La Vache du Bonheur [Cassandre Harmington]

Il ne fallait pas non plus que Cassandre se montre anxieuse en craignant avoir pris trop de temps, et pouvoir mettre sa Maîtresse en attente. Mélinda ne voulait pas que l’Ushi se sente nerveuse. Au contraire, elle voulait que le séjour de l’Ushi ici soit comme un long fleuve tranquille, fait de douceur et de gentillesse. Cassandre acheva donc de jouer avec Tim, qui fut particulièrement ravi, puis elle suivit ensuite Liana, qui la conduisit vers la chambre de Mélinda.

Il s’agissait d’une belle chambre, se trouvant dans la partie centrale du manoir. Quand Cassandre entra, Mélinda était déjà nue, lui tournant le dos, ce qui permit à la belle vachette de voir ses magnifiques fesses, sa chute de reins, sa longue chevelure... Indéniablement, Mélinda était une très belle femme, une véritable nymphe, ce dont elle avait pleinement conscience, et dont elle jouait fort volontiers avec les autres.

« Coucou, Cassandre... J’espère que tu t’es bien amusée ce soir, ma petite chérie. »

Mélinda dormait généralement nue. Ce soir, elle était en compagnie des membres de sa proche famille, puisqu’il y avait Vanillia et Akira. Vanillia portait une élégante nuisette à dentelle avec des collants. Akira, de son côté, avait opté pour de très fins sous-vêtements vifs, preuve que Cassandre serait très bien entourée.

Le lit de Mélinda était assez grand, pouvant aisément contenir quatre à cinq personnes. Un véritable lit King Size à la gloire de Mélinda, avec des draps propres et repassés. La vampire demanda à Cassandre ce qu’elle avait fait ce soir, et haussa les sourcils quand elle expliqua avoir joué à Mario Kart. Pour la vampire, ce genre d’occupations était tout simplement incompréhensible, la voluptueuse femme ayant bien du mal avec les pixels et les écrans... Puis Cassandre lui expliqua avoir rencontré Tim, et l’avoir masturbé.

« Oh, oui... Timmy ? Il adore ça... Surtout quand on le masturbe avec les pieds, en fait. C’est une chose que tu apprendras, ma chérie. »

Mélinda rejoignit ensuite le lit, et s’assit sur ce dernier, en tapotant une place vide à côté d’elle, pendant que Vanillia et Akira se positionnaient également.

« Ce soir, je dors avec ma famille... Et tu dors avec nous.
 -  C’est un moment privilégié pour toi, Cassandre... » sourit également Vanillia.

Le temps que Cassandre rejoigne le lit, elle reçut une série de caresses de la part d’Akira et de Vanillia, puis se retrouva à côté de sa Maîtresse, couchée sur le lit. Mélinda lui sourit tendrement, sa main venant caresser son visage, avant de l’embrasser tendrement.

« Est-ce que tu es contente d’être là, ma chérie ? De dormir avec ta Maîtresse ? »

Cassandre venait d’entrer dans la chambre. Bien sur, bien que Mélinda faisait tout pour rassurer la fameuse Ushi, il fallait quand même dire qu’elle eut un peu peur, au moment d’entrer véritablement dans la chambre... Elle savait qu’elle avait eu le droit de finir ce qu’elle devait faire, avant de devoir rejoindre sa précieuse maîtresse. Mais quand même ! De toute façon, c’était comme ça que marchait la plupart des peurs... C’était complètement absurde. Dans les faits, elle devrait littéralement s’en foutre, vu qu’elle savait que sa maîtresse, elle, n’y verrait aucun soucis... Mais bon, c’était quand même une peur...

« Coucou, Cassandre... J’espère que tu t’es bien amusée ce soir, ma petite chérie. »

« Oh oui maîtresse !! »

Heureusement, la peur pouvait s’envoler, surtout quand on avait une maîtresse aussi gentille. Si Cassandre n’avait pas tant peur de gêner, elle aurait raconter tout ce qu’elle aurait fait, dans les moindres détails... Mais elle se contenta, heureusement peut-être, de simplement expliquer rapidement deux trois choses, dont le fait qu’elle avait taillé une pipe à Timmy. Melinda, montrant encore aux yeux de Cassandre a quel point elle était une bonne maîtresse, montra qu’elle connaissait le jeune homme, en expliquant non seulement qu’elle le connaissait, mais aussi qu’elle savait qu’il appréciait fortement les masturbations, particulièrement avec les pieds... Cassandre se demandait comment on faisait, mais elle n’avait de doute sur le fait qu’elle allait très certainement vite apprendre... Après tout, on apprenait vite tout cela,

« Ce soir, je dors avec ma famille... Et tu dors avec nous.
 -  C’est un moment privilégié pour toi, Cassandre... » 

Cassandre alors s’installa, en approuvant d’un hochement de tête. Elle eut alors très rapidement des questions qui lui furent posée, devant son petit silence.

« Est-ce que tu es contente d’être là, ma chérie ? De dormir avec ta Maîtresse ? »

« Je suis si heureuse maîtresse ! »

Cassandre déclara cela, sans la moindre hésitation... Cassandre n’était pas une Ushi très exigeante, ce qui, il faut bien l’avouer, était l’un des gros avantage de l’Ushi, quand on décidait de l’acheter. Pourquoi cela, me diriez-vous ? Et bien... Il ne fallait pas lui demander grand chose pour qu’elle soit heureuse. De la nourriture, un lieu où dormir, et surtout, la traire régulièrement, et elle devenait tout de suite extrêmement satisfaite de ce qu’on lui faisait subir. Même si on la trayait 24h/24, 7/7 ; et bien... Si on lui donnait à manger, et qu’on la protégeait, elle s’estimait heureuse... Cela faisait qu’il était parfois difficile, il faut bien le dire, de savoir si cela était vraiment si... Si important que cela, de l’entendre dire qu’elle était heureuse... Est-ce que cela avait de la valeur, véritablement... C’était une bonne question...

« Vous êtes si belle, si gentille, si douce, si parfaite ! »

Et avec cela, la question se dissipe alors entièrement. En effet, alors qu’on pouvait se demander si Cassandre ne disait pas qu’elle était tout le temps heureuse -sauf quand elle se faisait ouvertement maltraitée, elle était légèrement masochiste, mais pas non plus complètement, il faut bien l’avouer... Bref, elle ne disait pas tout le temps autant de compliment à ses maîtres et maîtresses... Pour tout dire, il était même rare qu’elle soit aussi élogieuse envers un maître ou une maîtresse... Non, franchement, ce n’était pas courant, et cela voulait dire bien souvent, une seule et unique chose... Qu’elle était très bien ici. Etant donné que la fameuse Cassandre, autant le dire, n’était pas suffisament intelligente pour savoir faire véritablement de la lèche. Ouais, c’était stupide, mais c’était comme ça qu’elle était...

« Je suis l’Ushi la plus heureuse du monde ! Je ferai tout pour vous, maîtresse ! »

Elle s’installa proche de sa maîtresse, et offrit alors ses seins, à celle des trois qui voulaient... Cassandre savait qu’elle ne pouvait faire grand chose de plus, mais elle comptait bien être, au moins, à la hauteur de ce qu’elle savait faire... C’était à dire, donner ses seins. Après tout, elle aimait une chose : se faire têter. Les gens appréciaient avant tout une chose, chez elle, et c’était... Ses seins... Donc, CQFD, les deux allaient bien ensemble. N’est-ce pas ? Bref, en tout cas, la fameuse vachette se demandait bien alors ce qu’allait faire les femmes. Elles s’offraient à ses trois maîtresses et celle-ci pouvait faire ce qu’elles voulaient. Sans doute allaient-elles en profiter... Je veux dire, ce n’est pas tout les jours qu’une charmante vachette s’offrait comme ça. Qu’allaient faire les femmes ? Et bien, j’ai ma petite idée...

Cassandre ne tarit pas d’éloges sur sa Maîtresse, et avoua ça avec une telle spontanéité que les filles ne purent que brièvement glousser. Mélinda sourit, amusée. Bien sûr, elle aurait pu prendre ça pour de la flatterie, mais elle savait que Cassandre était sincère. La petite Ushi s’exprimait tout simplement, avouant ce qu’elle pensait, et rejoignit ensuite le lit, où elle présenta sa généreuse poitrine aux trois beautés vampiriques.

« Oh...
 -  C’est vrai que les Ushis produisent naturellement beaucoup de lait... »

Tout en parlant, Vanillia pinça, du bout des doigts, l’un des tétons de l’Ushi. Immédiatement, du lait se mit à fuser, éclaboussant les doigts gantés de la femme, qui sourit, avant de suçoter ses doigts.

« Et elles en recrachent aussi beaucoup... Vu comment ses tétons sont tendus, notre petite vache doit avoir très envie qu’on daigne soulager à nouveau sa poitrine...
 -  Il n’y a pas que ça dont elle veut être soulagée », nota Akira.

Le sang de l’Ushi battait dans ses veines, témoignant de son état d’excitation, tout en, cependant, se concentrant autour de son sexe, de sorte qu’il était difficile de se méprendre. Deux seins, un sexe... La configuration n’était-elle pas idéale ? Les Warren n’eurent qu’à se regarder. Akira, quand elle était devenue une vampire, avait été très hostile envers sa mère. Mélinda l’avait transformé en vampire après l’avoir séquestré et violé, et, pour ne rien arranger, Akira était la fille d’un chasseur de vampires. Peu à peu, la jeune fille avait néanmoins su accepter son héritage, et goûter également au fruit défendu. Elle était maintenant aussi attirée envers le sexe que sa mère, ce qui était, bien entendu, tout à fait au goût de cette dernière.

Ayant déjà goûté à l’Ushi, Mélinda fit signe à sa femme et à sa fille de s’approcher. Elles couchèrent Cassandre sur le dos, au milieu du lit, sa tête se posant sur un agréable oreiller, à l’emplacement où, plus tard, Mélinda dormirait.

« Couche-toi bien, Cassandre... Et n’oublie pas de meugler bien fort, surtout, ma chérie ! »

Vanillia s’approcha alors de l’un de ses seins, et retourna le prendre en bouche, rapidement rejointe en ce sens par Akira, qui s’y attaqua également. Le corps de l’Ushi se mit naturellement à remuer sur le lit, tandis que le lait fusait dans la gorge des deux vampires. Mélinda, de son côté, était assise sur les genoux, et caressait avec ses mains les hanches de Cassandre. Bien sûr, elle aurait pu la pénétrer, mais, au lieu de ça, elle préféra se pencher vers la femme, et déposa une série de baisers sur son estomac.

Le corps de Cassandre était tout chaud, bouillonnant sous le contact des deux femmes occupées à la pomper de son lait. Mélinda, elle, alla rapidement à la cible privilégiée, le pubis de sa beauté, et fourra sa langue en elle... Puis commença à remuer dessus, enfonçant son appendice lingual dans cette délicieuse cavité humide, et lécha vigoureusement.

« Hmmmm... »

Qui oserait prétendre qu’elle ne s’occupait pas bien de sa petite Ushi ?

Bien installée aux côté de ses maîtresses, beaucoup d’émotions se mélangeaient dans la jeune vachette, qui était véritablement un peu tout à la fois… Elle était bien entendu, et avant tout, joyeuse. Sa situation était excellente, elle était confortablement installée dans le lit aux côté de ses maîtresses, elle était bien heureuse ! Mais il y avait aussi un peu de peur, étant donné qu’elle craignait véritablement de faire une erreur, une faute qui amènerait outre une punition, surtout, un manque de respect envers sa si gentille maîtresse… Et franchement, elle ne voudrait pas ! Cela ne serait pas bien ! Et à ses deux grandes émotions fortes, se rajoutaient des dizaines d’autres petites émotions, de l’excitation, de l’impatience, entre autres… Ainsi, elle fut tout d’un coup pincée au niveau du téton. Nullement de le méchanceté, seul un petit gémissement, autant de plaisir que de surprise, sortit de sa bouche.

« Oh...
 -  C’est vrai que les Ushis produisent naturellement beaucoup de lait... »

Elle fit oui de la tête. En effet, les Ushi étaient connus pour donner beaucoup de lait… Et en effet, en plus, Cassandre était une grosse productrice ! Elle pouvait même être considéré comme problématique, car… Bah, en toute logique, on devine que bien souvent, trop de lait… et bien, on sait pas quoi en faire ! Donc, parfois, prendre une Ushi de la trempe de notre chère Cassandre n’était pas spécialement une bonne idée, car cela revenait comme trop cher d’entretien… Oui, cela pouvait paraître assez atroce de penser comme cela, mais il fallait bien se dire que les vachettes étaient parfois vu comme de simple machine à lait vivante, donc, il falait réfléchir, en les achetant, en terme de rendement, et de production, en terme d’offre et de demande. Bien sur, tout cela, Cassandre n’était pas assez intelligente pour y penser, mais cela faisait parti quand même des choses à prendre en considération !

« Et elles en recrachent aussi beaucoup... Vu comment ses tétons sont tendus, notre petite vache doit avoir très envie qu’on daigne soulever à nouveau sa poitrine...
 -  Il n’y a pas que ça dont elle veut être soulagée »

« Meuh... »

En effet, elle était pas contre du tout l’idée de se faire un peu traire… Elle estimait qu’elle en avait bien besoin, après cette journée ! Après tout, une bonne traite, c’était toujours quelques chose qui faisait du bien aux Ushi ! Ainsi, elle fut installée bien sur le lit, allongée, et elle allait être au centre de toutes les attentions, aussi bien des deux femmes que de la fille… Voulait-elle être soulagée de partout ? Oui ! Sans aucune hésitation, la vachette avait très très envie qu’on s’occuper… Bien d’elle, disons. Et quand je dis, qu’on s’occupe bien d’elle… Vous voyez ce que je veux dire ! Ainsi, sans aucun doute, la vachette allait connaître une nuit très agréable, et pour cela… Elle ne pouvait que remercier d’avance ses trois compagnons de lits. D’ailleurs, elle put ainsi entendre les premières consignes, de cette nuitée qui s’annonçait agiter.

« Couche-toi bien, Cassandre... Et n’oublie pas de meugler bien fort, surtout, ma chérie ! »

« Je n’hésiterai pas… ! »

C’est alors que tout commença vraiment ! Cassandre allait être servi, cela, je vous l’assure. Comment cela, servie ? Et bien, littéralement, servie sur un beau drap, pour ses trois compagnes du moment… En effet, comme dit précédemment, laf amesue Cassandre allait être littéralement au centre des attentions. Et là, je vous dis, bien, le littéralement, il faut le prendre de manière littérale… En effet, alors que la vachette était allongée, et s’offrait toute entière, seins en avant, -c’était quand même ça principale caractéristique, il ne faut pas l’oublier… Deux des trois décidèrent de se laisser à aller à ses deux mamelles pleines de lait. C’était compréhensible, il fallait bien se dire qu’elles étaient tentantes ! Ainsi, Vanilla et Akira commencèrent toutes deux à têter la vachette, qui en meuglait de plaisir… Mais le mieux, le plus important, était encore à venir, étant donné qu’en bas… Il y avait…

« Hmmmm... »

« Meuh… Ah… Meuh... »

Que se passait-il en bas ? Et bien… Cassandre avait le droit  à un véritable honneur, que sans doute peu de vachettes avaient eu le droit. Elle avait le droit littéralement, je ne plaisante pas, à un véritable cunnilingus, un de ces plaisirs saphiques les plus importants, offert par sa maîtresse et personne d’autre, une véritable jouissance. Pour la vachette, c’était l’une de ses premières fois, donc, évidemment, elle était très sensible, et meuglait de plaisir. Mais elle se sentait un peu coupable de recevoir, sans rien offrir, oubliant qu’elle offrait quand même son lait, même si elle recevait du plaisir grâce au tétons… Bref, la vachette décida qu’il était temps de demander, gentiment, et offrant un nouveau service !

« Si je peux faire plaisir à l’une d’entre vous… Qu’elle n’hésite pas… Meuh... »

Elle mentionnait bien évidemment sa bouche… Je rappelle qu’elle avait adoré la fellation, donc, il serait plutôt logique qu’en effet, elle ait envie de continuer à user de sa bouche. Mais s’il y avait un côté proche du fait qu’elle avait envie de le faire, il fallait bien comprendre qu’elle le proposait avant tout, comme un cadeau. Elle voulait vraiment offrir du plaisir, à ses dames qui étaient si présente, et si là pour elle… On allait bien voir ce que cela allait donner. Après tout, la vachette était quand même présente pour donner du plaisir. Elle comptait bien s’y activer !

Cassandre avait le corps bien pris par les trois femmes qui s’occupaient d’elle. Akira sur un sein, Vanillia sur l’autre, et le meilleur pour Mélinda, qui léchait l’intimité de la femme. Sa langue se glissait en elle, titillant sa cavité intime, ce délicieux trou. Ses mains se posèrent sur les fesses de l’Ushi, en appui, et elle continua à la lécher, tout en soupirant de plaisir. Yeux clos, elle frottait son nez contre la peau de l’Ushi, et sentait sa mouille se déverser contre sa langue. Il n’y avait, de ce fait, personne pour remplir la bouche de l’Ushi, vu que les trois femmes étaient déjà occupées. Alors, elles se contentaient de l’entendre gémir, et pousser des meuglements particulièrement mignons.

Le spectacle était en réalité très attendrissant,  et Akira et Vanillia se régalaient. Le délicieux lait de l’Ushi était aussi magnifique que ce à quoi elles avaient pu s’attendre. Ce bon lait filait dans leurs gorges, les nourrissant et les excitant. Cassandre produisait en effet beaucoup de lait, et, à terme, Mélinda lui imposerait sûrement des heures de traite obligatoire, afin d’éviter que ses mamelles ne soient distendues par une trop forte accumulation de lait. Mais, pour l’heure, seul comptait ce qu’elle faisait, à savoir ses coups de langue.

Douée de sa bouche, Mélinda faisait rouler sa langue dans la cavité intime de la femme, titillant son clitoris, le léchant à plusieurs reprises.

« Hmmmm... Mmhhmm... »

Yeux clos, Mélinda se concentrait exclusivement à sa tâche, crispant toutefois ses doigts sur la chair moelleuse du petit cul de Cassandre. Tout était fait, en réalité, pour l’exciter au mieux. Les minutes continuaient à défiler, et le trio continuait à s’occuper avec amour et attention du corps de Cassandre. La main de Vanillia caressait et grattait le ventre de l’Ushi, rejointe en ce sens par celle d’Akira. Elles veillaient ainsi au bonheur de l’Ushi.

Pendant plusieurs minutes, le corps de Cassandre fut ainsi l’objet de l’assaut buccal des trois femmes, jusqu’à ce qu’Akira ne finisse par se redresser. Elle avait encore du lait plein la bouche, et se dépêcha d’aller embrasser Cassandre, répandant le lait qu’elle avait bu dans la bouche de Cassandre, pour un baiser très intense et très mielleux.

« Hmmmm... !! »

Oh oui, tout était vraiment fait pour offrir à la petite Ushi le meilleur traitement possible. Dans ce domaine, ses trois amantes étaient de redoutables partenaires. Akira l’embrassait langoureusement, sans pour autant délester son sein, qu’elle pinçait avec ses doigts. Vanillia avait également fini de boire le lait de l’Ushi, et se redressa alors. Sa main gantée caressa les cheveux d’Akira, qui rompit le baiser, tandis que Vanillia se glissait dans le dos de Cassandre, s’asseyant sur ses cuisses, genoux repliés sous son corps. Ses mains caressèrent la tête de la belle femme, puis elle approcha son bassin, ce qui permit à Cassandre de sentir, contre sa tête, une belle barre de chair.

« Tu as aimé quand Mélinda a fourré sa queue dans ta bouche, non ? Alors... Ouvre bien les lèvres ! »

Vanillia était aussi une hermaphrodite, et boire tout ce lait l’avait considérablement excité. Elle avait donc libéré son sexe de sa culotte, et l’approchait maintenant de la bouche de Cassandre, pendant que Mélinda, imperturbable, continuait son cunnilingus. Elle le lui avait dit. Ici, au harem, le sexe était central.

Cassandre en avait la démonstration concrète.

Que dire de plus ? A part qu’elle était au paradis ? Et bien, beaucoup de choses ! En effet, la vachette était complètement au centre des occupations, et cela ne la dérangeait absolument pas, il faut bien dire. Au contraire, elle semblait particulièrement apprécié à être au centre des préoccupations. Oui, il fallait bien le dire, notre fameuse vachette avait tendance à un peu vouloir régulièrement qu’on se concentre sur une seule et unique chose : elle-même. Mais c’était pas de l’égocentrisme, ou du narcissisme... Non, c’était juste qu’elle était contente que ses si gentilles femmes étaient là, pour elle, rien que pour elle. Elle était contente d’être à la hauteur, et que ses si gentilles maîtresses aient, envie, comme ça, de s’occuper d’elle. C’était un immense honneur, et elle se devait d’être à la hauteur !

Mais pour le moment, elle n’avait rien à faire... En effet, les trois femmes étaient toutes sur Cassandre, et chacune profitaient de la vachette. Comme toujours, il fallait bien se dire que c’était à ça que la vachette se débrouillait le mieux : offrir son corps. Elle n’était pas une bonne amante, véritablement, et était, autant le dire de suite, une catastrophe en dominante, où en donneuse de plaisir. Elle n’était pas du genre à pouvoir vraiment réussir, en dominante, où même ne serait-ce qu’avec un pénis, si on l’imaginait en futanari. Par contre, à offrir ses gros seins, à sucer des queue, ou bien à offrir son vagin, pour une langue ou pour un pénis... Et bien, on pouvait dire que là, elle savait y faire... D’ailleurs, cela continuait. Seins, vagin... Cassandre continuait de s’offrir, offrant plaisir... Et en recevant, bien sur !

« Hmmmm... !! »

Finalement, l’une des deux maîtresse, décida de profiter un peu ce qui était plus haut que cette paire de sein imposante. Qui ça ? Et bien, c’était Akira, qui la bouche encore pleine de lait, avait arrêté de boire le lait, et avait finalement décidé d’offrir un bon gros baiser sur les lèvres de la fameuse Ushi... Celle-ci apprécia tout particulièrement, appréciant tout particulièrement le fait qu’elle avait le droit à un baiser, un vrai. Elle en avait eu de nombreux, depuis qu’elle était venue ici, mais il fallait bien dire que ce baiser, lui, était légèrement différent. Bien loin d’un petit baiser volage, c’était un vrai baiser, là. Le baiser n’était pas la seule chose à faire remarquer, néanmoins. En effet, alors qu’elle embrassaient la fameuse Akira, une autre personne, elle, usait de ses mains pour offrir du plaisir à la vachette, montrer qu’elle était là, avant, qu’une fois le baiser fut rompu, offrir une proposition à la vachette.

« Tu as aimé quand Mélinda a fourré sa queue dans ta bouche, non ? Alors... Ouvre bien les lèvres ! »

« Oui maîtresse ! Aaaaaaaaah ! »

Cassandre ouvrit grand la bouche. Ce que Vanilla déclara, on ne pouvait pas mieux le dire : en effet,  Cassandre avait adoré sucer la queue de sa maîtresse. Elle n’avait jamais sucé auparavant, mais elle adorait cette sensation d’avoir la bouche contrôlé par autrui, de rien pouvoir faire, à part sucer, d’être imposée à avoir la queue en bouche, jusqu’à avoir une importante quantitée de foutre qui vienne remplir sa bouche... C’était un plaisir qu’elle venait de découvrir. Elle fut très heureuse, ainsi, quand elle offrit sa bouche grande ouverte, à la voir, à son tour, se faire remplir, pour qu’elle puisse l’avoir bien en bouche. Comme Mélinda, l’engin de fameuse femme était tout à fait de taille impressionnante, et la fameuse Cassandre devait bien se mettre pour pouvoir avoir le plus de l’engin possible.

« Mmh... »

Elle commença à sucer alors... Mais ce ne fut pas la seule chose qui arriva. En effet, si cela faisait quelques temps que l’on se concentre sur le haut du corps de la vachette... Et bien, il se passait des choses en bas ! En effet, alors qu’elle était entrain de sucer, et bien, elle se faisait toujours lécher, elle aussi... En effet, Mélinda se débrouillait divinement bien avec son cunnilingus... Donc, il fallait bien le dire : elle était sur le point d’offrir un magnifique orgasme à la vachette... En effet, alors qu’elle léchait toujours, tranquillement, finalement, l’orgasme arrive, la poussant à sucer profondément, prenant en gorge profonde le fameux phallus, ce qu’elle... Adora encore plus. Elle adora être utilisée comme ça, et projeta pas mal de cyprine. Elle était au paradis, et les fameuses maîtresses pouvaient voir qu’elles avaient sous leur possession une très belle soumise... Cela allait être intéressant.

L’Ushi allait vite aimer le sexe. Ici, au harem, le sexe était en effet une valeur matrice, un pilier central et fondamental, au centre de toute chose. Et, avec une si belle Ushi, il allait de soi que son corps allait beaucoup servir. Vanillia avait ainsi fini par sortir son phallus, très excitée par tout ce lait qu’elle avait bu. Ah, ça, la petite Ushi pouvait bien s’estimer chanceuse ! Elle allait dormir avec trois vampires en même temps, trois Warren ! À tel point qu’on pouvait se demander si elle allait vraiment dormir, en fait... En tout cas, Vanillia avait posé ses mains sur le cou de Cassandre, et facilitait ainsi sa position, la tête repliée en arrière, Vanillia remuant à l’aide ses genoux sur le lit, pour coulisser en elle, tapant contre sa gorge, sa verge posée sur le visage de la femme, ses testicules heurtant ses yeux.

« Hmmmm.... Haaaa... J’adore... J’adore, c’est vraiment... Une superbe U-Ushi ! »

Qui irait nier cette assertion qui venait du fond du cœur ? Mélinda ne pouvait pas lui répondre, ayant la bouche pleine, mais souriait. Vanillia lui avait offert ce cadeau, et il était bien normal que sa petite femme vienne en profiter. Mélinda était toujours très partageuse avec ses cadeaux, et continuait à lécher son tendre sexe. La mouille filait dans sa gorge, et, même si ce n’était pas aussi bon que le sang, Mélinda appréciait beaucoup ce goût sucré.

Elle léchait donc avec appétit ce sexe, jusqu’à sentir la petite Ushi approcher de l’orgasme. Dans un grand soupir, Cassandre se dandina sur place, meuglant silencieusement, et jouit contre les lèvres de la vampire, le corps de la femme atteignant le point de plaisir suprême.

« Mmmhmmm... »

Mélinda sentit la cyprine de Cassandre éclater contre son visage, puis, en souriant, se redressa. Elle conserva ses mains sur les hanches de la femme, puis se rapprocha de Vanillia, et alla l’embrasser. Elle serra sa main contre ses cheveux, s’installant à hauteur de la poitrine de l’Ushi, tout en veillant à ne pas trop l’écraser. En effet, Akira, de son côté, n’était pas en reste, et avait également choisi de faire sortir son sexe masculin. Elle remplaça Mélinda, et, très excitée par le sang de l’Ushi, s’empressa de la pénétrer, enfonçant sa verge en elle, en tirant sur le corps de l’Ushi, de sorte que ses jambes se retrouvèrent hors du lit, permettant à Akira, tout en étant debout, contre le lit, de la fourrer. Son membre s’enfonça en elle d’un coup sec, et elle se mit à gémir.

Avec ces trois femmes sur elle, Cassandre était au cœur de tout, pendant que Mélinda et Vanillia s’embrassaient langoureusement. Un baiser qui témoignait, non seulement toute leur perversion, mais aussi tout leur amour mutuel.

Être prise par trois Warren... Tous les serviteurs ne pouvaient sans doute se vanter d’un tel exploit ! Heureusement que la vachette était du genre à ne pas comprendre quand on décidait de se vanter, car sinon, elle le ferait allégrement. Heureusement, elle était très modeste -sauf sur la qualité de son lait, étant donné qu’elle faisait le meilleur lait de tout les temps, cela, il faut bien le comprendre, étant donné que si la vachette était bien fière d’une chose, c’était avant tout de son lait. Mais là, ce n’était point son lait qui intéressait. Celui-ci avait déjà eu le droit auparavant à sa petite heure de gloire, on l’avait bien vu. Maintenant, c’était autre chose qui avait tout l’intérêt de la fameuse... Non, des fameuses maîtresses... Chacune faisait son travail, et s’occupait de la vachette, en y prenant le plus de plaisir possible.

Comme nous avions vu précédemment, la fameuse Melinda avait bien profité de l’intimité de notre vachette... Après avoir bien léché, bien sucé, etc... Melinda avait finalement reçu le fruit de la jouissance, de notre chère Ushi, qui était donc arrivé directement dans sa bouche... Akira, elle, avait eu le droit à un baiser avec l’ushi, tout à l’heure... Et finalement, ce fut Vanilla qui décida de prendre un peu son tour sur la vachette. Celle-ci, en effet, décida de s’offrir la bouche que notre Ushi tenait grande ouverte. Ni une, ni deux, la bouche fut alors remplis du beau phallus, qui commença à prendre sa place, prendre ses aises, au niveau de la bouche de la fameuse vachette, se faisait bien plaisir. Elle en posa même jusqu’au testicules sur les yeux de la vachette, qui l’acceptait sans aucun soucis.

« Hmmmm.... Haaaa... J’adore... J’adore, c’est vraiment... Une superbe U-Ushi ! »

« Mmmh ! »

Et la vachette, ainsi, prenait son pied. Très vite, sa gorge se rhabitua au fait d’avoir ce fameux phallus en bouche... Appréciant même particulièrement cela. Visiblement, il fallait bien le dire, le phallus avait bien sa place, ici, et elle en profitait particulièrement. Elle suçait, elle aspirait... Elle faisait de son mieux, pour satisfaire Vanilla. Ne pouvait voir, à cause des testicules de la vampire, elle eut la très bonne surprise qu’une fois la langue partie, la fille adoptive de celle qui avait léché la vachette, décida de s’occuper aussi de l’intimité de l’Ushi. Alors que tout était libre, elle enfonça son sexe dans l’intimité de l’ushi, qui offrit un grand meugissement, entre le gémissement et le meuglement... C’est alors que s’installa, au niveau des seins de l’Ushi, la fameuse Melinda Warren, qui elle pour le moment, laissait tranquille la vachette. 

Ainsi, maintenant, Cassandre était complètement en position de soumission. Elle ne pouvait rien faire, elle était utilisée, elle était un cadre pour des amours entre femmes, entre Akira, Melinda, et Vanilla... Quel contexte magnifique ? Et il faut bien se dire que la fameuse Cassandre se trouvait tout à fait à sa place. Elle était particulièrement heureuse de son sort, d’être ainsi, utilisée... Car elle pouvait en profiter, et même, elle en profitait le plus. Bien que l’amour, on le sentait, était de suite visible dans le fameux baiser entre Vanilla et Melinda, elle était le jouet de la soirée, l’héroïne de l’eros... Baiser, d’ailleurs, qui pourrait sembler normal, mais qui était dans un eros absolument splendide. Ce n’était pas qu’un simple baiser, mais le baiser qui illustrait le plus la beauté de l’amour entre les deux êtres.

« Mmh... Mmh... Mmh... »

Si la vachette n’avait pas ce magnifique phallus dans la bouche... Elle serait très malheureuse. Mais ce n’est pas ça que je veux dire. Ce que je veux dire, c’est que si elle ne l’avait pas, il faut bien imaginer qu’elle serait entrain de meugler de plaisir. Prise des deux côtés, la vachette était en véritable extase. Et un puissant extase, un extase de bonheur, absolument intense, et heureux... La fameuse vachette ne savait pas quoi dire, ni quoi faire véritablement, à part profiter du bonheur. Et ne t’inquiète pas Cassandre ! Tu n’avais pas besoin de te casser la tête. Ce qu’on te demande, vu la situation, c’était justement d’en profiter. Elle était au centre de ses amours, et les amours étaient bien présent. C’était des jours heureux, pour elle, et elle comptait bien en profiter le maximum ! Elle avait bien raison. Il fallait en profiter !
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Chanceuse, Cassandre l’était, en effet. Pour sa première soirée, elle avait droit à un traitement de luxe, les trois Warren s’occupant d’elle. Couchée sur le lit, elle était prise d’assaut par leurs verges. Il ne faisait aucun doute que cette nuit n’aurait rien de normale pour l’Ushi, qui allait en passer la majeure partie à faire l’amour longuement. Vanillia enfonçait sa queue dans sa bouche, remuant d’avant en arrière, en s’appuyant sur ses cuisses. Le visage de l’Ushi disparaissait sous les cuisses de Vanillia, et Akira, de son côté, la prenait avec passion. Son membre était bien dur, et c’était une chose qu’elle adorait, maintenant. À la base, elle avait eu en horreur toutes ces femmes hermaphrodites, et, peu à peu, comme pour le reste, Akira avait fini par y succomber.

La belle Ushi était coincée sous ces femmes, et, si Mélinda s’était juste installée, elle comptait bien agir encore. Il ne fallait pas croire qu’elle allait se retenir à un simple cunnilingus ! Mélinda avait également fait sortir sa verge, de sorte que l’Ushi avait, désormais, trois Futanaris rien que pour elle ! La vampire se pinça les lèvres, et se déplaça encore un peu.

« Ne t’inquiète pas, Cassandre, nous allons bien nous occuper de toi… Y compris de tes seins ! »

Surtout de ses seins, en fait ! Après tout, personne ne s’en occupait encore, et Mélinda avait, elle, son idée. Elle se rapprocha de la femme, frottant son corps contre le sien, et glissa son phallus entre ses seins. Cassandre avait une poitrine tellement généreuse qu’il était temps de passer aux choses sérieuses… À savoir une cravate de notaire. Elle posa ses mains sur les tétons de Cassandre, les pinçant délicatement, et commença à les remuer d’avant en arrière. Elle sentit la délicieuse masse de chair de Cassandre.

Mélinda crispa ses doigts sur ses seins, se pinça ses lèvres, et remonta sur ses tétons, puis remua ses seins encore, tout en se déplaçant d’avant en arrière. Sa queue remuait contre la poitrine de la femme, et Mélinda soupirait de plaisir, face à Vanillia. Les deux femmes souriaient ensemble, croisant leurs regards, tout en continuant à prendre Cassandre. L’Ushi se tortillait sous elles, et Mélinda sourit encore.

« Elle… Elle est magnifique, haaaa…
 -  Oui… Tu as vraiment fait un choix superbe, mon amour ! »

Les tétons de Cassandre crachèrent à nouveau du lait, qui éclata sur le ventre de Mélinda. Elle pinçait en effet assez fortement ses tétons, tout en remuant les seins de l’Ushi de droite à gauche. Sa queue se déplaçait d’avant en arrière, le bout de sa verge heurtant le menton de la femme. Elle continuait ainsi à jouer.

Au bout de plusieurs minutes, Vanillia finit par jouir, et remplit la bouche de la femme, avant de libérer enfin son visage, ce qui permit à l’Ushi de voir sa Maîtresse à l’œuvre.

« Ah… Cassandre, tu es… Hmmm… Magnifique… ! »

La vampire se pinça les lèvres, et Vanillia, de son côté, s’allongea à son tour, dans le dos de Cassandre, et caressa avec sa main gantée son visage, en posant surtout son pouce sur ses lèvres.

« Prends ton temps, ma chérie, n’avale pas trop vite mon sperme… Remue-le bien dans ta bouche… »

Vanillia se mit à sourire à nouveau, et l’embrassa sur le front.

Oh oui, elle allait l’adorer !

L’amour de ses trois femmes étaient immenses. La fameuse Cassandre ne savait pas depuis combien de temps elles se connaissaient, depuis combien de temps ce trio s’était formé, mais elle pouvait ressentir que leur amours étaient quasi incassable. Dur pour elle d’imaginer ne serait-ce qu’une seconde que l’une des trois, avaient auparavant, été relativement… Oh, et bien, autant le dire, qu’elle avait été complètement contre ses deux vampires… Mais là, rien ne transparaissait de ce passé. Seul le futur comptait, étant donné que la fameuse Cassandre ne voyait que ce qui était entrain de se passer...

« Ne t’inquiète pas, Cassandre, nous allons bien nous occuper de toi… Y compris de tes seins ! »

Alors qu’elle était ainsi pénétrée, aussi bien dans la bouche que dans le vagin, la fameuse Cassandre put sentir que c’était à son tour de ses gros seins d’être occupés. Cela était relativement logique. Comme dit régulièrement auparavant… Les Ushi avaient surtout le plaisir au niveau de leurs seins. C’était leurs seins qui étaient la plus immense sources de plaisirs chez elle. En même temps, c’était constamment leurs seins qui étaient utilisés ! Donc, en toute logique… Les Ushi avaient longtemps été développés pour que leurs seins leur apportent le plus de plaisir possible ! Et oui, fallait penser rentabilité ! Une vachette heureuse, était une vachette qui donnait plus de lait. Comme toujours, il ne faut pas penser que c’était le cas pour faire plaisir aux Ushi ! Non bien sur que non ! C’était des raisons purement économique.

« Elle… Elle est magnifique, haaaa…
 -  Oui… Tu as vraiment fait un choix superbe, mon amour ! »

« Mmmh… ! »

Ses seins, son sexe, sa bouche… Tout était pris, et avec un très grand plaisir… Cassandre redevait, et ainsi, aussi bien ses seins, sa bouche, que son anus… Et bien, elle pouvait avoir un grand plaisir… Elle espérait vraiment qu’elle rendait autant qu’elle donnait. Elle ne savait pas trop, mais elle était heureuse. Très heureuse. Et visiblement, ses interlocutrice l’étaient aussi. En effet, après un bon moment à sucer, la fameuse Cassandre, finalement, eu le droit à sa grande récompense… En effet, la fameuse femme arriva à jouir, remplissant efficacement la bouche de son interlocutrice.

« Ah… Cassandre, tu es… Hmmm… Magnifique… !
-Prends ton temps, ma chérie, n’avale pas trop vite mon sperme… Remue-le bien dans ta bouche… »

« Mmh... »

Elle en avait la bouche remplie… Alors qu’elle s’était apprêté à avaler directement, elle s’arrêta. Elle en avait déjà pris un peu, dans ça va, elle n’était pas spécialement frustrée. Elle pouvait en profiter, maintenant, sans avoir la tentation de pouvoir goûter ce merveilleux sperme. Il n’y avait pas de doute, elle adorait maintenant les fellations. Elle l’avait découvert, et en l’espace de quelques expériences, elle estimait déjà que c’était l’une des meilleurs choses qu’elle avait eu. En même temps, on le dira jamais assez, mais sa vie avait été assez barbante, auparavant. Donc, c’était relativement logique qu’elle cherche à s’amuser un peu plus, avec donc, d’autres choses à faire, de nouvelles expériences… Mais trèves de bavardages !

« C’est si bon maîtresse, je... »

Et si ! Encore plus de bavardages ! Mais c’est ça qu’on aime. Bref, en tout cas, la fameuse vachette profitait bien du foutre bien placée dans sa bouche. Faut dire… Cela serait un crime de ne pas en profiter… Comme elle avait dit à sa maîtresse, elle appréciait vraiment apprécier, et c’était un immense honneur que sa maîtresse ait accepté de lui offrir son sperme, comme ça, si goûteux et si bon… Elle était bien contente. Elle se disait qu’elle allait pouvoir en profiter un moment… Sauf qu’une bonne question vous tarode, j’en suis sûr… Pourquoi avait-elle arrêté sa phrase au beau milieu ? C’est une bonne question… Et bien tout simplement, car il ne fallait pas oublier qu’en plus de ses seins et de sa bouche, qui étaient traité avec beaucoup d’amour… Il y avait aussi en bas, qui se passait des choses et… J’ai comme une impression de déjà vu. Pas vous ?

« Aah ! MMMMH ! »

Et oui… Akira maniait magnifiquement bien son phallus. A telle point qu’il serait quasiment impossible pour Cassandre de ne serait-ce que deviner que cette femme avait à une époque détester de cotoyer des futanaris, tellement son engin était maintenant maîtriser à la perfection… Et ainsi, avec une telle perfection, elle eu rapidement la jouissance de connaître… Euh… Bah la jouissance. Bon, d’accord. Cette phrase était complètement nulle. Mais je fais des efforts ! Bref, en tout cas, sa jouissance fut forte. On pu voir alors pas mal de lait être projeté de ses seins, et un peu de sperme couler de sa bouche… Mon dieu, c’était une véritable extase… Elle était dans un grand état de plaisir, et on pouvait remercier les différentes actrices qui avaient permis cela. Mais que croyez vous… Ce n’était pas encore fini !

Akira avait été une élève beaucoup plus difficile que Cassandre. Elle était l’héritière d’un clan ancestral de chasseur de monstres et de vampires, et avait été éduquée en ce sens par son père.  Elle avait été transformée en vampire contre sa volonté, et, pendant des semaines, si ce n’est des mois, en avait voulu à sa nouvelle mère... Puis son père avait tenté de la tuer, ce qui avait permis de les rapprocher. Et, après, petit à petit, on se faisait plutôt bien à la présence de Mélinda, et on ne pouvait éternellement rester insensible à cette luxure ambiante. Le résultat final était maintenant visible, celui d’une famille unie, unie dans la lubricité, la perversion, le sexe, et, bien entendu, une forme d’amour irrémédiable et insubmersible. Coucher avec ce trio était un grand honneur pour Cassandre, et elle en profitait pleinement.

Vanillia venait de jouir dans sa bouche, et put voir que l’Ushi n’avala pas tout de suite, préférant sentir ce sperme contre sa langue. Le geste fit naturellement glousser Vanillia, qui lui caressa encore un peu le visage. Le sperme n’était pourtant pas un liquide particulièrement bon... Surtout si on le comparait au lait. Il était poisseux, gluant, collant, mais, visiblement, l’Ushi aimait beaucoup ce contact. Autant dire que ce n’était pas pour déranger Vanillia !

Pour l’heure, la femme de Mélinda, après avoir joui, observait sa femme agir. Mélinda était toujours aussi belle quand elle faisait l’amour comme ça... Là, assise à califourchon sur Cassandre, elle malmenait avec délice ses seins, pinçant furieusement ses tétons. Elle faisait preuve de toute son expertise, son gros phallus se perdant entre les généreux seins de l’Ushi, qui allaitaient considérablement.

« Oh oui... Cassandre, hmmm... »

Mélinda jouant avec ses seins, l’Ushi allaitait beaucoup, et d’épaisses quantités de lait venaient éclater sur le ventre de Mélinda, sur ses mains, son visage, tombant ensuite sur le lit, ou même sur le corps de Cassandre. Pour le dire plus simplement, l’Ushi en foutait partout, ce qui, bien entendu, ne dérangeait nullement la vampire. Et, bientôt, tout ce lait se retrouva accompagné des projections de sperme que la vampire se mit à pousser. Vanillia ne tarda pas à venir l’aider, en venant embrasser à nouveau femme, et en léchant ensuite son visage, venant recueillir le lait qui s’y trouvait.

« Hmmm... »

Les deux femmes s’embrassèrent langoureusement, puis Vanillia se glissa dans le dos de la vampire, et posa ses mains sur ses seins, venant, elle aussi, les pincer, tout en léchant son cou, pour y recueillir les traces de lait ayant atterri ici.

« Tu es toute trempée, ma chérie...
 -  Hmmmm... !! »

Vanillia alla achever sa femme en plantant ses crocs dans son cou. Mélinda gémit alors en fermant les yeux, et cria même quand sa femme commença à avaler son sang. Ce geste renforça l’excitation de la vampire, qui continua à pincer les seins de l’Ushi, jusqu’à se mettre à jouir.

Le sperme éclata entre les seins de l’Ushi, et remonta le long de son cou et de son visage, la vampire se dandinant d’avant en arrière. Elle soupira longuement, le corps en feu, tout en tentant de retrouver son calme... Ce qui fut d’autant plus difficile que l’une des mains de Vanillia se posa sur son sexe, et se mit à la masturber, continuant ainsi à entretenir les braises du feu qui consumait le corps de Mélinda.

« Haaaaa... »

Akira, de son côté, continuait à pénétrer l’Ushi, avant de finir, elle aussi, par atteindre le point suprême du plaisir, et de se répandre dans le corps de Cassandre.

Il y avait donc du sperme et du lait partout sur et dans le corps de la vachette !

C’était indécent. Cela, c’était -et de loin- le moins qu’on pouvait dire sur la situation. Pour un regard prude qui n’avait point sa place bien sur ! Pour Cassandre, c’était quand même l’une de ses premières fois... Et on pouvait dire qu’elle se débrouillait bien. De l’autre côté, c’était l’avantage des rôles de dominés, rôle qu’elle jouait ici à la perfection... En effet, notre fameuse vachette était visiblement destiné à un rôle de soumission ! Etait-ce étonnant ? Les Ushi étaient souvent plutôt soumise, et assez peu dominante. Sans doute car leur éducateurs évitaient de les rendre trop... Disons, Seme. Car si elle était trop seme, elle tombait vite dans l’envie d’être, au contraire, des dominants... Et là, risquait la tentative de désobéir carrément aux ordres. Et là, cela pouvait devenir catastrophique. Une Ushi qui n’était pas obéissante, il fallait soit la mater... Si c’était trop tard... Et bien, il ne restait plus qu’à l’abattre. Cela pouvait sembler cruel... Mais on pouvait pas prendre de risque.

« Tu es toute trempée, ma chérie...
 -  Hmmmm... !! »

C’était vrai ! Cela rajoutait au côté « indécent » cité précédemment, qui, il faut bien comprendre, était tout à fait normal dans le lieu. Mais c’est vrai que la vachette commençait à être intégralement trempée. Il y avait bien sur la première chose qu’on pouvait imaginer, vu la situation : vous avez deviné, je parle bien entendu du lait de la fameuse vachette, qui était évidemment, le plus important... Etant donné que notre vachette était quand même une grosse productrice. Il y avait aussi la mouille, la cyprine de la vachette... Elle avait joui, plusieurs fois, ce qui faisait que bien entendu, la cyprine avait eu le droit à beaucoup d’apparition, a bien tachée les draps de la fameuse maîtresse, et les maîtresses, elle-même. Enfin, il y avait, il faut aussi y penser... Le sperme. La vachette en avait avalé pas mal, mais c’était aussi pas mal retrouvée couverte... Et d’ailleurs... Ce n’était pas fini.

« Haaaaa... »

« Haaaa ! C’est si bon ! »

Après que cela ait été la vachette... Ce fut à Akira de jouir en la vachette... Mmh ! C’était si bon... Cassandre haletait. Elle n’avait jamais eu autant en si peu de temps, mais il fallait bien se dire qu’elle estimait qu’elle devait continuer. Après tout, elle voulait être à la hauteur, elle voulait être l’une des meilleurs esclaves de la fameuse Melinda Warren. Elle avait été un cadeau, elle se devait d’être un cadeau à la hauteur. Elle allait être une vachette incroyable, elle allait être la meilleure... Mais pour le moment, il fallait bien le dire, c’était surtout elle qui en profitait. Elle avait reçu tant de sperme, aussi bien dans la bouche que dans le vagin. Pour le moment, seul son anus n’avait pas encore été attaqué, au cours de ce passage au lit. Cela ne voulait pas dire que cela allait être toujours le cas... En effet, la vachette déclara :

« Oh, maîtresses... Vous êtes si bonnes... Si bonnes avec moi... »

Cela, c’était sûr. On l’a déjà dis plusieurs fois, donc, il était inutile de le répéter... Mais pour la vachette, il fallait bien comprendre que c’était incroyable ! Il faut bien se dire. Mais la vachette était en mode : « Ouaaaaaaaaaah » ! Elle aurait jamais pensé cela... Et donc, elle pensait qu’il fallait qu’elle soit à la hauteur. Elle déclara alors.

« Dites ce que vous voulez, et je le ferai... »

Elle déclara ça tranquillement. Sans doute que ses femmes ici présentes avaient d’autres idées en tête, mais l’un des soucis de la vachette, soucis qui était parfois une qualité, hein, comme toujours, il faut se rappeler que bien souvent, qualités et défauts sont des principes arbitraires, qui ne sont pas forcément les plus logiques, et bien... Et bien, notre vachette avait du mal à trouver une idée toute seule. Au contraire, il fallait bien souvent lui proposer de faire des choses pour qu’elle soit prête à le faire ! Et vous savez qu’elle était le meilleur ? Et bien, c’était très rare qu’elle refuse ! Comme quoi, elle était bien pratique, notre chère vachette.

La belle Cassandre était bien au-delà au bord du bonheur, elle flottait sur son petit nuage, vivant un véritable rêve éveillé. Mélinda, Vanillia, et Akira, venaient toutes les trois de jouir en elle, la remplissant donc. Étalée sur le lit, l’Ushi était cependant loin d’être fatiguée, ou d’avoir envie que ce spectacle ne se termine. C’était même tout l’inverse, et ça, les vampires pouvaient le sentir dans la manière dont son sang battait dans sa poitrine. Elle était encore fiévreuse, pleine d’énergie, d’envie, de désir... Tout ça s’avérait particulièrement excitant, et Mélinda se mordilla délicatement les lèvres.

« Oh, il mais il ne s’agit pas de ce que nous voulons, ma chérie... Tu as l’air très consentante avec tout ce que nous te faisons subir, en réalité.
 -  Est-ce bien surprenant ? C’est une vraie peluche... »

Vanillia se pencha vers elle, et l’embrassa sur les lèvres, la tête inversée par rapport à celle de l’Ushi. Allongée sur le lit, Cassandre avait effectivement de quoi être heureuse. La belle Ushi se dandinait sur place, et Vanillia se redressa, laissant Mélinda se lover contre le corps de la femme, l’embrassant à son tour.

« Mais il est temps de dormir, maintenant... Ton corps a beaucoup servi, Cassandre, et il servira encore demain, sois-en sûre... »

L’Ushi était endurante, c’était un fait indéniable, mais, pour autant, il valait mieux ne pas présumer de ses forces. La gourmandise de Cassandre pouvait aussi s’expliquer par le fait qu’elle avait passé un certain temps de transit, avant d’être finalement déballée par Mélinda. La vampire retourna l’embrasser, et Akira et Vanillia saisirent les mains de la belle Ushi, venant les poser sur les fesses de sa Maîtresse, pour qu’elle les presse, qu’elle appuie dessus, et qu’elle les malaxe bien. La langue de la vampire se glissait dans la bouche de la femme, roulant avec la sienne.

Ce baiser s’étala bien sur plusieurs minutes, pendant lesquelles Akira et Vanillia caressèrent tendrement le dos de Mélinda, à droite et à gauche du duo. Tout ce que l’Ushi avait à faire, c’était de répondre à ce baiser, et, bien entendu, de masser les fesses de sa Maîtresse comme il le fallait. Mélinda rompit finalement le baiser, et esquissa un léger sourire, avant de poser sa main sur son sexe, de se déplacer un peu.

« Ne t’inquiète pas... Je vais t’accompagner pendant ton sommeil... »

La verge de la vampire se glissa dans les lèvres intimes de la femme, doucement, puis la vampire enfouit sa tête contre le corps de la femme, en remuant plus lentement son corps.

« C’est comme ça que ma chérie aime dormir...
 -  Câline-là bien, engloutis-là sous un torrent d’affection... »

Pour autant, Mélinda ne dormait pas vraiment, car elle continuait à la pénétrer, optant pour un coït plus lent et plus doux, destiné à terminer cette folle journée... Dans la joie et le stupre !

Une peluche... Une vraie peluche... Melinda avait entièrement raison : oui, il n’y avait aucun doute. Cassandre était une peluche. Une peluche d’affection et de chair, toute rondouillarde. C’est vrai qu’il y avait de la chair chez la vachette, elle n’était pas squelettique, ce qui permettait de pouvoir en profiter encore plus. Bref, une excellente vachette sur ce point ! Elle donnait du lait, et on pouvait la caliner... Quoiqu’il en soit, évidemment, Cassandre était prête à continuer -bien qu’elle sentait un peu de fatigue, entre le transport, et tout le reste-, mais heureusement pour elle, elle allait pouvoir se reposer, étant donné que ses maîtresses étaient bien d’accord sur le fait qu’il était temps maintenant d’aller dormir.

« Mais il est temps de dormir, maintenant... Ton corps a beaucoup servi, Cassandre, et il servira encore demain, sois-en sûre... »

« Cela sera avec plaisir. »

Elle était contente, et... Bon sang je vais le dire combien de fois ? Oui, on avait compris ! Notre fameuse Cassandre était très contente de son destin ! Etait-ce étonnant d’une vachette qui était extrêmement soumise, et extrêmement utilisable comme une peluche, comme j’ai dis juste avant ? Je ne pense pas qu’on a besoin de le redire une dernière fois. Ce qu’on peut dire, cependant, c’est qu’elle se sentait prête, avec une énorme motivation, pour recommencer ses missions demain ! En temps que bonne vachette, elle allait être utilisée, traite, et aller aider, autant qu’elle pouvait ! C’était ça le vraie devoir d’une bonne vachette !

« Ne t’inquiète pas... Je vais t’accompagner pendant ton sommeil... »

« Aaah... »

Alors qu’elle pensait que cela était fini, elle fut de nouveau pénétrée. Mais contrairement aux pénétrations précédentes, celle-ci fut douce, tranquille. Prête à lui préparer une nuit confortable. Ce n’était plus les profonds vas et viens, quelques peu précédents. Non, maintenant, c’était tel un baiser pour lui souhaiter une bonne nuit. C’était doux et chaleureux, c’était affectueux, c’était tellement fait avec amour, que cela faisait frémir la vachette. Bref, elle était dans un bel état d’extase... Ce qui pouvait surprendre, après l’entrain de ce qui avait été fait tout juste précédemment... Mais cela avait une logique. En effet, c’était le fait que cela était fait avec douceur, qui changeait grandement, et qui la marquait profondément. Non qu’elle n’avait pas aimé ce qui avait été fait auparavant...

« C’est comme ça que ma chérie aime dormir...
 -  Câline-là bien, engloutis-là sous un torrent d’affection... »

« Oui... Faites le... »

Elle voulait se faire engloutir sous l’amour... Ce n’était pas merveilleux comme idée ? Bref, elle était bien heureuse de comment on la traitait. Elle gémissait docilement et doucement, sous les petits coups de reins de sa maîtresse, tandis que ses gros seins rebondissaient légèrement. Elle était toujours aussi charmante, dans sa grande innocence, et dans ses sourires radieux, qu’on pouvait comprendre l’affection qu’elle avait envie de recevoir, et qu’elle recevait. Elle était bien heureuse de pouvoir dormir ainsi, et que franchement... Si sa   maîtresse aimait dormir ainsi, et bien, et bien elle dormirait ainsi elle aussi ! C’était un moyen si agréable de dormir, qu’elle ne pouvait en être que contente.

« Ma chère maîtresse... »

Elle allait faire de si beaux rêves...

Akira et Vanillia étaient bien placées pour savoir comment Mélinda fonctionnait. Elles savaient ce que la vampire masquait, les grandes fragilités qui zébraient son cœur, et contre lesquelles elle ne pouvait pas lutter. Elles savaient que, si Mélinda aimait autant le sexe, ce n’était pas que par perversion, mais aussi parce que c’était un moyen, pour elle, de combler le grand manque d’amour dont elle avait souffert pendant l’enfance. Son père, devenu dément, l’avait haï, car, quand Mélinda était venue au monde, elle avait provoqué la mort de sa mère, très affaiblie, et qui n’avait pas pu supporter l’accouchement. Et sa mère, Elizabeth, était la seule chose qui avait permis à son père, Adam Warren, de ne pas sombrer définitivement dans la folie. Et, après la mort d’Elizabeth, Kate avait reporté toute sa haine et sa frustration sur sa fille. Mélinda n’avait pas vu la lumière du jour pendant ces quinze premières années, et avait vécu comme une misérable, dans des cachots, en étant régulièrement battue et humiliée. Un passé terrible, qui, même si elle s’en était arrachée en mourant, pour renaître ensuite sous une forme vampirique, continuait régulièrement à la hanter.

C’est aussi pour ça qu’elle ne dormait jamais seule. La nuit, les cauchemars revenaient l’assaillir, mais, quand elle dormait avec quelqu’un, elle se calmait, se détendait. En fait, quand Mélinda dormait, elle était comme un petit bébé qui se crispait contre le corps de sa mère, comme si, inconsciemment, elle redevenait ce bébé qui souffrait de n’avoir jamais eu un seul câlin. Cette grande fragilité, peu de gens au sein du clan la connaissaient.

Mélinda avait donc planté son chibre dans le corps de sa belle Ushi, et se lova contre elle, enfouissant sa tête contre ses seins, pendant que, à droite et à gauche, Vanillia et Akira la caressaient, grattant son dos, remontant le long de ses cheveux, et descendant jusqu’à ses belles fesses. Cassandre soupirait légèrement, encore excitée par le vit planté en elle, ses battements sanguins nerveux ne pouvant qu’accompagner sa Maîtresse. Vanillia se pencha alors vers Cassandre, et l’embrassa doucement.

« Oui, dors, belle Ushi... Ne t’inquiète pas, nous nous occuperons très bien de toi. Dors, et sache que ta Maîtresse te réveillera en te faisant l’amour... »

La meilleure manière de se réveiller, n’est-ce pas ? Bien sûr, Cassandre était excitée, mais son corps, qui s’était longtemps reposé, et dans des endroits bien moins confortables que ce grand lit douillet, ne pouvait pas lutter. Vanillia l’embrassa encore, et, peu à peu, Cassandre ferma les yeux, sans les rouvrir...

Plus tard

Le manoir ne dormait jamais vraiment. Ce qui était formidable là-dedans, c’est que Mélinda, en éduquant bien ses esclaves, en les dressant convenablement, avait réussi à se rendre autant dispensable qu’indispensable. Elle était comme une sorte d’âme centrale, au centre du manoir, mais en sachant que ce dernier pouvait fonctionner en pilotage automatique. Ainsi, tandis que l’aube se levait, et que les premiers rayons de soleil éclairaient le manoir, des pensionnaires se réveillaient déjà. Il y avait certes beaucoup de lycéennes et d’étudiantes, mais aussi des personnes adultes, esclaves de Mélinda depuis des années, ou tout simplement ramassées et formées comme telles, qui se préparaient à aller travailler.

Quant à Mélinda, comme d’habitude, matinale, elle commença à émerger, ce qu’elle fit en remuant dans le corps de son Ushi. L’esprit à moitié embrumé, elle avait néanmoins une bonne érection matinale, ce qui fit qu’elle commença, tout doucement, à pénétrer l’Ushi... Et, tout en le faisant, et comme, là encore, à son habitude, elle posa ses lèvres sur l’un des seins de Cassandre, et le téta...

Mais, par rapport à d’habitude, il y aurait quand même une petite différence... Car, cette fois, les lèvres de Mélinda accueillirent le délicieux lait de l’Ushi, ce qui eut pour effet, non seulement de l’aider à la réveiller, mais aussi de durcir sa queue, et de rendre ses mouvements plus amples et plus rapides.

De quoi garantir un réveil intense !