Voyant qu'Emilie frissonne et rougit sous le traitement qu'elle lui inflige, Delilah sourit d'un air malicieux et libidineux. Elle regarde sa jeune nièce comme un prédateur s'apprettant à mordre sa proie, Emilie reconnait ce regard, elle l'a déjà vue chez quelques uns de ses courtisant les plus assidus, le désir, le désir charnel, intense et dévorant, difficilement contenu sous un verni de civilité mais qui cache une animosité et une perversion sans limite.
- Regretter... Arrête ? N'y compte... pas ? Que d’exigences irréalisables votre majesté impériale... Fait donc taire ta stupide petite voix intérieur et suis la voix de la raison, écoute ton corps.
Ajoute Delilah en se penchant toute entière sur Emilie pour venir lécher le sein encore propre de la jeune noble. Comme une véritable prostituée de bordel, elle ouvre grand la bouche pour laisser sortir une grande portion de sa langue et coiffer totalement le téton de la belle avant de remonter vers sa gorge. A nouveau, la transformation s'opère et vrille le corps de la jeune femmes de nouvelles sensations extatiques.
- Regarde toi... ton corps est plus raisonnable que ta tête, ton corps me répond et accepte mon présent pour te couvrir de grace, pour combler tes désirs les plus inavoués...
Elle descend légèrement sur ses genoux pour arriver à hauteur du ventre d'Emilie et fend les restes de son chemisier pour dévoiler totalement son buste jusqu'au pantalon. Elle passe à nouveau sa langue sur les reins de la belles, lui lèche les hanches et remonte vers son nombril pour s'y enfoncer délicatement.
Emilie sent un fourmillement étrange dans ses tripes, elle le sent descendre vers son utérus et lui échauffer les sens, comme si la salive de sa tente était peuplée de petits serpents qui se glissent dans sa chaire pour aller mordre l'intérieur de son corps, là où se cachent ses nerfs les plus sensibles.
- J'ai de grands projets pour toi, ma nièce, tu remplaceras bientôt ta mère dans tout ce que je comptais entreprendre avec elle, si j'avais pue l'atteindre avant qu'un autre ne la tue... Savais tu que les Kaldwin sont devenu l'élite régnante des îles parce qu'ils étaient des sorciers et des sorcières de mère en fille, de père en fils ?
Elle recommence à descendre, les ronces se crispent et écrasent plus encore les membres d'Emilie pour l’empêcher de se débattre à mesure que le visage de Delilah se rapproche inexorablement de la braguette entre-ouverte de son pantalon.
Elle écarte les pans de tissu pour atteindre la braguette et la descend délicatement dans un long bruit de "zip", révélant peu à peu l’étoffe mouillée de sa culotte blanche.
- Mais pour reveiller ce don familial... il faut d'abord avoir été souillée par le grand vide, et sentir sa noirceur serpenter en soit...
Ses ongles glissent sur le tissu immaculé et le fendent. Au mépris des récriminations d'Emilie, Delilah lui arrache son dérisoire rempart. Là, elle admire la vulve gonflé de désir de la jeune prisonnière, et récolte une petite goute de mouille le long de son index pour le gouter du bout de la langue.
- Encore jeune et acide... inexpérimenté et délicat comme un bouton de rose en pleine éclosion... je suis arrivée au bon moment pour reprendre ton éducation ma nièce.
Elle fait glisser le pantalon le long des jambes d'Emilie, les ronces le déchiquettent petit à petit jusqu'à ce que la belle se retrouve jambes nue, uniquement vêtue de ses bottes montantes. Une fois fait, elle penche son visage jusqu'à frôler les lèvres pubiennes de la jeune femme de son nez et prend une grande inspiration.
- C'est merveilleux n'est ce pas ? Te rend tu compte ? J'ai reussi à te faire mouiller et rougir rien qu'en passant un peu de ma salive sur ta ravissante petite vulve. Imagine ce qui va se passer, quand je vais la visiter, avec ma langue...
Et sans attendre la réponse d'Emilie, la sorcière ouvre à nouveau grand la bouche pour en sortir sa longue langue serpentine et referme sa bouche toute entière sur le sexe de la jeune femme. La prisonnière sent soudain l'appendice de Delilah s'infiltrer entre les muscles de sa vulve pour serpenter jusqu'à son vagin. Sur la route, elle glisse le long d'une petite membrane, délicate et nervurée. Surprise, la sorcière interromp son baiser.
- Voila une merveilleuse nouvelle ma chérie, et je suis un peu surprise, entreprenante comme tu es, je pensais que tu aurais expérimenté les plaisir de la chaire avec un de tes petits courtisants... Hô mais non... une bonne impératrice doit rester vierge jusqu'au Mariage... sans quoi quel seigneur d'une lointaine contré voudrait d'une dévergondée pour épouse... ne t'en fais pas... je vais préserver ton petit trésor pour te le prendre de la meilleur façon qui soit...
Pendant qu'elle parle, Emilie sent agir la salive de sa tente sur la chaire sensible de son sexe. Son organe se gonfle de sang, elle sent son petit mont de vénus grossir et gagner en altitude, son urètre se referme nerveusement pendant qu'une nouvelle vague de fourmillement se repend en elle comme une myriades de parasites.
Delilah tiens son terrible engagement, elle s'accroupie totalement pour passer sous les jambes d'Emilie et lui écarte délicatement les fesses pour révéler la plissure parfaite de son anus.
- Lààààà... voila... parfait... que dirais tu de découvrir le plaisir par ton ravissant petit cul ?
Et sur ces mots elle commence à lui lécher les plis de l'anus pour les couvrir de sa salive maudite, instantanément, le muscle de la jeune femme se contracte et gonfle de désir. Mais la sorcière insiste, elle darde le petit trou au centre du bout de sa langue qu'elle raidie pour pouvoir s'y enfoncer, petit à petit, centimètres après centimètres. Chaque nouvelle zone de son fondement touché par sa bave se met à son tour à se gorger de sang et devenir extrèmement sensible, si bien que Delilah est obligée d'insister, de forcer le passage. Heureusement, sa langue est suffisamment petite pour que cela ne procure que du plaisir.
Au bout de quelques minutes de cette torture, alors que l'anus encore vierge d'Emilie commence à se détendre, la jeune impératrice déchue sent que sa tente passe à la vitesse supérieure... elle sent la pulpe de ses pouces et de ses index venir masser les rebords de son muscle anal pour le détendre et s'y enfoncer...