Le Grand Jeu
Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Les terres sauvages => Discussion démarrée par: Tachibana Miya le mardi 04 juillet 2017, 04:39:44
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Il est des fois où il est nécessaire de chasser pour survivre. Les forts dominent les faibles, c'est dans l'ordre naturel des choses. Quoi qu'il arrive, il y a toujours quelque chose au dessus d'une créature dans la chaîne alimentaire. Il en va de même au sein d'une hiérarchie, et c'est encore plus flagrant au sein d'un milieu naturel. Prenez la savane par exemple, située dans les terres sauvages de Terra. Il existe là bas plusieurs tribus de furry sauvages, autant herbivores que carnivores. Bien que les seconds ne se lancent pas à l'assaut des premiers pour les dévorer, car respectant les êtres doté d'une conscience, ils s'en servent néanmoins comme d'esclaves, après avoir saccagé leurs tribu. On peut donc noter une certaine similitude avec les nations civilisés, ces dernières étant en somme supérieurs aux furry. Et même entre chaque tribu, il existe une hiérarchie, chaque individu occupant un rang selon son sexe et sa force. Ainsi, tout en bas de la pyramide, on trouve les femelles herbivores et, au sommet, les mâles alpha carnivores, qui forment un conseil pour discuter des problèmes dans la région.
Quel rapport avec ce qui nous concerne aujourd'hui ? Une seule réponse : Miya. Depuis qu'elle était arrivée dans cette partie de Terra, il était difficile de bien définir la place de la jeune tigresse au sein de cette grande pyramide des tribus. Athlétique et douée dans la chasse, elle devrait en toute logique se situer entre les femelles carnivore faibles et les mâles. Toutefois, sa force défiait la logique et la jeune femelle s'était avérée plus forte que le commun des mâles chasseurs. Si forte que le conseil avait décidé de lui attribuer un statut particulier, au même titre que les chamans, celui de femelle alpha. La seule de la région. Autrement dit, elle pouvait choisir avec quelle mâle ou quelle femelle elle voulait copuler, sans que les autres n'ait leur mot à dire, mais restait malgré tout soumise aux membres alpha du conseil, ces derniers restant au dessus d'elle. Cela, c'était dans la théorie. Car dans la pratique, Miya adoptait souvent des positions de dominée lorsqu'elle couchait avec les mâles qu'elle choisissait.
C'était d'ailleurs le cas en ce moment même. Devant l'entrée de sa tanière, la jeune femelle se faisait brutalement défoncer l'intimité par un guépard en rut, gémissant et grognant de plaisir, son membre bestial et turgescent élargissant son vagin sans ménagement. Cela faisait déjà une bonne heure qu'elle copulait avec ce fauve, qui avait d'ailleurs déjà jouis à plusieurs reprises en elle. Penchée en avant, les griffes plantées dans un tronc d'arbre, elle se laissait pleinement aller à une luxure des plus débridée en espérant avoir un public, qui aurait été attiré par ses cris pas le moins du monde étouffés...
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Cela faisait déjà deux jours que je me baladais sous ma forme primaire de tigresse, ayant eu cette idée après une longue discussion avec ma mére pour savoir d'où venait cette origine animale qui est si étonnant à Tekhos, dans la savane de Terra, libre comme tout et me livrant à ma tenu d'Eve à cette nature hostile, comme on disait, chassant les animaux sans conscience et m'abreuvant dans les rivières ou lac des environs. Je m'y accommodait plutôt bien mais ce n'était pas le pire.. je commençais à être gravement en manque de sexe et je n'ai rencontrée personne depuis le début, ça me pèse de plus en plus, tellement que même les plaisir solitaires ne me satisfais plus, j'ai besoin de chair, de la vraie pour combler mes sexes bouillants.
Au bout d'une heure de courses, je fini par enfin atteindre une tribu, apparemment, que je surveillés de loin tout d'abord avant de me dirigée vers son entrée, sachant que je ne passerai pas inaperçu avec la poitrine volumineuse que je porte et le chibre noir qui me cache l'intimité, pour l'instant, mais je ne devais pas y aller brusquement aussi, il se pouvait qu'il n'y ai pas d'Hermaphrodite ici ainsi que mon pelage est assez anormal pour un furrys d'origine, je vais dire. Ceci dit, a peine rentré dans la basse-cour, les regards se tournaient vers moi, certains stupéfaits, d'autres déjà désireux de mon corps tandis que d'autres encore été choqués par la vision du pénis noir que je portais.
Ne craque pas maintenant.. contient toi.. tu viens à peine d'arrivée ici.. n'écarte pas déjà les cuisses des femelles qui te matte..
Me murmurai-je avec difficulté, je n'apprécie pas de me retenir de la sorte mais dés le début de mon arrivée, dans un lieu inconnu pour moi, je crains que ça ne passe pas si bien ici. Je fais clairement en sorte de ne pas succombé à mes vices de suite mais cette effort fut vite balayer par l'entente des cris d'une femelle en pleine ébat sauvage, ce qui me fit battre mon cœur à une vitesse hallucinant et me fit courir vers ce son pervers qui sonna comme une invitation à la populace de le suivre, quittant le village, puis, finalement, atteignant des ruines, j'arriva à destination en ayant la lubrique vision d'une autre femelle tigresse dont le bassin était assailli par un léopard qui s'acharne dans son intimité avec une grande férocité... pfffff.. petit joueur.
Il a, à peine, fallu une seconde de cette vue pour que mon sexe se dresse violemment, de sa hauteur vertigineuse de cinquante centimètres tellement que je suis en manque, et m'avance à pas lourd vers le couple, me plaçant de sorte à ce que cette tigresse voit ce qui lui attend, portant mon regard sur le léopard en grognant méchamment pour lui signifier qu'il a juste intérêt a bouger de là si il ne veut pas finir en position fœtale dans un coin du village. Si lui est en rut alors, la femelle tigresse soumise va savoir ce que sait de subir les coup d'une vraie queue en manque de cette drogue plaisant.
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Les seins de Miya étaient ballotés d'avant en arrière au rythme des assauts effrénés de son amant. Les yeux fermés, les pattes au dessus de sa tête, la tigresse soupirait lourdement, son corps tremblant de plaisir, jusqu'à ce que le mâle de se plaque brutalement contre son fessier pour déverser de nouveau en elle sa chaude et épaisse semence, dans un puissant grognement, qui couvrait sans difficulté le couinement de la jeune femelle. Les amants restèrent dans cette position de longues secondes durant, avant qu'il ne se retire finalement de son intimité, qui se mît bien vite à déborder de foutre. Ce fut à ce moment là que le léopard vit la futa et son énorme trique, grogner méchamment envers lui.
- J'ignore qui tu es et d'où tu viens, mais si c'est cette femelle que tu veux, elle est toute à toi, j'en ai fini avec elle pour aujourd'hui.
Et il s'en alla en les laissant en plan, sans un regard pour Miya. Celle-ci était désormais accroupie devant son arbre, les griffes encore plantées dans l'écorce au dessus de sa tête, peinant à reprendre un rythme normal. Elle était terriblement excitée et les phéromones de la nouvelle venue n'étaient pas pour calmer ses envies. Redressant la tête, son regard ambré se posa enfin sur elle, sur son pelage atypique et, surtout, sur la trique la plus imposante qui lui ait jamais été donnée de voir.
- Ouaaah... Jamais j'en ai vue une bite qui me donne autant envie... Qu'est ce que tu attend pour me la faire goûter ?~
Si elle mouillait depuis près d'une heure, elle n'avait pas encore jouis, contrairement à son amant précédent. Mais avec une trique pareille, elle allait forcément atteindre l'orgasme et pas qu'une fois...
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Je posa un regard aussi pervers que la trique que j'ai en ce moment sur la tigresse a genoux devant son arbre, essoufflée un peu de son ébats qui ne semblait pas l'avoir satisfaite en voyant son regard admiratif sur mon menhir de chair, comme un saint-Graal du plaisir pour la perverse furry, demandeuse d'orgasmes.
Qui te dit que je vais faire attendre les choses plus longtemps ?
Aussitôt dit, aussitôt fait, je lui agrippe la chevelure d'une main ferme, frottant mon imposant dôme sur les lèvres gourmandes de ma "promise" pour lui faire ouvrir la bouche et, dés cela fait, j'enfonce un quart de mon glaive de plaisir dans le hangar dédié à ça, apparemment, allant et venant sèchement dans des déhanchements assez musclés tout en étant sensuel, ce qui fit sautillé ma lourde poitrine et me causé des gémissements bien intenses.
Haaaan ouiiii... c'est tellement bon.. enfonce encore plus mon sexe dans ta bouche de cochonne si tu veux que je te nourrisse de ma substance..
Je grogne de plaisir à présent, se mêlant dans mes gémissements de femelle en rut, me faisant saisir fermement un de mes obus pour le masser fougueusement.
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- Qui te dit que je vais faire attendre les choses plus longtemps ?
La furry futa approcha son monstre de chair et posa le bout de celui-ci contre les lèvres de Miya, qui était en position dominée. Cela ne sembla pas la déranger, bien au contraire. Désireuse de ce gros membre, elle huma sa fragrance et en lécha sensuellement le gland, avant que son homologue, impatiente, ne l'enfonce entre ses lèvres et ne débute de lents mais puissants vas et viens.
- Haaaan ouiiii... c'est tellement bon.. enfonce encore plus mon sexe dans ta bouche de cochonne si tu veux que je te nourrisse de ma substance..
- Hmmmph ! Hmmmmmgrrr !
Le sexe s'enfonça peu à peu dans sa gorge, qui s'élargissait au passage du monstre, jusqu'à finalement atteindre le fond de l'oesophage. A ce moment la, Miya se fit littéralement abuser la gorge, qui était aussi humide et serré que n'importe lequel de ses trou actuellement. Sa poitrine tressautait elle aussi et la jeune tigresse ne tarda pas à jouir sous la puissance et la brutalité de ce rapport, envoyant de puissants geyser de mouille sur le sol.
- Hmmmmggglllllrrrrrddd !!!
Ses yeux se révulsèrent légèrement, mais sa puissante amante ne s'arrêta pas tout de suite...
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Mes vas et viens perdurent encore et toujours aussi sèchement, se masturbant à une lenteur follement excitant dans cette gorge serrer que je prend déjà comme mien, poussant de râles intenses de plaisir et des grognements puissants digne d'un dominant en rute. Je me plais tant dans la bouche de la tigresse soumise que je sent qu'on va être colocataire pendant quelques jours, elle est exactement la personne qui me fallait pour mes besoins pervers dans la nature sauvage et hostile où les lois bestiaux avaient lieux, une dominante venaient de faire son apparition et, sans que la tribu ni moi, je prenna possession d'une de leur femelles qui est,apparemment, plus comblée avec moi que d'autres dont elle a connu, ce séjour risque d'être fort amusant.
Raaaah.... haaaan haaaan... ouiiiii...
Mmmmh... je vais te faire mienne, sale perverse, tu vas... haaaan.. savoir ce que c'est d'avoir un.... mmmh... vrai mâle dominant...
Je lui avoua clairement mes intentions sur ce faite, aucune honte de me l'appropriée sans lui laisser le choix, sachant pertinemment que la loi des forts et faibles est en vigueur en ces lieux alors pourquoi m'en priver ? Un objet de plaisir pareille.. comment passer à côté d'une telle opportunité ? Avoir accès à une telle femelle, ne peut que m'appartenir et cela lui est obligée, même si il faut que j'y parvienne par la violence mais, pour l'heure, je compte profiter de la soumission de la furry. Ma deuxième mains attrape aussi sa chevelure et, comme si cela ne suffisait pas, j'entame des aller-retour à une vitesse fulgurante, baisant la gorge de la tigresse, en extase totale, comme si il s'agissait d'un vagin, brutalement et de tout le long de ma queue monstrueuse, enchaînant gorges profondes sur gorges profondes, m'arrachant de bons cris de plaisir, mêlée à mes grognements, mais pieds sont trempés dû à la flaque de foutre qu'à laisser la "victime", mes sens sautillent et balochent même grâce à ce rythme effrainer.
Haaaaan ! Haaaaan ! Ouiiiiiii !
Mes vas et viens deviennent frénétiques pendant quelques secondes avant que je me stoppe net et lui maintienne totalement empalé sur l'entièreté du monstre alors que je pousse un long cri de plaisir suivi d'un râle tout aussi, déversant ma semences bouillante dans la gorge de la tigresse, abondant deux fois plus qu'une futa. Je reste sans bouger un moment puis retira mon glaive de son fourreau lentement, glaive n'ayant pas perdu un centimètres de sa grandeur vertigineuse, lubrifié à souhait et prêt à passer aux prochain round.
Brave femelle.. tu es digne d'être la mienne..
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Miya venait de jouir sous la violence de la Futa qui lui prenait la gorge. Mais passer l'orgasme, la jeune tigresse commençait peu à peu à manquer de souffle, l'air se raréfiant au fur et à mesure que sa gorge se faisait remplir, entendant à peine ce que l'autre disait. Et alors qu'elle sombrait peu à peu dans l'inconscience, son corps devenant tout mou, Miya sentit un flot immodéré de sperme filer directement dans son estomac, durant de longues secondes, avant que le monstrueux sexe ne se retire de sa gorge avec une lenteur exaspérante. Dès qu'elle fut libérée, Miya s'écroula au sol en toussant, recrachant du foutre encore chaud, prenant de grandes goulées d'air frais. Sa vision finit par regagner en netteté ainsi que son ouïe et cette fois ci, la tigresse put entendre plus distinctement ce que l'autre lui dit.
- Brave femelle... tu es digne d'être la mienne...
Qu... *tousse* Quoi ? Après que tu ais faillit me tuer ? ça... *tousse* Va pas ? Et puis j'ai un nom, je m'appelle Miya ! *tousse* Je suis pas juste une "femelle"
Elle se redressa en chancelant à moitié, louchant sur l'énorme sexe toujours en érection, avant de se pencher en avant et de vomir le sperme en surplus dans son ventre. Elle ignorait d'où venait cette Futa tigresse au pelage incongru, mais elle l'avait vraiment mis mal en très peu de temps et ne se sentait pas vraiment bien. Et bien malgré elle, son intimité était ruisselante de mouille.
- Ce mâle était venu parce que je l'avais choisi pour passer un peu de bon temps avec moi... Et toi tu débarque de nul part et tu t'impose sans rien connaître de la région, mais tu n'est pas chez toi... Tu es... Tu n'es qu'une étrangère ici... Donc ne compte pas me faire tienne si facilement...
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Je recule de quelques pas en secouant la tête, j'étais tellement en trans que je n'ai pas réfléchie aux conséquences d'une telle gorge profonde et que, comme elle le dit, je ne suis pas chez moi donc les choses ne peuvent pas être aussi simple.
Je.. hum.. je suis désolée, je n'avais pas conscience que j'allait trop loin dans ma perversité au point où j'ai failli te tuer, mais comprend moi.. deux jours de privation et, en te voyant si ouverte, j'ai craquée.S
Je m'en voulais quand même, me grattant la nuque, gênée, de ce manque de contrôle et viens prés d'elle alors qu'elle est cambrée vers l'avant. Je pose une main sur son épaule et use de ma queue touffu pour lui essuyer la bouche, tendrement, le sexe toujours aussi dressée à la vue de la nudité de la "victime".
Vu mon état de manque combiné à tes cris plus que tu sois à mon goût.. enfin.. voilà.
Je viens lui embrassée la joue tendrement, voulant montrée une autre facette de ma personnalité.
Sinon, enchantée Miya, je me nomme Sophiana, et pour tout te dire, je suis venue ici pour retrouver mes origines du coté de ma mère. Si je peux faire quoi que ce soit pour me faire pardonnée ?
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- Je.. hum.. je suis désolée, je n'avais pas conscience que j'allait trop loin dans ma perversité au point où j'ai failli te tuer, mais comprend moi.. deux jours de privation et, en te voyant si ouverte, j'ai craquée.
Hmm... Bon, au moins, elle avait consciente qu'elle était allée trop loin. Miya n'était pas contre l'idée d'être dominée sexuellement, plus particulièrement par une femelle aussi bien membrée, mais elle n'était pas une poupée en silicone non plus. Elle bouda donc un peu, juste pour la forme en gonflant les joues, bras croisés, ce qui devait également renforcer son côté adorable. Ce qui fonctionna car elle vint l'embrasser sur la joue.
- Vu mon état de manque combiné à tes cris plus que tu sois à mon goût.. enfin.. voilà. Sinon, enchantée Miya, je me nomme Sophiana, et pour tout te dire, je suis venue ici pour retrouver mes origines du coté de ma mère. Si je peux faire quoi que ce soit pour me faire pardonnée ?
La jeune tigresse s'approcha de son aînée mains sur les hanches, avant de se pencher en avant en la fixant, faisant balloter ses seins sous ses yeux.
- Moui... Il y'a quelque chose que tu peux faire... Je vais être franche, l'idée de me faire sauter par ta queue me dérange pas, au contraire... J'aime le sexe. Mais je voudrais que tu me traite plus comme un être vivant que comme un jouet.
Miya vint alors embrasser la langoureusement Sophiana en pelotant sans vergogne un de ses gros seins et en remuant son bassin contre l'énorme vierge, durant de très longues secondes en gémissant tendrement. A la fin, elle finit par décoller ses lèvres des siennes, un sourire mi ravi mi taquin.
- Moi aussi je t'aime bien en fait... Et... J'ai toujours voulue une sorte de grande sœur super membrée aussi~
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Elle se penche vers moi avec son regard félin et ses seins ballochant, qui ont l'air aussi succulent que l'entrejambe de leur propriétaire surtout qu'ils sont bien durcis et les aréoles bien gonflés, ce qui ne fit pas redescendre mon chibre surexcitée, mais je la laisse parler, attendant une ouverture possible. Quelque chose me travaille quand même, sa réaction, elle n'a pas la réaction des femelles furrys habituelles... Non... Elle est plus caractérielle que ses comparses qui, normalement, n'aurait pas montrer autant de "dominance" envers une personne plus forte qu'elle.
Je vois et comprend, mais sache que je suis très endurante et bien abondante.. Sauras tu tenir le coup ?
J'affichais un visage amusée, mais derrière, c'était tout autre, ils se pourrait bien que je n'ai pas une "vrai" furry pur en face de moi, ça expliquerait son caractère et sa perversité qui est aussi accrue qu'une humaine. Je le voit bien dans son regard qu'elle ne pense pas qu'à copuler pour enfanter, mais pour jouir.
Je suis coupée dans mes pensées, recevant un baiser langoureux que je ne tarde pas a partager avec elle, laissant nos langues se rencontrer et nos salive se mélanger pendant qu'elle me pelote l'un de mes nichons, déclenchant de fins soupires d'aises entre ses lèvres ainsi que des frémissements à son bassin titillant mon chibre. Je lui empoigne fermement les miches pour la collée à moi et resserrer l'étreinte avant qu'elle ne rompe le baiser et face sourire en disant une phrase ressemblant plus à une proposition.
Et bien.. je suis contente car je recherche une petite sœur perverse et accroc à mon sexe.
A ces mots, je la pousse doucement contre l'arbre en l'embrassant avec passion, gardant mes mains accrochées à son fessier. Pendant de longues minutes, je maintiens nos lèvres scellées avant de les décrocher et de descende ma tête sur sa poitrine, ô combien agréable, pour lui tenir le sein droit d'une main ferme tout en relevant sa cuisse droite contre ma hanche, puis lui lape rapidement le téton du bout de ma langue râpeuse. Je la laisse savourer le plaisir d'avoir la pointe fouetter avant que j'enfonce tout son aréole en gueule et me mette à le sucer avidement, tout en le lui dégustant le téton d'une langue frénétique.
Je lui fait subir ce traitement assez longtemps pour qu'elle prenne une grande dose de plaisir, agissant comme si je prenait soin d'une petite sœur, avant de lui libérer tout son mamelon souillée par ma bave et, en la regardant avec envie, je la soulève avec une facilité déconcertante, plaçant ses cuisses sur mes épaules sans la lâcher du regard.
Je vais te faire voyager comme jamais, petite sœur..
Phrase dite, je lui mordille les lèvres intimes pour mieux plaquer mes lèvres pulpeuses dessus et enfoncer ma langue, plus longue qu'une furry normal, entre celles-ci, mélangeant aller et venus frénétique ainsi que tournoiement infernal dans son vagin, léchant ses parois intimes par la même occasion, ce qui me fait avaler sa mouille et le sperme du mâle précédent. Mes techniques ne sont pas que pour lui faire plaisir, je le fais pour qu'elle tilt que, comme elle, je ne suis qu'une transformation.
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- Et bien.. je suis contente car je recherche une petite sœur perverse et accroc à mon sexe.
- Graouw~ ♪
Miya laissa échapper un petit grognement de satisfaction, alors que sa nouvelle grande sœur la plaquait doucement contre l'arbre pour l'embrasser de nouveau, durant de longues minutes. leur langue tournoyaient dans un délicieux baisé, échangeant salives mais aussi reste de sperme. Miya avait été sincère. Certes, elle avait un grand frère, mais leurs parents étaient séparés et chacun avait la garde d'un enfant. Inutile d'expliquer les raisons de ce divorce, son père ne se sentait pas en sécurité avec une femme pouvant devenir une louve au lit, ainsi qu'avec une fille se transformant en tigresse. Si Miya avait eu une sœur plutôt qu'un frère, elles se seraient amusées toutes les deux intimement en furry. Et si elle avait été une Futa, elle aurait pu s'occuper de l'enculer. Donc avoir Sophiana comme grande sœur, c'était un peu comme réaliser un fantasme. Surtout que c'était une tigresse elle aussi, ce qui était encore mieux.
Celle-ci finit par lâcher ses lèvres pour s'occuper de ses seins. Un en bouche, l'autre dans une main. La cadette couina et grogna de bonheur, lâchant de plus en plus de phéromones dû à son plaisir sans cesse grandissant, sa mouille suintant hors de sa fleur. Une fois encore, l'aînée mis fin à son doux traitement au bout de longues minutes, pour se retrouver le visage entre ses cuisses et laper doucement son intimité.
Je vais te faire voyager comme jamais, petite sœur...
Et elle ne lui mentit pas. A peine commença t-elle son traitement buccal que Miya sentit son corps chavirer. C'était tellement... Intense... C'était comme si un volcan venait d'entrer en éruption dans son ventre tant elle se sentait chaude face à une telle expertise. la jeune tigresse porta ses mains à ses seins pour se les malaxer, pinçant et tirant ses tétons entre deux griffes, la gueule ouverte et la langue pendue, haletant de plaisir sans retenue. Son intimité ruisselait de mouille, inondant la bouche de sa nouvelle grande sœur. Cela dura, une fois de plus, de longues minutes, durant lesquelles Miya dérivait effectivement vers des contrées luxurieuses, sur un petit nuage rose. Lorsque son plaisir atteignit son point de non-retour, Miya lâcha ses seins, les tétons érigés à leur maximum, pour les poser sur la tête de Sophiana, avant de hurler son orgasme.
- Haaaaa... Haaaaa.... Je... je JOUIIIIIIIIIII ♥ ONEE-CHAAAAAAAAN ♥♥
Miya laissa s'échapper un véritable torrent de mouille dans la bouche de son aînée, par à coups et durant de très longues secondes, presque une minutes, avant de se calmer enfin, mais toujours aussi chaude et excitée. Durant son orgasme, elle avait lâcher un mot, qui en disait long sur ses origines et qu'elle ne venait clairement pas de la savane... Ni même de Terra d'ailleurs...
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J'avale, sans me forcer, le cocktail de mouille et semence de l'orgasme de ma nouvelle sœur, conquise pas ma langue gourmande, n'hésitant pas à faire entendre que je boit tout son orgasme. Je décroche mes lèvres de la fleur de la tigresse, avec un beau sourire, puis la fait descendre en la gardant dans mes bras, restant fixer dans ses yeux, seins contre seins.
Tu as un goût exquis.. ma petite sœur japonaise.
Je sourit doucement avant de l'allonger sur le sol, les fesses dans sa mouille dû à premier orgasme, étant sur elle en restant intensément fixer dans le regard de plaisir de Miya que je viens embrasser passionnément avant de plonger ma langue dans sa bouche pour jouer avec son appendice buccal dans un câlin baveux. Ma main droite lui lâche la fesse, libérant sa jambe, mais mon autre main glisse sur l'arrière de sa cuisse pour la tenir relever d'une main de fer.
J'ai cette envie de te faire hurler pour que toutes les femelles du coins entendent pour qu'elles comprennent qu'une vrai dominante donne un plaisir immense et que les mâles me jalouses..
Je lui lèche le cou longuement, restant le corps collé au sien, pelage contre pelage, avant que mon sexe vient s'enfoncer dans sa fleur intime, écartant lentement ses pétales humides de ma petite sœur, coulissant sur chaque millimètres de son tunnel vaginal que je sent frotter ma verge. Je donne un coup de rein sec pour faire rentrer la moitié restant, collant mon bassin aux siens, ayant gémis intensément tout le long.
Tu es si.. agréable..
J'entame des vas et viens rapide avec des coups un peu plus violents que ce qu'elle a connue, tapant son bassin avec le mien toutes les secondes, déformant son ventre à chaque passage de mon chibre dans son être, gardant sa cuisse contre ma hanche tout en gémissant sensuellement à son oreille.
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Cette expérience avait été formidable, mais elle était loin de se terminer. Bien vite, Miya se retrouva enlacée dans un tendre câlin avec sa désormais grande sœur, ronronnant d’appréciation lorsqu'elle la complimenta sur le goût de sa mouille. Elle avait notée qu'elle était japonaise, mais Miya ne comptait pas lui dire tout de suite comment elle s'était retrouvée dans cette situation, même si Sophiana devait se poser quelques questions. Quelques minutes passèrent ainsi, avant qu'elle ne l'allonge doucement au sol. Elles ne se lâchèrent pas une seule fois du regard, comme pour resserrer leur nouveau lien fraternel.
- J'ai cette envie de te faire hurler pour que toutes les femelles du coins entendent, pour qu'elles comprennent qu'une vrai dominante donne un plaisir immense et que les mâles me jalouses..
- Prend moi fort Onee-chan ♥ Fait moi hurler de plaisir avec ta grosse queue ♥
Son sexe était plus long et plus large que tout ce qu'elle avait déjà pris. Malgré tout, il s'enfonça relativement facilement et le fait qu'elle soit trempée n'y était pas forcément pour quelque chose. C'était la preuve que Miya avait l'habitude de se faire sauter, même hors des périodes de chaleur ou de rut, qu'elle était une vraie salope. Sa grande sœur entama alors de violents mais bref vas et viens, et la cadette se mit à couiner son plaisir relativement fort, mais ce n'était pas encore des cris. Entre deux soubresauts, elle lui donna une astuce, non sans qu'une lueur espiègle de brille dans son regard.
- Mrwwwwwwa ♥ Onee-chaaaaaan ♥ Entre... Entre dans mon.... Graaaaaaaaaw ♥ Dans mon uteruuuuus ♥ Haaaaaan ♥
La tigresse mauve ne sera pas déçue. En bonne petite salope, Miya adorait qu'un sexe entre aussi loin en elle. Il n'y avait vraiment que ça pour la faire hurler de plaisir. Et jusqu'à maintenant, les êtres y étant parvenu se comptait sur les doigts d'une seule patte. Et d'un seul coup, son aînée accéda a sa requête et enfonça le reste. Une bosse se forma sur son ventre alors que Miya poussa un rugissement de plaisir, inindant de nouveau la queue de sa soeur.
- GRAAAAAAAWWWWWWW ♥♥♥♥
- Tu es si.. agréable...
Sophiana commença donc à la défoncer dans les règles de l'art et Miya perdit rapidement pied, s’abandonnant pleinement à la luxure en hurlant son bonheur de tout son être, en ahegao. Loin d'être brisée, elle prenait au contraire un pied monstre et en redemandait encore.
- HAAAAAAA !!! HAAAAAAAAA !!! PLUS FOOOORT !!! ONEE-CHAAAAAAN !!! BAISE MOI PLUS FOOOOOORT ♥♥♥
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L'aisance dans laquelle j'ai pénétré Miya me donne encore plus de vigueur, pourtant, elle semblait admirative de voir ma queue, comme si c'était la première fois qu'elle en voyait une aussi massive, mais je rentre en elle comme un couteau aiguisé dans du beurre et elle ne s'arrête pas la, déjà entrain d'hurler son plaisir, insistant pour que j'y aille plus fort. Avec elle, il est sur que les femelles des environs vont être émoustillées, voir appâter par tant de hurlements et phéromones.
J'ai donc adopter une petite sœur bien salope et très ouverte, je compte bien lui en faire voir de toute les couleurs avec ma queue et ma perversité, surtout que mon aura démoniaque incite au vice de la luxure face aux être qui n'en ont aucune habitude. Si elles sont toutes ainsi, je crois que je vais rester un bon moment à m'amuser ici, mais de dois me faire connaitre et commencer par baiser une putain comme elle ne l'a jamais été est un très bon début, on avait dépasser le stade de simple fourrage de routine dont elle a connue, je lui fait connaitre un niveau bien supérieur.
Voulant accéder à sa demande, je passe mes mains en dessous de ses cuisses, tout en continuant de la poutrer à ce rythme lent et brute qui la mets déjà dans tout ses états, redressant mon buste avant de lui seins les miches en les claquants et de lui soulever son bassin en même temps que je me relêve, les plies des genoux de Miya encastrer contre ceux de mes bras, l'obligeant à faire une belle courbe avec son dos, les épaules et la tête comme appui sur le sol.
Faisons nous.. entendre.. faisons rêvé les autres de notre union.. mmmmh.. je vais te baiser comme tu l'a toujours méritée.
Je me mord les lèvres puis pousse un rugissement dominant, tenant la tigresse que par les fesses avant d'enchaîner des vas et viens digne d'un animal qui domine sa femelle, limant le tunnel vaginal, bouillonnant et humide, de celle ci à un rythme monstrueux qui dépasse ce que je lui ai fait connaître depuis le début. J'ai perdu tout contrôle de mon corps, je démonte clairement ma femelle dans des grognements bestiaux et rauques.
Mes vas et viens s'enchaînent et se succèdent, mon membre prenant possession de ce tunnel accueillant qui est assailli par celui ci dans une frénésie des plus totale, farfouillant tout son intérieur dans un rythme monstrueux qui me fait râler et grogner de plaisir. Mon chibre barbare lui déforme le ventre exagérément, le fond de son urètre est tabasser par ce rythme démoniaque dans assaut qui est encourager par le tintonnement du claquage de ses fesses contre mon bassin.
Mes seins sautent dû au coups que je lui porte tout comme ceux de ma conquête, qui en danse de ces coups infernaux dans le plaisir. Je veux qu'elle en soit accrocs et fait tout pour, prouvant mon endurance de démone-furry à la jeune tigresse en transe, quand je dit une chose, je le fait et ça promet de ne pas s'arrêter en si bon chemin...
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Une fois de plus, sa grande sœur accéda à sa requête, changeant de position pour la pénétrer avec plus d'aisance et de rapidités. Si Miya était déjà brûlante de désir plus tôt, le plaisir à présent était tel que la cadette perdit totalement ses repères, son cerveau se déconnectant de la réalité pour se concentrer uniquement sur la chaleur et le plaisir dans son vagin. Il était à présent difficile de savoir si la jeunette jouissait en continu ou si il s'agissait seulement de sa mouille qui coulait à flot. Ses cris de plaisir devinrent des gargouillement inaudibles, son clitoris et ses tétons étaient érigés à leur maximum, tant et si biens qu'ils lui faisait mal, mais la douleur était noyée par l'intense plaisir qu'elle recevait de sa sœur. Le regard révulsé et la langue pendouillant mollement hors de sa gueule grande ouverte, Miya subissait, pleinement soumise à la dominante, ses phéromones s'éparpillant dans les alentours, portés par la légère brise.
Plusieurs fois, elle sentit Sophiana se vider en elle, faisant gonfler son ventre. Plusieurs fois, elle lâcha de véritables geyser de cyprine qui éclaboussèrent le visage de sa sœur. Plusieurs fois, elle rugit son plaisir à s'en casser les cordes vocales. Le pied qu'elle prenait était incommensurable, monstrueux. Et pourtant, preuve de sa ténacité, de son endurance, la jeune tigresse en demandait toujours plus, insatiable, prouvant à l'aînée qu'elle était digne d'être sa petite sœur. Finalement, au bout d'une, voir deux longues heures, Miya sentit son aînée se retirer finalement de sa grotte des plaisir et le sperme jaillit en quantité non négligeable de sa chatte, arrosant généreusement l'entrejambe de la Futa et le sol entre ses cuisses, tandis que Miya lâcha un soupir de contentement.
- Mraaaaaawwwww~
Miya resta dans cette position quelques minutes, le temps de reprendre son souffle, avant de se redresser et de pousser gentiment Sophiana au sol, de manière à ce qu'elle se retrouve allonger sur le sol. Miya lui grimpa ensuite dessus, affichant un petit air espiègle.
- Hi hi ♥ Tu sais que je suis japonaise, mais je suis sûre que tu te demande comment j'ai atterrie là, j'ai pas raison ? Aller, si tu me laisse m'empaler sur ta queue, à cheval sur toi, je te dirais tout ♥
Elle aussi elle avait envie de s'amuser un peu, et pas seulement rester passive.
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Cet appétit insatiable, tout ces bruits de sexes qui se mélangent à nos cris et grognement, de hurlement pour Miya, me donne faim de son plaisir, encore et toujours plus. La tringlant comme une acharnée, ma queue lui bourrinant le fond de l'utérus pour mieux la remplir de ma semence bouillante, sans arrêter mes aller et retour dans sa belle chatte gourmande, j'en bave tellement qu'il est bon de fourrer une telle putain sans me retenir et qui en redemande en plus.
Les orgasmes se succèdent pour elle, m'arrosant le pelage jusqu'à la gueule de sa mouille si perverse, pendant que je nourris son entrejambe avec mon chibre infernal, y éjaculant mon sperme abondant au point où son ventre en gonfle et que cela déborde sur le sol. Tant de fluides sexuels en elle, lubrifiant le tout et la sensation que mon gland patauge, se baignant dans ma crème lubrique, ne m'aide pas à calmer mes ardeurs primitifs.
Encore et toujours, deux heures de sexe pur entre, deux avides de baise violente, et aucune de nous étions en proie à la fatigue, mais il faut bien qu'on change un peu de position. Je sort brutalement mon sexe dans ce vagin du néant, admirant le ventre rond de ma petit-sœur chérie, avant de jouir encore sur le pelage et les seins de celle-ci, laissant mon sexe de sorti le temps que je les lui souille de mon liquide reproducteur. Ce temps que prend la tigresse pour revenir dans notre monde et de se redresser en me poussant afin de me chevaucher, un visage joueur dans son regard.
Vu que tu es ma petite-sœur aussi perverse que moi... tu as ce droit sur moi.. et pour te répondre, tu dois être sans doute humaine... car les furrys sont très rare, mais explique moi quand même.
Je passe ma main lentement sur son gros ventre avant de lui saisir les seins, éparpillant le sperme pendant que je les masses.
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- Vu que tu es ma petite-sœur aussi perverse que moi... tu as ce droit sur moi.. et pour te répondre, tu dois être sans doute humaine... car les furrys sont très rare, mais explique moi quand même.
- Hé hé ♥ Les furry ne sont pas si rare que ça tu sais ? il doit y'en avoir un bon demi-millier dans cette région~
Miya se plaça donc au dessus d'elle. Largement au dessus même, afin de pouvoir faire entrer le sexe monumental de Sophiana dans sa petite fente, avant de s'abaisser au maximum, jusqu'à prendre le membre entièrement. Elle pris son temps, y allant sensuellement. Une fois cela fait, elle débuta de lent vas et viens, remuant ses hanches et soulevant son corps pour l'abaisser a nouveau, le sexe en elle déformant son ventre en faisant cette bosse si caractéristique. Même lentement, sans y aller sauvagement, cela restait délicieux. Au bout de quelques minutes de vas et viens et de gémissements, la tigresse s'allongea contre son aînée. Ce fut comme si le membre était entre leurs deux corps, sauf qu'elle était dans le sien. Se frottant contre la tigresse violette, elle fit ainsi aller et venir l'énorme bite en elle, tout en frottant ses tétons et son clito contre les siens. C'était tellement bon... Miya profita de ce doux moment pour reprendre la parole.
- En fait, ma famille est maudite... Hmmm... Toutes les femmes naissent avec une malédiction, qui les transforme en furry selon l'animal du calendrier chinois qui correspond... Haaaaa.... ma première ancêtre est née l'année du rat... Du coup, elle se changeait en rate à chaque orgasme, faisant fuir ses amants... Mrwwwww.... ♥ Pour se venger, elle a cherchée le prêtre qui l'a maudite et a appris que c'était dû à la demande d'un amant jaloux...
Miya commença a remuer un peu plus vite... Cette grosse queue en elle lui donnait tellement envie qu'il était difficile de se contrôler très longtemps
- Elle s'est circoncise pour ne plus avoir de plaisir et ne plus se transformer... Haaaaa... Et a fait en sorte de tomber enceinte l'année du dragon... Elle a éduquée sa fille pour qu'un jour, elle se retrouve dans la couche de cet homme... Et au moment de l'orgasme, elle l'a réduit en cendre... Depuis, cette histoire c'est racontée de mère en fille... Haaaaan ♥ Jusqu'à aujourd'huiiiiii~ ♥
Miya venait d'atteindre un certain rythme de croisière. Il commençait à devenir difficile de rester concentrer, alors que son intimité si chaude ruisselait de nouveau de mouille. Ses Tétons et son clitoris étaient de nouveau érigés sur un bon centimètre, durs et particulièrement sensibles. Son rythme accellera encore et elle ne tarda pas a remuer son cul comme une forcenée.
- Ma mère de... Haaaaan... Devient une louve.... Quand elle jouiiiis.... Haaaan... Et m-moi.... Haaaaa.... Je me suis sodomisée juste p-pour pouvoir devenir une tigresse... Haaaaan ♥ Parce que perdre sa virginité, s'était se c-condamner à n'avoir aucun HAAAAAA.... Aucun contrôle sur les transformations... HAAAAAAN OUIIIII ♥♥ J'avais espoir de trouver un moyen d'y arriver... Et... eEEEET.... HMMmmMMmMm... J'avais raison d'y croire.... HAAAAA !! HAAAAA !! HAAAAA !! HAAaaAaaAaaAAAAaaA !!! ♥♥♥
La jeune tigresse eu de nouveau un puissant orgasme, sa mouille éclatant sur le pelage de sa grande sœur. Se révulsant, elle ne s'arrêta néanmoins pas, désirant prolonger ce plaisir. Miya avait de nouveau sombré dans la luxure et il faudra un moment avant qu'elle ne puisse terminer ses explications. Après tout, elle n'avait pas encore dit comment elle s'y était prise pour rompre la malédiction.
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Oui, enfin... Il faut les trouver ce bons milliers, beaucoup ce cache.
Je la regarde prendre position au dessus de moi, glissant mes mains sur son pelage souillé lentement avant de les arrêter sur ses hanches quand elle entame une longue descente pour rentrer en collision avec ma verge salit de nos deux foutres. Mon sexe pénétrant dans son intimité me donne des frissons et me cambre le dos légèrement suivis d'un long soupire de plaisir. Je l'admire aller et venir sur me sexe, nous déclenchant des gémissements et soupires de plaisir délicat, lorgnant ses seins qui danse devant mon regard, mes mains accompagnant son bassin qui me suce délicatement la verge. Elle s'allonge ensuite sur moi pour me sentir entièrement en elle et cela n'est que plus plaisant, l'encourageant en venant lui maintenir les fesses pour l'assister dans ses frottements, nos pointes s'entrechoquant à chaque fois.
Je l'écoute en gémissant de plaisir, même si dans ce genre de cas, beaucoup sont déconnectés pour mieux ressentir le plaisir donner, moi, je parviens à enregistre les informations reçus de toutes part malgré mes gémissements que je prend à la sentir gober ma grosse bite dans sa chatte gourmande. Même si ce rythme est délicieux, elle a de plus en plus de mal à parler et rester douce, la sentant se frotter plus rapidement contre moi, ma queue se faisant à nouveau bien lubrifier par la machine sexuelle qui se dandine sur moi.
Il s'agit donc d'une malédiction chinoise, intéressant, mais je n'ai jamais entendu parler d'une telle magie. Je l'entend perdre le contrôle de son plaisir et augmente la cadence de ses reins, me donnant des grognements plaisir avec des gémissements qui s'emporte de plus en plus, mais je la laisse faire, prendre une position dominante sur moi et lui offrir la joie de me faire jouir.
Ce qui arrive, elle s'acharne en un coup sur ma grosse bite en elle, me faisant taper mon gland dans le fond de son utérus, déclenchant des cris de plaisir chez nous deux avant que, au moment où je me cambre, je lui remplis son vagin de mon foutre virile, me rendant l'appareil en m'éclaboussant le bassin.
Je crois que les explications vont attendre, pour l'heure, je vais la faire hurler encore. Je remonte ma main droite sur sa chevelure et lui maintient la tête, l'obligeant à rester allongée sur moi, mon autre main lui attrapant et tenant tendrement la base de sa queue féline, je soulève légèrement mon bassin et écarte mes cuisses, mise en triangle, puis entame des vas et viens frénétique dans son être souillée au plus haut point, mes cuisses claquant sur l'arrière des siennes tout comme mon bassin au sien, visitant son tunnel humide de toute ma vitesse de démone. Je la baise comme avant, voir plus au vue de la position qui rend mes mouvements plus féroces à m'en faire crier, grogner. J'éjacule sans cesses en tenant ce rythme endiablée sans fatigué, la faisant connaitre ce qu'est de se faire baiser par une vraie démone de la luxure, mon sperme débordant de son intimité violenter.
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Miya ne savait pas depuis combien de temps elle se faisait sauter. Tout ce dont elle se souvenait, c'est que cela avait commencé dans la matinée avec un mâle et qu'elle se faisait à présent prendre par une futa, et que le soleil était en train de se coucher. Sa nouvelle grande sœur était infatigable et, étrangement, elle même n'avait toujours pas perdue conscience. Certes, la jeune tigresse s'était déconnectée à plusieurs reprise de la réalité, se contentant de laisser le plaisir la submerger durant plusieurs heures, avant de reprendre pied dans le monde réel. Sophiana avait ainsi labourée autant sa gorge et son intimité que son cul. Remplie à ras bord de sperme et recouverte par la chaude semence, elle était néanmoins toujours en train de se faire sauter par son aînée. Assise sur les cuisse de la furry violette, le chibre planté entre ses fesses, Sophiana l'enculait sauvagement, adossée contre le tronc de l'arbre. Le sol terreux était devenu boueux et avait été éclaircie par la semence et, tandis que les derniers rayons du soleil laissaient place à la clarté de la lune, Miya sentit une énième fois le sperme chaud et épais de sa grande sœur exploser dans son cul et faire grossir un peu plus encore son ventre.
- Haaaaaaaaa !!!.... Oneechaaaaaaaan ♥♥
Une puissante éclaboussure de cyprine sortit de sa chatte élargie, béante et elle s’effondra en avant, le sexe se retirant de sa grotte dans un plop sonore, le sperme en étant expulsé comme si une vanne avait cédée sur un tuyau. La semence éclaboussa Sophiana de la tête au bas ventre, alors que la plus jeune tombait la tête la première dans une flaque de foutre, épuisée, continuant elle même à jouir durant plusieurs minutes. Miya n'en pouvait tout simplement plus. Aussi inerte qu'une poupée en silicone, elle avait baisée toute la journée et était morte de fatigue, mais toujours consciente, ce qui était en soi un exploit. Ses orifices continuèrent à se vider, la délicieuse crème sous pression se déversant au sol, pendant que la sœur cadette, face contre terre, tentait de récupérer un rythme cardiaque normal.
Une bonne dizaine de minutes passèrent ainsi, avant que le long membre de sa grande sœur ne soit présentée devant ses lèvres, Miya se contenta toutefois de nettoyer son sexe à coups de langue, jusqu'à ce qu'il soit de nouveau propre. Il ne fallait lui en demander d’avantage cependant, pas avant une bonne nuit de repos en tout cas. Elle se redressa alors, se sentant toujours aussi bien remplie, elle appuya quand même sur son ventre pour se vider au maximum, la semence sortant de ses fesses lui procurant une certaine sensation de brûlure.
- Haaaaa.... J'shuis pleine de ton foutre Onechan... Mais le sperme, ça m'nourris pas moi, j'ai besoin d'viande... Et j'shuis trop claquée pour aller chasser...
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Je n'aurais jamais penser tomber sur une telle femelle dans les terres sauvages, une tellement envieuse de débauche qu'elle résiste à mon rythme, surement peu habituel, de démone. La plupart de mes conquêtes fut inconsciente après cinq ou six orgasmes d'affilés, je ne m'étonne même plus pourquoi je préfère les créatures infernaux ainsi que les succubes, avec elles, sûr de tenir plusieurs jours d'affilés, peut-être que ma petite sœur sera dans ces cas là.
Je ne compte plus le nombre de jouissance que j'ai et orgasme que j'offre à la petite tigresse, passant de sa fleur intime, remplie à rabord de mon foutre viril qui en dégouline avec sa cyprine, à sa porte privée, bien que étroite, je m'y suis engouffrer comme si j'y est toujours été, découvrant le péché mignon de mon amante. Je lui laboure l'arrière train en reprenant ce rythme éfrainée qu'elle commence à bien connaitre et ce qui me fait comprendre qu'elle part encore plus loin quand elle est bien sodomiser, à mon grand plaisir. Finalement, Miya céda à l'épuisement, provoquée par un énième orgasme afin de libérée mon chibre et m'arrosée de nos deux semences puis tombe en arrière après l'avoir retenue, elle, pour ne pas qu'elle se tape la tête.
Essoufflée, malgré mon endurance, je regarde le ciel se teinté de mauve et orange, laissant place à la nuit noir. On a baisées toute la journée, sans prendre de pose, quel bonheur, j'ai clairement rattraper mes deux jours d'abstinence en moins de 24 heures, c'est tellement plaisant les terres sauvages en fait. Je me relève pour profiter encore de la bouche de mon amante, me faisant nettoyer la queue par ses lèvres gourmande, quoique douce, par la fatigue.
Chose faite, je ferme un peu les yeux pour me faire débander, entendant les respirations courts de ma nouvelle sœur pour me signifier qu'elle n'en peut plus, puis me lève en m'étirant, craquant mon dos bruyamment et aide même Miya à se relever, l'écoutant avant de lui répondre.
Je peux comprendre, je peux aller chercher de quoi manger pendant que tu te repose, mais je n'ai pas envie que quelqu'un profite de ton sommeil réparateur. Je risque de devenir assez violente si ça arrive.
Je sourit doucement, l'air de rien, j'ai quand même mon instinct de protection qui se met en marche, sachant très bien que, vu son état, un ébat maintenant sera mortel pour elle. Je viens la prendre dans mes bras, en mariée, toujours aussi facilement malgré la journée et pénètre dans une ancienne demeure délabrée des ruines, à quelques mètres d'elles, mais de ce que peut voir Miya, c'est trois branches bien feuillus qui se promènent derrière moi, l'air de rien.
Ne t'inquiète pas, petite sœur, c'est un de mes nombreux secrets.
Une fois dedans, je m'approche d'un coin sûr et secoue violement les branches avec mes mains démoniaques, laissant les feuilles tomber, s'accumuler sur le sol, créant un lit douillait d'où je viens allongée la faible tigresse pour qu'elle y soit confortablement installée, la dorlotant presque.
Si jamais, repose toi, il ne faut pas que tu ais de relation sexuelle avant que tu te sois bien reposer. C'est à dire, une nuit de sommeil et bien mangée. Dit toi que, si quelqu'un te prend ou que tu couche clairement avec quelqu'un tout court, j'hésiterai pas à le ou la tuer.
Je reste douce dans ma voix, mais il y a une certaine autorité derrière qui montre que je ne rigole pas dans mes paroles. Je l'embrasse tendrement et attend un peu en lui caressant les cheveux avant de me lever et sortir pour aller chercher du gibier afin de nourrir nos estomacs. Je reviens au bout d'une heure vers la "cachette" et rentre avec de gibier bien dodus, de quoi se remplir la panse jusqu'à exploser.
Je suis rentrer et on a de quoi se gaver.
D'une voix enjouée, toujours la forme malgré la chasse, assez impressionnant quand même.
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- Je peux comprendre, je peux aller chercher de quoi manger pendant que tu te repose, mais je n'ai pas envie que quelqu'un profite de ton sommeil réparateur. Je risque de devenir assez violente si ça arrive.
Miya ne répliqua pas et se laissa porter. Quelque part, avoir la protection de quelqu'un, c'était réconfortant et rassurant. C'était un sentiment qui lui avait grandement manquée. Auparavant, c'était sa mère qui lui faisait des câlins quand elle avait des soucis, et même son frère, quand il était encore à la maison. Mais cela faisait des mois qu'elle ne pouvait compter que sur elle même, et ses amants ne pensaient qu'à se vider en elle, avant de l'abandonner à demi consciente au sol après s'être soulagés. Alors avoir un peu d'attention, ça lui faisait un bien fou. Lorsqu'elle la déposa sur le tas de feuil, Miya n'avait même pas fait attention à ce qui s'était passé entre temps.
- Si jamais, repose toi, il ne faut pas que tu ais de relation sexuelle avant que tu te sois bien reposer. C'est à dire, une nuit de sommeil et bien mangée. Dit toi que, si quelqu'un te prend ou que tu couche clairement avec quelqu'un tout court, j'hésiterai pas à le ou la tuer.
- D'accord Oneechan...
Elle la regarda s'éloigner et se retrouva rapidement seule. Durant quelques minutes, Miya repensa à tout ce qui lui était arrivé depuis qu'elle se trouvait ici. Déjà deux ou trois mois qu'elle était sous forme de tigresse, sans redevenir humaine une seule fois. Difficile de dire si ça malédiction était vraiment brisée. Normalement, elle était sensée pouvoir contrôler ses transformation mais, visiblement, perdre sa virginité en tant que tigresse l'avait vraisemblablement figée sous cette apparence. Non pas que cela la dérangeait vraiment, elle aimait beaucoup être ainsi, m'enfin si un jour elle pouvait revoir sa mère, elle aimerais bien également pouvoir redevenir humaine quand elle le souhaitait, ne serai-ce que pour ne pas attirer l'attention en ville. Sans s'en rendre compte, la tigresse s'endormi, perdue dans ses pensées, et ne se réveilla qu'au retour de sa désormais grande sœur.
- Je suis rentrer et on a de quoi se gaver.
Miya se redressa en se frottant les yeux - et en gargouillant - et sourit en voyant le gibier en question.
- Waaaah.... Du buffle, carrément... Normalement, il faut bien deux ou trois chasseurs pour en attraper un...
Bien que s'étant très légèrement reposée seulement, Miya avait faim et aida donc Sophiana à préparer un foyer et a allumer celui-ci, puis à découper la viande avant de la mettre en cuir. Tout en tournant la broche au dessus des flammes, Miya crue bon pour combler le silence de poursuivre ses explications.
- Tout à l'heure, je t'ai expliquée que la malédiction de notre famille nous faisait nous transformer en notre animal du zodiaque chinois, durant plusieurs heures, lorsqu'on avais un orgasme. Perdre notre virginité nous condamne à subir cela jusqu'à notre mort, sans contrôle dessus. Moi je voulais tellement avoir une chance de la briser un jour, d'avoir le contrôle sur mes transformations, quand je le souhaitai, que je suis devenue sodomite.
Miya retira sa viande du feu et croqua un morceau, savourant longuement le gout, bien meilleur et bien plus nourrissant pour elle que le sperme.
- Un jour, en rentrant du lycée, j'ai passée une sorte de faille qui ma conduit ici, dans cette savane. En revenant sur mes pas, je ne suis pas rentrée chez moi. Je suppose qu'elle s'est ouverte brièvement et s'est refermée juste après mon passage. j'ai un peu erré avant de tomber sur une sorte de partouze de furry, avec une guéparde et plusieurs mâles différents. Et parmi eux, il y'avait des tigres. J'y ai vue là une occasion unique de brisée ma malédiction et je me suis arrangée pour me transformer avant de les rejoindre.
Miya termina sa brochette avant de remettre un autre morceau au feu. Avec toute cette viande, l'odeur de la cuisson devait se rependre dans la savane, portée par le vent.
- C'est un tigre qui a pris ma virginité. Et je me suis fait sautée, presque sans interruptions, durant plusieurs jours, par différents mâles qui se relayaient. J'ai profité d'un bref moment où ils étaient tous exténués pour m'échapper, avant de perdre la raison et j'ai continuée d'errer dans la savane tout en apprenant la chasse, jusqu'à trouver cette ruine. Cela dois faire environs deux mois que je n'ai pas bougée... et tout autant que je ne suis plus redevenue humaine. De fait, j'ignore totalement si je pourrais rentrer chez moi un jour et si je peux encore redevenir humaine...
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Je sourit à sa réflexion et sa surprise, laissant tombée les cadavres animales au sol. Je prend quelques branchages pour les entassés en rond, mettant des pierres tout autour. Je la regarde faire le feu, découpant la viande du premier buffle enfin, plutôt, lui arracher les membres un à un.
On va dire que tu as de l'instinct pour m'avoir choisi comme grande soeur, ma chérie.
Je rit doucement. Une fois le feu allumé, je lui tend une patte et m'assoie à côté de ma petite-sœur, silencieusement, pour faire cuire mon morceau de viande. Un petit moment de silence s'installe et Miya décide de le couper pour reprendre son récit qu'elle a dû arrêtée dans notre ébats, quelques heures plutôt.
- Tout à l'heure, je t'ai expliquée que la malédiction de notre famille nous faisait nous transformer en notre animal du zodiaque chinois, durant plusieurs heures, lorsqu'on avais un orgasme. Perdre notre virginité nous condamne à subir cela jusqu'à notre mort, sans contrôle dessus. Moi je voulais tellement avoir une chance de la briser un jour, d'avoir le contrôle sur mes transformations, quand je le souhaitai, que je suis devenue sodomite.
Je regarde en mangeant déjà mon morceau de viande juteux, mâchant lentement. Le regard posé sur son visage, je réfléchis déjà à comment l'aider à cette malédiction, étant une base pour une grande majorité des démons, mais je ne l’interrompt pas pour autant.
- Un jour, en rentrant du lycée, j'ai passée une sorte de faille qui ma conduit ici, dans cette savane. En revenant sur mes pas, je ne suis pas rentrée chez moi. Je suppose qu'elle s'est ouverte brièvement et s'est refermée juste après mon passage. j'ai un peu erré avant de tomber sur une sorte de partouze de furry, avec une guéparde et plusieurs mâles différents. Et parmi eux, il y'avait des tigres. J'y ai vue là une occasion unique de brisée ma malédiction et je me suis arrangée pour me transformer avant de les rejoindre.
Je ne peux m'empêcher de me mordre les lèvres en entendant qu'il y a de telles orgies ici, alors qu'il m'a fallut deux jours pour trouver une partenaire, exceptionnelle, et, elle justement, trouve ça dès le premier jour. Il y en a qui ont vraiment de la chance, mais avec ces portails aléatoires, on peut avoir plus d'une surprises, bonnes ou mauvaises, elle aurait pu se faire tuer ou pire que ça.
- C'est un tigre qui a pris ma virginité. Et je me suis fait sautée, presque sans interruptions, durant plusieurs jours, par différents mâles qui se relayaient. J'ai profité d'un bref moment où ils étaient tous exténués pour m'échapper, avant de perdre la raison et j'ai continuée d'errer dans la savane tout en apprenant la chasse, jusqu'à trouver cette ruine. Cela dois faire environs deux mois que je n'ai pas bougée... et tout autant que je ne suis plus redevenue humaine. De fait, j'ignore totalement si je pourrais rentrer chez moi un jour et si je peux encore redevenir humaine...
Je fronce sourcils puis pose mon gigot à côté de moi, regardant le feu et cause un long silence. Elle pourrait croire que je suis choquée par cette vérité, qui en aurait dérouter plus d'un, mais ce n'est pas le cas pour moi. Je suis sa grande soeur et je tiendrai mon rôle jusqu'au bout, c'est donc pour ça que je n'arrête pas de réfléchir à ça, il y a plusieurs options pour lever une telle malédiction, mais le plus étrange, c'est que celui qui l'a lancée a été tué.
Sais tu que la gérance d'une malédiction se transmet ? Plus souvent à l'héritage de celui qui l'a donné. En gros, si il a eu un enfant, c'est que ça s'est transmis par là donc la vengeance n'a servis à rien. L'autre moyen est de convaincre le descendant pour levée la malédiction, mais cela implique de rester dans ta forme actuelle tout comme le tuer. Tu dois être sûr de toi quand ça se passe. Après, on peut essayer de te faire aller sur Terre pour voir si ce n'est pas les lieux qui te bloque dans ton état animal, on en profitera pour voir ta mère avant de revenir ici.
Je lui caresse tendrement la joue et viens la prendre dans mes bras, ronronnant doucement en l'installant confortablement sur moi pour qu'elle puisse mieux manger, lui mettant la tête sur mes cuisses. Je la fixe entre mes seins généreux tout en lui caressant la joue et les cheveux.
Et oui, je suis de Terre aussi, une "humaine" qui y a débarquée il y a un an. Je suis de ce monde, tu es sur Terra, un monde parallèle mais complètement différent de ton monde natal. Je suppose que tu veux en savoir plus sur moi et comment je fais pour passer d'un monde à l'autre, mh ?
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Miya appris donc de sa nouvelle grande sœur que les malédiction se transmettaient également dans la famille de celui qui en était à l'origine. Intéressant. Ainsi, il était probable que pour rompre celle-ci, il fallait autant que cela vienne de celle-ci que de la sienne. Il était donc probable que le fait de perdre sa virginité avec un tigre n'avait fait que bloquer le processus de transformation, le figeant plutôt que de le laisser aléatoire.
- De ce que je sais, normalement, plutôt que de rompre la malédiction, cela aurait dû me permettre d'avoir plus de contrôle dessus, ne plus le déclencher uniquement par orgasme. J'ignore si ça l'a figée ainsi, à cause de la gérance de la malédiction, ou au contraire, si ça a pleinement fonctionné. N'ayant jamais eu besoin de me transformer de moi même, j'ignore totalement comment m'y prendre. Mais au delà de ça, être sous cette forme me dérange pas, vu que je l'adore. J'aime aussi cet endroit, même si le confort moderne me manque aussi...
C'était probablement l'un de ses plus grands regrets. Vivre dans la savane en tant que tigresse n'était pas pour la déranger, bien au contraire, c'était même un fantasme qu'elle avait réalisée il y'a deux mois et qu'elle vivait pleinement chaque jour. Mais malgré cela, Miya avait également vécue dans une ville toute son enfance et était habituée au confort que cela offrait. Combien de fois n'avait-elle pas rêvée d'un bon lit douillet ? De frittes accompagnant ses viandes ? D'écouter de la musique sur internet ? Son nouveau rêve, serait donc de concilier vie à la savane et vie moderne et, si possible, avec sa mère. Peut être en construisant une sorte de loft moderne avec les matériaux de la région ? Miya avait découvert un coin qui serait idéal pour une telle construction, naturellement clos par le relief et au milieu duquel coulait une source d'eau naturelle. S'il existait une ville moderne sur ce monde et des relais satellites, peut être était-il même possible d'y installer une antenne relais ?
- Et oui, je suis de Terre aussi, une "humaine" qui y a débarquée il y a un an. Je suis de ce monde, tu es sur Terra, un monde parallèle mais complètement différent de ton monde natal. Je suppose que tu veux en savoir plus sur moi et comment je fais pour passer d'un monde à l'autre, mh ?
- Hmmm... Mouis... J'aimerais bien en savoir plus sur toi.... et sur ce monde aussi, vu que je n'en connais que la savane et en partie la foret tropicale à coté...
La cadette s'installa plus confortablement, la tête posée sur l'épaule de son ainée. Tout en machonnant son morceau de viande, elle écouta donc, à son tour, ses explications...
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Je sourit en la voyant se poser sur mon épaule et viens mettre ma main gauche sur sa hanche, débutant de douces caresses sur le pelage orangé de ma petite-soeur. Je la regarde un instant manger son bout de viande, embrassant son front avant de reprendre mes explications.
Et bien... Je suis tout simplement une démone, l'apparence que tu vois, en ce moment, n'est pas mon original. Je la prend surtout car j'ai une passion pour les furry. D'où le faite de ma bestialité quand on a baisées toutes à l'heure.
Je ricane doucement tout en observant sa réaction, ma main glissant le long de son flanc très lentement, passant de sa hanche jusqu'au côté de son sein. Je laisse même mes doigts contourner son téton avant de redescendre, malgré la légère crainte que je ressent en elle quand elle apprend mon origine.
N'ai peur, je ne te ferai aucun mal. Je suis surtout une démone de luxure, je te considére vraiment comme ma soeur, vu ta perversité et comment tu m'as fait prendre mon pied.
Je prend un temps de pause et finis par mordre un bout de viande dans son morceau pour venir le partager avec ma congénère. J'en profite pour l'embrasser langoureusement tout continuant mes délicates caresses. Je l'embrasse pendant de longues minutes avant de couper le baiser, un filet de bave reliant nos lèvres.
Disons que les portails de teleportation sont une bases pour moi... Et si tu veux, on peut aller chez toi... voir ta mère et ta maison, il suffit juste que tu me dise les détails de ta maison, ton adresse et quelle pièce tu voudrais qu'on se retrouve. Tout en décrivant la pièce par contre.
Je plonge lentement mon museau dans son cou pour la renifler. Des frissons me parcourent à l'odeur qu'elle dégage, cette odeur de sexe pur, sachant son état, la baisée maintenant ne serait pas une bonne idée, mais son odeur est un appel aux pulsions primaires.
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Miya se recula très légèrement lorsque Sophiana lui annonça de but en blanc qu'elle était une démone, mais ce fut plus par surprise que par peur. Après le moment qu'elles avaient passées ensembles, si elle lui aurait voulue du mal, ce serait arrivé depuis longtemps. Et puis finalement, qu'elle soit une succube, comme elle le précisa ensuite, lui semblait logique. Elle ne devait d'ailleurs pas être pleinement rassasiée, vu les caresses sensuelles qu'elle lui procuraient. La jeune tigresse ouvrit la bouche pour dire quelque chose, mais les mots restèrent bloqués au fond de sa gorge lorsque sa grande sœur vint lui prendre ses lèvres dans un langoureux et profond baisé, suffisamment intense pour l’émoustiller et la faire mouiller de nouveau. C'était pas très sympa de la chauffer ainsi alors qu'elle était à bout.
- Neechan... Tu continue de m'exciter alors que j'en peux plus... A cause de toi, j'en ai a nouveau envie...
C'était pas sa faute si elle était aussi facile à enivrer, Miya était en plein dans ses périodes de chaleur après tout. Son aînée vint ensuite renifler son odeur dans le creux de son cou et la cadette ne pouvait que se laisser faire. Si cela continuait comme ça, elle allait finir par s'endormir avec une grosse queue en elle.
- Disons que les portails de téléportation sont une bases pour moi... Et si tu veux, on peut aller chez toi... voir ta mère et ta maison, il suffit juste que tu me dise les détails de ta maison, ton adresse et quelle pièce tu voudrais qu'on se retrouve. Tout en décrivant la pièce par contre.
- Hmmm.... J'suis trop crevée pour y réfléchir... On peut voir ça demain matin ?
Tout en disant cela, la jeune tigresse écarta ses cuisses, exposant ainsi son intimité qui ruisselait de mouille et se positionna sur sa sœur, de manière à ce que leur sexe entrent en contact. Elle remua ainsi un peu sur elle, se servant du membre de la démone pour se caresser, avant de le faire entrer en elle en soupirant longuement.
- Haaan.... J'crois que j'vais m'endormir comme ça, c'est confortable... P'tain, j'aimerais bien avoir du sang de succube dans les veines moi aussi, au moins, je serais pas aussi épuisée...
Miya enfonça le sexe de sa sœur jusqu'au fond de son intimité, allongée contre elle, la tête sur un sein. Confortablement installée, elle ne tarda pas à s'endormir...
-
Il en fallait effectivement peu pour exciter ma petite-soeur, cela plaît énormément même. Elle me fait penser à une succube sans l'être, elle arrive à me transmettre cette envie inssassiable de la baiser sans arrêt. Je commence à penser qu'elle mériterait d'être tout le temps a mes côtés, baisant à la moindre opportunités, cette idée me plaît d'avantage d'ailleurs.
Oui, nous irons sûrement demain.. Cela te fera sûrement du bien et à ta mère aussi, cela reste une...
Je m'arrête un instant quand Miya écarte les cuisses pour laisser couler sa mouille, mon museau captant directement cette odeur de chatte en chaleur instantanément alors que celle-ci finisse par me monter dessus. Je m'allonge instinctivement alors qu'elle débute ses déhanchement pour me faire bander, ce qui marche presque directement.
A peine le temps de lui tenir les hanches qu'elle s'empale entièrement sur mon mandrin dressé de toute sa puissance, me faisant cracher un gemissement de plaisir et serrer mes mains sur ses fesses.
Mmmmmhaaaan.. dormir en sentant ta petite chatte trempée me garder la bite au chaud ? C'est.. clairement à faire...
Cette situation est assez amusante et terriblement excitante. Alors qu'elle s'endort facilement alors que je suis en elle, ce que je peux comprend après une telle journée de baise intense, je ne peux m'empêcher de remuer le bassin pour aller et venir entre ses lèvres intimes. Ma queue limant son intérieure trempée de plus en plus rapidement, mon bassin frappant fougueusement le sien dans des bruits pervers de mouille, aimant l'entendre gemir alors qu'elle dort.
Je la prend avec fougue, surélevant mes fesses pour y aller avec plus de force. J'en profite clairement, mais cela est tellement bon, tellement que je fini par jouir abondament dans son intimité avant que je laisse mon bassin revenir au sol.
En soit, ma verge reste encore dure comme du béton et j'aime l'idée de dormir avec ce lien intense et paraît incassable. Dans la mouille et le sperme, pelage contre pelage et bercée par cette odeur de sexe brut, la bite plantée dans le bassin de Miya. Je finis par m'endormir, les mains accrochée sur à son cul si désirable.
10 heures du matin, 6 heures plus tard:
Le matin est bien levée, tout est calme. Je suis encore bien endormie, sans rêve mais la sensation d'être en Miya toute la nuit est des plus agréable. Celle-ci, d'ailleurs, à son intimité qui déborde de sperme, il semblerait que, durant la nuit, j'ai éjaculée plusieurs fois.
-
Pour Miya, qui s'était clairement plus dépensée qu'en temps normal, ce fut un sommeil profond et réparateur, malgré quelques rêves érotiques qui l'avaient fait jouir durant la nuit, le contexte y étant sans doute pour beaucoup. Ce fut donc bien reposée qu'elle se réveilla le lendemain matin, en sentant quelque chose de dur et massif en elle. Il lui fallut peu de temps pour remettre ses idées en place et elle sourit doucement en constatant que Sophiana pendait toujours dur en elle. Gémissant doucement, elle se remit à remuer ses hanches contre elle en soupirant. Sentir ce gros membre bestial dans son intimité était toujours aussi plaisant et ce devait même être la première fois de sa vie qu'elle baisait dès le réveil. C'était tellement excitant que la jeune tigresse remua de plus en plus vite sur ce pieu de chair, jusqu'à ce que sa grande sœur ne finisse par ouvrir un œil. Miya attendit qu'elle ouvre la bouche pour bailler, pour l'embrasser langoureusement.
- Ohayo Neechan ♥
A peine la journée commençait-elle qu'elles repartirent pour une longue et intense partie de sexe sauvage...
Une bonne heure plus tard et des litres de fluides expulsés, la Tigresse se releva, le membre de sa sœur sortant dans un polp humide et pervers, se déversant de tout le sperme en elle directement sur son aînée, avant de se diriger vers le feu et la viande encore dessus pour un petit déjeuné bien mérité. Durant celui-ci, Miya repensa à ce que la démone lui avait proposée et réfléchit à son ancien chez elle, tout en lui donnant un maximum de détails. Son adresse, la disposition des bâtiments dans la rue et l'aménagement de sa chambre. Même si elle avait disparue depuis plusieurs mois, il y'avait peu de chances que sa mère ait changée l'aménagement de sa chambre, au cas où elle referait son apparition.
- J'ai aucune idée de si je redeviendrais humaine ou non une fois sur Terre, si Maman n'a touchée à rien ou si elle a déménagée... Au cas où, j'aimerais te montrer quelque chose avant qu'on y aille... C'est un coin de cette savane que j'aime bien, avec un fantasme que je traîne depuis quelques temps... Le genre de coin où j'aimerais bien vivre si jamais je devais rester comme ça pour toujours, mais pas trop possible actuellement...
-
Il a fallut quelques minutes de déhanchement avant que je ne me réveille dans un gémissement tendre de plaisir, rouvrant les yeux sur une tigresse qui profite de ma queue avec vigueur. A peine le temps de bailler qu'elle s'accapare de ma bouche pour m'embrasser langoureusement , un réveil parfait commençant dans le sexe entre deux nymphomanes inssasiables. En peu de temps, les gémissements fit place à des cris d'extase et de claquements de chairs aux rythmes de mes coups de mandrin, fouillant entièrement l'intimité débordant de foutre de ma sœur. Je la fait sautiller sur mon pieu de chair avec sauvagerie, gardant une hanche et un sein en otage entres mes doigts.
Au bout d'une heure d'ébat intense, Miya se retira après qu'on est jouis toutes deux, laissant mon membre souillée de cyprine et sperme à l'air libre. Je reste allongée, sourire aux lèvres en l'observant prendre son petit-déjeuner, l'écoutant tout m'expliquer sur sa maison, mais je pense aussi aux paroles de Miya sur le fait d’être une succube, la veille. Cela est à voir.
Je me lève quand elle me propose de me montrer un coin de la savane, peut être un lieu de ses rêves pour avoir enfin un chez elle, mais un fantasme ? J'avoue que cela me semble confus, mais vu qu'on a le temps, pourquoi pas y aller. J’essuie le foutre qui enduit ma verge et me lèche la main pour le récolter avant de lui répondre.
Disons que ce n'est pas sur que tu redevienne humaine comme ça, mais cela permettrai à ta mère de ne plus être inquiète et te savoir en bonne santé. Mais il se peut, cela est vrai, que nous tombions face à des personnes inconnus, cela va s'en dire. Avant cela, allons à ce lieu dont tu viens de me parler, tu m'as intriguée et je me demande quel fantasme n'as tu pas encore réaliser ici.
Je ricane doucement et vient la serrée dans mes bras, mes mains poser sur les hanches de celle-ci avant de me décoller et prendre le restant de la viande sur mon épaule.
Je prend le gibier, on a encore quelques heures avant qu'il ne soit plus bon donc autant l'emporter avec nous. Donc, je te suis, ma petite sœur nymphomane.
-
Sa sœur prenait donc ce qui restait du buffle de la veille. Vu la distance à parcourir, elle devait avoir sacrément confiance en ses capacités pour porter un truc pareil tout en courant, même s'il était vrai que le poids devait en être réduis après de repas. Souriant à sa sœur suite à sa remarque, elle lui tira la langue, ramenant juste un peu de sperme qui coulait le long de sa cuisse pour le lécher ensuite, comme pour la provoquer.
- j'espère que t'es en forme, parce que le trajet est long~♪
Et elle s'élança ensuite en plongeant vers l'avant, les bras en avant, se mettant à courir à quatre pattes vers une direction bien précise. L'un des avantage d'être une furry, ça permettait de se déplacer bien plus vite sans trop d'efforts. Miya jeta un œil derrière elle pour regarder sa sœur la suivre, avant de se concentrer devant elle. Le trajet durra bien une bonne grosse demi heure, avant qu'elle aperçoive enfin l'entrée d'un canyon isolé. Celui-ci n'était pratiquement jamais emprunté, trop loin de la jungle et de toutes sources de nourriture. Les deux tigresses y entrèrent et, après une dizaines de minutes encore, arrivèrent dans un cul de sac. Celui-ci abritait toutefois un oasis (http://img15.hostingpics.net/pics/290983oasisarizona.jpg) des plus agréable, avec un peu de végétation et une source délicieusement fraîche, surtout par une tel chaleur.
- Voilà, on est arrivées. J'ai découvert cet endroit environs deux mois après mon arrivée, complètement par hasard.
Une cascade sortant de la parois se déversait dans un petit étang, peu profond mais parfait pour une baignade rafraîchissante ou pour se désaltérer. Les falaises autours étaient suffisamment hautes pour envisager de construire des abris en les creusant, mais aussi suffisamment isolées pour être tranquille.
- L'idée, ce serait de faire des construction modernes dans les parois, pour pas trop détériorer l'environnement extérieur. Genre des panneaux solaires et une parabole en haut pour l’électricité et le réseau, un système pour récupérer et recycler l'eau de la source, etc... Je verrais bien une cuisine/salle à manger ici, les chambres là et là, la salle de bain peut être derrière la cascade...
Tout en parlant, Miya désignait les endroit où elle verrait les pièces, derrière la roche, avec des trou autant pour l'aération que pour laisser passer la lumière. Des pièces reliées entre elles par des pontons en bois autour de la source d'eau plutôt que de tout bétonner. Sophiana devait à présent comprendre que le fantasme de sa petite sœur, n'était ni plus ni moins que de combiner modernité et vie dans la savane de manière harmonieuse. Un moyen pour elle d'associer son ancienne et sa nouvelle vie ensembles. Bien entendu, en l'état, il était impossible pour elle d'y vivre, tout était encore à bâtir. Et elle n'en avait pas non plus les moyens. Mais peut être que Sophiana, elle, le pouvais. Et puis ça pouvait aussi lui faire une maison secondaire dans la savane, donc cela lui serait également très utile.
- Et puis si tu Maîtrise la magie des portails, j'imagine que ça te serait facile de faire une sorte de passerelle entre ici et chez toi, comme ça on pourra continuer de se voir tout les jours malgré la distance ♥
-
J'eu un léger rictus quand Miya tente de me provoquer à la course, si elle savait ce qu'est un démon, je pense qu'elle ne prononcerai pas ces mots. Cela étant, je m'amuse à la savoir si sûr d'elle et la laisse démarré en première, en trombe même, je prend même mon temps pour ficeller le gibier avec une vieille corde à mon dos avant de partir à vive allure pour rattraper la distance entre.
Les 30 secondes de courses pour elle me fallut que 5 pour la rattraper, mais je reste quand même derrière pour la suivre et lui faire plaisir. Enfin arrivée à destination, je remarque directement ce canyon très bien placé d'un point vu stratégique et je suppose assez vite qu'il y a un oasis à l'intérieur. Les canyon se forment souvent grâce aux creusements de l'eau et vu comment est positionnée la roche, il se peut que le centre soit protégé des rayons brûlants du soleil.
En y pénétrant, au bout de 10 minutes, cela est sûr et je reste discrètement émerveillé à la beauté de cette oasis. Je peux comprendre que Miya veux y vivre et construire une villa naturel, mêlée à notre temps. J'écoute et retiens ce qu'elle aimerait faire, cela me faisant comprendre que je suis la solution à ce fantasme, ce qui me fit rire un instant.
Je pourrai le faire, si c'est ça que tu sous-entend, cela me serais facile avec l'argent et la main d'oeuvre que je peux avoir à tout moment. Le seul problème, c'est pour l'électricité et le réseau. Pour l'électricité, des panneaux solaires ne seront pas très discret et leurs installations m'obligerait à creuser beaucoup de tunnel pour faire passer les fils pour les relier à différentes pièces. Cependant, j'ai peut être une solution pour ça. Il existe un système d'énergie par le mouvement. C'est des petits appareils assez discrets qui sont reliés à un générateur. Le moindre mouvement peut donner de l'énergie à ce générateur, même infime. Toi, qui est fortement porté sur la sexualité et le sport, cela en sera plus que bénéfique. Cependant, pour le réseau, les seules ayant des satellites sont tekhos et les formiens, mais les deux pourront retracer le relais aisément et débarqué ici comme pour rien. Tu peux te dire que ce serait cool de les recevoir mais les tekhannes ont pour habitude d'esclavager les terraniens et les formiens sont des violeuses et utilise les femelles pour s'en servir comme des pondeuses. Tu risque trop gros pour ça.
Je sourit légèrement, ne voulant pas briser ses rêves ainsi, mais autant qu'elle soit tenu au courant des dangers de cette univers qui ne tourne clairement pas à l'avantage des terraniens.
Après, il y a Zon'da, là seule ville terranienne libre et cachée de l'esclavagisme de terra. Mais je ne sais pas trop ce qu'ils utilisent comme système de réseau d'ailleurs.
-
Etant donné que Sophiana ne lui avait au final pas expliquée grand chose sur Terra, Miya ignorait bien évidemment l'existence des populations y vivant. Mais apprendre qu'il existait une civilisation suffisamment avancée pour mettre au point des satellites sur ce monde était toujours bon à savoir. Mais en réalité, la jeune tigresse pensait à autre chose. Tapotant une joue avec le majeur, elle réfléchissait.
- En fait, je voulais surtout savoir si tu pouvait faire passer le réseau a travers un portail ou un truc dans le genre...
Avoir le réseau sur ce monde pouvait être cool, mais elle préférait encore avoir celui de la Terre, elle connaissait bien mieux celui-ci. Même si les autorités le traçaient, il n'était pas sûr qu'ils puissent arriver au bout s'ils ignorent l'existence de la magie et le prendront dans le pire des cas pour un bug ou une incohérence. Si ce réseau "magique" partait de chez elle, sur Terre ou de chez Sophiana, ce serait encore mieux, car les autorités concernées dans l'un ou l'autre monde n'y verrait que du feu. Elle fit part de cela à sa grande sœur, avant de conclure.
- De toute façon, on verra ça en temps et en heure, j'pense pas que t'arrive à faire tout ça en moins de 24h...
Quoi que ? La démone avait parlée de creuser la roche elle même, pas de la faire creuser par d'autres. Miya savait qu'elle utilisait la magie et pouvait se changer en tigresse elle aussi, mais elle ignorait globalement l'étendue de ses pouvoir. Bah ! Elle haussa les épaules et se plaqua contre elle dans une agréable étreinte en la fixant du regard...
- Bref, on peut y aller maintenant~♪ Sauf si tu veux me sauter un peu ici avant qu'on aille sur Terre ♥
-
Un réseau intra-dimensionnel de chez moi à ici. C'est une idée qui peut en valoir le coup, ça évitera que les autorités terriennes ne se posent des questions et pour Tekhos, le réseau sera trop simpliste pour leur causer le moindre soucis. Il faudra le matériel nécessaire pour mais, c'est faisable.
Et bien, tu es ingénieuse, ma soeur. Il est possible d'utiliser un portail de chez moi à ici, mais cela doit être un secret entre nous.
Je tend la main vers ma droite, ma main devenant mauve avant qu'une onde se projette à 5 mètres de moi et un grand ovale mauve apparaisse. On peut y voir à l'intérieur une sorte de monde en feux et infernal, une odeur de souffre s'y dégageant avec une énorme chaleur. Trois magnifiques femmes aux cheveux roses y sortent, fortes poitrines, fesses de rêves, elles se ressemblent toutes les trois à l'exception de leurs yeux ; une à des yeux mauves, l'autre bleus très clair comme Sophiana et la dernière, un verre émeraude très pur. Il est clair qu'elles ont, toutes les quatres, un lien de parenté.
Bonjour, mes amours. Je vais être très clair et allée dans le vive du sujet. J'aimerais que vous fassiez de cette endroit un de vie plus que parfait pour la jeune tigresse à côté de moi, sans touche démoniaques aussi.
Les trois jeunes femmes restent silencieuse tout en étant souriantes, tournant la tête vers la tigresse. Celle ci pourra vite sentir leurs regards pervers s'abattrent sur elle, ce qui risque de lui faire sentir la sensation de n'être qu'une proie face à elles. Les trois démones hochent la tête puis viennent m'embrasser langoureusement, me pelotant avant de rentrer dans le portail qui reste ouvert.
Tu as rencontrée.. mh.. mes filles avec Cerbère. Je pourrais te prendre et te baiser maintenant comme jamais, mais.. je préfère que tu garde ta chaleur pour plus tard.. on a des choses importantes à faire, miss libido.
Je m'approche lentement d'elle et me colle finalement contre son corps, mes mains glissant contre son cul bombées, créant un portail jusque sa maison discrètement, juste derrière elle. Je finit par l'embrasser passionnément, pénétrant ma langue dans sa gueule pour jouer onctueusement avec la sienne tandis que je la guide dans le portail.
En une fraction de seconde, nous nous retrouvons dans ce qui semble être la chambre de Miya selon ses dires.
Bienvenue chez toi, ma soeur.
-
Bon, au moins, son idée était réalisable, mais Miya voyait pas à qui elle pourrait divulguer un tel secret. C'était pas comme si elle connaissait des gens pour balancer ce genre de chose à tout va. La jeune tigresse regarda ensuite son aînée ouvrir un portail, mais qui avait l'air de donner sur un volcan en éruption... et duquel sortit trois démons quasi identique, des triplettes. Des filles de sa grande sœurs... Donc pour elle, sans doute l'équivalant de nouvelles tantes ? Sophiana leur annonça ses directives et ces dernières se mirent de suite au travail.
- Je pourrais te prendre et te baiser maintenant comme jamais, mais.. je préfère que tu garde ta chaleur pour plus tard.. on a des choses importantes à faire, miss libido.
- Beuuuh...
Miya lui tira la langue. Un geste certes puérile, mais c'est un peu aussi le genre de relation qu'il y'a entre deux sœurs non ? Elle n'eu pas le temps de la rentrer toutefois, sa sœurs venant la lui prendre avant dans un long et passionné baisé. Et avant qu'elle ne constate quoi que ce soit, la température baissa brusquement et le sol devint instantanément agréable pour ses coussinets.
- Bienvenue chez toi, ma sœur.
- Ouaaaah.... Tcha !!
Ouais, ça avait vraiment marché. Après presque six mois passés dans la savane à survivre et à se faire sauter par des fauves en rut, elle était de nouveau dans sa chambre (https://cdn.discordapp.com/attachments/331586608086253579/430098876075343902/00477.jpg), à Seikusu. Bon par contre, celle-ci était un peu poussiéreuse et encore, c'était un euphémisme. Les meubles étaient complètement gris tant il y'en avait. Depuis combien de temps n'avait-elle pas été aérée ? Il y'en avait tant qu'elle se mit à éternué frénétiquement. En même temps, après avoir passée autant dans un air pur, non pollué, cela faisait un sacré choc pour son organisme. Miya se dirigea vers la fenêtre pour l'ouvrir et à peine l'air entra qu'un nuage de poussière s'envola dans toute la pièce, l'obligeant à fermer les yeux tant ça piquait.
- Meh ! C'est irrespirable ici !
Recycler l'air ambiant prit un petit moment avant que ce soit de nouveau respirable. Une fois cela fait, la jeune tigresse pu y voir un peu plus clair. Bon pour commencer, une des première chose qu'elle avait constatée était qu'elle était toujours furry, donc changer de monde ne modifiait en rien son apparence. Ensuite, sa chambre n'avait pas été entretenue depuis un certain temps et, enfin, celle-ci était sans doute condamnée, vu que la porte refusa de s'ouvrir lorsqu’elle tenta de la forcer.
- Bon... la bonne nouvelle, c'est qu'on est bien chez moi. La mauvaise, c'est que y'a l'air d'y avoir plus personne depuis quelque temps...
-
Il est vrai que l'air ambiant, aussi charmante qu'elle soit, est saturé de poussière et moisissure, un vrai nid à bactérie. Cela est quand même surprenant que, en six mois, cette chambre soit aussi insalubre. Heureusement, contrairement à Miya, l'air pollué est une habitude, l'enfer est saturée de souffre et j'y vis parfaitement bien.
Je n'ose même pas pensée à l'état de tes vêtements, ma belle. Soit ta mère est partis, soit elle n'ose plus revenir dans cette chambre... ce qui peut être compréhensible.
J'observe Miya reprendre des bouffées d'air par la fenêtre et puis insister sur la porte pour essayer de l'ouvrir, sans succès.
Bon, trouve toi des vêtements les plus propres si au cas où on doit sortir à l'extérieur. Je garde ma forme furry tant qu'on est dans la maison, mais je vais devoir prendre forme humaine si on sort. Si on croise des gens, je dirai que tu es m'as soeur et que je t'ai fait une chirurgie de ce que tu voulais être.
Le temps qu'elle cherche ses vêtements, je prend la peine de changer ma forme pour une furry (https://cdn.discordapp.com/attachments/331586608086253579/429807575794712577/e8c5a3d6-cb4b-42da-a3be-89a76d4626b4.jpg) très rebelle, mais surtout plus agressive, ma musculature assez voyante comparé à mes autres formes. Je porte même des vêtements toute autant provocateur, shorty en cuir et un haut en filet, avec un soutien noir pour seulement cacher ma généreuse poitrine. Même ma voix est devenue légèrement plus grave.
Attention, retient ta respiration.
Je viens donner un violent coup de pied dans la porte de toute mes forces, l'envoyant valser sur le mur en face et créant un gros nuage de poussière dans toutes la chambre, m'obligeant à fermer les yeux quelques instant avant que ça s'estompe.
Reste ici, Miya. Je vais vérifier si il n'y a pas des squatters ou autres dans le coin.
Sans attendre sa réponse, je sort lentement de ma chambre et renifle pour sentir la moindre odeur bizarre tout en avançant. Je regarde même derrière chaque portes pour voir ce qu'il y a, très prudente pour chacunes d'entre elles et voir ce qu'il y a, cherchant peut être des indices avant d'aller voir en bas.
Alors, qu'est ce qu'on a ici ?
-
Miya savait sa nouvelle grande sœur forte, mais la voir défoncer la porte de sa chambre avec autant de facilité la surpris tout de même, si bien qu'elle eu un petit sursaut. Elle la vit prendre une forme plus canine que féline, carrément vêtue, avant de prendre l'angle du couloir. Juste avant, elle eu tout de même le temps de lui dire de chercher des vêtements, au cas où elles auraient à sortir. La plus jeune tiqua un peu sur l'excuse qu'elle sortira si quelqu'un devait voir son visage. Qui irait croire un truc pareil ? Personne de censé de deviendrait une furry via la chirurgie esthétique m'enfin ! Soupirant un peu, Miya fouilla dans ses armoires et tiroirs, cherchant des fringues suffisamment viables, ni bouffés par les mites, ni complètement moisis... Enfin, pas trop...
Si la chambre était dans un état déplorable, le reste de la maison n'était guère mieux. C'était même pire. Autant la chambre était poussiéreuse et humide, autant le reste de la maison était jonchée de détritus, de trous dans les murs et de tags divers. Toute la maison semblait à l'abandon depuis des lustres, effectivement squattés par quelques jeunes. Dans l'ancienne chambre de sa mère, il y'avait un délinquant complètement défoncé et à moitié affalé sur un matelas aussi défoncé que le drogué en question. La salle de bain était en ruine, la baignoire pleine de bouteilles d'alcools explosés et des flaques de bières ou de vodkas sur le carrelage. A l'étage inférieur, on pouvait entendre un peu de métal et quelques jeunes balancer des blagues salaces. Lorsque Sophiana descendit les escalier, elle put donc voir un groupe de cinq jeunes, trois garçons et deux filles, discuter autour de la table, dans des blousons en cuir et des jeans troués. Un peu plus loin, dans un canapé dans un état similaire, une ado se faisait défoncer par deux mecs, à moitiés nus et pris dans un plaisir indescriptibles, n'ayant même plus conscience de leur environnement.
Nul part il n'y avait trace de la mère de Miya. Toutefois, au vu de la discutions près de la table, les jeunes semblaient avoir une petite idée de l'endroit où elle pouvait bien être.
- Cette femme louve nous a rapportés un sacré paquet d'fric... Avec ça, on va pouvoir s'payer c'qu'on veux...
Plus haut, Miya sortit enfin de sa chambre, après avoir trouvée une tenue (https://nsa39.casimages.com/img/2018/08/19/180819062140237829.png) un peu plus convenable. Sans un bruit, elle traversa le couloir en se désolant de l'état de sa maison...
-
En entendant les adolescents parler d'une vente de femme louve, Je m'arrête instantanément dans les escaliers, plissant les yeux et réfléchis un instant. J'observe discrétement leurs nombres et ce qu'ils font avant de remontées lentement les marches pour me retrouver dans le couloir, croisant Miya dont je viens directement mettre ma patte sur sa gueule avant qu'elle ne dise quelque chose.
Je lui murmure à l'oreille pour ne pas être entendu.
Il y a un groupe en bas, trois hommes et deux femmes autour d'une table ainsi que deux mecs entrain de baiser une ado sur le canapé. Ils ont parlés d'une vente de femme-louve, ils l'ont déjà vendue.
Je retire ma main de la bouche de ma petite soeur et regarde autour de moi avant de sourire grandement en fixant le drogué sur le matela.
Nous n'allons pas faire dans la dentelle, on a peu de temps pour récupérer ta mère. Soit elle va servir de vide-couille pour je ne sais pas qui, soit elle va finir sur le biard pour être disséquer.
Je m'avance dans la chambre où je m'approche du drogué avant de lui saisir le cou séchement, lui coupant le souffle directement pour ne pas qu'il crit et alerte les autres. Je montre au type qu'il doit se taire, avec une grand sourire sadique, avant de le soulever du sol comme si il n'était qu'un sac à main et sort de la piéce en le tenant ainsi.
C'est l'heure du spectacle, ma jeune soeur.
Dit-je à la tigresse avant de venir lui rouler une pelle canine, ma main libre lui claquant les fesses pour les saisir. Je lui fit un large sourire quand je sentit que Miya commence à être chaude de mes gestes, lui léchant le cou comme une promesse de suite à mon acte avant que je ne recule doucement pour descendre les marches, peu discrête.
Mes pas se font lourds sur chaques marches tandis que le groupe à la table n'entendent rien tellement qu'ils parlent et que les autres baisent comme dans un porno hard. Dés que j'apparait à la vue des deux femmes, je lance celui que j'ai en main sur leur table pour signaler ma présence, celui-ci brisant la table sous l'impact. Miya se mettant à côté de moi, grognante.
Bonsoir, j'ai trouvée chose dans la chambre de la mêre de ma chérie, je dois supposer que vous savez où sa mêre se trouve ou je...
Je me coupe directement pour arrêter la main armé d'un du groupe qui était cachée derriére un meuble. La lame de son couteau me transperçant la main sans que je ne montre la moindre douleur, je parvient même a serrer ma main sur la sienne pour le bloqué. Lachant un rire plutôt amusé, tandis que mon poing libre s'abat sur sa machoire, la lui brisant sur le coup, le tuant sur le coup. Une des deux femmes à la table, une rousse, pousse une cri d'effroi et tente de s'échapper, mais se fait arrêter net quand une chose invisible lui saisit les cheveux pour la jetée contre le mur.
Je ne compte pas me répéter, où est la femme-louve que vous avez vendu ?
Le restant du groupe sort des couteaux, femmes comme hommes, sauf celle qui se faisait baiser comme la pire des trainée, trop en extase pour réagir. Je pousse un long soupire tandis que mon regard se pose sur Miya, qui semble bouilloner de l'intérieur. Je retire la lame de ma main, laissant une grosse plaie qui se referme à vue d'oeil, et raméne celle qui j'ai assomée à mes pieds.
Miya... laisse que les femmes en vie et "intact", j'ai un projet pour elle tandis que... les autres... fait leur cracher le morceau sur l'endroit où se trouve ta mére.
Je regarde la rousse inconsciente et m'ouvre les veines de la main droite avec mes crocs, laissant mon sang se déverser lentement. Je lui saisit la chevelure de feu et la souléve avant de plaquer mon poignet ouvert contre sa bouche, la forcant à boire mon sang dont il semble qu'elle ne refuse pas en se réveillant.
-
Miya eu à peine le temps de rejoindre Sophiana que celle-ci lui mit sa pattoune sur la bouche pour l'empêcher d'émettre le moindre son, lui expliquant ce qu'elle avait découvert. Ainsi, des délinquant squattaient donc SA maison, après avoir vendus SA mère ? En son fort intérieur, la cadette espérait que ce soit pour la première solution que la seconde. Pourquoi ? Simplement parce qu'elle ne croyait suffisamment pas assez aux coïncidences. Il y'avait peu de chances qu'elles soient retournées sur Terre la veille de la vente, probablement qu'ils étaient là depuis une semaine ou deux, elle ne voyait de toute manière pas comment son domicile aurait pu être autant dégradé en aussi peu de temps.
Miya vit sa grande sœur entrer dans la chambre de sa mère et en ressortir peu après, avec un mec complètement à l'ouest, à moitié en train de s’asphyxier avec la pression contre son cou. Rien que de le savoir sur le lit de sa mère, la tigresse vit rouge. Non, sans déconner, ces types allaient payer pour ce qu'ils avaient faits ici. Sophiana descendit donc à l'étage inferieur et balança le corps de l'ado sur la table en contrebas, qui se brisa sous l'impact. La tête étant complètement retournée, elle se doutait qu'il devait avoir eu la nuque brisée.
- Bonsoir, j'ai trouvée une chose dans la chambre de la mère de ma chérie, je dois supposer que vous savez où sa mère se trouve ou je...
Comme il fallait s'y attendre, l'un des types l'attaqua avec un couteau. Pas un couteau de cuisine ou un petit canif, non... Un vrais coutelas, avec cran d'arrêt, avec une lame d'au moins 10cm... Et qui se planta dans la paume de la louve. Miya eu un petit sursaut et cela la fit bouillir encore plus d'énervement. Heureusement, cela ne lui fit pas grand mal et tua pour la seconde fois de la soirée un demeuré... Un instant, de la soirée ? Oui... Sur Terre, la nuit se levait, alors que c'était tout juste le matin sur Terra...
Tout les autres sortirent alors un couteau, tandis qu'une des filles essaya de fuir, sans succès.
- Putain, on a encore du rab les gars... Bougez pas mes mignonnes... Si vous restez sages, vous rejoindrez très vite vot' copine... hé hé...
Miya roula des yeux au plafond, sortant ses griffes.
- Miya... laisse que les femmes en vie et "intact", j'ai un projet pour elle tandis que... les autres... fait leur cracher le morceau sur l'endroit où se trouve ta mère.
- Avec plaisir, Neesan...
La jeune tigresse avait passée six mois dans la savane, à vivre à la dure entre la chasse l'inconfort et les mâles... Ce n'était certainement pas cinq mecs à moitié défoncés par l'alcool et le shit, et rongés par l'avidité, qui allaient lui faire peur. A peine Sophiana lui fit sa demande, que la fauve bondit en avant, esquivant facilement la trajectoire des lames, donnant un grand coup de griffe au visage d'un premier mec, avant de projeter le second contre un mur. Elle fit ensuite un demi-tour sur elle même pour venir planter ses croc dans le cou du griffé et le lui déchiqueter, recrachant la chair avec un air dégoûte. Non pas dû au fait que c'était un humain, mais que la viande humaine, c'est particulièrement immonde, comparé au bison ou à la gazelle. Avec deux types tués en moins de cinq secondes, le chef de la bande faisait déjà beaucoup moins le fier. Il essaya malgré tout de l'attaquer avec son coutelas, mais Miya l'esquiva facilement, avant d'attraper son bras et le retourner violemment vers l'un de ses pote qui se prit la lame en plein dans son bide. Au passage, le bras émit un craquement sinistre au niveau de l'épaule et il perdit connaissance avant d'avoir le temps de crier, en faisant dans son froc dans le même temps.
En a peine vingt secondes de combat, elle avait déjà éliminée la moitié de la "menace". Il ne restait plus que l'autre fille qui était assise à la table auparavant et qui se plaquait contre un mur, avec un air terrorisé, celle qui s'était faite sauté dans le canapé et qui était toujours ailleurs, et un dernier mec, qui tentait vainement de fuir, maintenu par une force invisible. Et qui finit rapidement coupé en deux au niveau de la taille. Miya s'approcha de la fille face à elle, donnant un coup de patte dans sa main, assez fort pour lui faire lâcher sa lame, mais sans lui briser le poignet, avant de la caresser au niveau de la joue.
- Dis moi où est ma mère... qu'est ce que vous en avez fait... Je ne voudrait pas avoir à te faire crier trop fort, tu capte ? Ni à te tuer d'ailleurs... Même si c'est pas l'envie qui m'en manque...
Elle étira un sourire, qui dévoila ses canines, légèrement rougies par sa dernière morsure. Un bruit d'éclaboussure lui signala que l'adolescente était en train de se pisser dessus.
- On... On l'a ven... ven... vendu... P-P-Pour se faire d-d-du f-fri...
- J'm'en fout d'ton pognon, j'veux savoir où est MA mère !
Miya frappa contre le mur, près de sa tête et la fille émit un cris relativement aiguë.
- Hîîîîîîîîîîîî ! Je... Je... On... On l'a vendu... Au... Au... Au bordel du p-p-port... dans un entre-p-p-p-pôt d-d-désaffecté... Le c-c-contact est s-s-sur la t-t-table...
- Merci, pouffiasse.
Miya la saisit et la balança vers sa sœur. C'est à ce moment là qu'elle vit que la rousse, inconsciente, était désormais devenue une furry panda roux (https://cdn.discordapp.com/attachments/331586608086253579/480778461565288469/a393c850a6b6923a0d412872e6de0a3f.png), mais toujours avec sa coiffure punk. La fille qui se retrouva face à la louve eu un moment de panique en voyant ainsi sa copine.
- Q-Q-Qu'est ce que vous lui avez fait ?!... Esp... Espèce de m-m-monstre !
- Intéressant... C'est ça ton projet les concernant ?
Déjà que sa grande sœur l'avait assez bien chauffée en l'embrassant en haut... Mais si en plus elle transformait ces filles en furry, ça n'allait pas calmer ses chaleurs...
-
Bien le sang de démon est censé être mortel, le mien est fait pour être aphrodisiaque et une étape importante dans la transformait en succube ou incube. Cependant, je peux aisément le contrôler pour qu'il ne s'attaque qu'à l'ADN de l'hôte dans lequel il se trouve, du moins, cela ne s'applique que pour les humains "normaux". Mon sang étant à moitié furry, il est encore plus simple de rediriger l'ADN humain sans trop savoir pourquoi d'ailleurs, plus le corps est faible, plus c'est facile.
Pendant que Miya s'amuse avec ses nouveaux joujoux, la rousse boit mon sang allégrement, ce qui me fait gémir de plaisir tellement qu'elle le suce avec une intensité perverse. Peu à peu, sa peau visible se parcoure de frissons et ses poils changent de teintes pour tirer vers un roux plus clair, certaines zones vers du noir ou du roux plus foncés.
Je finis par lâcher un couinement, mêlant douleur et plaisir, en sentant les crocs du futur furry se former dans ma chair. Alors que je la regarde se transformer, mon regard tourne directement vers un des hommes qui tentent de fuir le carnage que commet ma petite soeur, un réflexe m'échappe et un de mes bras démoniaques vient lui saisir le crâne tandis qu'un autre vient le couper en deux avec une force démesurée, relâchant le torse juste après.
Je soupire doucement et regarde l'ado qui, pendant que je m'occupais du fuyard, m'avait lâché pour se tenir à mes cuisses, couinant de douleur tandis que son pelage a enfin fini de se former. Vu la douleur qu'elle montre, son squelette est au travail pour la transformation finale. Durant ce temps, je me reconcentre sur Miya qui interroge une des survivantes, apeurée, dont je reconnais facilement le côté dominant de la tigresse.
Hîîîîîîîîîîîî ! Je... Je... On... On l'a vendu... Au... Au... Au bordel du p-p-port... dans un entre-p-p-p-pôt d-d-désaffecté... Le c-c-contact est s-s-sur la t-t-table...
Je sourit en entendant l'avoeux puis réfléchit sur le lieu où se trouve ce bordel, je n'en avais jamais entendu parler, même mes contacts dans les Yakuza n'en ont fait mention. Pourtant, si c'est un bordel, ils devraient être sous leur contrôle ou c'est un gang rival de la leur, qui essaye de se faire une place dans cette ville perverse qu'est Seikusu.
Revenant à moi quand la pisseuse se retrouve à mes pieds, et me "complimente" de voir son amie devenir une sublime panda roux, dont j'avoue que le coté punk lui va comme un gant, je lui offre un doux sourire, comme une réponse à ses paroles puériles.
Voyons, je trouve qu'elle est encore plus belle ainsi. En plus, elle a pris en force et en courbe, c'est pas mal pour des droguées qui se font baisées comme de vulgaires putains dans un taudis, non ?
Je m'accroupie devant elle et lui caresse la joue tout en regardant tendrement Miya, qui semble assez ravie de voir ça et même bouillonante, ce qui me donne des frissons d'envie.
Je me dit qu'elles seront plus utiles sous cette forme que celle de simples humaines dépravées par l'alcool et la drogue. D'ailleurs, en parlant de dépravée, je sent ton envie grimpée en flêche... Cela risque d'être fort... excitant si tu continue de me fixer ainsi, un regard brulant de luxure.
Je me mordille la lévre en la reluquant, écartant mes cuisses pour lui montrer que je suis tout autant excitée qu'elle, mon mini-short étant déformé par mon énorme chibre, ce qui n'échappe pas à la blonde qui fait les grands yeux devant et se met à paniqué, même à pleurer.
N-n-non... pitié... tout mais pas ça, je-je ne veux pas devenir ainsi... pitié... pitié... On ne savait pas qui elle était... je vous le jure... Jamais on-on-on s'attaquerai à des Yakuza, mais on était... tellement dans.. dans la pauvreté... On... Mmmph !
Je la coupe directement en posant mon index sur ses lévres, les caressant tendrement avant de déposer un baiser sur son front, mes yeux restant figés dans les siens.
Chhhhhhhht. Ne parle pas plus, tu aggrave ton cas, ma belle. Tu vas devenir toute belle, sauf si... je suis généreuse et que tu me dit que gére ce bordel ainsi que comment vous avez sur qu'il y avait une femme-louve qui vivait ici. Tu pourras partir si tu me dit la vérité, ma chérie, tout le monde sera content ainsi.
Je pose un doux baiser sur les lévres de la blonde tout en lui caressant les joues, agissant comme une mére aimante, mais la facette cache beaucoup de malice. Ne dit on pas "gueule d'ange mais Diable au corps" ? Oh que si, cependant, il faut bien calmé cette adolescente paniquée. Dans le dos de la jeune blonde, je montre à Miya de s'occuper de celle sur le canapé pour qu'elle me la ramene.
Allez, parle, beauté. Avoue moi tout.
Pendant ce temps, la panda roux est toujours inconsciente, cette transformation l'ayant plus qu'épuisée. Rien de plus normal, on va dire.
-
En fait, quand Sophiana lui demanda d'aller chercher la dernière fille, celle défoncée par les mecs précédemment et pratiquement à poil, Miya était déjà à ses cotée. Mais en réalité, elle hésitait un peu. La fille en question était complètement en ahegao, incapable de réaliser ce qui se passait autour d'elle. Il suffisait de regarder les seringues vide à côté et les marques sur son bras pour comprendre qu'elle avait été droguée aux aphrodisiaques. Peut être étai-ce leur nouvelle prise à vendre ? Peut être un cadeau pour la vente de sa mère ? Ou peut être était-ce juste une fille de leur groupe qui aimait bien perdre pied en baisant, tout simplement.
Évidement, voir le membre de sa grande sœur devenir aussi raid l'avait rendue folle de désir... Mais à vrai dire, ce qui l'excitait encore plus, ce serait de voir ces salopes se faire sauter par un barreau trop gros pour elles. Et dans le fond, les voir devenir des furry n'était finalement que justice. Devenir comme elles, comme sa mère qu'elles avaient vendue, c'était l'assurance qu'elles ne tenteraient rien, pour éviter qu'elles ne se retrouvent dans la même situation que sa mère : se faire vendre comme bête de foire dans un bordel.
- Allez, parle, beauté. Avoue moi tout.
- Je sais pas... Je sais pas je sais pas je sais pas... V-v-v-vraiment p-p-p-pas... P-p-p-pitié...
Elle pointa d'un doigt tremblotant le chef de la bande, toujours dans l'inconscience causée par la douleur, après que son bras ait été cassé ou déboité. Elle semblait vouloir dire que lui le savait. En tout cas, la blonde était en pleur et était terrorisée à l'idée de perdre son humanité.
Pendant ce temps, Miya déposa finalement la 3ème fille aux pieds de la louve, avant de retourner voir le chef de la bande, tâter son poul pour s'assurer qu'il était toujours en vie, avant de lui mettre de grosses baffes afin de le réveiller.
-
Je regarde l'homme qu'elle pointe, tremblante tellement qu'elle est effrayée, avant de regarder Miya qui s'en occupe directement, après m'avoir laissé la jeune droguée à l'aphrodisiaque. Pendant que ma sœur s'en occupe, je reviens sur la petite blonde et lui caressant la joue alors que je la colle à moi, ce qui ne manque pas de la faire pleurer, crainte de subir cette transformation mystérieuse.
Voyons, voyons, calme toi, ma douce. Le temps que ton chef révèle tout à ma sœur et que tu répondes à mes questions, tout se passera pour le mieux.
La blonde hoche rapidement la tête, tentant de se calmer alors que je m'assois sur les marches d'escalier, la mettant de force sur moi. Elle, qui ne porte qu'une mini-jupe noire, elle sent mon énorme bosse collée à sa fente à nue. Elle se retient de pleurer à plusieurs reprises, montrant des signes de dégoûts quand elle sent ce chibre difforme appuyé contre son intimité.
Mmmmh.. *Souffle rapidement* Je.. Je... d-d-d-d'accord, mais... par pitié.. Je ne veux pas... Avoir cette chose en moi, m-m-m-madame... Je vous l'implore.. Je suis... Gnnnhh ! Qu-qu'est ce qui m'arrive ?!
D'un coup, les hanches de l'adolescente ont commencé à rouler sur ma bosse gonflant, un déhanchement digne d'une danse nuptiale pour se reproduire, malgré que celle-ci ne le veuille pas. Sa surprise et son dégoût prouvent qu'elle ne se contrôle pas, mais rien de plus normal quand on sait qu'elle est sur une démone de Luxure.
Ooooh ! Je vois que ton corps réclame de l'intention. Hmmmm... Même ta chatte mouille abondamment tellement que tu veux ma queue, mon mini-short est trempé à souhait...
N-n-non... Nooon... Je n'aime pas les... mmmmmh ! Haaaaa ! ...les...les bites... Je suis lesbienne, j'ai déjà une.. une compagne... et... Haaaan !
Mes mains lui prennent les hanches et la force à se déhancher plus intensément sur moi, lui donnant des haut-le-cœur entre ses gémissements de plaisir incontrôlés, tentant en vain de ma repousser les mains pour s'échapper, mais la différence de force est considérable. Ce qu'elle ne sait pas, c'est que c'est mon aura perverse qui agit sur elle, excitant son corps et l'influençant à se reproduire avec moi. Pour son esprit, c'est autre chose, il faut plus de temps pour que son esprit divague grâce à mon aura, surtout en étant lesbienne.
Cependant, je ne m'avoue pas vaincue et continue et jouer sur son esprit faible, dû à la drogue et l'alcool. Je finis par remonter mes mains sur son manteau de cuir, dés que son bassin à pris le rythme que je lui ai imposé, pour l'ouvrir sèchement et lui déchiré le t-shirt, dévoilant la petite poitrine de ma proie, dardant d'envie.
Arrêtez ! Stop, je refuse de... Han !
Je glousse finement alors que mon regard pervers se pose sur Miya, qui semblait se dandiner sur place pour retenir la moindre pulsion de nous voir ainsi, pendant qu'elle interroge le mâle avec brutalité. Vicieuse, ma langue vient couvrir le mamelon de ma proie, le titillant à coups de langue tandis qu'elle tente, sans y parvenir, à s'échapper de mon emprise.
Je sais pertinemment que le temps joue contre nous, mais le faite de ne pas tenter, chauffer ou sentir l'envie sexuelle des personnes, m'est impardonnable et follement attrayant, surtout en voyant la tigresse mouillée comme une petite chienne en manque. La blonde gémit et se trémousse sur moi, contre son gré, avec une envie montante, dégoût arborant son visage rouge d'extase.
Ma langue remonte lentement à l'oreille de la pleurnicharde apeurée et paniquée de ce qui lui arrive, pour lui murmurer sensuellement, tout en regardant ma petite sœur qui nous reluque.
Maintenant, tu vas savoir ce que subit sa mère dans un bordel, en ce moment même. Je vais t'engrosser et te transformer, tu vas devenir très belle comme très salope.
Mes paroles trahirent mon ton sensuel, la pétrifiant de terreur et la faisant pleurer encore plus qu'avant, elle n'ose plus résister à son déhanchement et ses désirs, dégoût amplifié du projet qu'elle va subir.
Je finis par me mordre les lèvres à sang, même la langue pour que je me mette à bien saigner avant de venir lui rouler une pelle généreuse ainsi que langoureuse, forçant la blonde à boire mon sang dans des gémissements d'envie et de répugnance.
-
Après une bonne série de baffes, le dernier mec encore en vie finit par se réveiller.
- Ah, quand même... Bon, maintenant explique moi comment toi et tes potes vous avez su pour ma mère ?
- Va crever salle chienne...
Miya soupira un bon coup de lassitude en fermant les yeux, avant de prendre son bras cassé et le tordre dans un angle proprement dégelasse, ce qui le fit hurler de douleur, les larmes aux yeux.
- Alors, déjà, je suis pas une chienne, ou alors t'es juste inculte en espèces animales. Et ensuite, si tu me répond pas, j'peux aussi te péter l'autre bras et les jambes, ça m'dérange pas.
Pour seule réponse, il lui cracha à la figure, avant de se moquer, ne l'en croyant tout simplement pas capable d'une telle chose. Quelques secondes plus tard, il hurla de nouveau à la mort, suite à un bruit de craquement et de déchirure mou. Miya venait de lui démembrer son avant-bras invalide, comme elle ferait avec son gibier de chasse, avant de balancer plus loin. Evidemment, il se mit à pisser le sang, mais cela ne dura pas longtemps après qu'elle lui fit un garrot à son moignon. Le but n'était pas de le tuer rapidement, juste de le faire souffrir.
- T'as de la chance, c'est ton bras gauche... Tu peux encore ne pas devenir totalement handicapé si tu coopère.
- Ahhh... S... Salope... Va t'faire foutre... HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!
Non, la tigresse n'avait rien cassée ou démembrée cette fois-ci, elle s'était seulement contentée de grattouiller un peu la chaire exposée avec une griffe. Cela dura quelques minutes, avec en fond sonore la tomboy blonde qui était à la fois excitée contre sa volonté et dégoûtée par la situation. Finalement, les seule qui semblaient déconnectées, c'étaient la rousse inconsciente et la brunette en ahegao.
- J'me demande bien qu'est ce qui t'pousse à ne pas balancer l'info...
- Si... Putain... Si j'parle, ils m'tuerons...
- Et si tu continu de résister, tu finiras par mourir de tes blessures... Est ce que ça vaut vraiment l'coup de vivre comme tronc ou de mourir pour ces types ?
Il sembla considérer la question un instant, envisageant réellement la possibilité, avant d'abdiquer. De toute façon, si il parle, il se fera tuer plus tard, mais il vivra suffisamment longtemps pour se cacher le temps que tout ça se tasse... dans le cas contraire, soit il mourrait comme un con, soit il survivait, sans membres et donc dans la capacité de fuir si on pars à sa recherche. Il ferait une cible facile. Il était même possible que ses enfoirer continuent de jouer avec lui, avant de l'achever, comme le faisait la tigresse en ce moment même. Et puis s'est bien connus, les chats aiment jouer avec leurs proies.
- Okay... t'as gagnée... J'vais parler...
Il lui expliqua finalement - entrecoupés de râles de douleurs - qu'à la base ils étaient simplement venus dans cette baraque pour un cambriolage des plus classiques. Toutefois, la porte d'entrée était entre-ouverte et la femme qui vivait seule était effondrée dans le couloir, sans doute ruinée par l'alcool au vu des cadavres de bouteilles dans le salon. En bons délinquants pervers, ils l'avaient violés pendant que les filles cherchaient tout ce qu'il y'avait de valeur à récupérer, que ce soit de l'argent, des bijoux ou de l’électronique. Ils lui avaient aussi fait des injections de drogue aphrodisiaque, pour l’amener à la jouissance et ne pas rendre le viol trop chiant. Ils avaient donc été surpris par la transformation de la femme suite à son orgasme.
- On avait jamais vu un truc pareil... Et on s'est dit qu'elle rapporterait plus de fric que tout les trucs réunis ici...
Miya dû se faire violence pour ne pas éclater la face de ce type tout de suite. Il balançait absolument tout, sans réaliser qu'il ne faisait qu’attiser la colère de la tigresse que de la calmer. Pendant une semaine, ils ont violé la femme louve en long et en large, durant des heures, jusqu'à la briser complètement, jusqu'à ce qu'elle en redemande d'elle même. A ce moment là, ils ont pris contact avec un bordel un peu particulier au niveau du port, un établissement peu connus, dans lequel on trouve quelques lycéennes capturées, mais aussi des filles presque humaines, comme ils les appelaient eux même, essentiellement avec des attributs de chats ou des oreilles pointues par exemple.
- On l'a vendue il y'a trois jours de cela... et on a été payé 130 000 Yen dans la soirée...
Miya comprenait mieux pourquoi ils s'étaient rués sur elles dès qu'ils les avaient vus... C'était quand même une sacrée somme pour des délinquant à la rue et la possibilité de la multiplier par trois leur avait fait oublier le sens du danger. Sa mère avait sombré dans l'alcool, elle n'était donc pas dangereuse lorsqu'ils l'ont trouvés. Mais Miya et Sophiana elles, étaient en pleine possessions de leurs moyens. Miya le remercia en l’assommant et en lui faisant perdre connaissance. Elle avait des projets pour le faire souffrir et lui faire payer ses actes. Elle en fera sans doute pars à sa grande sœur si celle-ci lui pose la question, mais pas de suite, vu comment elle semblait s'amuser avec sa proie. D'ailleurs, celle-ci avait déjà entamée sa métamorphose à son tour et Miya fut un peu surprise de la voir devenir une tigresse (https://cdn.discordapp.com/attachments/331586608086253579/480778424726585344/a941dce160f97f9e7134930122a601f4.jpg) comme elle. Certes, elle faisait très garçon manqué, avec ses cheveux courts et sa poitrine complètement plate, mais l'absence de pénis prouvait bien que c'était une femelle.
Miya s'approcha donc d'elles en retirant ses vêtements, se remettant donc complètement nue, et vint se coller contre le dos de sa nouvelle congénère en venant pincer ses tétons, s'arrangeant pour sentir le sexe de Sophiana glisser contre son intimité également.
- C'est bon, tu t'amuse bien sans moi, Oneesan ?
Jalouse ? Juste un peu...
-
Le ton qu'emploi Miya me fit mordre les lèvres d'envie, rien qu'en ressentant cette jalousie de ma sœur, j'imagine déjà qu'elle va faire en sorte d'être plus dominante que cette lesbienne, se montrer meilleur au lit que les trois.
A ce compte, je pense pouvoir m'amuser comme jamais et réussir a rendre Miya plus qu'accro à moi. C'est pour cela que ma langue se balade sur le cou de la lesbienne, mon regard pervers plongé dans celui de ma sœur et mes mains pelotant le cul de la tomboy.
Justement, celle-ci se met à gémir langoureusement sur moi, le dos plaqué contre la poitrine de Miya. Elle semble encore dégoûté, mais seulement sur son visage, mon sang agissant comme un aphrodisiaque sur elle, une drogue de soumission qui la fait se déhanché sensuellement sur moi et contre ma sœur.
Dit moi, ma chère petite sœur, serais tu jalouse que tu ne sois pas entrain de gémir sur moi... à gémir et a profité de mes caresses ?
Toujours en la fixant, je penche la tomboy sur moi, lui mettant la tête dans le creux de mon cou et lui murmure quelque chose. Chose qu'on peut comprendre vite car, dès cet instant, elle tourne la tête pour me mordre le cou a sang, me faisant pousser un cri de plaisirs. Mes mains lui agrippant les fesses dans un claquement sourd, un gros craquement se faisant entendre au niveau de mon shorty tellement que je bande sur le coup. Ma bosse tapant sèchement sur l'intimité de ma sœur, pulsante d'envie tandis que je gémis a chauqe gorgée de sang que la tomboy boit.
Mmmmmh... Miya n'ose pas montrée qui est la dominante vis a vis des trois autres ? Han !
Je pousse un puissant couinement, sentant deux violentes mains me saisir les seins et les pétrir sans douceur, pointant mes mamelles pour qu'elle puisse les pincer ainsi que tirer dessus.
Je réplique directement en lui claquant le cul violemment, venant lui mettre mon index dans son petit, la doigtant rapidement. Elle semble tres bien aimée vu quelle se dehanche dans tout les sens.
-
- Mmmmmh... Miya n'ose pas montrée qui est la dominante vis a vis des trois autres ? Han !
La jeune tigresse trouvait que cette affirmation n'avait pas de sens, puisque sa grande sœur la dominait déjà sans problème. Non, le vrais soucis, c'est que Sophiana lui donnait terriblement envie de sexe alors qu'en même temps, elle voulait retrouver sa mère et faire payer les acheteurs, mais avec des coups plus que de l'argent. Mais puisque sa sœur d'adoption l'avait chauffée et la narguait désormais, Miya allait tout simplement l'ignorer, pour s'occuper de la tigresse Tomboy. De ses réactions de dégouts vis à vis de la grosse trique, il était clair qu'elle était une pure lesbienne et qu'elle préférait cent fois une langue dans son intimité plutôt qu'une monstrueuse matraque. Et puisqu'elle avait gentiment coopéré, il fallait la récompenser, pas la terroriser ou la forcer à faire des choses qu'elle n'aimait pas, même avec de l'aphrodisiaque.
- On va voir qui elle préfère de nous deux, si tu y tient ♪
Les doigts toujours sur les tétons érigés de la tomboy, Miya déscendit peu à peu ces derniers, les glissant sensuellement le long de la fourrure jusqu'à écarter ses belles petites fesses fermes. Ignorant superbement la queue tendue de Sophiana, elle sortit alors sa petite langue aventureuse et vint laper avec gourmandise la fleur intime de sa congénère féline, veillant à stimuler autant ses grandes lèvres et la chair intérieure que son clitoris. Les gémissements que la tomboy se mit à pousser soudainement était une belle preuve qu'elle préférait de loin ces petites attentions agréables aux actes brutaux de sa grande sœur.
- Alors Oneesan ? Qui est la vraie dominante maintenant ?
Pour Miya, dominer, ce n'était pas seulement imposer ses envies à son partenaire, mais savoir aussi écouter ses préférences... Sinon, cela ne se résumait qu'à un stupide acte de viol.
-
Un large sourire décor mon visage quand je voit ce que fait Miya, comprenant qu'elle n'a rien compris à ce que je lui ai dit. J'aurais pu trouver ça amusant, mais quand ma petite soeur adoptive se met à m'ignorer pour s'occuper uniquement de la tomboy, je débande en un coup, mais les regardant avec un large sourire sans rien montrer de plus. D'ailleurs, Miya peut même sentir que je ne dégage plus du tout de phéromones et même ma poitrine ne pointe plus.
Qui est la plus dominante ? C'est celle qui sait punir quand il le faut.
Autant que j'aime narguer et rendre accroc mes partenaires, autant je n'aime pas qu'on gâche mes travaux surtout que, au moment où Miya a jouée la lesbienne, la tomboy a perdue l'envie de se faire fourrer et est redevenue elle-même.
Je me léve d'un coup sec, faisant tomber Miya et la lesbienne sur elle, la regardant avec une neutralité absolue, inquiétant pour un visage angélique comme le mien. Une fumée mauve m'enveloppe avant de disparaitre subitement pour que je sois sous une forme Neko, portant une robe noir moulante.
Joue bien, j'ai ta mére a récupérée.
Même ma voix est froide alors que je fixe une Miya qui est déboussolée par mon changement soudain d'humeur. Au passage, je fais tomber les trois nouvelles furry dans un portail pour qu'elles soient enfermées quelque part avant de tourner les talons pour aller vers la sortie. Mauvaise perdante ? Non, loin de là, mais je ne supporte pas qu'on remette en cause mon travail et ma dominance. Si Miya veut faire ça, ce sera sans moi et, là, je lui fait clairement comprendre.
Surtout que, au final, elle se comporte plus comme une simple femme avec des envies plutot que celle qui les imposes à ses soumis, les faisant subir ça. De plus, j'en fais partie de ces dominantes la, qui joue sur tout pour manipulée les envies de leur victimes afin qu'elles craquent et deviennent folles de ce qu'elles sont ne pas censé aimer.
-
Honnêtement, Miya fut prise de cours par la réaction de Sophiana, ne s'attendant pas le moins du monde à ce genre de réaction. Mais avec du recule, c'était sans doute dû à son coté démoniaque. Et puis la plus jeune ne connaissait son ainée que depuis un peu moins de 48h seulement, donc c'était normal. Mais de fait, en moins de temps qu'il n'en faut pour voir son membre débander, elle se retrouva au sol, tandis que les trois autres filles furent aspirées par un portail. Sa grande sœur était devenue anormalement neutre et détachée. Comme si le fait de ne pas lui sauter dessus ou de s'occuper d'une autre qu'elle inadmissible à ses yeux. Un peu égoïste sur les bords nan ?
- Joue bien, j'ai ta mère a récupérée.
Et elle sortit de la maison sans un mot de plus, la laissant seule au milieu d'un inconscient et de plusieurs cadavres. Interdite, la jeune tigresse resta à califourchon sur le sol durant quelques minutes de plus, avant de hausser les épaules.
- Bah... si Nessan sait pas exprimer les choses clairement, tant pis, mais moi, pas question que je joue avec des morts, j'suis pas nécrophile encore...
Si Miya avait tant craquée sur le gros membre de son ainée, ce n'était pas non plus pour rien. Remontant dans sa chambre, elle passa précautionneusement son bras sous son lit, jusqu'à attraper un coffret en bois long et étroit. Et, en l'ouvrant, elle en sortit un énorme gode équin (https://cdn.discordapp.com/attachments/226824627987546112/493163325341827072/e7ebab86-711f-4e20-933d-78913f47fe61.png) (taille réelle). D'ici à ce que sa grande sœur ne revienne, elle comptait bien s’amuser avec ce jouet, qu'elle n'avait plus eu entre les mains depuis bien longtemps.
Ailleurs, sur les docks
L'ambiance festive battait son plein au port de Seikusu. Les bars et les restaurants étaient plein, les night-club diffusait leur musique, ténu par l'insonorisation des bâtiments et quelques artistes de rue dessinaient des portraits des passants. Plus enfoncés dans les quartiers, on pouvait trouver quelques bordels, certains luxueux, d'autres plus mal famés. Un seul se faisait nettement plus discret que les autres, son entrée étant dans une arrière cours, fermée par une grille, une vraie armoire à glace en surveillant l'entrée. Visiblement, il devait s'agir d'une maison close accessible seulement à ceux ayant reçu une invitation du propriétaire des lieux...
-
Après avoir laissé Miya dans sa maison, punition mais aussi pour sa sécurité dont je mets plusieurs sceaux de protection pour que personne ne rentre ou sorte sans mon autorisation, je me dirige directement vers les docks de Seikusu. Je connais un peu les lieux et je sais parfaitement où se trouve les bordels, je dois juste chercher celui qui est nouveau parmi eux.
En déambulant dans les docks, observant les gens avec attention, je finis par arrivée dans le quartier où se trouve majoritairement les bordels. En une fraction de seconde, je repère celui qui est le moins accueillant et le plus discret parmi tout ceux qui s'y trouve, y allant directement pour voir de plus prés.
Je vois aussi qu'il y a un garde devant la grille, semblant être la seule entrée restreint du lieu. Bon, il est temps que je prouve ce qu'est la manipulation féminine. Je baisse le décolleté de ma robe, laissant un sein à l'air libre et l'autre à moitié, me mettant à tituber fortement tout m'appuyant au mur pour me diriger vers lui, les joues rouges.
Alors qu'il tente de m'arrêter, je fais mine de rien et le percute d'un coup, simulant d'avoir trébuché avec mes talons hauts. Ma lourde poitrine collé contre son torse et mes mains tenant ses hanches, une vue parfaite pour un mâle quelqu'il soit.
Par-Pardon... *hic*...monsieur... je.. on m'a dit... qu'il y avait un hotel ici, fait pour moi... *hic* J'y suis ?
J'ai, bien évidemment, fait en sorte que mes oreilles et ma queue de chat soient visible. Si je ne me trompe pas, il me fera rentrer surtout une hybride aussi facile a capturé.
Je redresse ma tête vers lui pour lui offrir un sourire de charmeuse, tout en m'accrochant à lui pour ne pas tomber. Voyant que ses yeux dérivent largement sur mon sein nu, j'appuye sur mon talon pour le casser, tombant sur un peu plus pour que mon sein soit collé à son membre.
Je.. vrai.. *hic*...vraiment désolée... il faut que je repose.. savez vous... m-me mené à une des chambre de cette hôtel ?
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Le garde du bordel était plutôt du genre baraqué et avec une mine patibulaire (https://cdn.discordapp.com/attachments/331586608086253579/536349060466999321/d33b44516c3cec26.png). Une véritable armoire à glace dans cette petite ruelle étroite. Difficile de passer inaperçu pour lui, mais le but était justement d'éloigner les curieux. Officiellement, il s'agissait d'un salon privé, accessible seulement pour les VIP, où marchants et clients négociaient leurs affaires en toute discrétion. Officieusement... c'était toujours un salon privé VIP, mais qui servait en réalité de bordel et de mise en vente, les femmes les plus exotiques y étant vendues comme de vulgaires jouets sexuels. Celui-ci ne faisait pas l'objet d'un mandat d’arrêt, simplement parce que les plus grandes pompes du gouvernement et des entreprises de la ville y avaient leur accès.
Monter la garde à cette entrée pouvait être particulièrement ennuyeux pour l'homme, obligé de faire le piquet dans cette ruelle sinistre pendant que les autres s'amusaient avec des femmes de toutes sortes. Mais parfois, rarement, il arrivait que des évènements le sortent un peu de son morne quotidien. Comme ce fut le cas avec cette Neko qui lui tomba littéralement dessus, ne cachant nullement ses attributs et ne cherchant pas à le faire de toute manière. Elle n'était pas sur ses gardes et semblait ignorer où elle avait mis les pieds.
- Hmmm... J'ai bien peur que ce ne soit complet actuellement, mais je suis sûr qu'il y'a moyen de s'arranger avec le patron...
Vif comme l'éclair, il sortit de sa poche une seringue, tandis qu'il aidait la Neko à se redresser un peu de son autre main. Elle semblait tellement imbibée d'alcool, qu'elle n’eut aucune réaction lorsque l'aiguille perça sa peau au creux des reins et qu'il en vida tout le contenue dans ses veines. Toutefois, le produit devrait très vite commencer à faire effet, notamment en provoquant de très fortes chaleurs à la Neko, une envie irrépressible de sexe.
- Venez mamz'elle, je vais vous conduire à l’intérieur... ça peut être dangereux pour vous de rester dehors dans cet état.
La tenant fermement par le bras, il la conduisit dans le vestibule, puis passa une autre porte. Dans la salle, plusieurs dizaines de filles (https://cdn.discordapp.com/attachments/273803864040407040/536352056160682024/ev41315bb.jpg) en extase, nues et enchainées, se faisaient prendre par les puissants de la ville. Sans le produit dans ses veines, la Neko se serait déjà mise à paniquer, mais dans son état actuelle, elle ne devait normalement n'avoir qu'une envie, les rejoindre pour son plus grand plaisir.
- Ne t'inquiète pas ma belle, tu les rejoindra bientôt, mais j'dois te présenter au boss quand même...
Il entra ainsi dans une nouvelle salle, un bureau, dans lequel un homme (https://cdn.discordapp.com/attachments/331586608086253579/536349116007972865/4.png) se faisait langoureusement lécher le membre par deux autres filles, deux elfes qu'il tenait en laisse et qui semblaient être elles aussi dans un état second. Il regarda la nouvelle marchandise avec un œil intéressé, avant de regarder le garde
- D'où elle sort celle là ?
- Une Neko qui trainait dehors, complètement bourrée. J'me suis dis qu'ce serait du gâchis que d'là laisser trainer dehors.
- Mouais... Elle empeste l'alcool et on sait pas trop où elle a trainée... Conduit là en salle de dressage, Beast va la rendre un peu plus présentable pour les clients...
L'homme la redressa donc et la conduisit de nouveau à travers les couloirs. Finalement, la soirée allait être un peu plus animée que les autres, même s'il ne participerait pas directement à l'éducation de cette fille.
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Quelqu'un d'intelligent aurait pu remarquer que quelque chose cloche dans cette situation. Une Neko, aux atouts largement généreux, qui apparaît soudainement dans une ruelle sombre près d'un bordel, vendant et offrant des femmes les plus exotique, complètement torché... Il faut dire que les humains sont définitivement des abrutis, mais il faut bien des êtres faibles pour que les démons en profitent.
Ce mâle semble totalement naïf et c'est pour cela que je continue de jouer le jeu. Si ce n'était que pour moi, j'y aurait été en truisant tout en premier, mais celà ait trop risqué pour la mère de Miya et c'est pour celà que je prend sur moi à l'insertion de l'aiguille dans mes reins.
Étant une demone de Luxure, ainsi que scientifique, je reconnais directement un produit amplifiant la libido. Je joue le jour et me met à simuler des gémissement très chauds, des ronronnements puissant et que je me frotte contre le garde.
Mmmmmhaaaan... Oui, aidez moi... Réchauffez moi avec votre boss..
En entrant, je vois, avec une certaine admiration, l'immense orgie BDSM qui se présente sous mes yeux. Je me mord les lèvres et je tente de m'approcher pour mieux voir, mais le garde m'en empêche, pensant que je veux me faire brutalement baiser... ce qui n'est pas faux pour le coup..
Pitié... Je veux qu'ils me remplissent de fourre... sauf si tu veux me passer dessus avant, me déglinguée le minou..
Alors qu'il m'emmène de nouveau, je me met a réfléchir et me dit que je peux faire d'une pierre deux coups. Malgré que la vision et les sons pervers m'ont bien chauffée, ce lieu sera très utile pour soudoyer les puissants et recruter de futur succubes ou incubes. Parfait et les surprises s'enchainent, j'observe et tiens tout les chemins ainsi que créatures qui se trouvent ici avant d'arriver ce fameux boss. Pour le coup, je mouille véritablement, mais pas pour le boss, plutôt pour les deux elfes dont j'ai l'unique envie de faire crier comme de vulgaire putes.
C'est vous que je dois sucer comme une petite chienne docile avec vos deux amies ?
Niveau attitude, je ne peux faire mieux. Je suis bien excitée, pointant et mouillant comme une salope et je pense que ça va empirer avec "Beast", qui est censé m'eduquer. Enfin, ce serait le cas si c'était pour l'objectif de m'amuser... C'est secondaire, on va dire..
Hey... Après mon rendez vous, tu me laissera goûté ta grosse verge ?
Continuant de marcher, je me colle d'avantage à lui pour mieux me frotter. Quelque chose me chiffonne quand même, le surnom "Beast", il se peut que je tombe sur un furry, voir même une... Une femelle sait mieux soumettre une autre femelle qu'un mâle. À voir et c'est sûrement là que tout va se jouer... À voir...
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La Neko avait un langage un peu trop cru pour une fille qui venait tout juste d'être capturée, et avec facilité qui plus est... Mais entre l'alcool, l'aphrodisiaque et ses hormones en ébullition, les hommes ne se posèrent pas plus de questions que cela. Ils espéraient juste qu'une fois son dressage terminé, elle sera plus soumise et n'ouvrira sa grande gueule que lorsqu'on l'y autorisera. Le baraqué la conduisit donc dans les sous-sols du bâtiment, aménagé en cellules fermées par des grilles plutôt que des portes et derrières lesquelles on entendait des soupirs de plaisir ou les lamentations de filles encore en cours de dressage, nues et attachées. Dans le lot, il y avait quelques lycéennes humaines fraichement capturées, leur uniforme en lambeaux et ne cachant plus grand chose. L'homme amena la Neko à une cellule fermée par une porte et l'ouvrit après quelques tours de clefs, jetant la terranide à l’intérieur. Dans le noir, deux grands yeux améthystes brillèrent, fixant la nouvelle captive, chaude comme la braise, puis l'humain.
- Beast, Une nouvelle recrue pour toi. Elle est déjà bien chaude, tu n'auras aucun mal à la dresser. Fait ton taf convenablement et notre arrangement pourra se poursuivre.
Il referma la porte à double tour et s'en alla en sifflotant, laissant les deux créatures ensembles. La dénommée Beast, toujours dans l'ombre, regarda longuement la terranide se tortiller devant elle, réclamant qu'on s'occupe de sa chatte en feu. Sur les murs, Sophiana pouvait observer de nombreux accessoires de bdsm, tendis que des machines sexuelles avaient été repoussées contre les murs de la cellule. Une bibliothèque et un lit semblaient constituer le seul vrai mobilier de la pièce. Continuant de la toiser froidement, elle finit par ouvrir la bouche.
- Bien imitée, succube... Mais si tu veux te faire sauter, c'est pas le meilleur endroit au monde... Cette cellule possède un système de sécurité en dymérite intégré aux murs, qui absorbe et annihile toutes formes de magies... Si tu veux sortir d'ici, il faudra que je te dresse avant...
La créature quitta l'obscurité pour se montrer face à elle. Beast était en réalité une dragonne noire (https://cdn.discordapp.com/attachments/331586608086253579/537379009730838528/Tiamat_Naviento.png), sa peau sombre constituée de fines écailles et recouverte partiellement par une combinaison en latex, qui laissait apparent son corps de l'entrejambe au cou. Sa longue chevelure mauve cascadait dans son dos et encadrait un visage qui aurait pu être joyeux dans d'autres conditions. Deux paires de cornes blanches transperçait sa chevelure au sommet de son crâne. Beast s'accroupit face à la Neko qui n'en était pas vraiment une, relevant son menton.
- Comment t'appelles-tu ?
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Enfin arriver à cette fameuse salle de dressage, je me dit que je n'ai plus pour longtemps à me frotter comme une vulgaire soumise et que je pourrais enfin faire mes rechercher. Ne sachant pas qui est cette "Beast", je dois encore jouer le jeu, mais je sent une chose qui me perturbe en entrant dans la salle. Mon aura ne fait plus d'effet et je sent que quelque chose bloquent mes pouvoirs.
Chose que je suis sûr, c'est une femme qui s'occupe de l'éducation, d'après le parler de l'armoire à glace qui m'a jetée dans la cellule.
Dressez moi... Je suis une vilaine chatte... toute humide et...
Je me coupe un instant en fixant les yeux dans le noir, me rendant compte qu'elle n'est pas dupe et ses paroles ne font qu'approuver.
Perspicace, "Beast". Tu n'es pas n'importe qui et loin d'être aussi imbécile qu'eux.
Je mouille toujours autant, mais je me contrôle parfaitement, étant dans un milieu dont j'ai l'habitude depuis enfant. Cependant, je ne m'attendais pas à l'apparence de "Beast", mes yeux s'agrandissant et un sourire s'affichant à pleine dents. J'ai déjà vu des dragons, mais ils ne courent pas les rues et sont d'une puissance phénoménale. D'ailleurs, en voyant sa tenue, je laisse ma verge se dévoilé et se dresser sans pudeur devant elle.
Par Lucifer, une Naviento. Ah ah ! J'y crois pas, tu as des ressemblance avec Ishtar. Waw...
Je m'accroupie pour mieux la voir, matant ses attribut féminin tandis que mon sexe est droit sur elle. Je comprend mieux pourquoi il y a cette protection magique.
Avant de te répondre, il y a des cameras ou des micros ?
Je le lui demande à voix basse, pour voir si elle est coopérative ou non. Dans tout les cas, Six de mes bras démoniaque entourent la dragonne sans la touché, vu que ce n'est pas de la magie mais une grande quantité de sperme et mouille qui est dans mon sang.
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- Par Lucifer, une Naviento. Ah ah ! J'y crois pas, tu as des ressemblance avec Ishtar. Waw... Avant de te répondre, il y a des cameras ou des micros ?
Honnêtement, "Beast" ne pu cacher sa surprise. Elle était certes une Naviento, mais elle était toutefois née après le bannissement d'Ishtar d'Inféris. Le peu qu'elle savait d'elle, c'était ses frères et ses sœurs qui le lui avaient dit. Elle portait le même prénom que sa mère, Tiamat, bien qu'elle ne l'ait jamais vue non plus. Leur père était un tyran, qui violait périodiquement sa mère et dont la moitié de sa descendance était mort née, l'autre ayant difficilement passée l'enfance. En fait, sur ses 666 enfants, le quart seulement avait passé leur première dizaine d'années. Tiamat avait été vendue à des marchants d'esclaves à l'âge de 12 ans, quelques années seulement avant la chute de son père, aussi ignorait-elle tout de ce qui se passait à Inféris depuis lors. A la question de la succube, la dragonne montra l'une des caméra. Visiblement, cela faisait des mois que les circuits avaient grillés.
- Si la dymérite bloque la magie, elle a aussi l’inconvénient de créer des dysfonctionnements électroniques, en trop forte quantité. Ces humains et moi, on a un marché. N'ayant jamais pu me dresser, ils m’héberge du mieux possible tant que je dresse leurs nouvelles esclaves. Elle eu un rire jaune. Je ne suis pas dupe, je suis toujours prisonnière... Mais en comparaison de ce que j'ai subis depuis ma naissance, c'est la meilleure situation à laquelle j'ai jamais eu droit...
Tiamat vivait dans des condition exécrables. Un lit moisis, une planche bancale en guise de table pour manger, une étagère avec peu de livres, lus et relus et tout le reste du mobilier servait à dresser des filles et en faire de vraies nymphos... Au moins, les hommes n'essayaient plus de la violer. Si la succube connaissait les Naviento, alors elle avait du remarquer que, pour une dragonne, celle-ci ne possédait pas d'ailes. La raison en était simple, son père les lui avaient amputées... Si bien que seule deux cicatrises aux omoplates témoignaient de ce reliquat.
- Bien, j'ai répondue à ta question, à toi de répondre à la mienne. Et inutile de me menacer avec tes membres fantomatiques... Mes écailles sont suffisamment solides pour les contrer.
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Je suit le doigt de la dragonne et voit l'état des caméras avant de rire au sujet de à dymerite qu'utilise les humains contre les pouvoirs. C'est le seul point gênant sur le plan que je prévoit et Ishtar, par chance, allait fortement m'aider. Passant ma main à travers les barreaux, je caresse tendrement la joue de celle-ci, prenant une voix douce.
Ma pauvre, chérie, comment ose t'il te traité de la sorte, dans un endroit si immonde pour des créatures comme nous. Je m'appelle Sophiana Caldo et je suis une future reine du Royaume de Luxure. Une demone et non une simple succube.
Ma main longe le cou de la dragonne afin de lui caresser amoureusement les mamelles. Un rire m'échappe quand elle me signale que ses écailles pourront repousser mes bras, ce qui peut être vrai, mais inutile en ce moment.
Ne t'affole pas, mes bras ne sont pas là pour te faire du mal et si j'avais le temps, ils serviront à te donner du plaisir. Du moins, ce n'est pas mon objectif. J'ai une proposition : Aide moi à retrouver une louve, qui se trouve ici, et je t'offre une liberté ainsi qu'un travail.
Mes mains démoniaques attrapent les barreaux de ma cage et les tord facilement, me laissant une sortie sans même me fatigué. Ce dont j'en profite, mais je reste a genoux devant Ishtar avec un grand sourire, ma maib caressant toujours son sein.
Regarde toutes ses femmes. Je compte récupérer cette endroit pour en garder le même principe mais version démoniaque. Les femmes seront consentantes et celles ici seront sevrer de cette drogue, ayant le choix de rester de leur plein gré ou partir. Toi, tu pourras te déplacer librement, aller revoir ta mère et une chambre plus luxueuse, sous directrice de ce lieu et... tes ailes.
J'approche mon visage du sien et la sent doucement, mes deux mains lui massant la poitrine tandis que je passe ma langue sur le coin de ses lèvres.
Mais la priorité est de retrouvée cette Terranide louve et detruire la dymerite pour que je puisse creer mes portails. D'accord ?
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Tiamat regarda cette créature tordre avec une facilité déconcertante les barreaux de la cage dans laquelle elle avait été éjectée. Car si, techniquement, elles se trouvaient actuellement dans la même cellule, celle-ci possédait en réalité une cage en guise de sas. Les esclaves qui arrivaient y étaient jetées et la dragonne les récupéraient ensuite pour les dresser. Une fois cela fait, elle les remettait dans la cage, que les hommes revenaient chercher pour la conduire à sa nouvelle "chambre". En réalité, ce système de "cage-sas" avait été mis en place pour éviter les incidents avec Tiamat. Une nouvelle recrue avait un jour eu la merveilleuse idée de la traiter comme une pute, sans tenir compte des avertissements des autres. La dragonne l'avait purement émasculé. Depuis, les contacts physiques entre elle et les hommes étaient extrêmement limités.
La créature, après l'avoir tendrement et intimement caressée, se présenta finalement à elle et lui déclara qu'elle serait une future raine démoniaque. Cela expliquait donc la facilité qu'elle avait à user de son pouvoir, malgré le système de sécurité. Elle lui avoua également qu'elle était à la recherche d'une esclave récemment capturée et de la libérer, c'était sa priorité. Elle lui demanda donc sa coopération, avec comme contrepartie de la libérer et peut être l’embaucher, et lui permettre de retrouver sa mère. La dragonne la laissa la caresser, mais répondant volontiers à ses petites attentions, notamment à venant palper son délicieux cul, glissant ses mains sous ses vêtements et entreprenant de les faire glisser jusqu'au sol.
- Humm... Quelle généreuse proposition... Je serais ravie de retrouver ma mère, mais c'est sans compter sur mon père... Il sera difficile à faire tomber sans une armée... Du reste... Les rondes se font plus rares passé 2h du matin, ce sera donc le meilleur moment pour agir, quant au système de sécurité... il y'a moyen de le surcharger en magie, si on le pousse à bout...
Le système avait été pensé pour contenir sa magie... Si les hommes avaient su que la Neko était en réalité une démone, il aurait au préalable renforcé celui-ci, avant de les mettre ensembles. A elles deux, elles devraient réussir à briser les cristaux avec une surcharge de magie, mais cela prendra plusieurs minutes.
- Quant à la louve, je me souviens l'avoir dressée oui... Mais j'ai bien peur qu'elle soit devenue complètement dépendante du sexe, suite à mon traitement... Elle est devenue tellement affamée que les mafieux l'enferment avec deux jument Futa pour la calmer... Quant à moi, je dois au moins faire semblant de te dresser, d'ici la fin des rondes... Ce qui nous laisse quelques heures devant nous, avant de passer à l'acte...
Toutefois, plutôt que la dresser, Tiamat allait tout simplement coucher avec elle. Mais elle montrait une certaine forme d'impatience... Hormis dresser des soumis ou se faire violer lorsqu'elle était plus jeune, elle n'avais jamais couchée d'égale à égale avec quelqu'un... Se plaquant tout contre elle - et contre le mur - la dragonne vint donc l'embrasser langoureusement, sans lâcher les fesses de la démone, s'amusant à avancer et reculer contre sa nouvelle amante, afin de stimuler leur poitrine sous la pression exercée. Le baisé dura de longues et intenses minutes, avant qu'elle ne libère ses lèvres, luisante de leur salive mélangées.
- Et pour ta gouverne... Je me nomme Tiamat, ma belle...
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Je me lèche les lèvres quand elle me propose de s'envoyer en l'air pendant des heures, jusqu'à ce qu'il soit deux heures du matin. Cette dragonne et intéressante ainsi qu'aguicheuse, cela me plait tout comme le fait de me coller au mur pour m'embrasser et se frotter à moi. Un baiser que je rend tout aussi langoureux, lui tenant doucement la gorge tandis que ma main libre se tient au mur contre lequel je suis.
Ton père ? Cela fait un moment que ta grande soeur a repris le pouvoir et ton père... disparut ou mort. Pour ce qui est de la surcharge... Il faudra que me je me recharge au maximum pour celà... Heureusement que tu es là, Tiamat...
Je passe mon enorme chibre entre les cuisses de la dragonne et commence à frotter vigoureusement celui-ci sur son intimité, allant et venant sans relâche, crachant ses gémissements de plaisir.**
Rien que d'imaginer ce que subit la louve avec ces juments divinement membré et toi, en ce moment.... Bois mon sang et tu recevras ta récompense..
Je penche mon cou sur le côté pour lui offrir mon sang directement en me mordant, tandis que mes mains s'emparent du cul de Tiamat afin de la soulever. Lentement, elle l'empale sur sa lourde verge, pénétrant son intimité très lentement, centimètre par centimètre, faisant frémir et gémir la demone.
Tu ressentira une puissante douleur, terrible, mais c'est le prix a payer pour que tu reapprenne à voler... Haaaaaan !
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Ainsi, son père avait été destitué par Ishtar ? Donc en plus d'avoir survécus à son bannissement, elle était parvenue à venger leur mère et leurs frères et sœurs ? Décidément, bien des choses devaient avoir changées depuis son départ. Si cette démone tenait parole, elle se ferait un plaisir de retourner chez elle passer voir sa mère... Et peut être faire connaissance avec son ainée, si elle était là. Ces informations la motivèrent plus encore pour coopérer avec Sophiana, mais avant ça, comme elle le disait, il fallait recharger ses batterie en énergie charnelle. Heureusement, elle est sensée la violer pour la briser, même si dans le cas présent, c'est plutôt elle qui va se faire prendre. La dragonne n'avait aucune idée de l'heure qu'il était actuellement, mais elle pouvait voir a travers la lucarne de sa cellule qu'il faisait déjà nuit noir dehors. Elles devaient avoir tout au plus quatre heures devant elles pour baiser, avant de mettre leur plan en application. Sophiana lui fit alors une proposition, sans cesser de la peloter et commençant enfin à la pénétrer de sa longue verge.
- Bois mon sang et tu recevras ta récompense... Tu ressentira une puissante douleur, terrible, mais c'est le prix a payer pour que tu reapprenne à voler... Haaaaaan !
Pouvoir de nouveau voler, un fantasme auquel elle n'avait plus pensée depuis bien des années... Mais effectivement, faire repousser des ailes ne devait pas être de tout repos. Elle approcha sensuellement ses crocs du cou de la démone, susurrant doucement à son oreille.
- Si c'est aussi douloureux que tu le prétend, alors... baise moi fort... fait moi oublier cette douleur...
Et elle mordit dans son cou, commençant à aspirer son sang...
-
Ce qui est demandé sera fait, j'en frémir de la proximité des crocs de la bête sur son cou et quand ils pénètrent sa chair, j'en lache un long cris langoureux. Mes mains serrent bien le cul de la dragonne et mes vas et viens débutent avec frénésie, lui faisant subir 40 centimètre de queue qui la bourrine à vive allure, une queue si grosse qu'aucune parcelle de son antre est épargnée.
C'est partis !
Dès que mon sang coule dans la gorge de la dragonne, dont je bourrine l'intimité sans retenue, ils se propagent dans corps comme la peste, lui donnant d'énormes bouffer de chaleur très agréable. Enfin, cela arrive car je n'ai pas encore guidé mon sang vers l'objectif principal, ce qui arrive rapidement.
En quelques secondes, tout mon sang qu'elle boit se redirige vers les omoplates meurtris de Tiamat. D'un coup, elle ressent deux types de sensations : Le plaisir que je lui donne en la baisant sauvagement et l'immense douleur que mon sang lui fait, sa peau cicatriser se faisant déchiré pour s'étirer et que mon sang comble ce vide.
Processus n'étant pas douloureux de base, quand il s'agit de simple blessure ou fracture d'un os, mais la recomposition de deux membres si grand est atroce, j'en sais quelques choses. J'ai failli tomber dans les vappes quand je me suis fait repousser mon bras droit alors que la c'est pire, peut être que le plaisir la maintiendra éveillée.
De ce que je vois, tout semble fonctionner correctement, les os commence à bien se former. Oui, il faut d'abord les os avant de faire la membrane des ailes, les connections nerveuses, etc...
Ayant confiance en ma capacité, je me concentre sur les plaisir que je donne à la dragonne tout autant qu'à sa "transformation". Deux de mes mains démoniaques attrapent des chaînes et accrochent les poignées de celle-ci vers le plafond, légèrement pencher en arrière. Une position qui me l'offre deux fois plus et évite que ses omoplates bougent de trop.
Rah bordel ! Tu es tellement bonne et tu mouille tellement que ca m'eclabousse le corp !
Je lui empoigne un sein, avec un gros claquement, et le presse pour m'y tenir tout en mattant ma queue aller et venir dans cette antre lubrique dont je tabasse le fond avec mon gland, la malmenant devant tout les esclaves présent.
J'adore ta chatte, j'ai hâte de la remplir et d'essayer ton petit cul de salope !
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Habituée depuis quelques années à dominer, c'était bien la première fois qu'elle se soumettait à quelqu'un. Mais d'un autre coté, c'était elle qui le lui avait demandée, car elle se doutait, au fond, qu'elle aurait bien du mal à dominer la démone tout en sentant ses ailes repousser. Ainsi, dans un premier temps, elle ne ressentit que bonheur et plaisir, lorsque cette queue gargantuesque pénétra brutalement son intimité, avant de la ramoner avec frénésie. Agrippée à Sophiana, Tiamat gémissait de plaisir, l'enlaçant de ses bras et les crocs encore plantés dans son cou. Néanmoins, cette plénitude ne dura que quelques instant, avant qu'une horrible sensation de douleur ne lui traverse le dos.
- Haaaa... Haaaaaaa... HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!
Heureusement, la cellule était insonorisée, personne n'entendait ce qui s'y passait depuis l’extérieur, auquel cas, les gardes auraient déboulés en entendant ce hurlement de douleur... En fait, parler de douleur n'était qu'un euphémisme, comparé à ce que la dragonne ressentait véritablement. C'était comme si son corps était déchiré en deux et chauffé à blanc dans le même temps. Comme si une lance l'embrochait de toute sa taille. Les métaphores étaient nombreuses pour décrire cette sensation. Sophiana redoubla d'ardeur, pour équilibrer du mieux possible souffrance et plaisir, mais les fait étaient tels que la dragonne ne parvenait plus à réfléchir, lutant pour se concentrer d’avantage sur la seconde sensation plutôt que la première, et ne faisait donc plus vraiment attention à ce que faisait son amante.
Tiamat se retrouva ainsi les bras enchainée par des menottes accrochées au plafond, suspendu au dessus de sa tête et les cuisses largement écartées, le corps cambré vers l'avant. Elle pris note, légèrement détachée des évènements, que la démone l'embrassa copieusement et lui maltraitait les seins, pendant que ses os terminaient de se reformer, suivis des muscles et des membranes. Elle n'osa pas bouger ses ailes pour le moment, ayant trop peur d'avoir mal. Tiamat n'était pas une masochiste et Sophiana avait beau la bourrer de toute ses forces et la remplir de sperme, la dragonne était tout simplement incapable de jouir avec cette douleur difficilement soutenable. Ainsi, ses ailes mirent bien une longue demi-heure pour se refformer, avant que la douleur ne diminue, progressivement effacée par le plaisir que lui procurait la démone. Et malgré cette incroyable souffrance, Tiamat n'avait pas perdue connaissance. Elle avait courageusement encaissée et pouvait désormais profiter du reste de la soirée avec elle, sans perdre une seconde de conscience avec son amante.
- Haaaaa.... Haaaaaa... Pfiouuuu.... C'est bon... Je vais pouvoir profiter... un peu plus de notre soirée... belle démone...
La soirée allait enfin pouvoir véritablement commencer pour elle...
-
J'aurais pu la remplir plusieurs fois pendant cette demi-heure de souffrance, mais ce qui est fait est fait. Des ailes parfaites pour la dragonne, dans un style plus démoniaque cependant, cela dit, elle est encore plus belle avec. C'est alors qu'elle me lache qu'elle peut pleinement se concentrer dans cet ébat, chose qui ne passe pas dans l'oreille d'un sourd et je lui offre un monstrueux coup de reins, logeant ma verge dans son uterus pour lui remplir l'entre-jambes à rabord. J'en ricane de plaisir et frappant mon bassin a chaque jets de sperme, ma main serrant bien son sein et l'autre caressant son ventre bien rond de foutre.
Enfin, je peux remplir une véritable dragonne ! Mmmh.. Tu me fais bander encore plus !
Je me penche et suce le sein de Tiamat, que je sert, avant de regarder les nouvelles ailes de celle-ci. Tout en les admirant, je me retire de la chatte de la Dragonne très lentement, frottant mon gland sur le clito de celle-ci doucement.
Essaye les. Vas y... Reprend ta véritable nature...
Pile à la fin de ma phrase, je reviens brutalement en elle, me mettant clairement à la bourriner sans ménagement, mes seins rebondissant aux rythmes de mes couilles qui fouettent le cul de la dragonne.
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Tiamat se faisait véritablement défoncer par la démone, mais dieu que c'était bon! Jusqu'à présent, elle n'avait couchée qu'avec des faibles qui perdaient pied bien trop rapidement ou des gens qui ne cherchaient qu'à faire d'elle leur chose. Mais Sophiana elle... chaque coup de rein faisait pleinement effet en elle, comme une décharge électrique au plus profond de son être, traversant son corps pour remonter jusqu'à son cerveau et exploser ses pensées. Heureusement, elle était une dragonne. Même jeune par rapport à son espèce, elle pouvait encaisser ça. De fait, elle ne resta pas impressive face à son amante, usant de sa queue caudale pour l'envoyer entre les fesses de la démone, s'enfonçant dans son fondement et débutant de puissants vas et viens en elle. Saphiana ne tarda d'ailleurs pas à jouir en elle, expulsant de violentes giclées de semence chaude, déclenchant des frissons de plaisir dans le corps de Tiamat.
- Hmmm... Haaaaaa.... ça fait longtemps que... Personne ne m'a pris ainsi... Je pense pas me tromper en disant que c'est même la première fois...
- Essaye les. Vas y... Reprend ta véritable nature...
- Si... Haaaaaa... Si tu y tient tant que ça...
Et tandis que Sophiana replongea en elle, Tiamat usa de ses nouvelles ailes tout en agrippant les hanches de la démone, s'envolant à mi hauteur de la pièce en se retournant. Suspendue ainsi entre sol et plafond en surplace, elle prit les reines de leurs ébats en dominant allègrement son amante, obligeant celle-ci à s'accrocher à elle pour ne pas se casser la gueule en bas, bien qu'elle soit toujours maintenue par sa queue caudale, toujours enfoncée en elle tel un énorme crochet. La dragonne remua donc contre la démone, comme en apesanteur dans cette cellule.
- Alors ? Haaaaaa... Tu prend bien ton pied, salooope ?! Haaaaa...