pendant quelques secondes, son œuvre. Le bout du bureau était maculé de sueur et de mouille, s’égouttant lentement sur le sol.
Karen la déplaça ensuite, et la positionna devant un miroir, puis alla chercher la tenue, soigneusement entreposée sous cellophane. Elle sourit ensuite, se pinçant les lèvres, puis commença par les sous-vêtements. Elle lui enfila un sous-vêtement noir avec de légères bandes horizontales, puis une courte culotte avec une simple ficelle à hauteur des fesses, et la fit ensuite s’asseoir sur un autre fauteuil, le temps de lui mettre des jarretelles, tirant longuement sur les jarretelles pour les nicher dans les orteils de la femme. Que ce soit
de devant ou
de derrière, le simple fait de voir de tels sous-vêtements excita furieusement Karen, dont la verge se redressa, tapotant les fesses d’Helena tandis qu’elle lui faisait enfiler sa chemise.
«
Han, si je m’écoutais, je m’arrêterai là pour te baiser encore, ma petite secrétaire... »
Fort heureusement, la Kryptonienne se retint, et lui posa sa chemise, refermant ensuite calmement chaque bouton, puis lui mit une courte jupe noire serrée. Karen s’amusa ensuite à glisser les pans de la chemise sous la jupe, tirant dessus, en profitant pour pincer le sein d’Helena d’une main, l’autre se glissant sous sa jupe pour la caresser au passage.
«
Allez, voilà... »
Pendant ce temps, Karen avait récupéré une
élégante veste sombre, mais sans avoir eu le temps de mettre une chemise, ou même un pantalon. Sa queue se dressait donc, s’enfonçant contre la jupe. Elle retira enfin le bandeau, caressant doucement la belle chemise propre d’Helena, ses doigts glissant dessus, filant à nouveau sous la jupe pour serrer les ficelles de la culotte.
Des baisers filèrent ensuite dans le creux du cou de la femme, mordillant sa peau tendrement.
«
Alors, comment se porte ma petite secrétaire nymphomane, hum ? Est-elle prête à exaucer tous les vœux de sa dure et autoritaire patronne perverse ? » gloussa-t-elle doucement.