Alastar et Vierna se trouvaient ensemble, dans une belle douche. Le fait qu’une douche se trouve à Nexus était, en soi, la preuve que la technologie médiévale nexusienne connaissait quelques particularités, notamment émanant de l’influence tekhane. Cette douche était très agréable, l’eau chaude était un régal, mais, en ce moment, Le Diablotin pensait surtout à la femme assise devant lui. La belle Vierna, sous sa forme de succube, lui rappelait tant de bons souvenirs. Avant que la belle rouge ne prenne son envol, lui et elle avaient été des amants assez insatiables, et très énergiques. Là, elle suçait sa queue, le titillant, le narguant, et Alastar, en souriant, posa ses deux mains sur sa tête, crispant ses doigts dans sa chevelure, et accompagna par de légers coups de reins les mouvements de la femme.
« Hmmm... Quelques années, pourtant, ce n’est rien pour nous, ma belle... T’aurais-je manqué à ce point ? C’est... C’est touchant, hmmm... ! »
Il était flatté de la frustration de la femme, de sa colère, des reproches qu’elle lui faisait. Sa belle queue enflait dans la bouche de la femme, déformant sa gorge, et lui ne faisait rien pour la stopper, continuant au contraire, accélérant de plus en plus le rythme. Bien désireux de s’occuper d’elle au mieux, Alastar déplaça sa queue caudale, qui fila entre ses jambes, et se rendit entre les cuisses de la femme. L’extrémité prit une pointe effilée, devenant une belle verge, et s’enfonça dans la chatte de Vierna.
En souriant, Alastar continua à la pénétrer, filant d’avant en arrière, et continua ensuite à lui bourrer la bouche, sa queue finissant par forcer le passage, rentrant dans la gorge de la femme, déformant sa peau. Il grogna alors, bandant ses muscles, et accéléra ses coups de reins.
« Tu as toujours aimé que je te baise la gueule bien fort, Vierna... Bien fort, et longuement ! Rassure-toi, je ne compte pas te négliger... »
Le Diablotin sourit encore, et poursuivit ses coups de reins. Rien, effectivement, ne semblait devoir l’arrêter. Sa queue continuait à déformer la gorge de la femme, grossissant et enflant encore, prenant peu à peu des proportions monstrueuses. Elle rentrait dans la gorge de la femme, et filait encore plus bas, remontant dans son corps, ou, plutôt, « baissant » vers son estomac. Pour Vierna, il lui fallait recourir à la magie rose pour lutter contre ce sentiment de régurgitation. La queue d’Alastar continuait à s’allonger, encore et encore, étouffant la succube, la baisant douloureusement, formant une ligne le long de sa peau rouge.
Centimètre après centimètre, la queue du Diablotin croissait, jusqu’à ce qu’il ne continue à remuer. Désormais, ses coups de reins soulevaient et abaissaient le corps de Vierna, l’entraînant avec lui. La belle devait être en train de prendre un sacré pied ! Et, de plus, rien ne semblait devoir calmer Alastar, qui continua encore, jusqu’à finir par jouir en elle.
« Hmmmm... !! »
Sa queue énorme se banda, ses muscles se crispèrent, et il se relâcha alors, au bout de plusieurs minutes. Une jouissance très généreuse. Une grande quantité de foutre jaillit de sa queue, et remplit directement l’estomac de la femme, tandis que sa queue décroissait au fur et à mesure qu’il jouissait. Le ventre de Vierna se mit à grossir de plusieurs centimètres, enflant comme une femme enceinte, tandis que le sperme, encore et encore, affluait. Alastar jouissait également avec sa queue caudale, et le sperme coulait abondamment sur le sol, formant une belle flaque.
Alastar termina son œuvre en éjaculant contre le visage de Vierna. Juste avant ça, il jouit violemment dans sa bouche, gonflant ses belles joues, et conclut donc en éclaboussant la figure de Vierna de foutre.
« Le blanc te va si bien au teint, ma chérie... Tu vois, je n’ai rien perdu de ma vigueur en ta présence, bien au contraire... »
Ce qu’il avait fait demandait un effort surhumain. En fait, une amante ordinaire en serait probablement morte, étouffée sous cette avalanche de sperme... Mais Vierna n’était pas une amante comme les autres, n’est-ce pas ?