Sylvanas regarde l'infirmière s'approcher en hurlant sous son baillon et en secouant la tête sur sa table de travail. Les attaches grincent, le métal de sa structure teinte mais il tient bon, malgré tout ses efforts, la jeune reine ne parvient pas à serrer les cuisses. Prisonnière de ses étriers, elle ne peut qu'assister impuissante et révolté au spectacle de cette femme-abération qui se blottit entre ses jambes et empoigne ses hanches de ses doigts tièdes et humides.
Pendant une seconde qui s'étend à l'infinie, Sylvanas regarde les yeux mouillés de larme l'énorme engin de plaisir, taché d’ichor, se présenter devant sa vulve pour en écarter les lèvres. Puis, dans un borborygme sifflant, l'infirmière donne un puissant coup de rein, et transperce la reine esclave jusqu'à ce que leur vulves s'entrechoc.
- MMMMMmmmmmm !Le Hurlement de douleur de la prisonnière traverse le cuir de son bâillon boule et s'allonge en un long gémissement de plaisir alors qu'elle se cambre en arrière, comme une cavalière désarçonnée par une violente ruade de son étalon. Les sensations décuplées par la pression abominable qu'exerce sa vessie sur son vagin et son clitoris la font instantanément chavirer dans l'orgasme sans qu'elle ne puisse rien faire pour résister.
Une onde de plaisir sexuelle lui déchire l'âme en même temps que la queue écarte les parroies contractés et écrasées de son vagin pour venir cogner de son gland factis contre la porte oubliée et inutile de son utérus.
Au moment où elle jouie, Sylvanas pense enfin qu'elle va être libérée de ce mal-être insupportable crée par le liquide noir profondément enfoui dans sa chaire et qui ne demande qu'à sortir. Mais à sa grande surprise, l'effet inverse se produit. Un orgasme d'une telle violence l'aurait normalement faite éjaculer comme une véritable femme fontaine, hors son canal est totalement obstrué et rempli par la colle et la substance mutagène. Ainsi, au lieux de se soulager de son fluide de plaisir, elle ne fait qu'ajouter à la pression qui broie déjà son corps et ses récepteurs nerveux sexuels.
Horrifiée par cette découverte, elle ouvre de grands yeux perdus et se met à fixer le plafond d'un air fou pendant que le Docteur Strang recommence à s'insinuer dans sa tête en lui parlant encore et encore et encore...
- Mmmmm !Gémit elle de nouveau quand l'infirmière se remet elle même de son propre orgasme et ressort d'un coup sec de la prisonnière. L'esprit perturbé de Sylvanas sait qu'elle va recommencer, elle sait qu'elle va revenir en elle et la faire jouir de nouveau, et qu'à nouveau sa nervosité et son besoin grandiront, et grandiront, en grandirons jusqu'à ce qu'elle en devienne totalement folle, puis ce que la mort lui est interdite. Elle a peur, peur de souffrir toujours plus, de perdre l'esprit, de redevenir une esclave stupide et servile. Le bon docteur lui parle d'une voix si charismatique et autoritaire, elle s'accroche à cette voix pour oublier, pour ne pas penser, ne pas avoir peur.
- MMMM !L'infirmière s'enfonce en elle et la fait se cambrer alors qu'un nouvel orgasme la déchire. Mais elle ne peut pas éjaculer, elle ne peut pas se vider, la pression monte encore. Elle se met à trembler de tout son corps à mesure que la nervosité sexuelle la consume, elle n'entend plus que la voix du bon docteur maintenant. Elle est perdue dans cette clarté artificielle brûlante, fixant de ses yeux ronds et exorbités la lumière blanche de la lampe d'opération, le monde autour d'elle n'existe plus, il ne reste plus que son sexe, l'infirmière qui la viole, et la voix du docteur qui l'hypnotise.
Alors que le pire semble être atteint pour la prisonnière, l'infirmière commence à accélérer la cadence de ses aller-retour. Elle entre et sort plus vite, plus fort, sans jamais parvenir à détendre ou dégager la chaire du vagin de Sylvanas, toujours écrasée par le poids de sa vessie.
Détruite par des orgasmes incontrôlables et destructeurs qui lui provoquent toujours plus de frustration et de tension sexuelle, le corps tout entier de l'elfe se tend à l'extrème et ses tremblement se transforment coup de rein après coup de rein en véritables convulsions.
Au bout d'un moment, s'en est trop et Sylvanas craque purement et simplement sous la pression. Ses yeux se révulsent au point de ne voir que le bas de ses iris et elle se met à baver et cracher une écume blanche par les interstices de son bâillon pendant qu'elle roule du bassin comme une folle dans l'espoir de se libérer de sa mouille accumulée derrière le bouchon.
L'infirmière ressort alors le long pénis artificiel de la vulve de la captive en pleine crise Epilepsie et s'empare d'une seringue pleine de calmant pour arrêter le massacre. Le Docteur Strang retient sa mains et lui fait lâcher l'objet salvateur, seul salut de la prisonnière.
Calmement, il continue de parler de sa voix douce et profonde à Sylvanas dont la crise et les convulsions s'intensifient. Au point culminant de la folie, au paroxisme de l'explosion nerveuse, alors que son cerveau bout dans son crâne et lui arrache des pans entiers de sa personnalité, la reine elfe se crispe soudain toute entière et parvient à cracher son baillon d'entre ses lèvres pour ouvrir grand la bouche et laisser sa langue pendre pour pousser un hurlement de folie et de plaisir pur.
- RAAAAAAAAAAAAA !!!!!A la fin de son cris, elle se relâche très légèrement pour se rallonger contre le lit, tout son corps reste tendu à l'extrême, elle fixe la lumière d'un regard fou en respirant profondément et avec lenteur.
- C'est un premier résultat satisfaisant. Nous allons pouvoir procéder à la seconde étape de votre conditionnement maintenant que vos désirs sexuels sont réveillés et votre volonté amoindrie. Infirmière, appliquer un bouchon chirurgical sur son urètre, je veux que le liquide mutagène reste plusieurs jours dans son organisme pour provoquer un changement définitif. Voyez vous Madame Coursevent, la thérapie chimique va relancer votre cycle hormonal et le bouleverser totalement pour créer un sentiment d'insatisfaction sexuelle permanente. Ajouté à la pression importante qu'exerce votre vessie sur votre clitoris, nous devrions observer un retour rapide et définitif à des pulsions correspondant à votre catégorie social.Dit le Docteur Strang à la nouvelle esclave sexuelle elfe, totalement réceptive et concentrée sur sa voix. Il regarde faire l'abomination et se délecte d'entendre Sylvanas gémir au simple contact du baume collant sur son petit orifice urinaire.
- Bien, maintenant nous allons procéder à votre isolement total, aucune autre stimulation autre que sexuelle pendant une durée indéterminée. Nous vous en ferons sortir quand la thérapie aura porté ses fruits sur votre comportement. Infirmière, procédez...Le regard toujours fixe, Sylvanas écoute le bon docteur et se laisse faire. Elle sent qu'on lui enlève les bouts de vêtements qu'il lui restait et qu'on lui enfile une sorte de tunique complète, faite dans une matière plastique extensible qui coupe chaque partie de sa peau de sa sensation de toucher.
On lui passe un anneau dans la bouche pour la maintenir grande ouverte, elle laisse pendre sa langue entre ses lèvres comme une chienne en chaleur. Puis on lui passe une cagoule qui épouse la forme de ses traits et la prive alors de la vue et de l' ouïe. Sylvanas passe de la lumière aux ténèbres réconfortantes et son esprit brûlé contemple le néant de son existence. Alors qu'elle se croyais tranquille, la voix du bon docteur résonne de nouveau dans sa tête par de petit écouteurs glissées au fond de ses oreilles:
- Nous allons pouvoir continuer la thérapie à loisir pendant les jours à venir sans qu'il ne soit nécessaire de nous voir, vous pourrez ainsi vous concentrer sur mes conseils pendant les longues heures où je vous entretiendrez sur votre rôle, votre identité véritable, et vos devoirs...Totalement désemparée, la reine brisée ne peut qu'écouter en soupirant avant de hocher la tête machinalement. Satisfait, le docteur Strang fait signe à ses infirmières de raccompagner la patiente vers les cellules.
--- Aux cellules ---
Une violente décharge élèctrique traverse les murs de la cellule de Marius et le corps du colosse, une des plus brutale qu'on lui ai jamais administré depuis qu'il est enchaîné ici. Des gardent arrivent et s'assurent qu'il est bien désarçonné et incapacité avant d'ouvrir sa cellule.
Le docteur maléfique arrive alors devant les barreau, suivit par son cortège d'infirmières, poussant dans un crissement de roulette la table de travail avec laquelle il avaient enmené la Princesse terrifiée. Marius comprend alors pourquoi sa belle compagne de cellule avait si peur. Détachée et tendue sur l'acier de la civière, repose le corps sculptural d'une jeune femme, sans doute la princesse elfe dont le corps et le visage sont désormais masqués par une tunique d'isolement.
Attention contenu explicite:
- Mon cher Chevalier Blanc...Dit le docteur alors que les infirmière font entrer la table dans sa cellule et font glisser le corps de la jeune femme à quelques mètres du gladiateur.
- Vue que vous sembliez inquiet pour votre camarade de détention et soucieux de sa santé, je vous invite à participer à sa guérison.Les infirmières ressortent et les barreau de sa cage se redressent.
- Mademoiselle Coursevent est actuellement déconnecté de ses sensations inutiles dans le but de se concentrer sur ses besoins biologiques essentiels. Elle ne vous entend pas, ne vous vois pas, ne vous sent pas, et n'a aucun moyen de savoir ou elle est et avec qui.Le Docteur passe une sorte de clef magnétique entre les bareaux.
- Je vous offre une clef qui vous permettra d’accéder, de dévoiler et de profiter librement de son entre-cuisse et de ses seins. Je vous déconseil de tenter de lui enlever quoi que ce soit d'autre, vous provoqueriez des blessures douloureuses et irréversibles à la patiente. Si la tache ne vous convient pas et que vous ne voulez pas soulager Mademoiselle Coursevent de ses souffrances, je chargerais la garde de le faire.Un rire de satisfaction libidineux parcours l'assemblée de brutes pendant que le docteur tourne les talons et quitte les lieux. Quelques minutes plus tard, Marius se retrouve seul avec Sylvanas...