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Rachele Florenza

Humain(e)

Victorian Age

lundi 07 août 2017, 14:39:59

--- Londre, Angleterre, 1er Mai 1860 ---

Citer
Mon bien aimé Mathiew

Je vous fait parvenir ce modeste plis dans l'espoir que vous partagerez avec moi une réflexion sur les dernières mésaventures qui me sont arrivée et qui m'ont décidés à vous annoncer une grande nouvelle.

Quand nous nous sommes rencontré ce soir de gala chez les Withberg je vous avais été présenté par mon grand frère Anthony  qui est encore pour quelques mois mon tuteur et représentant légal.
Je n’oublierais jamais la beauté des mots que vous avez eu pour moi et les éclats de rire que nous avons échangés. Mais depuis cette nuit, le comportement de mon frère à changé. Certes il était déjà très protecteur et me regardait parfois de bien étrange façon, et je sais qu'il a très mauvais réputation dans les cercles mal famé de la ville.

Mais il m'interdit maintenant de me promener même accompagnée en centre-ville, il ne veux plus que je vienne aux bals et aux galas et ne m'autorise même plus à arpenter librement les couloirs de notre manoir familial qui jouxte l'asile psychiatrique. Il dit que ses patients sont dangereux et qu'ils peuvent se promener sur la propriété vue que le manoir et l'asile sont cote à cote, dans le même mur d'encinte. Parfois, je me sent comme prisonnière, mais tout cela n'est que temporaire, je serais bientôt majeure et libre, nous le savons tout deux mon frère et moi.

Depuis quelque temps, les domestiques aussi se comportent bizarrement, mon frère a renvoyé tout les hommes et a fait venir des femmes de l'asile qu'il dirige. Elles m'ont tout l'air d'être des filles de mauvaise vie et je les entend parfois pousser des cris bien étranges quand elles travaillent dans la chambre de mon frère. Je ne comprend pas ce qu'elles y font tout ce temps.

Le dernier incident est arrivé hier et jamais je ne me serais attendue à ce que mon frère à fait.
Lors d'une nouvelle dispute où j'éxigeait qu'il me laisse sortir pour vous rejoindre au banquet des amis de la philosophie, il m'a soudain avoué qu'il me voulait pour lui tout seul !

J'ai ris de bon cœur à ces mots, pensant qu'il était soit en train de plaisanter, soit devenu totalement fou. Je lui ai dit que c'était impossible, que j'étais sa sœur pour commencer et que ce serait répugnant. Qui plus est, je lui ai aussi annoncé que j'étais déjà amoureuse de quelqu'un et que je me marierai dès l'obtention de ma majorité.

Croyez le ou non mon bon ami, il a alors tenté de m'embrasser ! Moi, sa propre petite sœur ! Croyez bien que le l'ai repoussé de toute mes forces. Je lui ai dit qu'il me dégouttait et je suis allé m'enfermer dans ma chambre pour rédiger le présent plis.

La folie de mon frère est maintenant avérée et je ne puis plus vivre à ses coté. C'est pourquoi je suis contrainte d'utiliser cette manière peu orthodoxe d'accepter votre demande quand j'aurais préféré que nous puissions le faire solennellement sous la tonnelle du parc zoologique.

Je vous dit donc Oui mon cher et tendre Mathiew, j'accepte de vous épouser et de demeurer votre femme aussi longtemps que Dieu me donnera vie. Je confierai cette lettre à une des nouvelles servantes du manoir familial pour qu'elle la poste dès demain, vous devriez la recevoir très vite.
Quand vous aurez pris connaissance de tout ceci, venez vite. J'ai peur.

Votre bien aimée Rachele Howards

P.S. Je joint à ce message le superbe daguerréotype de moi que nous avions fait au gala. Il est enfin terminé.

Citer


La servante prend le plis et assure à Rachele de sa voix pâteuse qu'elle va la poster de ce pas. La petite aristocrate lui donne une pièce d'argent, la remercie, et lui demande de lui rapporter son soupé à sa chambre quand elle aura fini. Puis elle s'enferme à nouveau dans sa chambre, refusant de répondre ou d'ouvrir sa porte à son frère. Elle n'ouvre qu'aux domestiques.

La servante descend les escalier et au lieu de sortir du manoir, elle se dirige discrètement vers le bureau du frère de Rachele. Elle frappe, entre, referme la porte et se met immédiatement à genoux devant le bureau de son Maitre. La jeune femme est en vérité une esclave à son service. Ancienne idéaliste qui voulait s'engager dans l'armée et devenir officier, elle avait été jugée folle par une société machiste et patriarcale et avait eu le malheur d'être internée dans l'Asile de femmes dirigé par Anthony . Trop courageuse et forte pour se laisser briser, il l'avait torturé pendant des semaines avant de se résigner à la lobotomiser. Comme il avait aimé voir la peur et la folie gagner peu à peu son regard et y chasser toute lueur de volonté et d’intelligence alors qu'il lui coupais de fines tranches de cervelle. Il s'était finalement arrêté quand elle n'avait plus été capable de donner son nom ou de compter jusqu'à cinq... elle était depuis une servante docile et obéissante qui se laissait baiser sans rechigner.

Elle rampe à quatre pattes jusqu'à lui et baisse la tête en arrivant devant ses genoux. Elle lui tend la lettre de sa sœur.

-Une lettre de votre sœur pour Lord Matiew Cromwell Maître.

James Howlett

E.S.P.er

Re : Victorian Age

Réponse 1 mardi 08 août 2017, 12:46:57

Anthony fronça les sourcils, décachetant l’enveloppe sans hésiter et déplia le vélin. Le courrier entrant ou sortant de sa sœur lui était systématiquement remis avant envoi, ou après réception, depuis plusieurs semaines. Rapidement il s’agace, s’emporte, grommelle. Foutue péronnelle ! Ainsi non-seulement Rachele se refusait à lui, mais en outre elle osait se promettre à un autre ? Se contenant pour ne pas envoyer valser son encrier à travers la pièce, Anthony s’efforça de reprendre son souffle, ramenant ses cheveux vers l’arrière. Anthony était un bel homme, robuste et élégant qui faisait plus que son âge. En société, ses manières et sa courtoisie étaient impeccable, mais les esprits les mieux exercés comprenaient qu’il y avait chez cet homme quelque chose qui clochait. Son regard fixe, parfois halluciné, ces objets qu’il brisait entre ses doigts sans le faire exprès, ces coup d'oeil terrifiants qu’il jetait sur les croupes des femmes. Certes, Antony était fou, mais également d’une intelligence remarquable. Comme son père avant lui, il avait suivi de longues études de médecine, afin de reprendre la charge de son père vieillissant, à la tête de l’asile Howards. Il en avait d’abord été codirecteur pendant plusieurs années, avant de le diriger à la mort de Maxwell Howard. L’asile était depuis bien des années, et sans que personne – pas même son père – ne s’en doute, son terrain de jeu privilégié, le lieu où il pouvait donner libre cours à sa perversion sans craindre l’ire de la société. Car Anthony avait des besoins sexuels déviants, et obsessionnels et rares étaient les femmes qui pouvaient y satisfaire volontairement. Aussi Anthony avait-il expérimenté des drogues sur ses pensionnaires…Puis il était passé à l’étape supérieure, grisé par son propre génie et par la luxure, il avait découvert qu’il pouvait directement user du scalpel pour modifier le comportement des aliénés. Il y avait eu quelques ratés, naturellement. Mais les rapports médicaux indiquaient généralement indiquaient généralement des crises d’hystérie ou des suicides. Par ailleurs, la police se souciait trop peu des aliénés pour ordonner des examens complémentaires.

Anthony agissait donc dans la plus complète impunité. Mais depuis quelques temps, ses pensionnaires ne lui suffisaient plus. Aussi cherchait-il de nouvelles victimes, parmi les dames bien apprêtées de la bonne société. C’était périlleux, fastidieux, mais il parvenait généralement à ses fins. Pas plus tard que la semaine dernière, il avait brisé une jeune veuve qu’il fallait dorénavant attacher pour qu’elle cesse de se flageller elle-même en se masturbant frénétiquement.

Et puis, Rachele était revenue du couvent où elle avait passé ces cinq dernières années. C’était un souhait de Maxwell Howards qui se sentait dépérir. Il souhaitait revoir sa cadette avant de passer l’arme à gauche, et si possible lui trouver un bon parti. L’enfant avait changé du tout au tout. Maigrichonne et taciturne lorsqu’elle était petite, elle était aujourd’hui rayonnante de beauté et de grâce. Le jour où il était allé la chercher à la gare, il avait résolu qu’elle serait sienne. Il avait essayé d’être patient, prévenant, tendre. Mais à chaque fois Rachele avait mal interprété ses intentions. Là où elle voyait les mots gentils d’un frère pour sa sœur, lui ne rêvait que d’inonder cette innocente frimousse de foutre brûlant. Toutefois, il avait résolu d’être indulgent avec elle. N’était-elle pas sa cadette après tout ? Mais les événements de ces derniers jours l’avaient rendu ivre de rage. Sa fureur était telle, qu’il en était venu à la haïr. Oh, comme elle paierait ses affronts !

« Qu’est-ce que c’est, Mary ? » la bonne avait en effet avancé jusque sous son bureau, et posé la main sur son entrejambe gonflé. Rien que de songer à Rachele, et il en avait la gaule ! Sensible aux moindres désirs de son maître, Mary, qui était accoutumée à le satisfaire, avait déjà sorti sa grosse queue qu’elle branlait avec application, comme une automate. Il était allé un peu trop loin avec celle-ci, en annihilant une bonne partie de ses émotions, mais au moins elle suçait bien, et lui était entièrement dévouée. Simplement, il avait perdu son intérêt pour elle, et s’en servait uniquement comme vide-couille lorsqu’il n’avait personne d’autre sous la main. L’homme replia la lettre et saisit une autre feuille de papier, sur laquelle il commença posément à écrire, alors que Mary s’étouffait sur sa bite. Anthony chargeait un de ses amis faussaires de reproduire l’écriture et le sceau du jeune Cromwell, pour une brève lettre qui devait en substance expliquer que Mattiew s’était épris d’une autre et que bien qu’il conservât son affection pour Rachele, il ne souhaitait plus qu’ils poursuivent plus loin leur relation. Ce message devait être rapporté par coursier rapide le lendemain matin. Satisfait, Anthony juta abondamment dans la bouche de la domestique, les yeux rivés sur le daguerréotype de Rachele, avant de le ranger dans le tiroir de son bureau.   

Le lendemain matin, le message fut naturellement porté à la jeune femme par la même servante bovine. Soucieux de battre le fer lorsqu’il était encore chaud – soit se régaler de la déconvenue de cette petite conne – il la fit mander dans l’immense salle à manger. Un tel ordre du chef de maison ne pouvait naturellement être ignoré et il savait ne pas avoir besoin de recourir à la force pour faire obéir sa cadette. « Veuillez-vous asseoir, Rachele, j’ai deux mots à vous dire », lança-il en feignant de l’ignorer. Rachele avait l’air plutôt abattue, et il supposa qu’elle avait dû beaucoup pleurer, ce qui le fit sourire imperceptiblement. « Et buvez votre thé, il va refroidir. » L’homme reposa son journal sur la table, et s’empara de sa propre tassé. « J’ai été informé ce matin, par le père de ce petit effronté de Cromwell, qu’après vous avoir fait la cour pendant des semaines, il s’était entiché d’une bohémienne, attirant le déshonneur sur sa maison. Rendez-vous compte ! Dire que je l’ai accueilli chez moi ! » Il reposa brutalement sa tasse sur la soucoupe en porcelaine, faisait sursauter la jeune femme. « Etant donné votre tête mon enfant, je suppose que vous étiez déjà au courant de cette regrettable aventure. Ah, quel dommage, ses parents sont fort riches et il aurait fait un excellent parti. Qui plus est, il me semble que vous étiez sensible à son charme, n’est-ce pas ? » l’homme marqua un temps d’arrêt et fronça les sourcils en observant sa sœur, de l’autre côté de l’immense table en bois massif. « Vous êtes bien silencieuse, est-ce que tout va bien ? » Dans le thé qui lui avait été servi, se trouvait un puissant aphrodisiaque. Tout aussi ignorantes des choses de l’amour que pouvait être Rachele, elle devait bouillonner sur place, et son esprit était probablement en train de s’égarer.

Rachele Florenza

Humain(e)

Re : Victorian Age

Réponse 2 jeudi 10 août 2017, 20:22:15

Quand la jeune aristocrate li la lettre supposément de son ami, elle n'en crois pas ses yeux. Elle fronce les sourcils et se retient de jurer dans le calme monastique de sa chambre. La lettre semble bien venir de lui, l'écriture , le cachet, tout cela semble parfait... mais c'est dans le fond que quelque chose cloche.

En effet, même si Mathew avait décidé de rompre sa relation avec elle, les révélations qu'elle fait dans son propre message l'aurait poussé en parfait gentleman protestant à porter sa missive à Scotland Yard. L'inceste étant considéré comme un péché et comme une faute pénale, il ne l'aurait pas abandonnée aux mains d'un pervers hérétique et criminel, il aurait au moins prévenu la police.

Le fait que la courte lettre ne porte que sur un point bien précis du problème, leur amour, met la puce à l'oreille de la jeune femme, et dans la pénombre elle murmure:

- Anthony... pourquoi... mais que vous arrive t'il mon frère... Quel démon c'est emparé de vous ?

Cette fois-ci elle n'a plus de doute, son frère à perdu la raison et elle doit partir, partir vite avant qu'il ne lui arrive quelque chose. Elle quitte son boudoir privé et se dirige vers son armoire pour fournir soigneusement un petit bagage à main discret. Elle prépare des vêtements sombres et son chapeau pour une escapade nocturne et prend soin d'y cacher un trousseau des clefs du domaine.

On frappe discrètement à la porte...

- Qui est la ?

- Mary my lady, votre frère vous fait mander dans la salle à manger pour le thé.

Rachele peste toute seule. Elle ne peut pas refuser, cela éveillerait ses soupçons et il pourrait deviner qu'elle compte fuir le soir même. Elle se calme, prend une grande inspiration et répond.

- Faite lui savoir que j'arrive dès que je me serais recoiffée et convenablement vêtue.

Les pas de la servante s'éloignent en faisant grincer le parquet du couloir. Rachele laisse sa valise et sa tenue de fuite sur le lit et s'installe derrière sa glace pour adopter une coiffure délicate, une longue queue de cheval soignée et bien tirée en arrière. Elle garde sa simple robe de flanelle blanche et son corset de maison, bien moins serré qu'un corset de soirée mais tout de même, il lui demande toujours un certain effort de respiration.

Elle descend et rejoint son frère, tachant de fuir son regard fixe et fou pour ne pas qu'il capte son malaise. Pour que son jeu soit parfait, elle feint la peine et la fatigue, le léger rictus qu'elle voit subrepticement apparaître sur le visage de son frère ne fait que confirmer ses craintes. En cette instant, elle à plus peur de lui qu'en aucune autre occasions. Mais elle doit faire comme si de rien n'était, elle doit endurer sa présence encore quelques heures avant d'être définitivement débarrassée de lui.

-  Veuillez-vous asseoir, Rachele, j’ai deux mots à vous dire.

"Courage Rachele, ce n'est qu'un thé après tout..." Se dit elle à elle même en prenant place.

- Et buvez votre thé, il va refroidir.

Elle profite de cette occasion pour se donner de la contenance. Avec une tasse dans la main, elle ne pourra pas commettre d'impairs qui lui laisserait deviner son état de nervosité. Elle en prend une première gorgée pour dissimuler son visage en le baissant vers son assiette. Son goût et délicieux et exotique, la belle britannique n'en reconnait pas la saveur mais l'apprécie grandement, elle en prend alors une seconde gorgée, scellant sans le savoir son destin...

- J’ai été informé ce matin, par le père de ce petit effronté de Cromwell, qu’après vous avoir fait la cour pendant des semaines, il s’était entiché d’une bohémienne, attirant le déshonneur sur sa maison. Rendez-vous compte ! Dire que je l’ai accueilli chez moi !

Anthony s'enterre dans son grossier mensonge. Le coup de la bohémienne de mauvaise vie, c'est tellement cliché, tellement sorti d'un roman de Dickens ou de Mary Sheley. A nouveau Rachele fait un effort pour ne pas se mettre en colère et mobilise toute sa volonté pour feindre à nouveau la tristesse.
Mais cette fois, elle n'est pas convaincante et Anthony comprend que sa jeune sœur est toute aussi intelligente et vive d'esprit que lui, et qu'elle à tout compris. Dans un coin de sa tête, il se dit qu'un tel esprit sera sans doute difficile à briser sans utiliser les pires stratagèmes et traitements qui soient. Heureusement, l'Asile familial dispose de tout ce qu'il faut...

Il se met alors à jouer le jeu à son tour, de toute façon, sa belle petite proie à déjà bue son aphrodisiaque.

- Etant donné votre tête mon enfant, je suppose que vous étiez déjà au courant de cette regrettable aventure. Ah, quel dommage, ses parents sont fort riches et il aurait fait un excellent parti. Qui plus est, il me semble que vous étiez sensible à son charme, n’est-ce pas ?

Rachele termine sa tasse de thé et s'apprête à lui répondre une niaiserie quelconque pour entretenir les apparences, mais les mots lui échappent. Lentement, le regard baissé, elle repose sa tasse et remarque sa main tremble légèrement. Elle met cela sur le compte du stresse et pose rapidement sa tasse sur sa table basse pour ne pas que son frère remarque le tintement de la porcelaine. Mais celui-ci sait ce qui se passe, et reconnait les effets de sa puissante mixture. La jeune femme semble certes résistante, mais elle n'a clairement pas l'habitude de consommer des produits perturbateurs.

- Vous êtes bien silencieuse, est-ce que tout va bien ?

Rachele ne comprend pas, elle se sent brûlante, son corset l’étouffe, ses reins lui font mal et elle sent un étrange fourmillement naître dans son intimité et gonfler. Elle rougit et respire de plus en plus vite. Distraitement, sa main monte vers son corset pour le dégrafer, mais elle se retient finalement, honteuse, se rappelant qu'une jeune femme de son statut de doit jamais se dévoiler devant un homme. Plus de doute pour Anthony, sa sœur est bien aussi forte et résolue que lui, sa volonté et son intelligence sont grandes et il faudra les affaiblir ou les détruire s'il veut un jour qu'elle le serve aussi passionnément que ses autres Esclaves sexuelles.

- Non je... Excusez moi... je... je ne me sent pas très bien... sans doute le chagrin...

Chaque pensée, chaque réflèxion lui devient difficile à mesure que ce feu étrange monte en elle et commence à enflammer son ventre. Elle à l'impression d'avoir faim, mais pas de nourriture, elle ne comprend pas ce que son corps réclame avec tans de violence.

- Je...

Sa poitrine gonfle, elle la sent se comprimer sous son corset et écraser ses poumons, elle prend de grandes inspirations cassées et se met à transpirer. Elle va étouffer, elle doit se libérer de son corset et surtout elle doit voir ce qui se passe entre ses jambes. Elle sent son étrange orifice, proscrit par le Seigneur avant le mariage, gonfler et baver d'étranges viscosités qui lui salissent les bas. Cela lui fait peur, est elle en train de devenir hystérique ? Elle se rappel avoir lu un article sur le sujet, écrit par son frère des années plus tôt alors qu'il était normal. Ses symptômes ressemblent étrangement à cette maladie honteuse et féminine.

- Ex... excusez moi mon frère... je... je dois... je dois me retirer dans ma chambre... je suis souffrante je crois...

Sans écouter ce qu'il répond ou surveiller ce qu'il fait. Elle essai de se relever et se rend compte que ses jambes sont flagellantes, elle tremble de tout son corps.

- Attendez my Lady.

Lui dit Mary en la prenant par les épaules.

- Laissez moi vous guider jusqu'à votre chambre.

Ajoute l'esclave sexuelle d'Anthony en se retournant vers lui pour lui lancer un regard obéissant et stupide. Rachele ne se rend compte de rien, elle voudrait se laisser tomber à genou pour retirer ses bas et son corset pour toucher là elle se sent si étrange et brûlante, mais elle ne le doit pas, elle a bien trop d'orgueil pour cela. Les bras refermés sur sa poitrine et son ventre, la belle jeune femme se laisse raccompagner à l'étage.

Dans sa chambre, elle découvre avec surprise que deux infirmières de l'asile dans leurs tenues trop courtes et provocantes sont en train de ranger ses affaires et de les ranger dans des mâles de voyage, comme si elle s’apprêtait à déménager. Le feu et les démangeaison continuent de serpenter sous sa peau et à la rendre folle, elle n'en peu plus et remarque à peine que sa petite valise et sa tenue de fuite on disparue de son lit. Mary intervient à ce moment là pour ne pas que la jeune femme y réfléchisse trop.

- Laissez moi vous aider à enlever ça my Lady, nous sommes entre femmes vous ne risquez rien.

Soumise à une torture de plus en plus abominable, Rachele se laisse faire. Mary dégraffe alors son corset et la poitrine gonflé de désir de la jeune femme jaillit entre les pans de sa chemise.

- Ha !

Rachele pousse un petit cris de soulagement et prend une grande inspiration en se prenant les seins entre ses mains. Cette sensation est merveilleuse, agréable et la soulage quelques instants. Mais quand elle passe le bout de ses doigts sur ses tétons devenu énormes et cramoisi, la douleur et la faim éclatent dans son sexe et remontent jusqu'à son orifice honteux.

- Mais... mais qu'es ce qui m'arrive...

- Détendez vous my lady... cela m'arrive de temps en temps, c'est tout à fait normal, je vais vous aider. D'abord, nous allons enlever cette chemise couverte de sueur et nous en enfiler une autre, un cadeau de votre frère et de tout le personnel de l'établissement de votre père.

Trop occupée à se retenir de passer ses mains sur son nombril et sous ses bas souillés par sa vulve trempée, Rachele écoute la servante d'une oreille distraite en suffocant et en tremblant de désir.
Les deux infirmières viennent l'aider à retirer sa chemise, la belle se retrouve torse nue devant ses trois femmes, c'est la première fois qu'une telle chose lui arrive, elle baisse la tête, honteuse.

- Bien nous allons vous enfiler une chemise qui vous aidera à rester calme quand le Docteur Howards vous auscultera.

- Quoi ?!

Hurle Rachele en relevant la tête. Elle écarquille les yeux d'effroi en voyant la "chemise" que lui destine les trois femmes. Il s'agit en fait une petite camisole de force, uniquement prévue pour le torse et les bras, mais où une large portion de tissu à été retirée pour laisser les seins sortir de manière pornographique. Un modèle unique à cette époque, du moins pas dans l'asile Howards...

- Votre frère est le seul "spécialiste" de l’hystérie féminine my Lady, rassurez vous... il nous à soignées nous... il va faire pareil pour vous, et vous serez heureuse de le servir...

Rachele n'en crois pas ses oreilles. Elle est si interloquée qu'elle ne réagit pas tout de suite quand deux des femmes se jettent sur elle pour lui attraper les poignets et les lui passer dans les longues manches à ceinture de la camisole. Quand elle réalise enfin ce qui arrive et qu'elle commence à se débattre et à hurler pour qu'on la libère, il est déjà trop tard. Mary et la première infirmière passent chacune une courroie de cuir dans sa boucles et les serres simultanément au maximum pour lui emprisonner les bras sous les seins. Sa poitrine gonflée de désir se met alors à palpiter à la vue de toutes au ritme de sa respiration.

Attention contenu explicite
(pas de bâillon boule sur Rachele et elle porte toujours ses bas et son jupon blanc.)
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

La troisième infirmière arrive alors en poussant devant elle un établi de médecine sur lequel trône divers objets et seringues remplies qui font frémir Rachele d'horreur.
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)
Puis elle se retourne et rejoint Anthony pour lui dire:

- Vous aviez raison Docteur, votre soeur semble atteinte d'un grand trouble, il serait bon de l'interner dans votre établissement pour un suivi psychiatrique et gynécologique.

En entendant cela, Rachele hurle de nouveau !

- Nan ! Lachez moi ! Je ne suis pas folle ! Je le jure ! Je ne suis pas folle !!

James Howlett

E.S.P.er

Re : Victorian Age

Réponse 3 samedi 12 août 2017, 14:52:14

Malgré le tumulte qui lui agite également les entrailles, Anthony se force à garder un air impassible, observant sa cadette perdre ses mots et sa prestance. Malgré tout, elle conserve sa politesse et son maintien altier. Ah, assurément, Rachele est bien une Howards ! Réputés pour leur pugnacité et leur santé de fer, la vieille famille avait donné à l’Angleterre bon nombre d’excellent officiers. Le Lord s’en réjouit ; la briser n’en sera que plus glorieux. La petite vierge bafouille, s’excuse, tremblote et Anthony sourit.

« Retirez-vous, Enfant, vous n’êtes plus vous-même. Je vous ferai porter des fruits un peu plus tard dans la soirée. »

Mary, la lobotomisée se porte à son secours, glisse un bras solide autour de ses épaules puis emmène la jolie petite blonde, laissant Anthony seul, assis devant son assiette. L’homme termine rapidement son repas, puis quitte la salle à manger pour passer à l’étage. Lorsqu’il passe la porte de la chambre de sa sœur cadette, il porte une ample blouse blanche, et affecte un air soucieux. D’un geste, il indique à Mary de sortir, l’idiote ne lui était dorénavant plus d’aucune utilité. Sara, amusée, se mordillait la lèvre inférieure. Cette jeune infirmière, à peine plus âgée que Rachele n’avait pas été bien compliquée à dévoyer. En effet, elle travaillait dans un hôpital duquel elle avait été renvoyée parce qu’elle avait été surprise plusieurs fois en train de se faire vigoureusement foutre par des patients. La petite nymphomane n’avait guère été altérée. Tout au plus Anthony avait-il accru son appétit sexuel, et travaillé son obéissance à coup de fouet. Gaie et rieuse, elle s’entendait plutôt bien avec Hannah, la jeune femme calme et professionnelle qui venait d’apporter à Anthony son matériel de travail. Hannah tenait davantage de l’assistante que de l’infirmière. Celle-ci en effet, disposait de connaissances médicales assez poussées, et assistait parfois le Docteur dans certaines de ses interventions les plus délicates. Hannah faisait partie des rares employées féminines du Lord a disposer d’un droit d’aller et venir librement, tant il lui faisait confiance.

La dernière infirmière en revanche, Carmen, était givrée. Jeune femme de bonne famille, la pauvre jeune femme avait découvert bien vite qu’elle préférait les femmes, ce qui lui avait valu l’ire de sa famille. Isolée, méprisée, elle avait fini par tomber dans la dépression, puis avait été internée après une tentative de suicide. Anthony avait essayé de la guérir de son lesbianisme, mais n’y était pas entièrement parvenu. Carmen appréciait les queues, mais uniquement dans son cul…Et sa préférence allait toujours au sexe faible. Par ailleurs, les électrochocs semblaient lui avoir définitivement grillés ses inhibitions, ce qui la rendait difficilement contrôlable.

« Mesdames, je vous remercie pour votre secours. Croyez bien que mon cœur saigne, mais je dois me résoudre à l’évidence… Rachele est hystérique. », lança-il, avant de se pencher vers sa sœur, qu’il dominait d’une quinzaine de centimètres. Sans hésiter, il empoigna l’un de petits seins ronds de sa sœur, pour mettre le tétin en évidence. « Voyez comme l’extrémité en est érigée ? Cela empire généralement lorsqu’il y a stimulation, comme ceci. » Prenant le tétin entre son majeur et son pouce, il le fit rouler et le pinça cruellement. Sara, amusée, en fit de même de l’autre côté, caressant gentiment les cheveux de l’infortunée. « Je parierai également que son vagin présente un écoulement anormal. Confirmation, Carmen ? ».

L’intéressée se déplaça derrière Rachele. Sans hésiter elle s’accroupit, souleva sa jupe d’une main, alors que de l’autre, elle baissait sa culotte, exposant la jolie petite chatte baveuse. « Frottez. », indiqua Anthony à Carmen, qui visiblement n’attendait que cela. Hochant la tête, la brunette passa son majeur entre les grosses lèvres, souillant son doigt fuselé, puis appliqua la pulpe de ce dernier sur le clitoris durci de l’adolescente. Pour Rachele, ce traitement devait déclencher une cascade de sensation, ce qui la fit taire. Carmen s’enhardissait, appuyant de plus en plus ses caresses alors que le rouge lui montait aux joues, et qu’elle glissait sa main vers sa culotte pour se branler éhontément à travers le tissu. Anthony haussa un sourcil, mais la laissa faire, alors que la sage Hannah prenait des notes sur un calepin. Finalement, Carmen jouit, mordant dans l’action le petit cul immaculé de la jeune captive. Elle juta abondamment sur le sol, pantelante, alors qu’Antony se retournait vers la porte d’entrée. Un grand noir en tenue de majordome poussait un fauteuil roulant, sur lequel il hissa la petite Howard, sans tenir compte de ses éventuelles protestations. Le colosse s’appelait Sol, et il était muet. Une qualité essentielle pour qui travaillait pour Anthony. Il servait son maître avec dévotion, puisque de temps à autre, ce dernier l’autorisait à violer l’une des pensionnaires. Il n’en prenait jamais l’initiative, même s’il était parfois tenté. Le regard brûlant qu’il lança à Rachele n’échappa pas à son maître qui fronça les sourcils. Rachele lui appartenait, et il était hors de question qu’un autre homme, qui plus est un sauvage, ne pose ses sales mains sur elle.

« Sédatez-là je vous prie, Sara ».

Rachele perdit alors connaissance.

Lorsqu’elle se réveilla, sa camisole ne lui avait pas été retirée. En outre elle reposait sur le dos, ses pieds solidement attachés dans des étriers, les jambes écartées pour exposer sa vulve entrouverte. En jetant un coup d’œil alentour, elle pouvait constater qu’elle se trouvait dans une sorte de cabinet médical clos et qu’elle était parfaitement seule, du moins pour l’instant. Le petit chariot qui se trouvait dans sa chambre quelques instants plus tôt se trouvait sur sa droite. Il contenait plusieurs flacons de liquide, des spéculums de taille différentes, mais également des pinces en acier et des aiguilles.

Anthony se trouvait alors dans une pièce adjacente. Il rédigeait en effet le formulaire d’admission de sa propre sœur pour hystérie. Lorsqu'il en aurait terminé, il s’occuperait de Rachele, dont le pucelage ne serait bientôt qu’un lointain souvenir.

Rachele Florenza

Humain(e)

Re : Victorian Age

Réponse 4 samedi 12 août 2017, 17:10:02

Au moment où Anthony pénètre dans sa chambre, Rachele se débat dans sa camisole au point que deux infirmières sont nécessaires pour la tenir en place. Elle lui cris alors:

- Frère ! Frère ! Dites leur de me lâcher, je ne suis pas folle ! je ne suis pas hystérique.

Mais il ne lui répond même pas. En voyant sa blouse blanche, elle frisonne de peur en refusant de croire ce qui lui arrive. Anthony, son propre frère, l'ignore purement et simplement et s'adresse aux infirmières en parlant d'elle comme si elle n'était pas dans la pièce, comme si elle n'était qu'une patiente.

- Mesdames, je vous remercie pour votre secours. Croyez bien que mon cœur saigne, mais je dois me résoudre à l’évidence… Rachele est hystérique.

- Quoi ? Nan ! Nan mon frère ! Je ne suis pas folle ! Pitié, pour l'amour du Christ dite leur de me HÔ !

Pousse t'elle en rougissant au moment où son frère lui empoigne sans vergogne un seins et emprisonne son téton entre ses doigts habiles. Le corps ravagé par l'aphrodisiaque, ce simple contact la fait mouiller plus abondamment encore et lui procure une vague de plaisir qu'elle ne comprend pas. La honte la dévore au point qu'elle ne parvient plus à crier.

- Voyez comme l’extrémité en est érigée ? Cela empire généralement lorsqu’il y a stimulation, comme ceci.

Avec une dextérité et le savoir-faire d'un liberté des plus dépravé, il fait rouler son téton si sensible entre ses doigts, involontairement, Rachele soupire et se tend alors que de nouvelles ondes de plaisir se propagent de son sein vers ses reins. Elle ferme les yeux, baisse la tête et la tourne d'un coté pour fuir les regards indiscrets et glouton de l'infirmière brune qui lui fait si peur. D'épaisses larmes coulent sur ses joues et elle murmure en sanglotant.

- Pitié mon frère pitié... faite que ça s'arrête... pitié je ne suis pas folle... je ne suis pas folle...

Mais cela n’apitoie pas une seconde le savant fou qui continue de l’ausculter de manière perverse et insidieuse. Perdue et ne comprenant pas ce qui arrive à son corps, la belle jeune femme ne sait même plus quoi penser ou vers quel saint se vouer.

- Je parierai également que son vagin présente un écoulement anormal. Confirmation, Carmen ?

- Quoi ?! Non ! C'est un péché ! Ne me touchez pas ! NON !

Hurle t'elle de nouveau en recommençant à se débattre. Anthony remarque que sa sœur a été bien formée au couvant, elle crains et ignore le sexe au point de refuser qu'il lui soit accorder attention.
Heureusement, Hannah et Sarah savent s'y prendre avec les pensionnaires récalcitrantes. Elle la maîtrise sans la moindre difficulté pendant que Carmen se jette sur la jupe et la culotte de la jeune femme qu'elle fait glisser.

- Nooon !

Hurle Rachele en sanglotant au moment où sa belle petite vulve, couverte d'un fin duvet chatin est enfin révélée à tout le monde. Ses lèvres virginales sont encore fines et délicates, droites et bien tendue, ne laissant rien apparaître d'autre qu'une mystérieuse fente étroite d'ou s'échappe un filet de cyprine chaude et épaisse.  Libérée de sa culotte et de ses bas, sa mouille abondante ne peut plus se cacher derrière l’étoffe et commence à ruisseler le long de ses cuisses, preuve de l'émoi et de l'excitation insupportable qu'éprouve la jeune femme.

- -Frottez

Submergée par la honte et la gene, Rachele n'entend même pas l'ordre que viens de donner son frère à sa servante, elle continue de sangloter et de supplier:

- Pitié... pitié ne regardez pas, ne regardez p.. HA ! Qu... quoi ? S... stop... mais.. qu'es ce que...

Soupire Rachele en sentant le doigt de Carmen remonter le long de son intimité vers son clitoris. Quand elle l'atteint enfin, la jeune femme se sent soudain faiblir alors que la crispation de son bassin se détend et lui fait involontairement écarter les cuisses comme une fille de mauvaise vie. Désarçonnée par le plaisir, elle ouvre grand la bouche et baisse violemment la tête vers son entre-jambe pour  comprendre ce qu'on lui fait.

- Haaaaaa...

Gémit elle en voyant Carmen lui sourire d'un air pervers pendant qu'elle lui masse son petit dome de chaire gonflé. Les yeux écarquillés par l'horreur, la peur, et la surprise, Rachele réalise qu'elle n'a jamais vue son sexe comme ça, et soudain, elle se demande si elle n'est pas malade, ou si ce n'est pas son frère qui lui a fait quelque chose...

Les doigts de Carmen accélèrent, inondant le corps de Rachele de nouvelles vagues de plaisir, de plus en plus intense, de plus en plus forte, de plus en plus... folles. La belle britanique bien éduquée sait que ce n'est pas bien, que ce n'est pas digne de son rang, mais elle a de plus en plus de mal à luter.

Soudain, elle sent les dents de l'infirmière se refermer sur la galbure parfaite de son petit cul. Cette petite pointe de douleur est la goute d'eau qui fait déborder le vase de son excitation. Tout son corps s'arqueboute en arrière et elle lève les yeux aux ciels la bouche grande ouverte pour pousser ses touts premiers cris de jouissance.

- HAA ! HAA Mon Dieu ! Dieu tout puissant pardonne moi ! HAA ! HAA !

Hurle t'elle, le visage couvert de larme pendant qu'elle se contracte et tache les souliers d' Anthnony avec sa propre mouille, le corps déchiré par les violentes secousses de son premier orgasme. Avec intérêt, Hannah prend note que le déclancheur de son orgasme à été la douleur en écrivant "masochisme" entre parenthèses, elle en informe Anthony et ajoute qu'elle l'a porté sur le rapport.
Rachele de son coté, s'enferme alors dans un mutisme honteux, tachant de ne regarder personne de peur de croiser un regard moqueur ou méprisant.

"Que vient il de m'arriver ? Es ce ça l'hystérie dont les médecins parlent ? C'était... c'était si bon... et si insupportable à la fois... c'est mal... j'en suis sur..."

Se dit elle à elle même, perdue dans son malaise et ses réflexions de bonne protestante mise face aux contradictions de ses croyances. Quand Sol arrive avec le fauteuil roulant, Rachele revient à elle et réalise qu'elle va être internée. Elle se débat alors faiblement en gémissant et en poussant de petits "non" ; "je ne suis pas folle" inefficaces ou encore des "lâchez moi" inutiles. Mais le grand noir et les infirmières sont trop nombreux et trop fort pour la petite aristocrate à peine sortie de l'adolescence et en camisole. Sans la moindre difficulté, il la fait assoire dessus et la sangle solidement aux barres de métal.

- Sédatez-là je vous prie, Sara

- Non... pitié... pas ça... je ne veux pas... attendez je...

Sanglote Rachele alors que Sarah se penche vers elle avec un étrange masque à gaz entre les mains.

- Chuuuuut... n'ai pas peur... respire juste profondément et détend toi...


- Non je... mmm... mmm ! mmmmm...

Les yeux de Rachele commencent à papillonner, sa respiration se calme et devient plus forte et régulière, faisant gonfler sa belle poitrine couverte de sueur. Puis ses yeux roulent dans ses orbites et son visage s'incline délicatement contre l'appui-tête du fauteuil.

- C'est fait Docteur, la patiente est sédaté avec dix milligramme de pavot brut en inhalation. Elle devrait reprendre ses esprit d'ici deux petites heures, le temps de s'occuper de son admission.

L'esprit de Rachele s'enfonce lentement dans un délire inconscient où elle a l'impression de  comprendre ce qui se passe autour d'elle, mais de manière déformée et incroyablement lente alors qu'elle est prisonnière de son corps, comme victime d'une paralysie du sommeil.

Pendant le cours voyage qui la mène du manoir vers l'asile, Anthony peut admirer le visage de sa petite sœur, la bouche et le nez couvert par le masque, qui dodeline lascivement de droit à gauche sur l'appui-tête pendant que ses yeux révulsés et mi clos papillonnent lentement alors qu'elle essai de sortir de ce cauchemar narcotique. Le pavot brut est une substance légère et peu contraignante, mais l'expérience hallucinogène et paralysante qu'elle procure peut s'avérer traumatisante pour un jeune esprit qui n'a jamais connu l'ivresse ou d'autres drogues.

HOWARDS FAMILY ASYLUM


Quand Rachele revient doucement à elle, son corps s'est calmé, l'orgasme qu'elle à ressenti quelques heures plus tôt à apaisé ses envies sexuelles. L'aphrodisiaque dans ses veines s'est dissipé, elle est à nouveau maîtresse de ses pulsions et de ses désirs. Et cela la soulage, elle n'est pas devenue folle... elle le sait maintenant...

Elle regarde de droite à gauche et réalise qu'elle est seul dans un étrange cabinet médicale, entourée de divers ustensiles et seringues remplies de liquides vitreux ou blanc. Une odeur étrange et familière attire son attention. Elle est exotique et sucrée, exactement comme le gout du thé qu'elle à dégusté cet après midi même. Elle cherche du regard et remarque que l'odeur provient d'un des flacons contenant un liquide rose et épais. Il semble avoir été ouvert pour remplir une seringue armée d'une longue aiguille, qui git à coté sur un petit coton imbibé d'alcool.

A la vue de ces objets et plus particulièrement de cette seringue, elle recommence à paniquer et à se débattre, réalisant petit à petit quel piège lui a tendu son frère. Mais elle ne peut pas bouger, même en forçant de toute ses forces, elle fait à peine crisser le cuir de ses sangles.

Soudain, le grotesque et le pornographique de sa position lui sautent aux yeux. En face d'elle, ses seins d'abord, sont toujours mis en évidence par sa camisole et ses bras repliés dessous. Ses cuisses, ses mollets, ses pieds, sont sanglés à des étriers qui lui écarte les jambes pour révéler la perfection de sa vulve virginale et de son cul tout aussi innocent.

- Mon dieu non... Pitié Seigneur sauvez moi...

Murmure t'elle en forçant de nouveau sur ses liens. Par dessus tout, elle essai de serrer les cuisses pour cacher sa vertus, animée par une pudeur anglicane féroce. Le bruit de ses liens, et de la table parviennent aux oreilles de son frère Anthony, qui devine que sa petite sœur vient de se réveiller...

James Howlett

E.S.P.er

Re : Victorian Age

Réponse 5 dimanche 13 août 2017, 13:34:37

L’Howards Family Asylum avait été fondé par l’arrière-grand-père de Rachele et Antony. Sa femme était en effet atteinte d’une grave maladie dégénérative, ce qui l’avait sensibilisé aux maladies mentales. Sir Arthur Howards avait par conséquent présenté un projet à la couronne, qui avait accédé à sa demande, et assez largement financé l’établissement qui recevait encore à l’heure actuelle, d’assez large subventions de l’Etat. C’est pour cette raison qu’Antony s’efforçait d’être irréprochable… Tout du moins en apparence. D’autant plus que le turn-over du personnel auquel il avait procédé avait intrigué. Anthony avait en effet tout simplement renvoyé l’ancien directeur exécutif, un psychiatre renommé et décidé d’assumer seul l’ensemble des fonctions dirigeantes. La plupart des hommes qui y travaillaient avait également été remerciés, ce qu’il avait justifié par le fait – véridique – que l’écrasante majorité des pensionnaires étaient des femmes et que par conséquent il lui apparaissait pertinent que le personnel soit en majorité féminin également. Une fois le dossier de Rachele complété, le docteur le posa sur une pile de document et se leva aux fins de se nettoyer vigoureusement les mains. Dans la pièce d’à côté, il entendit Rachele s’agiter et ne put s’empêcher d’esquisser un sourire amusé. Prenant le temps de rajuster sa veste, il pénétra dans la petite pièce adjacente, et contemple la nudité virginale de la jolie petite blonde. Malgré sa position obscène, dégradante, la petite gardait quelque chose de noble et d’altier qui l’excitait terriblement.

« Shhh… », souffla-il, d’une voix apaisante. « Tout va bien Rachele. Nous sommes seuls à présent. Juste toi et moi. Nous allons pouvoir procéder à la première étape du traitement. » se faisant, l’homme s’est rapproché, posant sa main tiède sur le ventre plat de l’adolescente. Parfois, dans l’esprit du docteur, se confondait réalité et mensonge ; quelque part, il était réellement persuadé que Rachele avait besoin d’un traitement contre l’hystérie. Mais s’il avait renvoyé tout le personnel, c’était en connaissance de cause : il allait prendre la virginité de sa petite sœur adorée, et cet acte impie lui appartenait, et à lui seul. Embrassant la blonde chevelure de la jeune fille, il s’empara d’une seringue à l’aide de laquelle il puisa le liquide contenu dans le flacon rosâtre que Rachele avait pu apercevoir. « Cette substance n’altèrera pas trop tes capacités cognitives. Il s’agit d’un décontractant musculaire pour détendre ta vulve. » L’homme parlait doucement, d’une voix grave et posée mais une lueur démoniaque brillait dans son regard. Une grosse bosse déformait déjà son pantalon et poussait sur sa blouse.

« Allons, ne faites pas l’enfant et ne bougez pas. Il ne faudrait pas que l’aiguille se brise dans votre bras », la sermonna-il, avant de lui injecter le sérum par voie intraveineuse. Il avait choisi de ne pas l’abreuver d’un nouvel aphrodisiaque car il souhaitait que Rachele se perde elle-même. Que son esprit la corrompe et qu’elle jouisse malgré elle des obscénités qu’il avait bien l’intention de lui faire subir. Rachele en effet, n’était pas n’importe quelle pensionnaire. Elle était sa sœur, et malgré son insanité, il l’aimait profondément. « Malgré le décontractant, vous risquez d’avoir mal, ma puce. Mais ne vous inquiétez pas, cela fait partie du processus de guérison. » Par ailleurs, Antony avait noté que la douleur était érotogène chez sa cadette, ce qui n’avait rien de particulièrement étonnant. Mais il s’abstient de le lui préciser. S’éloignant vers un porte-manteau accroché au mur, il ôta sa veste blanche, puis son gilet de soie avant de revenir vers la jeune fille entravée. Dé zippant soigneusement la fermeture éclair de son pantalon, il en sorti une queue veineuse, d’une taille et d’une épaisseur surréaliste. Le docteur Howards aurait-il eût recours à ses talents pour se doter d’un appendice aussi monstrueux ? Nullement. La nature, ou plutôt le diable, l’avait doté d’un pénis aussi colossal que sensible, qui crachait des quantités étonnantes de foutre. Saisissant son odieux pénis dans sa main droite, l’homme s’approcha du fauteuil et présenta sa queue devant le visage de la captive, avant d’en écraser le gland poisseux sur sa petite joue rose, déposant un peu de foutre tiède. « Comme tu peux le constater, elle est aussi épaisse que ton avant-bras, ce qui ne nous facilitera pas la tâche. » Sir Howard s’efforçait de garder un ton docte, mais ses mots étaient entrecoupés de légers halètements, et son regard s’était troublé. Ecartant une mèche rebelle du beau visage de sa sœur, il tapota sa queue sur ses lèvres entrouvertes. Naturellement Rachele devait être absolument horrifiée.

« Maintenant, tu vas la sucer sagement. La salive la lubrifiera suffisamment pour que je te foute. »

Nonobstant ses récriminations, il enfonça l’extrémité de l’énorme queue entre ses petites lèvres ourlées. « Une morsure serait naturellement sévèrement punie », ajouta-il, pantelant. Son cœur battait la chamade, alors qu’il accomplissait l’interdit fondamental de la plupart des sociétés ; l’inceste. Oh, comme cela pouvait être grisant de violer la bouche de sa cadette !

Sir Howard, tout à son plaisir, ignorait qu’il était observé. Sol en effet, observait la scène du couloir à travers la vitre sans teint qui couvrait le flanc de la pièce. Il massait vigoureusement son propre pénis, qui n’avait rien à envier à celui de son maître et soupirait d’aise. Si le maître le surprenait en train de se branler sur sa sœur cadette, il le ferait sans doute fouetter, mais il n’en avait cure. Bientôt, l’esclave sorti carrément sa queue. Il avait résolu qu’avec, ou sans l’avis de sir Howard, il jouirait du petit corps gracile de la pensionnaire. Ne craignant véritablement que Sir Howard, il se souciait peu de se faire surprendre par d’autres membres du personnel, ce qui toutefois était inévitable.

A une trentaine de kilomètres de là, dans sa propre demeure, Matthew Cromwell se languissait de son aimée. Il y avait des jours qu’il n’avait eu de ses nouvelles, malgré ses missives, dans lesquelles il l’assurait de son affection. Etait-elle souffrante, ou bien cela avait-il quelque chose à voir avec son frère ? Lord Howards était en effet un personnage que Matthews trouvait inquiétant, malgré les railleries de son entourage, qui le trouvaient tout à fait charmant. Matthew en effet, avait l’esprit plus vif que ne le laissait penser son caractère aimable et son apparente insouciance. Du haut de ses vingt-deux ans, il s’acquittait parfaitement de sa charge d’argentier et était apprécié pour sa rigueur et son professionnalisme. « Ma foi », se dit-il, en finissant une tasse de thé refroidi, « Si je ne reçois point de billet de sa part avant la fin de la semaine, j’irai moi-même affronter Lord Howard. Et je lui demanderai la main de sa sœur », conclut-il, avec l’optimisme de la jeunesse.

Rachele Florenza

Humain(e)

Re : Victorian Age

Réponse 6 lundi 14 août 2017, 15:37:07

Quand le maléfique directeur pénètre dans la salle de consultation, Rachele se met à rougir en le voyant dévisager sa vulve. Elle détourne le regard et dit d'une voix implorante.


- Frère... je vous en supplie... dite leur que je ne suis pas folle... libérez moi... c'est... c'est inconvenant, une femme de ma condition ne devrait pas subir ça...


Dit elle en tentant de rester droite et digne malgré la camisole qui lui moule odieusement les seins et ses jambes grandes écartés par l'étrier.

- Shhh... Tout va bien Rachele. Nous sommes seuls à présent. Juste toi et moi. Nous allons pouvoir procéder à la première étape du traitement.

Il la toise de ce regard fou qui lui fait si peur, peur au point qu'elle aurait préféré qu'une autre personne soit la dans cette pièce malgré sa nudité et sa posture pornographique.

- Quel traitement ?! Pour quelle maladie ?! Anthony mon frère je ne suis pas folle ! Je vous en supplie libérez moi...

Lui crit elle alors qu'il s'approche d'elle. Quand il pose une main sur son ventre et lui caresse les cheveux, elle se débat et essai de fuir son contact en penchant la tête sur le côté.

- Ne me touchez pas ! C'est répugnant, impie, n'avez vous pas honte ? Je ne suis pas une fille de mauvaise vie et... que... qu'es ce que vous faite ?

S’interrompt t'elle en le voyant planter l'aiguille de sa seringue dans un flacon. Elle écarquille les yeux de peur et sursaute en voyant le petit jet de produit gicler de la pointe quand le docteur chasse les bulles d'air.

- Cette substance n’altèrera pas trop tes capacités cognitives. Il s’agit d’un décontractant musculaire pour détendre ta vulve.

"Pas trop ? Mais que veut il dire ? Que va t'il me faire ?!" Se demande t'elle intérieurement. Alors qu'il approche avec sa seringue Rachele se débat dans sa camisole, faisant involontairement trémousser sa poitrine. Le regard d'Anthony la terrifie.

- Non ! Non pitié mon frère ! Pas ça... je ne suis pas folle ! Pitié !

Allons, ne faites pas l’enfant et ne bougez pas. Il ne faudrait pas que l’aiguille se brise dans votre bras

Se contente t'il de lui répondre. A cette éventualité, Rachele s’immobilise, la peur de la mort et l'instinct de conservation la paralysant. Pendant qu'il passe une lingette alcoolisée sur son bras, elle se tend de tout son corps, crispée de peur et appréhension, elle sanglote.

- Non... non... pas ça... je ne veux pas... je ne suis pas folle... je... hô...

L'aiguille vient de percer sa peau et s'enfonce dans une veine pour diffuser le mélange de décontractant musculaire. A mesure qu'Anthony presse le piston, Rachele sent la substance inonder ses veines et remonter vers son coeur et son cerveau.

- Hoooooooo...

Les iris de la jeune femme s'ouvre légèrement et ses yeux papillonnent langoureusement à mesure que le monde se calme autour d'elle, que tout ralenti.

Sous ses doigts, Anthony sent Rachele se détendre, sa tétanie balayée par le produit, elle se décrispe et épouse à nouveau les contours de sa table d'opération. Ces petits pieds, agités jusqu'ici de soubresaut alors qu'elle luttait pour se libérer, retrouvent leur galbure princière.

Sa respiration se calme et devient profonde et forte, gonflant ses seins à chaque inspiration. Perdue dans cet étrange état de conscience, elle essai de faire le point sur quelque chose, de retrouver le fil de ses pensées, mais c'est trop difficile, et elle se sent si bien; pourquoi faire un effort ?

Entre ses jambes, Anthony remarque que la décontraction, le bien être provoqué par sa substance, et la douleur de la piqûre et de l'injection ont provoqué une légère excitation de la damoiselle. L'interstice de sa vulve virginale brille à la lueur des lampes, preuve qu'elle est couverte d'une fine pellicule de cyprine.

- Malgré le décontractant, vous risquez d’avoir mal, ma puce. Mais ne vous inquiétez pas, cela fait partie du processus de guérison.

Elle essai de le regarder, de capturer son visage ou au moins ses yeux, mais elle arrive à peine à lever la tête ou à la bouger.

- M... M... mal ? Pour... quoi ? Mal ? Comprend pas...

Dit elle d'une voix hasardeuse et traînante. Elle ne comprend pas, et c'est encore plus difficile pour elle de réfléchir alors que son cerveau et ses muscles se gorgent de cette substance qui les affaibli. Elle ne comprend pas de quoi il parle, et cela, c'est plus de la faute de son éducation.

Quand Anthony revient vers elle, son regard se pose et bloque sur son chibre énorme et turgessant. Elle en reste bouche bée, c'est la première fois de sa vie qu'elle voit le pénis d'un homme. Bien que perturbé par l'injection, son esprit se met à travailler pour comprendre à quoi cela peut bien servir. Es ce un arrosoir ? Un clef pour ? Soudain, elle réalise, elle repense à la forme de son propre sexe, à l'étrange cavité dont elle n'a jamais compris l'utilité, soudain, elle comprend. Si Dieu l'a affublée d'une serrure à cet endroit, c'est parce que les hommes ont une clef à la place, pour les visiter.

- Comme tu peux le constater, elle est aussi épaisse que ton avant-bras, ce qui ne nous facilitera pas la tâche.

D'abord choquée que son frère la tutoie comme une simple travailleuse de bordel, elle reste abasourdie de sa découverte, et n'arrive pas accepter que son frère puisse vouloir lui faire ça. Elle comprend maintenant comment une femme perd sa virginité, et elle sait aussi pourquoi cela est irréversible...

- Frère, arrêtez ceci tout de suite, c'est un péché ! Je suis votre sœur et nous ne sommes pas mariés. Pitié... ne touchez pas à ma virginité. Je dois rester vierge jusqu'au mariage. Je ne pourrais jamais épouser l'homme que j'aime si je ne le suis pas pitié...

Mais au lieu de se raviser, il monte jusqu'à son visage et commence à tapoter son énorme viée contre ses joues et ses lèvres. Prisonnière du poison qui coule dans ses veines, Rachele essai lascivement de fuir ce contact en fermant la bouche de dégoût. Dégoût qui n'échappe pas à son frère. Une fois encore, elle ne comprend pas ce qu'il veux faire.

- Maintenant, tu vas la sucer sagement. La salive la lubrifiera suffisamment pour que je te foute.

Elle r'ouvre les yeux vers les siens et l'interroge et le supplie du regard. A nouveau, Anthony comprend a quel point elle a toujours été tenue loin des affaires du sexe dans son couvant. Elle ne comprend même pas qu'un pénis, organe qu'elle découvre à peine, puisse etre sucé par une bouche. Sucer, saliver, lubrifier, se faire foutre, elle ne comprend pas un traître mot de ce qu'il dit tans elle est étrangère à cela.

- Non pitié je Gaaaal !

Le directeur profite des supplications de sa soeur pour forcer le passage de sa bouche. Complètement empoisonnée par le décontractant musculaire, elle n'arrive pas à le repousser. Elle n'a plus de force dans son cou pour fuir son étreinte, elle n'a plus suffisamment de force dans les lèvres pour repousser ce chibre colonisateur.

- Une morsure serait naturellement sévèrement punie

En disant cela, il sent qu'elle essai de le mordre pour le faire sortir, mais encore une fois, il a parfaitement bien dosé sa drogue pour que sa soeur ne puisse pas se défendre ou lui faire mal. Elle essai de refermer péniblement ses mâchoires une fois sur sa hampe pour l'arrêter, mais Anthony ne sent presque rien si ce n'est qu'elle à désobéis. Il s'enfonce alors plus profondément en elle et çà la jeune femme ne peut tout simplement plus refermer la bouche tans la queue de son frère est énorme. Le goût est salé et amer, la texture chaude et dur, petit à petit, Rachele comprend la nature impie du sexe, elle se sent avilie, humiliée au plus haut point, réduite à l'état de prostitué maintenant qu'elle comprend ce que ces femmes vendent.

Elle le toise avec horreur, ses yeux de jeune femme tout juste sortie de l'adolescence, de pucelle découvrant le sexe, lui lance des regard horrifiés et dégoutté.

- Gaaaaaa ! Guuuuuuu !

Hurle t'elle alors qu'il prend sa chevelure entre les doigts pour faire venir sa tête d'avant en arrière sur sa queue. Les bruits mates et gluants de son gland cognant au fond de sa gorge, de sa hampe qui coulisse entre ses joues et sa langue emplissent la salle.

N'aillant pas encore été victime de l'opération cérébrale développé par un confrère de l'établissement permettant aux femmes de jouir par la félation, Rachele ne ressent que répugnance et révulsion à l'égard de ce que lui fait son frère. Incapable de se débattre ou de résister à cause des décontractants, la bouche grande ouverte, la langue pendue et écrasée par son chibre, elle lui témoigne par le regard tout ce qu'elle ressent à son sujet.

--- Derrière la vitre sans teint, dans l’observatoire ---

Tout à son plaisir, Sol, le pénis tendu et sorti de son pantalon pour se faire plaisir, admire le spectacle de la petite aristocrate suppliant son frère avant de se faire déflorer la bouche. Au bout de quelques minutes de se spectacle, il entend gémir doucement derrière lui. Un mince sourire fend son visage gigantesque, il ne prend même pas la peine de se retourner, il sait très bien qui l'a fait. Derrière lui la ravissante Carmen a pris place pour profiter elle aussi à la scène.

Surprise par la présence de Sol à cet endroit, elle y est entrée pour comprendre ce qu'il faisait avant de lever son regard vers la vitre. Incapable de se retenir ou de se contrôler depuis que le Docteur Howards lui à brûlé les neurones à coup d’électrochoc, elle n'a pu résister à la vue de la sœur du maître se faisant ainsi malmener.

Sol n'est pas idiot, loin de là, il a bien vue les regards plein de désirs que lançait Carmen à Rachele. Il a vue ses petites attentions, et surtout, il sait que la belle gouine nymphomane à du rester sur sa faim après avoir fait connaitre à la prisonnière son premier orgasme. Lentement, il se retourne vers elle et lui lance un regard de connivence. Seul, il ne parviendra peut etre pas à trouver un  moyen d'avoir Rachele, mais avec une alliée qui la désire autant que lui, tout devient possible.

Carmen, ne supportant  plus la frustration de devoir simplement regarder son maitre profiter de sa nouvelle patiente, pousse un gémissement de colère. Son regard se pose sur celui du noir, et elle comprend immédiatement ce à quoi il pense et un plan commence à germer dans sa tête aussi.

- Oui... moi aussi je la veux...

Lui dit elle simplement, vibrante de désir, pour sceller leur alliance silencieuse.


--- Au Manoir Cromwell ---

- Si je ne reçois point de billet de sa part avant la fin de la semaine, j’irai moi-même affronter Lord Howard. Et je lui demanderai la main de sa sœur.

- Ne vous donnez pas cette peine mon Frère.

Lui répond Emilie Cromwell, sa soeur cadette de vingts ans en pénétrant dans son bureau avec ses bottes de cavaleries encore crottés et sa tunique de cuir qui sié normalement à un homme, un palefrenier qui plus est.

Emilie/Eline:

Véritable garçon manqué, Emilie n'en est pas moins une femme absolument ravissante et bien faite qui à toujours refusé les avances de tout les prétendants pour vivre une vie d'aventure et de danger. Protégée dans ses frasques par un père aimant et ne voulant pas voir sa fille devenir comme sa femme, une vieille dame aigrie et prude, il lui à laissé vivre sa vie.

Au cours des soirée organisées dans la haute société, elle était tombé amoureuse d'une autre femme, elle même troublée par son homosexualité, une certaine Carmen...

Un soir, les parentes de celle-ci les avaient surprises en train de s'embrasser amoureusement. Ils avaient alors chassé Emilie de chez eux en promettant à son père de garder le secret pour les protéger du scandale. Mais sa bien aimée fut internée par sa propre famille à l'Asile du dit Anthony Howards, et elle ne l'avais plus jamais revue.  Depuis ce jour, elle soupçonne le directeur des lieux de faire du mal à ses patientes, l'émoi de son frère étant un prétexte parfait pour enquêter sans jeter l' opprobre sur sa famille, elle argumente:

- Laissez moi faire mon enquête, je trouve le comportement de notre futur beau père étrange. Je vais aller m'installer chez pendant deux ou trois semaines pour comprendre de quoi il retourne. Je vous dirais ce qu'il en ai, ou vous rapporterais moi-même votre bien aimée.

Sachant très bien qu'il ne parviendra pas a faire changer d'avis sa soeur, le jeune argentier accepte en opinant de la tête et en buvant une nouvelle gorgée de thé.

- J'imagine que tu ne part pas avec plus d'une valise... comme toujours...

Eline lui sourit et monte dans sa chambre préparer son sac de voyage. Elle partira le lendemain pour l'Howard's Manor.
« Modifié: jeudi 20 août 2020, 12:14:25 par Rachele Florenza »

James Howlett

E.S.P.er

Re : Victorian Age

Réponse 7 dimanche 20 août 2017, 10:45:16

Sol n’était pas muet de naissance. Sa langue lui avait été arrachée par un négrier portugais à bord d’un galion qui l’emmenait sur le vieux continent. Avant cela, Sol parlait beaucoup, presque trop et son éloquence avait manqué de provoquer un soulèvement à bord du navire. Il était parvenu à s’enfuir en se jetant dans l’eau noir, à une heure des côtes portugaises. Par un concours de circonstances improbables, il avait fini par entrer au service d’Anthony. Antony dont il connaissait tous les secrets. Il n’avait jamais réellement songé à le trahir, l’homme lui ayant offert le gite, le couvert et le giron de certaines pensionnaires, mais la virginale Rachele lui donnait envie de faire entorse à son allégeance. L’alliance muette qu’il conclut avec Carmen est scellée lorsque la jeune femme saisit son énorme phallus entre ses doigts fuselés et le masturbe vigoureusement, sans quitter Rachele des yeux.

Derrière la vitre sans teint, Anthony, en bras de chemise, viole la gorge de sa cadette. Son énorme chibre veineux coulisse désormais entre ses lèvres déformées par l’épaisseur de l’intrus, de petites larmes de rage et d’impuissance, coulant sur ses joues roses. La colère, l’impuissance et le dégout se lisent dans ses beaux yeux bleus, alors que son frère écrase sans pitié ses couilles pleine contre son menton. Mais c’est exactement ce que veut Antony. Car il sait que d’ici quelques jours, l’adolescente sera devenue nymphomane, de gré ou de force. Le couvent avait beau avoir gelé ses émois virginaux par la foi, le sang de la famille Howards reprendrait le dessus. Car ce que ne savait pas Rachele, c’est qu’Antony n’était pas le seul membre de sa famille à souffrir de troubles sexuels. Le directeur de l’asile avait en effet lu, des années plus tôt le journal de son père, dans lequel il expliquait prier Dieu chaque jour, pour lui ôter ses pensées impures. Sur des années, il décrivait les orgies auxquelles il avait participé, les esclaves qu’il avait violés, les femmes qu’il avait payées. Il avait cru trouver son salut dans la dévotion et la prière, mais ses besoins sexuels n’avaient cessé de le tourmenter jusqu’à sa mort.

Antony croyait à l’hérédité et était persuadé que le vice courrait dans le sang des Howards, un peu comme les Rougon-Macquart de Zola. Se vautrer dans l’ordure étant de toute manière une fatalité, le docteur avait choisi d’embrasser sa destinée avec joie.

« Tais-toi ma sœur, où il t’en cuira », grogne l’odieux personnage, alors que sa grosse main explore son corps tiède et gracile, agaçant ses tétins, glissant sur son abdomen, puis sur sa vulve exposée. De ses doigts, il l’écarte pour en faire sortir un clitoris déjà gonflé, malgré la fureur et le dégoût de la blondinette. Une des lois terribles de la nature est que le corps ne peut mentir. Quelque part au fond d’elle, Rachele aime se faire violenter. Simplement, elle ne le sait pas encore. Et c’est lui qui lui fait l’honneur de la guider vers la jouissance, vers l’ordure et le stupre. De la pulpe de son majeur, il écrase son clitoris, le martyrise en le faisant rouler de gauche à droite alors que son chibre palpite entre les lèvres de la vierge, déjà prêt à décharger. « Catin », grogne-il, entre ses dents serrées. Ses coups de reins deviennent brutaux, irrégulier. Le sang bat ses tempes et il commence à transpirer, grognant comme un animal en rut, ce qu’au fond, il est. « Hmm, hmmm… » Soudain sa main ses crispe sur la cascade de cheveux dorés de Rachele, alors que son énorme vit s’agite de violent soubresaut, avant d’expulser des monceaux de foutre brûlant. L’homme hurle sa jouissance sans réserve, ses yeux rivés à ceux de Rachele, étouffant sa cadette de sa semence qui s’échappe de ses lèvres pour couler sur son menton, alors qu’elle produit des borborygmes étouffés. 

Lorsqu’enfin il se retire, pantelant, le sexe a demi-débandé, il n’a pas un regard pour Rachele, épuisée et meurtrie. Il saisit le calepin qui se trouve dans la poche de sa blouse et note les réactions de Rachele.

« Comme attendu, dégoût, colère, incompréhension du sujet. Ne maîtrise pas, ni ne comprend sa propre excitation. Aucune appétence identifiée pour les phallus. A travailler. Clitoris très sensible. »

Il s’empare ensuite d’une seconde seringue et d’un flacon remplit d’un liquide transparent dont il la remplit avec précaution. Puis, au grand étonnement de Rachele, il la plante dans son bras sans sourciller. Il s’agit d’un stimulant sexuel moins dosé que celui qu’il a administré à la jeune femme quelques heures plus tôt, mais suffisant pour le remettre rapidement d’aplomb. Son gros sexe débandé se gorge à nouveau de sang alors qu’il laisse échapper un grognement d’aise et que ses pupilles se dilatent. Il contemple un instant la beauté virginale entravée, ses cheveux en désordre, sa bouche entrouverte, débordant de semence, puis se penche au-dessus d’elle, alors qu’une dizaine de kilomètres plus loin, Eline scellait son destin en préparant sa valise.

« Il est grand temps, ma chère. » Le sexe brûlant du directeur repose sur le ventre de la jeune fille, ses deux mains sont crispées sur le cuir du fauteuil. Dans sa frénésie, Anthony pensait l’instant solennel, presque sacré. Sa cadette allait recevoir l’onction de son foutre dans ses entrailles. « Soyez sage, Rachele, la douleur est un passage obligé vers la jouissance », souffla-il, alors qu’il saisissait sa queue, pour écraser son gland violacé contre sa vulve, et l’y frotter sans douceur. « Hmm… » Puis il poussa. Sans violence, certes, mais inexorablement, déchirant son hymen. Il n’eut pas enfoncé la moitié de son vit en elle qu’un peu de sang dégoulinait le long de sa hampe. Il n’y avait bien sûr rien d’anormal à cela, et si Rachele avait mal, cela était moins lié à la rupture de la membrane qu’à la taille obscène du sexe de son frère. Et l’odieux personnage de pousser plus avant encore, jusqu’à que ses bourses ne s’écrasent contre la vulve dilatée. « Vous voici prête, enfant. Prête à endurer mes assauts », lui souffle-il avant de lui caresser la joue du revers de sa main. La Bête gronde en lui, et son gros chibre vibre d’impatience. Ecartant du visage de Rachele, quelques cheveux rebelles collés par la transpiration, il presse ses lèvres contre les siennes, glissant sa langue en elle, alors que se meut son bassin, et que sa queue se retire pour l’emplir à nouveau. Le souffle court, les yeux exorbités Anthony grogne de plaisir ; il y a bien longtemps qu’il n’a pas pénétré une femme aussi étroite, malgré les drogues sophistiquées auxquelles il a parfois recours pour contracter les orifices malmenés de ses partenaires.

Bientôt Anthony s’oublie, baisant Rachele comme s’il s’agissait d’une putain de bordel, percutant la pauvre jeune femme de plus en plus brutalement, produisant d’obscènes bruits de succion, à peine couverts par les cris et les gémissements de l’adolescente meurtrie. Derrière la vitre sans teint, la main de Carmen s’agite sur la grosse queue noire, faisant grimacer, puis grogner l’intéressé, qui reste néanmoins de marbre, alors que l’orgasme s’approche, inexorablement.

Rachele Florenza

Humain(e)

Re : Victorian Age

Réponse 8 lundi 28 août 2017, 13:39:23

--- Derrière la vitre sans teint ---

Carmen à déjà un plan, un plan qui va fonctionner à coup sur. Elle travail avec son bon docteur depuis suffisamment de temps pour connaitre ses passions, ses recherches et ses interrogations. Elle sais qui garde les clefs des chambres et des armoires à pharmacie ou là où elles sont cachées. Il ne lui manque plus qu'une diversion, et pour cela, elle sait qu'elle devra payer de sa personne. Car il n'y a qu'une seule chose qui puisse encore surprendre le Docteur Howards à son sujet, et il va falloir qu'elle le lui donne si elle veux avoir la chance de profiter de sa soeur...

Elle plisse les yeux et réprime un frisson de dégout en y pensant et se réconforte en se plongeant dans la contemplation de la belle captive, les seins nus et les mains liés en dessous, comme elle à son arrivée. Soupirant de bonheur à l'idée qu'après quelques semaines de traitement, elle sera aussi soumise et détruite qu'elle. Mais en attendant, elle la veux pour elle toute seule, et cèle son alliance  en prenant la queue monumentale de son conjuré dans la main.

--- Dans le cabinet du Docteur Howards ---

Rachele pousse de long hurlements du fond de la gorge à mesure que le pénis de son frère lui élargie l'œsophage et lui écarte les mâchoires. Quand les testicules du violeur frappent finalement son menton et que son nez caresse la base du pubis de celui-ci, Anthony assiste à son premier triomphe.

Sa sœur,la mâchoire grande ouverte, les yeux totalement écarquillés par l'horreur, fixe le fin liserai de poil qui descendent vers le chibre de son frère alors qu'il lui maintien la tête en une première et douloureuse gorge profonde. La peau de son visage rougit et ses lèvres prennent une teinte vermeille. Son cou, gracile et noble, est déformé par une longue bosse qui descend vers sa poitrine là où la bite de son tortionnaire s'est confortablement installée. A mesure que l'air lui manque, ce vermeille parfait se mélange à un violet délicat.

Au moment où la tête commence à lui tourner et où la jeune femme pense sa dernière heure arrivée, le sexe de son frère ressort et lui laisse à peine quelques secondes pour reprendre son souffle avant de s'enfoncer de nouveau en elle, provoquant de nouveaux gémissements d'horreur et des bruits gluants de déglutition.

Il recommence à l'étouffer, le corps frêle et sans défense de Rachele convulse et se débat pour échapper à cette torture. Mais la seule victoire qu'elle obtiens est de prendre de nouvelles remontrances de son frère. Elle sent qu'elle va enfin perdre pied, quand soudain le contact des doigts chaud et long du maléfique docteur sur son corps vierge la font sursauter et hurler de nouveau du fond de la gorge. Etouffé par la chaire de son sexe, le cris se transforme en véritable grognement de refus.

Jamais aucun homme ne l'a touché, même son père ne la prenait jamais dans les bras. En cette époque, les hommes et les femmes de la haute société ne se touchaient pas, pas même quand ils étaient mariés, ne partageant que de rares étreintes pour enfanter de nouveaux héritiers. Les sensations qu'elle éprouve quand la pulpe grace des doigts de son frère s'attardent sur ses tétons la révolte et la déstabilise, elle ne sait plus en quoi elle doit croire, c'est à la fois si bon, et si répugnant.

Mais cela ne fait qu'empirer quand ses doigts descendent finalement vers sa petite vulve encore intacte. Avec la dextérité d'un medecin ginécologue, le docteur lui écarte les lèvres et remonte vers son clitoris. Rachele voudrait réagir avec violence, sursauter, envoyer un coup de hanche, de toute ces forces, pour chasser la main baladeuse de son frère, mais son corps reste détendu et obéissant. Grognant toujours plus fort d'horreur et de refus, elle le sent remonter tranquillement entre ses cuisses ouvertes et accueillantes sans que même un de ses orteil ne se crispe.

Ses doigts fouillent alors entre les plis de sa chaire et en extirpent son petit bouton d'amour encore innocent.

- MMM !

Gémit elle contre la bite d'Anthony qui commence à aller et venir de manière saccadée. Prisonnier de ses doigts experts, une première vague de plaisir et d'excitation irradie de son clitoris et lui embrase les reins. Involontairement, ses yeux se plissent légèrement comme ceux d'une femme sans complexe qui jouit de ce qu'on lui fait. Il la fait rouler contre la pulpe de ses doigts et chaque pression chaque étirement reproduit cette sensation extraordinaire et l'amplifie.

Rachele se remet à pleurer en se répétant au plus profond d'elle-même:
"je ne suis pas une catin... je ne suis pas une catin... je ne ressent pas tout ça... c'est un cauchemar... un cauchemar..."

L'horreur passe alors un nouveau cape. Anthony se met à crier et empoigne vigoureusement la chevelure de Rachele pour l'empaler sur sa queue au moment il commence à jouir.  Un flot brulant et salé commence soudain à déferler dans sa gorge sans qu'elle puisse le recracher. Rachele voudrait hurler, elle voudrait gémir ou grogner, mais le liquide englouti avec lui l'air de ses cordes vocales. Dans un silence uniquement percé des cris du violeur, sa petite sœur lui lance un regard plein de stupeur et incompréhension de ses grands yeux écarquillés. Ses lèvres pulpeuses scellées autour de la bite d'Anthony coiffent la base de sa hampe de la plus érotique des manières pendant que de longs bruits de déglutitions accompagnent les petites boules qui descendent le long de son cou.

Quand il ressort enfin, Rachele se met à tousser comme si elle avait bue la tasse et cracher tout ce qu'elle peut. Mais les seuls goutes de sperme qui n'ont pas fini dans son estomac sont celles qui coulent sur son menton et à la commissure de ses lèvres. Elle a envie de vomir de dégout, mais elle n'y arrive pas, son corps, toujours parfaitement bien détendu n'en ressent pas le besoin et elle sent son estomac gonflé commencer à digérer sagement la semence de son frère.

Ne sachant plus quoi dire, trop choquée par ce qu'elle vient de vivre. Elle n'a pas le courage d'affronter la vue de son frère et la répugnante clef qu'il à entre les jambes. Elle essai de se rassurer en se disant qu'au moins, il ne lui à pas fait du mal en bas, qu'elle pourra oublier tout ça un jour et épouser son bien aimé.

Un bruit de verre brisé attire de nouveau son attention du côté de son frère. Elle se retourne, apeurée à l'idée de subir une nouvelle injection et assiste impuissante au spectacle d'un dément, un véritable docteur Jekyll, qui s'inflige à lui-même un cruel traitement. Sous ses yeux, la clef monumentale de son frère se redresse de nouveau, énorme et luisante de salive et de sperme, dégoutante et odorante.  Quand elle croise son regard, elle le voit sous le plus horrible des jours, et comprend maintenant ce que couvait depuis toutes ces années cet horrible regard.

- Il est grand temps, ma chère.

Rachele bouillonne, elle refuse, elle se sent victime d'une injustice et se hurle à elle-même de prendre les armes, de se défendre, de s'enfuir, de l'empêcher de la faire souffrir de nouveau. Quand il pose son chibre énorme sur son ventre et que son gland vient caresser la peau sensible de son nombril, son instinct de conservation prend le dessus et ordonne à son corps de bouger, de lutter pour sa survie.

Mais rien ne se passe. Le corps de la jeune femme reste calme et inerte, prêt à recevoir son mâle dominant. Sa respiration profonde continue de faire gonfler sa poitrine enserrée dans la camisole avec régularité. Ses pieds restent parfaitement détendus et ouverts. Ses hanches et ses fesses, écartés par les étriés et légèrement basculée vers l'avant à cause de l'inclinaison de la table se sont ouvertes et élargies sous le poids de leur propre corps, offrant un accès total à ses deux orifices et la possibilité de les pénétrer jusqu'au bout.

- Soyez sage, Rachele, la douleur est un passage obligé vers la jouissance.

Le corps toujours prêt à l'accueillir malgré son refus, Rachele regarde terrorisée son frère empoigner sa queue pour en présenter le bout devant ses petites lèvres.

- Non ! Non pitié mon frère pitié ! Je dois rester vierge ! Je dois HA !

D'un violent coup de rein elle le sent s'enfoncer en elle. Elle sent cet énorme morceau de chaire palpitante et dur la déchirer et s'enfoncer toujours plus loin en elle, comme un énorme tronc d'arbre qui lui écarte les entrailles. Elle regarde le spectacle insoutenable du corps de son frère qui disparait en elle et une petite giclée de sang souiller ses cuisses.

- Naaaannn...

Gémit elle de souffrance , de plaisir et de désespoir en le sentant progresser en elle et la transformer en femme, détruisant son droit à un mariage heureux et pur, la salissant aux yeux de dieu par le pécher véniel. Il continue sa lente progression, ouvrant un passage dans ce vagin ferme et neuf, lui procurant d'innombrables sensations nouvelles, des douleurs jusqu'ici inconnues, bien vite remplacée par autre chose, de plus étrange et perturbant, les premières vagues de plaisir.

Il lui parle, mais elle ne l'écoute pas, trop perturbée par le spectacle auquel elle assiste, le regard rivée sur sa vulve transpercée. Quand il se penche sur elle pour lui écarter les mèches, elle baisse la tête comme un animal prêt à mordre.

Quand il essai de l'embrasser, elle lui crache au visage pour qu'il comprenne toute la haine et le mépris qu'il lui inspire. Le Docteur Howards comprend que même si il parvient à en faire une nymphomane, pour qu'elle devienne son esclave obéissante, il devra aussi détruire son orgueil et sa volonté.

Mais en attendant les décontractant musculaires font bien leur travail et elle ne parvient pas à fuir ses lèvres ou sa langue. Il lui vole un baiser langoureux et profond, visite sa bouche à loisir sans risque, la jeune femme n'a pas suffisamment de force pour le mordre au sang ou le chasser. Quand elle essai, le contact de ses dents délicates sur sa langue ne font que l'exciter encore plus.

Rapidement, Anthony perd le contrôle. Galvanisé par les hormones qu'il s'est lui même injecté, son corps en demande plus, ses testicules se gonflent d'un sperme fraichement produit et presse déjà contre son canal pour venir fertiliser la jeune femme sans défense. Il commence à aller et venir sauvagement, brutalement, au risque de briser le corps de la jeune femme ntout juste dépucelée.

Prise au piège dans un maeltrom de sensations excitantes et douloureuse, Rachele se met à hurler à gorge déployée en implorant Dieu de venir la délivrer, de l'excuser, de lui pardonner, pour un crime qu'elle n'a pas commis.

A chaque aller-retour, son gland s'enfonce toujours plus loin, toujours plus fort, lui écarte toujours plus ses chaires neuves et ferme en créant de nouvelles sensations orgasmiques qu'elle ne comprend pas. Incapable de se crisper ou de se débattre, elle échappe sans le savoir aux douleurs insupportables que provoquerai normalement un tel acte.

Son corps, drogué au point d'en accepter son agresseur comme un cadeau, la fait mouiller pour lubrifier son passage et le rendre de plus en plus praticable pendant que de petites secousses font vibrer son clitoris et remontent le long de ses reins.

Finalement, après plusieurs minutes de ce traitement abominable qui la pousse toujours plus loin, la douleur s'estompe et la chaleur de l'orgasme commence à monter en elle et la prendre par surprise.

- Ha ! Que !? Que m'arrive t'il ?! Je ! Haaa ! Je... ho mon dieu !

Elle lève les yeux au ciel et se remet à crier de plaisir de sa voix cassé et rompue par la fatigue au moment où Anthony voit un liquide chaud et visqueux jaillir entre les lèvres de sa soeur et venir lui salir le bas ventre.

--- Dans la chambre d'Eline ---

Les affaires de l'aventurière sont prête et le cocher à été informé pour le lendemain. Eline enfile sa chemise de nuit et s'installe dans son lit. Avant de souffler sa bougie, elle se tourne vers sa table de chevet et ouvre le tiroir pour en sortir un petit médaillon. A l"intérieur de celui-ci une peinture d'une ravissante jeune femme brune aux traits vaguement hispaniques lui fait un beau sourire. Une foule de souvenirs lui reviennent en tête, les cours de danse avec elle, comme elle était agile et gracieuse. Les cours de musique, son amie était une bien meilleur élève qu'elle, elle jouait si admirablement bien de la harpe. Toutes les discutions qu'elles avaient eu, cette entente, cette intelligence qu'elles partageaient en plus d'un amour naissant.

Eline passe un doigt sur le visage de son amie disparue et murmure:

- Ne t'en fais pas Carmen, je ne t'oublierais pas... je découvrirais ce qu'ils t'ont faite à toi aussi.

Elle souffle sa bougie.

--- Derrière la vitre sans teint ---

Sa jupe d'infirmière remonté jusqu'au dessus des hanches, les jambes grandes écartés, la main du grand noir plaquée sur sa bouche pour empêcher que ses hurlements de jouissance n'alertent tout l'étage, l'infirmière ravagée et nymphomane se laisse glisser sur les cuisses du sauvage pour permettre à sa queue de taureau d'élargir la plissure de son anus pour la sodomiser de plus en plus profondément.

Totalement désinhibée par les traitements du bon docteur, Carmen n'a pas réussi à se contenir, en voyant la petite salope de sœur se faire baiser ainsi et jouir comme elle l'a fait avec elle, elle à craquée. Elle a arrêté de masturber son nouvel allié pour lui accorder une meilleur contrepartie. Assise sur ses cuisses face à la vitre pour ne rien rater du spectacle, elle se cramponne à la nuque de son amant pour monter et descendre le long de son pénis.

James Howlett

E.S.P.er

Re : Victorian Age

Réponse 9 dimanche 03 septembre 2017, 11:02:47

Les yeux mi-clos, tout à son plaisir, Anton viole sa sœur. Son énorme chibre veineux écartèle sa pauvre petite vulve glabre. Entre deux coups de bassin, le docteur observe sa cadette. Elle soufre, évidemment. Mais cette lueur sauvage qui s’allume par moment dans ses beaux yeux bleus, cette petite moue crispée, ces frissons qui agitent son corps tiède et pâle attestent de la femme qu’elle sera bientôt. Anton en est certain à présent, la petite a le mal en elle, tout comme lui. Elle est son âme sœur, la seule femme qui ait jamais mérité son affection. Lorsqu’elle se rebiffe, lui crachant son mépris au visage, l’abject individu s’en amuse, riant à gorge déployée.

« Tu es à moi… Humm… Et à moi seul, mon amour ».

Sous l’emprise de la drogue, l’adolescente ne put lui refuser le baiser qu’il lui vole, goûtant éhontément son propre foutre sur les lèvres souillées de sa cadette. Cet aveu sincère de l’ignoble docteur rend son acte encore plus odieux et il sait désormais, qu’il brûlera en enfer. Car tout aussi fou que cela puisse sembler, le docteur est un protestant convaincu. A mesure qu’il la saillit, son chibre rencontre de moins en moins de résistance, jusqu’à glisser commodément en elle, alors qu’elle piaille sa honte et sa douleur comme une hystérique. Mais les contractions de son intimité ne peuvent mentir, non plus que le rose qui vient colorer ses joues ; la petite ressent les premiers frissons d’un orgasme imminent. Le docteur se penche à son oreille, écrasant l’adolescente de tout son corps musculeux.

« Laisse-toi aller ma puce, laisse-toi submerger. » Lui-même halète comme un chien en rut, la percutant de violents coups de bassins désordonnés. « Jouis… Jouis…JOUIS !», lui crache-il dans l’oreille, alors qu’à son tour elle commence à s’oublier, crispant ses jolies petites mains et ses pieds et que sans réellement s’en apercevoir, elle couine de plaisir. « AAAAH ! » sentant le corps frêle de l’adolescente s’agiter brusquement, Sir Anthony Howard hoquète, incapable de retarder son propre orgasme, jutant de gros jet de foutre dans son sa vulve dilatée. Sa grosse queue vibre alors qu’il continue de la besogner férocement, jusqu’à se vider entièrement en elle. « Humm… »

Derrière la vitre sans teint.

La queue spongieuse du grand noir fichée au fond de ses entrailles, Carmen s'agite, comme une possédée, s’écartelant l'anus sur ce gros gland noir en couinant comme une catin. Ce n'est pas la première fois que le domestique l'encule, le docteur l'y a autorisé. En effet Carmen a développé une telle addiction au stupre qu'il est nécessaire de la sodomiser plusieurs fois par jour pour qu'elle ne sombre pas dans l'hystérie. Mais cette fois, Carmen et Sol savent que cette partie de jambe en l'air avait un goût différent ; celui de la trahison. Et il est délicieux, constate Sol, alors que Carmen s'empale le fion, faisant claquer son petit cul galbé sur ses couilles. Sa cyprine ruisselant de sa vulve entrouverte. Sa main simplement plaquée sur sa bouche, pour les empêcher de se faire repérer, il laisse la pauvre infirmière se baiser tout seule, accueillant avec délices les sensations qui l'assaillent.

Mais lorsque le corps gracile de Rachel s'agite, que sa bouche s'arrondit et que ses yeux se voilent, il n'y tient plus. Posant sa main libre sur les hanches de Carmen, il écrasa ses pectoraux contre ses épaules graciles et se met à mouvoir son bassin. S’il pouvait parler, il la traiterait de sale pute, de truie sans vergogne ou de sac à foutre. Mais il ne peut que se contenter de grogner comme un animal, ravageant rageusement ses sphincters, ses grosses couilles gonflées percutant sa vulve trempée et baveuse. Sans chercher à faire davantage durer les choses – il sait que le lord fera probablement bientôt appel à lui, il gicle abondamment dans l’anus explosé de l’infirmière, trois doigts solidement fichés dans sa chatte. « Gnn… »

De l’autre côté de la vitre, le sauvage a assisté aux orgasmes concomitants du maître et de sa sœur. Il ne peut s’empêcher de sourire en relevant que tous quatre ont jouit au même moment. Retirant sa queue du fion de sa partenaire, il échange avec elle un court baiser, avant qu’elle ne rajuste sa tenue, remontant sa culotte sans égard pour son anus dilaté et suintant de foutre. Après une bonne minute passée étendue sur le corps en nage de Rachel, le maître se redresse, secoue la tête, et s’éloigne du lit. Sol le voit saisir son calepin pour y jeter quelques lignes nerveuses, avant de s’éponger le front avec la manche de sa blouse. Soudain, il lève les yeux dans leur direction et les fixe, à travers la vitre sans teint. Ce n’est pas possible…Songe le sauvage, alors que son cœur s’emballe. Mais au fond de lui il n’est pas surpris. Les talents presque surnaturels de son maître en font quelqu’un d’aussi dangereux qu’imprévisible. Quelques secondes plus tard, Howard esquisse un fantôme de sourire, avant d’inviter d’un signe de main le grand noir à rentrer dans la pièce. Penaud, l’ancien esclave échange un regard avec son amante, avant d’obéir.
 
Quelques heures plus tard.

Lorsque Rachele se réveille, elle n’est plus sur une table d’opération, mais sur un lit douillet. Son lit. La pièce dans laquelle elle se trouve est plutôt spacieuse et cossue. Munie de fauteuil et d’une bibliothèque, il s’agit à peu de choses près de sa chambre… Sauf que ce n’est pas sa chambre, comme l’indique l’absence de fenêtres, et la présence de deux vitres sans teint. L’une en face d’elle lui dévoile un petit cabinet vide, au milieu duquel trône un fauteuil. La seconde, à sa gauche, permet à Antony de l’observer, sans que la réciproque ne soit possible. L’adolescente a été soigneusement lavée rhabillée et même peignée, comme elle peut le constater grâce à un miroir en pied, à côté de son lit.

Dans le couloir, Antony hausse un sourcil, en constatant que sa cadette s’éveille. « Hanna, faites entrer Sarah dans l’autre pièce. Nous allons tester la réactivité de Rachele aux stimilis sexuels visuels. Je vous laisse libre du programme. » La jeune femme hoche la tête et s’approche de sa collègue qui attend près de la porte, le sourire aux lèvres. La jolie blonde porte un uniforme encore plus court que d’habitude, laissant apercevoir le début de son petit cul galbé. Les deux femmes échangent quelques mots, avant que Sarah ne hoche la tête et ne pénètre dans le cabinet.

A présent visible par Rachel, Sarah joue l’innocente, qui ne se sait pas observer. S’approchant de la vitre sans teint comme s’il s’agissait d’un miroir ordinaire, elle fait la moue, observe son joli visage sous toutes les coutures, replace une mèche de ses cheveux derrière son oreille, puis sourit. Se dirigeant vers le siège en cuir qui trône au beau milieu du carrelage, elle écarte largement les jambes, dévoilant une petite culotte en dentelle souillée par la cyprine, alors que le rouge lui monte aux lèvres. Se sachant observée, la jeune femme n’a guère besoin de se forcer pour avoir envie de se branler. Ecartant le tissu pour dévoiler une moule baveuse, surmontée d’une petite touffe de poil blond, elle commence à y fourrager lentement, faisant glisser son majeur sur sa fente humide.

Antony ne peut rien voir de l’endroit où il est, mais il s’en moque pas mal. Les yeux rivés sur sa sœur cadette, le crayon en main, il l’observe attentivement. Les résultats de cette expérience son cruciaux. Ils lui permettront de déterminer a quel point Rachele peut être visuellement excitée…Par une femme. La bisexualité féminine est pour le Lord, un élément indispensable du tempérament de ses pensionnaires.
 
Quant à Eline, si elle choisissait de rendre visite au manoir, elle serait probablement accueillie par Sol, qui assumait notamment les fonctions d’intendant et de gardien de la propriété.

Rachele Florenza

Humain(e)

Re : Victorian Age

Réponse 10 vendredi 22 février 2019, 21:36:59

--- Rachele, Chambre d'isolement n°27 ---

La cervelle encore endolorie et gavé des restes du cocktail de décontractants que lui a administré son frère, Rachele s'éveille difficilement. Elle lève la tête du cousin sur lequel les infirmières l'ont installé et essuie maladroitement un filet de salive qui balafre sa joue. Elle se sent totalement perdue, à t'elle fait un cauchemar ? A t'elle été victime de délire ou d'hystérie comme en parlent les revues scientifiques ?

Elle parcourt cette pièce qui semble si familière, les yeux mi-clos et plein de brouillard. Elle est belle, belle comme une déesse s'éveillant d'un sommeil millénaire et portant son regard sur un monde inconnu. Au bout de quelques minutes d'un flottement bien heureux, la réalité finie hélas par s'imposer à son esprit... Elle n'est pas dans sa chambre, elle n'est pas chez elle, là où elle se souvient d'avoir été avant de se réveiller ici. Par conséquent, tout ou parti de cet horrible cauchemar dont elle a cru se réveiller, est la vérité.

Réalisant cela, elle bondit du lit avant de se rattraper à son sommier, sa tête tourne tellement et ses membres lui semblent si lourd, elle n'arrive pas à garder l'équilibre. Après d'interminables minutes de lutte intérieure, elle parvient enfin à tenir sur ses jambes. Ignorant que son frère l'observe, elle retrousse alors désespérément sa jupe en retenant ses larmes, terrorisée à l'idée de ce qu'elle va découvrir. Mais elle n'a pas le choix, elle doit en avoir le cœur net, elle doit savoir si son frère lui a vraiment fait... Ça...

Une fois ses bas, ses dentelles et son trousseau remonté jusqu'à l'aine, Rachele prend une grande inspiration et passe ses doigts délicats sur sa petite vulve de jeune femme à peine sortie de l'adolescence. Instantanément, le rouge lui monte aux joues, tant de honte que d'émotion, sa sensualité réveillée et exacerbée par le traitement que lui a infligé son frère.

Elle pousse un petit gémissement de malaise et de gêne en écartant ses lèvres pubiennes avec son pouce et son majeur pour glisser son index dans sa fente. Des larme de dégoût et de désespoir roulent sur ses joues quand elle réalise qu'il n'y a plus rien. Son fragile petit imène, sa vertu de jeune fille de bonne famille, le cadeau qu'elle réservait à son futur époux depuis qu'elle avait appris à être femme, n'est plus, son frère le lui a pris...

Soudain, tout lui revient brutalement ! Le thé empoisonné, le piège, le réveil attachée à une camisole de force, les jambes nues sanglées à un étrier. Elle se tient la tête entre les mains et la secoue pour chasser ces images abominables, mais rien n'y fait, elles affluent et brutalisent sa mémoire de scènes abjectes. Elle revoit son bras tendu, le contact écrasant de la courroie de caoutchouc qui le lui enserre et fait saillir ses veines sous sa peau. Elle ressent le froid de la lingette alcoolisée que son frère frotte sur sa peau pendant qu'elle le supplie. La surprise et la douleur de la morsure cruelle de l'aiguille qui pénètre sa chaire. Le flot épais et brûlant qui déferle dans son sang et enfin le coup de grâce, l'instant précis où l'infirmerie défait le nœud de la courroie en caoutchouc et où la drogue se reprend en elle. Cette sensation de bien-être et d'impuissance totale à ce moment-là... Quand son frère en profite alors pour violer sa bouche puis...

Elle refuse de se remémorer cela, c'est trop pour elle, trop odieux, trop impie et surtout... Trop honteux... Car elle se souvient de ce plaisir intense et dévastateur qui finit par l'emporter et elle refuse de l'accepter.

Un événement inattendu se produit alors. Au moment où elle s'apprête à s'effondrer sur le lit pour hurler son chagrin et son indignation, une silhouette apparaît derrière une des vitres lui faisant face. Incrédule, Rachele se frotte les yeux pour faire le point. Non, ce n'est pas le fruit de son imagination, une jeune femme blonde d'une grande beauté vient d'entrer dans la petite pièce en face d'elle. Elle semble être en train de s'admirer elle-même sur le reflet de la vitre et porte une tenue d'infirmière si extravagante que Rachele en a immédiatement le rouge aux joues. En d'autres circonstances, elle se serait contenté de détourner le regard de cette fille de mauvaise vie et aurait passé son chemin, mais là, cette femme est peut-être sa seule chance de sortir d'ici.

Quand Sarah s'éloigne de la vitre et se dirige vers le fauteuil, Rachele mobilise toutes ses forces et se précipite vers la vitre qui les sépare.

- Et ! Vous ! Aidez-moi, je vois en supplie ! Vous me voyez ?! Je suis enfermée ici contre ma volonté par pitié aidez moi ! Allez prévenir la police !!

Crie telle en tambourinant sur la vitre avec ses petits poings serrés. Mais la femme en face d'elle ignore purement et simplement ses suppliques. Pire, elle s'installe confortablement sur le fauteuil, écarte les cuisses pour venir poser chacun de ses talons sur un accoudoir, offrant à la vue de Rachele sa vulve accueillante et mouillé.

- Mais... Mais... qu'est-ce que vous faite ?

Dit la jeune noble en reculant d'un pas, tant surprise que désorienté par ce spectacle. Quand Sarah commence à jouer avec ses doigts en poussant de petits gémissements de plaisir, Rachele porte les siens à sa bouche en écarquillant les yeux.

- Pourquoi ? Pourquoi vous faite ça ?

Chuchote telle avec candeur et innocence à cette blonde dévergondée qui glisse maintenant ses phalanges le long de son petit bouton de chaire rouge gonflé de désir avant de les enfoncer dans sa fente. Rachele recule encore d'un pas et détourne le regard, le visage rouge de honte, sa pudeur de jeune lady anglaise prenant le dessus. Mais Sarah ne cesse pas son jeu pour autant et s'adonne sans retenu au plaisir solitaire en gémissant de plus fort pour que Rachele l'entende même si elle refuse de la regarder.

- Arrêtez par pitié... Arrêtez... Pourquoi ?

Bredouille telle à nouveau en sanglotant. La jeune femme est encore bien trop novice et innocente pour comprendre le sens de ce jeu et le pouvoir aliénant du sexe. Sarah, comme la plupart des membres du personnel féminin de l'asile, avait été comme elle, il fut un temps. Comme toutes les autres femmes de cette époque, le sexe était source de non-dit, d'incompréhension et de peur. Heureusement pour elles, aux yeux du directeur de l'établissement et des médecins fous qu'il avait recruté tout du moins, leurs expérimentations et les traitements qu'ils avaient développés permettaient aux femmes soignées ici d'épouser leur vraie nature et d'atteindre le Bonheur. La jeune femme qui se masturbe devant Rachele avait passé son certificat d'études, elle avait été une "femme savante", sachant lire et écrire, une perle rare pour l'époque, elle avait vouée sa vie à une brillante carrière d'infirmière et espérait même devenir médecin quand elle était entrée au service psychiatrique du Sanatorium. Elle avait été horrifiée elle aussi de voir le sort réservé aux pensionnaires internées dans l'établissement et avait même écrit une lettre au Directeur pour l'avertir des agissements odieux de ses subordonnés. Cette lettre avait été la clef de sa délivrance et la fin de ses tourments d'esprit libre. Le personnel de l'établissement s'était bien occupé d'elle et à force de baise, de partouzes, de drogues et hypnothérapie, était parvenu à la délivrer de ses craintes et de ses idées farfelues pour en faire une esclave sexuelle épanouie. Elle avait oublié comment lire, écrire ou même compter sur ses doigts, on avait dilué sa curiosité et son savoir médical dans un flacon d'aphrodisiaque, mais le jeu en avait valu la chandelle, il suffisait de la voir maintenant, assise sur ce fauteuil, les jambes écartées et la vulve dégoulinante de plaisir pour savoir qu'elle avait gagné au change...

Rachele recule encore d'un pas, horrifiée de voir le visage de Sarah rougir et se tordre de plaisir, perdue dans une contemplation stupéfaite, submergée par des émotions contraires, incapable de savoir si ce qu'elle voyait lui plaisait ou lui donnait envie de vomir. Finalement, alors que la belle blonde derrière la vitre commence à jouir et tacher le sol et son coussin de sa cyprine, la jeune aristocrate détourne le regard, ferme les yeux et se bouche les oreilles pour ne plus entendre ses cris de plaisir. Le diagnostique est clair, la jeune femme semble être hétérosexuelle bien que son jeune âge permet encore à ses goûts d'évoluer, mais elle ne correspond pas à l'archétype bisexuel que le Docteur recherche. Pour parvenir à lui faire aimer les deux sexes, nul doute qu'il va falloir lui infliger une lourde thérapie...


--- Emilie, Devant le Manoir de Rachele ---

Voilà près de quinze minutes que la jeune et belle aventurière a réclamé une audience avec son amie auprès d'une domestique du Manoir et toujours rien. Emilie commence à s'impatienter et tapote nerveusement la tête en ébène de sa canne épée. Stupide comme la souillon semblait l’être en même temps, elle avait sans doute due se perdre dans les couloirs de la demeure, se dit nonchalamment la jeune femme qui fait désormais les cent pas devant le seuil.

Enfin, la porte s'ouvre de nouveau et un homme de couleur immense et musclé se présente sur le pas. Emilie le reconnaît au premier coup d’œil, c'est un des sbires du frère de Rachele, sauf que normalement, il travaille à l' Asile de celui-ci, pas a son manoir... que peut-il donc bien faire ici ? Existe-t-il un lien entre le silence de Rachele, cette étrange réponse qu'elle a présenté à son futur époux et le Sanatorium ? C'est fort probable se dit Emilie, sans rien montrer de son trouble. Mais elle n'a pas le temps d'aller en conjecture ou hypothèses, elle doit transformer les probabilités en certitudes et pour cela, elle doit cuisiner le géant noir.

- J'ai demandé à voir Lady Rachele, pas un autre serviteur de son frère Monsieur. Que signifie tout ceci ?

L'homme ne lui répond pas. Il pousse une sorte de petit grognement en faisant "non" de la tête, puis il écrit sur un petit calepin de papier. Emilie est extrêmement surprise de voir un noir savoir écrire, son maître le lui a sûrement appris pour palier à son mutisme. Il lui présente son petit outil sur lequel il a tracé quelques mots.

"Lady pas au Manoir. Maître travail à Asile"

- Comment ça pas au manoir ? Où est-elle allée et pourquoi ?

Le géant écrit de nouveau, impassible à la colère de son interlocutrice : "Lady souffrante, malade, a la campagne pour soleil et air pur"

En lisant ces lignes, la jeune femme plisse les yeux, elle a enfin sa réponse. Le majordome muet lui ment, la famille de Rachele n'a pas d'amis ou de résidence secondaire à la campagne... Rachele est sûrement en danger, elle a été enlevée, c'est certain, comme Carmen ! À ce sujet d’ailleurs, Emilie décide de tenter le tout pour le tout. Elle sort de son veston un médaillon, les yeux de Sol s'illuminent, il reconnaît ce médaillon, Carmen avait le même quand elle a été internée, le maître avait décidé de le garder dans son bureau comme trophée quand il était parvenu à briser la petite gouine pour en faire une nymphomane folle à lier. Quand Emilie l'ouvre et révèle deux petits portraits, le sien à gauche et celui de d'une Carmen encore "intacte" à droite, Sol ne peut cacher son excitation et réprime maladroitement un tremblement de la main. Il reconnaît sur cette image la Carmen qu'il a connu au début de sa thérapie, elle n'avait pas encore de cernes de fatigues provoqués par ses interminables nuits de baise avec le personnel, ni ses petites cicatrices de brûlure sur les tempes et le front provoqué par les électrochocs qui lui avaient liquéfiée le cerveau.

- Elle s'appelle Carmen, elle a disparue après son internement au Sanatorium de votre Maître. L'avez-vous déjà vue ? La connaissez-vous ?

Emilie pose la question, mais elle sait déjà, elle l'a vu réagir, il n'y a plus de doutes possibles, sa petite amie a été enlevée par le frère de Rachele et elle se trouve sans doute avec celle-ci quelque part à l'Asile !

Laconique, le grand noir fait "non" de la tête, un mensonge qui intervient trop tard pour cacher la vérité, mais il s'en fiche désormais, car ce qu'il vient de voir va lui valoir les éloges et peut être même une récompense de son maître. En effet, celui-ci s'était un jour plaint de ne pouvoir soigner également la femme qui s'était égarée sexuellement avec Carmen et que celle-ci appelait au secoure pendant qu'on lui grillait les neurones ou qui prononçait son nom en bavant de désir quand on la droguait pour la violer plus facilement. Quelle ne serait sa joie quand Sol lui raconterait qu'il l'a rencontré et que celle-ci allait sûrement tenter de s'introduire dans l'Asile...

- Ho... Dans ce cas, je vous remercie. Passez mes salutations à votre maître quand vous le verrez et a Lady Rachele quand elle reviendra... Bonne journée.

Sur ce Emilie prend congé et s'en retourne vers le fiacre qui l'attend fidèlement devant les grilles du manoir. Sa décision est prise, ce soir, elle va s'introduire dans le Sanatorium et délivrer Rachele et l'amour de sa vie Carmen...

De son coté Sol referme la porte, attend en épiant entre les lourds rideaux du manoir que le fiacre d'Emilie s'en aille pour bondir au travers des coursives et quitter la demeure par derrière. Il rédige un simple mot pour son maître qu'il confie a un coursier de confiance : "J'ai retrouvé la petite amie de Carmen, elle va tenter de venir la sauver au Sanatorium, je m'arrange avec le personnel de l'Asile pour sa capture. Je vous la livre quand c'est fait."
« Modifié: jeudi 20 août 2020, 12:15:37 par Rachele Florenza »

James Howlett

E.S.P.er

Re : Victorian Age

Réponse 11 dimanche 24 février 2019, 12:16:56

***Antony Howard, au sanatorium***


Comme l’on pouvait s’y attendre, la pauvre petite Rachele semble fort secouée, bien qu’une bonne nuit de sommeil ne la sépare des monstrueux sévices qu’elle a enduré. A l’entrée de Sarah dans la pièce adjacente, l’enfant bondit, voyant en elle une alliée potentielle. Ah, comme elle se trompe ! Lorsque la jolie Sarah se défroque, c’est la stupeur qui se peint sur les traits de sa sœur cadette. Fuyant le spectacle, elle recule, ses petites mains sur les oreilles, et manque de heurter le fauteuil, alors que Sarah décharge brutalement, son corps gracile s’agitant de spasme alors qu’elle souille le fauteuil d’abondants jets de cyprine tièdes. Comme la plupart des pensionnaires, la petite nobliaude a reçu un traitement hormonal visant à développer ses glandes para-urétrales, et donc « d’éjaculer » de manière relativement impressionnante. Anton se demande si Rachele aura besoin de tels ajustements. Il est toutefois certain, comme il l’a lui-même noté sur son dossier qu’elle produit beaucoup de cyprine.

   Semble assez peu sensible aux plaisirs du beau sexe. Vérifier si la patiente s’est déjà masturbée seule.
   Expérience n°2 : réaction à l’obscénité masculine. Homme nu, masturbation.


Un peu agacé par l’échec de sa première expérience, il ouvre l’un de ses tiroirs et farfouille dans ses dossiers, jusqu’à trouver celui qui lui convient. Lorsqu’il l’ouvre, la photographie d’un beau jeune homme aux cheveux longs. Lucien a été admis deux mois plus tôt sur requête de sa mère, la Duchesse de Raspery, et il est l’un des rares pensionnaires mâles de l’asile. Son homosexualité inquiète beaucoup ses parents, puisqu’il est leur seul héritier. L’hypnose et la stimulation physique par le personnel féminin ont relativement bien fonctionné, mais ses derniers examens montrent que la sodomie reçue et administrée restaient malgré tout les principaux catalyseurs de sa jouissance. Un échec relatif, donc, mais le sujet reste idéal pour cette nouvelle mise en scène, d’autant qu’il a un air de ressemblance avec le soupirant de sa cadette.
« Carmen », rugit-il, impatiemment, en martelant la sonnette en cuivre de son bureau. Lorsque celle-ci pénètre dans son cabinet, elle commence par lui tendre un pli scellé. L’écriture de Sol. Il le décachète rapidement avec un coupe-papier et prend connaissance de son contenu, tout en délivrant ses ordres à la jeune femme.

« Allez me chercher Lucien de Raspery, essayez de lui trouver quelque chose d’élégant et introduisez-le. » Il la congédie d’un simple revers de main, mais ne laisse pas retomber son bras, fronçant les sourcils. Sol ades nouvelles tout à fait excellentes. Ainsi, l’amante secrète de Carmen est Emilie Cromwell, la sœur du soupirant de Rachele ! « Incroyable », murmure-il, en se passant la langue sur les lèvres. « Monsieur ? » Plantée en face de lui, Carmen n'a pas bougé, attendant probablement des ordres supplémentaires. L’air mauvais, Anton sonde son regard. Le sceau n'a pas été brisé, donc elle n'a, a priori pas pu prendre connaissance du contenu du message. Mais si tel était le cas, peut-il compter sur sa loyauté ? « Hmm. Oui. Administrez au sujet une dose de stimulant SB-8. Il est important qu’il éjacule en grosse quantités. Vous pouvez disposer. »

Lorsqu’elle sort, Anton observe sa sœur avec affection. Bon sang ne saurait mentir. Derrière ses manières gracieuses et cet adorable minois, se trouvait une femme animée par la volonté légendaire des Howards. Mais là où Antony utilisait cette détermination dans vice, Rachele l’employait à protéger sa vertu, à se prémunir de la lubricité de sa chair. C’était presque admirable si ce n’était pas aussi frustrant. L’odieux docteur s’approcha de la vitre sans teint, posant sa paume sur le verre froid, caressant les courbes juvéniles de sa sœur du regard. Il restait une virginité qu’il ne lui avait pas encore prise. A cette simple idée, il sentit un insidieux fourmillement entre ses jambes. « Ah, la peste !», grogna-il, en sortant une seringue de la poche de sa redingote et de s’en injecter le contenu dans le creux du bras.

Antony Howard n’avait pas manqué d’expérimenter certaines de ses substances sur lui-même, et en subissait à présent les effets secondaires. S’il ne s’administrait pas régulièrement un calmant il était agité par de terribles « crises de lubricité ». Dans le cas ou ses besoins n’étaient alors pas rapidement assouvis – ou sédatés – il ne se contrôlait plus. Un jour qu’il se rendait à Londres en calèche, il avait forcé une lavandière à monter dans le carrosse et l’avait brutalement besognée pendant une bonne demi-heure avant de s’en lasser.  Contre espèces sonnantes et trébuchantes, la mégère avait accepté de se taire, mais il s’agissait d’un coup de chance. Depuis, le docteur gardait toujours un peu de sérum à portée de main, et l’utilisait notamment lorsqu’il voulait garder les idées claires. Sentant son membre s’amollir, il soupire, s’éponge le front avec sa manche et s’en retourne à son pupitre. Il faudra un certain temps à Carmen pour mettre le jeune homme en condition d’effectuer correctement sa mission.


***Sol, au Manoir Howards***


A présent seul dans le petit salon, Sol hésite. Partagé entre son allégeance au bon docteur et le séduisant parfum de sa nouvelle alliance avec Carmen, il se torture les méninges. Carmen souhaiterait-elle que son amie soit épargnée ? Son amour pour Emilie semblait profond et sincère, mais elle avait été tellement transfigurée par son traitement et retrouver son aimée allait peut-être lui donner des idées bien différentes. A cette idée, Sol grogne d’aise. Emilie était ravissante, et son petit air de défi l’avait foutrement émoustillé.  Après quelques secondes de réflexion, il hoche la tête, résolu, griffonnes quelques lignes sur un carnet de poche et passe sa veste avant de quitter le manoir d’un pas alerte.


***Antony Howard, au sanatorium***


« Vos conclusions sont remarquables, Hannah. Je vous laisse dorénavant l’entière responsabilité de cette patiente. » 
L’intéressée rougit de reconnaissance, en récupérant le dossier que son Maître lui tend. La rouquine se révèle chaque jour de plus en plus utile et Anthony la juge plus capable que la plupart des médecins qu’il a rencontré. Son intime connaissance de l’anatomie et ses gestes sûr en font une assistante de qualité. Il note dans un coin de sa mémoire qu’il est grand temps de la former à la chirurgie.

« Ah, enfin. »

De l’autre côté de la pièce, Carmen vient d’introduire Lucien. En bras de chemise et pantalon de brocard, il a été peigné avec soin. Sur un geste de Carmen, avant qu’elle ne s’éclipse, il se rapproche de la vitre, comme s’il essayait de distinguer ce qui se trouve de l’autre côté. Puis, avec une lenteur calculée, il referme ses doigts sur son sexe à travers le tissu et s’applique à faire grossir son membre.

« Hannah, je vous laisse observer Rachele, vous m’exposerez vos conclusions ultérieurement. Vous pouvez procéder à d’autres expérimentations, mais elle ne doit pas être touchée aujourd’hui. A l’heure du repas, vous lui ferez porter une légère collation. »

Son précédent échec l’a agacé et il souhaite mettre un peu d’ordre dans sa correspondance. Dans le couloir, il manque de percuter Sol, qui pour une raison obscure, a fait le déplacement jusqu’au sanatorium. En face de lui, Carmen a les bras croisés, une lueur de folie dansant dans ses prunelles marrons. Antony hausse un sourcil interrogateur.

« Ah Docteur », minaude Carmen. « Sol est venu me rapporter la brosse à cheveux de mademoiselle que nous avions laissé dans sa chambre. » 

« Très bien. » Il n’en a cure. « Sol, venez avec moi, j’ai des choses à vous dire, vous forniquerez plus tard avec cette truie. » L’affection toute particulière du grand noir pour l’infirmière ne lui a pas échappé, mais Il ne compte pas la réprimer – Sol lui est bien trop utile -. Une fois que les deux hommes se sont éloignés, il pose sa main sur l’épaule du sauvage. « J’ai eu votre billet. La réputation d’Emilie Cromwell n’est plus à faire. Cette petite conne est une fouineuse de première et nous ne pouvons pas la laisser enquêter sur l’asile. Nous n’avons qu’une alternative. »  Le bon docteur fit la moue, avant de s’engouffrer dans son cabinet de travail, suivi de près par le colosse. « Nous pourrions la tuer, évidemment. Mais… » sa barbe s’éclaira d’un horrible demi-sourire. « Cela serait bien dommage, n’est-ce pas, mon ami ? » Le noir acquiesça, le regard brillant. « Je préfère la briser et la soumettre à ma volonté. De cette manière, je me vengerai de l’homme qui entend s’emparer de ma sœur. »

L’homme s’accouda à son bureau, les yeux dans le vague. Son génial cerveau élaborait minutieusement la marche à suivre. Sol, qui le connaissait bien, restait immobile, les mains croisées derrière la tête. Il était indispensable d’agir vite, pour ne pas que son frère se doute de quelque chose. La jeune femme lui avait probablement indiqué où elle se trouvait. De toute évidence, il allait falloir recourir à un lavage de cerveau un peu brutal.

« Quoiqu’il en soit, nous allons accueillir notre visiteuse comme il se doit. J’ai une idée qui pourrait se révéler très amusante. »

La cruauté qui irradiait du visage de son maître avait quelque chose de fascinant. Sol ne pouvait s’empêcher d’avoir de l’admiration pour l’ordure qu’était Anthony Howard, et c’est avec dévotion qu’il pris connaissance de ses instructions pour ce soir.


*** Nuit, Sanatorium. ***


Le bâtiment semble endormi, exception faite du bureau du docteur, dont les imposantes portes-fenêtres donnent sur l’extérieur. De dos, ce dernier est assis à son bureau, annotant des dossiers. En réalité bien sûr, de même que Sol, en embuscade dans la cour, il attend patiemment leur visiteuse nocturne. A sa demande, le sauvage a fermé à double tour la plupart des portes… Mais pas toute. Tout d’abord, en contournant le bâtiment, une fenêtre entrouverte au rez-de chaussée lui permettrait de pénétrer dans la cuisine. Par la suite, elle pourrait arpenter les couloirs, mais serait probablement trop prudente pour oser passer devant le cabinet de travail d’Anton. Forcée de rebrousser chemin, elle ne pourrait qu’aller à l’étage, ou son attention serait peut-être attirée par une première pièce, ouverte : la petit bureau d’observation duquel l’odieux docteur observait sa cadette de nombreuses heures plus tôt. L’enfant serait peut-être endormie… Ou bien contemplerait un spectacle scabreux, de l’autre côté de sa chambre.

Car derrière l’autre vitre sans teint, éclairée par des bougies, Carmen a été attachée sur une curieuse table d’examen à roulettes. Entièrement nue, le dos reposant contre le dossier de son trône de fortune, la jolie jeune femme a les membres solidement entravés. Sa vulve béante suinte de cyprine, alors que son anus palpite nerveusement. Elle a été installée ici par Sol, à la demande d’Anton, qui l’a aussi invité à la foutre l’espace de quelques minutes. Suffisamment pour la rendre folle de désir, mais pas assez pour la faire jouir. Les jambes écartelée, le corps agités de légers soubresauts et les traits déformés par le désir, Carmen est au bord de la rupture. Sur une petite table basse, différents plugs, godemichés et autres accessoires sont disposés, à la vue et à la barbe de cette dernière, qui maudit le ciel de ne point pouvoir s’en emparer pour combler ses orifices béants.

Lorsqu’ Emilie souhaitera se porter au secours de son aimée, elle devra passer devant la porte de Rachele, qui est bien entendue fermée à clé. Mais point celle de la pièce où se trouve Carmen. Toutefois, une fois qu’elle aura pénétré dans le réduit, Sol, qui l’aura prise en filature, l’enfermera à clé. Et sa déchéance pourra débuter.

Rachele Florenza

Humain(e)

Re : Victorian Age

Réponse 12 jeudi 28 février 2019, 19:52:39

--- Hanna, aile d'isolement de Rachele ---

La rouquine s'était attendue à disposer de Carmen pour s'occuper de prochain teste avec Lucien, mais le Directeur semblait s'être ravisé. En effet, le Docteur Hawk était venu la chercher en milieux d'après-midi, prétextant qu'un "service spécial lui était réservé ce soir et qu'elle devait être stabilisée pour pouvoir l'exécuter."

À cette simple idée, la belle infirmière avait frissonné. Elle détestait le Docteur Hawk, il était aussi fou que le Directeur Howard, mais sa spécialité en chirurgie cérébrale le rendait encore plus terrifiant que lui. Elle-même était passée entre ses longs doigts osseux quelques années plus tôt, quand elle avait été internée pour être "rééduquée".
Elle n'avait jamais plus été la même ensuite, même si elle ne savait pas très bien comment. Elle avait perdu le contrôle de ses émotions et de ses désirs, elle avait plus de mal à se concentrer et à réfléchir tant le besoin de sexe avait pris de place dans ses pensées. Il lui avait fallu du temps pour réapprendre toutes ces petites choses qui lui semblaient si évidentes avant de subir... ce qu'il lui avait fait... et qui avait totalement disparu de sa mémoire. Tour ce qu'elle gardait de ces longues heures de "traitement ", c'était la certitude d'avoir atrocement souffert et d'avoir été privé de quelque chose... oui... Elle en était sûre maintenant... le Docteur Hawk lui avait volé quelque chose...

Hanna chasse finalement ses pensées noire de son esprit ainsi que la vision du regard de Carmen alors qu'il l'emmenait avec lui, perdue et terrifiée à l'idée de repasser dans le cabinet de ce boucher sans savoir pourquoi.
Le Directeur lui avait confié sa propre sueur et c'était un grand honneur, une fierté même et la perspective d'une récompense digne de ce nom, pourquoi pas une promotion ? Ou un privilège extraordinaire comme celui de pouvoir se soulager ou se masturber quand elle en a envie ? Pouvoir se faire baiser plus souvent ? Rien qu'à cette idée son petit esprit malade et torturé bouillonne. Avec empressement, elle va chercher Lucien dans sa cellule...

--- Lucien, aile des hommes ---

Ceinturé par sa camisole de force, assis au fond de sa cellule capitonné, Lucien a fini de compter le nombre de coutures dans le rembourrage des murs, de vices à la porte et à la lampe de sa cellule pour éviter de devenir fou d'ennui. Son esprit, fracturé par les drogues et les traitements des infirmières nymphomanes, divague dans un néant infini de démence contre lequel il lutte désespérément pour rester lui-même.

Parfois, la porte s'ouvre et l'une d'entre elle entre pour le faire manger comme un enfant incapable de tenir sa cuillère plutôt que de libérer ses bras de sa camisole. Et ça, c'est dans le meilleur des cas. Dans les autres, elles viennent jouer avec son sexe, pour le stimuler, le masturber, jouer avec son anus et ses bourses avant de l'abandonner comme ça, sans qu'il puisse jouir, le laissant à la merci d'un désir aliénant, hurlant derrière sa porte pour qu'on le laisse jouir enfin.

Le bruit d'une clef tournant dans sa serrure annonce son prochain calvaire, il le sait, cela fait trop peu de temps qu'on l'a nourri, ce ne peut donc pas être l'heure du repas. C'est donc l'heure du "traitement"...

Hanna pénètre dans la cellule, Lucien la reconnaît et serre désespérément les jambes dans l'espoir qu'elle épargne son sexe d'une nouvelle séance de jeux pervers. Derrière elle, deux autres membres du personnel entrent en poussant une civière à roulettes... Pourvues de sangles de maintien.

- Bonjour Lucien... C'est un grand jour pour toi, tu vas participer à une nouvelle expérience...

--- Hanna, Lucien, Sarah, Rachele, aile d'isolement de Rachele ---

- Allons allons allons mon bel étalon... Tu ne vas pas faire l'enfant maintenant... je t'ai dit que tu allais adorer ça...fait moi confiance...

Dit Hanna en donnant calmement deux petites pichenettes du bout de l'ongle sur l'aiguille de sa seringue pour en chasser les bulles. Se débâtant dans sa camisole, sanglé solidement à sa civière qui a été relevée pour le positionner debout face à sa tortionnaire, Lucien regard d'un air terrifié le sérum SB-8 qui emplit le piston de verre entre les doigts d'Hanna. Il essaie de mordre son bâillon pour le chasser de sa bouche et hurler mais celui-ci est trop bien enfoncé et ses cris se noient dans l'épais tissu de jute.

Une fois prête, l'infirmière démente se rapproche de son cobaye et s'agenouille devant lui en lui lançant un sourire pervers. Lucien se débat de plus belle pendant qu'Hanna ouvre la braguette de son pantalon et passe la main entre les plis du tissu. Quand la main brûlante de la jeune femme se referme sur son sexe et l'extirpe lentement par l'ouverture, le jeune homme se fige. Involontairement, il commence à bander à cause des jours incessants de stimulation sexuelle, mais sa bite reste malgré tout à demi-molle.

- Hoooo... le pauvre chéri...

Dit Hanna en commençant à le branler langoureusement de sa main libre.

- On préfère les garçons, je sais ça, je sais... mais ne t'inquiète pas... je vais te rendre heureux...

Et sur ces derniers mots elle plonge l'aiguille à la base de sa hampe, entre ses deux couilles glabres et gonflées. Lucien pousse un cri de douleur qui se meurt presque aussi tôt, remplacé par une respiration rauque et bestiale.

Soudain, la bite du jeune homme se met à gonfler démesurément et se couvre d'énormes veines saillantes et palpitantes. Ses testicules, déjà pleines après des journées d'abstinence, grossissent encore au point de rendre lisse son scrotum. D'un geste brutal, il se cambre en avant pour présenter son énorme phallus en érection à la bouche de la femme qu'il regardait avec haine et terreur quelques instants plus tôt. Hanna cesse alors de le branler et regarde son gland rouge vif gigoter désespérément à quelques centimètres de ses lèvres fendu d'un rictus de triomphe.

- Et voilà mon beau... Tu es redevenu raisonnable, c'est bien... Tu vas être récompensé maintenant...

Dit elle en se redressant et en poussant la civière vers la porte de la salle vitrée où Sarah continue de se masturber, assise sur son fauteuil, ignorant tout de ce qu'il se passe dans son dos...

- Une petit surprise s'attend à derrière cette porte. Vas-y et lâche toi, tu... es... libre...

Susurre Hanna à l'oreille de Lucien, dont les yeux exorbités ne dégagent plus que folie et bestialité. D'un geste souple, elle détache les sangles qui le retiennent à la civière et la ceinture des manches de sa camisole pendant qu'une autre infirmière lui ouvre la porte de l'aquarium donnant vue sur la chambre de Rachele.

Sarah, toute à sa satisfaction personnelle, continue de se caresser langoureusement en regardant Rachele qui s'est réfugié sur son lit, les mains sur ses oreilles pour ne pas l'entendre jouir.

Quand la porte claque derrière elle, elle se retourne et a à peine le temps de voir le jeune homme se jeter sur elle.

- Luc...

Elle n'a pas le temps de prononcer son nom, la main du fou vole vers son visage en une claque si puissante que même Rachele l'entend derrière sa vitre de sécurité. La jeune femme redresse la tête de son coussin et assiste à un spectacle qui la stupéfie au point qu'elle ne puisse détourner le regard.

Un homme grand et beau, ressemblant étrangement à l'homme qu'elle aime à ceci près qu'il est plus jeune, plus fort et à les cheveux plus longs, vient de pénétrer dans la pièce vitrée et de gifler l'infirmière délurée. Le coup à été si violent que Sarah en a été plaquée contre le verre. Ses seins, expulsés de sa tenue échancrée par la puissance du choc, sont comprimés contre celle-ci et offrent à Rachele le spectacle de ses deux énormes melons écrasé contre la vitre. Aveuglée par sa détresse, la pauvre innocente croit à nouveau que son sauveur est arrivé. Elle saute du lit et se rue vers lui pour lui parler. Mais les actes suivants du jeune homme la coupe dans son élan alors qu'elle s'apprêtait à tambouriner encore une fois contre la vitre.

À moitié sonnée par le choc, Sarah sent soudain la main puissante de Lucien la saisir par les cheveux pour la plaquer contre un des murs aveugle de la petite pièce, offrant à Rachele une vue de profil des deux protagonistes. La petite noble prisonnière remarque alors la monstrueuse érection du butor et retient ses petits poings justes avant qu'ils ne frappent la surface qui les sépare. À nouveau atterré par ce spectacle, elle ouvre de grands yeux ronds sur la scène qui se déroule devant ses yeux. Devant elle, le beau jeune homme retire un bâillon de sa bouche et passe le majeur et l'index de sa main libre sur sa langue pour les humecter...

- Lucien ?! Mais... que ? Attends... que fais-tu ?!

Gémit Sarah en sentant ses doigts virils et puissants oindre l’auréole de son anus de salive fraîche. Rachele, de l'autre coté de la vitre, est paralysée. Elle ne parvient pas à quitter des yeux la queue énorme du Lucien. Celui-ci presse alors son gland palpitant et gonflé contre le trou défendu de l'infirmière presque nue.

- Non Lucien... pas comme ça ! Pas si vite... p HAAAA !

Crie Sarah au moment où le chibre monstrueux du jeune homme s'enfonce d'un coup sec et de toute sa longueur dans son fondement, la soulevant presque du sol d'un bond violent. L'infirmière est paralysée à son tour par la douleur et le plaisir. Elle écarte involontairement les jambes pour faciliter le passage du sexe palpitant qui l'empale, tout son corps se crispe et s'étire jusqu'à ce qu'elle soit sur la pointe des pieds. Ses cris gagnent en intensité à mesure qu'il sort puis s'enfonce de nouveau en elle, se mêlant à ses propres grognements bestiaux. Une nouvelle fois, Rachele recule de ce spectacle écœurant à ses yeux et essaie de se boucher les oreilles. Cette fois-ci, elle se met à pleurer.

Derrière la vitre sans teint, Hanna observe la scène, un bloc note à la main sur laquelle elle écrit ses conclusions pour le Directeur :

" Patiente n°27 visiblement hétéro-sensible, mais refuse d'accepter sa nature sexuelle et son identité de femme et d'esclave. Elle fuit la réalité a chaque scène et ne semble pas bisexuelle. Conseillons une thérapie complète et intense pour obtenir des résultats et une amélioration de son état psychologique. Tous les traitements devraient être envisagés sans exception. "

Une fois terminée, elle quitte la pièce et rejoint le Directeur pour lui remettre ses conclusions.

--- Carmen, Cabinet du Docteur Hawk ---

- Tachez de vous détendre ma demoiselle, ce ne sera pas long et vous souffrirez moins si vous ne résistez pas...

Résonne la voix du Docteur Hawk dans la tête de Carmen dont les oreilles ont été branchées sur deux énormes amplificateurs sonores pour qu'elle ne puisse entendre que sa voix nasillarde et insupportable.

- agggll... gaaaaa... aggglaaa !

Lui répond désespérément la jeune esclave dont la bouche a été entravée par un grand cercle de métal. Elle voudrait lui demander ce qu'elle a fait de mal, pourquoi elle est ici, pourquoi elle doit subir cela encore.

Harnachée à une table de travail en acier glacial, les bras sanglés dans le dos et les cuisses écartés, le "bon docteur" a déjà commencé à la "préparer" pour sa thérapie. Pour stimuler ses zones érogènes, il lui a planté deux fines et longues aiguilles dans les tétons qui lui provoquent une douleur horrible et continue. Un god, empli d'une eau glacée et couvert de billes d'acier, lui déforme atrocement la chatte et la vrille jusqu'au plus profond de sa féminité pendant qu'un crochet, cruellement fiché dans son clitoris, la relie directement à la table de travail. Si par malheur, elle essaie de bouger les hanches de quelques centimètres, une douleur indicible déchire son mont de vénus. Enfin ses yeux, tenus ouverts par de petites pincettes, fixent avec effroi la sonde crépitante d’électricité qui se rapproche lentement de son front.

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- Ce soir nous allons recevoir une invité très spéciale et nous avons besoin de votre entière coopération pour la "convaincre" de se faire soigner dans notre établissement.

Pourquoi refuserait-elle quoi que ce soit à ses maîtres ? Pourquoi lui infliger ça alors qu'elle obéit toujours avec plaisir aux moindres ordres ? Pourquoi ? Elle ne cesse de se poser ces questions à mesure que la pointe de la sonde se rapproche de la peau de son front.

- Il s'agit de Lady Emilie Cromwell, une de vos amies les plus chères et nous voulons être parfaitement certains que vous nous aiderez dans cette entreprise. Vous êtes fort bien placée pour savoir que votre amie se fourvoie dans sa sexualité exclusive et nous désirons l'aider comme nous vous avons aidée.

Carmen comprend soudain pourquoi tout ça. Elle aurait même fait un bon de surprise si son clitoris n'avait pas été comme cloué à la table sur laquelle elle est sanglée. Les électrochocs, les drogues et les sévices l'avaient peut-être rendu folle et nymphomane, ils avaient beau être parvenu à lui faire aimer le sexe des hommes et oublier qui elle était avant, mais jamais elle n'avait oublié l'amour de sa vie et ils le savent.

Et maintenant le Directeur et son personnel de malades mentaux voulaient lui infliger le même sort... non... Carmen sait que ce sera pire pour Emilie. C'est un esprit fort, bien plus fort et rebelle que le sien et elle était la figure dominante dans leur couple. Nul doute que pour écraser sa volonté, ils lui feraient bien pire qu'à elle...

Carmen se crispe soudain et essaie de remuer sur la table, mais le docteur Hawk l'a trop bien attachée, et le moindre geste est un supplice. "Non non non !" Se dit elle intérieurement en tentant désespérément de se libérer. "Pas toi... pas Emilie... non... ne viens pas..."

- Vous êtes troublée mon enfant... et perdue. Mais vos sentiments personnels sont hors de propos, vous n'êtes plus la femme malade que vous étiez avant d'entrer dans cette institution. Vous êtes une esclave sexuelle à notre service et je vais vous apporter la paix dont vous avez besoin pour obéir et nous aider...

"Non ! Non ! Jamais ! Jamaiiiiiiiis !"

Hurle silencieusement Carmen alors que la sonde pénètre la peau de son front. Le métal se met à crépiter, le corps de la jeune femme se tend l'espace de quelques secondes, avant de retomber inerte contre la table. Ses grands yeux à moitié révulsés louchent en direction de l’électrode qui commence à faire fondre la matière grise de son lobe frontal.

- Bien, maintenant répétez après moi: Emilie est malade, Emilie a besoin d'aide, je serais si heureuse qu' Emilie me rejoigne. Répétez dans votre tête Carmen allez y: Emilie est malade, Emilie à besoin d'aide, je serai si heureuse qu' Emilie me rejoigne...


--- Emilie, cette nuit la, Sanatorium Howard ---

Emilie loue l’imbécillité des gardiens qui ont oublié de fermer la porte des cuisines en se faufilant discrètement à l'intérieur de l'immense bâtiment. Avançant à pas de loup dans les longues coursives du sanatorium, elle s'enfonce, porte après porte, vers l'aile d'isolement. Personnes, si ce n'est quelques gardes au loin, mais heureusement aucun qui ne patrouille dans son secteur. Cela la surprend même un peu, mais elle préfère louer sa bonne fortune et avancer plutôt que se poser trop de questions.

Au détour d'un couloir obscur, elle remarque une porte ouverte, donnant sur une baie d'observation. "Bingo" se dit la jeune et intrépide aventurière en remarquant la silhouette de Rachele derrière la vitre sans teint. La petite aristocrate est assise contre un lit, un repas non entamé abandonné à ses pieds. Elle tient ses genoux contre sa poitrine, les enlaçant de ses bras en pleurant et se balançant d'avant en arrière. Cette image fend le cœur d'Emilie, mais elle doit garder la tête froide si elle veut sauver le plus de monde possible. Plutôt que de tenter de lui parler au travers de la vitre et de l’affoler, elle ressort de la pièce en saisissant une clef qui doit être en toute logique, celle de la pièce d'isolement qu'elle contemple.

Derrière elle, elle entend le pas lourd du noir qui la suit depuis quelques instants, elle fait semblant de ne pas y avoir prêté attention et continue sa route en contournant la chambre d'isolement. Arrivée à un angle de couloir elle s'arrête enfin, s'adosse au mur et attend. Quand Sol arrive enfin à sa porté, elle prend au piège celui qui croyait la piéger ! Elle lui assène un coup d'une violence inouïe dans les parties génitales. Tout puissant qu'il soit, le géant tombe à genou en se tenant l'entre jambe et en la foudroyant d'un regard aussi haineux que surpris.

- C'est pas cette nuit que tu auras mon cul sale nè#%=*

Lui dit elle en le dominant de toute sa hauteur, avant de le cueillir d'un coup-de-poing sur la tempe. Sol s'effondre, inconscient, Emilie en profite pour lui ficeler les poignets et les chevilles avant de le bâillonner et de l'abandonner là. Une fois son ennemi neutralisé, la belle aristocrate se croie enfin en sécurité et avance maintenant d'un pas résolu vers la porte dont elle tient fébrilement la clef.

Elle la tourne dans la serrure et ouvre d'abord discrètement la porte. En voyant ce qu'il y a derrière toute prudence disparaît tout à coup de son esprit alors que son cœur bondit dans sa poitrine. Elle entre en laissant la porte grande ouverte, n'en croyant pas ses yeux, retenant un hurlement d'horreur en posant une main sur ses lèvres. C'est Carmen ! Sa bien aimée Carmen ! Mais elle a tant changé depuis sa disparition. Elle n'en revient pas et n'ose imaginer ce qu'elle à du subir pour en arriver là. Sa peau a pâli, ses yeux sont cernés, son visage si parfait porte maintenant de petites cicatrices de brûlure sur les tempes et une plaie circulaire encore fraîche en plein milieux du front, comme un énorme œil de Shiva. Mais pire encore est le spectacle de son pauvre corps nu, tremblant, trempé de sueur et de cyprine, couverte de traces de coups et d'injections. Son vagin et son anus, qu'elle avait connu encore virginaux et délicats lors de leurs ébats lesbiens, sont désormais béants et dilatés par d’innombrables séances de baise.

- Carmen ! Mon dieu ! Ma chérie... mais que t'on t'il fait !?

Crie Emilie en oubliant toute discrétion. Elle se précipite vers son amie attachée et commence à défaire ses liens. Carmen, vibrante de désir après avoir reçu les assauts bestiaux de Sol, la regarde béatement, bavant à moitié.

- Emilie... je suis si heureuse que tu me rejoignes...

L’aventurière met l'étrange formulation de cette phrase sur les événements que sa petite amie a vécue et la prend dans les bras.

- C'est terminé Carmen mon amour... Terminé, je te le jure... On va sortir d'ici et je vais te soigner, tu verras.

Toute alanguie, mais libre de ses mouvements, Carmen lui rend son accolade et la serre fort dans ses bras.

- Sortir ? Je suis guérie Emilie, je n'ai pas besoin de sortir, ce n'est pas moi qui est malade.

Emilie met fin à son étreinte et la saisie par les bras pour regarder son amie d'un air interrogateur et surpris ?

- Quoi ? Mais que dis-tu ? Tu dois sortir d'ici, on doit fuir et vite.

- J'ai bien peur que ce ne soit pas ce que veut votre amie Lady Cromwell.


Réponds la voix nasillarde du docteur Hawk derrière son dos. Emilie fait volte face et ferme les poings dans le but de le frapper s'il avance. C'est alors que l'impensable se produit. Carmen, restée dans son dos, saisit les bras de son amante, les ramène le long de sa colonne vertébrale et les attache ensemble en une fraction de seconde grâce à une large paire de menottes qui trônaient quelques instants plus tôt au milieu des sexe toys.

- Carmen ! Mais ! Qu'es-ce que tu fais !

Lui hurle Emilie, les yeux exorbités par la surprise.

- Emilie est malade... Emilie a besoin d'aide...

Lui répond Carmen en la tirant en arrière pour l'obliger à s'allonger sur la table de travail, dressée et debout qu'elle occupait quelques instants plus tôt.

- Votre amie veux vous aider. Nous l'avons convaincue que vous aviez besoin d'être soignée et elle a accepté par amour pour vous.

Carmen sangle les bras et les jambes d'Emilie à la table en murmurant toujours les mêmes mots, inlassablement, comme si elle ne savait plus dire que ça.

- Emilie est malade... Emilie a besoin d'aide... je suis heureuse qu'Emilie me rejoigne...

Puis elle rejoint le docteur et se positionne devant lui pour qu'il puisse la peloter et jouer librement avec son corps devant sa petite amie, médusée.

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

- Carmen... mon amour... mais que t'arrive t'il ? Je t'en supplie... ne fait pas ça... libère moi...

Au contact des doigts du docteur, Carmen se met déjà à trembler et onduler des hanches tans son désir de sexe est grand, elle semble heureuse, un sourire béant illumine son visage.

- Je suis heureuse que tu me rejoignes... Si heureuse...

- Monstre ! Qu'avez-vous fait à Carmen !


Hurle alors Emilie en se débattant, désespérée.

- Votre amie était souffrante. Comme vous, elle était perdue, nous l'avons soignée et c'est ce que nous allons faire pour vous aussi. Mais Monsieur le Directeur saura mieux placé pour vous parler des vertus de notre thérapie...
« Modifié: jeudi 20 août 2020, 12:09:19 par Rachele Florenza »

James Howlett

E.S.P.er

Re : Victorian Age

Réponse 13 lundi 18 mars 2019, 09:07:46

Howard relis soigneusement les notes d’Hannah, les lèvres pincées. L’hétérosexualité forcenée de sa jeune sœur ne sied pas à l’idée qu’il se fait de la libertine forcenée qu’elle doit devenir. C’est la première fois qu’il choisissait d’utiliser la persuasion et l’éducation sexuelle sur une patiente, mais après tout, il s’agit tout de même de son adorable cadette qu’il aime – à sa manière, mais profondément. Il lui a certes ravi sa virginité, mais c’est pour mieux l’instruire ensuite. Pendant son sommeil, il a fait apporter des livres érotiques, ainsi que des ouvrages purement pornographiques, décrivant des actes et des pratiques des plus simples aux plus obscènes. Un ouvrage entier consacré à la masturbation féminine et rédigé par ses soins a été placé en évidence. Oh, il ne s’attend pas à ce que la jeune femme ne dévore ses ouvrages mais… Rachele a toujours été d’une curiosité extraordinaire ainsi qu'une lectrice invétérée. A douze ans, elle avait déjà dévoré la moitié de la bibliothèque paternelle… Même si elle avait soigneusement mis de côté les ouvrages scandaleux du marquis de Sade qui l’ont horrifiée. Il est persuadé qu'elle finira par craquer.

« Monsieur le directeur ? »

Anton lève les yeux de l’ouvrage sur l’intersexualité qu’il consultait, observant l’intruse par-dessus ses lunettes cerclées d’or massif. Il y puise des idées nouvelles quant à la rééducation d’Emily Cromwell.

«  Oui Hanna ? »

En contrepartie de son travail, Hanna avait désormais été autorisée à choisir ses partenaires sexuels dans l’enceinte de l’établissement. En dehors de celui-ci, seuls Sol et Hawk – qui était moins porté sur le stupre que l’ancien esclave, ont le droit de sévir. Émoustillée par le spectacle de la brutale sodomie subie par sa collègue, elle avait sollicité la permission de s’amuser à son tour un peu avec le sexe de Lucien, ce qui lui avait été immédiatement accordé. Le rosé de ses joues indique qu’elle y a pris beaucoup de plaisir… Et qu’elle doit être particulièrement dilatée, étant donné les dimensions honorables du sexe du jeune homme.

« Mademoiselle Cromwell a pénétré dans le bâtiment. Monsieur Sol l’a prise en filature et le piège ne devrait pas tarder à se refermer. »

Lord Howard hoche la tête, avant de repousser la chaise de son bureau pour en faire le tour. Il a une poignée de minutes devant lui et une bosse énorme déforme sa redingote. « Penchez-vous sur le bureau, et soulevez votre blouse.  Nous n’avons guère le temps de nous attarder. » La jeune femme hésite, posant ses mains sur l’acajou, écartant ses doigts fuselés. « Mais, Monsieur le directeur je… ne suis pas propre… » Howard n’en a cure. Il claque fermement le postérieur de la rouquine, et relève la blouse au-dessus de son cul. Le vagin bée encore, l’anus suinte de foutre. Sans plus de cérémonie, il défait un à un chacun des boutons de son pantalon, et presse son gland contre l’anus entrouvert. « Oh, monsieur le directeur, vous… Vous êtes vraiment sale », souffle la pauvre petite rouquine en se mordant la lèvre inférieure, alors que la grosse queue investit son fondement tiède.

Les choses ne se sont pas exactement déroulées comme prévues. La petite Emily s’est débarrassée de Sol avec une hargne impressionnante, forçant le docteur Hawk à entrer en scène. Sol a davantage été blessé dans sa fierté qu’autre chose, mais après avoir délié ses liens, Hawk l’a invité à prendre un peu de repos.  Carmen en tout cas, a parfaitement joué son rôle. Hawk l’a brisé, à tel point qu’elle participe avec ferveur à l’internement de son aimée. La noblionne se retrouve bientôt saucissonnée par son âme sœur, lui offrant l’impudique spectacle de s’offrir aux doigts libidineux du docteur Hawk.

« Bien le bonjour, Mademoiselle Cromwell. »

Le directeur se tient sur le pas d’une porte dérobée, élégamment vêtu comme à son habitude d’une redingote bleu foncée, et d’une chemise, ainsi que de longues bottes de chasse cirée. Sous ses doigts gantés et serrés, le pommeau en argent de sa canne de marche préférée. Hanna, jolie comme un cœur, le suit de près.

« Croyez bien que je suis désolé d’en arriver à de telles extrémités, mais votre pathologie est grave, et nécessite un traitement immédiat. »

L’odieux personnage s’approche de la captive, observe ses formes mal camouflées par ses habits d’homme. Sans hésiter, il déchire sa chemise d’un coup sec, dévoilant sa poitrine laiteuse, sous les yeux médusés de Carmen, qui délaisse le docteur, s’approchant en chancelant de son amante pour caresser sa poitrine de ses doigts, triturant ses mamelons entre ses ongles, le regard rêveur.

« Voyez-vous Emilie- vous permettez que je vous appelle Emilie…. La nature ne saurait tolérer qu’une femme n’aime que les femmes. Après tout, si elle dispose d’orifice, c’est naturellement pour se faire foutre. N’est-ce pas, Carmen »

« Ou…Oui Monsieur le directeur, pour se faire baiser », souffle-elle, alors que le docteur Hawk se glisse dans son dos, pressant son sexe contre ses fesses galbées. 

« N’y voyez nulle forme de discrimination, notre établissement est très progressiste, il arrive que des hommes couchent également entre eux dans cet établissement, bien que ce ne soit pas ce que nous privilégions. »

Le directeur pose sa canne contre le mur pour se rapprocher de sa victime. Sans douceur, il glisse ses doigts gantés entre ses lèvres, les fait rentrer de force, pendant que Carmen s’active sur ses tétins durcis, jouant à présent du bout de sa langue, tandis que sa main s’est glissée dans le pantalon de la jeune noble, qu’elle branle doucement.

« Hm, votre bouche est étroite, votre palais n’a pas dû voir passer beaucoup de chibre. Rassurez-vous, vous vous y ferez. Nous pouvons également procéder à une petite intervention chirurgicale au besoin. Notre très cher ami, le docteur Hawk, est un professionnel. » 

Il y avait, outre l’appétence pour l’obscénité, le vice et la luxure, quelque chose d’autre qui liait le docteur Hawk et le directeur Howard. Quelque chose qui ressemblait à de la camaraderie. Anthony tenait en haute estime l’incroyable dextérité de son employé, qu’il présentait comme le chirurgien le plus habile de toute la Grande-Bretagne. Hawk était pourtant, en bien des points, l’exact inverse d’Howard. Né pauvre, doté d’un esprit excessivement rationnel et plutôt discret, il avait été pris comme apprenti par un chirurgien militaire qui l’avait mis à la porte lorsqu’il avait découvert que le jeune homme se livrait à des expériences assez discutables sur des patients agonisants. Le jeune Hawk était notamment parvenu, en ouvrant le crâne d’un soldat gravement blessé pour en extraire des portions de son cerveau, à supprimer la douleur qu’il ressentait. Malheureusement, il en avait également perdu la raison, mais la technique du docteur s’améliorerait par la suite. Il avait de longues années durant, travaillé sur des cadavres, puis, avec le soutien de juges et de policiers corrompus, sur des criminels bien vivants. Il remplissait à vrai dire une mission de service public, puisqu’il parvenait parfois à rendre inoffensifs et à réhabiliter de véritables bêtes sauvages. Mais le docteur Hawk avait des… Besoins particuliers. Il prenait un plaisir sadique à transformer les individus, en particuliers les femmes, qu’il charcutait pour en faire des esclaves dociles. Il n’avait été sauvé de la corde après le décès d’une jeune patiente mineure que grâce à l’intervention de sir Howard, qui avait grassement payé ses geôliers pour que le bon docteur « disparaisse ».

Quant à Hawk, impressionné par la force de volonté et le magnétisme que dégageait le directeur, il avait reconnu en lui un allié, un supérieur qui lui permettrait de laisser libre cours à son art. L’incroyable puissance de conviction du directeur surtout, l’avait bluffé. Howard savait user de sa voix, de son langage corporel pour plier les autres à sa volonté et obtenait parfois des résultats pour lesquels il devait lui-même utilisé la chirurgie. A son insu, Howard utilisait l’hypnose et Hawk était bien trop occupé à l’observer agir pour le lui avouer. Lorsque le Directeur lui avait demandé d’effectuer quelques modifications sur Hanna, la jeune femme était déjà fascinée – mais aussi quelque peu dégoûtée – par Howard. Comme exigé par le lord, il avait alors procédé à quelques… Ajustements, afin de la rendre sexuellement plus fonctionnelle, sans pour autant porter atteinte à son intelligence, sensiblement au-dessus de la moyenne de son sexe. 

La jolie Hannah, d’ailleurs, débarrasse promptement le Directeur de ses boutons, extirpe son énorme sexe encore flasque de ses petites mains, pour en tapoter le visage d’Emilie, impuissante. Un petit sourire mutin étire les lèvres pleines de l’infirmière alors qu’un léger filet de pré-sperme s’écoule sur les lèvres scellées de la pauvre captive qui gémit en essayant vainement de se défaire de ses liens qu’elle ne fait que resserrer.

« Voyez-vous Emilie, une jeune femme aussi mentale que vous doit être remise à sa place avant qu’elle ne débloque complètement. Ah Carmen dites-moi, vous devez être assoiffée ? »

L’intéressée se contente de se laisser glisser au sol à quatre pattes, ouvrant grand la bouche. « Docteur Hawk, à vous l’honneur », tonne le directeur, un mauvais sourire aux lèvres. Le bon docteur extirpe à son tour un solide mandrin, qu’il dirige vers Carmen, dont les yeux brillent de convoitise. Un jet brûlant et jaunâtre s’échappe de son méat, éclaboussant les cheveux de l’infirmière, ruinant son maquillage, alors qu'elle s'efforce de tout avale avec une obscène avidité, manquant de s'etouffer par moment. Le directeur ne tarde pas à s'approcher à son tour, le penis à demi-érigé, mais c’est Hannah qui dirige son jet de pisse, ses jolis doigts serrés autour de son gros sexe.  La petite s’applique à souiller entièrement sa collègue, des pieds à la tête. Lorsqu’enfin les jets se tarissent, Hannah nettoie consciencieusement le gland de son maître du bout de la langue, avant de s’essuyer les lèvres avec un mouchoir en tissu. Couverte de pisse, tremblotante de froid et d’excitation, Carmen se redresse bien malgré elle. Sa soif de sexe n’est point encore assouvie.

« Comme nous ne sommes pas des monstres, il m’a semblé opportun que ce soit Carmen qui prenne votre virginité, chère enfant. Par la suite, vous serez rééduquée avant d’être rendue à votre famille. »

Le directeur se tourne brièvement vers la glace sans tain. Il sait que derrière, Rachele l’observe. Ainsi, elle apprend. Il entend pour le moment, rester un peu en retrait. Pour la suite des événements, son esprit fourmille de tortures aussi délicieuses les unes que les autres.





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