Etant une princesse du royaume de la Luxure, il n'était pas rare que je délaisse mon travail et autres quotidiens pour partir à l'aventure de nouvelles expériences sexuelles, pas que je suis une débutante, loin de là, mais j'avais déjà fait plus d'une expérience qui pourrait en traumatiser plus d'une.
Je commence donc mon périple par Terra, là où des créatures monstrueuses pouvaient s'y cacher, tapis dans l'ombre, attendant leur futur victime, et, pour augmenter mes chances, j'allas directement aux contrées du Chaos, on y recensait pas mal de bêtes aussi monstrueuse que violente, l'endroit rêver pour mes recherches.
Je me suis la
tenue idéale pour facilité ce genre d'épreuve, laissant ma très lourde poitrine ballocher quasiment en liberté et ne portant pas de culotte, me baladant pied nue. Je suis prête à tout pour pousser n'importe quelles bêtes aux vices qu'impose mon corps généreux, me trémoussant pendant quelques heures jusqu'à atteindre une forêt lugubre, mais plus impressionnant encore, il y avait des toiles d'araignées quasiment partout, si c'est ce que je crois... je risque de ne pas être déçue.
Je sourit doucement et, en rentrant dans la forêt, je frôle délicatement les filaments de ce réseau immense afin d'en attirer les propriétaires des lieux, marchant lentement et délicatement, patientant leurs arrivés avec une impatience certaine. Pourtant, malgré ma vigilance quand même, une toile, en forme de filet, me tombe dessus, déclenchant un cri de surprise de ma part.
Mais.. qu'est..J'eu, à peine, le temps de comprendre que je ne pouvais me dégager du filet collant que j'eu le réflexe de m'allonger, rapidement, à la vue de la masse qui me tombe dessus. Je ferme les yeux un instant puis les rouvre, perplexe, à l'entente d'une voix féminine que je regarde avec admiration, je la trouve magnifique de la tête aux pattes, reluquant sa poitrine en me mordant les lèvres avant de regarder son abdomen.
Ayant vécu en Enfer, les créatures "difformes" en étaient mon quotidien et avaient plus tendance à m'excitée que m'effrayer, ce que la drider ne pouvait savoir mais ça se voyait sur mon visage qui est excité. Elle me palpe durement, la laissant sentir mes tétons durcis et découvrir, comme seule arme, mon glaive de chair, tout aussi dur que sa palpation.
Je ne me mit à parler que quand la semi-araignée finit sa première phrase, et dit :
Ce serait un plaisir.. comment refuser la proposition d'une si magnifique créature.Usant d'une voix suave et d'un lèchement de lèvre en plantant mon regard turquoise se plonge dans les yeux marrons-rouges de mon agresseuse si attirante.