Une congénère atypique [Pv Sophiana]

Etant donné que Sophiana ne lui avait au final pas expliquée grand chose sur Terra, Miya ignorait bien évidemment l'existence des populations y vivant. Mais apprendre qu'il existait une civilisation suffisamment avancée pour mettre au point des satellites sur ce monde était toujours bon à savoir. Mais en réalité, la jeune tigresse pensait à autre chose. Tapotant une joue avec le majeur, elle réfléchissait.

- En fait, je voulais surtout savoir si tu pouvait faire passer le réseau a travers un portail ou un truc dans le genre...

Avoir le réseau sur ce monde pouvait être cool, mais elle préférait encore avoir celui de la Terre, elle connaissait bien mieux celui-ci. Même si les autorités le traçaient, il n'était pas sûr qu'ils puissent arriver au bout s'ils ignorent l'existence de la magie et le prendront dans le pire des cas pour un bug ou une incohérence. Si ce réseau "magique" partait de chez elle, sur Terre ou de chez Sophiana, ce serait encore mieux, car les autorités concernées dans l'un ou l'autre monde n'y verrait que du feu. Elle fit part de cela à sa grande sœur, avant de conclure.

- De toute façon, on verra ça en temps et en heure, j'pense pas que t'arrive à faire tout ça en moins de 24h...

Quoi que ? La démone avait parlée de creuser la roche elle même, pas de la faire creuser par d'autres. Miya savait qu'elle utilisait la magie et pouvait se changer en tigresse elle aussi, mais elle ignorait globalement l'étendue de ses pouvoir. Bah ! Elle haussa les épaules et se plaqua contre elle dans une agréable étreinte en la fixant du regard...

- Bref, on peut y aller maintenant~♪ Sauf si tu veux me sauter un peu ici avant qu'on aille sur Terre ♥

Un réseau intra-dimensionnel de chez moi à ici. C'est une idée qui peut en valoir le coup, ça évitera que les autorités terriennes ne se posent des questions et pour Tekhos, le réseau sera trop simpliste pour leur causer le moindre  soucis. Il faudra le matériel nécessaire pour mais, c'est faisable.

Et bien, tu es ingénieuse, ma soeur. Il est possible d'utiliser un portail de chez moi à ici, mais cela doit être un secret entre nous.

Je tend la main vers ma droite, ma main devenant mauve avant qu'une onde se projette à 5 mètres de moi et un grand ovale mauve apparaisse. On peut y voir à l'intérieur une sorte de monde en feux et infernal, une odeur de souffre s'y dégageant avec une énorme chaleur. Trois magnifiques femmes aux cheveux roses y sortent, fortes poitrines, fesses de rêves, elles se ressemblent toutes les trois à l'exception de leurs yeux ; une à des yeux mauves, l'autre bleus très clair comme Sophiana et la dernière, un verre émeraude très pur. Il est clair qu'elles ont, toutes les quatres, un lien de parenté.

Bonjour, mes amours. Je vais être très clair et allée dans le vive du sujet. J'aimerais que vous fassiez de cette endroit un de vie plus que parfait pour la jeune tigresse à côté de moi, sans touche démoniaques aussi.

Les trois jeunes femmes restent silencieuse tout en étant souriantes, tournant la tête vers la tigresse. Celle ci pourra vite sentir leurs regards pervers s'abattrent sur elle, ce qui risque de lui faire sentir la sensation de n'être qu'une proie face à elles. Les trois démones hochent la tête puis viennent m'embrasser langoureusement, me pelotant avant de rentrer dans le portail qui reste ouvert.

Tu as rencontrée.. mh.. mes filles avec Cerbère. Je pourrais te prendre et te baiser maintenant comme jamais, mais.. je préfère que tu garde ta chaleur pour plus tard.. on a des choses importantes à faire, miss libido.

Je m'approche lentement d'elle et me colle finalement contre son corps, mes mains glissant contre son cul bombées, créant un portail jusque sa maison discrètement, juste derrière elle. Je finit par l'embrasser passionnément, pénétrant ma langue dans sa gueule pour jouer onctueusement avec la sienne tandis que je la guide dans le portail.

En une fraction de seconde, nous nous retrouvons dans ce qui semble être la chambre de Miya selon ses dires.

Bienvenue chez toi, ma soeur.

Bon, au moins, son idée était réalisable, mais Miya voyait pas à qui elle pourrait divulguer un tel secret. C'était pas comme si elle connaissait des gens pour balancer ce genre de chose à tout va. La jeune tigresse regarda ensuite son aînée ouvrir un portail, mais qui avait l'air de donner sur un volcan en éruption... et duquel sortit trois démons quasi identique, des triplettes. Des filles de sa grande sœurs... Donc pour elle, sans doute l'équivalant de nouvelles tantes ? Sophiana leur annonça ses directives et ces dernières se mirent de suite au travail.

- Je pourrais te prendre et te baiser maintenant comme jamais, mais.. je préfère que tu garde ta chaleur pour plus tard.. on a des choses importantes à faire, miss libido.

- Beuuuh...

Miya lui tira la langue. Un geste certes puérile, mais c'est un peu aussi le genre de relation qu'il y'a entre deux sœurs non ? Elle n'eu pas le temps de la rentrer toutefois, sa sœurs venant la lui prendre avant dans un long et passionné baisé. Et avant qu'elle ne constate quoi que ce soit, la température baissa brusquement et le sol devint instantanément agréable pour ses coussinets.

- Bienvenue chez toi, ma sœur.

- Ouaaaah.... Tcha !!

Ouais, ça avait vraiment marché. Après presque six mois passés dans la savane à survivre et à se faire sauter par des fauves en rut, elle était de nouveau dans sa chambre, à Seikusu. Bon par contre, celle-ci était un peu poussiéreuse et encore, c'était un euphémisme. Les meubles étaient complètement gris tant il y'en avait. Depuis combien de temps n'avait-elle pas été aérée ? Il y'en avait tant qu'elle se mit à éternué frénétiquement. En même temps, après avoir passée autant dans un air pur, non pollué, cela faisait un sacré choc pour son organisme. Miya se dirigea vers la fenêtre pour l'ouvrir et à peine l'air entra qu'un nuage de poussière s'envola dans toute la pièce, l'obligeant à fermer les yeux tant ça piquait.

- Meh ! C'est irrespirable ici !

Recycler l'air ambiant prit un petit moment avant que ce soit de nouveau respirable. Une fois cela fait, la jeune tigresse pu y voir un peu plus clair. Bon pour commencer, une des première chose qu'elle avait constatée était qu'elle était toujours furry, donc changer de monde ne modifiait en rien son apparence. Ensuite, sa chambre n'avait pas été entretenue depuis un certain temps et, enfin, celle-ci était sans doute condamnée, vu que la porte refusa de s'ouvrir lorsqu’elle tenta de la forcer.

- Bon... la bonne nouvelle, c'est qu'on est bien chez moi. La mauvaise, c'est que y'a l'air d'y avoir plus personne depuis quelque temps...

Il est vrai que l'air ambiant, aussi charmante qu'elle soit, est saturé de poussière et moisissure, un vrai nid à bactérie. Cela est quand même surprenant que, en six mois, cette chambre soit aussi insalubre. Heureusement, contrairement à Miya, l'air pollué est une habitude, l'enfer est saturée de souffre et j'y vis parfaitement bien.

Je n'ose même pas pensée à l'état de tes vêtements, ma belle. Soit ta mère est partis, soit elle n'ose plus revenir dans cette chambre... ce qui peut être compréhensible.

J'observe Miya reprendre des bouffées d'air par la fenêtre et puis insister sur la porte pour essayer de l'ouvrir, sans succès.

Bon, trouve toi des vêtements les plus propres si au cas où on doit sortir à l'extérieur. Je garde ma forme furry tant qu'on est dans la maison, mais je vais devoir prendre forme humaine si on sort. Si on croise des gens, je dirai que tu es m'as soeur et que je t'ai fait une chirurgie de ce que tu voulais être.

Le temps qu'elle cherche ses vêtements, je prend la peine de changer ma forme pour une furry très rebelle, mais surtout plus agressive, ma musculature assez voyante comparé à mes autres formes. Je porte même des vêtements toute autant provocateur, shorty en cuir et un haut en filet, avec un soutien noir pour seulement cacher ma généreuse poitrine. Même ma voix est devenue légèrement plus grave.

Attention, retient ta respiration.

Je viens donner un violent coup de pied dans la porte de toute mes forces, l'envoyant valser sur le mur en face et créant un gros nuage de poussière dans toutes la chambre, m'obligeant à fermer les yeux quelques instant avant que ça s'estompe.

Reste ici, Miya. Je vais vérifier si il n'y a pas des squatters ou autres dans le coin.

Sans attendre sa réponse, je sort lentement de ma chambre et renifle pour sentir la moindre odeur bizarre tout en avançant. Je regarde même derrière chaque portes pour voir ce qu'il y a, très prudente pour chacunes d'entre elles et voir ce qu'il y a, cherchant peut être des indices avant d'aller voir en bas.

Alors, qu'est ce qu'on a ici ?

Miya savait sa nouvelle grande sœur forte, mais la voir défoncer la porte de sa chambre avec autant de facilité la surpris tout de même, si bien qu'elle eu un petit sursaut. Elle la vit prendre une forme plus canine que féline, carrément vêtue, avant de prendre l'angle du couloir. Juste avant, elle eu tout de même le temps de lui dire de chercher des vêtements, au cas où elles auraient à sortir. La plus jeune tiqua un peu sur l'excuse qu'elle sortira si quelqu'un devait voir son visage. Qui irait croire un truc pareil ? Personne de censé de deviendrait une furry via la chirurgie esthétique m'enfin ! Soupirant un peu, Miya fouilla dans ses armoires et tiroirs, cherchant des fringues suffisamment viables, ni bouffés par les mites, ni complètement moisis... Enfin, pas trop...


Si la chambre était dans un état déplorable, le reste de la maison n'était guère mieux. C'était même pire. Autant la chambre était poussiéreuse et humide, autant le reste de la maison était jonchée de détritus, de trous dans les murs et de tags divers. Toute la maison semblait à l'abandon depuis des lustres, effectivement squattés par quelques jeunes. Dans l'ancienne chambre de sa mère, il y'avait un délinquant complètement défoncé et à moitié affalé sur un matelas aussi défoncé que le drogué en question. La salle de bain était en ruine, la baignoire pleine de bouteilles d'alcools explosés et des flaques de bières ou de vodkas sur le carrelage. A l'étage inférieur, on pouvait entendre un peu de métal et quelques jeunes balancer des blagues salaces. Lorsque Sophiana descendit les escalier, elle put donc voir un groupe de cinq jeunes, trois garçons et deux filles, discuter autour de la table, dans des blousons en cuir et des jeans troués. Un peu plus loin, dans un canapé dans un état similaire, une ado se faisait défoncer par deux mecs, à moitiés nus et pris dans un plaisir indescriptibles, n'ayant même plus conscience de leur environnement.

Nul part il n'y avait trace de la mère de Miya. Toutefois, au vu de la discutions près de la table, les jeunes semblaient avoir une petite idée de l'endroit où elle pouvait bien être.

- Cette femme louve nous a rapportés un sacré paquet d'fric... Avec ça, on va pouvoir s'payer c'qu'on veux...


Plus haut, Miya sortit enfin de sa chambre, après avoir trouvée une tenue un peu plus convenable. Sans un bruit, elle traversa le couloir en se désolant de l'état de sa maison...

En entendant les adolescents parler d'une vente de femme louve, Je m'arrête instantanément dans les escaliers, plissant les yeux et réfléchis un instant. J'observe discrétement leurs nombres et ce qu'ils font avant de remontées lentement les marches pour me retrouver dans le couloir, croisant Miya dont je viens directement mettre ma patte sur sa gueule avant qu'elle ne dise quelque chose.

Je lui murmure à l'oreille pour ne pas être entendu.

Il y a un groupe en bas, trois hommes et deux femmes autour d'une table ainsi que deux mecs entrain de baiser une ado sur le canapé. Ils ont parlés d'une vente de femme-louve, ils l'ont déjà vendue.

Je retire ma main de la bouche de ma petite soeur et regarde autour de moi avant de sourire grandement en fixant le drogué sur le matela.

Nous n'allons pas faire dans la dentelle, on a peu de temps pour récupérer ta mère. Soit elle va servir de vide-couille pour je ne sais pas qui, soit elle va finir sur le biard pour être disséquer.

Je m'avance dans la chambre où je m'approche du drogué avant de lui saisir le cou séchement, lui coupant le souffle directement pour ne pas qu'il crit et alerte les autres. Je montre au type qu'il doit se taire, avec une grand sourire sadique, avant de le soulever du sol comme si il n'était qu'un sac à main et sort de la piéce en le tenant ainsi.

C'est l'heure du spectacle, ma jeune soeur.

Dit-je à la tigresse avant de venir lui rouler une pelle canine, ma main libre lui claquant les fesses pour les saisir. Je lui fit un large sourire quand je sentit que Miya commence à être chaude de mes gestes, lui léchant le cou comme une promesse de suite à mon acte avant que je ne recule doucement pour descendre les marches, peu discrête.

Mes pas se font lourds sur chaques marches tandis que le groupe à la table n'entendent rien tellement qu'ils parlent et que les autres baisent comme dans un porno hard. Dés que j'apparait à la vue des deux femmes, je lance celui que j'ai en main sur leur table pour signaler ma présence, celui-ci brisant la table sous l'impact. Miya se mettant à côté de moi, grognante.

Bonsoir, j'ai trouvée chose dans la chambre de la mêre de ma chérie, je dois supposer que vous savez où sa mêre se trouve ou je...

Je me coupe directement pour arrêter la main armé d'un du groupe qui était cachée derriére un meuble. La lame de son couteau me transperçant la main sans que je ne montre la moindre douleur, je parvient même a serrer ma main sur la sienne pour le bloqué. Lachant un rire plutôt amusé, tandis que mon poing libre s'abat sur sa machoire, la lui brisant sur le coup, le tuant sur le coup. Une des deux femmes à la table, une rousse, pousse une cri d'effroi et tente de s'échapper, mais se fait arrêter net quand une chose invisible lui saisit les cheveux pour la jetée contre le mur.

Je ne compte pas me répéter, où est la femme-louve que vous avez vendu ?

Le restant du groupe sort des couteaux, femmes comme hommes, sauf celle qui se faisait baiser comme la pire des trainée, trop en extase pour réagir. Je pousse un long soupire tandis que mon regard se pose sur Miya, qui semble bouilloner de l'intérieur. Je retire la lame de ma main, laissant une grosse plaie qui se referme à vue d'oeil, et raméne celle qui j'ai assomée à mes pieds.

Miya... laisse que les femmes en vie et "intact", j'ai un projet pour elle tandis que... les autres... fait leur cracher le morceau sur l'endroit où se trouve ta mére.

Je regarde la rousse inconsciente et m'ouvre les veines de la main droite avec mes crocs, laissant mon sang se déverser lentement. Je lui saisit la chevelure de feu et la souléve avant de plaquer mon poignet ouvert contre sa bouche, la forcant à boire mon sang dont il semble qu'elle ne refuse pas en se réveillant.

Miya eu à peine le temps de rejoindre Sophiana que celle-ci lui mit sa pattoune sur la bouche pour l'empêcher d'émettre le moindre son, lui expliquant ce qu'elle avait découvert. Ainsi, des délinquant squattaient donc SA maison, après avoir vendus SA mère ? En son fort intérieur, la cadette espérait que ce soit pour la première solution que la seconde. Pourquoi ? Simplement parce qu'elle ne croyait suffisamment pas assez aux coïncidences. Il y'avait peu de chances qu'elles soient retournées sur Terre la veille de la vente, probablement qu'ils étaient là depuis une semaine ou deux, elle ne voyait de toute manière pas comment son domicile aurait pu être autant dégradé en aussi peu de temps.

Miya vit sa grande sœur entrer dans la chambre de sa mère et en ressortir peu après, avec un mec complètement à l'ouest, à moitié en train de s’asphyxier avec la pression contre son cou. Rien que de le savoir sur le lit de sa mère, la tigresse vit rouge. Non, sans déconner, ces types allaient payer pour ce qu'ils avaient faits ici. Sophiana descendit donc à l'étage inferieur et balança le corps de l'ado sur la table en contrebas, qui se brisa sous l'impact. La tête étant complètement retournée, elle se doutait qu'il devait avoir eu la nuque brisée.

- Bonsoir, j'ai trouvée une chose dans la chambre de la mère de ma chérie, je dois supposer que vous savez où sa mère se trouve ou je...

Comme il fallait s'y attendre, l'un des types l'attaqua avec un couteau. Pas un couteau de cuisine ou un petit canif, non... Un vrais coutelas, avec cran d'arrêt, avec une lame d'au moins 10cm... Et qui se planta dans la paume de la louve. Miya eu un petit sursaut et cela la fit bouillir encore plus d'énervement. Heureusement, cela ne lui fit pas grand mal et tua pour la seconde fois de la soirée un demeuré... Un instant, de la soirée ? Oui... Sur Terre, la nuit se levait, alors que c'était tout juste le matin sur Terra...

Tout les autres sortirent alors un couteau, tandis qu'une des filles essaya de fuir, sans succès.

- Putain, on a encore du rab les gars... Bougez pas mes mignonnes... Si vous restez sages, vous rejoindrez très vite vot' copine... hé hé...

Miya roula des yeux au plafond, sortant ses griffes.

- Miya... laisse que les femmes en vie et "intact", j'ai un projet pour elle tandis que... les autres... fait leur cracher le morceau sur l'endroit où se trouve ta mère.

- Avec plaisir, Neesan...

La jeune tigresse avait passée six mois dans la savane, à vivre à la dure entre la chasse l'inconfort et les mâles... Ce n'était certainement pas cinq mecs à moitié défoncés par l'alcool et le shit, et rongés par l'avidité, qui allaient lui faire peur. A peine Sophiana lui fit sa demande, que la fauve bondit en avant, esquivant facilement la trajectoire des lames, donnant un grand coup de griffe au visage d'un premier mec, avant de projeter le second contre un mur. Elle fit ensuite un demi-tour sur elle même pour venir planter ses croc dans le cou du griffé et le lui déchiqueter, recrachant la chair avec un air dégoûte. Non pas dû au fait que c'était un humain, mais que la viande humaine, c'est particulièrement immonde, comparé au bison ou à la gazelle. Avec deux types tués en moins de cinq secondes, le chef de la bande faisait déjà beaucoup moins le fier. Il essaya malgré tout de l'attaquer avec son coutelas, mais Miya l'esquiva facilement, avant d'attraper son bras et le retourner violemment vers l'un de ses pote qui se prit la lame en plein dans son bide. Au passage, le bras émit un craquement sinistre au niveau de l'épaule et il perdit connaissance avant d'avoir le temps de crier, en faisant dans son froc dans le même temps.

En a peine vingt secondes de combat, elle avait déjà éliminée la moitié de la "menace". Il ne restait plus que l'autre fille qui était assise à la table auparavant et qui se plaquait contre un mur, avec un air terrorisé, celle qui s'était faite sauté dans le canapé et qui était toujours ailleurs, et un dernier mec, qui tentait vainement de fuir, maintenu par une force invisible. Et qui finit rapidement coupé en deux au niveau de la taille. Miya s'approcha de la fille face à elle, donnant un coup de patte dans sa main, assez fort pour lui faire lâcher sa lame, mais sans lui briser le poignet, avant de la caresser au niveau de la joue.

- Dis moi où est ma mère... qu'est ce que vous en avez fait... Je ne voudrait pas avoir à te faire crier trop fort, tu capte ? Ni à te tuer d'ailleurs... Même si c'est pas l'envie qui m'en manque...

Elle étira un sourire, qui dévoila ses canines, légèrement rougies par sa dernière morsure. Un bruit d'éclaboussure lui signala que l'adolescente était en train de se pisser dessus.

- On... On l'a ven... ven... vendu... P-P-Pour se faire d-d-du f-fri...

- J'm'en fout d'ton pognon, j'veux savoir où est MA mère !

Miya frappa contre le mur, près de sa tête et la fille émit un cris relativement aiguë.

- Hîîîîîîîîîîîî ! Je... Je... On... On l'a vendu... Au... Au... Au bordel du p-p-port... dans un entre-p-p-p-pôt d-d-désaffecté... Le c-c-contact est s-s-sur la t-t-table...

- Merci, pouffiasse.

Miya la saisit et la balança vers sa sœur. C'est à ce moment là qu'elle vit que la rousse, inconsciente, était désormais devenue une furry panda roux, mais toujours avec sa coiffure punk. La fille qui se retrouva face à la louve eu un moment de panique en voyant ainsi sa copine.

- Q-Q-Qu'est ce que vous lui avez fait ?!... Esp... Espèce de m-m-monstre !

- Intéressant... C'est ça ton projet les concernant ?

Déjà que sa grande sœur l'avait assez bien chauffée en l'embrassant en haut... Mais si en plus elle transformait ces filles en furry, ça n'allait pas calmer ses chaleurs...

Bien le sang de démon est censé être mortel, le mien est fait pour être aphrodisiaque et une étape importante dans la transformait en succube ou incube. Cependant, je peux aisément le contrôler pour qu'il ne s'attaque qu'à l'ADN de l'hôte dans lequel il se trouve, du moins, cela ne s'applique que pour les humains "normaux". Mon sang étant à moitié furry, il est encore plus simple de rediriger l'ADN humain sans trop savoir pourquoi d'ailleurs, plus le corps est faible, plus c'est facile.

Pendant que Miya s'amuse avec ses nouveaux joujoux, la rousse boit mon sang allégrement, ce qui me fait gémir de plaisir tellement qu'elle le suce avec une intensité perverse. Peu à peu, sa peau visible se parcoure de frissons et ses poils changent de teintes pour tirer vers un roux plus clair, certaines zones vers du noir ou du roux plus foncés.

Je finis par lâcher un couinement, mêlant douleur et plaisir, en sentant les crocs du futur furry se former dans ma chair. Alors que je la regarde se transformer, mon regard tourne directement vers un des hommes qui tentent de fuir le carnage que commet ma petite soeur, un réflexe m'échappe et un de mes bras démoniaques vient lui saisir le crâne tandis qu'un autre vient le couper en deux avec une force démesurée, relâchant le torse juste après.

Je soupire doucement et regarde l'ado qui, pendant que je m'occupais du fuyard, m'avait lâché pour se tenir à mes cuisses, couinant de douleur tandis que son pelage a enfin fini de se former. Vu la douleur qu'elle montre, son squelette est au travail pour la transformation finale. Durant ce temps, je me reconcentre sur Miya qui interroge une des survivantes, apeurée, dont je reconnais facilement le côté dominant de la tigresse.

Hîîîîîîîîîîîî ! Je... Je... On... On l'a vendu... Au... Au... Au bordel du p-p-port... dans un entre-p-p-p-pôt d-d-désaffecté... Le c-c-contact est s-s-sur la t-t-table...

Je sourit en entendant l'avoeux puis réfléchit sur le lieu où se trouve ce bordel, je n'en avais jamais entendu parler, même mes contacts dans les Yakuza n'en ont fait mention. Pourtant, si c'est un bordel, ils devraient être sous leur contrôle ou c'est un gang rival de la leur, qui essaye de se faire une place dans cette ville perverse qu'est Seikusu.

Revenant à moi quand la pisseuse se retrouve à mes pieds, et me "complimente" de voir son amie devenir une sublime panda roux, dont j'avoue que le coté punk lui va comme un gant, je lui offre un doux sourire, comme une réponse à ses paroles puériles.

Voyons, je trouve qu'elle est encore plus belle ainsi. En plus, elle a pris en force et en courbe, c'est pas mal pour des droguées qui se font baisées comme de vulgaires putains dans un taudis, non ?

Je m'accroupie devant elle et lui caresse la joue tout en regardant tendrement Miya, qui semble assez ravie de voir ça et même bouillonante, ce qui me donne des frissons d'envie.

Je me dit qu'elles seront plus utiles sous cette forme que celle de simples humaines dépravées par l'alcool et la drogue. D'ailleurs, en parlant de dépravée, je sent ton envie grimpée en flêche... Cela risque d'être fort... excitant si tu continue de me fixer ainsi, un regard brulant de luxure.

Je me mordille la lévre en la reluquant, écartant mes cuisses pour lui montrer que je suis tout autant excitée qu'elle, mon mini-short étant déformé par mon énorme chibre, ce qui n'échappe pas à la blonde qui fait les grands yeux devant et se met à paniqué, même à pleurer.

N-n-non... pitié... tout mais pas ça, je-je ne veux pas devenir ainsi... pitié... pitié... On ne savait pas qui elle était... je vous le jure... Jamais on-on-on s'attaquerai à des Yakuza, mais on était... tellement dans.. dans la pauvreté... On... Mmmph !

Je la coupe directement en posant mon index sur ses lévres, les caressant tendrement avant de déposer un baiser sur son front, mes yeux restant figés dans les siens.

Chhhhhhhht. Ne parle pas plus, tu aggrave ton cas, ma belle. Tu vas devenir toute belle, sauf si... je suis généreuse et que tu me dit que gére ce bordel ainsi que comment vous avez sur qu'il y avait une femme-louve qui vivait ici. Tu pourras partir si tu me dit la vérité, ma chérie, tout le monde sera content ainsi.

Je pose un doux baiser sur les lévres de la blonde tout en lui caressant les joues, agissant comme une mére aimante, mais la facette cache beaucoup de malice. Ne dit on pas "gueule d'ange mais Diable au corps" ? Oh que si, cependant, il faut bien calmé cette adolescente paniquée. Dans le dos de la jeune blonde, je montre à Miya de s'occuper de celle sur le canapé pour qu'elle me la ramene.

Allez, parle, beauté. Avoue moi tout.

Pendant ce temps, la panda roux est toujours inconsciente, cette transformation l'ayant plus qu'épuisée. Rien de plus normal, on va dire.

En fait, quand Sophiana lui demanda d'aller chercher la dernière fille, celle défoncée par les mecs précédemment et pratiquement à poil, Miya était déjà à ses cotée. Mais en réalité, elle hésitait un peu. La fille en question était complètement en ahegao, incapable de réaliser ce qui se passait autour d'elle. Il suffisait de regarder les seringues vide à côté et les marques sur son bras pour comprendre qu'elle avait été droguée aux aphrodisiaques. Peut être étai-ce leur nouvelle prise à vendre ? Peut être un cadeau pour la vente de sa mère ? Ou peut être était-ce juste une fille de leur groupe qui aimait bien perdre pied en baisant, tout simplement.

Évidement, voir le membre de sa grande sœur devenir aussi raid l'avait rendue folle de désir... Mais à vrai dire, ce qui l'excitait encore plus, ce serait de voir ces salopes se faire sauter par un barreau trop gros pour elles. Et dans le fond, les voir devenir des furry n'était finalement que justice. Devenir comme elles, comme sa mère qu'elles avaient vendue, c'était l'assurance qu'elles ne tenteraient rien, pour éviter qu'elles ne se retrouvent dans la même situation que sa mère : se faire vendre comme bête de foire dans un bordel.

- Allez, parle, beauté. Avoue moi tout.

- Je sais pas... Je sais pas je sais pas je sais pas... V-v-v-vraiment p-p-p-pas... P-p-p-pitié...

Elle pointa d'un doigt tremblotant le chef de la bande, toujours dans l'inconscience causée par la douleur, après que son bras ait été cassé ou déboité. Elle semblait vouloir dire que lui le savait. En tout cas, la blonde était en pleur et était terrorisée à l'idée de perdre son humanité.

Pendant ce temps, Miya déposa finalement la 3ème fille aux pieds de la louve, avant de retourner voir le chef de la bande, tâter son poul pour s'assurer qu'il était toujours en vie, avant de lui mettre de grosses baffes afin de le réveiller.

Je regarde l'homme qu'elle pointe, tremblante tellement qu'elle est effrayée, avant de regarder Miya qui s'en occupe directement, après m'avoir laissé la jeune droguée à l'aphrodisiaque. Pendant que ma sœur s'en occupe, je reviens sur la petite blonde et lui caressant la joue alors que je la colle à moi, ce qui ne manque pas de la faire pleurer, crainte de subir cette transformation mystérieuse.

Voyons, voyons, calme toi, ma douce. Le temps que ton chef révèle tout à ma sœur et que tu répondes à mes questions, tout se passera pour le mieux.

La blonde hoche rapidement la tête, tentant de se calmer alors que je m'assois sur les marches d'escalier, la mettant de force sur moi. Elle, qui ne porte qu'une mini-jupe noire, elle sent mon énorme bosse collée à sa fente à nue. Elle se retient de pleurer à plusieurs reprises, montrant des signes de dégoûts quand elle sent ce chibre difforme appuyé contre son intimité.

Mmmmh.. *Souffle rapidement* Je.. Je... d-d-d-d'accord, mais... par pitié.. Je ne veux pas... Avoir cette chose en moi, m-m-m-madame... Je vous l'implore.. Je suis... Gnnnhh ! Qu-qu'est ce qui m'arrive ?!

D'un coup, les hanches de l'adolescente ont commencé à rouler sur ma bosse gonflant, un déhanchement digne d'une danse nuptiale pour se reproduire, malgré que celle-ci ne le veuille pas. Sa surprise et son dégoût prouvent qu'elle ne se contrôle pas, mais rien de plus normal quand on sait qu'elle est sur une démone de Luxure.

Ooooh ! Je vois que ton corps réclame de l'intention. Hmmmm... Même ta chatte mouille abondamment tellement que tu veux ma queue, mon mini-short est trempé à souhait...

N-n-non... Nooon... Je n'aime pas les... mmmmmh ! Haaaaa ! ...les...les bites... Je suis lesbienne, j'ai déjà une.. une compagne... et... Haaaan !

Mes mains lui prennent les hanches et la force à se déhancher plus intensément sur moi, lui donnant des haut-le-cœur entre ses gémissements de plaisir incontrôlés, tentant en vain de ma repousser les mains pour s'échapper, mais la différence de force est considérable. Ce qu'elle ne sait pas, c'est que c'est mon aura perverse qui agit sur elle, excitant son corps et l'influençant à se reproduire avec moi. Pour son esprit, c'est autre chose, il faut plus de temps pour que son esprit divague grâce à mon aura, surtout en étant lesbienne.

Cependant, je ne m'avoue pas vaincue et continue et jouer sur son esprit faible, dû à la drogue et l'alcool. Je finis par remonter mes mains sur son manteau de cuir, dés que son bassin à pris le rythme que je lui ai imposé, pour l'ouvrir sèchement et lui déchiré le t-shirt, dévoilant la petite poitrine de ma proie, dardant d'envie.

Arrêtez ! Stop, je refuse de... Han !

Je glousse finement alors que mon regard pervers se pose sur Miya, qui semblait se dandiner sur place pour retenir la moindre pulsion de nous voir ainsi, pendant qu'elle interroge le mâle avec brutalité. Vicieuse, ma langue vient couvrir le mamelon de ma proie, le titillant à coups de langue tandis qu'elle tente, sans y parvenir, à s'échapper de mon emprise.

Je sais pertinemment que le temps joue contre nous, mais le faite de ne pas tenter, chauffer ou sentir l'envie sexuelle des personnes, m'est impardonnable et follement attrayant, surtout en voyant la tigresse mouillée comme une petite chienne en manque. La blonde gémit et se trémousse sur moi, contre son gré, avec une envie montante, dégoût arborant son visage rouge d'extase.

Ma langue remonte lentement à l'oreille de la pleurnicharde apeurée et paniquée de ce qui lui arrive, pour lui murmurer sensuellement, tout en regardant ma petite sœur qui nous reluque.

Maintenant, tu vas savoir ce que subit sa mère dans un bordel, en ce moment même. Je vais t'engrosser et te transformer, tu vas devenir très belle comme très salope.

Mes paroles trahirent mon ton sensuel, la pétrifiant de terreur et la faisant pleurer encore plus qu'avant, elle n'ose plus résister à son déhanchement et ses désirs, dégoût amplifié du projet qu'elle va subir.

Je finis par me mordre les lèvres à sang, même la langue pour que je me mette à bien saigner avant de venir lui rouler une pelle généreuse ainsi que langoureuse, forçant la blonde à boire mon sang dans des gémissements d'envie et de répugnance.

Après une bonne série de baffes, le dernier mec encore en vie finit par se réveiller.

- Ah, quand même... Bon, maintenant explique moi comment toi et tes potes vous avez su pour ma mère ?

- Va crever salle chienne...

Miya soupira un bon coup de lassitude en fermant les yeux, avant de prendre son bras cassé et le tordre dans un angle proprement dégelasse, ce qui le fit hurler de douleur, les larmes aux yeux.

- Alors, déjà, je suis pas une chienne, ou alors t'es juste inculte en espèces animales. Et ensuite, si tu me répond pas, j'peux aussi te péter l'autre bras et les jambes, ça m'dérange pas.

Pour seule réponse, il lui cracha à la figure, avant de se moquer, ne l'en croyant tout simplement pas capable d'une telle chose. Quelques secondes plus tard, il hurla de nouveau à la mort, suite à un bruit de craquement et de déchirure mou. Miya venait de lui démembrer son avant-bras invalide, comme elle ferait avec son gibier de chasse, avant de balancer plus loin. Evidemment, il se mit à pisser le sang, mais cela ne dura pas longtemps après qu'elle lui fit un garrot à son moignon. Le but n'était pas de le tuer rapidement, juste de le faire souffrir.

- T'as de la chance, c'est ton bras gauche... Tu peux encore ne pas devenir totalement handicapé si tu coopère.

- Ahhh... S... Salope... Va t'faire foutre... HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!

Non, la tigresse n'avait rien cassée ou démembrée cette fois-ci, elle s'était seulement contentée de grattouiller un peu la chaire exposée avec une griffe. Cela dura quelques minutes, avec en fond sonore la tomboy blonde qui était à la fois excitée contre sa volonté et dégoûtée par la situation. Finalement, les seule qui semblaient déconnectées, c'étaient la rousse inconsciente et la brunette en ahegao.

- J'me demande bien qu'est ce qui t'pousse à ne pas balancer l'info...

- Si... Putain... Si j'parle, ils m'tuerons...

- Et si tu continu de résister, tu finiras par mourir de tes blessures... Est ce que ça vaut vraiment l'coup de vivre comme tronc ou de mourir pour ces types ?

Il sembla considérer la question un instant, envisageant réellement la possibilité, avant d'abdiquer. De toute façon, si il parle, il se fera tuer plus tard, mais il vivra suffisamment longtemps pour se cacher le temps que tout ça se tasse... dans le cas contraire, soit il mourrait comme un con, soit il survivait, sans membres et donc dans la capacité de fuir si on pars à sa recherche. Il ferait une cible facile. Il était même possible que ses enfoirer continuent de jouer avec lui, avant de l'achever, comme le faisait la tigresse en ce moment même. Et puis s'est bien connus, les chats aiment jouer avec leurs proies.

- Okay... t'as gagnée... J'vais parler...

Il lui expliqua finalement - entrecoupés de râles de douleurs - qu'à la base ils étaient simplement venus dans cette baraque pour un cambriolage des plus classiques. Toutefois, la porte d'entrée était entre-ouverte et la femme qui vivait seule était effondrée dans le couloir, sans doute ruinée par l'alcool au vu des cadavres de bouteilles dans le salon. En bons délinquants pervers, ils l'avaient violés pendant que les filles cherchaient tout ce qu'il y'avait de valeur à récupérer, que ce soit de l'argent, des bijoux ou de l’électronique. Ils lui avaient aussi fait des injections de drogue aphrodisiaque, pour l’amener à la jouissance et ne pas rendre le viol trop chiant. Ils avaient donc été surpris par la transformation de la femme suite à son orgasme.

- On avait jamais vu un truc pareil... Et on s'est dit qu'elle rapporterait plus de fric que tout les trucs réunis ici...

Miya dû se faire violence pour ne pas éclater la face de ce type tout de suite. Il balançait absolument tout, sans réaliser qu'il ne faisait qu’attiser la colère de la tigresse que de la calmer. Pendant une semaine, ils ont violé la femme louve en long et en large, durant des heures, jusqu'à la briser complètement, jusqu'à ce qu'elle en redemande d'elle même. A ce moment là, ils ont pris contact avec un bordel un peu particulier au niveau du port, un établissement peu connus, dans lequel on trouve quelques lycéennes capturées, mais aussi des filles presque humaines, comme ils les appelaient eux même, essentiellement avec des attributs de chats ou des oreilles pointues par exemple.

- On l'a vendue il y'a trois jours de cela... et on a été payé 130 000 Yen dans la soirée...

Miya comprenait mieux pourquoi ils s'étaient rués sur elles dès qu'ils les avaient vus... C'était quand même une sacrée somme pour des délinquant à la rue et la possibilité de la multiplier par trois leur avait fait oublier le sens du danger. Sa mère avait sombré dans l'alcool, elle n'était donc pas dangereuse lorsqu'ils l'ont trouvés. Mais Miya et Sophiana elles, étaient en pleine possessions de leurs moyens. Miya le remercia en l’assommant et en lui faisant perdre connaissance. Elle avait des projets pour le faire souffrir et lui faire payer ses actes. Elle en fera sans doute pars à sa grande sœur si celle-ci lui pose la question, mais pas de suite, vu comment elle semblait s'amuser avec sa proie. D'ailleurs, celle-ci avait déjà entamée sa métamorphose à son tour et Miya fut un peu surprise de la voir devenir une tigresse comme elle. Certes, elle faisait très garçon manqué, avec ses cheveux courts et sa poitrine complètement plate, mais l'absence de pénis prouvait bien que c'était une femelle.

Miya s'approcha donc d'elles en retirant ses vêtements, se remettant donc complètement nue, et vint se coller contre le dos de sa nouvelle congénère en venant pincer ses tétons, s'arrangeant pour sentir le sexe de Sophiana glisser contre son intimité également.

- C'est bon, tu t'amuse bien sans moi, Oneesan ?

Jalouse ? Juste un peu...

 Le ton qu'emploi Miya me fit mordre les lèvres d'envie, rien qu'en ressentant cette jalousie de ma sœur, j'imagine déjà qu'elle va faire en sorte d'être plus dominante que cette lesbienne, se montrer meilleur au lit que les trois.

A ce compte, je pense pouvoir m'amuser comme jamais et réussir a rendre Miya plus qu'accro à moi. C'est pour cela que ma langue se balade sur le cou de la lesbienne, mon regard pervers plongé dans celui de ma sœur et mes mains pelotant le cul de la tomboy.

Justement, celle-ci se met à gémir langoureusement sur moi, le dos plaqué contre la poitrine de Miya. Elle semble encore dégoûté, mais seulement sur son visage, mon sang agissant comme un aphrodisiaque sur elle, une drogue de soumission qui la fait se déhanché sensuellement sur moi et contre ma sœur.

Dit moi, ma chère petite sœur, serais tu jalouse que tu ne sois pas entrain de gémir sur moi... à gémir et a profité de mes caresses ?

Toujours en la fixant, je penche la tomboy sur moi, lui mettant la tête dans le creux de mon cou et lui murmure quelque chose. Chose qu'on peut comprendre vite car, dès cet instant, elle tourne la tête pour me mordre le cou a sang, me faisant pousser un cri de plaisirs. Mes mains lui agrippant les fesses dans un claquement sourd, un gros craquement se faisant entendre au niveau de mon shorty tellement que je bande sur le coup. Ma bosse tapant sèchement sur l'intimité de ma sœur, pulsante d'envie tandis que je gémis a chauqe gorgée de sang que la tomboy boit.

Mmmmmh... Miya n'ose pas montrée qui est la dominante vis a vis des trois autres ? Han !

Je pousse un puissant couinement, sentant deux violentes mains me saisir les seins et les pétrir sans douceur, pointant mes mamelles pour qu'elle puisse les pincer ainsi que tirer dessus.

Je réplique directement en lui claquant le cul violemment, venant lui mettre mon index dans son petit, la doigtant rapidement. Elle semble tres bien aimée vu quelle se dehanche dans tout les sens.

- Mmmmmh... Miya n'ose pas montrée qui est la dominante vis a vis des trois autres ? Han !

La jeune tigresse trouvait que cette affirmation n'avait pas de sens, puisque sa grande sœur la dominait déjà sans problème. Non, le vrais soucis, c'est que Sophiana lui donnait terriblement envie de sexe alors qu'en même temps, elle voulait retrouver sa mère et faire payer les acheteurs, mais avec des coups plus que de l'argent. Mais puisque sa sœur d'adoption l'avait chauffée et la narguait désormais, Miya allait tout simplement l'ignorer, pour s'occuper de la tigresse Tomboy. De ses réactions de dégouts vis à vis de la grosse trique, il était clair qu'elle était une pure lesbienne et qu'elle préférait cent fois une langue dans son intimité plutôt qu'une monstrueuse matraque. Et puisqu'elle avait gentiment coopéré, il fallait la récompenser, pas la terroriser ou la forcer à faire des choses qu'elle n'aimait pas, même avec de l'aphrodisiaque.

- On va voir qui elle préfère de nous deux, si tu y tient ♪

Les doigts toujours sur les tétons érigés de la tomboy, Miya déscendit peu à peu ces derniers, les glissant sensuellement le long de la fourrure jusqu'à écarter ses belles petites fesses fermes. Ignorant superbement la queue tendue de Sophiana, elle sortit alors sa petite langue aventureuse et vint laper avec gourmandise la fleur intime de sa congénère féline, veillant à stimuler autant ses grandes lèvres et la chair intérieure que son clitoris. Les gémissements que la tomboy se mit à pousser soudainement était une belle preuve qu'elle préférait de loin ces petites attentions agréables aux actes brutaux de sa grande sœur.

- Alors Oneesan ? Qui est la vraie dominante maintenant ?

Pour Miya, dominer, ce n'était pas seulement imposer ses envies à son partenaire, mais savoir aussi écouter ses préférences... Sinon, cela ne se résumait qu'à un stupide acte de viol.

Un large sourire décor mon visage quand je voit ce que fait Miya, comprenant qu'elle n'a rien compris à ce que je lui ai dit. J'aurais pu trouver ça amusant, mais quand ma petite soeur adoptive se met à m'ignorer pour s'occuper uniquement de la tomboy, je débande en un coup, mais les regardant avec un large sourire sans rien montrer de plus. D'ailleurs, Miya peut même sentir que je ne dégage plus du tout de phéromones et même ma poitrine ne pointe plus.

Qui est la plus dominante ? C'est celle qui sait punir quand il le faut.

Autant que j'aime narguer et rendre accroc mes partenaires, autant je n'aime pas qu'on gâche mes travaux surtout que, au moment où Miya a jouée la lesbienne, la tomboy a perdue l'envie de se faire fourrer et est redevenue elle-même.

Je me léve d'un coup sec, faisant tomber Miya et la lesbienne sur elle, la regardant avec une neutralité absolue, inquiétant pour un visage angélique comme le mien. Une fumée mauve m'enveloppe avant de disparaitre subitement pour que je sois sous une forme Neko, portant une robe noir moulante.

Joue bien, j'ai ta mére a récupérée.

Même ma voix est froide alors que je fixe une Miya qui est déboussolée par mon changement soudain d'humeur. Au passage, je fais tomber les trois nouvelles furry dans un portail pour qu'elles soient enfermées quelque part avant de tourner les talons pour aller vers la sortie. Mauvaise perdante ? Non, loin de là, mais je ne supporte pas qu'on remette en cause mon travail et ma dominance. Si Miya veut faire ça, ce sera sans moi et, là, je lui fait clairement comprendre.

Surtout que, au final, elle se comporte plus comme une simple femme avec des envies plutot que celle qui les imposes à ses soumis, les faisant subir ça. De plus, j'en fais partie de ces dominantes la, qui joue sur tout pour manipulée les envies de leur victimes afin qu'elles craquent et deviennent folles de ce qu'elles sont ne pas censé aimer.

Honnêtement, Miya fut prise de cours par la réaction de Sophiana, ne s'attendant pas le moins du monde à ce genre de réaction. Mais avec du recule, c'était sans doute dû à son coté démoniaque. Et puis la plus jeune ne connaissait son ainée que depuis un peu moins de 48h seulement, donc c'était normal. Mais de fait, en moins de temps qu'il n'en faut pour voir son membre débander, elle se retrouva au sol, tandis que les trois autres filles furent aspirées par un portail. Sa grande sœur était devenue anormalement neutre et détachée. Comme si le fait de ne pas lui sauter dessus ou de s'occuper d'une autre qu'elle inadmissible à ses yeux. Un peu égoïste sur les bords nan ?

- Joue bien, j'ai ta mère a récupérée.

Et elle sortit de la maison sans un mot de plus, la laissant seule au milieu d'un inconscient et de plusieurs cadavres. Interdite, la jeune tigresse resta à califourchon sur le sol durant quelques minutes de plus, avant de hausser les épaules.

- Bah... si Nessan sait pas exprimer les choses clairement, tant pis, mais moi, pas question que je joue avec des morts, j'suis pas nécrophile encore...

Si Miya avait tant craquée sur le gros membre de son ainée, ce n'était pas non plus pour rien. Remontant dans sa chambre, elle passa précautionneusement son bras sous son lit, jusqu'à attraper un coffret en bois long et étroit. Et, en l'ouvrant, elle en sortit un énorme gode équin (taille réelle). D'ici à ce que sa grande sœur ne revienne, elle comptait bien s’amuser avec ce jouet, qu'elle n'avait plus eu entre les mains depuis bien longtemps.


Ailleurs, sur les docks

L'ambiance festive battait son plein au port de Seikusu. Les bars et les restaurants étaient plein, les night-club diffusait leur musique, ténu par l'insonorisation des bâtiments et quelques artistes de rue dessinaient des portraits des passants. Plus enfoncés dans les quartiers, on pouvait trouver quelques bordels, certains luxueux, d'autres plus mal famés. Un seul se faisait nettement plus discret que les autres, son entrée étant dans une arrière cours, fermée par une grille, une vraie armoire à glace en surveillant l'entrée. Visiblement, il devait s'agir d'une maison close accessible seulement à ceux ayant reçu une invitation du propriétaire des lieux...