La Géodoll F-132 venait ainsi d’être déballée, et commençait à être utilisée. Vous ne pouvez pas imaginer quel plaisir elle sentait, après autant de temps à juste s’entrainer, puis autant de temps à être déplacée pour arriver à son point d’arrivée. Cela avait été... Frustrant, oui, voilà ce que cela avait été. Derrière le fait qu’elle n’était qu’une « doll », et bien, elle était loin, non plus, d’être qu’un objet. Au fond, elle avait encore des frustrations, des envies, des espoirs... Et peut-être était-ce là le plus grand génie de la fameuse entreprise derrière les GéoDoll. Beaucoup auraient lobotomisée des femmes, -consentantes, bien sur-, et les auraient rendus aussi catatoniques que de simples légumes, ne pouvant qu’être baisée. Sauf que non, si les Géo-Doll étaient si bonnes, c’est que JUSTEMENT, elles ne pensaient qu’au sexe, en renonçant à leur humanité, elles n’étaient pas punis, mais recompensées, les rendant bien meilleurs que de simples légumes.
La Géo-Doll F-132 ainsi avait demandée ce qui lui arrivait. Et ainsi, cette femme qui à l’origine, n’avait jamais été spécialement tant attirée par le sexe que ça. Même, après son « incident » de grossesse -chose pourtant rare à Tekhos-, elle avait détesté le sexe. Et pourtant, elle était là... Et dieu qu’elle en redemandait ! Elle était heureuse du sexe, elle voulait que le sexe continue, qu’on continue de l’utiliser. Elle se sentait libre, alors qu’auparavant, elle avait tout perdue. Et oui, c’était en perdant sa liberté, qu’elle se sentait enfin « quelqu’un », et non une personne noyée dans la masse. C’était en devenant un numéro qu’elle était enfin autre chose qu’un simple numéro. Paradoxal, tout cela, n’est-ce pas ?
Elle était pénétrée, et vivait sa vie de Doll. Que de plaisirs d’être utilisée ! Cela faisait du bien, et en plus, elle avait l’impression qu’elle servait énormément à ses nouvelles maîtresses... Non, ce n’était même pas des maîtresses ! C’étaient celle qui la possédait ! On « possédait » un esclave, certes, mais cela faisait qu’on avait un être vivant. Si elle était bien un être vivant, elle restait avant tout une doll, un objet. Et qui disait un objet, disait une utilisation digne... et bien d’un objet. Cela était relativement logique. Donc, elle se faisait bourrer, bien en continue, avec un grand plaisir. Elle avait envie que cela continue, encore et toujours, qu’on ne fasse que l’utiliser. Elle gémissait, on pouvait l’entendre au niveau de l’ouverture destinée à sa bouche, ouverture qui pour le moment était encore fermée, étant donné que personne n’avait tenté d’utiliser les deux autres trous destinées à l’amusement chez la doll.
Malheureusement, toutes les bonnes choses avaient une fin, étant donné que finalement, la futanari termina son jeu, et pu bien jouir à l’intérieur de la doll. Les gémissements et la jouissance de celle-ci, d’ailleurs, semblait être au maximum. Elle avait fini sa fonction, visiblement, et elle allait être rangée, comme on rangeait ses affaires. Elle restait là, quand soudainement, elle fut de nouveau attrapée, et amenée vers une personne. Ce n’était plus du tout la même position. Elle était maintenant juste devant celle qui allait la pénétrée... Et elle lui faisait face. Elle était comme ça, son corps intégralement moulée dans le latex, sans qu’il y ait le moindre espace d’air... Comme si sa peau était entièrement faites de latex, entièrement réfléchie pour être le plus érotique possible. Toutes ses courbes étaient mis en valeurs, de ses seins jusqu’à ses fesses. Elle fut de nouveau alors pénétrée... Bon sang, quel plaisir ! Elle gémissait de nouveau, et on pouvait voir que le latex s’étirait, surtout au niveau de sa bouche et son anus...