Rachele se débat faiblement pour tenter d'échapper à son sort, mais la poigne du vampire est ferme et il la fait monter sans difficulté dans la limousine avant de fermer la porte.
Elle n'a alors pas le temps de poser les fesses sur la banquette que la bête morte-vivante se jete sur elle pour s'allonger de tout son poids contre son corps fragile et diaphane.
Elle sent contre le latex couvrant sa vulve mortifiée, le sexe du vampire grand et puissant, gonfler sous l'etoffe de son pentalon telle un manche de bandine, prêt à la chatier pour son orgueil.
Partagée entre dégout et excitation, elle gémit et se débat de nouveau dans le vains espoir de se soustraire à son étreinte. Tentant de le repousser de ses bras et ses jambes de faible humaine.
Mais le monstre est trop fort... il pose ses doigts agiles sur la ligne délicate de la machoire de sa future esclave et la tourne sur le côté pour exposer son cou.
- Nnnnnnn !Hurle t'elle sous son baillon, comprenant parfaitement ce que le vampire est sur le point de faire. Mais la créature de la nuit reste sourde à ses suppliques. Du coin de l'oeil, horrifiée, elle le voit ouvrir la bouche d'où jaillissent lentement ses canines.
- Nnnnn !Il plonge sur sa gorge comme un oiseau de proie sur son festin. L'émaille cristalin de ses canines déchirant le latex de sa tunique, perfore la peau délicate de Rachele pour s'enfoncer dans sa chaire jusqu'à ce qu'il pénètre sa carotide.
-Glllmmm...La douleur intense de la morsure laisse instantannement place à une sensation de vertige et de plaisir indéfinissable. Le regard terrifié de Rachele s'adoucit et ses joues rougissent à mesure que sa respiration se calme et que les batements de son coeur se calquent sur les longues aspirations du vampire.
Rachele se sent partir, elle sent son sang quitter son corps, elle sent la bête la boire et se nourrir d'elle, et cela la plonge dans un état dexcitation langoureuse et paralysante. Comme la biche vaincue et prise à la gorge par son prédateur, son corps s'abandonne et cesse de luter, uniquement animé de quelques soubresaut de défense instinctif et inutile. Doucement, ses yeux roulent dans ses orbites.
Mais alors qu'elle pense que sa vie s'acheve, son agonie s'arrête. Elle sent la langue du vampire carresser ses plaies et le flot de sang s'interrompre. Quand le vampire lui retire le baillon, elle n'est plus en mesure de parler, elle le regarde, les yeux mis clos, les joues roses et les lèvres gonflées par l'excitation.
Quand c'est enfin à elle de recevoir son sang à lui, elle tressaille et frissonne, incapable de résister bien que le vampire devine qu'elle en à la volonté. L'emprise de ses doigts sur son visage est trop fort, il la manipule comme une simple poupée, l'obligeant à ouvrir la bouche pour boire le sang vicié et maudit du vampire.
Rachele sent alors une étrange sensation, comme une ronce, ou un serpent aux écailles épineuses s'enrouler autour de son coeur et de son esprit, lui imposant l'attachement malsaint du lien du sang. Elle sent dans sa chaire qu'un lien vicié commence à la lier au vampire et à la corrompre. Elle décide de luter de toutes ses forces contre ce serpent vicieux qui vient d'entrer en elle mais la magie lethargique du vampire est trop forte, lentement ses yeux se ferment pendant qu'elle pousse ses derniers gémissement de refus.
-- Dans le refuge du vampire ---
Rachele reprend peu à peu connaissance, encore noyée dans des rêves lubriques et malsaint, elle entend des voix dans le lointain, avant de réaliser petit à petit qu'elles sont juste à coté d'elle. On frole son visage, parfait et serain, mais la sensation est étrange, comme si sa peau était couverte de coton qui l'empèche de ressentir. Elle crois entendre la voix du vampire, elle se met alors à rougir avant de parvenir au prix d'un immense effort de volonté à réprimer son désir.
Elle sent sous son dos la texture molle et confortable d'un lit de qualité, ses sensations lui reviennent avec plus de vigueur et elle sent à nouveau son corps avec une acquité nouvelle. Le sang du vampire à régénéré la chaire de sa vulve et de son anus, ravagés par la machine de torture et par les viols, lui rendant la fraicheur et la consistance de ses premières fois, alors qu'elle venait à peine de connaitre le sexe des mains de son oncle.
Le sang avait aussi régénéré ses cellules grises endommagées pendant le lavage de cerveau, lui rendant une partie de ses facultés mentales, bien qu'elle sente que certaines lacunes sont désormais permanentes, ses connaissances détruites l'aillant rendu moins intelligeante. Ce constat lui fait monter les larmes aux yeux, mais elle s'arrête soudain de s'appitoyer sur son sort quand les mains des eslcaves du maitre se mettent à serpenter sur sa peau délicate et sensible.
Elle soupir d'aise, puis réagit et essai de se tendre, de tirer sur ses liens, mais ses gestes sont encore lents et lourds. Elle essai de leur dire d'arrêter, de la laisser tranquille, mais les seuls sons qui sortent de sa bouche sont des glapissements inintelligibles.
- Chuuuutt… !
- Tu ne peux pas encore parler, tes muscles doivent se détendre, jeune femme… Et le mieux, pour ça, est de faire circuler le sang…Faire circuler le sang ? Mais que voulez elle dire ? Rachele ouvre la bouche pour lui demander mais les lèvres de l'esclave se referment sur les siennes en un baiser langoureux et sensuel qui prend totalement la mafieuse au dépourvue.
Les doigts des deux femmes se chargent de répondre à sa question. Quand elle s'enfoncent délicatement dans son intimité, Rachele essai de se redresser, mais la femme qui la tiens prisonnière de son baiser la rattrape et la maintiens fermement contre le lit en lui malaxant les tétons avec maitrise.
Le souffle de ces femmes atise les braises de sa nymphomanie cachée et doucement le corps de Rachele s'ouvre à leurs carresses. Sa vulve commence à se charger d'humidité et les doigts de l'esclave se couvrent de la ciprine de la belle prisonnière tandis qu'elle écarte les cuisses et contracte son bassin pour mettre en valeur son entrejambe.
- Son corps réagit plutôt bien…
- Elle adore le sexe… A ces mots et à leurs gloussements d'amusement, la fierté de la sicilienne se reveille et elle essai timidement de se débattre pour se libérer. Non elle n'était pas un e nymphomane, elle l'était devenue à cause de son oncle qui l'avait brisée et violée. Mais elle s'était battue pour guerrir et elle ne voulait plus jamais le redevenir. Plus jamais elle ne voulait être le jouet de quelqu'un, plus jamais elle ne devait être une poupée bavant devant le penis de son Maitre.
On lui retire le bandeau, l'éblouissement laisse place aux spectacle à la fois exitant et inquiétant de ces deux femmes masquées qui lui parlent et appellent le vampire "notre Maitre". Racheleà peur, c'est deux femmes étaient t'elle le reflet de ce qu'Alexandre lui réserve ? Garde t'il un masque pour elle afin de briser sa personnalité et en faire un objet ?
- Tu es très chanceuse, tu sais. Le Maître va s’occuper en personne de toi.
- Il va faire de toi sa petite pute…C'était donc bien cela, son sort serait peut être même pire encore que le leur. Ces deux la semblaient être ses préférées, mais à ce qu'elles disaient, le vampire lui réservait un sort bien plus humiliant et avilissant dans le but de la détruire.
- Ja... jam... ais...Murmure difficilement Rachele, encore toute groguie.
- Le Maître règne sur quantité d’hommes en manque, tu sais, des rustres incultes et ignares… Alors, quand ils te verront…- Sa.... sale.... garces... je... vous .... je... jamais... je...Le vampire fait à nouveau son entrée et sa voix écrase les murmures de la captive. Rien qu'à son magnétisme et à son timbre, le liens maléfique du sang se resserre sur le coeur de Rachele et elle sent tout son corps qui réclame son attention, son désir... mais la volonté de la belle est robuste, et elle réprime son envie.
- Alors, Rachele ? Bien réveillée ? Sache que tu vas bientôt aborder un nouveau chapitre de ton existence… Mais il va falloir te dresser avant. Au prix d'un nouvel effort de volonté, la belle abandonne sa position obscène et essai de ramener ses genou vers l'intérieur pour condamner sa vulve aux intrusions; mais cela ne la rend que plus désirable encore tans elle semble déminue et fragile.
- Non... je... ne... vous laisserais pas faire... je me... battrais... je vous... tuerais...Murmure t'elle en tournant le visage sur le coté pour ne pas le regarder, sentant la présence de son corps qui se rapproche du sien, sans défenses.