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Servir & Obéir [Narmacille]

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Alexandre Dowell

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Servir & Obéir [Narmacille]

lundi 20 février 2017, 00:44:46

« Si fait, Sire, une pucelle fraîche et belle, exactement selon les souhaits de Sa Seigneurie. »

Tout en courbettes et en sourire, Ibrahim Dechur, le négociant, invita Alexandre à entrer dans son hacienda. Le seigneur ashnardien, beau et élégant, n’ayant, en ce sens, rien à voir avec l’obèse marchand qui l’invitait. Dechur était le représentant d’une guilde marchande spécialisée dans le commerce d’esclaves, et les Dowell étaient l’un de ses clients privilégiés, de riches nobles. Néanmoins, il était peu commun que ce soit Alexandre en personne qui vienne dans sa maison. Généralement, cet honneur était dévolu à sa sœur, Allison Dowell, qui venait récupérer des danseuses et des partenaires sexuelles. Et Ibrahim savait qu’Alexandre était nettement plus sévère que sa sœur, et plus intransigeant.

Le duo s’avançait dans le hall de la maison de luxe, où des esclaves en tenue orientale, ou très courtes, dansaient sensuellement, s’embrassaient sur des divans, sous les yeux scrutateurs d’autres clients, qui n’hésitaient pas à caresser leurs fesses ou à presser leurs seins. Plus professionnels, d’autres inspectaient l’état des dents des esclaves, les évaluant comme de vulgaires biens, prenant leur mesure, leur tour de poitrine, évaluant la fermeté de leurs hanches, ou vérifiaient si elles étaient vraiment vierges. L’esclavage était un vrai commerce, avec des experts et des procès qui avaient lieu entre vendeurs et acheteurs quand on fournissait des esclaves affublés de vices cachés, comme une maladie sexuellement transmissible, un cancer, une infécondité non signalée... De manière générale, le droit ashnardien considérait qu’un esclave n’était pas un citoyen. Ainsi, si, sur Terre, on opérait une distinction fondamentale entre ce qui relevait des biens et ce qui relevait des personnes, sur Ashnard, la distinction portait entre le fait d’être un citoyen impérial ou non. Un esclave n’était pas un citoyen, et était assimilé à un bien, qu’on pouvait incorporer, à ce titre, dans son patrimoine.

« Monseigneur...
 -  Mon Maître... »

Gloussements, voix sensuelles et mélodieuses résonnant dans le creux de ses oreilles, mains se posant brièvement sur son torse... Alexandre avançait à travers les couloirs de la maison de Dechur en ne répondant pas. Il était venu ici suite à une annonce faite par le négociant, concernant une proie qui l’intéressait. Une fille vierge et formée. Cette virginité l’intéressait, car le sang d’une vierge était délicieux... Du moins, le sang émanant de son hymen. Généralement, les marchands proposaient des fausses vierges, qui avaient subi des opérations chirurgicales visant à reconstruire le hymen. La supercherie était bien faite, mais Alexandre pouvait la démasquer, en goûtant cet hymen artificiel. Dechur savait donc qu’il ne fallait pas le rouler.

Ses pas les conduisirent vers une embrasure dissimulée par un rideau.

« C’est ici, Sire...
 -  Parfait. Laisse-moi, maintenant, Dechur. »

Le négociant acquiesça, et Alexandre écarta le voile, menant à une alcôve où il y avait des coussins volumineux et soyeux. Une silhouette nue se tenait là, collier autour du cou, bijoux brillants sur sa peau. Il vit une longue chevelure bouclée, une allure noble, et sourit lentement.

« Je suppose qu’on a dû te le dire... Je suis celui qui doit t’acheter aujourd’hui, si tu me satisfais correctement. Quel est ton nom, esclave ? »

Le ton était dur, autoritaire. Alexandre était son supérieur, et il voulait qu’il n’y ait d’emblée aucun doute à ce sujet. Elle était la catin, il était le noble.
DC d’Alice Korvander.

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Alexandre Dowell

Créature

Re : Servir & Obéir [Narmacille]

Réponse 1 lundi 18 septembre 2017, 01:02:24

Alexandre était là, face à son festin, une belle jeune femme nue, au port altier. Il l’imaginait déjà portant une belle robe, bleue électrique. Elle lui rappelait un peu, avec ses cheveux châtains et son élégante silhouette, cette horripilante vampire de la capitale que l’une de ses sœurs, Allison, adorait énormément. Nerveuse, la jeune femme était nue, portant des bracelets dorés autour des poignets, et protégea l’accès à ses seins et à son intimité, en baissant les yeux. Il lui avait posé une question, simple, à laquelle la femme répondit... En le suppliant. Elle était visiblement impressionnée, et Alexandre sentit déjà une pointe d’agacement le traverser. La patience n’avait jamais été l’une de ses vertus, a fortiori avec des humains idiots... Ou des humaines écervelées.

La femme avoua qu’elle était une « soigneuse », et Alexandre grommela. Sa réponse fut instantanée. Il se rapprocha d’elle... Et la gifla sèchement du revers de la main.

Une claque qui résonna sur la joue de l’esclave, et la jeta à terre, confirmant sa force terrifiante. Elle hurla de surprise, et probablement aussi de douleur, ce qui ne manqua pas de durcir légèrement son membre, en provoquant en lui un délicieux frisson d’excitation. Clouée au sol, la jeune femme devait commencer à paniquer, tandis que l’homme reprit :

« Je t’ai demandé ton nom. Es-tu sourde, mal intendante, ou mentalement déficiente ? Le vendeur m’a pourtant assuré que tu avais toutes tes capacités cognitives, et qu’on t’avait appris les rudiments d’instruction nécessaires à pouvoir prétendre être une bonne esclave... »

Autant dire que, avec lui, Narmacille allait devoir apprendre à filer droit.

« Mais, pour te rassurer, tu me serviras toujours à quelque chose, petite. Par exemple, je peux t’enchaîner à ma cave, et me servir de toi pour boire ton sang tous les jours, te laisser reconstituer ton sang, et y boire encore... Ou alors, je peux te torturer longuement, pour le simple plaisir de le faire, et montrer à mes serfs ce qui arrive quand on m’énerve. Qu’en penses-tu ? Puisque tu ne sers à rien, je pourrais t’enchaîner à un gibet, te laisser mourir de faim, et laisser les corbeaux venir te picorer un peu... Ou t’attacher au pilori, et laisser les hommes du village se défouler sur toi en les laissant te fouetter toute la journée.... Ou t’utiliser comme gibier dans les parties de chasse que j’offre à mes chiens d’assaut... »

Les idées ne manquaient pas, en réalité, et l’esclave devait commencer à se dire que l’homme qu’elle risquait de servir était cruel... Ce qui, en réalité, était tout à fait exact.

« Alors, on va recommencer calmement. Tu vas te relever, mettre tes mains le long de ton corps, arrêter de jouer la petite mijaurée, me donner ton putain de nom... Ou j’en déduirais que tu ne sais pas parler, et je t’arracherai la langue en conséquence. »

Elle pouvait toujours croire à une menace en l’air, mais le ton d’Alexandre était tellement calme, et son regard tellement grave, qu’on sentait instinctivement qu’il ne plaisantait vraiment pas. À elle d’être suffisamment intelligente, maintenant, pour comprendre qu’il était dans son intérêt de lui répondre, et de lui obéir bien sagement...
DC d’Alice Korvander.

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Alexandre Dowell

Créature

Re : Servir & Obéir [Narmacille]

Réponse 2 lundi 02 octobre 2017, 01:05:43

Cruel ? Oui, il l’était, assurément. Mais... À sa manière, il était aussi juste. Sans cruauté, la justice ne pouvait se targuer d’être efficace. La cruauté était toujours nécessaire, et Alexandre était un seigneur. À ce titre, il était chargé d’une autorité sur son domaine, sur les gens qui dépendaient de lui, que ce soit ses serfs, ou ses esclaves. Et, toujours à ce titre, il ne supportait pas l’insubordination, ce que Narmacille faisait en refusant de répondre clairement, ou en croyant avoir affaire à un égal. Choquée, elle se releva, et, tout en marquant une pointe d’hésitation, se présenta. Alexandre l’observa silencieusement, et reprit ensuite :

« ...Maître. Chaque fois que tu t’adresseras à moi, c’est en me vouvoyant, et en m’appelant ‘‘Maître’’. »

Il se déplaça un peu, et ne tarda pas à ouvrir le tiroir d’un bureau, sortant plusieurs parchemins.

« Tu sais lire ? Voilà le contrat de vente te concernant. »

Alexandre le lui tendit, laissant la femme le lire, et prendre conscience qu’elle avait été vendue... Tout simplement. Elle avait été vendue par Dechur, un négociant qui agissait en qualité de négociateur et d’intermédiaire entre l’administration pénitentiaire ashnardienne et les clients privés. À la clause « ORIGINE DE PROPRIÉTÉ », Narmacille pourrait lire qu’elle avait été acquise en qualité de prisonnier de guerre, conformément aux statuts prévus dans plusieurs ordonnances annexées au présent acte. Tout était écrit, noir sur blanc, avec une expertise physique décrivant le corps de la femme, certifiant sa virginité, ses mensurations, ses formes... Elle ne devait sans doute pas y croire, mais c’était pourtant bien le cas.

Dowell enfonça donc le clou, clarifiant les choses :

« En vertu du droit ashnardien, tu n’as pas de personnalité morale. En conséquence, tu n’as aucun patrimoine, et tu ne peux donc décider par toi-même. Somme toute, ton statut est comparable à celui d’un animal, et un animal se doit d’avoir un propriétaire pour répondre de ses actes. C’est ce que tu es... Mon animal, ma chienne. »

Il le disait en souriant légèrement, comme si la situation l’amusait. Devant lui, le visage de Narmacille semblait se décomposer. Comment tout cela pouvait-il être vrai ? Ce n’était pas la première fois qu’Alexandre voyait ce genre de choses. Les prisonniers de guerre formaient toujours une manne considérable d’esclaves.

« C’est aussi simple que ça. J’ai droit de vie et de mort sur toi, et je fais très attention à bien former et à bien dresser mes acquisitions. »

Alexandre retourna vers elle, et posa sa main sur le menton de Narmacille, relevant son visage, serrant ses doigts gantés sur son menton. Le vampire fronça ensuite lentement les sourcils, la mine grave et sombre.

« Compris, chienne ? »
DC d’Alice Korvander.

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Alexandre Dowell

Créature

Re : Servir & Obéir [Narmacille]

Réponse 3 lundi 09 avril 2018, 00:53:56

Toute action entraîne une réaction appropriée. Narmacille pouvait sans doute se croire fière de son geste, mais, dès qu’elle déchira le papier, Dowell réagit en conséquence... En la giflant sèchement. Une claque appuyée, qui résonna dans la pièce, et renversa la femme au sol. Il resta ensuite debout devant elle, la regardant silencieusement, puis se pencha brusquement vers la femme, et agrippa ses cheveux entre ses doigts, tirant sèchement dessus, faisant preuve de sa force surhumaine.

« Tu te crois intelligente, hein ? Tu crois pouvoir me narguer, misérable humaine DE MERDE ? Tu crois que je déconne ? Mais j’en ai rien à foutre de toi, sale pute ! Des pétasses comme toi, j’en ai tout le tour du ventre ! »

Il tira encore, la releva, et envoya son genou la frapper dans le ventre, lui coupant la respiration. Dowell pouvait se montrer particulièrement violent quand il le voulait, et il était bien décidé à montrer à cette femme une chose simple : elle était sienne. Elle lui était inférieure, et, si elle pensait que faire sa maligne permettrait d’arranger sa situation, elle allait vite déchanter. Dowell l’agrippa par la gorge, l’étouffant à moitié, plantant ses griffes dans sa peau, faisant même couler un peu de sang, et se mit à marcher rapidement.

Récupérant une laisse, il mit un collier autour du cou de la femme, le rattacha à la laisse, puis la força ainsi à la suivre. Malheureusement pour Narmacille, c’était un redoutable collier de soumission drow. Il disposait donc de pointes internes, et ces dernières se déclenchaient quand la laisse était tendue à son maximum. Un excellent moyen de forcer les esclaves à suivre leurs maîtres, car, s’ils traînaient trop, les pointes se plantaient à des endroits très précis de leur cou. Elles ne bloquaient pas la respiration, mais titillaient les nerfs, infligeant de grandes douleurs.

De cette manière, Alexandre traîna Narmacille derrière lui, quittant le salon, tout en continuant à laisser sa colère s’exprimer :

« Tu vas voir, salope, oh oui, tu vas voir... Tu crois qu’une misérable humaine conne et insignifiante comme toi peut me prendre de haut ? Ah ! Avance, sale pute, AVANCE ! »

Il rejoignit les souterrains du manoir, et attrapa à nouveau la femme par la gorge, avant de la balancer dans une salle de torture. Croix de saint-André, chevalets, piloris, vierges de fer... Toute l’imagination humaine était là, autant d’instruments possibles pour torturer, battre, mutiler... Il la força à s’attacher à des chaînes qui pendaient en l’air, s’aidant de deux gardes qui glissèrent ses poignets dans les liens, ainsi que ses chevilles sur des liens au sol. Si elle se rebellait, ils la frappaient encore au ventre, ou la giflaient, mais évitaient de trop abîmer son visage.

Toutefois, le pire était encore à venir, car, lorsque les liens furent mis, Alexandre récupéra un fouet, et le fit claquer une première fois en l’air.

« Bon... Vingt coups de fouet pour ton insubordination, ça me paraît être un bon début. »

Dowell leva son bras, et abattit l’arme. Malheureusement pour Narmacille, ce n’était pas le fouet émoussé qu’on utilisait dans les jeux de sadomasochisme, mais un véritable fouet, tranchant et meurtrier. Il s’abattit sur elle, et ouvrit la peau de la femme dans son dos. Le second fouet déchiqueta aussi sa chair, commençant à faire couler son sang, et Dowell continua, sans ménagement, sans pitié, mais au contraire en commençant à avoir une solide érection. Bien sûr, il avait avec lui des élixirs pour soigner la jeune femme après cette séance de torture... Mais encore faudrait-il qu’elle le mérite.

« Voilà ce qu’on fait aux sales chiennes indisciplinées, sale pute ! On les dresse ! » jubila-t-il.
DC d’Alice Korvander.

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Alexandre Dowell

Créature

Re : Servir & Obéir [Narmacille]

Réponse 4 dimanche 17 février 2019, 14:54:29

Cette femme avait le potentiel d’être belle, le potentiel d’être une excellente courtisane. Alexandre l’avait senti dès qu’il l’avait acheté... Mais il fallait encore la dresser pour cela. Elle était encore fière, impertinente, pensant sans doute que, en raison de son joli minois, Alexandre n’oserait pas la dresser comme il le fallait. C’était se méprendre gravement sur la nature du vampire, qui n’était pas connu pour être quelqu’un de très patient... Et qui pouvait parfois se montrer extrêmement cruel. Il ne dressait pas ses esclaves avec la douceur d’une Mélinda Warren, ce n’était pas son style. Il éprouva pendant quelques secondes le fouet, souriant en constatant que Narmacille se montrait encore impertinente, toujours aussi rebelle.

*Qui sème le vent...*

Le fouet vint mordre le cul de Narmacille, comme un serpent affamé. Il se planta dans sa chair, arrachant à la femme un hurlement, qui était autant un cri de surprise que de douleur. Sans doute n’avait-elle pas cru qu’Alexandre irait jusqu’au bout... Ce qui était une grave erreur ! Narmacille hurla encore quand le fouet s’abattit encore sur elle, et continua à se tortiller sur place. Alexandre la fouetta encore, sentant le sang affluer dans tous les sens dans le corps de cette traînée. Il s’arrêta après la première salve de cinq coups de fouet.

Le cul de Narmacille avait pris une teinte rougeâtre, ainsi que le bas de son dos, chaque coup ayant labouré sa chair, faisant perler le sang, qui pointait à vif. Alexandre s’arrêta pendant quelques instants, entendant la jeune femme hurler en le suppliant.

« Normalement, ce n’est pas à moi de faire ça, précisa-t-il. J’ai des bourreaux pour faire ça... »

Il releva alors le fouet, et l’abattit violemment à nouveau sur son corps, arrachant à la femme un autre hurlement. Alexandre fit signe aux gardes, qui sortirent alors, sans demander leur reste. La porte fut ensuite verrouillée, et Alexandre laissa encore passer quelques secondes. Dans son dos, Narmacille, si elle en avait encore la force, put entendre divers bruits, le son de vêtements qui glissaient, puis le cliquètement d’une ceinture tombant au sol. Alexandre se déshabilla intégralement, et se rapprocha du corps de la femme. Elle avait du mal à conserver ses appuis avec ses jambes, le sang commençant à ruisseler sur son corps.

C’était une scène de torture, tout simplement... Mais, si elle espérait susciter la pitié de son bourreau, elle se trompait lourdement. Elle sentit Alexandre se lover contre elle. Sa main vint caresser sa gorge, et ses lèvres s’approchèrent de son oreille... Mais, surtout, elle pourrait sentir, contre le renflement de ses fesses, la bosse tendue et assoiffée du sexe de l’homme. Un membre érectile qui se dressait fièrement et qui la caressa intimement, tandis qu’il se mettait à sourire malicieusement.

« ...J’adore battre les putes comme toi. Supplie-moi, ça m’excite ! »

Il se redressa alors, non sans avoir mordillé au passage le cou de la femme, puis récupéra le fouet. Nu, il abattit le fouet une septième fois, en ponctuant désormais les coups de jurons bien sentis, comme pour rythmer chaque séance :

« SALOPE ! SALE PUTE ! CHIENNE ! SALOPE !! »

Et, à chaque juron, un coup de fouet venait, continuant à ouvrir le corps de la femme, à la saigner... Peut-être espérait-elle tomber dans les pommes, mais la douleur n’avait pas d’effet anesthésiant. Au contraire, la souffrance vous maintenait en vie, et l’homme poursuivit donc, jusqu’à atteindre la vingtaine de coups de fouet.

Narmacille était méconnaissable. Son dos était ravagé, tout comme ses fesses. Du sang dégoulinait sur le sol, glissant le long de ses jambes. Alexandre soupirait lourdement, son érection toujours aussi présente, et attrapa une fiole bleuâtre qui traînait sur la table, et se rapprocha de la jeune femme. Il alla se poster devant elle. Les yeux de la femme flottaient dans le vide, comme si elle peinait à les garder ouverts. Sa main se posa sur le menton de Narmacille, la forçant à relever le regard.

« Ne t’inquiète pas, je vais te soigner, ma belle... Tu dois être présentable pour ce qui va venir ensuite. »

Il relâcha ensuite sa tête, puis décapsula la fiole. C’était un élixir d’Hirondelle, un élixir cicatrisant. On pouvait l’ingurgiter par la bouche, ou directement le répandre sur les plaies, ce qu’Alexandre fit. Le liquide bleuâtre émit quelques sifflements au contact de la peau de la femme. La cicatrisation ne serait pas instantanée, mais, d’ici demain matin, Narmacille serait prête.

En attendant, Alexandre se rapprocha du treuil commandant les chaînes, et les releva, ce qui redressa le corps de la femme. Alexandre put ainsi la forcer à se mettre en position de levrette, et, tout en souriant, la pénétra brutalement.

Pour dresser cette femme, rien n’allait lui être épargné !
DC d’Alice Korvander.

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