--- INTRODUCTION : SCÈNE d'EXPOSITION ---
Du haut de l'immense tour de verre du Rachele'S Club, la Première Secrétaire du Parti observe les quelques lueurs qui brillent encore sur la ville. Depuis la mise en quarantaine du pays, les ténèbres, la peur et l'ignorance se sont abattues sur toute l'archipel du Japon. Les plus beaux jeunes hommes et femmes disparaissent rafles après rafles, emporté par la milice du Nouveau Régime en place pour être "rééduqués" dans de mystérieux centres.
Le reste de la population, composé des chanceux étant agé de plus de 40 ans, restent chez eux et ne sortent que pour travailler pour le régime, ou acheter des provisions.
Abreuvés de mensonges et de propagande par les médias vendus au pouvoir de Rachele, ils prient les Esprits Ancestraux ou le Dieu Unique dans l'espoir de ne pas être touchés par "La Grissaille", cette maladie mortelle qui ravagée le pays depuis plusieurs mois maintenant. Officiellement, les personnes arretés par le Régime le sont pour leur propre bien, pour les protéger de l'infection.
Du haut de sa tour d'ivoire, Rachele sourit.
-Les idiots...Murmure t'elle en ricanant. Tout cela n'est en fait qu'un immense écran de fumé. La Grisaille est une invention, qu'elle à enfoncée dans le crâne des hommes politiques qu'elle à capturée et transformés en esclaves serviles. Le coup de Maître de sa carrière qui a mis un pays et une population entière à genoux. La totalité du corps dirigeant étant sous son contrôle, elle s'est faite élire Première Secrétaire du Nouveau Régime de Transition, qui a pour but de luter contre l'épidémie. De bien grands mots pour dire qu'on lui a accordé les pleins pouvoirs.
Dès cet instant, un rideau de fer est tombé sur le Japon, uniquement ouvert puis refermé pour laisser passer les cargaisons entières de ses "précieuses marchandise". Car les centre de rééducation et de soin ouverts un peu partout sur l'archipel ne sont pas ce que le reste de la population crois.
Ce sont en fait des usines, d'immenses usines à esclave où sont emmenés tous les jeunes gens de 15 à 40 ans. Ils y sont triés par critères de beauté du visage et du corps. Ceux et celles qui cumulent ces deux critères excellence sont immédiatement conditionnés et transformés pour répondre au mieux aux attentes de leurs futur acheteurs, disséminés dans le reste du monde.
Les autres, qui ne cumulent qu'un des deux critères sont conditionnés et vendu a moindre prix, soit le visage masqué en permanence pour ceux qui n'ont pas des traits plaisants, soit le corps totalement refait par chirurgie esthétique pour les autres.
Enfin, ceux qui restent subissent un sort aussi horrible que douloureux. Les mâles reçoivent un traitement hormonal de choc qui leur fait produire d'inépuisables quantité de semence fertile avant d'être harnachés à de véritables machines à traire qui les font jouir jusqu'à épuisement total, la plupart ne survivent pas plus d'une journée.
Leur "production" sert à alimenter les innombrables incubateurs dans lesquelles les femmes de leur catégorie servent de mère porteuse, au cours de grossesses accéléré grâce à la technologie Tekhane. Ligotés dans leurs cuves, ces jeunes femmes ne connaissent plus que d'interminables cycles de grossesses et d'accouchements.
Voici ce qu'est devenu le pays depuis que le mal incarné s'en est emparé.
--- CHAPITRE I: LA TRAQUE ---
Le téléphone de Rachele sonne dans la pénombre de son bureau, elle quitte la contemplation de Sa ville et le décroche.
-Docteur ? Elle refuse toujours de parler... Soit... je descend pour vous aider...Rachele raccroche et pousse un long soupire d'insatisfaction. Ces petites rebelles étaient définitivement une épine dans son pied. Dès qu'elle avait fait fermer le pays, un mouvement de contestation avait crée par une lanceuse d'alerte talentueuse et insaisissable. Experte en divulgation se secrets et d'information, cette "Yuko" était parvenue à pirater plusieurs serveurs du gouvernement pour y voler des documents sensibles sur ce que Rachele prépare.
Heureusement pour la mafieuse devenue chef d'état, la petite rebelle et ses amis n'ont pas encore réussi à exfiltrer leur données. Ce qui aurait de bien plus graves conséquences que les quelques bombes qu'elles font exploser à droite à gauche. En revanche, les messages qu'elles lancent en piratant la radio d'état pourrait finir par convaincre la population japonaise de la supercherie, et Rachele n'a pas besoin d'émeutes dans les rues. Le commerce bas son plein et ses scientifiques avance chaque jour un peu plus dans le développement de son arme secrète...
La Première Secrétaire détache son regard de sa contemplation oisive et tourne les talons pour rejoindre l’ascenseur. Elle l'appel et descend vers les profondeurs de son établissement, vers l'Asylum, là ou tout à commencé...
Arrivée au dernier sous-sol elle arpente les couloirs de sa première usine a esclave en admirant avec satisfaction le travail exemplaire que fait son personnel sur les futurs esclaves. Derrière chaque hublot de porte, une scène différente, une esclave différente, un machine ou une drogue differente. Ici, l'expérimentation est reine pour découvrir de nouvelles méthodes d'asservissement et de conditionnement.
Arrivée tout au fond du dédale, Rachele prend sa clef magnétique et active l'ouverture du sas. Immédiatement, elle entend de petits cris de plaisir, mêlée à des gémissements de douleurs, étouffés par un épais bâillon de cuir. Dans la pièce, la Doctoresse Lucil et l'infirmière Hannah s'affairent autour d'une invité très spéciale.
Attention contenu explicite:
SCENE
La ravissante brune harnachée sur le fauteuil et qui fait de petit bond sur place en poussant de petit feulement de douleur n'est autre qu' Arina Tsuni, la jeune et charismatique chef du mouvement rebelle à qui appartient Yuko. Dénoncée par une autre rebelle capturée et torturée, les services secrets de Rachele l'on enlevée chez elle discrètement pour que ses petites amies n'en sachent rien. Mais comme prévu, la jeune femme est forte, courageuse, et elle refuse de parler.
-Et bien et bien Docteur... Dit Rachele en approchant, ses talons aiguille claquant sur le sol du laboratoire.
-Notre invité de marque refuse toujours de parler ?-J'en ai peur Madame, maintenant que vous êtes la je pense qu'il faut passer à autre chose pour obtenir plus de résultat.Lui répond la doctoresse alors que Rachele arrive à la hauteur des trois femmes et voit ce qu'elles sont en train de faire. Une longue élèctrode de métal est enfoncée dans l'urtère de la prisonnière et retient tout le contenu de sa vessie qui forme une bosse sur son bas ventre tans elle est remplie.
Sur l'écran de contrôle, un scan en temps réelle montre l'organe distandu de la jeune femme et le bout de la longue tige troner au milieux du liquide qui lui dilate les parroies. Rachele sourit en imaginant à quel point l'envie d'uriner, la douleur et l'excitation sexuelle provoquée par la compression de ses organes génitaux doivent être insupportable.
Armée d'une pince avec laquelle elle lui tire le clitoris des lèvres, la doctoresse lui darde le bouton d'amour avec une aiguille pour lui injecter une substance rose qui en accrois la sensibilité et la taille.
-MM !Gémit la rebelle en faisant un nouveau petit bon. Elle secoue la tête pour faire des "non" comme pour tenter de ce reveiller d'un cauchemar. L'infirmière active alors la console reliée à l'élèctrode qui envoi une petite décharge dans la vessie d'Arina qui se crispe tout à coup avant de retomber presque inerte sur son siège de torture.
Rachele s'approche, lui caresse les cheveux et lui retire son baillon.
-Alors petite pute de rebelle ? Tu ne veux toujours pas me dire où se cachent tes amies ? Soit gentille, donne moi juste la cachette de Yuko et tout est terminé, c'est promis.La chef rebelle est épuisée, son sexe la fait souffrir, l'envie de jouir et d'uriner sont devenu insupportable. Mais elle se rappel de l'importance de sa cause et refuse de céder surtout pour Yuko.
Si la jeune informatrice devait être prise, jamais les secrets du Japon ne pourraient éclater au grand jour. Elle affronte le regard cruel et pervers de Rachele et détourne le regard pour lui faire comprendre qu'elle ne lui révèlera rien.
-Hum... tu es forte, j'adore ça. Docteur, laissez tomber la méthode conventionnelle. Si elle ne veux pas nous dire où ses amies se trouvent, elle nous aidera plutôt à les capturer.-Quoi ?!Cris la rebelle, refusant de croire qu'elle les aidera à capturer ses amies.
-Bien Madame.Répond la doctoresse en relâchant sa pince. Sous les yeux écarquillés d'horreur d'Arina, son clitoris grossi à vue d'oeil jusqu'à ressembler à une groseille nervurée, il devient si sensible qu'elle sent même la tiédeur de l'athmosphere et les courant d'air la frôler.
-Jamais je ne vous servirais vous entendez ! Jamais je ne vous obéirait !Hurle Arina en regardant la doctoresse maléfique vider le contenu de sa seringue dans un évier avant d'empoigner un nouveau flacon, empli d'une substance rose elle aussi, mais brillante et chatoyante, comme si elle était iradié par une énergie étrange.
-Chuuuuuut ma belle... détend toi... ton calvaire est bientôt terminé, ta nouvelle vie va pouvoir commencer... et tu seras très heureuse.Un étrange casque avec un écran tombe alors sur le visage de la rebelle et commence à faire défiler devant ses yeux des images hypnotiques et informes, entrecoupées de scènes pornographiques violentes.
Elle sent la cruelle morsure de l'aiguille pénétrer ses seins et injecter la substance qui se met à décupler son désir et sa libido, au point qu'elle en devienne folle.
-C'est le sérum que je suis en train de développer pour mon arme secrète, il n'est pas encore abouti mais heureusement je dispose de cobayes comme toi pour l'améliorer. Profite bien de ton lavage de cerveau, quand ce sera fini, tu seras une nouvelle personne, et tu me suppliera de te laisser me lécher les pieds...Lui dit Rachele en quittant calemement la pièce avec les deux soignantes, laissant la rebelle seul alors que la machine thekane s'active autour d'elle pour la remodeler.
-Non ! Non ! Nooooon !L'entend t'on hurler avant que le sas ne se referme.
- Bientôt, je viendrais m'occuper de toi ma petite Yuko... et je ne serais pas aussi gentille...