Basculée en arrière, la Louve se retrouva sur le dos en proie aux douces attentions de Romy. Lui offrant son cou, elle se délecta de ses attentions à cet endroit, frissonnant lorsqu’elle sentit une main lui pétrir un sein avec délectation tandis qu’une seconde migrait vers son antre intime. Elle soupirait d’aise, yeux clos, visage serein, ses cuisses s’ouvrant d’elles-mêmes pour permettre au doigt de venir caresser sa fleur et s’y engouffrer. Relevant un peu son corps, elle attrapa de nouveau une des oreilles du mâle entre ses crocs et se mis à la mordiller tandis que son bassin roulait contre les dextres exploratrices. La Louve le sentait, caressant ses chairs avec expertise et sensualité et elle sentait également sa cyprine coulait contre ses doigts et entre ses cuisses. Elle n’avait nulle besoin de parler, les faibles mouvements qu’elle faisait pour lui indiquer un point à caresser étaient immédiatement compris par le loup qui s’adaptait en conséquence. Ce qui permit à la Lycane de s’ouvrir rapidement. Où était-ce dû à une certaine forme d’excitation ?
Quand il revient pour quérir ses lèvres, elle l’embrassa avec assurance, jouant de sa langue fine contre le sienne bien plus imposant. Un soupir plus profond mais étouffé lui échappa lorsque les doigts du mâle fut remplacé par un membre bien plus imposant. Fronçant ses sourcils sous les premiers coups, devant s’habituer à sa taille et sa largeur, elle se remit bien vite à soupirer, approfondissant son baiser avec son compagnon d’un soir. Sa langue avait entamé avec sa consœur un ballet sensuel tandis que son bassin se mettait peu à peu à suivre le rythme imposé par celui du mâle. La Terranide le sentait, elle sentait chaque aller et retour caresser ses parois cannelées, ses mêmes parois qui se resserraient de plus en plus afin de retenir le membre en elle. Elle se cambra, tandis que son gland frappa contre son col, lui arrachant un autre soupir étouffé. Abandonnant ses lèvres, elle vint à mordiller le cou du loup, ses mains s’agrippant à ses épaules, les gratifiant de quelques griffures à chaque fois que le sommet casqué du membre frapper au fond de sa matrice.
Son appendice caudale se remis en œuvre et vint flatter les parties encore situées à l’extérieure et qui tentaient inexorablement de rentrer également. Il restait facilement quelques centimètres et surtout la base du sexe animale du furry. Pourtant, même si la Louve avait l’impression qu’il ne pourrait plus renter un centimètre supplémentaire, elle avait l’impression qu’il continuait à la transperçait, toujours plus loin. Bougeant ses hanches afin de l’aider par instinct, elle ouvrit à un moment grand ses yeux azurés, une larme coulant le long de ces dernier tandis qu’elle sentait son gland franchir la barrière de son col. Le souffle coupé, son corps tremblant face à la sensation, elle se resserra contre le mâle, s’y accrochant tandis qu’elle le sentait progresser, cette fois pour de vrai, encore plus loin.
Elle resta contre lui, tremblante de tout son être, ses chaires se refermant contre lui. La sensation était étrange, certes cela lui faisait mal mais elle y retrouvait également un certain plaisir. Et quand il se remit à bouger, cette fois de tout son long, elle ne put retenir un gémissement de plaisir au creux de son oreille, sa queue animale ne flattant à présent plus que la base du sexe de Romy qui tentait à son tour de pénétrer dans l’antre chaud de la Terranide.