Akira arrivait des steppes avec une jeune femme dans ses bras, mais elle n'était pas blanche, mais violette foncé, elle n'était pas humaine donc, elle avait une queue et des oreilles diformes comme les terranides, mais c'en était pas une non plus, c'était une créature, une créature extremement belle.
Akira et Tooka avencerent dans la place du marché, désert durant cette fin de nuit, heureusement pour la jeune femme, c'est un esclave rare qui s'hazardait dans les bras du jeune homme, meme unique. Ils descnedirent la rue, Akira remontant légerement sa compagne qui s'allourdissait au fil des heures de marches, et arriverent devant un immence portail en fer forgée. Là la jeune femme mit pied a terre, en prenant soin de bien remettre sa capuche sur sa tete, histoire de ne pas attirer les convoitises de cette fraiche matinée.
Les portes s'ouvrirent dans un leger grincement, qui marqueit un petit besion de graissage et de huillage des gonds, et laissairent passer les 2 personnes avant de se refermer dans le meme bruit leger. Les marches vers le manoir famillial étaient en pente douce, ornée de sculpture de grands hommes, et d'arbrs taillé a la perfection. On pouvait voir les ombres des esclaves de la propriété, enfin plutot des salariés du domaine, s'activant aux taches qui sont les leures.
Une fois les 2 amoureux devant la porte, 2 immences collosses ouvrirent les portes, Akira s'inclina profondement devant ces 2 immences lycaons ayant juré protection a leur jeune maitre et bienfaiteur. L'interieur réstait cependant assez simple, aménagée en fonction des employé, ne montrant pas d'immence richesses, mais un nombre incalculable de petites alcoves ou logeait tout les affranchis du jeune marchand.
Voila meme si tu ne peux les voir, c'est ici que vivent tout les gens que j'ais tiré de la rue et des marché, c'est ma famille, dailleur pour améliorer leur confort j'ais fait entreprendre la construction d'une aile supplemantere pour les nouveaux arrivants.
une petite fille courait et criait dans les recoins de la piece principale, c'était comme une immence famille, plein de vie et probablement de tracas, mais c'était sa fierté
viens je t'enmenne a l'étage
une fois en haut l'atmosphere devint plus calme, ils étaient dans les quartiers privées du *maitre*, seule partie de la maison qu'il gardait pour lui. Les 2 jeunes gens entrerent dans une piece ovale, avec une cheminée en face de la porte et un poignet de femme sur le rebort du fauteuil
Qui es tu? c'est une zone privée la, je l'ai deja répété une bonne centaine de fois....
Apparament voir des femmes dans cette partie de la batisse éait assez bannalle, la plupart du temps c'était des esclaves tres soumises qui venait offri leur corps en paiment de la clemance de leur maitre, meme si pour lui c'était une pure dégradation de leur condition d'etre libre.
Allez sort, va t'amuser, faire tes taches menageres ou je sais pas moi...
il était un peut perdue vue qu'il ne savait pas tellement parler aux femmes