Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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The Cell

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The Cell

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Sylvanas Coursevent

Créature

The Cell

mercredi 12 juillet 2017, 22:50:41


C'est une triste nuit comme les autres pour les pensionnaires du quartier de Haute sécurité de la sinistre prison Etenrum. Profondément enchâssée dans les ténèbres de la terre, seul une lueur rouge ou blanche permet de connaitre le défilement des jours et des nuits qui rapprochent inexorablement chacun d'eux du tombeau. Enterrés ici pour y pourrir lentement, la plupart ne s'inquiètent même plus de leur mort prochaine, comment faire la différence entre un  trou ou un autre, quand on ne vit déjà plus comme être vivant...

Ici, rare sont ceux à connaitre autre chose que les murs froids et glacés de leur cellules. Rare sont ceux à voir autre chose que le minuscule petit morceau de couloir, d'à peine un mètre de largeur qui séparent leurs barreau de geoles de ceux des autres. Ici, il n'existe aucune intimité. Repartis en îlots de deux cellules qui se font face, les larges épieux de fer qui servent de porte permettent de voir l'autre prisonnier dans la moindre de ses actions, qu'il dorme, mange ou défèque dans le trou d'évacuation aseptisé qui lui sert de toilettes.

Au plus profond de cette désolation au murs d'acier poli par le passage du temps, ou résonne les hurlements de désespoir et de folie de ses occupants, il existe une porte. Derrière elle, se trouve une autre porte, plus grosse, plus massive que toute les autres, un véritable mur de métal amovible, dressé la pour tenir enfermé les plus dangereux guerriers de Terra et d’ailleurs.

Derrière Cette Porte, il n'y a que deux cellules...
Comme les autres elles se font face, mais c'est tout ce qu'elles ont en communs. Car leurs murs sont plus épais, leurs barreaux plus larges, leur vue plus ouvertes sur les salles de torture et d'interrogatoire aménagées tout autour pour permettre au personnel du complexe de jouir de la discrétion des lieux... et de l' impunité totale qu'elle procure...

Depuis des années, il n'y a qu'un seul prisonnier ici. Paradoxalement, c'est un de ceux qui sort le plus souvent de sa cellule et pourtant, on continue de le laisser derrières ces murs inviolables, par sécurité, pour ne pas relâcher ne serais ce qu'il maillon de la chaîne du Loup, de peur que sa fuite n’entraîne un véritable Ragnarok.

Mais alors qu'il profite du silence éternel de sa retraite souterraine, le puissant guerrier voit sa quiétude troublée par un événement surprenant, presque incroyable. Car il n'est pas l'heure du repas, il n'a aucun combat de prévu à l'Arène ce soir, et pourtant La Porte s'ouvre...


Deux puissantes guerriers en armure Terranide escorte une elfe à la peau bleue et au regard rouge pâle (plus pâle que sur l'image). Sa beauté est époustouflante, ses formes, excitantes et à la fois mises en valeur et dissimulées par son armure de ranger.

Ses poignets sont écrasés par deux énormes maillons qui lui servent de menottes, leur taille et leur brutalité contraste de manière énigmatique avec l'apparence frêle et délicate de la jeune femme. Un collier électrique orné d'un anneau lui enserre le cou comme pour de nombreux autres prisonniers dangereux.

Arrivée devant sa cellule, on la fait se tourner face à celle du gladiateur, dos à sa propre porte. Sans la moindre raison ou semonce, l'un des deux mastodontes lui donne un violent coup de poing dans l'estomac, la belle tombe à genoux en réprimant un gémissement par pure fierté. Les geôliers se penchent alors sur ses bras et un cliquetis de chaîne se fait entendre. Chacun d'eux récupère une menotte et tire sur un bras pour l'obligée à se tenir ainsi, en crucifixion, assise sur ses tibias douloureux. C'est ainsi que la belle prisonnière croise pour la première fois le regard de son futur champion.


Une voix résonne dans l'interphone de sa cellule.

-Sylvanas Coursevent, Reine Banshee du Royaume de Néo-Undercity. Pour vos crimes envers le Nexus et les Trois Royaumes: crime de guerre, nécromancie, enlèvement, séquestration et torture, vous avez été condamnée à la prison à perpétuité.

Les deux molosses en armures lui attachent alors les menottes dans le dos, ouvrent sa cellule et l'y jettent comme si elle était un simple sac de toile. A nouveau, la jeune femme réprime un petit cris de surprise et de douleur alors qu'elle vole au travers de la pièce, percute le mur et glisse lentement vers le sol.

Furieuse, elle essai maladroitement de se relever sans ses mains, liées dans son dos, l'un des deux geôlier s'approche d'elle pour corriger son impudence. Elle pousse alors un hurlement d'une puissance inouïe, un hurlement qui fait vibrer les barreaux et les murs des cellules, un hurlement qui vrille les oreilles et le coeur du gladiateur enfermé au point qu'il crois qu'il va exploser.

Le garde lui donne alors une violente gifle en plein visage, elle gémit et percute à nouveau le mur du fond.

-Sale petite pute de banshee... ta connerie de hurlement mortel ça marche pas sur les Crônn...

Il la prend par le collier et la soulève à hauteur de son visage, sa langue énorme et pateuse sort d'une embouchure de son casque et vient lécher la petite goute de sang qui coule du nez de la belle.

-Dehors t'était quelqu'un... mais ici... t'es qu'une pute...

Il lui crache au visage et la lache pour la cueuillir à nouveau d'un coup de poing dans le ventre. Sylvanas s'effondre à nouveau aux pieds de son tortionnaire. Celui-ci prend une petite télécommande de sa poche et appui sur un bouton rouge à son sommet.

-Gnnnnnnglll...

Gémit la prisonnière en se tortillant de douleur par terre. Il garde son doigt sur l'objet pendant de longues secondes, jusqu'à ce que la jeune femme commence à baver une écume mousseuse. Puis il arrête et sort de la cellule, referme les barreaux, et s'en va avec son camarade, abandonnant Sylvanas dans sa cellule, effondrée et perclus de douleur, face à celle du Gladiateur qui n'a rien manqué de toute cela.

The Suicider

Humain(e)

Re : The Cell

Réponse 1 lundi 17 juillet 2017, 00:37:32

Les pires criminels de la planète n’étaient pas tués. Ils subissaient un sort pire encore que la mort, que le bûcher, la décapitation, ou l’écartèlement. Ils étaient envoyés ici, à la Prison Eternum. Eternum était la plus belle réusdsite de coopération judiciaire et internationale à hauteur de Terra. Elle était née suite à une volonté commune de Tekhos, Nexus, et Ashnard, de former une prison spéciale pour leurs délinquants les plus dangereux. Face à des mutants, des mages, et d’autres individus redoutables, des prisons ordinaires n’étaient pas suffisantes. C’est en ce sens que Tekhos avait réuni des fonds et des moyens communs, afin de concevoir une techno-prison magique révolutionnaire, la Prison Eternum. Une épaisse prison souterraine, entourée de barbelés, et défendue par toute une garnison, avec de multiples gadgets technologiques et magiques modernes. La Prison se targuait de n’avoir eu aucun évadé depuis qu’elle avait été bâtie, et ça, Marius avait eu l’occasion de s’en rendre compte. Même avant d’être ici, dans sa famille natale, on connaissait Eternum, et lui-même avait déjà assisté à plusieurs procès où les juges avaient ordonné une condamnation à Eternum.

Il y était maintenant depuis des mois, au moins... À vrai dire, on finissait par perdre le temps ici, dans la Prison. On ne voyait jamais le jour, car les détenus déambulaient dans une cour artificielle, éclairée par d’énormes néons. Et là, Marius était actuellement au trou, dans le quartier de haute sécurité. C’était une zone très spéciale, une sorte de long puits qui semblait s’enfoncer dans les entrailles de Terra, et où il y avait de multiples plateformes, chacune comprenant deux cellules se faisant face. Et c’était comme ça. La nourriture descendait par des conduits, des rations infâmes et dégueulasses.

Marius avait beau être le champion de l’Arène, récemment, il avait gagné un combat difficile, où il était porté perdant. Il devait se coucher pour permettre au favori de gagner, et permettre à plusieurs huiles gérant la Prison de se faire plein d’argent. Hélas pour leurs économies, le Suicider avait été fidèle à sa réputation, et avait égorgé son adversaire au terme d’un combat long et éprouvant. Alors, en punition, on l’avait enfermé au trou. Rien à faire ici, si ce n’est d’attendre, et de lutter contre la folie qui poussait lentement en vous. Les prisons étaient hautement sécurisées, avec des scanners et des outils de torture qu’on pouvait utiliser pour la privation de sommeil.

*Mais ils ne m’auront pas... Non, je ne craquerais pas.*

D’un autre côté, quel espoir avait-il ? Tout le monde parlait d’évasion, notamment en fuyant dans les mines... Mais personne ne revenait jamais des profondeurs d’Eternum. Chaque jour, les détenus travaillaient dans un complexe minier dangereux situé sous la Prison. Un complexe dangereux, car il y avait, dans les grottes, quantité de créatures nécrophages, de pièces, de fosses redoutables... Le tout dans une structure labyrinthique, qui faisait que ceux qui fuyaient ne revenaient jamais.

*Mais j’arriverais à sortir d’ici...*

La tâche était loin d’être facile, car, régulièrement, l’administration procédait à un déménagement des cellules, afin de briser les clans qui, petit à petit, se formaient. Marius savait comment les choses marchaient ici. Au moins, il pouvait se relâcher quand il allait à l’Arène, mais, pour le reste... Il n’avait qu’une hâte, que sa peine se termine, et qu’il retourne dans d’autres secteurs.

Des alarmes résonnèrent alors, et il se leva, quittant sa banquette. Un grincement se fit entendre, ainsi que des bruits de pompe, et le vrombissement de la plateforme centrale. Il savait alors que tous les autres prisonniers ici allaient regarder la plateforme, afin de voir quel nouveau pensionnaire elle amenait. Et, à la grande surprise de Marius, la plateforme s’arrêta à son étage. Il vit deux gardes massifs amener une femme à la peau pâle, et à la beauté incroyable.

*Qui est-ce ?*

Il s’écarta prudemment de la vitre, et vit la jeune femme se faire légèrement battre. Rien d’exceptionnel, Marius y avait aussi eu droit en entrant ici. Mais, comme les administrateurs en avaient après lui, la correction avait été assez lourde. On lui avait broyé les couilles, et il avait mis plusieurs semaines avant de pouvoir pisser à nouveau normalement. Il resta donc silencieux, en observant la femme se faire battre... Lorsqu’elle se mit hurler, contre-attaquant. Même à travers les épaisses vitres en plexiglas, Marius grimaça, ses oreilles se mettant à siffler... Puis les systèmes automatiques de la Prison s’enclenchèrent, et dressèrent Sylvanas, qui se fit encore battre.

Dans des ricanements mesquins, les deux gardes sortent alors de la cellule, dardant un bref regard vers Marius.

« Ça va, le champion ?
 -  Tu peux pisser, maintenant ? »

Ils ricanèrent à nouveau, et remontèrent ensuite dans la plateforme. Resté silencieux pendant toute cette séance, Marius vit l’engin se relever, et, quand il fut assuré que les geôliers étaient bien partis, il retourna contre la porte vitrée.

« Hey... Hey, vous ! »

Marius tapa doucement contre la porte, afin que la femme se redresse.

« Je m’appelle Marius. »

Putain, ce qu’elle était belle ! Un charme typiquement ashnardien, qui rappelait au guerrier un passé lointain et révolu. Torse nu, il exhibait ses pectoraux et ses cicatrices devant la femme, témoignant de son passé de combattant.

« Et vous ? Qu’est-ce que vous avez fait pour vous retrouver là ? »

DC d’Alice Korvander.

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Sylvanas Coursevent

Créature

Re : The Cell

Réponse 2 lundi 17 juillet 2017, 20:13:54

Encore sous le choc du mauvais traitement qu'elle à reçu, Sylvanas dodeline de la tête et gémit faiblement en tentant de se redresser. Elle entend une voix résonner sur contre l'acier de sa cellule, qui es ce ? Sans doute le puissant mastodonte qu'elle à entre aperçu dans la geole en face d'elle avant que ces brutes ne la frappe et ne l'enferme ici...

Alors que ses forces lui reviennent, elle lance un regard vers les barreaux de sa cage et contemple enfin la puissance primale et virile du "Suicider". Ses yeux sont aussi ténébreux du dur que les traits de son visage , d'aussi près, elle à l'impression que son regard lui brûle la peau.

Soudain, la Reine banshee réalise dans quel posture elle se trouve et le spectacle qu'elle offre sans le vouloir au prisonnier. Elle est assise contre le mur de sa cellule, à genoux, les jambes écartés et les mollets comprimés sous ses cuisses. Ses bras, toujours liés dans son dos par les puissantes menottes magiques, la force à ouvrir ses épaules et à bomber le torse. Cela met en valeur sa superbe poitrine dont l'armure de cuir, déformée par les coups du geolier, laisse presque apparaître un de ses tétons tout en offrant au gladiateur un superbe aperçu de l'auréole plus sombre qui l'entoure.

-Ho !

Soupire t'elle en retenant un cris de stupeur. Elle ferme les jambes, ramène les genoux contre son ventre et se met de côté dans l'espoir de se cacher le plus possible. Dans cette position, elle ressemble plus à une  jeune damoiselle en détresse qu'à la puissante reine guerrière qu'elle est. C'est le triste pouvoir dont dispose les prisons et les billots, celui de rendre misérable ce qui était magnifique et grandiose.

De honte, elle baisse la tête, sa peau s'assombrit sous ses yeux rouge pâle, ce qui lui donne un petit côté séduisant et fragile. Elle se taire alors dans le mutisme pendant de longues minutes, préférant ignorer ce  prisonnier de bas étage qui ne doit être au final qu'une brute de plus dans cet enfer d'acier.

Petit à petit, un silence insupportable s'installe, et l'esprit fiévreux de l'elfe commence à se poser des questions qui étirent le temps et le supplice de l'attente.

Combien de temps vais je rester ici ? Y a t'il une échappatoire ? Que vont ils me faire ?

Autant de questions qui torturent la conscience de la banshee de chaire et de sang jusqu'à ce qu'elle perde patience. Comme les vagues d'une mer noire et saumâtre, les souvenir de son dernier emprisonnement remontent du puits sans fond de sa mémoire. Elle se revoit enchaînée de la même manière, forcée de se tenir à genou devant son ennemi juré. Puis, ce sont les souvenir de ce qu'il lui a fait qui surgissent...

Elle doit parler ! Penser à autre chose ! Pour ne pas repenser aux horreurs du passé, pour ne pas s'imaginer ce que ses nouveaux tortionnaires lui préparent.

-Je... Je m'appele Sylvanas, Sylvanas Coursevent et je viens de Terra...

Il n'a pas besoin de connaitre les détails. Et de son propre aveux, il serait ridicule de revenir sur son statut de Reine alors qu'elle se trouve enchaînée comme une esclave, un collier au cou à croupir dans une cellule. Ici, en cette instant, elle n'est plus rien...

-J'ai été faite prisonnière par une confrérie de Sorciers des Trois Royaumes pour se venger de la guerre que j'ai mené contre leur peuple, il y a quelques années de cela...

Elle se tais à nouveau, puis reprend.

-Et vous... Qui êtes vous ? Pourquoi êtes vous ici ? Que signifient ces cicatrices dont vous êtes si fier ?

Dit elle en tentant de cacher maladroitement sa propre cicatrice avec ses genoux. Celle que lui à laissé Frostmourn entre les seins alors qu'Arthas l'empalait lentement avec.

The Suicider

Humain(e)

Re : The Cell

Réponse 3 mardi 18 juillet 2017, 07:21:12

« Ah. »

Ce fut sa seule réaction quand Sylvanas, une fort belle femme, lui annonça avoir été enfermée ici par une confrérie de sorciers appartenant aux « Trois Royaumes », une alliance politique dont Marius, au demeurant, n’avait jamais entendu parler. Et pourtant, il avait fait partie d’une grande famille ashnardienne ! Mais Terra était un monde très vaste, qui évoluait sans cesse, et il était enfermé ici depuis des mois, au moins. Qui sait ce qui avait pu se passer de l’autre côté ? Ici, à la Prison Eternum, on vivait tout simplement hors-du-temps. Pour vos proches, être à Eternum, c’est comme si vous étiez morts. Ici, il n’y avait pas de parloir, pas de visites, rien d’autre qu’une condamnation à vie. À se demander pourquoi on ne tuait pas tout simplement les prisonniers détenus ici, mais c’était aussi parce que certains étaient des nécromanciens, qui étaient encore plus dangereux morts que vivants. Il y avait vraiment de tout dans cette prison, qui lui faisait parfois l’effet d’être une cocotte-minute sur le point d’exploser.

Marius ne savait pas trop comment se positionner. Croiser les bras ? Les laisser pendre le long de son corps ? Finalement, il finit par les croiser, pendant que la jeune femme, qui s’était timidement isolée dans un coin. Sylvanas, après s’être brièvement présentée, lui demanda alors de se présenter. Il sourit, et se massa l’arrière du crâne.

« Qu’est-ce qui vous fait dire que je suis fier de mes cicatrices, Princesse, au juste ? »

Simple question rhétorique, car il enchaîna rapidement :

« Elles sont des souvenirs Je me souviens des circonstances de chacune des batailles que j’ai menés, et qui conduit à porter ces cicatrices. Alors, je ne sais pas si on peut en être fiers ou pas... Les filles adorent, mais moi, j’y vois surtout des rappels. Celle-ci, par exemple, fit-il en désignant du doigt une balafre sous son omoplate gauche, je l’ai acquise en me montrant trop hardi en repoussant des rebelles. Une lance a entaillé mon armure, et a atteint ma chair. Un ou deux centimètres au-dessus, et ça me perçait le cœur. C’est une leçon que j’en ai tiré... Toujours protéger son cœur. Ça... Et quelques ex aux dents pointus et aux longues griffes. »

Il se racla la gorge, et déambula un peu. Il ne portait qu’un pantalon en cuir, noir, qui avait tendance à mouler ses formes. L’homme était bien musclé, et bien bâti. En réalité, c’était un colosse, qui faisait presque deux mètres de haut, et plus de cent kilos de muscles. Un véritable guerrier Ashnardien, habitué à porter d’énormes armures, à se battre dans la boue, dans la fange, à défier quantité de monstres.

« Je m’appelle Marius, Princesse. J’étais un valeureux guerrier ashnardien quand toute ma famille a été massacrée par un clan rival... Et, comme il fallait un con pour porter le chapeau, c’est tombé sur moi. J’ignore combien de temps je suis ici, dans cette prison... On ne voit même plus le soleil. C’est notre horloge biologique qui, les premiers mois, nous dit quand on approche de la nuit, mais, ici, ce sont eux qui gèrent le cycle de sommeil, en coupant le courant quand ils veulent. »

Marius haussa les épaules.

« Malheureusement, Princesse, je veux pas être le porteur de mauvaises nouvelles, mais... Vous et moi, on risque de passer un long moment ensemble. Cet endroit ne s’appelle pas Prison Eternum pour rien. En revanche, vous avez dû faire pousser des furoncles au cul d’individus puissants, parce que, pour vous retrouver direct au trou dès votre premier jour... Y a forcément un type qui vous aime pas. »

Ça, il ne voyait aucune autre explication, car ce n’était pas la procédure normale, pour autant qu’on puisse, dans ces circonstances, parler d’une procédure normale.

« Vous avez un ex’ en pétard contre vous, beauté fatale, c’est ça ? »

DC d’Alice Korvander.

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Sylvanas Coursevent

Créature

Re : The Cell

Réponse 4 mercredi 19 juillet 2017, 13:02:49

-Qu’est-ce qui vous fait dire que je suis fier de mes cicatrices, Princesse, au juste ? 

A l'instant où le puissant gladiateur la surnomme "Princesse", Sylvanas redresse la tête et le fusille du regard. L'orgueil et la fierté elfique de la jeune femme transpire de tout les ports de sa peau, Marius ne peut que s'en rendre compte et réaliser qu'il a fait mouche avec son saubriquet.

Si elle n'étais ainsi arnachée de sangles et de menottes, elle se dresserait sur ses grands chevaux pour lui imposer le respect qui lui est due. Au lieu de cela, elle ouvrir la bouche dans le but de lui asséner une répartie cruelle avant d'exiger qu'il la nome par son véritable titre...

Mais les mots ne sortent pas. Car une fois de plus elle réalise le ridicule de vouloir se faire appeller Reine quand on est ligotée comme une pute au fin fond d'un bordel sordide.

Le mastodonte reprend de plus belle et la prive des quelques secondes de paroles qu'il lui falait pour se défendre. Il lui montre alors chaque sillon qui scarifie sa chaire et lui explique la valeur qu'il leur porte.

-Elles sont des souvenirs Je me souviens des circonstances de chacune des batailles que j’ai menés, et qui conduit à porter ces cicatrices. Alors, je ne sais pas si on peut en être fiers ou pas... Les filles adorent [...]

Sylvanas ne peut lui donner tors sur ce fait, quand bien même il parait sexiste et réducteur. Car force est de constater que le spectacle de son corps musclé et couvert d'anciennes blessures de guerre attise le désir charnelle de la prisonnière. Mais elle refuse de lui donner la satisfaction d'avoir raison et garde cet aveux pour elle, même si son regard ne trompe pas le gladiateur. Pendant de longues secondes, elle laisse glisser langoureusement ses yeux sur chaque crevasse et sur chaque courbe de sa musculature.

-je l’ai acquise en me montrant trop hardi en repoussant des rebelles. Une lance a entaillé mon armure, et a atteint ma chair. Un ou deux centimètres au-dessus, et ça me perçait le cœur. C’est une leçon que j’en ai tiré... Toujours protéger son cœur. [...]

A l’évocation de son organe palpitant, Sylvanas baisse à nouveau le regard et ferme les yeux, comme si Marius venait de la gifler dédaigneusement et que ce coup l'avait plus atteinte moralement que physiquement.

Elle se recroqueville un peu plus sur elle-même et serre les cuisses et les genoux devant sa poitrine pour tenter de dissimuler encore plus la seule cicatrice que son corps de rêve arbore. Mais le regard du gladiateur est acéré, exercé, perçant. Il est habitué à s'ajuster à la pénombre perpétuelle de sa cellule comme au vif éclat de l’arène. Il remarque cette trace mauve et sombre, juste sous le sein gauche de Sylvanas, précisément à l'endroit du coeur...

-Je n'aime pas les cicatrices...

Murmure Sylvanas, le regard perdu dans le vague, visiblement en proie à de douloureux souvenirs. Il est facile de comprendre qu'elle ne parle pas de celles qu'elle admirait quelques instants à peine sur le corps de son compagnon d'infortune, mais bien des siennes.

La Reine Banshee prend une grande inspiration et chasse le souvenir abominable de ce froid glacial, qui s'imissait en elle, centimètres après centimètres, alors que son bourreau enfoncé lentement sa lame runique dans sa poitrine pour lui percer le coeur.

Le mastodonte se redresse dans sa cellule, sortant Sylvanas des cauchemars de son passé tans sa stature l'impressionne maintenant qu'il est debout.

-Je m’appelle Marius, Princesse. J’étais un valeureux guerrier ashnardien quand toute ma famille a été massacrée par un clan rival... Et, comme il fallait un con pour porter le chapeau, c’est tombé sur moi. J’ignore combien de temps je suis ici, dans cette prison... On ne voit même plus le soleil. C’est notre horloge biologique qui, les premiers mois, nous dit quand on approche de la nuit, mais, ici, ce sont eux qui gèrent le cycle de sommeil, en coupant le courant quand ils veulent. 

Ainsi donc, il s'appel Marius. Son rôle avant d'atterrir ici ne la surprend pas en revanche au vue de sa puissance. A la façon dont il aborde la mort de ses proches, il semble avoir surmonté le traumatisme en s'armant de sa force et de sa fureur, en cela, la Reine banshee réalise qu'ils se ressemble beaucoup.

A l’évocation des responsables de la prisons et des geôliers, à ce "eux" maudit, elle frémit de nouveau, se demandant à nouveau pourquoi ils l'ont mise ici et pour quoi faire.

-Malheureusement, Princesse, je veux pas être le porteur de mauvaises nouvelles, mais... Vous et moi, on risque de passer un long moment ensemble. Cet endroit ne s’appelle pas Prison Eternum pour rien. En revanche, vous avez dû faire pousser des furoncles au cul d’individus puissants, parce que, pour vous retrouver direct au trou dès votre premier jour... Y a forcément un type qui vous aime pas.

Le franc parler du guerrier fait sourire timidement l'elfe qui tente toujours tans bien que mal de se draper dans sa dignité. Visiblement, il est enfermé ici depuis plus longtemps qu'il ne le crois, car le monde à évolué dans les Terres Sauvages depuis quelques années. Il n'a pas entendu parler de son invasion depuis un autre plan d’existence, ni du Royaume qu'elle à volé à un grand roi sorcier.

Il n'a pas encore entendu parler de la Reine Banshee, de ses pouvoirs nécrotiques et de son armée de morts-vivants. Ici, les prisonniers sont coupés de tout, quelque soit leur puissance personnelle, et c'est surement pour cela qu'elle a été enfermée au plus profond de la Prison Eternium.

A moins que ce ne soit pour de plus obscures raisons encore...

-Vous avez un ex’ en pétard contre vous, beauté fatale, c’est ça ?

"Ex en pétard" , "beauté fatale", Sylvanas frissonne à nouveau aux mots du gladiateur. Celui-ci semble avoir un esprit bien plus vivace qu'elle ne l'aurait crue et fait mouche à chaque coup. Un ex ? Elle en aurait le souvenir. Mais des hommes de pouvoirs obsédés par sa beauté et par son sexe, oui, et ils sont innombrables, pervers et puissants. Qu'il s'agisse du monstre qui l'a tuée puis relevée, des seigneurs démons dont elle a refusé le joug, des Seigneurs et des Reines des Royaumes qu'elle a attaqué... nombreux sont ceux qui pourraient profiter de son état actuelle... peut être même ont ils organisés sont enlèvement ? Peut être même ont il été mis au courant ? Peut être sont il déjà en chemin ?

Sylvanas se redresse sur ses genoux et avance vers les barreaux de sa cage en marchand sur ses tibias. La peur est si forte qu'elle ne réalise même pas ho combien le spectacle de son corps à moitié nu se tortillant entre ses liens pour se rapprocher ainsi est excitant.

- Je dois absolument m'enfuir... il le faut ! Des gens vont se mettre à ma recherche, il ne faut pas qu'ils sachent où je suis et que je suis vulnérable ! Il doit bien exister un moyen de s'enfuir !

The Suicider

Humain(e)

Re : The Cell

Réponse 5 samedi 22 juillet 2017, 22:06:33

« Quoi ? Déjà ? Je suis si repoussant que ça ? »

Un nouveau sourire amusé vint éclairer les lèvres de l’homme. La femme, qui s’était recroquevillée sur place, dissimulant ainsi la cicatrice qu’elle avait à hauteur du cœur (et que Marius avait vu), semblait tout à coup prendre conscience de l’horreur dans laquelle elle se trouvait. Le long monologue de présentation de Marius n’aboutit qu’à une complainte, même s’il avait pu noter le regard qu’elle avait jeté brièvement sur son torse, détaillant sa musculature. Marius avait conservé tout de la discipline ashnardienne, et tenait encore à se raser... Même si, en ce moment, du fait de sa position au trou, une vilaine barbe de plusieurs jours commençait à pousser sur son menton.

Sylvanas n’avait pas envie de plaisanter, ce qui, en réalité, ne le surprenait guère.

« Vous, les elfes, vous ne savez pas rire. C’est un fait, c’est vrai. J’ai été avec bien des elfes, j’en ai jamais vu un seul rire, parole d’homme ! Mais, Princesse, je suis au regret de vous apporter de mauvaises nouvelles. Ici, à Eternum, il ne suffit pas de claquer des doigts pour sortir. »

Si seulement c’était aussi simple que ça... Marius recommença à marcher. La femme lui avait certifié vouloir sortir, que c’était impératif, vital... Elle lui rappelait lui, au début, quand il était arrivé ici. Furieux, haineux, car conscient qu’il avait été victime d’une odieuse manipulation, et désireux de sortir, de rétablir la vérité, de récupérer son honneur. Mais, à Eternum, vos espoirs et vos revendications finissaient par s’écraser. Mais peut-être était-ce aussi pour ça que les responsables avaient directement mis Sylvanas au trou, parce qu’elle était spéciale, particulière... Ce qui expliquerait sans doute son teint très pâle et cette lézarde qu’elle avait sur le cœur. En d’autres circonstances, le Suicider aurait pu demander des renseignements là-dessus, mais il sentait que la question aurait gêné cette beauté.

Alors, plutôt que de parler de sa plastique, il revint sur le sujet de la prison. Autant, en effet, que la femme sache précisément ce à quoi elle allait faire face ici, plutôt que de continuer à espérer vainement pouvoir sortir d’ici en quelques instants.

« La Prison Eternum est le nec plus ultra de Terra en matière carcérale. C’est un véritable puits. Tout en bas, il y a des mines qui s’enfoncent dans les profondeurs. C’est le seul moyen de sortir d’ici... Mais personne n’a jamais réussi à sortir de l’autre côté. Les mines donnent lieu à un profond labyrinthe piégé et rempli de monstres. Il n’est d’ailleurs pas rare que nous, simples prisonniers, dussions fuir dans les cellules quand il y a des invasions de monstres nécrophages. »

Il savait ce qu’elle allait penser, ce qu’elle voudrait faire. Marius enchaîna donc :

« On se dit tous qu’on va y arriver, nous... Qu’on va trouver la sortie. Alors, je ne sais pas... Peut-être que certains la trouvent vraiment... Mais, à chaque fois, les gardes ramènent leurs cadavres. Enfin, les gardes... Plutôt des tueurs cybernétiques meurtriers, qui, lors de leurs patrouilles dans les galeries souterraines, abattent à vue les fuyards, ou récupèrent ce qu’il reste de leurs cadavres. Certains ont tenté de fuir en contournant les dispositifs de sécurité, pour fuir par le haut, plutôt que de se perdre dans les labyrinthes, au milieu de graveirs, noctules, fosses piégées, couloirs empoisonnés, et tueurs robotiques... Mais eux aussi n’ont pas réussi. »

Marius continua :

« Et, honnêtement, j’ai pas vu depuis des années un aussi joli minois que le vôtre, alors... J’voudrais pas que vous fassiez une connerie dès que vous serez libres. Ou alors... Pas avant que je n’arrive à vous faire rire. Et quelque chose me dit que je vais avoir du mal à vous arracher un sourire. »

DC d’Alice Korvander.

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Sylvanas Coursevent

Créature

Re : The Cell

Réponse 6 mardi 01 août 2017, 19:11:00

-Quoi ? Déjà ? Je suis si repoussant que ça ?

Les yeux de Sylvanas se plissent en de fines fentes d'ou perle une lueur malveillante. De toute évidence, et malgré le regard qu'elle à jeté à son physique avantageux, elle ne semble pas prête à échanger des plaisanteries.

-Vous, les elfes, vous ne savez pas rire. C’est un fait, c’est vrai. J’ai été avec bien des elfes, j’en ai jamais vu un seul rire, parole d’homme !

Marius voit poindre sur le visage de Sylvanas un sourire triste et fade, celui d'un esprit nostalgique qui se plonge dans un passé heureux et lointain. Oui, la belle se souvient avoir rit, il y a tans d'années, avec ses sœurs et son petit frère, au milieux des merveilleuses forêts d'or et d'argent du domaine Windrunner.

-Mais, Princesse, je suis au regret de vous apporter de mauvaises nouvelles. Ici, à Eternum, il ne suffit pas de claquer des doigts pour sortir. 

Le regard de la belle ne change pas, à ceci près que le gladiateur peut y voir poindre une étincelle de détresse et de peur. Mais que peut-elle bien redouter de pire qu'être emprisonnée ici ? Pourrait on se demander...

La réponse est pourtant simple, il n'y a qu'à voir sa beauté angélique et mystérieuse, ses formes généreuses, ses courbes athlétiques et sculpturales pour deviner qu'elle est l'objet de nombreuses convoitises. Ajouter à cela son sang royal, son orgueil de guerrière et le privilège qu'il peut y avoir à posséder un tel trophée, et il devient évident que nombre de Seigneurs de Terra et d’ailler doivent vouloir profiter de ses charmes et « l'exposer » dans leur vitrine.

Enfermée derrière ces barreaux de titane, à genoux et les bras reliés l'un à l'autre dans le dos pour exposer sa poitrine, elle ressemble à un merveilleux plat de résistance attendant que les puissants de ce monde viennent s'en repaître.

-Il y a forcement un moyen... par les dieux je dois trouver un moyen...

Murmure t'elle le visage baissé pour cacher son désarroi et ses craintes.

-La Prison Eternum est le nec plus ultra de Terra en matière carcérale. C’est un véritable puits. Tout en bas, il y a des mines qui s’enfoncent dans les profondeurs. C’est le seul moyen de sortir d’ici... Mais personne n’a jamais réussi à sortir de l’autre côté. Les mines donnent lieu à un profond labyrinthe piégé et rempli de monstres. Il n’est d’ailleurs pas rare que nous, simples prisonniers, dussions fuir dans les cellules quand il y a des invasions de monstres nécrophages. 

Quand Marius commence à faire son exposé, la Reine Banshee passe du précipice aux abysses du désespoirs, parfois ramenée à flot par une étincelle, une infime lueur, une chance d'en réchapper.

-Les mines ? Pourquoi pas ? Au pire, je me ferais tuer et dévorer par une de ces créatures... ce sera toujours mieux que ce qui m'arrivera si je reste ici...

Murmure t'elle. Mais le gladiateur reprend et douche un peu plus son espoir.

-On se dit tous qu’on va y arriver, nous... Qu’on va trouver la sortie. Alors, je ne sais pas... Peut-être que certains la trouvent vraiment... Mais, à chaque fois, les gardes ramènent leurs cadavres. Enfin, les gardes... Plutôt des tueurs cybernétiques meurtriers, qui, lors de leurs patrouilles dans les galeries souterraines, abattent à vue les fuyards, ou récupèrent ce qu’il reste de leurs cadavres. Certains ont tenté de fuir en contournant les dispositifs de sécurité, pour fuir par le haut, plutôt que de se perdre dans les labyrinthes, au milieu de graveirs, noctules, fosses piégées, couloirs empoisonnés, et tueurs robotiques... Mais eux aussi n’ont pas réussi. 

Sylvanas fait doucement « non » de la tête. Passer par au dessus n'est pas la solution pour elle. Car elle sait très bien que l'administrateur de la prison fera tout pour la capturer sans la tuer, et vue le dispositif que lui décrit le prisonnier, il y parviendra sans peine...

-Et, honnêtement, j’ai pas vu depuis des années un aussi joli minois que le vôtre, alors... J’voudrais pas que vous fassiez une connerie dès que vous serez libres. Ou alors... Pas avant que je n’arrive à vous faire rire. Et quelque chose me dit que je vais avoir du mal à vous arracher un sourire.

La belle à la peau bleuté redresse la tête et assassine de nouveau son voisin de cellule du regard. Comment peut il se montrer aussi désinvolte avec elle ? Ne comprend t'il pas ce qu'elle risque ? Son propre esprit de mâle, déjà captivée par sa beauté, ne s'imagine t'il pas tout ce qu'il pourrait lui faire si il disposait de la clef de sa cellule ?

-Comment pouvez vous vous intéresser à ma beauté ou au fait de me faire rire quand vous et moi sommes enchaînes comme des bêtes dans ce trou ? Ils vous torturent, je l'ai entendu, mais ce n'est rien à côté de ce qu'ils vont me faire quand...

Sylvanas ravale sa salive et ferme les yeux pour chasser les images horribles de ce que le Roi Liche lui à fait avant et après sa mort.

-Ecoutez... Je me moque du danger que ça représente, il faut absolument que vous m'aidiez. S'il vous plais, indiquez moi comment atteindre les mines, ou au moins dans quelles régions elles débouchent que j'y envoi des éclaireurs.

Elle garde le mystère sur le « comment » elle compte donner cet ordre. Elle se remet sur ses tibias pour s'approcher de la porte de sa cage, sa poitrine rebondit légèrement à chaque fois qu'elle met un genou devant l'autre.

-Si je parvient à m'échapper je trouverais un moyen de me vous récompenser. Mais vous n'avez pas idée des monstres qui me veulent, ni du sort qu'ils me réservent, je préfère mourir en tentant ma chance dans les mines plutôt que de tomber entre leurs mains !

The Suicider

Humain(e)

Re : The Cell

Réponse 7 dimanche 06 août 2017, 14:46:33

L’humour n’était visiblement pas le fort de Sylvanas, qui, régulièrement, lui jetait des regards assassins. Il aurait probablement dû s’en sentir intimidé, mais, en réalité, ça l’amusait plus qu’autre chose. En quelques minutes, Marius tapait déjà sur les nerfs de cette sombre beauté... Ce qui, somme toute, était plutôt une réussite. Au moins, il ne la laissait pas indifférent ! Pour le reste... Eh bien, il avait été tout simplement honnête. Beaucoup de jeunes prisonniers ne pensaient qu’à une chose en arrivant ici : s’évader en passant par les mines. Marius était convaincu que, dans l’esprit pervers des ingénieurs et des architectes qui avaient conçu la prison, tout avait été pensé pour que les mines soient un cul-de-sac. Qui sait ? Peut-être qu’à l’autre bout, il y avait un épais mur ? Cette fille était résolue à s’évader, évidemment...

*Comme moi au début.*

Quand il était arrivé à Eternum, encore sous le choc du meurtre de sa famille, et se sachant pertinemment victime d’une injustice, la déchéance de sa situation avait été difficile à supporter. Il avait alors tenté de s’évader, avait réuni autant d’informations que possible sur les mines, et avait même commencé une expédition... Et, fort heureusement, il avait pu retrouver son chemin, et retourner au sein de la prison. Les gardes, qui l’attendaient, l’avaient collé au trou pour plusieurs semaines, non sans le battre et le torturer pendant de nombreuses heures préalablement.

Mais, têtue comme il l’avait été auparavant, elle lui certifia vouloir s’évader, en allant jusqu’à lui proposer une récompense. Là, Marius ne put que sourire.

« Oh, eh bien, si j’ai un cadeau, alors... Ça change tout ! »

Il se massa l’arrière du crâne, avant de reprendre :

« Vous rejoindrez les mines bien assez vite, ne vous en faites pas pour ça. Il faut bien occuper les prisonniers, pour qu’on ne devienne pas fous, et, dès qu’on est pas au trou, on est dans les mines. Le fait que vous soyez une femme n’y changera rien. La Prison est aussi un camp de travail, rajouta-t-il alors. On doit remplir notre quota hebdomadaire, et, si on est surpris à tirer au flanc... C’est la flagellation. Donc... Vous irez dans les mines. »

Après... Il restait assez curieux sur le fait qu’elle puisse envoyer des « éclaireurs ». Comment comptait-elle faire, en étant coincée ici ? Elle n’avait aucun espoir de communiquer avec l’extérieur. Pensait-elle pouvoir envoyer un corbeau à travers les conduits de canalisation ? C’était ça, Eternum. C’était une prison, dans le sens où elle vous coupait totalement de l’extérieur. Que se passait-il dehors ? La guerre entre Nexus et Ashnard était-elle terminée ? Impossible de le savoir, car les prisonniers d’ici ne recevaient aucune nouvelle de l’extérieur.

« Et j’ignore malheureusement où elles donnent. J’ai déjà tenté de m’évader par là, pour être honnête... Un peu comme vous, je suppose. Au bout de quelques jours de captivité seulement, je me suis barré. Mais... Comme vous pouvez le voir, je n’ai pas réussi. Et pourtant, je m’estime chanceux, car, après avoir erré plusieurs heures, et avoir battu plusieurs monstres, mes pas m’ont ramené ici. Et vous voulez savoir le pire ? Les gardes... Ils m’attendaient. Ces mines... C’est un piège. Ils nous donnent l’espoir qu’on pourra s’évader par là pour mieux nous briser ensuite. »

Mais ça, il doutait que Sylvanas daigne l’entendre, elle qui voulait impérativement fuir, et quitter cette prison infernale.

« Enfin, je ne cherche pas à vous désespérer, Princesse, juste à vous offrir toutes les données du problème. Libre à vous, ensuite, de choisir. Et, puisque vous m’avez parlé d’une récompense, elle est clairement choisie. Si je vous aide à fuir, et que, par le plus grand des miracles, vous y parveniez effectivement, ce que je veux, c’est... »

Il se tut pendant quelques secondes, ménageant son effet, avant de rajouter :

« ...Un baiser. »

DC d’Alice Korvander.

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Sylvanas Coursevent

Créature

Re : The Cell

Réponse 8 dimanche 06 août 2017, 19:03:47

Sylvanas écoute le mastodonte ashnardien lui parler du travail à la mine, elle dodeline lentement de la tête de droite à gauche en un "non" silencieux pour lui faire clairement comprendre que ce n'est pas ce que ceux qui l'on enfermé ici comptent lui faire.

Les sorciers des Trois Couronnes qui l'on capturé ainsi que l'administrateur de la prison savent parfaitement qui elle est et de quoi elle est capable. En une seule nuit, elle est parvenue a envahir un région toute entière des terres sauvages. Lui libérer les mains pour la faire travailler à la pioche dans les profondeurs de la mine serait déjà du suicide, car elle pourrait s'en servir pour formuler et dessiner runes et incantations. Tout les cadavres alors éparpillés dans les galeries, dans les charniers, et dans la morgue de la prison Eternium se relèveraient alors pour libérer leur Reine. Ce qu'elle crain en revanche, c'est que les tortionnaires de l'endroit disposent de moyen de saper et détruire la volonté nécessaire à ces actions...

En réalité, Sylvanas est déjà surprise de ne pas avoir été baillonnée. Son simple cris de Banshee étant capable de tuer presque toute créature vivante pourvue de l'ouïe. Sans compter que la langue libre, il ne lui manque plus que ses mains pour lancer un sort. Mais elle comprend vite la raison de ceci en devinant l'épaisseur des murs de sa prison. Hurler maintenant ne ferait que tuer son imposant voisin de cellule et cela serait fort dommage au vue de son utilité.

Quand il lui raconte son propre récit et lui parle des gardes qui l'attendaient pour lui faire payer sa fuite, elle s'agite et tire nerveuse à nouveau sur les liens qui ligotent ses poignets dans son dos. Mais ne parvient qu'a se donner plus en spectacle dans un crissement de cuir et un tintement de chaines.

- Vous croyez qu'ils vont attendre que je tente de m'enfuir avant de me faire ça ?!

Crit elle derrière les barreaux de sa cage. Énervée de voir que le gladiateur ne comprend toujours pas pourquoi une femme aussi belle qu'elle a été emmenée ici et entravée de cette façon. Ce n'est certainement pas simplement pour faire des trous dans le sol...

Mais le colosse Ashnardien reste imperturbable et continue son récit jusqu'au moment où il lui propose son marché...

Au moment où le mot "baiser" quitte ses lèvres, Sylvanas ouvre des yeux ronds comme des soucoupes, totalement désarçonnée par cette demande. Depuis qu'elle a été assassinée puis relevée, personne ne lui a jamais fait comprendre qu'elle pouvait être belle ou attirante. A ses yeux, cela faisait jusqu'à maintenant partie des joies du passé et des souvenirs. Depuis sa capture dans les foret de Silvermoon, ses relations intimes et sentimentales s'étaient résumées à de violentes bataille de soumission et de domination qu'elle perdait tout le temps, à des violes incessants et douloureux, à des rituels de magie rose dans le seul but de lui voler son apparence de guerrière pour lui donner celle d'une bimbo, d'une pute...

Et voila qu'un homme, un incroyable représentant de cette gente mâle et puissante qui plus est, la ramène en deux mots à sa nature profonde, à son type, à son sexe. Pendant quelques secondes, Sylvanas redevient la belle jeune femme qu'elle était avant la III ème guerre. Forte à la guerre mais sensible par le coeur. Elle détourne le regard et rougit légèrement, ce qui ramène de la couleur sur son visage bleuté et pâle et fait disparaître ses cernes ainsi que la lueur inquiétante dans ses yeux.

- A... Arrêtez de vous moquer de moi... Vos plaisanteries ne me touchent pas...

Ment-elle maladroitement. Un grincement lointain se fait entendre, Sylvanas reconnait le bruit de l’ascenseur qui descend vers leur prison. La descente est longue, très longue, mais la belle prisonnière sait que leur temps lui est désormais compté... ils viennent pour elle... et elle a peur.

- Ecoutez !

Dit elle en se traînant contre les barreaux de la porte de sa cage pour fixer son voisin de cellule de ses yeux terrifiés.

- D'accord, je vous accorderais votre baiser, je vous libérerais, je vous donnerais tout ce que vous voudrez mais promettez moi de m'aider, même si je ne peu plus vous le demander... Je... je ne sais pas ce qu'ils vont me faire... je ne sais pas dans quel état je serais ensuite... Mais par pitié, aidez moi... et... si vous voyez que je ne suis plus... plus là... si il vous reste un soupçon d'humanité, alors tuez moi...

Le grincement se rapproche lentement de leur niveau. Combien de temps leur reste t'il pour parler ? Dix minutes ? Vingt ? Trente ? La Banshee l'ignore, mais à mesure que le temps passe, sa nervosité et sa peur deviennent de plus en plus palpable alors qu'elle imagine tout les supplices qu'ils ont pu échafauder pour la soumettre.

The Suicider

Humain(e)

Re : The Cell

Réponse 9 mardi 08 août 2017, 23:33:41

Pendant quelques instants, d’éphémères secondes, Marius vit sur le visage de Sylvanas un léger sourire, et vit, de ce fait, la femme heureuse et souriante qu’elle avait dû être jadis. Et, mine de rien, ce sourire fut plus déchirant que tout le reste. Il ignorait ce que cette femme avait vécu, ou ce qu’on pouvait lui vouloir, mais ils avait qu’elle en avait bavé.

« Je ne me moque pas, Princesse, je... »

Il se tut brusquement en entendant des grincements et des vrombissements.

*Quoi ? Déjà ?!*

Le monte-charge était en train de descendre... Ce qui était très inhabituel. Surpris, Marius se retourna vers ce dernier, le voyant lentement descendre depuis sa vitre, pendant que Sylvanas paniquait. Elle accepta alors son baiser, paniquée, et lui demanda même de jurer qu’il la tue. Surpris, Marius tendit une main vers elle, comme pour lui demander de se calmer.

« Calmez-vous ! Si je dois vous protéger, je ne vous tuerais pas ! Restez calme ! J’ignore pourquoi ils reviennent, c’est très inhabituel... »

Et inquiétant, aussi... En fait, Sylvanas avait très probablement raison de s’angoisser. L’ascenseur s’arrêta, et s’ouvrit alors dans un long sifflement, libérant un jet de vapeur... Puis Marius vit une sorte de table chirurgicale s’avancer, au milieu de plusieurs gardes, la table étant poussée par d’étranges infirmières au visage indescriptible, comme si on le leur avait éclaté. Impossible de savoir comment ces femmes se dirigeaient. Et, au milieu de cette procession, un homme assez costaud s’avança, portant un élégant costume  fait sur mesure et d’épaisses lunettes rondes. Chauve, il s’approcha en souriant, tenant une longue canne en acajou à la prise dorée à la main.

« Ah, vous voilà ! J’espère que vous vous plaisez au sein de notre établissement, Madame Coursevent. »

La femme tenta de répondre, ou même de ne pas répondre, mais eut une attitude déplaisante à l’égard de l’homme, qui résulta en la diffusion de champs électriques à travers la pièce, la faisant hurler de douleur.

« On dit : ‘‘Oui, Docteur’’, sale monstre.
 -  Lâchez-là! Vous êtes qui, putain ?! » s’exclama Marius en tapant sur la vitre.

Le « docteur » se retourna alors vers lui, et des champs électriques frappèrent alors, faisant hurler Marius, qui tomba à genoux.

« Vous devez être son chevalier servant, vous... Pour votre information, je suis... Son psychiatre. »

L’homme retourna à nouveau vers Sylvanas, et lui fit un sourire grimaçant, et des plus sinistres.

« Docteur Hugo Strange. Je sens que vous et moi allons passer d’excellents moments, Madame Sylvanas... »

DC d’Alice Korvander.

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Sylvanas Coursevent

Créature

Re : The Cell

Réponse 10 vendredi 11 août 2017, 12:43:39

- Calmez-vous ! Si je dois vous protéger, je ne vous tuerais pas ! Restez calme ! J’ignore pourquoi ils reviennent, c’est très inhabituel...

- Vous ne comprenez pas ! Il le faudra... il le faudra... non...

S’interrompt t'elle en voyant l’ascenseur s'ouvrir et les deux étranges infirmières pousser une table chirurgicale couvertes de sangles de maintien.

- N... Non ! N'avancez pas ! Restez où vous êtes !

Cris t'elle en reculant en rampant au fond de sa cellule capitonnée. Le crissement de ses liens de cuir laissent deviner aux spectateurs toute la force qu'elle utilise vainement pour détacher ses bras de son dos.

- Ah, vous voilà ! J’espère que vous vous plaisez au sein de notre établissement, Madame Coursevent.

- Je suis la Reine Banshee Sylvanas Coursevent mysérable cloporte et tu vas Aggll !

Hurle t'elle alors qu'un courant électrique traverse collier de chienne. Elle se tortille quelques instants sur le sol avant de s'immobiliser contre le mur du fond, adossée, les jambes écartés. La violence de ses convulsions à fait jaillir un de ses seins de sa fine armure de cuir déchiqueté.

Le hurlement du gladiateur la fait revenir à elle.

- Laissez le en dehors de ça ! il n'a rien à voir la dedans !

Le docteur ignore purement et simplement la jeune femme et dit:

- Vous devez être son chevalier servant, vous... Pour votre information, je suis... Son psychiatre.

"Son psychiatre !?" Se dit elle en le regardant, tans surprise qu'effrayée, se demandant ce qu'il va bien pouvoir lui faire.

- Docteur Hugo Strange. Je sens que vous et moi allons passer d’excellents moments, Madame Sylvanas...

La prisonnière en frissonne d'avance. Elle connait ce genre de sous entendu graveleux mais se doute que cette table d'opération n'est pas la pour rien et qu'il sous entend bien plus qu'un simple viol...

Les deux infirmière s'approchent de sa cellule et en ouvrent les barreaux, Rachele se pelotonne dans un coin, ses pieds glissant sur le rembourrage.

- Non ! Ne... n'approchez pas ! Si vous approchez je vous tue !

Elle prend une grande inspiration s'apprête à pousser le plus puissant hurlement de banshee qu'elle ai jamais fait. Le Docteur la regarde en souriant.

- Oui... bien entendu... le hurlement mortel de la banshee... faite donc cela... tuez moi... tuez mes infirmières... et au passage vous tuerez aussi votre chevalier blanc...

Sylvanas recrache l'air accumulé dans ses poumons et ferme la bouche, surprise de la logique et de l'ingéniosité du Docteur. Il a raison, si elle pousse ce hurlement, tout les êtres vivants qui l'entendront mourrons, et curieusement, elle ne veux pas tuer son étrange voisin de cellule.

Elle regarde alors les deux femmes au visage déformé ouvrir sa cage et y entrer avec leur table. Elles l'encadrent de chaque côté et la soulèvent pour l'installer dessus.

- Nan...

Elles lui attachent d'abord les jambes, puis lui détache les bras, l'un après l'autre, s'assurant ainsi de toujours avoir plus de force que la jeune Reine le temps de les lui sangler le long du corps. Une fois parfaitement bien sanglée à la table, elle commencent à la déshabiller entièrement. Sylvanas rougit et pousse un petit cris de refus.

- Non ! Vous n'avez pas le droit je Agll MMMM ! mmmm ! mmmm...

L'une d'entre elle vient de lui ouvrir la bouche et de lui enfoncer un bâillon plug qui emplie sa bouche toute entière.

- Bien, ainsi vous ne serez pas tenté d'utiliser votre vilain cris en attendant que nous nous débarrassions du problème.

La belle elfe en est réduite à gémir et à s’étouffer d'horreur en voyant son corps sculptural se dévoiler pièce après pièce au regard de tous. A chaque fois qu'un bout d'armure lui est enlevé, une petite électrode stimulante la remplace, la belle se met alors à transpirer et à gémir, le corps agité de petits soubresauts.

Attention contenu explicite
(Pas de piercing au tétons pour Sylvanas)
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

C'est ainsi que Marius voit pour la première fois la Reine entièrement nue et vulnérable. Quand la table d'opération ou elle est sanglée passe devant lui, elle lui lance un regard empli de terreur.

- Excusez moi cher Monsieur, nous allons de voir vous laisser seul pour quelques heures. Rassurez vous nous ramènerons votre voisine de cellule dès que nous aurons commencé sa thérapie de choc, elle n'en sera que plus avenante après vous verrez.

Ils entraînent la jeune elfe à la peau bleuté dans les salles d'opération privée réservées à leurs cellules. En tendant l'oreille depuis sa prison, une ouïe bien exercée peut entendre ce qui s'y passe.

Le docteur enfile de longs gants blancs de travail. Avant de passer le pas de la porte, il se retourne et dit à Marius.

- Surprenant vous ne trouvez pas ? Qu'elle ai préféré vous épargner plutôt que de me tuer... d'une certaine manière, on peut dire qu'elle s'est sacrifiée pour vous sauver la vie ?

Sur ces mots il entre et laisse volontairement la porte entre-ouverte pour qu'une partie du bruit filtre toujours vers les cellules.

- Bien Madame Coursevant il semblerait que vous souffriez de délire de persécution, de mégalomanie, de paranoïa et de frigidité. Heureusement nous disposons ici de tout le matériel nécessaire pour vous libérer de vos souffrances.

Autour de la table, les infirmières disposent toute sortes d'objets sexuels,  d'intervention chirurgicale ou gynécologique. Diverses seringues et flacons emplis de diverses substances, ainsi que d'étranges objets qui ressemblent à des runes magiques ou des cristaux de diverses couleurs.

- Au cours de nos séances nous feront taire cette vilaine petite voix dans votre tête qui vous fait voir des ennemis partout. Nous vous aiderons à accepter votre véritable nature et votre statut d'esclave sexuelle. Entre mes mains vous deviendrez une nymphomane heureuse et accomplie. Infirmière ?
 Veillez mettre notre invité à l'aise pendant que je me prépare.


Le Docteur commence à rassembler sur son établi les objets qu'il compte utiliser. L'infirmière à laquelle il s'est adressé pousse un glapissement étrange et incompréhensible suivi d'un soupir de satisfaction. Sous le regard médusé de Sylvanas, elle s empare d'un god en bois long et épais et le monte vers sa "bouche", ou plutôt l'étrange trou qui se forme entre ses chaires déformées pour engloutir l"objet.

Gémissant et soupirant de cette manière toujours étrange et sensuelle, l'infirmière démoniaque fait de long va et viens dans son orifice pour le couvrir d'un étrange fluide noir, gluant et cireux comme de la cyprine. Les yeux de la banshee s'écarquillent d'effroi en voyant la fibre du bois du god commencer à se boursoufler en buvant l'étrange liquide. Sa teinte vire en un beige "peau" et se couvre de plaques de diverses couleurs répugnantes à mesure que l'objet grossi et se met à palpiter comme un énorme verre de terre, un parasite.

Satisfaite, l'infirmière le tans à Sylvanas et le présente sous ses yeux pour qu'elle puisse bien admirer son travail.

Attention contenu explicite:
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)
[/spoiler]

La belle prisonnière se tortille entre ses liens. Elle toise l'objet avec horreur et dégoût en gémissant des "non" de plus en plus fort à mesure que l'infirmière laisse glisser la "chose" le long de son corps, vers ses cuisses.

- Nnnnn... nnnnn... NNNNNN !!!

L'infirmière vient de placer le god parasite juste à l'entrée de ses lèvres, Sylvanas gémit si fort que même Marius depuis sa cellule peut l'entendre distinctement. Elle sent sa texture poisseuse salir l'entrée de sa délicate petite vulve qui n'a pas connu le plaisir depuis qu'elle c'est libérée et est devenue Reine.

Elle le fait jouer un petit peu à l'entrée jusqu'à ce que Sylvanas sente avec dégoût la cyprine noire et suppurante du bâton commencer à imbiber sa propre chatte et réveiller en elle un désir sexuel révoltant et répugnant. L'infirmière glapie à nouveau et soupire de plaisir en commençant à le lui enfoncer. La chaire affamée de son vagin se met à boire l'étrange substance, ses lèvres se mettent à gonfler et se couvrir de petites veines tans le sang afflu vers ses organes de plaisir. Horrifiée, elle sent même son petit clitoris se réveiller et pointer vers la surface.

Partagée entre plaisir, dégoût et souffrance, les gémissements de Sylvanas deviennent plus profond et féminins. Ils enflent en intensité jusqu'à ce que son voisin de cellule puisse tous les entendre filtrer derrière la porte.

The Suicider

Humain(e)

Re : The Cell

Réponse 11 mardi 15 août 2017, 02:27:02

Au lieu de repartir par l’ascenseur, le groupe emprunta une porte située à côté, menant droit vers les laboratoires. Marius serra les lèvres, conscient de ce qui allait arriver à cette femme. Il n’avait encore jamais été ici, mais il savait que c’était le lot commun des prisonniers de la zone de haute sécurité. Ils servaient pour de sinistres expériences, ou juste pour les plaisirs sadiques de quelque richard pouvant ici s’adonner aux pires vices sans avoir rien à craindre. À Eternum, tout ce qui se passait ne sortait jamais des murs, c’était la règle.

« Pourquoi vous lui faites ça ? » demanda Marius.

Strange, avant de se rendre dans les laboratoires, se retourna vers l’homme, et lui sourit à nouveau, de ce sourire hideux et pervers, qui signifiait plein de choses, mais clairement pas des choses bienveillantes.

« Parce qu’elle est malade, expliqua-t-il facilement. Et que, pour le bien des occupants de cet établissement, il faut la soigner avant de la relâcher. »

Marius n’en croyait pas un mot, et, juste avant de partir, le Docteur nota au jeune gladiateur que la femme avait préféré l’épargner plutôt qu’utiliser sa mystérieuse attaque, le « Cri de la Banshee »… Et le nota aussi pour lui-même. Qui sait ? Ce grand guerrier idiot allait peut-être lui être utile. Les organisateurs lui avaient interdit de trop l’endommager. Marius était en effet le Suicider, un alter ego très populaire dans les arènes sanglantes de la Prison Eternum. Hugo Strange n’allait toutefois rejeter aucune possibilité. Pour lui qui était originaire de Gotham, ce nouveau monde était fascinant, plein d’opportunités et d’expériences. Certes, Hugo Strange était avant tout un psychiatre, qui avait passé une partie de sa vie à tenter de trouver l’identité de Batman, mais il n’était pas contre élargir ses compétences, notamment à travers la chimie. Après tout, la psychiatrie était un domaine vaste, qu’on ne limitait pas qu’à la psychanalyse. Un bon psychiatre était aussi un bon chimiste, quelqu’un qui connaissait le fonctionnement du cerveau, et était capable, à travers la bonne dose de médicaments, de le modifier, et ainsi d’altérer les ondes cérébrales.

Hugo observa ensuite l’une des « infirmières » enfoncer dans le vagin de sa patiente un gode recouvert d’une étrange substance noire.

« Le sexe, voyez-vous, est une force qui m’a toujours fasciné. Une force ancestrale, et qui, qu’on le veuille ou non, influe sur notre comportement quotidien. Freud avait bien raison d’insister autant sur le sexe. Les pulsions sexuelles font partie intégrante de la vie. Parmi tous les patients psychotiques que j’ai eu, j’ai toujours constaté que, malgré la diversité des psychoses et des traumatismes dont ils étaient atteints, le sexe était, d’une manière ou d’une autre, liée à leurs troubles mentaux. »

Tout en parlant, il tournait autour de la table d’opération, jusqu’à se retrouver à hauteur du visage de la femme, qui gémissait et couinait.

« Mais vous, ma chère, vous êtes un cas très particulier… Exceptionnel, même. Est-ce qu’une morte peut encore goûter au plaisir sexuel ? Vous n’avez rien à voir avec les morts-vivants habituels dont la culture populaire abreuve les têtes dégénérées du monde d’où je viens. Oui, vous êtes vraiment une patiente très intéressante, Madame Sylvanas. »

L’infirmière s’arrêta alors, et attrapa une sorte de ceinture noire qu’elle enfila autour de sa aille, avant de récupérer le gode, et de le fixer à cette dernière, puis se remit en position, en veillant à écarter les jambes de la femme, les maintenant toujours attachées. Et, tout en émettant des borborygmes incompréhensibles, elle la pénétra plus fermement.

« Fascinant… Vos tétons se tendent, votre respiration s’approfondit, votre rythme cardiaque s’accélère… Les morts peuvent donc ressentir du plaisir. Autant dire que je vais adorer vous initier vraiment au sexe, Madame Sylvanas. Ce sera votre traitement, votre guérison pour pouvoir mener une vie normale, et vous faire oublier tous vos délires, comme quoi vous seriez une Reine, et toutes ces choses fantaisistes. Vous n’êtes rien de plus qu’un esprit tourmenté que je vais guérir comme il se doit… Car tel est mon rôle. »

Tout simplement.

DC d’Alice Korvander.

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Sylvanas Coursevent

Créature

Re : The Cell

Réponse 12 mercredi 16 août 2017, 20:19:47

La voix du docteur résonne à ses oreilles et pénètre son esprit, sa voix calme et grave, son intonation étrangement rassurante lui donne envie de l'écouter. Qui peut il bien être se demande t'elle ? Comment ses mots peuvent ils l'affecter à ce point ? Ce visage humain cache t'il celui d'un seigneurs de l'effroi ? Un de ces être dont le pouvoir est de tromper et de manipuler les esprits par leur langue mielleuse et venimeuse ?
C'est une possibilité, ils avaient toujours voulu la rallier à leur cause pour affronter son créateur.

Alors que le plaisir afflux en elle, Sylvanas à soudain peur pour son esprit, pour sa stabilité mentale, elle sent que si ils continuent à la stimuler et à lui parler ainsi, elle va perdre pied et replonger dans la folie de la servitude. Elle ferme les yeux et hurle sous son bâillon dans l'espoir que la puissance de sa voix en percera le cuir et les pourfendra de sa fureur. Mais rien d'autre n'échappe de sa gorge qu'une longue plainte de supplice alors que le god imbibé d’ichor ressort lentement de sa vulve revenue à la vie.

Elle ouvre les yeux, surprise et rassurée de sentir son supplice s'arrêter, mais le spectacle auquel elle assiste entre ses deux cuisses dressées et écartés empli son cœur de dégoût et de terreur. Une des infirmières au visage déformé, dont les articulations craquent dans ses mouvements saccadés et nerveux, enfile une ceinture à laquelle elle à attachée l'étrange god couvert de sa bave noire.

A nouveau, la jeune reine se débat dans sa camisole de force et fait grincer les barreaux de la table d'opération à laquelle elle est sanglée. Elle regarde la pitoyable créature pousser ces étranges soupirs et gémissements en avançant vers elle avec cette démarche étrangement cassé et irrégulière, son sexe recouvert par le répugnant objet devenu vivant. Les yeux écarquillés par la peur, elle secoue la tête de droite à gauche tans son corps et son esprit disent "NON !" au destin qui lui est promis.

- NNNNNNN ! NNNNNN !

Continue t'elle de crier en se débattant quand la neurs démoniaque arrive entre ses jambes et lui empoigne les cuisses de ses doigts blancs comme de la craie. De si près, Sylvanas peut voir sa chaire, les détails répugnants de son corps et de son visage. Qu'es elle ? Une morte vivante ? Une démone ? Une simple femme à qui l'on à infligé innommables transformations et tortures ? Es ce ça le résultat de la "thérapie par le sexe" de ce "bon" docteur ?

- M !

Crie t'elle, au moment où le viée corrompu s'enfonce d'un coup sec en elle jusqu'à cogner la porte de son utérus. Elle cesse soudain de se débattre tans son corps se tend sous le choc et la sensation de déchirement qu'elle ressent, l'étrange créature vient de lui labourer le vagin si profondément qu'elle en à le souffle coupé. Les yeux presque exorbités par la surprise et la douleur, elle regarde, impuissante, sa belle petite vulve, fine et délicate, se faire écarter et éventrer par l'énorme tronc d'arbre palpitant.

Profitant de cet instant de flottement, où le corps de sa patiente est pétrifiée par la pénétration, le Docteur et l'autre infirmière lui posent divers capteurs sur les tempes, le front, les seins, le ventre, le torse et les cuisses. Derrière lui, un moniteur se met à afficher divers tracés le renseignant sur l'état de Sylvanas pendant que plusieurs scanners lui révèlent en temps réel l'intérieur du corps et de la tête de celle-ci.

- Fascinant… Vos tétons se tendent, votre respiration s’approfondit, votre rythme cardiaque s’accélère… Les morts peuvent donc ressentir du plaisir. Autant dire que je vais adorer vous initier vraiment au sexe, Madame Sylvanas. Ce sera votre traitement, votre guérison pour pouvoir mener une vie normale, et vous faire oublier tous vos délires, comme quoi vous seriez une Reine, et toutes ces choses fantaisistes. Vous n’êtes rien de plus qu’un esprit tourmenté que je vais guérir comme il se doit… Car tel est mon rôle.

Désemparée par la douleur de l'empalement, cherchant un quelconque moyen de réconfort, la jeune femme se met à boire les paroles du docteurs, si son esprit et son intelligence comprennent parfaitement qu'il ne faut pas écouter les mensonges qu'il dit, son subconscient torturé et aux abois s'épanche sur sa voix décontractante.

En consultant le moniteur, Strang découvre toute les subtilité du corps de l'elfe plantureuse. Il comprend alors qu'il ne s'agit pas vraiment d'une morte vivante au sens propre du terme. Elle a visiblement été tuée, mais ses fonctions vitales ont été réactivées immédiatement après par une magie puissante qui a préservé toutes ses terminaisons nerveuses. En revanche, le corps de la jeune femme est désormais affranchie des nécessite vitales. Elle n'a plus besoin de manger, boire ou dormir pour survivre, mais en ressent néanmoins le besoin. Les actes, même sexuels qui tueraient normalement un être vivant, ne la tuerait pas, mais elle sentirait toutefois tout leurs effets. A cette conclusions, d’innombrables idées de traitements naissent dans l'esprit du Docteur. Que ne peut il pas faire à quelqu'un qui ne peut pas mourir mais ressent tout ce qu'on lui fait ?

* Soupirs et borborygmes de neurs*

- M !

Perdu dans ses plans et ses nouvelles idées de torture, Strang avait presque oublié ce qui était en train de ce passer à coté du moniteur de contrôle. Toute à sa délectation, la tête de l'infirmière tremble et vibre au point d'en devenir flou alors qu'elle sort du corps de Sylvanas d'un coup sec, créant chez la prisonnière une nouvelle sensation de déchirement, d'écorchement intérieur.

Elle pousse à nouveau ses bruits étranges en donnant un nouveau coup de rein rapide et sec entre les jambes de la belle. A nouveau, Sylvanas pousse un cris de douleur pure en se regardant lentement détruire le sexe.

Le docteur fronce les sourcils, cela ne fonctionne pas. La douleur seule ne brisera pas l'esprit de la prisonnière, elle est bien trop familiarisée à cette sensation. Pour la vaincre et la soigner, il doit parvenir à lui faire perdre l'esprit en mêlant souffrance et orgasme, pour que sa raison chavire.

- Infirmière. Nous allons trop vite, elle n'est pas encore prête à apprécier votre brutalité, il faut la préparer à vous recevoir.

Dit il en faisant signe à la neurs au god ceinture de s'éloigner. Quand elle ressort, Sylvanas pousse un long soupir de soulagement et se détend un petit peu pour reprendre son souffle.  Le docteur se tourne alors vers l'autre infirmière.

- Apportez moi de la résine chirurgicale ainsi qu'une sonde urinaire.

A ces mots, Sylvanas revient à elle et regarde le médecin d'un air interrogateur et accusateur. Pendant ce temps la, la servante maléfique rapproche une sorte d'étrange tube de colle avec une longue pipette et une petite sonde en plastique.

- Voyez vous Mademoiselle Coursevent, le clitoris est un organe complexe et fabuleux. Contrairement à ce que pense une grande majorité de personnes, il ne se compose pas que de la petite pointe de chaire que vous voyez dépasser de vos lèvres. Il entoure en fait vos muscles vaginaux, descend vers votre anus et remonte le long de votre vessie. C'est pour cela que les orgasmes sont toujours si étranges et fort quand vous faite l'amour la vessie pleine.

Dit il calmement, les mains croisés dans le dos pendant qu'il fait le tour de la table pour venir se camper à son tour entre les jambes de la prisonnière qui à recommencée à se débattre. Une fois accroupie devant elle, l'infirmière prend le petit tube en plastique, soulève sa coute jupe, et le lubrifie en soupirant, sur son étrange vulve, elle aussi déformée et malsaine.

Elle lui tans l'objet devenu noir à son tour et écarte les lèvres martirisées de la belle banshee pour cherche le minuscule petit trou de son urètre. Quand il le trouve, il presse d'abord doucement le bout conique de la sonde contre le diaphragme pour le lubrifier et le sensibiliser.

- MM ?! Nnnnn... nnn...

Gémit Sylvanas, surprise de sentir ses sensations sexuelles se réveiller elles aussi à cet endroit là.

- Détendez vous Mademoiselle Coursevent, prenez une grande inspiration et tout ira bien, tentez de compter jusqu'à dix...

Terrorisée, la belle petite elfe ligoté se raccroche à la voix réconfortante du docteur et commence à compter machinalement...

Un... deux...

- MMM !

Hurle t'elle en sursautant alors qu'elle sent l'objet forcer son petit muscle urinaire et remonter le long de son canal. Morte des années plus tôt, elle n'avais jamais plus eu besoin de se soulager, et lentement, il s'était soudé. La petite tête en plastique, lubrifié de ce produit qui reveille ses nerfs se fraye lentement un passage dans ce tuyau abandonné avant de franchir finalement la porte de sa vessie. Sylvanas sent son extrémité frotter les parois contractés de cet organe abandonné.

- Bien nous sommes à l'intérieur. Je suis très fier de vous ma chère, c'est un premier pas vers votre guérison, après cette étape, le plaisir vous viendra plus... naturellement... non... plus souvent, je dirais même très fréquemment. Infirmière ? Vous pouvez y aller...

Il s'écarte et Sylvanas voit la neurs étrange et maléfique se dresser devant elle. Sous ses yeux horrifiée, elle la voit prendre l'extrémité qui dépasse de son sexe entre ses doigts étrangement manucurés, et l'enfoncer dans sa propre vulve en poussant de nouveaux soupirs.

- nn...

Gémit de nouveau l'elfe en recommençant à agiter la tête de droite à gauche...

- NNNNNNN !!

Hurle t'elle soudain en bondissant entre ses liens alors qu'un flot d'ichor noir commence à déferler dans le tuyau qui relit son ventre, au sexe impie de la créature. Elle se débat comme une diablesse mais ne parvient pas à se libérer, et en quelques secondes, elle commence à sentir le liquide chaud et gluant emplir sa cavité. Sans surprise, sa chaire, corrompue par la substance étrange qui coule de ces femmes maudites lui fait de nouveau ressentir ses sensations, ses désirs, et ses besoin d'être vivant.

- Bien, c'est très bien ma chère... continuez...

Dit le docteur en passant une main sous l'uniforme de la neurs pour lui ploter les seins. Comme stimulée par ce contact, la créature s'agite et pousse ses petits cris étrange, Sylvanas sent que le liquide s'écoule de plus en plus vite elle et commence à la remplir. En quelques instants, elle ressent de nouveau l'envie d'uriner, mais le calvaire ne s'arrête pas la.

- Mmmmm ! MMMM !

Gémit elle en direction des deux soignants maléfiques en plein ébat, mais ceux ci semble ne pas s’intéresser à elle, et sa vessie continue de grossir, une bosse commence à se former en dessous de son nombril, les yeux grands ouvert, elle le regarde gonfler encore et encore.

Elle gonfle jusqu'à ce que Sylvanas ai l'impression que sa vessie va littéralement éclater, prisonier et sous pression, l'ichor remonte vers ses reins et les enflamme pour créer de nouvelles envie de sexe chez la Reine noire. Mais pire que tout, à ce stade de gonflement, elle comprend ce que le docteur lui disait, elle sent son clitoris comprimé de toute pare, qui se met à hurler de désir, comme si l'orgasme pouvait la délivrer...

- C'est bon, ça suffira.

Dit finalement Strang en voyant la belle bosse que Sylvanas arbore maintenant entre son nombril et son aine. L'infirmière se retire, le docteur tire délicatement sur le tuyau qui commence à sortir de la vaissie pleine à craquer de sa prisonnière. Quand la petite tête commence à serpenter dans son tuyau, il prend le tube de résine et le branche sur la pipette.

- Vous avez atteint un niveau de gonflement et de sensation sexuelle qui tuerais n importe quelle femme normale, mais vous n'êtes techniquement plus vivante, vous ne pouvez donc pas mourir. De ce fait, il n'y a aucune contre-indication médicale à vous laisser comme ça, aussi longtemps que nécessaire...

Et sur ces mots il commence à sceller l'urètre de sa patiente avec cette puissante colle chirurgicale, qui colabe et fusionne avec sa chaire pour former un ciment imperméable. Une fois terminé, le petit muscle urinaire se referme sur le petit bouchon grisâtre qui disparaît entre les plis rose de son sexe.
Sylvanas est au supplice, elle à envie de pisser, ou de mourir, mais ne peut pas, son coeur s'emballe tellement qu'elle en respire aussi fort qu'un animal, ignorant à quel point cela la rend plus désirable encore. Totalement prostrée, elle regarde la bosse énorme qui orne désormais ses hanches.

- Bien, nous allons pouvoir reprendre Infirmière. Mademoiselle Coursevent, je sais que vous trouvez ce traitement difficile mais croyez moi, vous allez en apprécier les effets d'ici quelques instants.

Il lève un doigt sous les yeux de la prisonnière, et le presse délibérément juste au dessus de son pubis, là ou sa peau est si dilaté qu'elle en parait plus claire.

- MMM !!!

Hurle L'elfe en bondissant sur son siège alors que sa vulve toute entière se couvre de sueur. La douleur et l'excitation sont si intenses qu'elle à en a presque eu une syncope, son esprit à chaviré le temps de ce contact, avant de reprendre ses droits une fois le doigt enlevé.

- Bien, vous voyez ? maintenant imaginez ce que vous allez ressentir en étant de nouveau pénétrée comme tout à l'heure... Infirmière ? Donnez lui son traitement...

D'un geste sec, la neurs maléfique redresse le phalus sur ses hanches en tirant sur la sangle de son god-ceinture. Avant d'approcher de nouveau entre ses cuisses de sa démarche saccadée





The Suicider

Humain(e)

Re : The Cell

Réponse 13 samedi 19 août 2017, 02:57:53

Assis dans sa cellule, Marius méditait. Il repensait à cette rencontre, à cette étrange femme, et à l’indélébile sensation qu’elle lui laissait. Régulièrement, il regardait la porte fermée menant aux laboratoires. Personne n’en revenait jamais indemne… Et tout ça le rendait furieux. Lui qui avait cru être insensible à force de vivre ici, de côtoyer quotidiennement l’enfer et l’horreur de la Prison Eternum, ressentait toute l’injustice et la frustration du moment. Peu importe ce que Sylvanas avait bien pu faire pour arriver ici, aucun prisonnier ne méritait, dès son premier jour, d’être envoyé dans les laboratoires. On y envoyait généralement les cas désespérés, ceux dont la présence provoquait de trop nombreux risques envers la sécurité. Ici bs, ils servaient d’expérimentation pour les nouveaux médicaments des grandes firmes tekhanes. Il fallait bien des cobayes pour tester les drogues et les injections que les Tekhanes développaient. Une fois sur deux, il s’agit de narcotiques améliorant les hormones, mais qui nécessitait de meilleurs dosages. Les sujets infectés en perdaient leurs capacités cognitives, et Marius les retrouvait à l’Arène, à devoir les tuer. Ici, ils n’étaient plus considérés comme des êtres humains, et n’avaient plus aucune dignité. La direction faisait d’eux ce que bon lui semblait, car personne ne viendrait pleurer sur le sort des détenus d’Eternum.

Marius ne pouvait malheureusement rien faire en l’état. Impossible de sortir de la cellule. Cependant, il savait que, tôt ou tard, Sylvanas retrouverait les prisons communes. Elle aussi serait intégrée au travail forcé, c’est comme ça que les choses se passaient ici. Quelqu’un de haut placé voulait tout simplement lui infliger une redoutable leçon.

*Tenez bon, Sylvanas… Quoi qu’ils vous font… Vous devez l’endurer.*

Même si on pouvait se demander pour quelle raison Sylvanas devait tenir, justement. Elle pensait pouvoir s’évader… Mais Marius ne pouvait pas lui jeter la pierre. Lui aussi, au début, avait après tout cru s’évader, qu’il retournerait à Ashnard, et réunirait des preuves contre ceux qui l’avaient chuté, avaient massacré sa famille, l’envoyant de force à Eternum. Une manière encore plus cruelle que de simplement le tuer, dans le fond, mais il fallait bien un coupable pour étouffer l’enquête.

Et, en ce moment, il était réduit à la plus frustrante des impuissances…




« C’est avec Kevin Malreve que j’ai réalisé, Madame Coursevent, tout le potentiel d’une thérapie sexuelle. Monsieur Malreve, voyez-vous, souffrait d’un trouble dissociatif de la personnalité, de profondes crises, et de pulsions sexuelles irrépressibles se manifestant par un penchant pour les jeunes enfants. »

Tout en parlant, le Docteur Strange avait joint ses deux mains dans son dos, et marchait autour de la table. Il observait le ventre atrophié de Sylvanas. La colle chirurgicale ne tiendrait pas éternellement, mais suffisamment pour que sa petite expérience puisse se prolonger de manière satisfaisante. L’infirmière était en train de la pénétrer furieusement, en poussant d’inaudibles borborygmes, des soupirs profonds, de véritables râles relativement sinistres.

« Monsieur Malreve avait tellement refoulé ses pulsions qu’il avait fini par les regrouper sous une autre personnalité, qu’il appelait ‘‘Tic-Toe’’. Curieux choix de nom, vous ne trouvez pas ? Monsieur Malreve était venu de lui-même pour une thérapie, et je voulais voir jusqu’à quel point Tic-Toe était influent en lui. Quand je suis arrivé à l’hôpital, Monsieur Malreve recevait un traitement spécial, visant à calmer ses pulsions sexuelles, et qui permettait d’enfermer Tic-Toe, à tel point que le comité de direction de l’établissement envisageait de le faire sortir, sous réserve qu’il suive ce traitement. Mais moi, j’étais convaincu que Tic-Toe était toujours là. »

Tout ça avait eu lieu à l’asile d’Arkham. Contrairement à une idée reçue, l’asile ne recevait pas que les délinquants les plus instables de Gotham, mais disposait aussi d’une aile civile, réservée aux patients ordinaires. Et, là encore, contrairement à une autre idée reçue, l’asile d’Arkham avait de bons résultats. Après tout, il disposait d’importantes subventions, et de psychiatres renommés et réputés, généralement des gens voulant se heurter à la psychose de Gotham City.

« J’ai donc décidé de changer les médicaments que Monsieur Malreve recevait, peu de temps avant sa sortie. L’administration lui avait trouvé un emploi dans une piscine, en tant qu’agent d’entretien. Je savais qu’il ne fallait pas longtemps pour attendre, et voir si mes estimations étaient les bonnes. Quelques jours après sa sortie, il y a eu une visite d’enfants depuis une école… Ils venaient apprendre à nager, tout simplement. Et, quand Monsieur Malreve les a vus, alors qu’il nettoyait les vestiaires, il… Il a ressenti des pulsions qu’il croyait ne jamais plus entendre de nouveau, des… Des voix dans sa tête. Des ‘‘chuchotements’’, comme il les appelle. Des chuchotements devenant de plus en plus forts, et qui l’amenèrent, dans un premier temps, à ouvrir les casiers des vestiaires des enfants. Il a attrapé le slip d’un, et a posé son sexe dessus, se caressant lentement. Vous voyez… Tic-Toe lui parlait, Madame Coursevent. Tic-Toe lui disait quoi faire, et il ne pouvait lutter contre cette sensation de bonheur qui le traversait. Et le hasard a voulu qu’au même moment, un enfant s’approche, car il voulait aller aux toilettes. »

Le Docteur s’était finalement assis sur une chaise, face à sa patiente, qui continuait à se faire torturer par l’infirmière, et gémissait et grognait en se tortillant laborieusement sur place.

« Il l’a coincé dans une cabine d’essayage. Le petit était tellement effrayé qu’il n’arrivait même plus à pleurer. Quentin Doyle, s’appelait-il. Un jeune garçon tout à fait normal, même si j’ai cru déceler chez ses parents une certaine tension sous-jacente. Probablement que son père trompe sa mère avec sa secrétaire, ou une histoire du genre… Mais peu importe. Quentin a décrit avec précision la sensation d’un objet dur se frottant contre ses fesses alors que Monsieur Malreve le guidait dans la cabine, et lui disait de se taire, avec une voix rauque et grave… Celle de Tic-Toe. Monsieur Malreve a glissé sa main sous le maillot de bain de Quentin, a caressé ses fesses, pendant que le jeune homme  pleurait et gémissait en appelant à l’aide, d’une voix si faible que personne ne pouvait l’entendre. Le doigt s’est glissé en lui, a remué dans les fesses de Quentin, tandis que Monsieur Malreve, avec son autre main, se masturbait. Il a joui contre le maillot de bain de Quentin Doyle, et s’est enfui ensuite, catastrophé. »

Naturellement, l’épisode était rapidement remonté, quand Quentin avait été trouvé par d’autres habitués de la piscine, en train de pleurer. Pendant que Kevin Malreve se masturbait contre lui, il s’était uriné dessus.

« Monsieur Malreve n’a pas été très difficile à retrouver. Dès l’après-midi, les policiers de Gotham City se sont rendus à son domicile, un petit appartement dans un suburb de Park Row. Monsieur Malreve ne répondant pas, ils ont défoncé la porte, et l’ont vu… Couché à terre, gisant dans son sang, une flaque qui s’étalait autour de son bassin, avec des morceaux de peau sur le sol, un ciseau à la main. »

Tout en parlant, le Docteur avait joint ses deux mains devant lui, les croisant, en continuant sa longue anecdote :

« Monsieur Malreve avait trouvé le moyen de combattre l’influence de Tic-Toe. Il s’était découpé le sexe avec un ciseau. Il a été conduit aux urgences, et a pu être sauvé. Il y a eu un procès, et Monsieur Malreve s’est retrouvé dans une nouvelle aile de l’asile d’Arkham, où j’ai pu mener avec lui des recherches et une thérapie bien plus poussée que ce que j’aurais pu faire dans l’autre aile. Je me suis  intéressé à ses pulsions sexuelles. Plutôt que d’utiliser des médicaments qui ne faisaient qu’atténuer le mal, je me suis attaqué à la racine de ce dernier. J’ai ainsi découvert que Tic-Toe était le nom de sa peluche, et que les pulsions pédophiles du patient venaient du fait qu’il idéalisait les enfants… Ou, plutôt, son enfance à lui. Son adolescence n’avait pas été un franc succès, ni même le reste de sa vie. Vous voyez ? Tout était lié au sexe… Comme vous, Madame Coursevent. Je trouverais votre Tic-Toe, et je vous soignerai. »

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Sylvanas Coursevent

Créature

Re : The Cell

Réponse 14 jeudi 24 août 2017, 17:18:38

Sylvanas regarde l'infirmière s'approcher en hurlant sous son baillon et en secouant la tête sur sa table de travail. Les attaches grincent, le métal de sa structure teinte mais il tient bon, malgré tout ses efforts, la jeune reine ne parvient pas à serrer les cuisses. Prisonnière de ses étriers, elle ne peut qu'assister impuissante et révolté au spectacle de cette femme-abération qui se blottit entre ses jambes et empoigne ses hanches de ses doigts tièdes et humides.

Pendant une seconde qui s'étend à l'infinie, Sylvanas regarde les yeux mouillés de larme l'énorme engin de plaisir, taché d’ichor, se présenter devant sa vulve pour en écarter les lèvres. Puis, dans un borborygme sifflant, l'infirmière donne un puissant coup de rein, et transperce la reine esclave jusqu'à ce que leur vulves s'entrechoc.

- MMMMMmmmmmm !

Le Hurlement de douleur de la prisonnière traverse le cuir de son bâillon boule et s'allonge en un long gémissement de plaisir alors qu'elle se cambre en arrière, comme une cavalière désarçonnée par une violente ruade de son étalon. Les sensations décuplées par la pression abominable qu'exerce sa vessie sur son vagin et son clitoris la font instantanément chavirer dans l'orgasme sans qu'elle ne puisse rien faire pour résister.

Une onde de plaisir sexuelle lui déchire l'âme en même temps que la queue écarte les parroies contractés et écrasées de son vagin pour venir cogner de son gland factis contre la porte oubliée et inutile de son utérus.

Au moment où elle jouie, Sylvanas pense enfin qu'elle va être libérée de ce mal-être insupportable crée par le liquide noir profondément enfoui dans sa chaire et qui ne demande qu'à sortir. Mais à sa grande surprise, l'effet inverse se produit. Un orgasme d'une telle violence l'aurait normalement faite éjaculer comme une véritable femme fontaine, hors son canal est totalement obstrué et rempli par la colle et la substance mutagène. Ainsi, au lieux de se soulager de son fluide de plaisir, elle ne fait qu'ajouter à la pression qui broie déjà son corps et ses récepteurs nerveux sexuels.

Horrifiée par cette découverte, elle ouvre de grands yeux perdus et se met à fixer le plafond d'un air fou pendant que le Docteur Strang recommence à s'insinuer dans sa tête en lui parlant encore et encore et encore...

- Mmmmm !

Gémit elle de nouveau quand l'infirmière se remet elle même de son propre orgasme et ressort d'un coup sec de la prisonnière. L'esprit perturbé de Sylvanas sait qu'elle va recommencer, elle sait qu'elle va revenir en elle et la faire jouir de nouveau, et qu'à nouveau sa nervosité et son besoin grandiront, et grandiront, en grandirons jusqu'à ce qu'elle en devienne totalement folle, puis ce que la mort lui est interdite. Elle a peur, peur de souffrir toujours plus, de perdre l'esprit, de redevenir une esclave stupide et servile. Le bon docteur lui parle d'une voix si charismatique et autoritaire, elle s'accroche à cette voix pour oublier, pour ne pas penser, ne pas avoir peur.

- MMMM !

L'infirmière s'enfonce en elle et la fait se cambrer alors qu'un nouvel orgasme la déchire. Mais elle ne peut pas éjaculer, elle ne peut pas se vider, la pression monte encore. Elle se met à trembler de tout son corps à mesure que la nervosité sexuelle la consume, elle n'entend plus que la voix du bon docteur maintenant. Elle est perdue dans cette clarté artificielle brûlante, fixant de ses yeux ronds et exorbités la lumière blanche de la lampe d'opération, le monde autour d'elle n'existe plus, il ne reste plus que son sexe, l'infirmière qui la viole, et la voix du docteur qui l'hypnotise.

Alors que le pire semble être atteint pour la prisonnière, l'infirmière commence à accélérer la cadence de ses aller-retour. Elle entre et sort plus vite, plus fort, sans jamais parvenir à détendre ou dégager la chaire du vagin de Sylvanas, toujours écrasée par le poids de sa vessie.

Détruite par des orgasmes incontrôlables et destructeurs qui lui provoquent toujours plus de frustration et de tension sexuelle, le corps tout entier de l'elfe se tend à l'extrème et ses tremblement se transforment coup de rein après coup de rein en véritables convulsions.

Au bout d'un moment, s'en est trop et Sylvanas craque purement et simplement sous la pression. Ses yeux se révulsent au point de ne voir que le bas de ses iris et elle se met à baver et cracher une écume blanche par les interstices de son bâillon pendant qu'elle roule du bassin comme une folle dans l'espoir de se libérer de sa mouille accumulée derrière le bouchon.

L'infirmière ressort alors le long pénis artificiel de la vulve de la captive en pleine crise Epilepsie et s'empare d'une seringue pleine de calmant pour arrêter le massacre. Le Docteur Strang retient sa mains et lui fait lâcher l'objet salvateur, seul salut de la prisonnière.

Calmement, il continue de parler de sa voix douce et profonde à Sylvanas dont la crise et les convulsions s'intensifient. Au point culminant de la folie, au paroxisme de l'explosion nerveuse, alors que son cerveau bout dans son crâne et lui arrache des pans entiers de sa personnalité, la reine elfe se crispe soudain toute entière et parvient à cracher son baillon d'entre ses lèvres pour ouvrir grand la bouche et laisser sa langue pendre pour pousser un hurlement de folie et de plaisir pur.

- RAAAAAAAAAAAAA !!!!!

A la fin de son cris, elle se relâche très légèrement pour se rallonger contre le lit, tout son corps reste tendu à l'extrême, elle fixe la lumière d'un regard fou en respirant profondément et avec lenteur.

- C'est un premier résultat satisfaisant. Nous allons pouvoir procéder à la seconde étape de votre conditionnement maintenant que vos désirs sexuels sont réveillés et votre volonté amoindrie. Infirmière, appliquer un bouchon chirurgical sur son urètre, je veux que le liquide mutagène reste plusieurs jours dans son organisme pour provoquer un changement définitif. Voyez vous Madame Coursevent, la thérapie chimique va relancer votre cycle hormonal et le bouleverser totalement pour créer un sentiment d'insatisfaction sexuelle permanente. Ajouté à la pression importante qu'exerce votre vessie sur votre clitoris, nous devrions observer un retour rapide et définitif à des pulsions correspondant à votre catégorie social.

Dit le Docteur Strang à la nouvelle esclave sexuelle elfe, totalement réceptive et concentrée sur sa voix.  Il regarde faire l'abomination et se délecte d'entendre Sylvanas gémir au simple contact du baume collant sur son petit orifice urinaire.

- Bien, maintenant nous allons procéder à votre isolement total, aucune autre stimulation autre que sexuelle pendant une durée indéterminée. Nous vous en ferons sortir quand la thérapie aura porté ses fruits sur votre comportement.  Infirmière, procédez...

Le regard toujours fixe, Sylvanas écoute le bon docteur et se laisse faire. Elle sent qu'on lui enlève les bouts de vêtements qu'il lui restait et qu'on lui enfile une sorte de tunique complète, faite dans une matière plastique extensible qui coupe chaque partie de sa peau de sa sensation de toucher.

On lui passe un anneau dans la bouche pour la maintenir grande ouverte, elle laisse pendre sa langue entre ses lèvres comme une chienne en chaleur. Puis on lui passe une cagoule qui épouse la forme de ses traits et la prive alors de la vue et de l' ouïe. Sylvanas passe de la lumière aux ténèbres réconfortantes et son esprit brûlé contemple le néant de son existence. Alors qu'elle se croyais tranquille, la voix du bon docteur résonne de nouveau dans sa tête par de petit écouteurs glissées au fond de ses oreilles:

- Nous allons pouvoir continuer la thérapie à loisir pendant les jours à venir sans qu'il ne soit nécessaire de nous voir, vous pourrez ainsi vous concentrer sur mes conseils pendant les longues heures où je vous entretiendrez sur votre rôle, votre identité véritable, et vos devoirs...

Totalement désemparée, la reine brisée ne peut qu'écouter en soupirant avant de hocher la tête machinalement. Satisfait, le docteur Strang fait signe à ses infirmières de raccompagner la patiente vers les cellules.

--- Aux cellules ---

Une violente décharge élèctrique traverse les murs de la cellule de Marius et le corps du colosse, une des plus brutale qu'on lui ai jamais administré depuis qu'il est enchaîné ici. Des gardent arrivent et s'assurent qu'il est bien désarçonné et incapacité avant d'ouvrir sa cellule.

Le docteur maléfique arrive alors devant les barreau, suivit par son cortège d'infirmières, poussant dans un crissement de roulette la table de travail avec laquelle il avaient enmené la Princesse terrifiée. Marius comprend alors pourquoi sa belle compagne de cellule avait si peur. Détachée et tendue sur l'acier de la civière,  repose le corps sculptural d'une jeune femme, sans doute la princesse elfe dont le corps et le visage sont désormais masqués par une tunique d'isolement.

Attention contenu explicite:

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

- Mon cher Chevalier Blanc...

Dit le docteur alors que les infirmière font entrer la table dans sa cellule et font glisser le corps de la jeune femme à quelques mètres du gladiateur.

- Vue que vous sembliez inquiet pour votre camarade de détention et soucieux de sa santé, je vous invite à participer à sa guérison.

Les infirmières ressortent et les barreau de sa cage se redressent.

- Mademoiselle Coursevent est actuellement déconnecté de ses sensations inutiles dans le but de se concentrer sur ses besoins biologiques essentiels. Elle ne vous entend pas, ne vous vois pas, ne vous sent pas, et n'a aucun moyen de savoir ou elle est et avec qui.

Le Docteur passe une sorte de clef magnétique entre les bareaux.

- Je vous offre une clef qui vous permettra d’accéder, de dévoiler et de profiter librement de son entre-cuisse et de ses seins. Je vous déconseil de tenter de lui enlever quoi que ce soit d'autre, vous provoqueriez des blessures douloureuses et irréversibles à la patiente. Si la tache ne vous convient pas et que vous ne voulez pas soulager Mademoiselle Coursevent de ses souffrances, je chargerais la garde de le faire.

Un rire de satisfaction libidineux parcours l'assemblée de brutes pendant que le docteur tourne les talons et quitte les lieux. Quelques minutes plus tard, Marius se retrouve seul avec Sylvanas...

« Modifié: jeudi 24 août 2017, 17:28:36 par Sylvanas Coursevent »


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