Interloqués, stupéfait par les pouvoirs magiques des deux jeunes femmes, les hommes de main et leur chef ne réagissent même pas quand les sorcière se mettent en action et se font cueillir par leurs sorts.
Dans l'assistance, c'est la surprise totale et la stupéfaction, rapidement suivie des vivas et des acclamations de la foule d'étudiants et d'étudiantes qui remercient leurs deux héroïnes.
Trop sonné pour penser à utiliser sa capsule, le chef des mercenaires, un certain Alerandro se retrouve à la merci des sorcières et de leurs amis. L'orgueil blessé et honteux d'avoir été vaincue par de jeunes ados. il crache par terre et dit à Eva d'un ton dédaigneux et pointant sa baguette:
- Alors ça sert à ça cet étrange joujou qu'on a confisquées à tes deux copines ? Heureusement qu'elles ont pas eu le temps de s'en servir, avant qu'on les drogue...De toute évidence, il parle de Julia et Megane. Les pauvres sorcières n'ont pas eu le temps de se défendre ou de se battre, de prouver de quoi elles étaient capable avant de subir le même sort que les autres.
- C'est trop tard pour elles... Elles sont déjà entre les mains de Max, ça me surprendrait beaucoup qu'elles soient encore capables de faire vos truc bizarre quand elle en aura fini avec elles...--- Plus tôt au repère de Rachele ---
- Le premier convoi vient d'arriver Boss.Dit le chauffeur à la femme en robe crème, portant de superbes bottes montantes et des gants de cuir noir. Les portes arrière du fourgon s'ouvrent et deux autres hommes de main en sortent et tirent vers eux quatre valises. Ils les ouvrent pour montrer le fruit de leur "pèche" à la mafieuse.
- Que quatre filles ?Répond Dona Florenza en plissant les yeux. Très vite, l'esclavagiste retire sa cagoule et la presse entre ses mains en signe de respect et de peur.
- C'est que... Boss... yen a deux qui sont bisare, quand on les a droguées, elles ont résisté très longtemps et elles ont tenté de se servir de ça pour se défendre.Ajoute t'il en lui tendant les baguettes des deux jeunes sorcières. Rachele les prend dans les mains et les observe en haussant un sourcil, dubitative. Puis elle regarde Julia et Mégane qui commencent à émerger douloureusement de leur sommeil narcotique. Les deux jeunes femmes sont belles et bien faites, combative en plus au vue des objets dérisoire avec lesquelles elles comptaient se défendre.
Une nouvelle idée germe dans sa tête et elle empoigne les deux baguettes pour les ranger entre ses seins. Elle lance alors aux deux jeunes femmes un regard pervers et malicieux.
-J'ai une petite idée de ce que je vais faire avec leurs jouets. Préparez les toutes pour le conditionnement, mais je vais m'occuper de ces deux la personnellement...Les hommes de main acquiescent et entraînent les jeunes femmes vers le laboratoire de l'Asylum...
Quelques minutes plus tars, à mesure que Megane reprend connaissance, elle sent une étrange sensation envahir son bassin, un subtile mélange de douleur et d'excitation. Quand elle essai de bouger les bras ou les jambes, elle réalise qu'elles sont incarcérées dans une sorte de machine qui l'immobilise totalement.
Quand elle parvient enfin à faire le point et que sa vision se stabilise, elle découvre qu'elle est dans une pièce insonorisée aux murs blancs et métalliques.
En face d'elle, harnachée de la même façon, Julia dors encore. Mais avant de pouvoir lui parler, à nouveau elle sent cette étrange douleur lui traverser le bassin et irradier dans sa vessie, une étrange vague de plaisir et d'excitation suit et l'émoustille. Elle baisse le regard vers sa jupe d'écolière relevée et découvre avec horreur qu'une femme, élégamment vêtue, est en fait en train de lui pénétrer l'urètre du bout de sa propre baguette lubrifiée avec un gel épais et blanchâtre, pour la lui enfoncer jusqu'à la vessie et faire de petits aller-retours.
-Bonjour esclave, tu as bien dormi ?--- Pendant ce temps là au Lycée ---
Eva tient le chef des esclavagistes entre ses mains, mais le temps lui est compté, car partout les alarmes du lycée ont commencé à retentir et depuis les fenêtres du dortoirs, elle remarque de vrais voiture de police commencent à arriver.
Surpris de voir le travail déjà fait, ils commencent par arrêter les hommes de mains assommés et entrent dans le bâtiment, dans quelques minutes, ils arriveront au dernier étage et ils embarqueront le chef des hommes de main sans qu'il n'ai encore rien dit sur la raison et l'origine de l'attaque...