Les sirènes, ce n'est pas au bord de la mer normalement ? [Lily]

Ayumi semble commettre une grave erreur en ouvrant la bouche si tôt, si jouer avec ses réserves d'air devaient d'abord être un jeu progressive elle plongea dedans tête la première et d'un seul coups en écartant les lèvres. Sa bouche se gorge d'une vague d'eau, relevant mon attention de peur qu'elle ne se noie d'un coups. Fort heureusement la jeune fille aux cheveux turquoise a encore la présence d'esprit de closes ses lèvres, semblant aller assez bien pour continuer. Sur le coups, mes doigts s'était crispées un peu plus en elle et mes mouvements étaient devenus plus fermes sous le danger qu'elle encourait, lui provoquant un orgasme, son premier orgasme... Oh, c'était donc pour ça qu'elle venait de crier ? Je vois, alors c'était c'est parce que je me suis inquiété trop tôt qu'elle a crier ainsi... C'était donc un peu de ma faute.

Pour me faire pardonner, je retirer mes doigts de son intimité non sans la faire participer, en les portant à ses lèvres pour qu'elle les nettoie. Et en parlant de nettoyage sa récompense en signe de pardon n'est autre que ma langue, happant et engloutissant le jus qui s'est mêlé à l'eau. Mais qu'étais-je en train de faire alors que Ayumi n'avait plus d'air ? Je savais pertinemment qu'elle devait remonter, qu'elle voulait respirer, elle me l'avait bien faire comprendre d'un geste de la tête que je fit semblant d'ignorer pour aller m'occuper de son sexe accueillant entre ses cuisses. C'était si bon, si chaud, si agréable que je ne perdait une seule miette en aspirant désormais le jus à pleine bouche. Mes lèvres, englobant de toute part ses lèvres intimes pour sucer le contenue jusqu'aux dernières gouttes.

Mhh c'est délicieux mais.. ne devais-je pas faire quelque chose...

Toujours consciente de l'état de Ayumi une sorte de barrière m'empêche de la remonter à la surface, l'instinct prédateur qui prenait sur moi le dessus. C'était inscrit dans mes gênes, c'était la nature d'une sirène de s'amuser avec sa proie le plus longtemps possible et surtout une habitude que j'avais prise. Autrement dit, je savais qu'elle manquait vraiment d'air et que ça allait devenir dangereux, je voulais la soulager de ce fardeau, mais mon corps ne répondait par à cette requête en se laissant aller aux profonds désirs enfouis.

Ce n'est que lorsque terminais enfin de nettoyer tout le jus et que ses joues semblaient formés deux belles tomates bien rouges que je me réveillé doucement en écarquillant les yeux un peu stupéfaite.

A... Ayumi tiens bon encore quelques secondes !

Si je ne faisais rien elle allait perdre connaissance et la panique me fit saisir son corps sans même penser à lui faire du bouche à bouche, la guidant plutôt vers la surface au plus vite. Depuis quand je m'inquiétais pour une humaine moi d'ailleurs ?

Ah mince désolée c'est... je savais que tu devais respirer mais... je ne pouvais pas...

Elle devait reprendre ses esprits, je ne la lâchais pas une seule seconde en m'attendant surement à ce qu'elle me hurle dessus ou qu'elle me gifle en pestant que je n'étais qu'une folle, que j'étais à deux doigts de l'étouffer. C'était ce qui arrivait parfois, et dans ces cas là je ne répondait que par un rire sadique et l'une des répliques qui ressemblerait à " Et tu n'as pas encore vu la suite ?". La suite, ça n'aurait été qu'un nouveau plongeon sans état d'âme avant que je ne m'occupe à nouveau de son corps, avec , ou sans son consentement.

Je suis une sirène après tout, c'est mon instinct de... enfin... je n'ai pas pu réellement me contrôler... Je comprendrais que tu veuille t'en aller, je ne te retiendrais pas c'est promis.

Alors pourquoi je me montrais si gentille ? Laisser partir une proie avant même que les jeux ne commencent vraiment ? C'était inenvisageable et pourtant... Je m'apprêtais vraiment à la laisser partir ou à accepter sa colère sans m'y opposer, les yeux détournés vers les berges par honte d'affronter son regard. Je n'y pensais plus sur le coups mais j'espère que son premier orgasme en avait valut le coups.

Quand on n'a l'habitude de contrôler soit même ses orgasmes avec quelques petits jouets sympathiques, comme le vibromasseur dans le tiroir de son bureau et l’œuf vibrant dans celui de sa table de chevet (Ayumi est quelqu'un de très ordonnée quand ça concerne ses propres affaires), on a l'habitude de s'arrêter à temps ou de ralentir la cadence juste avant le dit orgasme. Quand c'est procuré par une autre personne, c'est une tout autre histoire. Alors oui, Ayumi a pris son pied, surtout en milieu totalement inédit au point que cela risquait d'être plus compliqué le jour où elle recherchera des sensations semblables alors il ne faut pas s'étonner qu'elle avale une bonne bouffée d'eau ! Surtout quand c'est son premier. Cela empira lorsque Lyli se mit en tête de profiter du nectar qu'à relâcher Ayumi, augmentant la tasse de cinq précieuses secondes alors que la jeune fille tentait de remonter à la surface là où la sirène lui tenait les jambes et les fesses pour profiter un peu plus du corps de la japonaise.

Enfin, la sirène lâcha prise, Ayumi ne se priant pas pour remonter, voyant pour la première fois de sa vie sa barre de vie baisser dangereusement, arrivant à la quarantaine en un temps recors. A la surface, elle toussa, recrachant comme elle put de l'eau. Est ce que l'évanouissement a lieur arrivé à 0 ? Elle n'en savait rien : peu importe qui ou quoi lui a fourni ce pouvoir, il n'a pas cru bon lui fournir le moindre Faqs pour lui expliquer comment tout cela fonctionne. Ça aurait été bien utile au lieu de se taper un apnée niveau 3 et un point de vitalité en plus.

Tousse "Je connaissais déjà le" tousse "le risque c'est tout" tousse "Laisses moi souffler quelques minutes. Il faut que je récupère" tousse

Quelques pas s'approche suivi d'une voix, malgré qu'elle recracha une dernière fois quelques gouttes d'eau.

"Si ça se trouve, on va peu être voir une exibitionniste."
"Moi ça me fait flipper cette histoire là."
"Flipper de voir une gonzesse à poil ? Ou c'est ton côté puceau qui ressort ?"
"Non mais t'imagine, si ça se trouve c'est un suicide. Y a des gens quii disparaissent ses derniers temps. Et je ne tiens pas à passer la nuit au poste la nuit pour un rapport."
"C'est con, il parait que le café du poste de ce quartier n'est pas mauvais."

Une lumière approche, assez faible mais qu'Ayumi identifia comme la lumière du flash d'un téléphone portable et... Et merde, son téléphone est resté dans la poche lors de son plongeon mais ce n'est peu être pas le moment de penser à ça car si Ayumi était partie pour faire une pause d'au moins une demie heure à une heure, les emmerdes eux, ne faisaient pas de pauses. La jeune fille prit son souffle, malgré qu'elle se serait bien permise à tousser, avant de passer sa tête sous l'eau en entraînant Lyli avec elle. Non, elle ne sait pas sur qui ou quoi elle va tombé et ça ne peut pas être pire/mieux (rayer le terme que vous voulez) qu'une magnifique sirène qui a toute la nuit devant elle. Et puis rentrer pour quoi faire ? Farmer sur son MMORPG parce qu'elle n'arrivera pas à trouver sommeil ? Autant farmer dans la vie réelle avec une belle compagnie car sous l'eau, malgré quelques bulles qu'elle toussera, l'un de ses doigts passa sous la culotte au niveau de la hanche de la sirène, seul sous vêtement qui lui restait, signe que la nuit ne faisait qu'après tout commencer.

" T'es malades, t'as faillit me noyer ! " puis une bonne gifle envoyée en plein visage. Ce schéma s'était souvent reproduit et me paraissait donc normal, c'était l'alternative la plus probable à la peur et aux requêtes visant à me supplier de ne pas recommencer. A la place de ça Ayumi se montrait compréhensive, allant même jusqu'à dire que c'était les risques, qu'il en était ainsi, pas de quoi me gueuler dessus. J'en fut étonné et ne sut quoi répondre sur le coups d'autant plus que la suite fut encore plus amusante. Alors qu'habituellement j'engouffrais moi même mes proies au fond des eaux de grès ou de force, c'est Ayumi qui plongea de son plein grès en m'emportant avec elle, inversant presque les rôles. C'était vraiment étrange pour une sirène de voir quelqu'un provoquer cette situation...

A...Ayumi ?

L'incompréhension et un regard curieux toise mon visage à en oublier sa main fraiche, qui me fait sursauter lorsqu'elle passe agréablement sous ma culotte. Elle n'en a pas fini, la nuit ne faisait que commencer et m'affronter moi plutôt que les passants à la surface ne semblait même pas être un choix par dépit. Elle en brûlait d'envie, Ayumi l'aurait de toute façon fait et c'est avec une certaine joie devant cette nouvelle que j'enlace mes doigts entre ceux de sa main libre.

Alors faisons le encore... continuons jusqu'à ce que nous soyons toute les deux épuisés...

La pauvre dans la précipitation n'était pas complètement remplit d'air frais et une petit toux incontrôlable envoya danser quelques bulles. Je ne put m'empêcher de la serrer contre moi, de blottir son visage contre ma poitrine comme pour la consoler de cet oxygène qui venait de disparaitre à la surface. J'espère qu'elle tiendrait bon.

Mon corps possède encore quelque chose de spécial... quelque chose qui ravira surement tes rêves les plus vicieux... Mais pour te le montrer je dois être assez excitée... tu devras t'occuper de mon corps et lui faire le plus grand bien pour que je puisse te dévoiler cette surprise. Lui dis-je en caressant le sommet de son crâne et sa jolie chevelure qui ondulait dans l'eau.

Pour autant, il était inconcevable que je ne soit qu'une simple spectatrice, je ne pouvais profiter de Ayumi en restant statique, même si je lui avait déjà offert son orgasme. J'agrippais donc également son autre main pour être sure qu'elle ne quitte pas mon sexe, la gardant précieusement dans ma culotte. De l'autre, je pousse pour attirer Ayumi vers les fonds, visage vers la surface. La lune qui était de sortie éclairait désormais l'eau et baignait son visage comme celui d'une déesse prisonnière des eaux. Elle était si mignonne, et ses joues légèrement gonflées par sa tentative de retenir sa respiration ne faisaient qu'accentuer ce sentiment. Pour l'encourager à continuer de tenir bon, je les embrassaient toutes les deux avant de me plonger dans ses lèvres, sans lui donner vraiment d'air pour le moment, sans même chercher sa langue, je restais simplement appuyée férocement contre ses lèvres en gardant ce contact le plus longtemps possible, frémissant de sa main sous ma culotte.

Pour la motiver à aller plus loin et à accélérer le pas, tout en gardant ce baiser clos, je quittais sa main pour aller poser mes doigts sur ses fesses, une partie de son corps que j'affectionnais particulièrement et à laquelle je prévoyais déjà un futur traitement des plus délicieux, si elle éprouverait l'envie. Avant d'en arriver là, elle devait toutefois m'offrir l'orgasme promis et une petite fessée de motivation s'estompa sur son popotin avant de lui agripper la chaire entre les doigts.

Une nouvelle fessée s'écrase pendant que de concert, le baiser ne s'estompe... ou pas tout à fait. Dans mon recul, j'attrape sa lèvre inférieur entre mes dents et la lui mordille comme une tigresse qui vient de capturer sa proie. Je ne la lâche pas, la gardant entre mes dents en la fixant d'un regard intense et consumé par la tendresse... mais une tendresse sauvage à en faire rougir n'importe qui. C'était généralement un regard comme celui-ci qui précédait des ébats amoureux digne de ce noms, d'une sauvagerie si excitante qu'elle restait ancré dans les mémoires. Oui, je lui réservait bientôt quelque chose qu'elle n'oublierait pas, mais une nouvelle fessée bien plus appuyée fit claquer son derrière dans l'attente de voir comment elle honorerait mon corps.

Sous l'eau, son regard se porta quelques instants en direction de la surface, voyant quelques faibles lueurs de lumières passé au dessus de la rivière. Nul doute que si ils devaient continuer leurs, recherches encore quelques minutes, ses deux curieux allaient se choper une belle frousse en croyant réellement qu'il s'agit d'un suicide, avec une femme qui s'est déshabiller avant de plonger au fond de l'eau et y rester. Dans un sens, ils ne se seront pas trompés de bien loin.

Ce petit contretemps passé, Ayumi commença à caressé le clitoris de la sirène avec le pouce alors que son index commença à s'enfoncer dans son vagin. Assez maladroitement soit disant en passant, montrant que quand il s'agit d'un, ou plutôt d'une autre partenaire, Ayumi n'avait aucune expérience en la matière. Le fait que Lyli lui prenne le bras pour qu'elle ne puisse pas sortir la main de sa culotte, lui fera comprendre que sa manœuvre était bonne, même si elle n'avait pas les mains d'une experte en la matière.

Quand à sa bouche, alors que Lyli la blottissait contre sa poitrine en attendant d'avoir son nouveau baiser, Ayumi lui embrassa les seins, en suçant un avant de s'occuper d'un des tétons. Les dires qui suivront, Ayumi n'en comprit pas vraiment le sens, ne voyant pas trop à quoi elle pouvait faire référence, la jeune fille n'ayant pas l'esprit assez tordu en la matière. La curiosité prenant le dessus et sachant qu'elle n'aura pas la réponse même si elle venait à lui demandé. La suite, Ayumi la passa à l'embrasser, lui suçant le cou les rares moments où Lyli cesseront de s'embrasser, et quand celle-ci ne s'occupait pas à mordiller ses lèvres. Ses doigts, car bientôt le majeur et l'annulaire les rejoindront, iront de plus en plus vite, plus en plus profondément à mesure des vas et viens. Si la sirène se crispa après ses fesses, Ayumi quand à elle, enroula sa jambe gauche autour de l'une des jambes de la sirène, comme si elle voulait faire profiter de la caresse que pouvait procurer la cuisse de la japonaise. La bottine empêche davantage de plaisir mais l'idée et le geste sont là.

Sa seconde main, de nouveau libre après l'étreinte qu'elle avait avec celle de Lyli, alla doucement caresser les fesses de Lyli. Accélérant le rythme des doigts qui pénétrait le vagin de la sirène, celle-ci prit plus fermement les fesses, comme si Ayumi chercher à mieux à la caler et pour cause, quand ses doigts arriveront plus profondément, Ayumi commença à bouger, comme si elle cherchait à les faire explorer chaque recoins de cette parois pour procurer davantage de sensation à sa partenaire.