Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => La zone industrielle => Discussion démarrée par: Rachele Florenza le mercredi 09 novembre 2016, 17:42:14

Titre: Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le mercredi 09 novembre 2016, 17:42:14
Max avait choisit une portion désaffecter de la zone industrielle pour poser la première pierre de son plan qui réduirait enfin l'emprise des Yakuza a néant. Elle avait fait aménager tout le sous sol d'une ancienne station de pompage pour pouvoir profiter des installation hydrauliques et électriques qui alimenteraient ses machines.
Car pour sa nouvelle cible, Dona Florenza avait dépensé sans compter. Machine de lavage de cerveau originaire de Tekhos, outils et engins de torture sophistiqué venant de la terre et de tout les plans qui en produisent, sale de soin toute équipée, cellule, elle avait tout prévu pour recevoir son invité de marque avec les honneurs.

Car ce soir elle reçoit l'homme qui lui offrira la tête des Guramu sur un plateau: Alexandre Dowell, leur propre avocat. Pour l'occasion, elle à choisit une de ses tenues préférées. Une longue robe rouge sang pratique au vue de ce qu'elle compte faire, des talons haut assortis de cuissardes qu'elle fait tenir en place avec un porte-jarretelle noir et discret. (voir la galerie du prélude: photo 2)

Si elle parvient à le briser et à en faire son pantin, elle pourra les épier de l'intérieur, découvrir tout leurs petits secrets et détruire toute leur organisation. A cette idée, Max trépigne d'impatience, ses hommes sont parti le "chercher" depuis une bonne heure. Elle commence à faire les cent pas autour de la chaise d'interrogatoire, réajustant les seringues de drogue et de sérum de vérité et les outils de torture pour que leur vue soit terrorisante juste ce qu'il faut.

Après une attente interminable qui porte la fin de journée jusqu'au début de soirée, elle voit enfin la porte de la salle s'ouvrir et Serguey, un de ses gorilles entrer avec un sac de toile noire sur l'épaule. Mais à son visage, Max voit que quelque chose ne va pas. Elle le foudroie du regard.

Ne me dit pas que tu l'a...

Commence t'elle à dire.

"J'vous assure boss, je comprend pas. Je suis arrivé chez lui, j'ai fait tout comme vous avez dit pour déjouer les alarmes et les garde payés ont pas bougés. Mais quand chui entré dans sa chambre il était comme ça sur son lit, les mains jointes comme si on l'avait disposé dans un cercueil."

Serguey dépose le paquet lourdement sur le siège en acier et découpe la toile au couteau pour libérer le corps. Max regard le cadavre avec dépit, tout espoir de l'utiliser envolé. Elle commence à tourner son regard vers le gorille pour l'engueuler mais soudain le visage du prisonnier décédé semble s'animer et il fait un petit geste, comme s'il bougeait en dormant.

"Mais il est encore en vie !" Cris t'elle en se jetant sur Alexandre pour lui prendre les poignets et les menotter derrière le dossier de la chaise. "Putin Serguey ! Tu sers à quoi connard de polac."

"J'comprend pas boss j'comprend pas ! Il respirait plus, il était froid, j'sais reconnaitre un mec canné et il était canné." Tente t'il de se justifier.

"C'est bon ferme ta gueule et vient m'aider avant qu'il ne se réveil", ajoute t'elle en attachant chacune de ses chevilles à un pied de siège.

Puis elle prend un siège et s'assié à califourchon, les bras sur le dossier, les jambes écartés de part et d'autre des barreaux du dossier laissant apparaitre les délicates lèvres de son entrejambe. Le prisonnier ne manquera pas de remarquer qu'elle ne porte pas de sous vêtements, petite note érotique très "Basic Instinct".

Max remarque que plus la nuit tombe et plus son invité prend peu à peu connaissance, mais n'y prête pas attention particulièrement. Une fois qu'elle l'estime suffisamment réveillé, elle fait un signe de tête à Serguey qui lui jete au visage un verre d'eau glacé.

"Bonsoir Maitre Dowell, comment allez vous en cette belle soirée. Des nouvelles de nos amis commun depuis notre dernière rencontre à l’audience Azuka contre Alerendro ?"

Max faisait référence à un des nombreux pièges juridique qu'elle avait tendu au clan Yakuza, mais qui avait lui aussi été déjoué par l'avocat, la mettant dans une rage folle.

Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le mercredi 09 novembre 2016, 18:58:05
Alexandre était l’un des avocats les plus prestigieux de Seikusu, quelqu’un qui avait, au sein de son cabinet, de prestigieux clients. Il y avait, par exemple, la Fondation Mishima, un consortium des grandes familles de la ville finançant le lycée Mishima, ce qui faisait que Dowell défendait régulièrement le lycée quand ce dernier était empêtré dans ses scandales sexuels. Et, au-delà de ce client sulfureux, Alexandre avait aussi, comme important client, Akihiro Guramu. L’homme, obèse, était l’Oyabun du clan Guramu, le plus puissant clan yakuza de la ville, clan qui, suite à des conflits avec d’autres clans de la ville, comme les Akuma, avaient perdu une solide partie de son influence, permettant à des rivaux de s’implanter. Le dernier cas notable était le « RACHELE’S », un casino installé le long du port, qui concurrençait directement le « Stranglehold », une tour de loisir conçue par les Guramu, abritant, outre un casino, un restaurant, et d’autres activités. Le « RACHELE’S » était financé par la famille Florenza, une puissante famille sicilienne affiliée à Cosa Nostra, et dont le mentor, Don Alerandro Florenza, était un puissant baron du crime organisé italien. Alexandre ne connaissait pas trop l’histoire des Florenza, mais savait que des querelles internes entre Rachele et son frère, Jucio, avaient contraint les Florenza à quitter l’Europe, et à tenter de s’implanter ailleurs. La femme, qu’on disait aussi belle que fatale, avait choisi de s’installer à Seikusu, parvenant à obtenir divers terrains pour enlever les entrepôts situés dessus, et y construire le « RACHELE’S », devenu le quartier général de son influence.

Les Florenza rejoignaient donc la guerre pour le contrôle du crime organisé. Un jeune concurrent, car, pour l’heure, les Guramu affrontaient surtout la Mafia russe, à savoir les Petrovski, une puissante famille russe qui avait quitté la Russie lors de l’arrivée au pouvoir des bolchévistes, sans pour autant renier leurs terres. On disait qu’il se passait beaucoup de choses dans les souterrains du « RACHELE’S », et, à l’image des techniques mafieuses classiques, Rachele avait rapidement su s’entourer  de politiciens, venant la défendre. La femme avait rapidement réussi à se constituer un solide réseau, et avait notamment, à disposition, une batterie d’avocats, qui avaient attaqué l’une des filles d’Akihiro, Azuka Guramu. La jeune femme était une Japonaise arrogante, insouciante, très perverse, qui avait été poursuivie en justice par plusieurs de ses locataires, la femme dirigeant un cabinet immobilier. L’un de ses locataires, Alerendro, portant le même nom que l’ancien Don des Florenza, était en réalité un sbire de Rachel, et avait invoqué l’état insalubre des logements (ce qui était vrai) pour ébranler l’autorité des Guramu. C’était un coup bien joué, car la fortune des Guramu venait notamment de l’immobilier. En effet, suite à la Seconde Guerre Mondiale, Seikusu avait été lourdement bombardée, et les Guramu avaient profité de la reconstruction et du chaos qui avait suivi pour s’accaparer bon nombre de titres de propriété. Ils avaient ainsi la mainmise sur un grand nombre d’immeubles, et prélevaient les loyers, derrière des cabinets et des agences immobilières qui faisaient office de société-écran. Or, l’appât du gain justifiant tout, ces immeubles n’étaient pas entretenus. Ils commençaient à pourrir, devenant insalubres, mais aucun locataire n’osait s’en plaindre, les rares qui essayaient recevant des « visites » inopportunes, se faisant cambrioler, ou voler leurs voitures. On ne plaisante pas avec les Yakuzas, ni avec l’omerta.

Rachele était venue, et avait d’emblée chois de s’attaquer à ce commerce lucratif. Il suffisait d’un seul procès pour que tout l’échafaudage s’effondre, d’un seul coup de dé pour que les dominos tombent, les uns après les autres. Rachele avait lancé un vaste procès, et avait créé une association de quartier, se proposant d’intervenir au nom de tous les locataires lésés, et dénonçant la passivité des pouvoirs publics, menant parallèlement des actions contre les services administratifs pour dénoncer la corruption des services municipaux chargés de lutter contre l’insalubrité des locaux. Plusieurs procédures avaient donc lieu devant le Tribunal de district de Seikusu, car, au Japon, contrairement à d’autres systèmes juridiques, comme en France, il n’existait aucune séparation entre le droit public et le droit privé, les Japonais ayant, en 1947, opté pour un système unifié, de telle sorte que les juridictions connaissaient de toutes les matières, et qu’il n’existait aucune juridiction d’exception.

Le premier litige avait eu lieu, opposant ainsi le locataire à la bailleresse, et le juge avait rejeté les demandes du locataire. Pour autant, ce n’était que partie remise, car un appel avait été initié. Rachele, qui avait assisté au verdict, avait été furieuse. Alexandre avait, comme à son habitude, joué sur tous les tableaux. Le procès avait été houleux, avec des expertises, des contre-expertises, des témoins qui subissaient de curieux accidents, et un juge tentant, tant bien que mal, de croire à la régularité de sa procédure.

La bataille était encore loin d’être finie, mais Alexandre s’était couché heureux, et, se sentant en confiance, avait bu une potion spéciale. Quand un vampire dormait, il dormait comme n’importe qui, mais un vampire pouvait aussi choisir d’entrer en état de « sommeil profond »... Ce qui, pour un vampire, était vraiment « profond », car il sombrait dans un état proche de la mort, mais qui, au réveil, permettait au vampire de décupler ses sens. Ce fut donc ce que Dowell choisit de faire, sans savoir que Rachele allait, justement, profiter de cette soirée pour prendre sa vengeance.

Autrement dit, quand Dowell se réveilla, il lui fallut un certain temps pour comprendre... Comprendre pourquoi il n’était pas réveillé par l’une de ses esclaves de luxe, l’une de ses collaboratrices, qui l’accueillerait en corset, avec de longs gants en cuir, et palperait son corps, le stimulant pour déclencher une érection. Alexandre prenait de plus en plus goût au fait de se réveiller avec une trique de tous les diables, car une érection faisait circuler son sang, le faisant bouillonner dans ses veines.

Il était torse nu, avec de l’eau dégoulinant le long de ses cheveux bruns, et vit une femme devant lui. Elle était assise à l’envers sur une chaise, portant une impeccable robe rouge, une poitrine considérable, et un air d’arrogance et d’assurance sur le visage. Dowell secoua la tête, papillonnant des yeux. La lumière, même faible, l’aveuglait. Il se réveillait avec des sens hypersensibles, et entendit ainsi très clairement la voix de la femme, mais également les battements cardiaques des deux laquais qui étaient là. Il put ainsi sentir que les deux commençaient à bander devant la position sulfureuse de leur chef.

« Ma... Madame Florenza... »

Il secoua encore la tête, et releva la tête, avant de lui sourire. Pour un avocat, on ne pouvait qu’admirer sa condition physique d’exception. Aucun poil, aucune trace de graisse, simplement un corps musclé, solide, qui observa la femme.

« Vous êtes très mauvaise perdante, Madame Florenza... »

On avait attaché ses poignets dans son dos, ainsi que ses chevilles.

*Ridicule...*

Dowell, commençant à reprendre ses esprits, réalisa qu’il était avec son boxer de nuit uniquement, et sourit. Même dans ce simple accoutrement, il n’était pas à son désavantage, car l’homme était d’une beauté incroyable.

« Mais je comprends ça... Vous avez un bon élément, mais l’avocat que vous aviez choisi était un nul. Une telle branlée, ça doit être humiliante pour vous... »

La claque fusa sèchement, venant de l’un des deux, et Dowell le regarda brièvement, avec une lueur haineuse dans les yeux, crispant ses poings, se retenant tout juste de le tuer... Tout juste.

« Un peu de respect, connard ! » grogna l’homme.

Alexandre grommela à nouveau, et observa la femme. Si elle s’attendait à le prendre en défaut, elle allait se tromper. Aucune peur dans les yeux de l’homme, qui l’observait avec le regard furieux et courroucé d’un prédateur observant sa proie.

« Qu’est-ce que tu veux, Rachele ? Me faire un strip-tease ? »

Il allait jouer un peu, lui donner l’illusion qu’elle avait le contrôle... Comme ça, ce serait encore plus excitant, surtout qu’il n’était pas dans une simple pièce aux murs nus, mais voyait quantité d’instruments de torture, plus ou moins futuristes. Et, en les observant, et en les imaginant s’en servir sur Rachele, Dowell sentit un début d’érection le traverser, ce qui était nettement visible, vu le simple pagne qu’il portait...
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le mercredi 09 novembre 2016, 20:52:05
En voyant incompréhensible assurance de son "invité" Rachele fronce les sourcils et le toise d'un air suspicieux. Trop habituée aux retournements de situation pour être dupe, elle commence à ce demander si le regard carnassier et supérieur du prisonnier n'est pas une mise en garde dont elle devrait ce méfier.

"Il est seul, attaché et entouré par deux colosses, calme toi Rachele et concentre toi sur ton objectif." Se dit elle.

La dernière boutade de l'avocat ne passe pas au près de ses hommes qui commencent à le rouer de coups.
Elle claque des doigts, les coups cessent de pleuvoir. Le beau visage de l'avocat est intact... pas une ecchymose, pas une coupure, pas un bleu ou œil poché. Elle déglutie, incrédule, en voyant le roumain se masser les phalanges comme s'il venait de taper dans un mur de béton...

"Mais bordel c'est qui ce bâtard" Se dit elle à nouveau. Son regard se porte sur le boxer de son prisonnier, qui commence à enfler et révéler les proportions impressionnantes de son membre viril. Involontairement elle rougit et détourne le regard en déglutissant de nouveau. Son esprit vagabonde quelques instants en pensant aux esclave dont l'étrange individu s'est entouré, mais elle chasse les récits qui lui ont été fait de sa tête pour ne pas perdre pied. L'odorat surdévellopé du vampire commence à percevoir les fragrances coupables de la sueur féminine et de la cyprine naissante.

"Allons Allons Alexandro... tu n'as pas besoin de jouer les héros avec moi tu le sais bien. Tu es un baveux, ton rôle s'est d'essuyer la salive à la commissure des lèvres de tes clients, pas de te faire démolir le portrait pour eux. Après tout, je ne te demande pas grand chose... juste de me parler un peu de notre ami commun le vilain Yakuza... après je te laisse partir, promis..."

Elle ment, c'est évident, mais ça, il n'a pas besoin de le savoir. Elle tourne le regard vers le roumain et lui fait signe de tête. Le golgoth s'éloigne et prend deux pinces crocodiles reliées à une dynamo. Il donne la dynamo à Rachele et s'approche d'Alexandre avec les deux pinces.

" En revanche si tu veux jouer les héros, je vais être obligé de t'apprendre à te tenir correctement devant une femme qui t'es supérieure..."

Elle fait distraitement tourner la manivelle de la dynamo, de petits arcs électriques se mettent à crépiter entre les deux pinces.

"Choisit bien tes prochains mots Maitre Dowell... je ne suis pas une de tes petites putes décérébrée qui vient te lécher la queue tout les matins... si je n'aime pas ce que tu as à me dire, je demande à Serguey de t'offrir ces deux beaux bijou..."
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le mercredi 09 novembre 2016, 23:50:01
Trouvant visiblement l’avocat un peu trop insultant, les deux molosses se mirent à le frapper. Hélas pour eux, Dowell venait de sortir d’un long sommeil, et, si les coups pouvaient lui faire mal, sa peau cicatrisait presque instantanément, du fait des coups peu soutenus que les deux costauds lui portaient, probablement convaincus d’avoir affaire à un simple baveux. Or, Dowell avait une carrure de militaire, et était surtout un vampire qui avait entraîné ses capacités vampiriques. Finalement, Serguey arrêta quand il constata s’être cassé un ongle, et, incrédule, fixa le visage de l’homme, n’arrivant pas à croire qu’il n’avait rien. Ce dernier, pendant toute la durée de la « correction », n’avait cessé de regarder le visage de la femme, voyant ce beau visage se décomposer au fur et à mesure qu’elle constatait qu’il y avait quelque chose d’anormal chez lui.

Alexandre cracha ensuite sur le sol, et regarda brièvement les deux costauds.

« Vous êtes impressionnants, les gars... Mais votre punch est nul. »

Incrédules, ils semblèrent hésiter, avant que leur chef ne vienne chercher des pinces électriques. Essayant de dissimuler son malaise, elle rappela qu’elle voulait juste des informations sur les Guramu, et que le secret professionnel ne valait pas tant de souffrance. L’un de ses gorilles se rapprocha de Dowell, et posa les pinces sur ses tétons, tandis que Rachele poursuivit, en disant qu’elle n’était pas l’une de ces « putes décérébrées ». Le plus étonnant, c’était que se faire frapper n’avait nullement restreint son érection, qui semblait maintenant avoir même grossi, déformant sa culotte.

Alexandre hocha la tête, et attendit quelques secondes, avant de lui répondre :

« C’est ma queue qui t’excite, hein, salope ? Ne t’inquiète pas, tu vas avoir l’occasion d’y goûter ce soir. »

Les deux pinces frémirent alors, et Dowell serra les dents en sentant le courant électrique se répandre en lui, tout son corps venant à se crisper. Il se détendit le long de la chaise pendant quelques secondes avant que le courant ne se calme, et s’affala dessus, des gouttes de sueur commençant à couler le long de ses cheveux et de ses joues.

« Tu sais, cocotte, t’es vraiment conne... Tu m’as capturé au moment où il fallait pas, ma chérie... »

Cette nouvelle provocation donna lieu à une électrocution supplémentaire, plus longue, le corps de Dowell se tendant sous l’effet de spasmes nerveux. Il se tortilla le long de la chaise, les dents toujours crispés, une veine pointant le long de son cou, avant que la femme ne coupe encore le courant. L’électricité qui diffusait dans son corps avait aussi pour fonction de stimuler encore son érection. Il reprit ensuite son souffle, mais commençait à agacer les deux hommes, surtout en voyant la taille de sa verge. Serguey proposa alors à Rachele de mettre les pinces directement sur ses testicules, histoire de le rendre moins courageux.

L’autre molosse sortit des ciseaux, et découpa le sous-vêtement, puis tira dessus. Alexandre se retrouva ainsi tout nu, offrant une verge bien dressée, tandis que ce dernier se mit à sourire.

« Je me suis reposé, Rachele... Pas de la manière dont les humains l’entendent. Je suis entré dans un sommeil profond pour récupérer mes sources, ce qu’on pourrait assimiler à un rituel magique. Et, quand je sors de cet état, surtout si brutalement, non seulement mes sens sont stimulés à fond, mais mon adrénaline aussi... »

Serguey retira les pinces, et en posa chacun sur ses testicules. La menace semblait sérieuse, mais, à peine Serguey eut-il posé ces derniers que Dowell agit.

D’un coup sec, il déchira ses cordes, et, dans la foulée, attrapa les pinces, les retirant juste avant que Rachele, instinctivement, ne les enclenche. Dowell les planta alors  contre le visage de Serguey, une pince sur son nez, et l’autre, profitant de l’hurlement de douleur et de surprise qu’il poussait, sur sa langue, puis le repoussa.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »

Le second réagit rapidement, sortant de sa poche arrière un couteau à cran d’arrêt, mais, au même moment, Dowell, utilisant ses mains, déchira les cordes retenant ses poignets, et se redressa tout aussi rapidement, levant une main pour bloquer le poignet de l’homme, ouvrant la bouche devant ce dernier dans un grognement inhumain, révélant ses dents pointues, avec des yeux d’un rouge sanguinolent Dowell lui tordit le poignet, et l’homme hurla, lâchant son couteau, puis Alexandre attaqua avec son autre main L’homme ferma un œil, mais il y eut malgré tout un bruit spongieux, écœurant, suivi d’un hurlement suraigu, puis Dowell tira en arrière, après avoir serré ses doigts autour d’une masse visqueuse

Il se retourna alors vers la femme, tandis que le sang fusait comme vache qui pisse de l’orbite gauche du malheureux La main droite de Dowell était couverte de sang, et tenait surtout un petit organe blanchâtre, crémeux, par le nerf optique. C’était l’œil de l’homme. Serguey, de son côté, hurla rageusement, et, après avoir réussi à retirer les pinces, se rua vers Dowell. Ce dernier relâcha l’œil de l’autre comparse, qui continuait à hurler, et évita rapidement Serguey, qui heurta le mur, et se retournant, hurlant encore, fonçant droit sur lui... Et Dowell le griffa profondément au ventre, et Serguey hoqueta sur place, avant de se tenir les mains sur sonv entre, qui s’ouvrit en deux, vomissant ses intestins sur le sol. Il finit à genoux, et, dans son dos, Dowell leva bien haut ses deux bras, et les abattit en même temps sur l’homme, le griffant très profondément, faisant fuser le sang, qui vint éclater sur son corps, éclaboussant la moitié de son visage, son épaule, son torse, et même son sexe, qui ne cessait pas de débander, tandis que Serguey se vidait de son sang sur le sol, une matière jaune sortant également de son ventre, ses intestins se répandant sur le sol.

Alexandre soupira lentement, puis regarda autour de lui, et récupéra l’œil de l’autre criminel... Puis croqua dedans, et l’avala ensuite.

« Un œil comprend un certain nombre de muscles, et plein de sang... Comme un mini-steak avec de la sauce. »

On aurait dit un démon, avec le corps à moitié recouvert de sang, des yeux rougeâtres, des griffes terriblement longues, et ce corps nu, à moitié baigné dans la pénombre.

« Comme je le disais, petite pute, tu m’as attaqué le mauvais jour. Surprise, Rachele ! S’il y en a un ici qui doit se prosterner, c’est bien toi, petite pute d’humaine, car je suis ton supérieur, ton Éternel supérieur ! Je... Suis... Un... VAMPIRE !! »

Elle pouvait lui tirer dessus. Dowell n’était pas insensible aux armes, mais, comme il l’avait dit, ce soir, il était chargé à bloc. Son corps cicatriserait vite, et elle n’aurait, de toute manière, l’occasion de ne tirer qu’une fois, car il se ruerait ensuite vers elle...

...Et il apprendrait le respect à cette petite pétasse.
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le jeudi 10 novembre 2016, 00:30:03
Le calme et le sang froid de Rachele se décomposent à mesure que son prisonnier montre une résistance surnaturelle à la douleur et aux blessures. Elle a de plus en plus de mal à cacher sa gène à la vue des organes virils du vampire dont le membre ne cesse de gonfler. Deux petites taches rose apparaissent sur ses joues et elle continue de détourner la tête en déglutissant pour ce concentrer sur la torture, trouvant le regain de colère et d'orgueil blessé nécessaire dans chacune de ses insultes.

"Serguey ! Montre à ce bâtard comment on parle à sa patronne !"

Le polonais prend les pinces et s'apprête à les poser sur les testicules du prisonnier. Max lui sourit et lui dit.

"Fin du jeu beau mec, tu vas apprendre à respecter ta nouvelle idole."

Et c'est à ce moment là que tout bascule. A une vitesse impressionnante, Alexandre brise les menottes qui le retenaient comme s'il s'agissait de papier. Par réflexe, elle envois une nouvelle décharge mais trop tard, c'est Serguey qui la reçoit et ce met à hurler. Le vampire se rue alors sur son autre gorille, Rachele porte la main à sa cuisse et tire son pistolet si vite qu'elle fend sa belle robe rouge sur toute la longueur, laissant apparaitre une de ses cuisses jusqu'a la hanche, sa cuissarde, et le porte-jarretelle qui le retient.

Sans attendre elle tire. A une si faible distance, toutes ses balles font mouche, elle le touche cinq fois d'affilée avec des balles perçantes, des tueuses de flic, très efficace, très puissantes. Mais sa chaire les absorbe sans même qu'il bronche ou ne semble le sentir, tout à son massacre.

"Merde mais t'es quoi ?!"

Crie t'elle en tirant à nouveau jusqu'à ce que son chargeur se vide entièrement. Encore une fois son habilité de gangster lui assure un carton complet... mais la aussi en dehors des petits trous sanguinolent qu'elle lui fait dans le dos, il semble ne rien sentir et continue son carnage.

Finalement Serguey s'effondre à son tour, déchiqueté, et le vainqueur se retourne vers elle, nu et couvert de sang, tel un dieu des temps jadis attendant le sacrifice de ses adorateurs. Il se délecte de l’œil de sa victime et lui parle des horreurs dont il se nourrit. Rachele le toise terrorisée mais sa nature combative prend le dessus et elle actionne le loquet de déverrouillage de son chargeur qui tombe sur le sol, encore fumant. Le vampire remarque alors les impactes de balle qui grêlent son corps. Les balles traçante atteignant des températures très élevées, son corps de non vivant met un peu plus de temps à régénérer leur dégâts.
Force est de constater que la jeune femme à de la ressource, et qu'elle ne s'est pas contenté de regarder le combat sans tenter d'y prendre pare, son courage et sa détermination sont indéniables.

Il lui révèle alors sa vrai nature, tout cros dehors et lui dit que c'est à elle de se prosterner.

Rachele, tremblante et vulnérable, arme d'une main malhabile un nouveau chargeur et lui hurle en levant son arme.

"Non ! Jamais ! Jamais plus je ne me prosternerais ! Crève !"

Et elle commence à vider son dernier chargeur sur la bête qui lui fait obstacle.
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le jeudi 10 novembre 2016, 11:59:26
Elle lui avait tiré dessus. En temps normal, les balles de la femme auraient pu le mettre vraiment en mauvaise posture. Contrairement à une idée reçue, pour tuer un vampire, il ne fallait pas nécessairement avoir des balles en argent, un pieu, et une croix chrétienne. De simples balles suffisaient amplement, mais, dans le cas précis, Dowell sortait d’un rituel, qui avait amplifié ses sens, et, surtout, la régénération automatique de ses cellules. Un vampire pouvait naturellement résister plus facilement aux blessures d’un simple humain, mais, là, précisément, cette régénération était encore amplifiée. Alexandre réalisa donc qu’il était temps de s’occuper de la dame, car se recevoir davantage de balles pourrait être dangereux. Paniquée en apprenant à qui elle avait affaire, Rachele n’essayait même plus de dissimuler sa peur, et pointa son pistolet sur lui, pour faire feu de nouveau.

Alexandre se déplaça alors, à une vitesse ahurissante, et, en quelques secondes, sa main droite saisit le canon du pistolet, et, de sa main gauche, il gifla sèchement la femme à hauteur de la joue. Sous l’impact, cette dernière tomba sur le sol, et Dowell conserva son pistolet, puis, agacé, s’en servit pour tuer à distance le second homme de main de Rachele, celui qui avait perdu un œil. Il tira une seule fois, transperçant la tête du malheureux, qui s’effondra sur le sol.

« Ha... On ne s’entendait plus, avec ce braillard... Bien, à nous, donc ! »

Le vampire exultait, empreint d’une sensation de puissance masculine, typiquement virile. Tout nu, il avait toujours sa trique, et pouvait voir la robe extrêmement fendue de la femme. Elle était ravissante, surtout avec ses longs collants et gants noirs, qui brillaient un peu dans l’obscurité. Alexandre lança le pistolet au loin, puis se pencha vers elle. La femme aurait beau se débattre, il disposait aussi d’une force herculéenne, et l’attrapa par les cheveux, puis la traîna vers un instrument qu’il avait vu dans la pièce, un chevalet (http://img110.xooimage.com/files/8/6/f/chevalet-50dde3e.jpg).

Alexandre, faisant fi des protestations de la femme, la posa dessus, et la voyant se débattre, il attrapa à nouveau sa tête, puis envoya cette dernière heurter violemment le tissu du chevalet, la faisant couiner, mais l’assommant aussi un peu, juste le temps qu’il puisse l’attacher par les poignets et par les chevilles. Il se dressa ensuite dans son dos, et la tira encore par les cheveux, soulevant son visage, et, avec son autre main, écarta sa robe, caressant ainsi ses fesses.

« Tu te prosterneras, ma chérie... Car, à partir de maintenant, tu es ma salope. C’est ce qui arrive, quand on tombe sur plus gros que soi, on s’incline. Mais, je t’en prie, débats-toi, ça n’en sera que plus excitant. Et ne t’en fais pas, ceci n’est qu’un prélude. Après tout, tu m’as conduit dans une pièce remplie de formidables inventions, et il me tarde de toutes les essayer sur ton corps de sale pute en manque de bite... »

Dowell, suite à cela, approcha sa queue de son corps. Il savait que ça allait être très douloureux, mais c’était justement le but de la manœuvre. Avec sa trique érigée, il l’approcha, non pas de la chatte de la femme, mais de son anus, de son petit bouton rose. Son autre main tenait toujours la longue chevelure de la beauté, et il tira encore dessus, la faisant gémir, et heurta alors son anus... Puis Dowell entreprit ensuite de sèchement la sodomiser.

« Vas-y, vas-y, HURLE ! HURLE, SALE MERDE !! »
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le vendredi 11 novembre 2016, 14:15:37
Rachele reçois la gifle de plein fouet et tombe sur le flanc, sa robe fendue révélant ses jambes parfaitement galbées. Elle se frotte lentement la joue, à moitiés sonnée et entend à peine le coup de feu qui arrache la vie à son dernier gorille. La jeune femme n'a pas le temps de reprendre ses esprits, la main puissante du vampire se pose sur sa chevelure et la lui agrippe avec violence.

"Haa ! Lâche moi ! Lâche moi monstre ! Me touche pas ! Tu me dégoute !"

Hurle t'elle, répugnée d'être ainsi touchée par un mort vivant. Car aux yeux de la jeune femme, il n'est rien de plus qu'un beau cadavre en mouvement... mais un cadavre quand même, et l'idée d'être à la merci d'un mort la terrorise autant qu'elle lui donne la nausée. Elle se débat et essai de libérer sa chevelure en lui griffant les mains de ses ongles acérés, mais rien n'y fait et il la fait glisser sur le sol lice de la pièce comme un simple mannequin d’essayage.

Il la soulève alors et la pousse en avant contre le chevalet de la pièce. Incapable de résister, Rachele tombe sur le ventre contre la planche rembourré de l'instrument de torture. Elle essai de se redresser mais le vampire est trop rapide. Se collant contre son cul dressé contre la structure métallique, il agrippe à nouveau le cuir chevelu de la jeune femme et l'envoi percuter violemment la banquette du chevalet. Une explosion d'étoile submerge la vision de Rachele qui dodeline de la tête en gémissant faiblement, sonnée. Elle le sent attacher ses poignets et ses chevilles à la structure et frissonne de dégout et d'horreur, le corps de la jeune femme se couvre de sueur et de chaire de poule, sa peau se met à briller à la lueur des ampoules.

Elle reprend pleinement connaissance au moment où il la tire brutalement par les cheveux pour la redresser contre lui.

"Gniiiii..." gémit elle désespérément.

Elle sent la pulpe morte de ses doigts écarter les pans de sa robe fendue et caresser la courbe délicate de ses cuisses et de ses fesses.

"Ha ! nan ! tu... tu n'oserais pas ! je... je te ferais couper les couilles ! je ... je le jure !" cris t'elle.

« Tu te prosterneras, ma chérie... Car, à partir de maintenant, tu es ma salope. C’est ce qui arrive, quand on tombe sur plus gros que soi, on s’incline. Mais, je t’en prie, débats-toi, ça n’en sera que plus excitant. Et ne t’en fais pas, ceci n’est qu’un prélude. Après tout, tu m’as conduit dans une pièce remplie de formidables inventions, et il me tarde de toutes les essayer sur ton corps de sale pute en manque de bite... » lui répond t'il.

Rachele sent alors le gland énorme du vampire tapoter ses lèvres pubiennes qui se mettent instantanément à mouiller, les troubles nympho-maniaques de la jeune femme refaisant surface.

"Nan... nan... arrête... j'ten pris arrête... fait pas ça... c'est... c'est dégoutant... tu... tu es un cadavre... non... je veux pas..." chuchote t'elle en recommençant à se débattre, provoquant un tintement de chaines érotique. Mais cela ne fait que faire danser les deux ravissantes bosses de son cul sous le regard pervers du mort-vivant. La verge en main et avec lenteur, il remonte encore et quitte le sillon de la vulve pour venir se coller contre le petit muscle plissé de son anus.

Ho non pitié pas ça ! Hurle Rachele en se redressant de tout son buste, Alexandre lui tire encore plus les cheveux pour qu'elle s’arque boute contre le chevalet et ne puisse pas donner de coups de tête. Elle force sur ses liens mais ses poignets ne bougent pas, elle ne peut que fermer les poings et agiter les doigts.

Elle sent le bout de son gland tenter de se frayer un passage mais elle est encoresèche, et la simple force qu'il exerce alors lui fait déjà mal.

Non arrête pas là... p HA !  Elle pousse un hurlement sec et court, tout son visage rougit de honte, de douleur et d'horreur. Ses yeux exorbités fixent le plafond et tremblent alors qu'elle sent la queue énorme du vampire pousser violemment les portes de son cul et s'enfoncer en elle, labourant son petit muscle. Son pénis et si gros et est enfoncé avec tans de brutalité que son anus ne se lisse pas, il s'enfonce dans la chaire de ses fesses, entrainé par la hampe d'Alexandre. Le butor s'enfonce en elle pendant d'interminables secondes ou chaque centimètre est une souffrance incroyable qui réveille les pire souvenirs de son passé. Instantanément, de petites ondes de plaisir partent malgré tout de son fondement et irradient son clitoris et ses lèvres vaginales, honteuse, elle sent sa vulve cracher une petite pluie de gouttelettes sur le chevalet.

Quand enfin les hanches d'Alexandre butent contre les fesses de Rachele, elle pousse un grand "Hô !" et murmure: "J'ai... mal... j'ai... haaaaaaaa" Elle n'a pas le temps de finir, le vampire est déjà en train de ressortir de son cul, lui arrachant de nouvelles sensations de plaisir et de douleur.

Avant qu'elle n'ai le temps de reprendre son souffle, il recommence à s'enfoncer en elle, un peu plus vite à mesure que son cul se dilate et que son muscle perd son élasticité, à nouveau elle pousse un long gémissement, elle lève les yeux au ciel et sa langue sort de sa bouche de manière obscène.

Il commence à la pilonner de plus en plus vite, la forçant à pousser tantôt des hurlements quand la douleur est trop grande, tantôt des gémissement de petite chienne en chaleur quand le plaisir se mêle à la souffrance: "Haaaar ! hô ! hennn ! argg ! gnaaaa ! ha ! "

La jeune femme serre les poings au point de s'en faire blanchir les phalanges et de s'enfoncer les ongles dans la paume des mains. Alexandre sent le contact des pieds de la jeune femme contre ses tibias, un bref coup d'oeil lui permet de remarquer qu'il sont totalement tendu, comme ceux d'une danseuse de balai qui marche sur l'extrémité de ses orteils. Cette crispation involontaire lui permet de ressentir toute la tension sexuelle et la douleur qui traverse le corps de la jeune femme qu'il est en train de violer. De mieux en mieux lubrifié par la vulve de Rachele qui continue de cracher une pluie de cyprine, le vampire prend une cadence brutale et mécanique, leur corps commencent à rebondir l'un contre l'autre au rythme de ses coups de reins. Rachele arrête de se débattre et les yeux toujours levés au ciel, elle se met à hurler à gorge déployée à chaque fois que la bite d'Alexandre s'enfonce dans son cul.
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le vendredi 11 novembre 2016, 22:35:43
Aucun remords, aucune hésitation, aucune gêne, ne vint troubler Dowell pendant qu’il fourrait le cul de la délicieuse traînée nymphomane. S’il avait brièvement hésité entre sa chatte et son cul, Alexandre avait opté pour le plus douloureux, et n’avait pas besoin de se baisser pour constater que la salope aimait ça. Il le sentait, à travers les ondulations de son sang, et à travers cette concentration sanguine à hauteur du sexe de la femme. Quand l’homme améliorait ses capacités vampiriques, il pouvait, avec ses esclaves, manipuler leur sang, à distance, et, en somme, provoquer des orgasmes quand il le voulait. La magie rouge, celle reposant sur le sang, était une très puissante magie, dans laquelle les vampires étaient des experts. Oh oui, Dowell allait longuement s’amuser avec cette femme ! Cette sodomie n’était qu’un prélude, comme une invitation, et personne ne viendrait les déranger.

La réalité était que personne n’avait entendu les hurlements des deux gorilles. Dowell supposait qu’ils se trouvaient dans l’une des pièces souterraines du « RACHELE’S », un donjon dédié à la torture et à la souffrance, que les plus riches payaient pour se défouler sur d’innocentes victimes. Il fallait donc penser à bien insonoriser ces pièces. Autrement dit, l’installation de Rachele se retournait contre elle, car personne ne viendrait la secourir. Et Alexandre en profitait donc, la baisant sèchement, se délectant des puissants hurlements de la femme. Elle ne gémissait plus, elle ne protestait plus, elle hurlait, tout simplement, hurlait à s’en déchirer la gorge, à s’en briser les cordes vocales, et rien ne venait la sauver. Grognant et soupirant, Alexandre filait en elle. Il était terriblement excité, mais retenait, là encore avec ses pouvoirs vampiriques, son érection. Oh, bien sûr, le vampire ne pourrait pas éternellement se retenir, mais il le faisait le plus longtemps possible, se délectant du corps magnifique de la femme. Ses magnifiques gants noirs en latex, sa longue robe rouge, sa chevelure, ses hanches... Elle était belle, et avait, en réalité, toutes les caractéristiques requises pour être l’une de ses esclaves. Belle, puissante, autoritaire, et salope... Quatre qualités requises pour faire partie des poupées de Dowell.

*Tout ce qu’il faut, c’est l’éduquer un peu, lui rappeler qu’elle est mon inférieure...*

Sexiste, Dowell était surtout raciste, estimant que les humains, par définition, étaient inférieurs aux vampires. Ainsi, que Rachele puisse se prétendre son égale, ou même sa supérieure, lui était insupportable. Cette sodomie était un moyen de remettre les pendules à l’heure, et il continuait, de sa main droite, à tenir les cheveux de la femme, la gauche venant sévèrement la gifler. Des claques solides et tranchantes, ses griffes heurtant la rondeur agréable de ses fesses, laissant quelques traînées écarlates dessus. En aucun cas, il ne cherchait à la ménager, multipliant les puissants coups de reins, son épée de chair heurtant son anus, s’enfonçant lourdement en elle.

Lui-même ne parlait plus, se contentant juste de la fourrer, de la prendre, pendant de longues minutes. Un véritable étalon, à la hauteur de sa réputation, qui rythmait désormais les hurlements de la jeune femme par des claques sévères... Jusqu’à sentir le courant atteindre le point culminant. Dowell soupira, et s’abandonna alors en elle, balançant un orgasme magnifique, des litres de foutre éclatant dans le cul de Rachele, remontant le long de son rectum, tandis que, enfin, il relâchait ses cheveux, envoyant le visage de la femme s’écraser sur le chevalet.

« Haaaa... Ça fait du bien ! Pardonne-moi, ma chérie, j’ai agi tellement vite, mais j’avais une telle trique... »

Ses mains caressaient le bas du dos de la femme, et, tout en reprenant ses esprits, il tira sur sa robe, et la déchira rapidement, le magnifique morceau de tissu émettant des craquements de souffrance, avant de se rompre. Il la déshabilla ainsi, ne lui laissant plus que ses gants et ses collants, et se déplaça encore. Sous l’effort physique, Dowell suait, avec des plaques rouges sur le corps, et il se déplaça, venant récupérer les pinces et la batterie.

« Tu sais... Il y a d’étonnantes idées reçues sur les vampires. Comme celle selon laquelle nous serions des cadavres sur pattes. Est-ce que j’ai l’air d’un zombie, dis-moi ? On nous colle cette réputation parce que le temps n’a pas d’impact sur nous, contrairement aux êtres vivants. Mais, la réalité, ma salope, c’est que le temps influe sur nous. Cependant... Nous avons juste des cellules qui ne vieillissent pas. Tu trouves cela impensable, ma chérie ? Ah ! Les humains m’amuseront toujours... »

Tout en se déplaçant, il approcha les pinces des seins de la femme. Qu’elle se débatte ou non ne changerait rien, et il plaça chaque pince sur ses seins, tout en continuant ses explications :

« Turritopsis nutricula... Ça ne te dit rien, ma douce pute ? C’est une petite méduse, qui a la capacité exceptionnelle de rajeunir.. On appelle ça la transdifférenciation. Quand la méduse atteint la maturité, ses cellules rajeunissent, la ramenant à un état primitif, puis elle vieillit à nouveau, et rajeunit... Autrement dit, elle est capable de lutter contre les affres du temps. Alors, pourquoi vouloir me qualifier de mort-vivant ? À bien des égards, je suis bien plus vivant que toi, petite salope. Je suis plus vieux, plus intelligent, plus fort, plus cultivé, plus résistant, car mon organisme survit à quantité de virus et de maladies qui sont mortelles pour les pathétiques créatures que vous êtes... »

Dowell s’était maintenant rapproché de la batterie, et récupéra la télécommande de la femme, puis retourna près de ses fesses.

« Prête pour la seconde mi-temps ? Comme j’ai peur que tu t’ennuies, je vais te stimuler davantage... »

Et il alluma alors la batterie, tout en retournant la pénétrer... Dans les fesses !
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le samedi 12 novembre 2016, 17:48:20
A chaque coup de butoir, Rachele continue de hurler, mais ses cris de douleur pure se sont rapidement mués en râle de plaisir à mesure que son clitoris se gonfle de sang et la foudroie de décharges orgasmiques. Elle sert les poings et sursaute à chaque coup de trique comme si elle était monté sur un énorme ressort lubrique qui lui pilonne les reins. Soudain elle cris plus fort et se cambre tout entière alors qu'un jet de cyprine brulante vient inonder la banquette du chevalet. Rouge de honte, incapable de se cacher le visage, elle se met à sangloter entre deux nouveau cris de plaisir. La belle rebelle indépendante et fier, vient de jouir du viol qu'elle subit.

Quelques instants plus tard, c'est lui qu'elle entend soupirer. Elle écarquille les yeux et tente de le regarder pour l'implorer.

"Han ! n... Nan ! Hannn ! Pas ça... pas à l'intérieur nan HAN !"

Mais le vampire reste sourd à ses supplique et Rachele sent sa bite énorme commencer à se contracter en elle et cracher une première rasade de sperme chaud qui inonde son colon.

"Naaaaan...." gémi t elle en le sentant jouir en elle. Les rasades commencent à se succéder et à la remplir de plus en plus. Les yeux écarquillée par l'horreur, elle le sent venir encore et encore et la remplir jusqu'à ce qu'elle sente une petite bosse naitre au creux de son ventre et peser contre la banquette du chevalet.

"En... encore ? non... stop ... je... haaaaa" Gémit elle en le sentant toujours venir au point que son sperme sous pression commence à remonter le long de sa verge et ne filtre par les plissures de son anus. Quand il termine enfin, Rachele s'effondre en gémissant contre le chevalet, le ventre plein au point d'avoir un petit peu gonflé. Encore fière et honteuse, elle comprime son muscle ravagé pour ne pas déféquer la semence du vampire devant ses yeux. Quand il agrippe sa robe pour l'arracher, elle gémit et essai de se débattre pour l'en empêcher, mais l'étoffe se déchire dans un craquement érotique et révèle le corps parfait de la belle italienne. Pendant qu'il lui explique sa nature, Rachele ravale ses larmes et tente de reprendre son souffle, de retrouver ses esprits. Elle doit réfléchir pour trouver un moyen de s'en sortir.

Mais le fil de ses réflexion est coupé net par la douleur et la peur quand Alexandre la soulève de nouveau pour avoir accès à sa poitrine. En voyant les pièces, Rachele à un mouvement de recul et se débat.

"Nan ! arrêt ! Monstre ! pas ça nan !" Cris t'elle. Mais le vampire ne l'écoute pas et mord un premier téton avec une pince. Rachele pousse un cris de douleur et d'indignation en sentant le métal glacé emprisonner sa chaire brulante et sensible. Elle cris à nouveau et se remet à pleurer quand la seconde pince emprisonne douloureusement son autre téton.

Par pitié pas ça nan.... haaa haaaaaaaaaaaaaa nan haaaaaa... Tout son corps se met instantanément à trembler et à se contracter alors qu'une douleur cuisante se repend dans sa poitrine. Incapable de se contrôler, sa vessie se vide en un jet d'urine qui inonde le sol et les pieds ensanglantés du vampire. Mais avant que son cul ne se vide aussi, il la sodomise à nouveau.

La queue d'Alexandre se trouve prise dans un étau de chaire brulante et visqueuse de son propre sperme. Le courant qui traverse le corps de la belle la fait se contracter au rythme des décharges à raison de plusieurs fois par secondes si belle qu'elle à l'air de sautiller sur sa bite énorme. Si elle n'était pas branchée sur une batterie, on pourrait presque croire qu'elle parodie une scène de film pornographique ou l'actrice se trémousse en criant pendant qu'elle se fait prendre. Sauf que la, Rachele hurle vraiment, et son plaisir comme sa douleur sont aussi puissant que réelle. Les yeux a moitiés révulsé baignés de larmes, la bouche grand ouverte dont jaillissent langue et filets de bave, la belle gangster sent la queue du démon la pilonner toujours plus fort et elle se prend à aimer ça, à sentir le besoin de subir ça tout le temps. Peu à peu, elle perd la raison à mesure que son corps et son esprit retombent dans l'enfer de la nymphomanie.
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le dimanche 13 novembre 2016, 10:02:41
« Par pitié »... Chez Dowell, c’était typiquement le genre d’expressions qui déclenchaient, chez lui, des réactions compulsives et violentes, en lui donnant l’exacte envie de faire le contraire. Il n’était pas un enfant de chœur, mais un véritable prédateur. Et cette Rachele avait joué avec le feu. Maintenant, elle était vaincue, et, comme tout vainqueur, Dowell allait profiter d’elle. Ce n’était même pas moralement condamnable, c’était dans la nature des choses, le droit du plus fort. Quand le conquérant triomphait d’une cité, il gagnait le droit de faire ce que bon lui semblait des habitants vaincus de ladite cité. Croire pouvoir régulariser ça derrière de pseudos-principes moralisateurs, c’était la plus grande des hypocrisies. Et, en l’occurrence, Alexandre ne pouvait que reconnaître que Rachele était magnifique. Rendons à César ce qui est à César. Si la Nature avait doté les hommes de la force et du pouvoir de dominer, elle avait doté les femmes de la beauté. Le beau sexe, avec Rachele, était à la hauteur de sa réputation, et c’était donc naturel qu’il en profite. Dans la nature des choses, tout simplement.

Rachele était somptueuse, donc. Un corps parfait, celui d’une superbe Italienne, qui berçait son amant de ses hurlements de douleur. Les pinces vibraient contre elle, et, si Dowell les ressentait aussi, il en frissonnait. La douleur électrique stimulait davantage encore son corps, et, quand il s’enfonça dans le cul de la femme, ce fut pour sentir son propre foutre, que Rachel avait, tant bien que mal, essayé de retenir, se refusant à s’humilier davantage. Il la sentit uriner sur lui, et en sourit encore. Sang, foutre, urine, tout se mélangeait dans cette pièce, la patronne des lieux n’étant plus qu’une simple poupée de chair que le vil vampire malmenait cruellement, retournant la sodomiser, aussi violemment que précédemment. Les courants électriques qui traversaient le corps de Rachele le stimulaient donc, et il grognait, haletant, éloignant Rachele du chevalet, avant de la ramener dessus, encore et encore, les pinces tressautant le long de ses tétons endoloris.

Elle hurlait, hurlait à s’en casser la voix, tout en pleurant, et rien ne semblait calmer la frénésie de Dowell.

« Hmmm... Hnnnnnnn... Hmmmmmm... !! »

Dents serrés, il poussait des borborygmes, des grognements de plus en plus inhumains, tout en soulevant le corps de la femme, revenant ensuite s’enfoncer en elle, son membre filant jusqu’à la garde. Et, plus il faisait ça, et plus le sperme résultant de sa première jouissance se diluait en elle. Rachele était sa prisonnière, maintenant, et le foutre se mélangea à son urine, ainsi qu’aux traînées de sang que le vampire répandait sur le corps de la femme en la sodomisant si violemment.

C’était un spectacle assez écœurant, en réalité, mais, à son corps défendant, Dowell ne se focalisait que sur sa sodomie, et ne voyait que le haut du corps de sa victime, un corps magnifique, anguleux, avec des courbes et des formes. Sa main retourna agripper les cheveux de la femme, et il tira sa tête en arrière, puis la relâcha, et tira à nouveau, la faisant ainsi tressauter davantage... Ce qui finit par amener les pinces sur les seins de la femme à sauter, glissant de sa peau recouverte de sueur pour aller sur le sol, où ils grésillèrent dans le vide.

« Salope... ! Pute... !! Hmmm... Sale petite pute... !! Haaa, tu aimes ça, h-hein ? Hum... Sen-Sentir... Sentir des queues t’exploser ton CUL DE TRAÎNÉE ! OH PUTAIN, T’ES BONNE, ESPÈCE DE SALE PUTE !! Allez, ALLEZ, HURLE POUR MOI, SALE PÉTASSE !! »

Il devenait plus furieux, plus nerveux, plus puissant, plus sauvage, tout en continuant à la bourrer sauvagement. Rien n’était épargné à la jeune femme, qui se dandinait d’avant en arrière, plusieurs de ses mèches de cheveux étant arrachés par la force du vampire, qui la giflait sévèrement avec l’autre, et griffait ses hanches en la « caressant ». Son corps sembla se calmer, puis, dans un long soupir, Alexandre contracta ses muscles, et expulsa tout son foutre en elle. L’homme se raidit sur place, et eut un second orgasme, très similaire au premier, ses mains se posant sur les hanches de la femme, tout son organisme crachant des filaments de sperme, pendant une bonne minute. D’ultimes mouvements de sa queue, qui se vida sporadiquement, gonflant encore le ventre de la femme.

Dowell se calma ensuite, et respira lourdement, tout en relâchant le corps de la femme. Elle avait maintenant un estomac qui avait bien grossi, lui donnant l’allure d’une femme enceinte sur le point d’accoucher. Un très gros ventre, avec un trop-plein de sperme et de pisse qui ne demandait qu’à sortir.

« Haaaa... Mille excuses, ma chérie, j’avais une envie phénoménale de te baiser... Mais, maintenant, ton dressage va pouvoir commencer. »

Avec l’une de ses mains, il caressait ses cheveux, glissant sur ses joues, puis commença à la libérer, son sexe toujours planté en elle. Une fois avoir retiré les liens, il la souleva ensuite, et, se déplaça, se rapprochant d’un instrument qu’il avait vu, une sorte de grande table de torture tekhane, blanche, avec un système informatique. Il avait entendu parler de ces pièces, qui étaient utilisées à la Prison Eternum, et dont chacune valait une petite fortune. Dowell déposa la femme sur la table, qui était dressée presque à la verticale, légèrement penchée. Il attacha ensuite les poignets et les chevilles de Rachele, qui semblait encore comateuse, puis alluma la machine.

Cette dernière émit un bourdonnement, tout en se mettant rapidement en marche. Un pupitre s’alluma sur le côté, présentant une série de commandes.

« Hum... Pardonne-moi, ma petite pute, j’ai toujours eu envie de jouer avec ces machines. Et puis, tu n’as pas à te plaindre. Normalement, j’aurais dû te tuer, mais, comme tu m’es extrêmement sympathique, je vais plutôt te dresser, et faire de toi ma petite esclave. »

Il appuya sur une série de boutons, et des sifflements se firent entendre, puis des espèces de plaques blanches remontèrent alors de la machine, faisant disparaître les jambes et les bras de Rachele. Il pouvait également faire tomber sur le visage de Rachele une sorte de machine semi-cylindrique, qui s’arrêterait à hauteur de son nez, et l’aveuglerait de visions, mais, avant ça, Dowell déclencha une autre fonction.

Plusieurs clapets s’ouvrirent le long de la machine infernale, faisant notamment sortir une sorte d’appendice métallique avec, à son extrémité, une seringue, s’approchant du cou de la femme. Entre-temps, à hauteur de son bassin, depuis un autre clapet, deux tentacules se posèrent à hauteur de son vagin et de son anus, sans la pénétrer, mais les deux tentacules se rejoignaient ensuite en un tentacule immense, qui remonte mécaniquement jusqu’à la bouche de la femme, et se crispa dessus.

« Tu as retenu ta vessie, alors je vais t’aider un petit peu... Et, comme tu as bien hurlé, tu dois avoir la gorge sèche... Je vais donc épancher ta soif ! »

Alexandre s’amusa encore, et la seringue se planta dans le cou de la femme, diffusant un produit qui allait dilater sa vessie, et lui faire recracher tout ce qu’il y avait dans son estomac... Une grande quantité du liquide serait naturellement dissous par les sucs digestifs, mais, pour le reste, le liquide remonterait jusqu’aux tentacules, puis rejoindrait ensuite la bouche de la femme...

Ce que Dowell trouvait très excitant !
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le mercredi 23 novembre 2016, 18:15:35
Rachele pousse un hurlement de délivrance et de douleur en sentant les dents perverses des pinces libérer sa chaire. Libérée du courant qui dévorait son corps, elle voudrait se reposer et dormir, mais c'est à cet instant que le démon craque enfin et libère en elle son flot ininterrompu.

Les yeux écarquillés par la surprise et l'horreur elle sent ses énormes éjaculations commencer à la dilater de l'intérieur comme un ballon de foire. Il joui encore et encore, elle commence à avoir mal, sa peau se distant, son nombril sort de son creux délicat et son ventre se met à pousser contre le chevalet de torture, la comprimant douloureusement contre la planche.

Elle voudrait hurler "stop" elle voudrai le supplier d'arrêter, mais elle n'arrive plus à parler, juste à gémir, parfois de douleur, puis de plaisir, avant de se mettre à hurler de nouveau en sentant sa peau se zébrer de vergetures douloureuses. Au bout d'interminables minutes de souffrance, son ventre rond et délicat la suréleve carrément du chevalet, au point que sa tête ou ses seins ne touchent plus la planche. Dowell continue de venir en elle jusqu'à ce que la pression soit telle que son sperme remonte le long de sa queue et se met à gicler entre les interstices de la jeune femme.

Prostrée, Rachele gémit en dodelinant de la tête pendant que son tortionnaire la libère des entraves. Toujours bien enchâssé en elle, il la soulève et la tient empalée sur sa queue pendant qu'il la déplace dans la pièce. A bout de force, Rachele, la tête pendant dans le vide, se cache pudiquement le sexe entre les mains dans un geste désespéré de résistance.

Presque absente, elle se laisse attacher à un nouvel instrument de torture qu'elle avait ironiquement elle même préparée pour briser sa "victime". Elle revient à elle quand il lui dit qu'il veut faire d'elle sa nouvelle esclave.

"Non ! Non jamais ! Jamais je ne serais ton esclave !"

Ill est déjà trop tard, elle se débat comme une folle, faisant dandiner son énorme ventre plein comme une outre, mais les plaques remontent le long de ses bras et de ses jambes pour l’immobiliser totalement. Rachele voit avec horreur les deux tuyaux prendre place à l'embouchure de son sexe et de son anus et l'autre remonter vers sa bouche.

Non !! Noooooon !! Mmmmm mmmmm nnnnn ! Ses hurlements se muent en murmures plaintifs quand l' appendice cybernétique lui écarte les lèvres et les mâchoires pour maintenir sa bouche grande ouverte. Elle continue de se débattre et de gémir quand le grand disque de métal descend sur ses yeux et ses oreilles et recouvre la moitié de son visage.

Une lueur spectral et violente envahie sa vision et un motif en spiral parcouru d'images subliminales capte le regard de la belle. Elle lute quelques seconde et sa poitrine est parcourue de spasmes violent de défense. Puis ses yeux et ses iris s'ouvre de plus en plus grand et elle perd le contrôle de son corps qui se tend et se contracte tout entier. La belle comprend que ce programme d'hypnose n'est pas en train de la plonger dans un état de trans libératrice non... elle la contraint au contraire à rester parfaitement concentré et réceptives aux moindres sévices qui lui seront infligés, amplifient tout ses sens et déconnectant temporairement sa capacité à perdre conscience... rien ne la soustraira à ce que Dowell veut lui faire.

Quand la seringue perce la peau diaphane de sa gorge et s'enfonce dans son artère, Rachele la ressent comme une lame aiguisée que l'on passerai sur sa gorge pour faire de son corps une fontaine de sang chaud, mais la mort ne vient pas. Elle glousse de douleur et gémit en sentant un liquide chaud et gluant se mélanger à son sang et venir salir sa cervelle survoltée. Au même instant, le masque bombarde ses yeux d'images stroboscopiques de ce qui est en train de lui arriver.

Gaaaaaaaaaaaa ! Gémit elle au travers du masque en sentant sa vessie gonfler et lui écraser les organes de plaisir, elle est soudain prise d'une frénésie sexuelle irrépressible et commence à balancer des hanches. Mais très vite une nausée insupportable emporte son désir et la bile remonte de sa gorge. A cet instant précis les tuyaux stationné à l'embouchure de son anus et de son vagin la perforent  et se mettent à en succer tout le nectar.

Les mains de la belle se crispe et elle gémit si fort que Dowell peut entendre la moindre parcelle de dégout parcourir le timbre de sa voix. Il voit la cyprine translucide de la jeune femme se mélanger au litres de foutre encore brulant de son cul dans le tuyaux central et remonter vers la gorge de la prisonnière qui se crispe si fort qu'il peut voir chacun de ses tendons blanchir sous sa peau halée.

Prisonnière de la machine infernale qui lui refuse l’indispensable oubli de la perte de connaissance, Rachele se met à déglutir brouillement, sa gorge parcouru d'énormes boules qui descendent vers son estomac. Elle ressent tout, les tuyaux qui la violent, le gout indéfinissable du sperme vampirique et de sa propre mouille. Elle en ressent chaque saveur, dégoutantes ou ragoutantes, elle sent son petit estomac d'humaine gonfler et se dilater à mesure que ses intestins se vident de la semence.

Incapable de fermer les yeux, elle regarde les images subliminales de son corps qui se déforme dans l'autre sens pendant qu'elle boit, encore et encore, jusqu'au moment ou s'en est trop, ou le calvaire projette son esprit contre les récifs de la folie furieuse et où elle commence à trembler nerveusement malgré l'hypnose. Mais la machine refuse de libérer son esprit, et elle continue de boire et de souffrir jusqu'à ce que son cul se soit totalement vidé dans son estomac et son vagin ai été drainé de toute sa mouille au point que sa chaire reste collée au tuyaux.

Sa respiration reprend et fait gonfler son énorme poitrine couverte de sueur. Son corps prisonnier de la machine, le ventre maintenant déformé à l'estomac bouge au rythme de sa respiration, maintenu dans une tension animal qui lui donne l'aspect d'une bête de sexe enchainée plutôt que d'un être humain.
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le jeudi 24 novembre 2016, 02:40:22
Cette machine infernale empêchait le prisonnier de se réfugier dans le coma, par le biais de bombardements lumineux, d’ondes ultrasonores, et de capsules libérant de fortes odeurs. Impossible de dormir, et, à chaque fois que Rachele commençait à partir, les capteurs de la machine de torture, en la sentant sur le point de s’endormir, la réveillaient brutalement. Aucun abri, aucun refuge, Dowell était bluffé par les capacités de cette machine. Et on osait ensuite dire que les Ashnardiens étaient barbares... Nu, le corps toujours partiellement recouvert de sang, Alexandre pianota à nouveau sur son clavier, et observa ensuite la scène. Rachele se tortillait sur place, gémissant. Honte ? Fureur ? Clémence ? Il ignorait ce qui dominait le plus chez elle, et, sa main alla caresser l’une de ses jambes. Alexandre souriait, mais, alors que la femme buvait ce qu’elle recrachait, regonflant ainsi son ventre, l’homme se mit à sentir son érection repartir encore. Un léger soupir s’échappa de ses lèvres, tandis qu’il griffait légèrement la jambe de la femme. Elle n’avait plus rien de son élégance sensuelle et fatale. En ce moment, elle ressemblait à une traînée en train de se faire saillir. Rien de plus, et rien de moins.

*Mais ne t’inquiète pas, ma beauté, j’ai plein de projets pour toi...*

Cessant de la contempler, le redoutable vampire commença à explorer davantage la pièce. Il y avait plusieurs placards, qu’il ouvrit, voyant différents instruments de torture, incluant des pinces, des crochets, des couteaux... Et des instruments plus sexuels aussi, notamment différentes catsuits avec des godes intégrés, et des électrodes sur le corps. Visiblement, cette femme avait ses fournisseurs auprès de la société tekhane, et la main d’Alexandre alla s’attarder sur l’une de ces combinaisons, un fin sourire se dessinant sur ses lèvres, tandis qu’une idée s’immisça dans son esprit, faisant grossir encore son phallus.

*Mais... Pas tout de suite... Profitons encore de cette pièce...*

Le programme torturant Rachele s’arrêta de lui-même, et les tentacules se retirèrent, permettant à la femme de se relâcher. Si elle résistait, une seringue viendrait la planter dans le cou, pour dilater son estomac. C’est ainsi que, pendant près d’une minute, Rachele se mit à uriner violemment, répandant une épaisse flaque jaune qui glissa le long de ses jambes, et tomba sur le sol. Son ventre mit plusieurs minutes à reprendre sa forme normale, pendant qu’elle avait toujours, autour de son visage, le casque virtuel.

Alexandre finit par revenir vers elle, et le casque se retira, libérant ainsi le visage de la femme. Elle semblait épuisée, hagarde, et il sourit lentement, approchant sa main, venant caresser son visage, avant d’y donner une petite gifle.

« Ne t’endors pas si vite, ton dressage ne fait que commencer. Je me demande ce que cette formidable machine peut faire d’autre, pas toi ? Oh, mais suis-je bête... Tu dois déjà le savoir, vu que tu as déjà dû t’en servir à de nombreuses occasions... »

Dowell sourit à nouveau, un sourire cruel et vicieux, et retourna devant le terminal de la machine, puis pianota à nouveau dessus, cherchant quoi faire. Malgré son érection imposante, le vampire parvenait à rester calme. Maître de ses émotions, il appuya sur des boutons, et la machine se mit à vrombir à nouveau.. Deux compartiments s’ouvrirent, desquels sortirent deux tentacules, qui se posèrent sur les seins de la femme. Cependant, à l’extrémité de ces tentacules, il y avait des sortes de grosses ventouses en verre, translucides, qui se plaquèrent sur les seins de la femme, les enfermant. Les ventouses se mirent alors à vibrer, pendant que la cage d’acier, à hauteur du visage de Rachele, se referma.

Quant aux tentacules situés contre les seins de la jeune femme, ils restèrent posés sur eux, mais, le long du tentacule, l’extrémité s’ouvrit, laissant pointer des espèces de longues langues. Il y en avait quatre, et elles filèrent alors sur les seins de la femme, les léchant... Et les électrifiant encore.

Pendant ce temps, de nouveaux tentacules phalliques allèrent pénétrer le vagin et l’anus de Rachele, ainsi qu’un autre, qui s’enfonça violemment dans sa bouche, avec cette particularité que chaque tentacule disposait, à son extrémité, d’une caméra, permettant ainsi à Rachele de voir ses entrailles.

« Alors, petite traînée, dis-moi... Jusqu’où crois-tu qu’ils pourront aller, comme ça, dans ton corps, hm ? »

C’était l’occasion de le voir ! Le tentacule dans la bouche de la femme entreprit en effet de s’enfoncer plus profondément dans sa gorge...
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le samedi 25 mars 2017, 19:47:07
Les tentacules de silicone quittent enfin les différents orifices de la belle au moment où la machine libère son visage. Dans un gémissement de honte et de délivrance, Rachele sent sa vessie la trahir, elle se vider lourdement sur le sol en un long et répugnant clapotis. Elle baisse la tête pour cacher à son tortionnaire les larmes naissances au coin de ses yeux rougis et exorbités. L'esprit encore prisonnier de l'hypnose, elle n'arrive pas à les fermer ou même à cligner ou battre des cils. Elle respire lourdement, chacune de ses inspirations fait bondir lentement sa poitrine luisante de sueur.

Quand il approche une main de son visage, elle essai de l'éviter mais n'y parvient pas. En voyant ses iris complètement ouverts et ses yeux à demi révulsés, il comprend que le bouclier généré par la volonté de fer de la jeune femme c'est fendu. Il sait alors qu'il lui sera désormais plus facile de s'immiscer dans son esprit pour le transformer, soit par ses pouvoirs psychiques, soit en utilisant d'autres programmes d'hypnose et de lavage de cerveau de la machine: "Protocole Slut", "Protocole Doll", "Protocole Cow", "Erase memory", "Temporary Lobotomy".

Rachele reçoit la gifle, elle dégage rageusement son visage et se contente de lui répondre d'une voix cassée mais toujours séduisante:

- Va te faire foutre cadavre... *crache*

Preuve qu'elle lutte encore contre l'inéluctable, même si elle sait effectivement de quoi est capable cette machine vue qu'elle s'en est servie pour transformer de nombreuses jeunes femmes, y compris des revêches et intelligentes comme elle en bête de sexe totalement stupides et serviles.

La résistance de la mafieuse ne dissuade pas le vampire qui se retourne vers la console. Intrigué, il lance le "Protocole Cow", la machine se met à vrombir et deux nouveaux tentacules s'enroulent autour de ses seins et emprisonnent ses mamelons dans un bruit de sussion.
De petit filaments sortent du tuyaux et viennent caresser les tétons de la jeune femme en leur infligeant de petites décharges. La cage de fer retombe sur les yeux de Rachele qui reconnait cette première étape et pousse un cris de désespoir.

- Seigneur ! Pitié ! Seigneur dieu non ! Arrêtez ! Arrêtez ça ! HA !

Deux tentacules s'enfoncent sans vergogne dans son intimité et son fondement pour toute réponse.
Celui qui s'enfonce dans son anus est un simple god vibrant de bonne taille qui lui procure instantanément douleur et excitation. L'autre en revanche est long et en acier chirurgical. Depuis le moniteur, Alexandre voit tout, et Rachele aussi à cause de l'écran qui la captive. L'instrument de torture fore l'intimité de la jeune femme et traverse le col de son utérus en lui arrachant un petit soupir de douleur. Il se loge bien au fond mais au lieux de se mettre à vibrer ou d'aller et venir, il s'ouvre et deux sondes serpentent le long des trompes de fallopes de la jeune femme qui se dandine en sentant un fourmillement étrange remonter dans son bas ventre.

- Non ! Arrêtez ! Arrêtez le maintenant ! Seigneur dieu stop mainteGllllggl...

Le dernier tuyau commence à s'enfoncer dans la gorge de la mafieuse, lui déformant la trachée au passage. Il fait de longs va et viens et commence à presser contre le clapet de son estomac, offrant aux deux spectateurs le spectacle de sa gorge profonde qui s'ouvre et se referme sur ses aller retour.

Mais ce n'est qu'un détail au regard de qu'elle ressent plus bas... et qu'elle crains par dessus tout. Les sondes sont remonté jusqu'à atteindre ses ovaires, de grosses seringues de plastique en sortent alors et perforent ses deux petites usines.

- Gaaaaalll...

Gémit elle en se sentant pénétrer si intimement, de nouvelles larmes coulent sur ses joues. Il est trop tard et elle le sait, le "Protocole Cow" ne peut plus être annulé...

Les deux perfusions commencent à cracher un flot d’hormones et de matériel génétique qui font gonfler ses ovaires et perturbent leur cycle d'ovulation pour la transformer en véritable pondeuse. Au même instant, le tentacule buccale s'enfonce dans son estomac et y déverse une substance rose et gluante. Les hormones s'enfoncent dans son flux sanguin et remontent vers ses seins et sa tête, Rachele se met à respirer de plus en plus vite, face à ce qui va lui arriver, elle panique.

Soumis à cette mutation brutale, les seins de la belle grossissent à vue d’œil, les petites décharges des filaments font désormais gonfler ses tétons et de petits orifices commencent à s'y ouvrier.
La belle sent que le moment approche, elle sent un nouveau fourmillement insupportable enfler en elle et soudain s'arrêter, elle hurle un "non" silencieux et désespéré... elle vient d'ovuler.

Sans attendre le god d'acier logé dans son utérus se met à cracher un sperme épais, visqueux et à l'odeur si forte que même Alexandre le sent, et devine qu'il n'a rien de naturel. Un minuscule tentacule vient finalement s'enrouler autour du clitoris de la belle pour lui porter le coup de grâce.
Des images recommencent à défiler devant les yeux de Rachele à une vitesse folle pendant que de petites décharges électriques sur ses tempes et son front lui brûlent les méninges pour lui laver le cerveau.

Sa respiration se calme et devient roque, la belle mafieuse commence à gémir de plaisir alors que le tentacule lui masse le clitoris avec lenteur et brutalité. Comme pour la fécondation des animaux d'élevage comme la vache ou la jument, Alexandre comprend que la machine la fait jouir pour améliorer la fertilisation. Rachele pousse un râle de plaisir et tout son corps s'abandonne et s'ouvre à sa nouvelle fonction. Les filament sur ses seins s'enfoncent alors brutalement par l'orifice des tétons et les écartent pendant que les tentacule enroulés autour de mes mamelons se contractent avec violence. Le lait de la jeune femme commence à jaillir en longues traînées blanches.

Autrefois si fière, la jeune femme convulse désormais par acoups de douleur ou de jouissance en sécrétant du lait comme une bête de somme.



Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le lundi 27 mars 2017, 00:53:32
Alexandre devait bien reconnaître que son approche de la torture était très conventionnelle, très traditionnelle, et qu’il ignorait les subtilités sexuelles des appareils tekhans. Cette machine était réellement fascinante. Chaque tentacule disposait d’une caméra permettant de voir ce qui se passait dans le corps de la femme, ainsi que difrférents schémas et capteurs. Ainsi, tout en la pénétrant avec les tentacules, Alexandre voyait, sur un schéma, en temps réel, ce qui se passait. C’est ainsi qu’il vit le tentacule en silicone s’enfoncer dans la bouche de la femme, optant pour une variante d’une coloscopie, en s’enfonçant profondément dans sa trachée, dans son corps, pour atteindre son estomac. Une longue tige rejoignant les autres. Le mode qu’il avait lancé, « Protocole Crew », était l’un des plus intenses, et aucune alarme ne vint l’avertir que la cobaye subissait un état critique nécessitant d’arrêter l’opération. Rien de tout cela n’arrivait, et Alexandre observait donc, tout en ressentant une singulière et étrange excitation devant ce spectacle technologique. L’appareil bourdonnait en elle, en s’enfonçant dans les tréfonds de son organisme.

*On arrête pas le progrès, cette machine est tout à fait fascinante...*

De base, Dowell n’aimait guère Tekhos. Les Tekhanes étaient insupportables à ses yeux, des mégères sexistes qui le toisaient de haut. Un phénomène insupportable pour le fier vampire qu’il était. Pour autant, il devait bien admettre que cette machine était fascinante. Qui sait ? Peut-être qu’il en commandera une, lui aussi ? Pendant ce temps, Rachele gémissait et soupirait, pleurant silencieusement, tandis que les tentacules de silicone eurent l’effet escompté, en la faisant ovuler.

*Tout ça ne vise qu’à améliorer l’état d’une femme, afin de la rendre enceinte...*

Dieu sait quel esprit pervers avait bien pu concevoir ce mécanisme. Le lait abonda des seins de la femme, tandis que le programme s’était terminé. Les tentacules se replièrent alors, et laissèrent la femme étalée sur la table. Alexandre n’en avait toutefois pas encore fini avec la machine, et, tel un apprenti-sorcier jubilant devant une machine infernale, déclencha un autre programme : « Protocole Slut ».

La machine se mit à vrombir, et un nouveau tentacule s’enfonça dans la bouche de la femme, et répandit d’épaisses quantités d’eau en elle pendant de longues secondes. Son ventre s’arrondit donc, puis le tentacule se retira ensuite, et fut remplacé par un autre tentacule, très particulier, qui s’enfonça dans l’appareil urinaire de la femme, avant de monter pour s’enfoncer dans sa bouche.

*Oh, je vois...*

Des vibrations jaillirent alors de l’appareil, notamment à hauteur du ventre de la femme, stimulant le rein gauche, qui était, au niveau anatomique, à la base du fonctionnement urinaire. La vessie de Rachele se remplit ensuite. On estimait, en moyenne, que le besoin d’uriner se faisait ressentir chez une personne quand la vessie se remplissait à 250 mL. Et là, sur les écrans, Alexandre pouvait voir une jauge se remplir considérablement, correspondant au taux de liquide contenu dans la vessie de Rachele. Même si elle avait beau résister, elle ne pouvait pas lutter, car la machine continuait à la presser. Toute cette eau devait bien ressortir... Ce qui se passa donc.

Rachele finit par pisser, et l’urine fut aspiré dans le tentacule, remonta le long de ce dernier, et entra dans sa bouche. Alexandre esquissa un sourire cruel, et s’écarta de la machine, puis se rapprocha de sa proie. Le casque virtuel sur sa tête lui fut retiré, et son regard croisa le sien.

« Tu aimes ça, ma salope ? Ce n’est que le début... Tu as dû beaucoup t’amuser sur cette machine, sale pute... »

Elle continuait à boire l’urine qu’elle sécrétait, et, comme elle ingérait ce qu’elle recrachait, elle était dans un véritable cercle vicieux. Alexandre récupéra le casque, et actionna la vidéo liée au protocole « Slut ».

« Je te laisse, je vais me changer... Et préparer ta nouvelle tenue... »

Pour qu’elle ne s’ennuie pas, il lui remit le casque sur la tête. C’était un film porno particulièrement hard, sur une femme qui se faisait sexuellement torturer. Alexandre, lui, entreprit d’enlever le sang qu’il y avait sur son corps, puis ouvrit un placard, et enfila puis sourit en voyant les tenues qu’il comptait utiliser pour sortir : une  combinaison moulante intégrale en latex (http://img110.xooimage.com/files/a/1/1/33-51ea999.jpg) pour lui, et pareille pour Rachele... Si ce n’est qu’il s’agissait d’une horse suit (http://img110.xooimage.com/files/3/a/3/tumblr_nezok3iy4t...no1_1280-51ea99b.jpg).

Alexandre entreprit donc d’enfiler sa combinaison, ce qui prit bien de nombreuses minutes, minutes pendant lesquelles Rachele continuait à être torturée par la machine. Alexandre la stoppa ensuite, et, pour s’assurer de pouvoir l’habiller plus simplement, déclencha le programme « Temporary Lobotomy ». Tout ce qu’il voulait était la mettre groggy pendant quelques minutes, le temps de l’habiller, et de pouvoir sortir d’ici.

Il aurait pu tout simplement partir d’ici, mais Alexandre avait bien des projets pour cette femme... Des projets qui nécessitaient de l’emmener en lieu sûr.

Le vampire enclencha donc le dernier programme, et la machine se mit à bourdonner de nouveau...
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le lundi 27 mars 2017, 21:35:26
Le premier protocole s'arrête enfin après qu'il ai forcé la belle insoumise à produire deux litres de lait proprement conservés dans de grands tubes qui hornent désormais le flan de la machine. Enfin libérée de ce cicle infernal, Rachele les yeux écarquillés par l'incrédulité les degarde avec horreur, réalisant que cela vient d'elle, et que le temps lui est désormais compté. Elle doit se libérer de cet embrillon génétiquement modifié ou il se sera devellopé en un mois comme un enfant normal en sept ! Et elle refuse cette idée, elle refuse l'idée d'etre une simple femelle enceinte, une génisse ou une jument qui attend son maitre pour mettre bas dans la douleur et l'abêtissement provoqué par l'enfantement.

Son attention est alors capté par le bruit des doigts d'Alexandre qui parcourent à nouveau la console. Elle se tourne alors vers lui empressement pour lui crier d'arrêter, mais un nouveau tuyaux s'enfonce dans sa bouche.

- Mmmmmm ! MMMMMM !

Elle essai de gémir le plus fort possible pour attirer son attention, pour lui faire comprendre qu'il doit la laisser parler. Elle doit lui dire, le supplier, lui expliquer que les protocoles sont dangereux et peuvent rendre folle ! L'utilisation d'un second protocole juste après le premier peu provoquer de graves dommages cérébraux et psychique quand un troisième peut les rendre permanent, elle doit le lui dire.
Mais rien n'y fait et un nouveau liquide commence à inonder son estomac et le distandre, lui arrachant un gémissement hachuré de pleurs de désarroi. Les fourmillements reprennent dans son bas ventre et le gout hapre et répugnant de l'urine remonte vers sa gorge et ses narines tans son estomac en est rempli.

En regardant l'intérieur du casque, Alexandre remarque que le film porno qui tourne n'en est pas vraiment un avec un début un milieux une fin. Il s'agit plutôt de scènes flash d'une pornographie sado-masochiste et d'une rapidité extrême que seul son esprit vampirique ascéré permet de suivre totalement d'un seul coup. Entrecoupés d'images colorées et aux formes géométriques insupportables même pour son regard. Le tout appuyé par des messages subliminaux d'une violence inouie et des mots brefs comme "pute" "slut" "obeit" "salope" "tu n'as pas de nom" "tu n'es personne" etc etc...

En posant les doigts sur le rebord, là où se trouve le front et les tempes de la victime, le vampire sent une étrange douleur élèctrique parcourir sa main, il comprend qu'un courant passe à cet endroit clef pour stimuler, altérer ou détruire des zones particuliaires du cerveau comme la mémoire ou la personnalité.

Quand il le repose sur le visage de Rachele, elle reconnait le programme en cours et se débat de plus belle. Elle ne peut pas hurler à cause de ses déglutitions incessantes, mais elle essai quand même pour qu'il arrête tout avant qu'il ne soit trop tard pour elle. Mais il c'est déjà éloigné d'elle et se moque de ses gesticulations. Un nouveau gout se mêle à celui de l'urine et Rachele sait qu'il est trop tard. La machine l'abreuve désormais d'hormones de synthèse qui font litéralement exploser sa libido et provoquent des mutations sexuelles. Sous les yeux du vampire, les lèvres, bucales comme vaginales, de la prisonnière commencent à gonfler, à rougir et à s'épaissir pendant que son mont de vénus se libère de lui-même de sa gangue de chaire pour venir troner fierement au dessus de sa vulve. Ses seins, déjà beau et de bonne taille, grossissent à leur tour, l'auréole de ses tétons s'étend comme l'ombre d'un arbre et ses tétons se gorgent de sang au point de noircir.


" Non... je... non... je... suis... Rachele je... je dois résister... non je... je veux.... je veux baiser... non... pas ça, je... ha sexe... non... je suis..."

Désespérée et a bout de force, l'esprit et le corp ravagé par l'envie de ce faire baiser, Rachele ne parvient plus à lutter contre les suggestions du masque posé sur ses yeux et qui abreuve son esprit d'images pornographiques. Le bouclier de sa volonté craque et sa psychée s'ouvre tout entiere au lavage.

"Ha... bite... baiser... veux... bite... baiser... baiser... sexe... queue..."

Les élèctrochocs parcourent sa matière grise et stimulent sa mémoire pour la forcer à enmagaziner tout ce qu'elle voit entend et ressent d'un seul coup. Alexandre remarque un changement dans le comportement de la belle, elle à arrêté progressivement de se débattre, est resté prostré quelques instants, et commence maintenant à gémir comme une chienne en chaleur et à frotter son cul contre la machine dans l'espoir qu'un nouveau god reviendra la défoncer. Le programme slut à comme son nom l'indique, pour fonction de transformer sa victime en salope nymphomane.

Quand il revient enfin vêtu comme il le désir, les mouvements de la belle sont devenu plus frénétiques, l'esprit surchauffé cherchant follement à trouver un moyen de jouir.

Le casque se retire, Alexandre remarque que si la Rachele qu'il a rencontré est toujours bel et bien la, elle est désormais dévorée par la nymphomanie et ne parvient plus à maitriser ses pulsions.
Quand il actionne le dernier protocole, il lui porte le coup de grace et en voyant le choix qu'il à fait, elle lui lance un regard terrorisé.  Un arceau d'acier s'enroule autour de son front et l'empèche de bouger.
Le vampire entend un grand "TCHAK" quand une sonde minuscule s'enfonce au sommet du crâne de Rachele. L'oeil gauche de la belle roule dans son orbite pendant que le droit part vers la droite, sa bouche s'ouvre à moitié et un mince filet de salive se met à couler le long de sa lèvre. Au moniteur, Alexandre regarde la sonde s'enfoncer dans la matière grise de la jeune femme, sectionner le noeud corticale, la transformant en esclave décérébrée et ressortir en laissant au passage une petite puce élèctronique qui compensera désormais les effets de la chirurgie.

Quand il la libère, la "chose" Rachele est très calme, elle respire lentement et regarde dans le vague, les yeux mis clos et la bouche toujours entrouverte. Quand il lui ordonne de se laisser faire pendant qu'il l'habile, elle le laisse faire en fixant devant elle le mur nu de la cave. Une fois totalement vêtu, il s'empare du petit boitier de télécommande qui contrôle désormais l'implant de Rachele, libre de la faire passer de l'état de conscience à celui de zombi...
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le lundi 03 avril 2017, 00:01:15
Fascinante technologie... C’était même un peu de la triche. Alexandre n’était toutefois pas convaincu de l’efficacité assurée de cette sonde sur le long terme. Pour lui, tout ça ressemblait à un gadget, qui devait se faire en accompagnement du dressage qu’il était en train de prodiguer. Écrasée sur place, Rachele avait perdu de sa superbe, et, après lui avoir inséré cette sonde, Alexandre la libéra. Le corps nu de Rachele s’effondra mollement sur le sol, tel un pantin désarticulé, le temps que Dowell coupe la sonde. Il entendit alors la femme gémir et se tortiller, dévorée par des pulsions sexuelles incontrôlables. Alexandre se rapprocha lentement d’elle, la dominant de sa hauteur, son sexe en érection moulé par cette combinaison noire.

*Que dirait ma sœur si elle me voyait ainsi ? Rien que pour ce que tu me forces à faire, Rachele, ta punition ne fait que commencer...*

Alexandre se pencha vers elle, et vit cette dernière se crisper à lui, cherchant instinctivement un besoin de sexe. Pour la calmer, Alexandre la gifla sèchement, et la femme s’écroula au sol.

« Tu ne croyais quand même pas que j’allais te fourrer, sale pute ? Mais ne t’inquiète pas, je vais m’occuper de ta soif de salope... »

Récupérant la combinaison, il entreprit de la mettre sur le corps de la femme. Cette dernière comprenait des vibromasseurs, et il veilla à les enfoncer dans les trous de Rachele, l’un dans son vagin, l’autre dans ses fesses, le vibromasseur anal étant à la base d’une queue de cheval. Le masque comprenait également un gode interne, dirigé vers la bouche. Alexandre retourna la femme sur le dos, relevant la combinaison, la faisant passer dans les bras de la femme, puis remonta la combinaison, et glissa les cheveux de la femme dans sa crinière en latex. Elle avait beau gémir ou vouloir se tortiller, Alexandre contrôlait les choses.

Il lui fallut plusieurs minutes pour enfiler l’intégralité de la combinaison sur le corps de la femme, puis de l’attacher ensuite avec les sangles. Les vibromasseurs remuaient dans le corps de la femme, la prenant par le vagin, par l’anus, et par la bouche, s’enfonçant au fond de sa bouche. Alexandre caressa ensuite le corps de la femme, notamment sa croupe, qu’il pinça, souriant en la voyant se tortiller sur place. Sa main se saisit ensuite d’un petit boîtier relié à la combinaison, et il accéléra la vitesse des vibromasseurs, laissant la femme jouir à plusieurs reprises, pour retrouver un semblant de calme.

Lorsque son corps commença à cesser de remuer, Dowell récupéra un collier, et le mit autour du cou de la femme, avec une laisse sur laquelle il se mit à tirer.

« Avance, salope ! »

En cas de résistance, il n’hésiterait pas à enclencher la télécommande pour taire ses velléités. Dans l’idéal, Alexandre la préférait néanmoins consciente, et il finit finalement par sortir de la pièce, arrivant dans un couloir sombre et étroit.

*Plus qu’à sortir d’ici, maintenant...*

Alexandre s’avança droit devant lui, cherchant à trouver un moyen de sortie. Il y avait de multiples portes closes, et ses pas le guidèrent vers un poste de contrôle avec un agent de sécurité, un homme ventripotent en costume de sécurité.

« Je promène ma chienne, elle a besoin d’aller à l’air libre. »

L’agent de sécurité était assis derrière un bureau, les joues en sueur, un magazine porno devant lui, et une belle érection. Il cligna des yeux à plusieurs reprises, regarda la femme dans la combinaison. Si seulement il savait qui se trouvait là-dessous... Cette perspective durcit encore l’érection d’Alexandre.

« Si vous voulez... Prenez le couloir par la gauche, évitez d’aller directement dans le casino.
 -  Oh... J’aurais aimé que ma chienne rencontre de nouvelles personnes, elle est en manque d’affection, vous voyez...
 -  Ah ?
 -  Dans ce cas, peut-être voudriez-bien vous dévouer à cette tâche ? »

L’agent réfléchit un peu, se pinça les lèvres, observa la grosseur des seins de la femme prisonnière dans la combinaison.

« À moins que vous ne préféreriez vous branler derrière votre magazine pour adolescents... »

Cette dernière possibilité sembla ravir le cœur de l’homme, qui se redressa brusquement, et déboutonna la ceinture de son pantalon. Ses mains caressèrent et pincèrent les fesses de Rachele, tandis que sa queue l’élançait encore, bien dure et bien tendue. Alexandre sourit silencieusement, tandis que l’homme, qui travaillait pour Rachel, retirait le tail butt plug de la femme, et glissait à la place sa queue, venant ainsi la sodomiser sans ménagement.

« Oh oui, putain... »

Et l’humiliation de Rachele ne faisait que commencer...
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le lundi 24 avril 2017, 20:05:51
A mesure que les minutes passent, l'implant reconstitue le cerveau ravagé de la jeune femme et sa conscience lui revient bribe par bribe, comme si elle se reveillait d'une longue et écrasante anestésie.

Elle revient soudainement à elle en sentant monter dans son ventre un orgasme extraordinaire qui souille sa combinaison moulante de sa mouille éjaculée avec violence. Le vampire en voit les goutes qui suintent de chaque interstice.

Rachele regarde autour d'elle, réalise de quoi elle est vétue et la posture humiliante dans laquelle elle se trouve. Elle se met à gémir de désespoir et Alexandre sent dans l'air la fragrance salée de ses larmes.

Elle prend conscience des gods qu'il lui a enfoncé pendant qu'elle n'était qu'une poupée décérébrée et lutte désespérément contre ses nouvelles pulsions nymphomaniaque. Tout lui revient, le lavage de cerveau, le programme "slut", les drogues, l'insémination artificielle. Elle réalise avec violence dans quelle situation désespérée elle se trouve et la necessité pour elle de s'échapper avant qu'elle ne soit totalement brisée et convertie au vampire. Nul doute qu'avec le temps, il trouverait la clef de son âme et la rédurait au même état que les esclaves volontaires qui le reveillent tous les matins.

Mais à peine commence t'elle à réfléchir de nouveau qu'il lui passe un collier au coup et l'entraine avec brutalité vers la sortie en criant: « Avance, salope ! »

Elle gémit et lui obeit, priant tout les dieux de sa Sicile natale pour qu'il soit arreté par ses gardes, pour qu'ils croisent quelqu'un qui la délivre. Ils commencent à parcourir le dédale qui les mènera hors du Rachele's, la baronne n'en revient pas qu'il sache parfaitement où se diriger, probablement un de ses pouvoirs de vampires. Mais elle sait aussi qu'ils croiseront obligatoirement un garde sur le passage...

Ils arrivent enfin devant le poste de garde et Rachele voit déjà la fin de son cauchemare. Le vampire va de toute évidence tenter de tuer le gardien et les sirènes du complexe vont retentir, appellant tout les gardes des lieux. Elle lutte maintenant depuis de nombreuses minutes pour ne pas céder aux orgasmes que tente de lui imposer les gods fichés dans sa chaire et elle sent qu'elle ne tiendra plus très longtemps, elle à hate d'etre enfin délivrée.

Mais au lieux de l'attacher là et de se ruer vers la fenètre blindé, le vampire continue tranquillement son chemin en la gardant en laisse. "Mais que fait il ? Pourquoi..." se dit elle en grognant sous son bayon god.

Elle reconnait le garde en faction, c'est Joel, qu'elle surnome souvent "Jojo le gros" pour se moquer de lui. Un individu qu'elle méprise au plus haut point et dont l'odeur et l'humidité suante la répugne; mais qui lui doit des milliers de dollars de dette de jeu. Mais ce n'est pas grave, il va la reconnaitre et il va appeller la garde... Mais soudain elle réalise... elle porte un masque... il ne la reconnaitra pas !

- Je promène ma chienne, elle a besoin d’aller à l’air libre.

- NNNNNNNh ! NNNNNNh !

Tente t'elle de hurler sous son bayon, les yeux exorbité par la peur. Elle doit lui faire comprendre qu'il y a quelque chose d'anormal, qu'il doit agir, qu'il doit la libérer !

- Si vous voulez... Prenez le couloir par la gauche, évitez d’aller directement dans le casino.

- NNNH ?!

Eructe Rachele en levant la tête de surprise. "Non... il ne peut pas être con à ce point ?!" Hurle t'elle intérieurement.

-  Oh... J’aurais aimé que ma chienne rencontre de nouvelles personnes, elle est en manque d’affection, vous voyez...

-  Ah ?

-  Dans ce cas, peut-être voudriez-bien vous dévouer à cette tâche ?

Cette simple idée donne à Rachele la nausée et elle hoquette de dégout. Elle recommence à hurler dans son baillon en tentant de plonger son regard dans celui du gros idiot pour qu'il la reconnaisse.

-À moins que vous ne préféreriez vous branler derrière votre magazine pour adolescents...

- Nnnnnn ! Nnnnnn...

Gémit elle en se remettant à pleurer de desespoir et de dégout, tentant de forcer sur les liens de cuir qui lui nouent les membres. Elle le supplie du regard pour qu'il la délivre, mais lui ne lui renvoit qu'une oeillade lubrique et porcine.

Il se dresse et la retourne comme un jouet, ignorant les hurlements toujours plus forts de la jeune femme qui se débat désesperement dans sa tunique moulante.

Quand il lui retire le plug anal, Rachele lache un râle de soulagement et essai de serrer les cuisses pour l'empécher de passer. Mais le gros porc à de la force,  il lui pince les fesses et les écarte sans difficulté.

Elle gémit une dernière fois et se contracte toute entière en sentant son gland se présenter contre sa petite porte rose, distandue par le plug anal. Elle tourne la tête dans sa direction pour le supplier un encore du regard. Mais il l'interromp dans son mouvement en commençant à la pénétrer de son pénis gras et boursouflé, lui arrachant un long mugissement d'horreur, de dégout, mais aussi, de plaisir.

Le front collé contre le sol comme une prière dévoyée, Rachele, déjà excitée et ravagée par le travail incessant des vibromasseurs, ne parvient plus à se retenir et jouit dès la première pénétration.
Son odeur la dégoute, sa sueur coule sur sa tunique et l'impregne de ses fragrances acides, ses doigts, posés sur sa peau délicate et douce, y déposent une pelicule de crasse et de graisse résiduelle.
Et malgré ça, quand il s'extirpe d'elle en gémissant pour la pénétrer de nouveau, un nouvel orgasme vient faucher son corps, et surtout son orgueil.

Il entre en elle et en ressort encore quelques fois, puis pousse un grognement animal et répugnant alors que tout son corps se crispe, que ses mains se referment et lui écrase les hanches par lesquelles il la tiens.

- nnnnnnnnn !

Gémit Rachele horrifiée, paralisée par le dégout et la honte, en sentant la semence épaise et grace de son larbin lui remplir le cul rasades après rasades. Jojo s'extirpe difficilement du corps profané de la belle qui se remet à pleurer en sentant les reste de son sperme ressortir de son anus meutrie et à demi ouvert pour dégouliner vers sa vulve.
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le mardi 02 mai 2017, 00:07:01
Pour cette femme, l’humiliation était perceptible. Là, prisonnière dans sa horse suit, elle ne pouvait plus que subir, gesticuler, se tortiller, et ce vainement. Joël, le garde, n’était effectivement pas un canon de beauté. Gros et gras, il traîna sa carcasse bedonnante, ses grosses paluches rouges le faisant ressembler à un porc barbu qui n’avait pas eu l’occasion de goûter à une femme depuis bien trop longtemps pour refuser une telle offre. Impossible, pour lui, de reconnaître Rachel, et la combinaison, en moulant à la perfection les formes de la Sicilienne, ne faisait que la rendre plus attirante encore. Comment résister contre ces lourds seins, ces hanches parfaites, les formes harmonieuses de ce corps langoureux ? Ça, elle avait de la chance d’être aussi belle. Dans le cas contraire, Alexandre l’aurait sûrement tué. Il avait des projets pour elle, ne se limitant pas juste à l’humilier et à la briser. Cette femme était douée, disposant d’un petit empire criminel dont il aurait eu grand tort de se priver. Là, avec Joël, il s‘agissait juste d’une petite vengeance personnelle, et une satisfaction jubilatoire s’empara de lui au fur et à mesure que Rachele protestait.

Malheureusement pour elle, ses gémissements et couinements renforcèrent l’excitation du vigile, qui posa ses grosses mains sur les fesses de la femme, appréciant le contact de ce cul, massant les fesses de la femme en faisant crisser le latex, puis s’enfonça en elle. Sa résistance, en tentant de serrer les fesses, le fit grogner, mais, après avoir eu dans les fesses un gode anal, Rachele ne put pas lutter contre la dilatation rapide de son anus.

« Ouiii... Tu résistes, hein... S-Salope... »

Sa grosse main s’abattit sèchement sur les fesses de la femme, et, après cette claque, il la pinça, tout en se glissant en elle. Sa queue fila rapidement jusqu’à la garde, et, même s’il fallait bien admettre que Joël n’était pas très beau, il avait, au moins, une belle verge. Très excité, l’homme ne put retenir sa belle érection, et commença à remuer, filant d’avant en arrière, s’absorbant pleinement dans sa tâche, sous les yeux d’un Dowell particulièrement amusé.

*Violée et humiliée par ses propres hommes... N’est-ce pas particulièrement infamant ?*

Jubilant en silence, Alexandre avait croisé les bras, et observa la scène. C’était une belle sodomie, qui s’avéra aussi intense que brève. Grâce à ses sens sanguins, il perçut le premier orgasme de Rachele, qui vint très vite, confirmant que, en son for intérieur, Rachele n’était qu’une soumise... Une soumise qui avait surement rejeté cet état de fait, pour se complaire dans une domination sexuelle et particulièrement cruelle, dont le seul but était de la convaincre qu’elle n’aimait pas la soumission. C’était une nécessité, dans un environnement criminel, et quand on était aussi belle. On ne pouvait tout simplement pas apparaître faible.

Alexandre laissa Joël jouir dans ses fesses, l’homme fermant les yeux en crispant ses mains sur les hanches de la femme. Il s’abattait avec force sur elle, tous ses kilos ayant au moins pour effet de le rendre particulièrement brutal et impressionnant en faisant l’amour. Il la baisait sèchement, enfonçant ses doigts dans la combinaison, jusqu’à se relâcher. Son sperme éclata dans les fesses de la femme, et il se retira alors. Le sperme commença à s’écouler, et Alexandre réagit à temps, lui remettant son gode dans les fesses, bloquant ainsi le sperme en elle.

« Elle aime bien avoir de la semence en elle... Ça lui donne l’impression d’être complète.
 -  Haaaa...
 -  C’était comment ?
 -  J’a... J’adore baiser votre jument, Monsieur...
 -  Vous comprenez donc pourquoi je veux la montrer un peu ? »

Joël acquiesça, et lui détailla davantage les lieux. Alexandre le remercia, puis s’éloigna, rejoignant une cage d’ascenseur, et appuya dessus. Il continuait à traîner Rachel, et se retourna alors vers elle, profitant du fait qu’ils étaient seuls, et que personne ne pourrait ainsi l’entendre :

« Rassure-toi, ce que ce gros mec t’a fait n’était qu’une introduction à tous les délices que je te réserve, salope. J’ai utilisé le téléphone portable d’un de tes gorilles pour qu’une voiture vienne me chercher. »

Ses hommes avaient géolocalisé l’appel pour savoir où il se trouvait.

« En attendant, on va aller faire un tour dans ton casino, je suis sûr que bien des gens auront encore envie de se servir de toi. »

Elle aurait beau protester ou couiner, rien n’y ferait. Des bruits de pas se firent alors entendre, et, en tournant la tête, Alexandre vit un vieil homme avec un smoking noir, des lunettes, et un crâne dégarni, approcher. Les deux se regardèrent brièvement, Alexandre percevant son débit sanguin fort, trahissant une excitation sexuelle. Sûrement l’un des clients « particuliers » de Rachele, jouant avec des esclaves dans cette partie secrète du casino. Ils entrèrent ensuite dans l’ascenseur, et, assez rapidement, le vieil homme posa une main sur la tête de la femme.

« C’est une très belle jument...
 -  Oui, mais un peu rebelle...
 -  Oh, c’est malheureusement fréquent avec les animaux, il faut continuellement les dresser. Je parle en connaissance de cause. »

Il sourit, tout en caressant le corps de la femme, venant même pincer l’un de ses seins.

« Des formes magnifiques... »

L’homme était sous le charme.

Qui ne le serait pas, en effet ?
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le samedi 06 mai 2017, 00:39:07
Rachele n'a pas le temps de souffler quelques secondes qu'elle sent le god en plastique lui labourer à nouveau le muscle meurtri de son anus et lui enfoncer bien profondement le sperme du butor dans le fondement.

- Nnnnnghheuu...

Encore pleine du viol précédant, elle sent les differentes semences visqueuses lui emplir le ventre comme une petite outre vivante, la sensation est répugnante. Mais quelque chose au fond d'elle, quelque chose qu'elle a refoulée depuis ses cures de desintoxication, ressent de l'excitation...

Elle secoue la tête vigoureusement pour chasser cette pare sombre et pitoyable d'elle même, cette créature fragile stupide et obeissante que son oncle avait fait d'elle. Elle refuse de redevenir elle, elle refuse de se soummetre à nouveau corps et âme comme elle le fit jadis, avant d'etre soignée.

Le vampire l'entraine alors vers la cage d'escalier où il lui révèle ses plans pour la suite,  elle tressaille et essai de se débattre quand le sas de l'élévateur s'ouvre  et des bruits de pas se font entendre.

"Le docteur Mongomery" cris Rachele dans sa tête. Un de ses habitués qui lui faisait sans cesse la cours dans le veint espoir de pouvoir coucher avec elle un jour. Mais le vieillard avait la réputation d'être aussi mou que que pervers, et outre ses gouts pour la violence rafinée et la soumission, il n'avait jamais eu aucune chance.

Quand il pose une main sur sa tête, elle se dégage, validant sans le vouloir les dire d'Alexandre à son sujet. Le vieillard se contente de la regarder en souriant, bien loin d'imaginer qu'il s'agit de la femme de tout ses désirs et de tout ses fantasmes. Interieurement, Rachele espère que le vampire n'a pas, comme dans les films, le pouvoir de lire dans leurs esprits.

Quand ses mains se posent à nouveau sur sa peau et sur la matière colante de sa combinaison, Rachele se tend et grogne sous son baillon. Mais le vieu pervers n'en tient pas compte, certain d'utiliser une simple esclave lessivée et mentalement détruite dans l'Asylum de Max...

Quand il commence à déboucler sa ceinture et baisser sa braguette dans un concert de cliquetis métaliques, l'ancienne gangster reste interdite, prostrée, incrédule à l'idée que ce vieux molasson ose se servir d'elle.

- Vous avez raison, elle est un peu rebelle, permettez que je lui rappel sa place ?

Et sans un mot de plus il pince un de ses seins et l'oblige à se relever. Il appui sur le bouton "stand-by" de l'ascenseur qui s'arrête dans sa course. Puis, avec l'aide du vampire ou si celui-ci ne bouge pas, il la plaque contre le corps d'Alexandre, lui passe les mains dans le dos pour les y attacher, la soulève et lui écarte bien les jambes pour se camper au milieu.

Dans un silence lourd et peusant, Rachele détourne la tête pour ne pas devoir faire face au visage frippé et dégarni du vieux pervers. Puis elle le sent se présenter aux portes de sa vulve, son sexe mollement dressé mais suffisemment vigoureux pour commetre cet acte qui la répugne tans.

Dans un mouvement de hanches, il la fait descendre sur son gland et l'empale lentement sur toute la longueur de sa hampe.

- Hum...

Rachele pousse un petit gémissement brisé et triste. La queue, molle et longue du docteur l'emplie de dégout et de peine, honteuse de servir de trainée même aux plus viles de ses clients. Curieusement, elle éprouve un étrange soulagement à ne pas souffrir à nouveau d'une nouvelle pénétration brutale par un pénus dur et énorme. Alors que le vieux débrit commence à la faire aller et venir contre sa bite ramolie elle se prend à s'abandonner à la facilité de cet acte. Quand elle le réalise, elle se crispe et réprime à la dernière minute un petit orgasme qui aurait pourtant été libérateur et lui aurait permis d'éprouver un peu de bien être.

Au lieux de cela, elle l'entend suffoquer et souffler dans son cou son halène méphitique alors qu'il commence à jouir lui aussi en elle. La nausée et le dégout lui revienne, même si l'horreur de la fécondation a déjà été infligée quelques instants plus tôt sur le siège de torture, et avec une semence formienne qui plus est, elle ne peut retenir son désarroi. Impuissante, elle se laisse remplir à nouveau les lèvres du sperme d'un homme qui n'aurait jamais du la toucher...

Quand il a fini, il la laisse retomber sans vergogne et se retourne vers le sas de l'ascenseur en remontant tout simplement sa braguette et en refermant la boucle de sa ceinture. Comme si rien ne s'était passé. Il appuis alors à nouveau sur le bouton qui les mènera vers le casino.

Honteuse, dégoulinante de foutre par tout les orifices et à quatres pattes, le vampire lui fait traverser le casino bondé des clients de Rachele qui la regardent, sans le savoir, quitter la sécurité de son sanctuaire pour aller vers l'enfer qui lui est promis...

Ils montent dans une limousine noire et le chauffeur leur demande leur destination avant de fermer sa vitre de séparation.
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le lundi 08 mai 2017, 19:15:23
« Alors, c’est elle, Maître ?
 -  Hmmm…
 -  Elle est vraiment jolie…
 -  N’est-ce pas ? Vous l’avez nettoyé ?
 -  Bien sûr ! Elle est toute propre, et… Vous sentez comme elle sent bon ?
 -  Elle est puissante et rebelle. Je l’ai laissé me capturer pour voir si les informations que j’avais sur elle étaient correctes. Le temps nous manque, car, si elle est absente trop longtemps, son organisation se posera des questions.
 -  Qu’est-ce que vous souhaitez faire avec elle ? »

La main de l’homme, finement gantée, caressa le visage de la femme, ses doigts frôlant ses lèvres. La drogue sanguine qu’il lui avait injecté commençait à partir, et Alexandre savait que, maintenant, elle pouvait les entendre. Un bandeau masquait les yeux de Rachele, mais, peu à peu, elle allait récupérer l’usage de tous ses membres. Les oreilles, d’abord, puis la bouche, et, ensuite, petit à petit, elle sentirait ses membres revenir, et réaliserait qu’elle était attachée, et couchée sur un agréable lit.

Elle n’était pas totalement nue, car elle portait de longs gants noirs en latex, ainsi que des collants, eux aussi en latex, se terminant par des talons. Pour le reste, elle put peut-être sentir les caresses du vent sur son corps nu. En tout cas, elle sentit des mains gantées, celles-ci en soie, caresser ses cuisses, remontant le long de ses hanches, puis sur son ventre. Des soupirs s’échappèrent alors des lèvres de Rachele, mais, quand elle tenta de parler, elle ne put qu’émettre des borborygmes, puis un doigt se posa délicatement sur ses lèvres.

« Chuuuutt… !
 -  Tu ne peux pas encore parler, tes muscles doivent se détendre, jeune femme… Et le mieux, pour ça, est de faire circuler le sang… »

Il y avait deux voix sensuelles et voluptueuses. Le doigt se retira des lèvres de Rachele, et fut remplacé par une bouche. Deux femmes très parfumées, qui caressèrent à nouveau le corps de Rachele, des doigts s’enfonçant dans son intimité, proprement épilée, tandis que d’autres pincèrent et malaxèrent ses tétons.

« Son corps réagit plutôt bien…
 -  Elle adore le sexe… »

Les deux filles gloussèrent, puis elles retournèrent embrasser, l’une après l’autre, ses lèvres. Si Rachele voulait remuer, elle constaterait que ses poignets et ses chevilles étaient attachées par des sangles reliées elles-mêmes au rebord du lit. Finalement, une main se saisit du bandeau, et le lui enleva. La lumière, dont Rachele avait été privée pendant longtemps, l’aveugla pendant quelques secondes, avant qu’elle ne puisse discerner les deux silhouettes face à elle.

Il y avait une première femme (https://s-media-cache-ak0.pinimg.com/564x/41/24/88/412488a095b66667452802a30be36798.jpg) dans une belle robe violette, et une autre (https://s-media-cache-ak0.pinimg.com/736x/71/7f/d7/717fd72381e6776a2d5b2d5a91f66310.jpg) dans une nuisette. Si la première avait retiré un masque de carnaval fait de plumes d’oiseaux, la seconde, elle, portait toujours son masque, ressemblant à une sorte d’affreuse tête de mort mettant en valeur ses yeux bleus. De ces deux femmes, il se dégageait une  noblesse certaine.

« Voilà la Belle qui se réveille…
 -  Celle qui a voulu soumettre notre Maître… »

Elles gloussèrent à nouveau. La femme avec la tête de mort avait des griffes le long de ses doigts, et caressa encore son corps, glissant sur sa peau, la griffant tendrement.

« Tu es chez notre Maître, Rachele… La mémoire va te revenir… »

Alexandre l’avait mordu dans la limousine. Fortement. Elle avait pu sentir son érection quand il l’avait plaqué au sol, et avait planté ses crocs en elle, déchiquetant le latex en enfonçant ses dents, puis l’avait forcé à boire son sang. Ensuite, il avait utilisé un sortilège, et Rachele était tombée en léthargie.

Jusqu’à se réveiller ici.

« Tu es très chanceuse, tu sais. Le Maître va s’occuper en personne de toi.
 -  Il va faire de toi sa petite pute… »

Et elles gloussèrent encore.

« Le Maître règne sur quantité d’hommes en manque, tu sais, des rustres incultes et ignares… Alors, quand ils te verront…
 -  Tût-tût ! Ne soyez pas trop bavardes, mes amours ! »

La voix forte et dure d’Alexandre venait de résonner, et elles se retournèrent en lui souriant. Alexandre avait troqué sa combinaison en latex pour un ensemble qui lui allait nettement plus. Il portait en effet une longue chemise marron ouverte sur sa poitrine, avec des bordures dorées, et un manteau à fourrure (http://image.noelshack.com/fichiers/2016/04/1454251284-alexandre-dowell.jpg). Une tenue très noble, tandis qu’il se rapprochait du lit, et du corps de Rachele.

« Alors, Rachele ? Bien réveillée ? Sache que tu vas bientôt aborder un nouveau chapitre de ton existence… Mais il va falloir te dresser avant. »
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le mercredi 10 mai 2017, 00:56:35
Rachele se débat faiblement pour tenter d'échapper à son sort, mais la poigne du vampire est ferme et il la fait monter sans difficulté dans la limousine avant de fermer la porte.

Elle n'a alors pas le temps de poser les fesses sur la banquette que la bête morte-vivante se jete sur elle pour s'allonger de tout son poids contre son corps fragile et diaphane.

Elle sent contre le latex couvrant sa vulve mortifiée, le sexe du vampire grand et puissant, gonfler sous l'etoffe de son pentalon telle un manche de bandine, prêt à la chatier pour son orgueil.

Partagée entre dégout et excitation, elle gémit et se débat de nouveau dans le vains espoir de se soustraire à son étreinte. Tentant de le repousser de ses bras et ses jambes de faible humaine.

Mais le monstre est trop fort... il pose ses doigts agiles sur la ligne délicate de la machoire de sa future esclave et la tourne sur le côté pour exposer son cou.

- Nnnnnnn !

Hurle t'elle sous son baillon, comprenant parfaitement ce que le vampire est sur le point de faire.  Mais la créature de la nuit reste sourde à ses suppliques. Du coin de l'oeil, horrifiée, elle le voit ouvrir la bouche d'où jaillissent lentement ses canines.

- Nnnnn !

Il plonge sur sa gorge comme un oiseau de proie sur son festin. L'émaille cristalin de ses canines déchirant le latex de sa tunique, perfore la peau délicate de Rachele pour s'enfoncer dans sa chaire jusqu'à ce qu'il pénètre sa carotide.

-Glllmmm...

La douleur intense de la morsure laisse instantannement place à une sensation de vertige et de plaisir indéfinissable. Le regard terrifié de Rachele s'adoucit et ses joues rougissent à mesure que sa respiration se calme et que les batements de son coeur se calquent sur les longues aspirations du vampire.

Rachele se sent partir, elle sent son sang quitter son corps, elle sent la bête la boire et se nourrir d'elle, et cela la plonge dans un état dexcitation langoureuse et paralysante. Comme la biche vaincue et prise à la gorge par son prédateur, son corps s'abandonne et cesse de luter, uniquement animé de quelques soubresaut de défense instinctif et inutile. Doucement, ses yeux roulent dans ses orbites.

Mais alors qu'elle pense que sa vie s'acheve, son agonie s'arrête. Elle sent la langue du vampire carresser ses plaies et le flot de sang s'interrompre. Quand le vampire lui retire le baillon, elle n'est plus en mesure de parler, elle le regarde, les yeux mis clos, les joues roses et les lèvres gonflées par l'excitation.

Quand c'est enfin à elle de recevoir son sang à lui, elle tressaille et frissonne, incapable de résister bien que le vampire devine qu'elle en à la volonté. L'emprise de ses doigts sur son visage est trop fort, il la manipule comme une simple poupée, l'obligeant à ouvrir la bouche pour boire le sang vicié et maudit du vampire.

Rachele sent alors une étrange sensation, comme une ronce, ou un serpent aux écailles épineuses s'enrouler autour de son coeur et de son esprit, lui imposant l'attachement malsaint du lien du sang. Elle sent dans sa chaire qu'un lien vicié commence à la lier au vampire et à la corrompre. Elle décide de luter de toutes ses forces contre ce serpent vicieux qui vient d'entrer en elle mais la magie lethargique du vampire est trop forte, lentement ses yeux se ferment pendant qu'elle pousse ses derniers gémissement de refus.

-- Dans le refuge du vampire ---

Rachele reprend peu à peu connaissance, encore noyée dans des rêves lubriques et malsaint, elle entend des voix dans le lointain, avant de réaliser petit à petit qu'elles sont juste à coté d'elle. On frole son visage, parfait et serain, mais la sensation est étrange, comme si sa peau était couverte de coton qui l'empèche de ressentir. Elle crois entendre la voix du vampire, elle se met alors à rougir avant de parvenir au prix d'un immense effort de volonté à réprimer son désir.

Elle sent sous son dos la texture molle et confortable d'un lit de qualité, ses sensations lui reviennent avec plus de vigueur et elle sent à nouveau son corps avec une acquité nouvelle. Le sang du vampire à régénéré la chaire de sa vulve et de son anus, ravagés par la machine de torture et par les viols, lui rendant la fraicheur et la consistance de ses premières fois, alors qu'elle venait à peine de connaitre le sexe des mains de son oncle.

Le sang avait aussi régénéré ses cellules grises endommagées pendant le lavage de cerveau, lui rendant une partie de ses facultés mentales, bien qu'elle sente que certaines lacunes sont désormais permanentes, ses connaissances détruites l'aillant rendu moins intelligeante. Ce constat lui fait monter les larmes aux yeux, mais elle s'arrête soudain de s'appitoyer sur son sort quand les mains des eslcaves du maitre se mettent à serpenter sur sa peau délicate et sensible.

Elle soupir d'aise, puis réagit et essai de se tendre, de tirer sur ses liens, mais ses gestes sont encore lents et lourds. Elle essai de leur dire d'arrêter, de la laisser tranquille, mais les seuls sons qui sortent de sa bouche sont des glapissements inintelligibles.

- Chuuuutt… !
-  Tu ne peux pas encore parler, tes muscles doivent se détendre, jeune femme… Et le mieux, pour ça, est de faire circuler le sang…

Faire circuler le sang ? Mais que voulez elle dire ? Rachele ouvre la bouche pour lui demander mais les lèvres de l'esclave se referment sur les siennes en un baiser langoureux et sensuel qui prend totalement la mafieuse au dépourvue.

Les doigts des deux femmes se chargent de répondre à sa question. Quand elle s'enfoncent délicatement dans son intimité, Rachele essai de se redresser, mais la femme qui la tiens prisonnière de son baiser la rattrape et la maintiens fermement contre le lit en lui malaxant les tétons avec maitrise.
Le souffle de ces femmes atise les braises de sa nymphomanie cachée et doucement le corps de Rachele s'ouvre à leurs carresses. Sa vulve commence à se charger d'humidité et les doigts de l'esclave se couvrent de la ciprine de la belle prisonnière tandis qu'elle écarte les cuisses et contracte son bassin pour mettre en valeur son entrejambe.

- Son corps réagit plutôt bien…
-  Elle adore le sexe…

A ces mots et à leurs gloussements d'amusement, la fierté de la sicilienne se reveille et elle essai timidement de se débattre pour se libérer. Non elle n'était pas un e nymphomane, elle l'était devenue à cause de son oncle qui l'avait brisée et violée. Mais elle s'était battue pour guerrir et elle ne voulait plus jamais le redevenir. Plus jamais elle ne voulait être le jouet de quelqu'un, plus jamais elle ne devait être une poupée bavant devant le penis de son Maitre.

On lui retire le bandeau, l'éblouissement laisse place aux spectacle à la fois exitant et inquiétant de ces deux femmes masquées qui lui parlent et appellent le vampire "notre Maitre". Racheleà peur, c'est deux femmes étaient t'elle le reflet de ce qu'Alexandre lui réserve ? Garde t'il un masque pour elle afin de briser sa personnalité et en faire un objet ?

- Tu es très chanceuse, tu sais. Le Maître va s’occuper en personne de toi.
-  Il va faire de toi sa petite pute…

C'était donc bien cela, son sort serait peut être même pire encore que le leur. Ces deux la semblaient être ses préférées, mais à ce qu'elles disaient, le vampire lui réservait un sort bien plus humiliant et avilissant dans le but de la détruire.

- Ja... jam... ais...

Murmure difficilement Rachele, encore toute groguie.

- Le Maître règne sur quantité d’hommes en manque, tu sais, des rustres incultes et ignares… Alors, quand ils te verront…

- Sa.... sale.... garces... je... vous .... je... jamais... je...

Le vampire fait à nouveau son entrée et sa voix écrase les murmures de la captive. Rien qu'à son magnétisme et à son timbre, le liens maléfique du sang se resserre sur le coeur de Rachele et elle sent tout son corps qui réclame son attention, son désir... mais la volonté de la belle est robuste, et elle réprime son envie.

- Alors, Rachele ? Bien réveillée ? Sache que tu vas bientôt aborder un nouveau chapitre de ton existence… Mais il va falloir te dresser avant.

Au prix d'un nouvel effort de volonté, la belle abandonne sa position obscène et essai de ramener ses genou vers l'intérieur pour condamner sa vulve aux intrusions; mais cela ne la rend que plus désirable encore tans elle semble déminue et fragile.

- Non... je... ne... vous laisserais pas faire... je me... battrais... je vous... tuerais...

Murmure t'elle en tournant le visage sur le coté pour ne pas le regarder, sentant la présence de son corps qui se rapproche du sien, sans défenses.
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le dimanche 14 mai 2017, 23:01:01
En voyant leur Maître, les deux femmes sourirent, l’excitation palpable dans leurs poitrines... Ainsi que dans celle de Rachele. Elle avait beau tenter de le nier, face à Alexandre, on ne pouvait rien lui cacher. Il percevait l’excitation de cette femme, suite aux caresses de ses deux esclaves. Alexandre esquissa un léger sourire en l’entendant rétorquer, laborieusement, qu’elle se vengerait, et qu’elle le tuerait. Il se rapprocha du rebord du lit, remettant les manches de sa chemise en position, en tirant délicatement dessus.

« Hmmm... Sois sérieuse un peu, ma chérie, que comptes-tu faire dans ta position, sérieusement ? J’apprécie la fierté, vraiment, mais tu confonds les étoiles dans le ciel avec leur reflet dans le lac. L’arrogance, ce n’est pas la fierté, c’est la stupidité. Tu es attachée, pieds et poings liés, dans un endroit totalement inconnu, face à un ennemi qui dépasse amplement toutes tes capacités, et, tout ce que tu trouves à dire, alors que tu es acculée, piégée, et que ta vie ne tient plus qu’à un fils, c’est... Que tu comptes me tuer ? »

Alexandre écarta les bras, visiblement très amusé par la situation, humiliant la jeune femme en lui exposant sa propre incapacité à la figure, elle qui semblait être si habituée à contrôler, et qui cachait sa nymphomanie derrière sa perversion et sa soif de domination. La main d’Alexandre caressa alors les cheveux de la femme avec le masque en forme de crâne.

« Tu vois, je ne cherche que des mets exquis dans ma cour. Certains esclavagistes se contentent juste de femmes belles, mais je considère que la beauté externe doit se marier avec une série de critères... La beauté, vois-tu, et pour reprendre un auteur français, est la forme, le fond qui remonte à la surface. Cette femme, par exemple, a un double doctorat en physique et en chimie. Elle vient d’une prestigieuse université de l’Ivy League, est mariée et a trois enfants. Et elle est maintenant une esclave dévouée. »

Elle sourit sous son masque. Difficile de le croire, mais c’était effectivement une génie, une femme parfaitement accomplie, qui avait toujours accompli ce qu’on attendait d’elle. Elle était venue à Seikusu pour travailler dans un laboratoire expérimental, mais son patron avait voulu abuser d’elle sexuellement, et, comme elle avait refusé ses avances, il lui avait fait subir un véritable harcèlement moral. Alexandre avait fini par assurer sa défense, et, peu à peu, en avait fait son esclave.

Il se retourna ensuite vers la seconde, à la longue robe violette, et portant une longue frange le long de son visage, barrant ce dernier en deux. Son autre main caressa également ses cheveux, comme un petit animal de compagnie.

« Et elle... C’est une femme d’affaires ambitieuse, qui a su profiter d’opportunités de carrière dans une grande compagnie nippone pour être une cadre prépondérante. »

Elle travaillait dans le service juridique de son entreprise, et avait négocié un partenariat avec le cabinet Dowell pour bénéficier de leur expertise et de leur assistance dans le conseil (la rédaction de clauses et de contrats spécifiques) et dans le contentieux (les litiges avec les salariés ou liés à des inexécutions contractuelles avec des partenaires commerciaux). Elle était une spécialiste de fusion-acquisition, de clause attributive de compétence en droit international, et était également une doctorante, ayant écrit une thèse en droit international et une thèse en économie.

Alexandre se pencha ensuite vers Rachele, et sa main caressa son visage, son pouce venant s’appuyer sur ses lèvres.

« Tu vois ? Mes esclaves sont des femmes très talentueuses, qui n’ont pas le profil attendu. Je réveille en elles un désir latent, inconscient, quelque chose qu’elles ont toujours recherché. Car l’être humain, vois-tu, est fondamentalement paradoxal et contradictoire. C’est dans votre nature. L’espèce humaine est tournée vers la soumission, ça fait partie de votre ADN, de votre inconscient collectif. Des millénaires de religion vous ont enseigné à courber l’échine, et, par la suite, vous avez inventé des États, des normes, des règles. Vous vivez avec cette croyance fondamentale qu’il existe une force qui vous est supérieure. Et, dès que vous en prenez conscience, vous réalisez la vacuité de vos existences, et que vous ne pouvez réellement vous transcender qu’en vivant à travers un autre. »

En utilisant le « vous », Alexandre s’excluait lui-même de cette humanité qu’il décrivait... Car il se considérait effectivement comme à part. Il n’était pas un humain, il était un vampire. Et les vampires n’avaient jamais eu ce culte de la soumission. Certes, il existait des clans, des structures sociales, mais rien qui ne soit comparable à la lourdeur et à la rigidité d’un État.

« Et toi, Rachele, tu seras la perle précieuse de ma collection... Une femme forte, à la tête d’un réseau criminel d’esclavage, ce qui est très impressionnant, quand on sait combien les milieux mafieux sont sexistes. Et tu as beau montrer les crocs, je sais que, au fond de toi, tu aimes l’idée d’être une pute, d’être une chienne qui doit obéir à un maître, de devoir lui rendre des comptes. Car tu es une humaine, tu fonctionnes comme ça... »

Tout en lui parlant, son pouce caressait ses lèvres, comme pour l’inciter à mordre. Son autre main, elle, se déplaça, et caressa l’un de ses seins, avant de le pincer, tirant sur le téton, son sourire se faisant plus carnassier.

« Résiste... Fais-moi plaisir... Je ne veux pas d’un petit caniche docile, je veux une belle chienne, celle qui montre les crocs, qui sait quand il faut mordre... Et quand il faut tendre le cou pour recevoir sa caresse. Alors... Mords ! »

Le dernier mot claqua, sur un ton élevé, fusant comme un ordre.
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le lundi 15 mai 2017, 18:41:27
Rachele à encore beaucoup de mal à faire le point, ses yeux roulent toujours haut dans ses orbites et de droite à gauche à mesure qu'elle prend la pleine mesure de son état de vulnérabilité. Même s'il lui parait encore flou et indistinct, le corps et la voix du vampire la font vibrer comme un animal réduit à ses plus bas instincts.

- Hmmm... Sois sérieuse un peu, ma chérie, que comptes-tu faire dans ta position, sérieusement ? J’apprécie la fierté, vraiment, mais tu confonds les étoiles dans le ciel avec leur reflet dans le lac. L’arrogance, ce n’est pas la fierté, c’est la stupidité. Tu es attachée, pieds et poings liés, dans un endroit totalement inconnu, face à un ennemi qui dépasse amplement toutes tes capacités, et, tout ce que tu trouves à dire, alors que tu es acculée, piégée, et que ta vie ne tient plus qu’à un fils, c’est... Que tu comptes me tuer ?

Dans un tel état de faiblesse, le fil de ses pensées est facilement perceptible pour l'ancien kindred et le langage de son corps parle de la même voix. Mais Rachele est forte, elle est la fille de Don Florenza de Sicile, elle a vue sa famille mourir sous ses yeux, a survécu aux torture et à l'avilissement pour vaincre finalement sa dépendance à la drogue et au sexe. Elle en tire une fierté farouche, à l'épreuve même de la peur de mourir même si au fond d'elle-même, un fragment de sa psychée regrette de ne plus être la chose d'un maitre cruel et brutal.

Jucio l'avait faite souffrir plus de mille tourments, l'avait droguée jusqu'à ce qu'elle devienne accro, l'avait brisée mentalement jusqu'à ce qu'elle devienne nymphomane et elle avait adorée ça. L'orgueil et la honte de la Sicilienne lui donnent envie de pleurer, mais elle se retient et se contente de lui lancer une bravade bien inutile, car le vampire lit en elle comme dans un livre ouvert.

- Dona Florenza n'a pas peur de mourir. Vous ne savez pas ce que j'ai traversé, je préfère en finir ici et maintenant plutôt que de redevenir l'esclave de qui que ce soit.

Lui dit elle, ignorant totalement la capacité des vampires à lire dans l'esprit de leurs victimes et donc de parfaitement connaitre ses démons intérieurs et son histoire personnelle.

- Tu vois, je ne cherche que des mets exquis dans ma cour. Certains esclavagistes se contentent juste de femmes belles, mais je considère que la beauté externe doit se marier avec une série de critères... La beauté, vois-tu, et pour reprendre un auteur français, est la forme, le fond qui remonte à la surface. Cette femme, par exemple, a un double doctorat en physique et en chimie. Elle vient d’une prestigieuse université de l’Ivy League, est mariée et a trois enfants. Et elle est maintenant une esclave dévouée.

- Et elle... C’est une femme d’affaires ambitieuse, qui a su profiter d’opportunités de carrière dans une grande compagnie nippone pour être une cadre prépondérante.

Rachele rougit et essai à nouveau de serrer les cuisses pour cacher son émoi et sa gène. Car elle réalise que ces deux femmes correspondent totalement à son propre profil. Elle aussi est d'une intelligence rare, une surdouée diplômée à treize ans, doctorante en droit à vingt et un. Elle aussi est farouche et ambitieuse, plus encore que ces deux esclaves masquées.
En temps que baronne du crime, aillant déjà tuée de ses propres mains d'autres êtres humains, elle partage avec lui le rôle de prédateur suprême au sein de l'espèce, a ceci près que lui est d'une autre race, celle qui domine vraiment le haut de la chaine alimentaire. Elle réalise que cela fait donc d'elle  un met unique, une sorte de joyaux. Un trophée qu'il devra gagner non pas en douceur comme il l'a fait avec ses deux précédentes esclaves qui ne sont finalement pour eux que des herbivores, mais avec vice et cruauté, comme l'on dompte une panthère ou un faucon.

Quand il pose ses doigts finement ciselés sur son visage, elle frissonne de tout son corps et laisse échapper un petit hoquet de surprise. Elle détourne le visage pour tenter d'échapper à son étreinte et quand son pouce se pose sur ses lèvres, elle essai instinctivement de le mordre.

- Agn !

Feule t'elle en refermant sa mâchoires sur du vide. Elle le foudroie du regard, rouge de honte et en même temps furieuse de ressentir à nouveau des émotions qu'elle avait refoulée depuis Jucio. Elle tremble de tout son corps et son cœur bat si fort dans sa poitrine qu'elle à du mal à entendre son récit sur la nature humaine. Le vampire peut voir gonfler ses veines du précieux nectar dont il n'a probablement pas oublié la saveur extraordinaire et unique. Elles palpitent sous la peau satinée de sa gorge, du plis délicat de ses bras, de l'intérieur de ses cuisses et de sa vulve, toujours là où la peau est la plus fine et la plus sensible.

- Et toi, Rachele, tu seras la perle précieuse de ma collection... Une femme forte, à la tête d’un réseau criminel d’esclavage, ce qui est très impressionnant, quand on sait combien les milieux mafieux sont sexistes. Et tu as beau montrer les crocs, je sais que, au fond de toi, tu aimes l’idée d’être une pute, d’être une chienne qui doit obéir à un maître, de devoir lui rendre des comptes. Car tu es une humaine, tu fonctionnes comme ça...

Ses yeux se plissent en deux fentes harmonieuse. Elle comprend alors qu'elle avait raison quand à la façon dont il la considère, et réalise avec horreur que lui a percé à jour sont ses faiblesses...
Sans le vouloir, elle s'est jeté dans ses filets et à joué le jeu parfait pour attirer son attention, son tempérament et les actes qu'ils lui dictent n'ont fait que l'encrer dans son rôle de prédatrice qui la rend si unique.

Avec un mélange subtile de peur panique et de désir inavoué, elle s'imagine alors aux cotés de ces deux femmes, le visage masqué, un sourire énigmatique au lèvres. L'esprit et le corps lavé de toute pudeur et de tout tracas pour se consacrer à son seigneur et maitre. Sa personnalité libérée du carcan de sa volonté propre et de ses inhibitions pour lui permettre d'épouser sa nature animale et féline, comme une chatte qui griffe quand elle ne veut plus de caresses.

La main du vampire interromp sa rêverie en se refermant sur son sein. Il commence à lui torturer le téton, les yeux de la belle s'ouvrent grands et elle se débat faiblement, encore affaiblie par la thaumaturgie du sang.

- Résiste... Fais-moi plaisir... Je ne veux pas d’un petit caniche docile, je veux une belle chienne, celle qui montre les crocs, qui sait quand il faut mordre... Et quand il faut tendre le cou pour recevoir sa caresse. Alors... Mords !

La défit il, sachant pertinemment de quel bois est fait la belle tueuse qu'il tient entre ses griffes. Incapable de réfléchir et n'écoutant alors que son instinct animal, elle se retourne vers lui, et le mord de toutes ses forces...
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le dimanche 21 mai 2017, 13:29:56
À quoi jouait Alexandre ? Quel plan sinistre et pervers avait-il développé dans sa tête pour la piéger, et l’humilier davantage ? Son plan était finement rôdé. Il voulait faire d’elle un Phénix. La détruire, la briser, pour la reconstruire ensuite, la modeler selon sa convenance, comme il aimait le faire. Et elle allait pour ça réaliser que les Dowell étaient des individus redoutables. Ils formaient un clan vampirique ashnardien très ancien, qui avaient eu plusieurs Conseillers Impériaux. Alexandre était l’héritier de cette longue tradition sanguine, de sorte que les vampires du clan maîtrisaient les arcanes de la magie rouge, la magie du sang, dont les effets pouvaient être particulièrement puissants. Rachele en avait déjà eu la démonstration, et ce n’était qu’un début.

Elle mordit, ses yeux lançant des éclairs, refusant d’admettre cette évidence simple, à savoir qur l’Homme était fait pour courber l’échine. Ce n’était même pas Dowell qui le disait, mais les humains eux-mêmes qui l’affirmaient. La religion était un concept typiquement humain, fait pour exprimer le grand paradoxe de l’humanité, leur incapacité à concilier les pulsions sexuelles, animales, avec leur capacité à se transcender et à s’élever. C’était ce que le philosophe Georg Wilhelm Friedrich Hegel avait théorisé en parlant de l’histoire de la religion, et en la définissant comme un moyen, pour les humains, de se représenter leur idéal. Un Idéal qui leur était toutefois inaccessible, comme la preuve fondamentale de leur contradiction. Et qu’est-ce que « Dona Florenza » pouvait faire contre cet héritage collectif ?

On aurait pu s’attendre à ce que Dowell retire son doigt, mais, au lieu de ça, il le laissa, et sourit. Elle avait mordu bien fort, et son sang coulait en elle. Avec son autre main, il continuait à palper son sein, tirant sur le téton, griffant délicatement sa peau.

« La douleur ne me repousse pas, Rachele... Et tu as mordu fort, quelle énergie ! Je suis sûr que tu adores mordre tes proies, les marquer avec tes dents. C’est un sentiment que je partage, je le fais moi-même en mordant mes amantes... Mais ce n’est pas purement symbolique en ce qui me concerne. Tu m’as mordu... Et, maintenant, mon sang file dans tes veines. »

Il filerait d’autant plus vite qu’Alexandre la stimulait. Il se retourna alors vers l’une des deux femmes, et hocha la tête. Cette dernière acquiesça silencieusement, puis tourna les talons, et revint plus tard avec un élégant plateau de service en argent (http://www.cmo-antiquites.com/upload/gedit/1/file/LASSUS_Pateau-de-serviceen-argent.jpg). Elle le tenait par les poignées, et, trônant au milieu, il y avait une seringue, contenant un liquide pourpre, que Dowell récupéra.

« Le sang des vampires est un très puissant ingrédient alchimique, et je dispose d’alchimistes très compétents. Je vais te montrer que ma supériorité à ton égard n’est pas que purement intellectuelle, elle est d’abord et avant tout naturelle. »

Alexandre tendit la seringue vers l’autre servante, celle avec la robe violette, qui se rapprocha du corps de la femme.

« Si j’étais toi, j’éviterais de bouger, il faut que je trouve une veine... »

Elle approcha la seringue de son cou, et Alexandre retira finalement son doigt, puis posa sa main sur le front de la femme. Rachele put alors sentir ce dernier forcer, faisant preuve de sa force vampirique surhumaine, provoquant quelques légers craquements, et bloquant la tête de la femme. Peu importe ce qu’elle pouvait dire, la seringue se planta dans son cou, et la femme répandit le contenu de l’élixir.

« Les vampires très puissants et très anciens pouvaient, selon les légendes, magnifier des foules entières, les subjuguer. Le sang est un liquide terriblement puissant, Rachele, et tu vas en avoir la dméonstration sous peu. Là, la fiole que je viens de t’ingérer rejoint ton cœur, et se répand ensuite dans tout ton organisme. On appelle ça la circulation sanguine. »

Alexandre attendit encore quelques instants, et Rachele pouvait sentir son érection. Le vampire était enivré par ce sentiment de jouissance, et son corps échappait à son contrôle, témoignant du plaisir qu’il ressentait, ce qui l’amena à se pencher vers elle, et à l’embrasser dans le creux du cou, léchant ses plaies, puis descendit ensuite un peu, et délivra quelques baisers supplémentaires sur ses seins, qui étaient bien durs.

« Oui... Tu sens la première propriété de cet élixir... Un terrible aphrodisiaque. Mais ce n’est pas le principal. »

Il mordilla le téton, puis ôta alors les liens de la femme.

« Relève-toi, salope. »

Rachele sentit alors son corps remuer, et, à sa grande surprise, vit ses muscles agir, tout son organisme se mettre en place, et ce même si son cerveau donnait des ordres contradictoires.

« Tu en as fait l’expérience à la cave, dans ton casino, Rachele... Mais ce n’était qu’une ébauche. Cet élixir fait de toi mon esclave, au sens le plus littéral du terme. »

Sa voix douce était chargée d’un plaisir pervers et cruel. Elle était debout, et sans pouvoir rien faire, tout son corps la trahissant.

« Commençons par quelque chose de simple, petite pute. Sois une gentille chienne, et agenouille-toi devant moi, puis ouvre ma braguette, et suce ma queue, avec passion, comme tu aimes si bien le faire. Car tu es née pour sucer des verges, Dona Florenza. »

L’appeler par son titre, c’était une forme d’humiliation suprême...

Mais, malheureusement pour elle, ce n’était qu’un début !
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le samedi 27 mai 2017, 02:05:27
Quand le sang du vampire gicle entre ses lèvres, elle réalise son erreur et essaie de recracher la liqueure viciée. Mais le doigt du vampire est une véritable porte à l'entrée de sa bouche et elle ne parvient pas à empécher quelques goutes de glisser le long de sa gorge.

Elle grogne de réprobation, sentant déjà le lien du sang se recerrer autour de son coeur, rendant la lutte toujours plus difficile et éprouvante. Rachele refuse d'abandonner, elle continue de combattre, recrachant son doigt aux abords de ses lèvres.

Mais avant qu'elle ne puisse lui cracher au visage ou le défier de nouveau, la superbe créature à la robe violette lui présente l'ustancil maudit. Les yeux de Rachele s'écarquillent. En un éclair défile dans sa mémoire toutes les fois ou Jucio lui plantait ce genre d'objet dans le corps pour lui injecter toujours plus de substances pour la rendre folle et servile.

L'esprit ouvert de la jeune femme offre alors au vampire un ballet d'images sordides de ses tétons, de sa petit clitoris alors neuf et inexpérimenté, de son cul et de ses lèvres percées d'aiguilles creuses pour lui donner sa dose. Lui injectant parfois jusque dans la langue ou les pieds quand ses veines devenaient trop dure.

Rachele est prise de panique, elle commence à ce débattre mais la prise du vampire se referme sur son corps et sur sa tête. Plongeant sur elle pour la retenir, il peut sentir son corps chaud et trempée d'une sueur à l'odeur capiteuse coller à ses vêtements de soie. Il peut sentir le coeur de la belle battre fort, si fort, même pour une mortelle de sa valeur. Il peut sentir ses veines pulser contre sa peau et réchauffer son corps mort depuis des siècles.

- Si j’étais toi, j’éviterais de bouger, il faut que je trouve une veine...

- Non ! Gleuuuu...

Son cris s'étrange dans sa gorge. La seringue, maniée par les mains habiles de l'esclave, vient de se planter dans sa gorge et de percer sa carotide du premier coup. Rachele s'immobilise alors, paralysée par la douleur et par une peur pétrifiante, son esprit rationnel refusant que tout cela soit vrai.

Toujours plongée dans cette étrange transe extatique, l'exclave masquée presse alors sur le piston avec lenteur, regardant toujours la futur esclave de son maitre avec un sourire enygmatique et étrangement bienveillant, comme si ce qu'elle faisait était pour le bien de la femme qu'elle est en train de détruire.

Le flot épais et régulier du liquide maléfique fait gonfler l'artère de la jeune femme qui saille sous la peau délicate et halée de son cou si parfait et noble. Rachele lève la tête vers le haut du lit et aggripe la soie des draps entre ses doigts, ouvrant la bouche de plus en plus grand pendant que ses yeux roulent vers ses sourcils.

Chaques mots du vampire, Rachele les ressent dans sa chaire et dans son corps. Elle sent comme une immense toile d'araignée visqueuse glisser dans son sang jusqu'à son coeur et son cerveau. En une fraction de seconde, elle la sens les atteindre et éclater en des milliers de petites cellules qui se répendant dans ses neurones et ses fibres nerveuses. Elle les sent s'aggriper à ce qui fait d'elle une personne sensible et individuelle et percer leur carapace pour les parasiter comme des virus.

Plus "l'infection" gagne du terrain et s'empare de sa chaire, plus elle sent sa temperature corporelle monter et son désir bouillonner dans sa tête et dans ses reins. Son corps se détend à mesure qu'elle se sent posseder de l'intérieur et le vampire sent contre sa jambe la mouille de la jeune femme percer l'etoffe de son pentalon.

Elle se met à rougir et ses tétons pointent de plus belle alors que leur couleur vire au cramoisi.
Quand il lui en mordille un, elle fait un petit bon en gémissant de surprise et de plaisir, revenant douloureusement à elle.

- Relève-toi, salope.

Lui dit il d'un ton méprisant et autoritaire. Mais au lieu de lui répondre d'aller ce faire foutre ou de tenter de le frapper, ses bras et ses jambes commencent à glisser lassivement le long des draps de soie.

Le vampire peut alors voir le regard incrédule de la jeune femme passer de lui à son propre corps pendant qu'elle commence à se dresser sur ses bras, la poitrine en avant comme une mannequin de charme pendant un shooting photo.

Elle mobilise toute sa volonté et hurler des ordres dans sa tête, mais les parasites en elle les ignorent et contrôlent ses cellules neurveuses comme autant de marionnetistes de géni.
Comme une actrice porno, elle prend des poses lassives et animales dans chacun de ses gestes pendant qu'elle se redresse sur le lit, elle laisse glisser ses genou sous ses fesses et se met alors à quatre pattes devant Dowel. Puis elle redresse son buste pour lui offrir le spectacle de sa poitrine merveilleuse, se redresse sur ses pieds et croise les main derrière ses reins pour qu'il puisse à disposer à loisir. Horrifiée, Rachele reconnait dans ses gestes et ses postures la même attitude lassive et servile des deux esclaves du Maitre.

- Tu en as fait l’expérience à la cave, dans ton casino, Rachele... Mais ce n’était qu’une ébauche. Cet élixir fait de toi mon esclave, au sens le plus littéral du terme.

- A... Arrête... arrête ça...

Dit elle dans un souffle exténué, les parasites du sang en elle dévorant toute son énergie pour l'exciter comme une folle et la rende brulante comme une femelle en chaleure. Le vampire reste sourd à ses suppliques et continue son jeu pervers.

- Commençons par quelque chose de simple, petite pute. Sois une gentille chienne, et agenouille-toi devant moi, puis ouvre ma braguette, et suce ma queue, avec passion, comme tu aimes si bien le faire. Car tu es née pour sucer des verges, Dona Florenza.

Elle ouvre grand la bouche pour lui hurler d'aller au diable mais les mots restent coincés dans sa gorge. Elle ouvre de grands yeux pleins de surprise et reste prostré quelques secondes. Un combat d'une violence inouie éclate en elle. Mais rapidement, la magie du sang fait effet, et les petites pieuvres enlassées autour de ses neurones étouffent son cerveau.

Son regard toujours incrédule glisse alors des yeux du démon vers sa braguette, puis elle s'affaisse à son tour pour tomber à genou devant lui. Elle voudrait détourner le regard mais elle en est incapable, elle reste totalement faucalisée sur la fente soyeuse du pentalon et le métal brillant de sa braguette.

Les parasites logés dans sa mémoire lui font alors revivre toutes les scènes où Jucio l'obligait à le sucer, mais en la privant des souvenirs emotionnels, l'obligeant ainsi à se remémorer comme une machines des leçons de felation pour qu'elle satisface au mieux son nouveau maitre.

Ses mains s'approchent alors fébrilement du "paquet" qu'elle soupèse délicatement, pendant que de l'autre elle prend le bout de métal entre les doigts et tire doucement dessus. Avec une lenteur infinie les crochets de fer se détachent et libèrent petit à petit la formidable hampe d'Alexandre qui glisse alors entre les pans et viens se dresser juste devant les yeux de la belle captive.

Comme hypnotisée par sa queue qui palpite comme un pendule, elle reste prostrée, la bouche entrouverte et les lèvres rougit et gonflées de désir. Elle lutte encore ainsi pendant de longues secondes, puis craque et pousse un long soupire en ouvrant grand la bouche pour laisser sortir sa langue. Elle prend alors sa queue dans la main et commence à la lécher de bas en haut en lui lançant un regard épuisé et pervers, celui la même que Jucio lui avait imposé à force de baise, d'humiliation et de destruction de l'égo.

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Elle la lui lèche comme une bonne petite chienne, faisant passer le bout de sa langue dans chaque recoin et à l'entrée du trou de son urètre. Ses épaules luisantes de sueur, sa mouille tachant les draps du grand lit sous le regard amusé des deux esclaves masquées.

Elle continue ainsi en lui massant la base de la queue d'une main tout en lui carressant les bourses de l'autre, les faisant rouler pour préparer leur jus à sortir. Puis, quand elle est plus gonflée que jamais et que seule l'image de sa bite turgessante occupe son esprit, elle ferme les yeux, ouvre grand la bouche, laisse sortir sa langue le long de sa hampe et l'avale jusqu'à ce que ses lèvres touche la garde.

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Et elle commence à le sucer en faisant de long et lents aller retours, écrasant le plus possible sa queue entre sa langue et son palais et pompant son dard si fort qu'elle pourrait presque lui tirer du sang par le gland.

Elle voudrait mettre fin à ce cauchemar, elle sait que si il jouit, elle va encore se nourrir de son sang vicié et renforcer le lien du sang qui la corromp, mais la magie du vampire est trop forte, et elle continue avec toujours plus de ferveure, massant et caressant ses couilles avec de plus en plus de vigueur.
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le dimanche 28 mai 2017, 23:29:28
Rachele ne pouvait guère lutter. La magie rouge était une magie redoutable quand on la maniait bien, et les Dowell avaient un sang de bonne qualité. De plus, pendant que Rachele dormait, Alexandre avait prélevé son sang, l’utilisant dans ses élixirs de contrôle. Toute la volonté du monde était inutile contre ce poison, il aurait fallu que Rachele dispose du’n antidote. Néanmoins, et même malgré ça, voir la rapidité avec laquelle son corps obéit aux ordres d’Alexandre, notamment en faisant de l’excès de zèle, ne manqua pas de l’amuser. Derrière ses grands airs autoritaires, cette fille était bien une traînée, qui avait probablement déjà dû être soumise dans le passé. Alexandre ne voyait pas comment expliquer autrement son comportement actuel. La manière dont elle s’était dandinée pour se relever, et dont elle lui retira son pantalon... Rachele aurait pu agir rapidement, signe que, fondamentalement, elle était opposée à ce traitement... Mais, et même si Dowell sentait bien une hostilité, elle n’était pas profonde, comme si, en son for intérieur, Rachele aimait le fait de se sentir soumise.

L’image était très séduisante, et la manière dont elle s’attaqua à son membre ne manqua pas de l’exciter. Alexandre crispa ses poings en sentant la langue de la jeune femme rouler sur sa queue, remontant lentement dessus. Quel spectacle ! Alexandre esquissa un léger sourire en voyant son envie, son énergie. Elle continuait à le lécher, soupesant également ses testicules, avec un certain doigté, et ce juste pour le plaisir d’attiser davantage son feu. Fort évidemment, le membre d’Alexandre se mit à durcir et à croître, gagnant en taille et en raideur au fur et à mesure que la jeune femme faisait montre de tout sont alent dessus.

« Hmmm... C’est bien, ma belle, c’est très bien. »

Rachele le flattait d’un regard particulièrement lubrique, tout en continuant à le lécher. Le membre d’Alexandre se mit encore à croître, commençant à répandre dans son corps des ondes de douleur. Il soupira à nouveau, la respiration lourde, et sa main alla se crisper sur les cheveux de Rachele, surtout quand elle commença à passer aux choses sérieuses. Après avoir titillé son sexe, tant sa verge que ses testicules, la belle femme ouvrit la bouche, et commença à en pomper le dard. Baissant les yeux, Alexandre la regarda, avec un mélange de fascination et d’excitation.

Alexandre caressa donc les cheveux de la femme, qui continuait à le sucer. Malheureusement pour elle, le vampire disposait d’une endurance à la hauteur de ses pouvoirs surnaturels, et ne comptait pas jouir tout vite. Il voulait qu’elle en profite, et constata rapidement qu’elle s’amusait à multiplier les gorges profondes, sa poigne se raffermissant petit à petit sur ses cheveux, sourire vorace sur les lèvres. Oui, oui, que c’était bon ! Quel spectacle magnifique ! Elle était là, sous son nez, à remuer, sa bouche écartée par la présence de ce mandrin qui tambourinait en elle, sans pouvoir rien faire d’autre que d’obéir, et de sentir, lentement, son corps la trahir.

Le vampire fit alors signe aux deux femmes, qui observaient la scène, et elles s’approchèrent, venant à droite et à gauche de Rachele.

« Tu essaies encore de résister, Rachele...
 -  Tu cherches encore à te convaincre que ta destinée n’est pas d’obéir au Maître... »

Une main se glissa entre ses cuisses, et vint caresser la jeune femme, recueillant de la mouille. Ladite main s’écarta ensuite, et fut remplacée par une autre. Le corps de Rachele n’émettait aucune résistance, et les deux femmes s’amusaient à se lover dans son dos, la masturbant et jouant avec ses seins. Celle qui avait recueilli un peu de sa cyprine pinça le téton de Rachele, un téton bien dur, et répandit de la mouille sur le contour, glissant sur ce joli sein.

« L’être humain ne se satisfait et ne s’épanouit pleinement que dans la servitude, Rachele...
 -  Tu ne peux rien y faire, c’est dans notre nature. Nous sommes nées pour servir le Maître, et il en va de même pour toi, ma beauté.
 -  Vois la facilité avec laquelle ton corps a cédé, c’est bien la preuve que, au fond de toi, tu rêves d’être soumise à un homme qui t’est supérieur... »

Venant de la part de femmes intelligentes, cultivées, et émancipées, les propos étaient encore plus durs à entendre. Mais le fait est qu’elles la masturbaient, et avec un talent incroyable, atteignant son clitoris, embrassant et léchant son cou. Rachele était prise au piège, enfermée dans un cocon de douceur, prélude au reste.

« Tu aimes sa queue, hein ?
 -  Suce, ma chérie, et jouis, jouis sans relâche... Tu ne peux pas lutter, tu es prisonnière... Suce-le, jusqu’à sentir son sperme en toi, et ce sera le plus bon des mets. »

Alexandre choisit ce moment pour intervenir. Il commençait à agir, à remuer d’avant en arrière, accompagnant les mouvements de la femme en la baisant de plus en plus fortement.

« Tu... Tu avaleras... Tout mon sperme... Ma chienne ! »

Peu à peu, il prenait le contrôle, ses deux mains se crispant sur la tête de la femme, puis la baisait de plus en plus fortement, sa queue venant taper dans sa gorge, sans relâche.

Jusqu’à ce qu’il jouisse en elle !
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le dimanche 04 juin 2017, 17:26:53
Le mort-vivant semble ne jamais vouloir venir, ce qui maintiens l'esprit surchauffé de Rachele dans un état d'anxiété et de panique permanente qui l’empêche de réfléchir et de se reprendre. Les petites cellules du vampire continuent de parasiter ses nerfs et sa matière grise pour la rendre malléable et son esprit tout entier devient un champ de bataille. Comme un général héroïque, sa volonté continue de maintenir ses forces en cohésion, mais l'ennemi est puissant et mieux armé. Petit à petit , il gagne du terrain...

Quand les deux servantes du Maitre se rapprochent d'elle pour l'encadrer , quand elle entend leurs voix suaves et sensuelles lui susurrer à l'oreille. Elle remue la tête en fermant les yeux et essai de libérer sa bouche.

- Gaaa ! Gn... nan... arrière... ne me touchez pas... salopes... je ne serais jamais comme vouGULL !

La poigne du vampire force à nouveau sa tête et sa bite sa bouche. La condamnant à nouveau à sucer en silence son futur maître. Elle sent soudain leur petites mains habiles serpenter vers ses cuisses.

- NNNNN !

Gémit elle, la bouche toujours pleine de l'enorme queue du vampire. Mais elle ne peut se défendre, son esprit combat mais son corps obeit et se laisse faire. Impuissante, elle sent alors les doigts de l'une d'entre elles jouer avec sa vulve et son clitoris, provoquant une nouvelle vague de plaisir et de chaleur dans ses reins.

- Nnnnnn....

Elle ferme les yeux et ses hanches sont parcourus de petits soubresauts de résistance, comme ceux d'une petite biche qui vient de se faire prendre à la gorge.

Elles continuent à lui murmurer à l'oreille des paroles lubriques et Rachele verse des larmes de peur et de révolte tans leur discours lui est odieux. Elle sent leurs corps chaud se coller à elle, elle sent leurs seins presser contre son dos et leurs cuisses venir réchauffer et humidifier les siennes. Rachele réalise que les deux jeunes esclave lui sont tellement soumise et dévouée, que même sans être stimulée, en la simple présence de le maître, elles mouillent comme des adolescentes en chaleur. Es ce donc son futur ? Devenir une de ces femmes brillante en société, qui cours la nuit venue se prosterner devant leur dieu pour lui obéir lascivement comme une bimbo décervelée.

Elle s'imagine de nouveau, nue, le regard satisfait et absent, admirant béatement le corps de l'homme qui l'a détruite en mouillant sans pouvoir se contrôler. Lui lavant le corps à l'aide d'une éponge délicate et de baiser dévots comme une simple esclave romaine l'aurait fait à son Empereur.

Elle en frissonne d'abord de dégout, puis de plaisir, puis, sous les assauts des doigts et des lèvres des deux femmes, ces deux notions se mélangent étrangement au point de lui donner envie de se sentir souillée et humiliée ainsi.

Ce qu'elles lui font est si bon qu'elle commence à remuer du bassin et aller d'avant en arrière, comme si elle était à genou sur un bel étalon plutot que sur des draps de soie. Leurs mains accompagnent son mouvement et lui massent la vulve et le clitoris pendant que leur voix enchanteresse l'hypnotise et s'impriment dans son esprit comme des suggestions impérieuses.

Elle sont si forte à cela que petit à petit, leurs paroles s'imiscent dans le fil des pensées de Rachele jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus savoir si c'est elle qui pense à cela, ou si elles sont en train de le lui dire.

Arrivée au paroxisme de la confusion mentale, au carrefour du plaisir qui éclate et de l'esprit qui se perd. Rachele perd le sens des réalité et sa propre voix intérieur se superpose à celle de l'esclave pour répéter ses mots: " tu aime sa queue... Suce... jouis... Suce... queue... Suce.... jouis... tu aime sa queue... tu aime sa queue... tu aime sa queue..."

Les yeux de Rachele s'ouvrent grand et roulent dans ses orbites pendant que deux larmes de désespoir roulent sur ses joues, elle commence à jouir.

- MMM ! MMMM ! MMMM !

Elle pousse de longs grognement de plaisir du fond de sa gorge toujours violée par le vampire et donne de violent coups de hanches contre les doigts de ses futurs soeurs pour bien les sentir s'enfoncer en elle pendant qu'elle souille les draps de sa cyprine qui se met à jaillir. Le mort vivant et ses deux esclaves découvre alors que Rachele est une de ces étrange femme que l'on surnomme "fontaine".

Il se met alors à jouir avec elle, transformant les murmures de jouissance de la belle en répugnants bruits de déglutition. Les yeux toujours révulsés et dans un état second, Rachele boit goulûment le foutre sanglant du vampire et sent, impuissante, une nouvelle ligne de défense s'effondrer autour de sa volonté, la rapprochant toujours plus de la défaite finale, qui verras mourir son petit général...
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le lundi 05 juin 2017, 10:31:34
« C’est la bite de ton Maître…
 -  La meilleure queue à laquelle une salope comme toi ne pourra jamais goûter… »

Encore et toujours, ces deux esclaves promettaient à Rachele un futur radieux. Elles étaient la promesse de ce qu’Alexandre lui disait, que cette femme, aussi arrogante et prétentieuse soit-elle, finirait par lui manger dans la main. Son destin était tout tracé, aussi inéluctable que l’écoulement naturel des saisons. Bien sûr, il aurait pu mentir, avoir engagé des actrices pour continuer à la confondre, mais il aurait suffi que Rachele les entende parler entre elles pour qu’elle constate qu’elles n’étaient pas de simples rustres, mais bel et bien des femmes cultivées, des membres de la haute société. Elles étaient là pour montrer à Rachele que, face à Dowell, il n’y avait pas de victoires possibles.

Le vampire se délectait profondément de cette situation, de l’incapacité de la femme à lutter contre sa soumission. Elle continuait à le sucer, furieuse, mais l’esprit embrumé, confuse. Il fallait dire que les deux esclaves continuaient à s’occuper d’elle, alternant entre jurons, provocations, et caresses érotiques. Elles connaissaient à la perfection le corps d’une femme, et savaient où appuyer pour la stimuler. Dans ces conditions, Rachele finit par jouir, et eut enfin droit à la récompense ultime. Les mains d’Alexandre se crispèrent sur ses cheveux, et il enfonça sa queue en elle, à tel point que ses testicules tapèrent contre les lèvres de la femme, son nez s’approchant de son estomac musclé.

« Hmmm… »

Le sperme fusa. Des filaments de foutre qui filèrent dans la bouche de la femme. Vampire, Alexandre avait, lui aussi, une particularité sexuelle en la matière : il jouissait très généreusement. D’épais monceaux de sperme éclatèrent dans la gorge de Rachele, et il continua à jouir en elle, jusqu’à ce que sa queue ne se recule, et ne laisse son sperme fuser copieusement entre ses lèvres, gonflant ses joues, sa queue tressautant dans sa bouche pendant encore de nombreuses secondes.

Finalement, Alexandre jouit une ultime fois, et décolla lentement ses mains des cheveux de Rachele, constatant, non sans un léger sourire, qu’il avait par mégarde arraché plusieurs mèches de cheveux. Mais sa queue, elle, restait plantée en elle, flottant dans ce sperme.

« Avale tout, ma salope. Que pas une goutte de sperme ne s’échappe de tes lèvres de traînée. »

Alexandre remua encore un peu en elle, et retira finalement sa queue. Plusieurs filaments de salive relièrent encore sa queue et la bouche de Rachele, mais, surtout, le long de sa verge, on voyait des traces blanches, des dépôts de sperme qui s’enfouirent aussi dans certains de ses poils pubiens. Mais Rachele, pour l’heure, était occupée à tout avaler, la bouche fermée, obéissant encore aux ordres pervers du vampire.

Lorsqu’elle eut terminé, Alexandre lui désigna sa queue.

« Nettoie ma queue avec ta langue, ma salope. »

Et, encore une fois, Rachele obéit. Maintenant que le sperme de Dowell était en elle, le contrôle de ce dernier n’allait que s’accentuer. Non pas que son sperme soit particulièrement magique, mais il comprenait son ADN, et c’était bien cet élément qui, en ce moment, lui permettait de prendre l’ascendant sur elle. Rachele s’approcha donc, et sa langue retourna nettoyer sa queue pendant une bonne minute.

« Tu es vraiment douée pour être une chienne… Dire que tu voulais me dominer, toi… Ah ! »

Et, comme si cette idée l’agaçait brusquement, sa main gifla sèchement Rachele, la frappant à la joue, l’envoyant se coucher au sol dans un cri de douleur.

« C’est bien la preuve que tu es mal dressée. Une chienne se doit de reconnaître ses supérieurs naturels. Et regarde encore… Est-ce que tu es fière de toi ? »

De quoi parlait-il ? Le vampire se rapprocha de la cyprine sur le sol. Véritable femme-fontaine, Rachele avait laissé une belle flaque de mouille par terre.

« Dans ta porcherie, tu tolères peut-être le laxisme et la saleté, mais, ici, tout doit être propre et irréprochable. Avale ta mouille avec ta langue, sale chienne ! »

Le nouvel ordre fusa, et Rachele, encore une fois, fut contrainte d’y obéir. Mais, tandis qu’elle se rapprochait, et qu’elle s’exécutait, l’une des femmes qui accompagnait leur Maître venait de récupérer un fouet. De la tête, Dowell lui fit signe, et la femme leva son fouet, puis l’abattit sèchement sur ses fesses.

« Je suis sûr que te faire fouetter le cul t’excite… Ça met toujours en chaleur les chiennes salopes dans ton genre… Ça, ainsi que de boire ma pisse. Je ne te l’avais pas dit ? À partir de maintenant, tu seras mon urinoir personnel, et j’ai toujours envie de pisser quand je jouis, ma salope. »

Si Rachele pensait que son dressage allait se calmer, elle avait été bien naïve.

Tout cela, en réalité, ne faisait que commencer !
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le lundi 05 juin 2017, 16:27:16
Prisonnière de la poigne glaciale du vampire, elle ne peut se libérer du flot incessant de son foutre épais et gras qui glisse, gorgée après gorgée, vers son estomac. Celui-ci est tellement prolifique qu'elle se sent vite repue, comme si elle avait été nourrie de force.

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Les doigts du vampire sont si puissants et brutaux, qu'elle sent quelques mèches de son épaisse chevelure se briser, lui arrachant un plissement d'yeux et un grognement de douleur et de désespoir, rapidement coupé par une nouvelle déglutition difficile.

-Nettoie ma queue avec ta langue, ma salope.

Dit il en sortant son membre de sa bouche, un peut de sperme et de bave gicle entre les lèvres de la belle qui se retrouve liée à son membre par cette chaîne blanchâtre.

Attention contenu explicite:
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Le vampire remarque une chose étrange, sa victime, bien que soumise au pouvoir de son sang, met malgré tout quelques secondes à s'exécuter. L'odeur du sang frai dirige son regard vers les mains de la jeune femme, qu'elle serre de toute ses forces au point de s'en couper avec ses ongles délicates et manucurés.

Malgré ses victoires répétés, le combat n'est pas terminé, et sa volonté lutte avec une violence inouïe, au point qu'elle s'en blesse elle-même.

Les yeux toujours fermés et plissés à l’extrême, elle continue néanmoins à lui nettoyer le gland avec une habileté déconcertante, preuve que le travail de Jucio a porté ses fruits malgré sa cure de désintoxication. Et que petit à petit, sa nature nymphomane reprend le dessus...

-Tu es vraiment douée pour être une chienne… Dire que tu voulais me dominer, toi… Ah !

A cette instant, elle ouvre les yeux et le regard d'un air assassin et animal. L'espace d'un instant, il à l'impression qu'il n'est plus en train de violer une simple humaine, mais une vampire à part entière.
Il dégage sa queue juste à temps pour entendre les dents de Rachele claquer dans le vide, là ou une fraction de seconde plus tôt, se trouvait son membre viril. Il vient ceuillir son visage d'une giffle humiliante et la belle tombe sur le coté en poussant un petit cris de douleur féminin et sensuel.

-C’est bien la preuve que tu es mal dressée. Une chienne se doit de reconnaître ses supérieurs naturels. Et regarde encore… Est-ce que tu es fière de toi ?

Allongée sur le flanc, le coude plié pour retenir sa tête lourde et se caressant la joue, sa longue chevelure formant un tapis châtain sur la soie du lit, Rachele offre un spectacle ravissant. Une véritable sculpture de grand maître, une nymphe alanguie après les assauts d'un ancien dieu.

-Dans ta porcherie, tu tolères peut-être le laxisme et la saleté, mais, ici, tout doit être propre et irréprochable. Avale ta mouille avec ta langue, sale chienne !  

Rachele sort de sa transe et plonge à nouveau son regard dans celui du mort-vivant. Celui-ci remarque à nouveau avec surprise toute la colère et l'orgueil de la Dona. Ce pouvait il qu'elle lutte encore ? Ce pouvait il que sa nymphomanie et sa toxicomanie aient été vaincu par le passé grace à un don rare et précieux chez les mortels comme chez les vampires ? Ce pouvait il qu'elle face parti des rares humains à être doté d'un tel pouvoir. Il en aurait bientôt le coeur net...

Elle serre à nouveau les poings à s'en faire blanchir les phalanges et une goûte de sang glisse entre ses doigts, preuve de sa paume meurtrie. Cela lui permet de résister pendant encore de longues secondes pendant lesquelles elle le défit du regard et lui communique tout le mépris et toute la haine qu'il lui inspire.

Puis elle cède de nouveau et roule sur le ventre pour se remettre à quatre patte devant les genou du vampire. Sans jamais le quitter du regard ou se départir de ses promesses de vengeance silencieuse, elle ouvre grand la bouche, laisse glisser sa langue le long de sa lèvre inférieure et commence à laper sa propre mouille à même la soie.

Le fouet claque alors sur son fessier rebondit, zébrant sa peau halée de stris roses.

-Haaa ! Salope !

Parvient elle à hurler, arrachant un regard interrogatif aux deux esclaves qui lancent à leur maître une œillade surprise. Mais celui-ci commence déjà à comprendre. Il la pousse alors plus loin dans la dégradation et dans les promesses d'humiliation pendant que les coups continuent à tomber sur le cul de la belle.

-Je suis sûr que te faire fouetter le cul t’excite…

Comme une réponse ou une épreuve à ses dire, le fouet claque encore sur ses fesses et elle sursaute en criant.

-Haaa ! Non !

-Ça met toujours en chaleur les chiennes salopes dans ton genre… Ça, ainsi que de boire ma pisse.

-Haaaa !

Elle cris et lève vers lui des yeux rond de surprise et d'incrédulité. Ne parvenant pas à croire qu'il puisse lui faire une chose pareille. Refusant d'accepter qu'elle lui serve de toilettes vivantes, un châtiment si monstrueux que même Jucio ne le lui avait pas infligé.

-Je ne te l’avais pas dit ? À partir de maintenant, tu seras mon urinoir personnel, et j’ai toujours envie de pisser quand je jouis, ma salope.

-NON ! JAMAIS ! JAMAIS !  

Lui hurle t'elle au moment ou l'esclave masquée arme à nouveau son bras pour frapper. A cette instant, d'une rotation du bassin qui fait délicieusement rebondir et danser ses énormes seins, Rachele se tourne vers la servante et la gifle. La mafieuse à la main sure et est habituée à gifler ses propres putes, l'esclave derrière elle, issue d'un milieu sélecte, en est choquée et se laisse prendre le fouet.

Le vampire comprend alors pourquoi cette jeune femme est si forte et puissante, pourquoi elle est à seulement 24 ans à la tête d'une famille mafieuse. Pourquoi elle résiste aussi bien à sa magie du sang et au discoure pernicieux de ses esclaves. Rachele dispose d'un don que les vampire nomment la Volonté de Fer. Possédée par un être sur des millions, rare même chez les vampires, ce don fait de sa volonté une forteresse aux hautes murailles, qu'il faut escalader au prix d'effort et d'une perversité inouïe pour en venir à bout. Cela explique qu'elle lutte encore et que les drogues mortelles aient été plus efficace que la magie immortelle.

Pour un vampire, trouver un de ces rares êtres est une bénédiction, car si ils parviennent à les briser, ils deviennent des outils d'une force et d'une résistance implacable, presque impossible à retourner contre lui. Qui plus est, détruire à petit feu un esprit et une volonté aussi formidable est un merveilleux moyen de ne pas connaitre l'ennui de l'immortalité. Et quelle victoire ensuite, que de l’exhiber soumise et enchaînée à ses moindres désirs. Ce serait comme de vaincre une véritable valkyrie et de détruire son instinct guerrier jusqu'à ce qu'elle ne soit plus cabale de tenir une lance ou une épée tans le besoin de tenir une bite occupe son esprit.

Luttant toujours contre la magie du sang, Rachele serre les dents et lève avec difficulté le fouet dans l'espoir de frapper son ennemi avec.  Mais les servantes de Dowel se reprennent et lui empoignent chacune un bras pour la tenir à genou, poitrine nue et bombée devant lui. Rachele se débat dans l'espoir d'échapper aux deux femmes, mais le sang de vampire dans leur veine les a rendue fortes et vigoureuse, elle ne parvient pas à ce libérer...
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le lundi 05 juin 2017, 21:44:18
Alexandre fut surpris, oui. Rares étaient les personnes capables de se libérer à ce point du sortilège de magie rouge. Mais était-ce si étonnante que ça ? Il avait bien compris que cette Rachele était une forte teigne, et, sans même parler d’un quelconque pouvoir magique, il voyait en elle une volonté inébranlable. Une tête dure, ce qui confirmait bien le fait que, en étant si jeune, elle puisse être à la tête d’un clan de Cosa Nostra, mafia réputée pour son fort sexisme. Il en sourit donc en la voyant récupérer brusquement le fouet, et gifler l’une de ses esclaves, plus amusé que véritablement effrayé, mais néanmoins impressionné. Elle luttait contre la magie qui la forçait à obéir, comme ces anciens révolutionnaires humains qui avaient réussi à lutter contre l’influence magnétique des vampires. Historiquement, il existait quantité de cas où certains leaders humains avaient pu finir par repousser la magie rouge. Il y avait une forte volonté en jeu, mais aussi une résistance naturelle et progressive au sang du vampire. Chez Rachele, seule sa volonté parlait, et elle réussit à se relever, fusillant Dowell du regard.

Ce dernier ne réagit pas, et laissa ses deux esclaves agir. Forte, Rachele était néanmoins encore influencée par la magie rouge, et, même si les deux esclaves venaient de la haute société, elles bénéficiaient d’une endurance accrue, résultant, non seulement de leur forte pratique sexuelle, mais aussi du sang d’Alexandre, qu’elles buvaient fréquemment, non pas pour être encore soumises, mais par simple addiction, et parce que son sang tendait à renforcer leurs capacités et leurs performances physiques. Elles mirent donc la femme à genoux, mais Alexandre intervint alors.

« Lâchez-là, mes chéries... »

Elles obtempérèrent rapidement, et Rachele put se relever, magnifique, aussi belle que rebelle.

« Tu es vraiment impressionnante, Rachele. Si, si, j’insiste. Personne n’avait réussi à lutter si rapidement contre mon envoûtement. Mais c’est à mon tour de te faire une confidence. »

Il marcha un peu vers elle, tout en laissant sa queue à l’air libre.

« Je t’ai dit que j’avais des méthodes de dressage plus conventionnelles que les tiennes... Mais j’ai peut-être un peu menti. Je crois que tu es prête pour passer à la suite de ton dressage. »

Rachele pouvait constater avec horreur que, si elle pouvait lever la main contre d’autres femmes, face à Alexandre, elle était impuissante. Ce qu’elle ne réalisait pas, du fait du sang du Vampire, c’est que l’homme lui parlait actuellement dans la langue des vampires, une ancienne langue que les seigneurs vampires usaient contre leurs esclaves, et qui renforçait encore leur emprise sur eux. Alexandre s’approcha donc d’elle, et caressa ses joues, puis fit glisser ses mains sur ses épaules, et caressa ensuite ses côtes, et finalement empoigna ses fesses, les malaxant fermement... Avant de l’embrasser goulûment, et longuement.

Pendant qu’il le faisait, les deux esclaves entreprirent de le déshabiller, abaissant son pantalon, sa veste, sa chemise... Et, pendant ce temps, il continuait à l’embrasser, avec un talent incroyable. Un homme avait-il déjà pu embrasser Rachele aussi bien ? Maintenant une main sur ses fesses, il remonta l’autre le long du creux de son dos, caressant ensuite sa longue chevelure, et remonta sur cette dernière. Sa langue se glissa ensuite entre ses lèvres, et, comme il s’y attendait, Rachele vient à la mordre. Néanmoins, loi de le repousser, Alexandre en frémit, et laissa son sang fuser, faisant pointer ses canines, et la mordilla à son tour. Elle se débattit, tentant en vain de le repousser, car sa poigne était véritablement en acier.

Et, pendant la durée de ce baiser, les deux filles retournèrent ensuite s’occuper de Rachele. L’une lui mit un collier de chienne autour du cou, avec des pointes en plastique, et un petit mot gravé dessus : « DOGGY ». Elle sourit, et donna une petite gifle sur les fesses de la femme, puis la seconde s’approcha avec une culotte noire en latex assez large, comprenant, à l’intérieur, deux vibromasseurs.

La jeune femme se mit à genoux, et le mit autour des cuisses de la femme, aidée par l’autre esclave. Elles enfoncèrent ainsi les deux godes dans le corps de la fmeme, puis refermèrent la culotte, et, grâce à l’aide d’une télécommande, enclenchèrent la fonction vibrante des godes. Rachele se mit à gémir, et Alexandre la renversa ensuite, la clouant au sol. Depuis le collier de la femme, une laisse avait été installée, et Alexandre en récupéra le bout, pendant que les deux beautés se glissèrent dans le dos de la belle Sicilienne, l’une tenant toujours le fouet, l’autre la télécommande.

« Inutile de vouloir te relever. Dès que tu te redresseras, elles te fouetteront. Et, si tu refuses d’avancer... »

L’autre esclave fit une démonstration en appuyant sur la télécommande, et le collier, qui comprenait des puces électroniques, se mit à vibrer, électrocutant douloureusement la femme pendant plusieurs secondes, pendant que les godes continuaient à remuer en elle.

« Je vais te conduire à ta niche, ma petite chienne... Là où tu vas rencontrer tes nouveaux camarades de jeu. Mais, avant ça... »

Il fit signe aux deux esclaves, et elles s’approchèrent, venant se mettre à genoux devant lui, la langue pendante... Et Alexandre, en souriant, leur urina dessus. Sa pisse décrivit un arc-de-cercle, du fait de sa queue redressée, et elles se mirent à avaler cette urine, dans la joie et la bonne humeur, chacune venant se succéder en suçant la queue de leur Maître, et pouvoir ainsi mieux boire ce qu’il leur déversait.

Rachele, elle, ne pouvait qu’observer, très certainement avec horreur, le destin qui l’attendait...
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le mardi 06 juin 2017, 21:19:07
-Lâchez-là, mes chéries...

Dès que les deux femmes lâchent la gangster, celle-ci bondit sur ses pieds, reprend le fouet en main et arme son bras de nouveau.

-Tu es vraiment impressionnante, Rachele. Si, si, j’insiste. Personne n’avait réussi à lutter si rapidement contre mon envoûtement. Mais c’est à mon tour de te faire une confidence. 

La langue vampirique percute son esprit et submerge l'âme et le corps de la belle rebelle. Elle s'immobilise d'un seul coup avec une telle promptitude qu'on croirait qu'elle a été figée dans le temps et dans l'espace.

Il se rapproche d'elle, sa hallebarde dressée prête à la soumettre de nouveau. Tout le corps de Rachele se met à trembler, des spasmes discret lui font baisser le bras armé, lâcher le fouet et se redresser pour mettre en valeur son corps nu et vulnérable.

-Je t’ai dit que j’avais des méthodes de dressage plus conventionnelles que les tiennes... Mais j’ai peut-être un peu menti. Je crois que tu es prête pour passer à la suite de ton dressage. 

Le vampire peut admirer toute la violence du combat qui agite le corps de Rachele alors qu'il hypnotise sa chaire de sa simple voix. Dans sa lutte, la belle lève la tête et serre les poings, mais la puissance kabbalistique des mots ronge ses défenses et petit à petit ses yeux se révulsent.

-gnn... gueuu...

Gémit la rebelle en sentant un spasme lui tordre le coup. Son corps se relâche et un mince filet d'urine commence à couler entre ses jambes. Le vampire sait alors, qu'il a le contrôle sur son corps, un contrôle si total que même les fonctions les plus élémentaires ne relèvent plus que de sa volonté.
 
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Il s'approche alors si près d'elle qu'elle sent le bout de son gland venir caresser le haut de sa vulve et son nombril. La peau de la belle se couvre entièrement d'une fine pellicule de sueur à l'odeur merveilleuse, qui fait briller son corps parfait à la lueurs des lampes de la chambre.

Il pose ses doigts sur son visage, toujours agité et torturé par la lutte entre son pouvoir et la volonté de Rachele. Il descend vers ses épaules, la jeune femme n'est plus parcourue que par un tremblement nerveux en sensuel, paralysée par le pouvoir de la Voix.

Quand il descend encore pour lui empoigner les fesses, la belle arrive à peine à bouger les doigts en signe de protestation, quand elle voudrait fermer son poing pour l'abattre sur le visage du vampire.
Il les lui pétri et involontairement son corps réagit à ses sévices, l'espace entre eux se charge de nouveau de l’odeur capiteuse de la cyprine fraîche qui coule le long de sa vulve.

La bouche du vampire se referme alors sur la sienne et commence à la couvrir de baiser si puissants et hardie qu'elle en perd toute concentration. Ses yeux, jusque la révulsé dans une transe guerrière, s'ouvre si grand que le vampire peut voir palpiter son cœur dans les minuscules petits vessaux qui les irrigue.

La surprise lui permet de se reprendre un peu, et elle parvient à lui mordre la langue, mais sa mâchoire n'a plus de force, c'est a peine si elle arrive à entailler ses papilles gustatives.  Elle voudrait se débattre, elle voudrait le taper, mais son corps est toujours prisonnier de la Voix, et ses membres ne font que s'agiter de soubresauts sinistres qui font claquer ses articulations.

Elle sent les deux femmes s'agiter autour d'elle. Le contact du collier sur son cou la fait craquer et elle se remet à pleurer de désespoir, refusant de devenir ce qu'elle va devenir si elle ne lui échappe pas: une chienne servile, une poupée, un jouet sexuel stupide et satisfait de sa nature... comme elles...

Mais elle n'a pas le temps de appesantir sur son malheur et son futur grotesque que déjà ceux-ci frappent à ses petites portes humides...
Toujours paralysée, elle ne peut empêcher les deux esclave de lui soulever les chevilles l'une après l'autre pour faire passer entre ses cuisses une ceinture de chasteté ornée de deux sextoys télécommandé.

Le vampire lui écarte bien les fesses et profite de sa promiscuité pour écouter les grognements de la belle, les mots qu'elle essai de formuler dans ce baiser interminable, les petites soubresauts de rébellion et de refus qui font rebondir sa poitrine contre ses pectoraux.

Quand les deux pénis en latex se présentent simultanément entre ses lèvres de sa chatte et les plissures de son anus, ses tremblement deviennent plus intenses, ses réactions et ses grognements plus violets, son odeur plus forte, si forte que même le vampire n'a que peu de souvenir d'un bouquet aussi capiteux.


-NN ! NNN ! Mmmmmm...

Après les gémissements de refus vient enfin celui du plaisir coupable et honteux... plus long... plus profond. Il se poursuit et le visage de la belle s'empourpre, ses tremblements de résistance se transforment en tremblements de plaisir.

Quand le vampire relâche enfin son emprise et que le baiser prend fin, Rachele ne tombe pas simplement à genou. Elle s'effondre littéralement sur le côté, ses deux bras lui écrasent et lui font gonfler la poitrine pour que ses mains puissent attendre l'intérieur de ses cuisses. Elle se met alors à se caresser dans l'espoir de jouir enfin. Soumise à un tel traitement, la nymphomanie autrefois vaincue et refoulée recommence à guider ses actes d'ancienne accro au sexe. Comme une drogue, le manque lui pourri le cerveau et lui fait lentement perdre la raison...

-Inutile de vouloir te relever. Dès que tu te redresseras, elles te fouetteront. Et, si tu refuses d’avancer...

Rachele se contracte violemment et convulse alors que la morsure électrique traverse son corps. Cette souffrance, unique et particulière lui fait revivre un horrible souvenir, celui de Jucio, lui posant deux électrodes sur les tempes pour lui griller le cerveau. Elle n'avait plus jamais été la même depuis ce jour, plus aussi brillante, plus aussi vive d'esprit. On lui avait arraché ce qu'elle était, et un nouveau monstre dans sa vie s’apprêtait à refaire de même...

Ne voulant pas souffrir encore, elle canalise toute sa force d'âme pour arrêter de se masturber maladivement pour se mettre à quatre pattes et obéir au Maitre des lieux.

-Je vais te conduire à ta niche, ma petite chienne... Là où tu vas rencontrer tes nouveaux camarades de jeu. Mais, avant ça... 

Partagée entre excitation et terreur pure, son esprit se délite et commence à délirer. Elle regarde, pétrifiée par le dégoût et l'horreur, le vampire se soulager sur les deux esclaves qui reçoivent son urine, à genou et les mains relevées de part et d'autre de leur seins comme de petites chiennes recevant un sucre.

Folie et hallucination obscurcissent sa vision, elle crois un instant se voir parmi elle, masquée à son tour sans qu'elle puisse vraiment savoir qui elle est des trois. Sa volonté et son unicité gommées au point qu'elle ne soit plus que l'une d'entre elles. Animée de la même ferveur dans la soumission alors qu'elle ouvre grand la bouche et tire la langue pour recevoir le cadeau du Maître.

Elle chasse cette vision en secouant la tête mais déjà les gods en elle recommencent à la violer et lui donner toujours plus envie. Submergée par la folie, elle se met à crier à voix basse d'abord, puis plus fort, jusqu'à en hurler à gorge déployée...
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le lundi 12 juin 2017, 00:28:41
Le vampire prit tout son temps, car il sentait le plaisir exploser dans le corps de Rachele. Son corps était en train de la trahir, ainsi que, sans aucun doute, des pulsions bien plus profondes, qui ne demandaient qu’à s’exprimer. Elle devait attendre que le vampire finisse, et, s’il prenait son temps, c’était aussi parce qu’il avait vu Rachele se masturber instinctivement. Chassez le naturel... Cette femme était une perverse, une vicieuse, qui était devenue dure et cruelle en refoulant sa nymphomanie. Un cas tout à fait fascinant, l’un de ces paradoxes humains qui, depuis toujours, amusait profondément le vampire. Alexandre souriait en la voyant. Elle les regardait, délirant à moitié, pendant que ses deux esclaves continuaient à boire son urine.

Et, même quand il eut fini d’uriner, elles se ruèrent sur sa queue, la léchant, la reniflant, gémissant de plaisir, veillant à bien nettoyer son sexe des quelques traces d’urine qui s’étaient déposées dessus. Le membre d’Alexandre, déjà tendu, le resta, au fur et à mesure que les deux femmes embrassaient et jouaient avec sa queue. Ses mains caressaient leurs cheveux, et Dowell s’attarda pendant un certain temps, les caressant tendrement, puis finit par se racler la gorge.

« Allez, les filles ! Assez joué, passons aux choses sérieuses, notre invitée s’impatiente...
 -  Hihi, elle plane complètement, oui...
 -  Je suis sûre qu’elle adorerait être à notre place, je vois l’envie dans ses yeux de petite pute en manque... »

Rachele sembla alors réaliser l’horreur de sa situation, et se mit alors à hurler. Alexandre, agacé, se rapprocha, et la gifla sèchement.

« TA GUEULE, SALE TRUIE ! »

La jeune femme tomba encore au sol, et il fit alors signe aux esclaves. Ces dernières se précipitèrent, et l’une alla chercher un nouvel objet, pendant que l’autre posa sa main sur le menton de Rachele t sur son front, la maintenant bien droite.

« Je ne supporte pas les hurlements excessifs, alors... Je vais fermer ta bouche. »

Et, vu le sourire pervers qu’il affichait sur les lèvres, nul doute qu’il ne fallait pas s’attendre à un simple gag-ball. L’esclave revint alors, et tenait entre ses mains un nouveau gode, très spécial, puisqu’il était incliné vers l’intérieur, avec une sorte de cordon en cuir autour. Impossible à mettre à hauteur du sexe, et Rachele put comprendre que ce cordon était en réalité un collier. L’esclave se pencha vers elle, tenant le gode dans la main, et l’approcha des lèvres de la femme.

« Tût-tût, inutile de résister, Rachele...
 -  On a vu comment tu nous regardais, à lécher la queue du Maître, et à boire sa pisse...
 -  Ce regard fiévreux, nostalgique, rêveur...
 -  Tu es devenue Dona Florenza, mais je crois que tu as construit tout un Empire du sexe et de la domination pour essayer de te convaincre que, au fond de toi, tu n’étais rien de plus qu’une chatte en chaleur cherchant une grosse queue pour la déflorer et la dominer. »

Tandis qu’elles parlaient, elles réussirent à enfoncer le gros gode dans la bouche de la femme. Ce dernier glissa en elle, tapant contre ses dents, arrivant au fond de sa bouche, et l’esclave située dans son dos attrapa les deux bouts du collier, et l’attacha derrière sa nuque, puis activa ensuite la fonction vibrante de l’appareil, pendant que l’une des femmes vint caresser son cou.

« Voilà... Comme ça, tu es parfaite...
 -  Et tu vas voir que je ne suis pas un monstre. Faites-là jouir, mais ne la touchez pas. Que le simple contact des godes fasse jouir cette salope, comme la bonne chienne qu’elle est. »

Les deux esclaves se redressèrent, et celle tenant la télécommande appuya à nouveau sur les boutons, amplifiant les vibrations. Les trois godes se mirent à vibrer en elle, et Rachele dut sentir d’immenses vagues de plaisir la traverser. Alexandre nota cependant que personne ne s’occupait de ses tétons, et fit, là encore, signe aux filles d’agir. Elles revinrent avec un fin collier doré servant de pince à seins (http://img110.xooimage.com/files/d/a/f/pince-sein-bdsm-poid-526c15c.jpg), et chacune posa les pinces sur els tétons de la femme, avec un poids à l’extrémité, qui faisait que Rachele devait naturellement se courber vers l’avant.

« Jouis, ma petite pute, profite du cadeau que ton Maître te fait... »
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le vendredi 16 juin 2017, 21:20:54
La main de marbre du vampire s'abat sur le visage de Rachele avec la même brutalité que ses insultes humiliantes sur son esprit.  Ramenée violemment à sa nouvelle condition de victime et bientôt d'esclave si elle ne lutte pas, Florenza, qui est de moins en moins digne de se nommer "Dona", se masse la joue d'un air triste comme une adolescente surprise d'être giflée par son père.

Étourdie par le coup, elle ne parvient pas à lutter contre son assaillante, qui la maitrise en s'installant à califourchon sur son ventre pour lui tenir la tête en arrière.

-Lache moi ! Lache moi salope ! Garce ! Retourne lécher ton maitre sale chienne !

Lui hurle t'elle en se débattant maladroitement, les bras pris en étaux par les jambes musclées de la soumise masquée. Quand elle voit l'autre se présenter devant elle avec le god-gag, elle se débat de plus belle mais avec le même succès. Aidée par sa consoeur, elle lui passe entre les lèvres le glands du bâillon tout en abreuvant son esprit brumeux de remarques perverses.
Une fois la corde bien enroulé derrière son cou, elle la resserre avec lenteur, progressivement le god pénètre sa bouche de plus en plus profondément.

-Nnnaaaaag !

Gémit la belle à mesure que le pénis artificiel lui dilate la trachée et carte ses lèvres à l’extrême. L'objet va si loin qu'Alexandre peut voir le cou de la belle former une bosse là où s'installe l'instrument.

-Voila

Une fois son oeuvre terminée. Rachele, les lèvres désormais grandes ouvertes en un "O" pervers, est désormais contrainte de garder la tête légèrement relevée pour respirer, et même ainsi, ses inspirations sont longues et difficile, contractant et faisant bomber sa poitrine splendide couverte de sueur. L'esclave active alors la fonction vibrante et Rachele ouvre de grands yeux surpris, se demandant si son calvaire prendra fin un jour, et ce qu'il restera d'elle si elle ne parvient pas à s'enfuir. Les vibrations se rependent dans sa gorge, dans sa bouche, la faisant baver, jusque dans son crâne pour la priver de toute chance de sommeil ou de perte de connaissance...

-Comme ça, tu es parfaite...

-Nggggg !

Gémit la belle en laissant à nouveau couler de chaudes larmes de désespoir. Cette perfection, elle n'en voulait pas. Elle était une femme forte et puissante, pas une poupée, elle refusait d'incarner cet idéal là. Celui d'une pute réduise au silence, uniquement guidée par les désirs de son maitre, aveuglée par sa dévotion stupide et vidée de son orgueil et de sa volonté propre.

-Et tu vas voir que je ne suis pas un monstre. Faites-là jouir, mais ne la touchez pas. Que le simple contact des godes fasse jouir cette salope, comme la bonne chienne qu’elle est.

Horrifiée par ses paroles, la captive essai de se redresser et répète les derniers du vampire d'un air interrogatif. Mais le bâillon dans sa gorge ne lui permet que de baver un borborygme incompréhensible, comme si la parole lui avait déjà été enlevée.

Avec une vivacité et une force incroyable, presque surnaturelle, les deux jeunes esclaves agissent de concert, comme le ballet mortel de deux lames jumelles. La première libère le corps de Rachele pendant que la seconde la redresse pour la présenter à nouveau à genou devant son futur maitre. Elle lui lie les mains dans le dos pendant que l'autre prend la télécommande en main. Elle l'agite devant les yeux de Rachele en lui faisant une moue malicieuse. La mafieuse la regarde dans les yeux, la suppliant du regard et faisant "non" de la tête. Mais cela ne fait qu'élargir le sourrir de la belle servante qui lui met l'objet sous les yeux avant d'en monter calmement la jauge.

Comme frappée par un marteau étourdisseur d'abattoir, Rachele, telle une génis s'effondre en tremblant. Mais les mains expertes de la femme derrière elle la retient et la force à rester à genou malgré les deux queues de plastique qui lui vrille le bassin et dévorent ses forces pour créer toujours plus de plaisir.

-Gaaaaaa....


Pousse t'elle du fond de la gorge à mesure que tout son corps se met à trembler et se contorsionner. Incapable de se contenir, elle sent ses bas instincts d'esclave nymphomane de Jucio revenir. Elle se met à baver et à mouiller si abondamment que de véritables petits ruisseaux de cyprine commencent à serpenter sur ses cuisses, tachant toujours plus la soie du lit.

Pendant quelques instants, la belle crois qu'elle peut tenir, qu'elle va s'en sortir, qu'a un moment ou un autre elle trouvera un moyen de s'enfuir. Autant d'espoir et de pensée fugace qui fusent vers l'esprit sans doute amusée du vampire face à tans d'illusions.

Puis vient le contact froid et cruel des pinces sur ses tétons, instant fatidique que choisit la servante au masque de mort pour lui porter le coup de grace en montant le curseur des gods au maximum.

Malgré le poids des boules qui pendent à ses tétons, tout le corps de la belle s’arque-boute en arrière pendant qu'elle glisse sur ses fesses et écarte les cuisses au maximum. Surpassée par les sensations, son bassin s'agite de lui même et se met à aller et venir, à frotter son cul galbé et torturé contre le matelas du lit pour faire bouger les gods en elle.

-Jouis, ma petite pute, profite du cadeau que ton Maître te fait...

Surpassée par le plaisir, brisée par l'humiliation et gods qui la pilonne, empoisonnée par le sang du vampire, Rachele sent qu'un barrage craque en elle et qu'une eau noire et poisseuse se déverse dans son âme. Pour la première fois depuis qu'elle a été libérée de Jucio, elle se sent comme elle se sentait quand elle était en son pouvoir. Et pour la première fois depuis cette époque maudite, elle obéit à son maitre.

Penchant soudain la tête en avant, ses seins torturés se mettent à pendre dans le vide, les tétons violacés étiré par les pinces. Elle regarde alors son corps luisant de sueur et de mouille se convulser sous les yeux du vampire. Elle accompagne les petits filets de sa liqueur qui se mettent à gicler sous son clitoris, en couinant comme une petite chienne, chaque gouttelette éclaboussant les pieds du vampire comme seul remerciement de son cadeau...
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le lundi 19 juin 2017, 01:05:35
Elle cherchait encore à lutter… Plus ou moins. Sa résistance était admirable, vraiment, et amusait beaucoup Alexandre. Il aurait pu se sentir agacé de la voir ainsi lui tenir tête, en parvenant même à lutter contre l’Envoûtement… Mais tout ça ne faisait que le stimuler davantage. C’était la preuve dont il avait besoin. Cette Rachele était une vraie dure à cuire, aussi belle que perverse. Elle n’était pas une petite princesse gentille, mais une dominatrice cruelle et sadique, qui jouissait du malheur des autres. Une prédatrice, exactement similaire, sur le principe, aux deux femmes qui la retenaient. Alexandre les regardait faire. Elle maintenait Rachele en position assise, l’empêchant de se vautrer sur le sol, et la femme ne put plus résister longtemps.

Pendant que Rachele se tortillait sur le lit, les deux esclaves parachevèrent sa tenue en glissant ses bras dans un harnais spécial (https://s-media-cache-ak0.pinimg.com/736x/6a/0c/1a/6a0c1a5db7a226d86276e581b17374a1.jpg), conçu précisément pour les bras, et l’empêchant de les libérer, puis elles la poussèrent ensuite. La redoutable mafieuse tomba sur le sol, devant les pieds d’Alexandre, où elle se tortilla sur place, son corps parcouru de spasmes nerveux au fur et à mesure qu’elle jouissait. Un très bel orgasme, qui dura plus d’une minute, où la mouille se mit à ruisseler le long des cuisses de Rachele. « Dona » Florenza s’effondra devant Dowell, couinant et gesticulant, jusqu’à se calmer progressivement.

Son corps flottait dans une belle flaque de mouille, et les vibromasseurs cessèrent de remuer en elle, tout en restant là.

« Eh bien… C’est impressionnant de voir à quel point tu t’es lâchée. Comme si être ma salope te rendait, au fond de toi, folle de joie… »

Il sourit tout en fléchissant les genoux, et caressa tendrement les cheveux de la femme, à hauteur de sa joue. Ses doigts s’enfouirent contre ses mèches, caressant tendrement sa peau.

« Et c’est bien ça, n’est-ce pas ? Comment oserais-tu le nier, maintenant ? »

Rachele était épuisée, mais tout cela ne faisait que commencer. Alexandre jouait avec elle, la narguait, mais avait encore bien des projets pour cette petite rebelle. Elle reprenait son souffle, mais il savait qu’il en faudrait plus pour la mettre à terre. Cette belle beauté était une rebelle, il l’avait senti dès le début.

« Bien… Et si on passait aux choses sérieuses, maintenant ? Il est temps que tu rendes visites à la grange… »

Les deux esclaves gloussèrent à cette idée, et s’empressèrent de libérer les bras de la femme. Alexandre se redressa ensuite, et ordonna à sa proie de le suivre, en tirant sur la laisse. L’une des esclaves lui ôta néanmoins le gode planté dans ses lèvres, ainsi que les pinces sur ses seins, pour qu’elle puisse reprendre sa respiration, mais remplaça rapidement le gode par un gag-ball, afin de ne pas importuner le Maître par ses grognements.

« Mes serfs doivent avoir fini de les nourrir, pendant que tu jouissais comme une petite cochonne… »

Alexandre restait volontiers évasif, mystérieux, et s’avança dans le couloir. Rachele put ainsi voir qu’elle se trouvait dans un magnifique manoir, qui faisait très noble, avec des tapis sur le sol, des tableaux, de grandes vitres permettant de voir un paysage très vert. Le manoir était situé près de collines et on pouvait discerner, au loin, des montagnes. Alexandre se rapprocha de marches, et les descendit tranquillement. La tâche fut un peu plus ardue pour Rachele, mais, comme à chaque fois, si elle tardait trop, soit le courrier l’électrocutait, soit elle se recevait des coups de fouet sur les fesses.

Tout était fait pour sa plus grande humiliation, et Alexandre se dirigea ensuite vers une porte, dans un couloir plus petit, plus rupestre, évoquant, dans les vieilles maisons, le quartier des serviteurs. Et, de fait, le duo s’approcha d’une pièce avec de délicieuses odeurs. Ils longèrent la cuisine, et Rachele put la voir à travers une porte entrouverte. Plusieurs cuisiniers s’affairaient, et un feu de bois brûlait dans une grande cheminée. Ensuite, Alexandre ouvrit la porte, et débarqua dans un petit jardin.

Pour Rachele, qui avait grandi en Sicile, tout ça devait lui rappeler un peu son enfance. Le manoir d’Alexandre comprenait des dépendances ici et là, des parterres de fleurs et d’herbes, dans une ambiance très champêtre, très chaude et très estivale, qui n’était pas sans rappeler ces maisons siciliennes éternelles. Dowell s’avança sur le sentier. Rachele allait bénir ses collants et ses gants, car ils lui évitèrent de se couper sur le sol, pendant qu’il faisait marche vers une grande grange en bois.

C’était ici qu’on devait entreposer du fond et ce genre de choses, mais, tout en s’approchant, on pouvait entendre un bourdonnement sur la droite. Là, sous un préau, il y avait deux gros générateurs qui fonctionnaient, alimentant Dieu seul sait quelle sinistre machinerie à l’intérieur. Et, tandis que l’homme se rapprochait, la porte de la grange s’ouvrit sur une jeune femme, une paysanne (http://astuce-soluce.playfrance.com/images/9/90/Witcher_C18.jpg) particulièrement dénudée, qui tenait un panier dans la main, et sursauta en voyant Alexandre s’approcher, ses délicieux seins nus pointant vers lui.

« Oh, Sire ! »

La main d’Alexandre caressa son visage, son pouce glissant sur ses lèvres.

« N’aie crainte, Fanis, ce n’est pas un contrôle, je voulais juste montrer à ma nouvelle esclave la grange… Ils sont bien nourris ?
 -  Oh oui, vous arrivez au meilleur moment ! L’un a même failli me mordre, j’ai dû remettre sa sangle en place ! »

Qu’est-ce qui pouvait bien avoir lieu dans cette grange ? Alexandre sourit, et tapota affectueusement la joue de Fanis.

« File rejoindre tes parents, ma fille.
 -  Merci, Sire ! »

La jeune fille partit, non sans jeter un regard assez appuyé sur le corps de Rachele… Puis Dowell tira sur la laisse, pour capter l’attention de la femme.

« Tu es prête, ma chérie ? »

Il ouvrit alors la porte, qui s’écarta dans un grincement.

« Ta destinée t’attend derrière cette porte… »
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le lundi 19 juin 2017, 11:29:44
Les membres prisonniers du harnais, réduite à l'impuissance totale, Rachele sent ses forces vitales se faire violemment drainer par une série d'orgasme qu'elle ne peut contenir. Le jeu est trop habile, les mains des esclaves du vampire, trop douées, trop téméraires. Elle n'ont peur de rien et connaissent le corps de la mafieuse aussi bien qu'elle connaissent le leur, elle savent ou masser, ou appuyer, ou faire mal, pour que l'orgasme soit toujours plus irrésistible. Leurs doigts entrent partout, même là où les gods semblent prendre toute la place, ils s'infiltrent entre les rebord de sa vulve et le sexe-toy fiché à l'intérieur, massent le cercle distendu que forme son anus obstrué par un autre jouet en plastique vibrant.

Elle se tortille en jouissant jusqu'à tomber au sol devant les pieds du vampire. Instinctivement, elle remonte ses genou vers son ventre en une forme bien dérisoire de position fœtale. Elle gémit de plaisir et de désespoir alors que ses larmes viennent grossir la petite flaque de mouille dans laquelle elle baigne. Quand les vibro s'arrêtent enfin de l'accabler de sensation, seul résonne dans la pièce le bruit haletant et difficile de sa respiration, mêlée à ses gémissements et ses pleurs étouffés.

- Eh bien… C’est impressionnant de voir à quel point tu t’es lâchée. Comme si être ma salope te rendait, au fond de toi, folle de joie…

Trop épuisée pour réagir, elle se laisse pour la première fois toucher par le vampire sans réagir. Son regard est figé dans le vide, comme si un choc émotionnel l'avait mise dans une forme de transe horrifique.
Il passe ses doigts sur son visage, écartant au passage plusieurs mèches collées de sa superbe chevelure, enduites de sueur et de cyprine sèche qui leur donne des reflets blancs, accentuant encore plus la sensation d'aliénation provoqué par ces sévices.

-Et c’est bien ça, n’est-ce pas ? Comment oserais-tu le nier, maintenant ?

Le regard de la belle se pose alors sur le vampire. Étonnamment, il est à la fois langoureux et assassin et passe un message très clair. Oui, elle est une véritable salope perverse et oui, ça a toujours été un combat pour elle de se maîtriser. Mais elle n'en est pas moins une guerrière qui à vaincu ses pulsions jusqu'à ce que Dowell arrive et fiche tout en l'air. Pour vaincre sa personnalité soumise d'esclave, elle à réussi à remodeler sa personnalité pour devenir l'inverse, une dominatrice, une vierge de fer et cela lui a pris deux longues années.

Le vampire est parvenu à la faire sombrer de nouveau dans la nymphomanie, ça, elle ne peut plus le nier, raison pour laquelle son regard est langoureux.
Mais elle reste une prédatrice fière et orgueilleuse, une Maitresse et non une esclave, et c'est la que le combat sera le plus acharné entre les deux tueurs. Maintenant que Dowell à fait ressortir la nymphomane, il va devoir forcer Rachele à muter de nouveau pour faire ressortir la personnalité qu'elle déteste le plus, qui la terrorise le plus: la soumise, l'esclave, la pute bimbo idiote de Jucio.

- Bien… Et si on passait aux choses sérieuses, maintenant ? Il est temps que tu rendes visites à la grange…

Les choses sérieuses ?! Il pouvait y avoir encore plus sérieux que ça ? En y réfléchissante oui, Rachele se souvenait avoir subit des actes bien plus odieux qu'un viol à trois pendant ses années de captivité. Il l'avait torturé, mutilé, humiliée de tans de manière. Mais elle se doutait qu'un être aussi ancien et détaché du genre humain que Dowell devait sans doute avoir d'autres tours dans sa manche pour tromper son ennui d'immortel.

Les deux femmes masquées lui retirent les pinces et le baillon. Rachele pousse un grand soupire de soulagement, prend une grande inspiration d'air frais, et s'apprête à répondre au vampire une nouvelle répartie cinglante. Mais les esclaves sont trop rapides pour elle. Ses premières syllabes sortent de sa bouche et interpellent le vampire au moment ou une grosse boule de caoutchouc vient les lui faire avaler.

-Va teaggl...

(https://img15.hostingpics.net/pics/598000Sanstitre11.jpg) (https://www.hostingpics.net/viewer.php?id=598000Sanstitre11.jpg)

-Mes sers doivent avoir fini de les nourrir, pendant que tu jouissais comme une petite cochonne…

Mais de quoi parle t'il ? Rachele ne comprend pas mais frissonne déjà d'horreur à l'idée de ce que le vampire pourrait avoir en tête. Il la prend en laisse et commence à tirer pour qu'elle le suive comme une bonne petite chienne, toujours retournée par les orgasmes et les humiliations qu'elle à reçu, elle se surprend à obéir instinctivement. Elle s'insulte elle-même intérieurement mais continue tout de même de le suivre à quatre pattes. Et alors qu'il l’entraîne dans les grands couloirs de son manoir, elle imagine mille scénario d'horreur. Parfois, la peur devient si grande qu'elle essai de tirer sur sa laisse pour s'arrêter, mais les deux acolytes du vampire lui fouettent alors les fesses et les seins pour la contraindre à avancer.

Les regards qu'elle lance au dehors la font plonger plus encore dans le desespoir. Elle ne sait pas ou elle est... mais une chose est sure, elle est loin, très loin de tout, peut etre même sur un autre plan comme Terra... et la fuite sera difficile. Elle se force à respirer calmement malgré les gods qui coulissent toujours entre ses cuisses à chaque pas et la peur qui la tenaille.

Ressaisie toi Rachele... ressaisie toi... tu va trouver un moyen... tu vas réussir à t'enfuir... courage...

Se dit elle à elle même pour garder espoir. Sur la route, elle analyse chaque porte chaque lieu, chaque passage pour trouver une issue, monter un plan. Cela n'échappe pas au vampire qui peut toujours scruter dans son esprit ses espoirs de fuite et de revanche.

Une nouvelle esclave dénudée distrait son attention. Rachele la hais dès le premier coup d'oeil, ne supportant pas que ces femmes soient détruites au point de se moquer de se promener nue et de mouille à la simple vue du vampire. Ils discutent et la peur de la gangster recommence à gonfler dans son coeur... mais de qui ou de quoi parlent'ils ?

- Tu es prête, ma chérie ?

Non... elle ne l'est pas, elle fait un signe négatif de la tête en se posant sur ses fesses, à genou devant les bottes du vampire. Elle secoue la tête de droite à gauche en signe de refus et de peur au moment où la porte commence à s'ouvrir.

- Ta destinée t’attend derrière cette porte…

Sa destinée, ce qu'elle est sur le point de voir sera donc l'image de ce qu'il lui réserve, de ce qu'il fera d'elle si elle ne parvient pas à fuir. Rachele tire sur la laisse dans l'espoir d'échapper à son destin, elle gémit sous son bâillon et continue de faire "non" de la tête en suppliant le vampire du regard... elle ne veux pas entrer...
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le lundi 19 juin 2017, 13:14:47
Alexandre s’arrête sur place, souriant en la voyant ainsi, posée sur les fesses, agenouillée, secouant la tête de droite à gauche, sa bouche obstruée par le gag ball niché dans ses lèvres.

« Tu fais la belle, ma petite chienne ? Tu as bien raison, ma foi... »

Et il rentre alors dans la grange, et tire sur la laisse de la femme. Dans son dos, les deux esclaves gloussent en se pinçant les lèvres.

« À bientôt, petite pute !
 -  On a hâte de rejouer avec toi, on prendra notre mal en patience ! »

Alexandre pouvait sans peine imaginer Rachele réfléchir intensivement au sort qui l’attendait. Tout était possible, surtout quand comme elle, on était si cruelle envers les autres. La domination et la souffrance, Rachel les connaissait, et son imagination n’était donc nullement bridée, car elle devait imaginer les pires tourments qu’elle-même faisait subir à ses victimes. Pénétrant à l’intérieur, Alexandre referma doctement la porte derrière lui, plongeant le duo dans l’obscurité.

Une forte odeur de renfermé régnait ici, et on pouvait entendre quelques frottements, des soupirs... Puis Alexandre appuya sur un interrupteur, et plusieurs lampes s’allumèrent alors.

« WOOOFF !! WOOFF !! »

Jaillissant sur sa droite, Rachele vit deux gros chiens, des bergers allemands, pointer leurs truffes  entre les barreaux d’une grande cage métallique. Alexandre ricana, et les laissa se calmer.

« Non, non, Rachele... Eux aussi auront droit à ma chienne, mais, pour l’heure, c’est eux que tu devras contenter... »

Devant les yeux probablement effarés de Rachele, il y avait une double rangée de fauteuils. Et, sur chaque fauteuil, on trouvait un homme. Un homme avec un casque de réalité virtuelle sur la tête, nu, gag-ballsur les lèvres, poignets et chevilles attachées par des sangles métalliques, et avec, surtout, un étrange appareil à hauteur du sexe, une grosse ceinture métallique avec des tuyaux. Une véritable ceinture phallique (http://img110.xooimage.com/files/9/a/b/device_phallus-51abdc6.png) qui stimulait leurs membres, et recueillait leur dépôt d’urine ou de foutre dans un réservoir de stockage (http://img110.xooimage.com/files/f/f/0/device_stockage-51abdd2.png), par le biais d’un tuyau qui filait de chaque appareil phallique pour rejoindre la grosse machine centrale.

Alexandre s’avança un peu, dominant les hommes assis, qui gémissaient et soupiraient.

« Ce sont des détenus, Rachele... Des criminels. Brigands, fraudeurs, voleurs, meurtriers... Plutôt que de les laisser croupir dans mes geôles, j’offre à certains d’entre eux une thérapie très particulière. Je crois que le plus vieux est ici depuis plusieurs mois, maintenant. Une fois qu’ils sont prêts, je les revends aux plus intéressés. Ils perdent peu à peur leur stupide humanité pour révéler la bête qui est en eux. »

Chaque jour, ils étaient bombardés d’images sexuelles, et stimulés par l’appareil. Il y avait six fauteuils par rangée, soit douze hommes qui subissaient des traitements hormonaux et des injections par intraveineuses pour les rendre plus endurants, plus musclés, sexuellement plus insatiables, le tout au détriment de leur équilibre mental et d’une libido’ galopante.

« Je vais les libérer, et ils vont jouer avec toi. »

Alexandre se rapprocha de la machine centrale, et appuya sur plusieurs boutons. On entendit alors des sifflements, tandis que les ceintures phalliques se retiraient, laissant sur place des chibres aussi puants que raides. Dowell se retourna ensuite vers la femme, pendant que les sangles se retiraient, tout comme les casques, et il enleva le gag-ball de la femme, avant de déposer un baiser sur le coin de sa tête.

« On se revoit demain pour la suite du programme. D’ici là, couine bien, ma petite chienne. »

Les hommes se redressèrent lentement, certains peinant à trouver leurs équilibres, mais, peu à peu, tous les regards se fixèrent sur la jeune femme. Ils ne prenaient pas de douches, et étaient donc sales. Alexandre referma alors sèchement la porte derrière lui, et la verrouilla.

Puis les violeurs s’approchèrent rapidement de Rachele, en grognant et en gémissant...

« Gnnn...
 -  Baiser-Baiser ! »
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le mardi 20 juin 2017, 12:54:18
Malgré toute ses rétissances le vampire parvient à la traîner par le cou jusqu'à l'intérieur. Rachele a si peur qu'elle entend à peine les remarques des deux esclaves du maître des lieux. Tout ce qu'elle espère, c'est de ne jamais les revoir, et si ce devait être le cas... qu'elle ne les considère pas alors comme des sœurs... Elle chasse une fois de plus l'image d'épouvante qu'elle s'est construite autour d'elles. Cette image d'elle-même, masquée à son tour, buvant fébrilement les sécrétions de son maître en se tenant comme une petite chienne folle de bonheur.

La porte se referme derrière elle, la plongeant dans les ténèbres. Des bruits de gémissements étouffés, de vrombissements de machines et de cliquetis de chaîne résonne dans l'obscurité et assaillent l'imagination de la jeune femme. Elle sent l'odeur de la transpiration, elle sent l'odeur d'un animal, elle sent l'odeur du foutre, du plastique surchauffé, et du lubrifiant.

Après de longues secondes d'un suspens presque théâtral, Alex décide enfin de rompre le mystère en pressant l'interrupteur. La lumière se déverse dans la pièce, deux superbes molosses, puissants et fougueux se jettent contre leur cage et aboient vers leur maître. Rachele sursaute et pousse un gémissement de terreur, incapable de hurler au travers de gag-ball. Elle recule sur ses genou pour s'éloigner d'eux, la peur au ventre et les yeux exorbités par l'horreur. Elle voit leur muscles saillant et leur regard vif d’intérêt se braquer sur elle, elle voit leur bave écumer au coin de leurs babines. Elle les voit renifler son odeur et s'exciter de sentir ses phéromones sexuelles et féminines. Leur pénis gonflent et sortir de leur fourreau, instantanément prêt à la prendre. A ce comportement instinctif, Rachele comprend avec répugnance qu'ils ont l'habitude de se faire offrir des servantes humaines.

Jamais ! Je préfère mourir ! Mourir !

Crit elle intérieurement, son esprit le hurle si fort que l'esprit du vampire en capte chaque mots, chaque intonation, chaque résolution. Il comprend que malgré toutes les horreurs qu'elle a pu elle même faire à ses propres esclaves pour les briser, elle n'a jamais pratiquée la zoophilie. La jeune femme est donc totalement novice sur ce fait... ce qui peut donc représenter une arme efficace contre elle.

-Non, non, non Rachele... Eux aussi auront droit à ma chienne, mais, pour l'heure, c'est eux que tu devras contenter...

Quand les yeux de la belle prisonnière se posent sur les deux rangées de mâles harnachés à leurs machines, elle en oublie d’analyser le sous entendu que le vampire vient de lui faire sur les chiens. Elle reconnait ces machines, elle les reconnait très bien, elle les reconnait parce qu'elle en fait elle-même usage au plus profond de l'Azylum...

Dans un flash, elle revoit en souvenir ses propres machines, fraîchement acheté aux Tekhannes, calibrées differament pour soumettre des femmes plutôt que des hommes mais le principe est le même.

Attention image explicite:

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Stimulation sexuelle et cérébrale permanente, lavage de cerveau, drogue, hypnose, thérapie hormonale de choc. Aucun esprit, aussi fort soit il n'y résiste. Rachele elle même n'y résisterait probablement pas, peut être résisterait elle longtemps, mais elle finirait par craquer aussi et devenir folle de sexe. Ça avait failli être le cas quand Alexandre l'avait capturé dans un sous-sol du Rachele'S Club et l'avait branché sur une de ses propres machines pour la punir. Heureusement, il n'avait pas continué avec. Elle aurait sans doute eu beaucoup plus de mal à lui résister si il avait commencé par lui infliger ça pendant quelques jours ou quelques semaines.

Rachele en frissonne, une fois de plus l'image du flash lui revient si fort que le vieux vampire la voit lui-même dans son esprit ainsi que toutes les craintes et les conjectures de la mafieuse à ce sujet.

Pour l'heure il n'en dit mot et se contente de lui déchire qui sont les hommes ainsi torturés. Ce sont les pires rebuts de l'humanité, des porcs répugnants et idiots. En les regardant et en écoutant le vampire parler d'eux, elle renifle de dégoût et les toise avec mépris sous l’œil sans doute amusé du vampire.

Ils sont de tout type, de toute corpulence et de tout âges mais le traitement hormonale les a tous rendu massif et puissant, même celui qui semble vieux.

-Je vais les libérer, et ils vont jouer avec toi.

En entendant ces mots, Rachele se met à hurler dans son bâillon, elle prend la jambe du vampire entre ses bras et lui jette un regard suppliant et faisant "non" de la tête. Mais celui-ci l'ignore et se dégage sans le moindre souci. Il s'avance vers le panneau de commande et les libères. Quand il se retourne la belle rebelle est recroquevillée contre la porte et cache maladroitement ses seins avec un de ses avants bras, et son entre-jambe de l'autre main. En cette instant, elle est d'une beauté et d'une fragilité alarmante et sincère, naturelle, animale.

Les "mâles" se redressent maladroitement et se tourne telle des machines vers le coin d'ombre de la pièce ou se cache Rachele, humant l'air comme des animaux pour trouver la provenance de ce parfum de femme. Leurs sexes et leurs testicules, gonflées de testostérones et de divers mutagènes d'origine bestial, peut être même formienne, sont devenu énormes, violacé et couvert de veines palpitantes.

Quand le vampire lui retire le bâillon, Rachele s'agrippe à nouveau à sa jambe.

-Non ! Ne faite pas ça je vous en supplie ! Ils... Ils vont me tuer... pitié...

Trahie par le son de sa voix, les mâles se rapprochent d'elle d'un pas trainant, comme des zombi assoifés de sexe et nom de chaire humaine.

Pour toute réponse, le vampire lui embrasse la joue, se dégage, ouvre la porte et lui dit qu'elle va devoir survivre une nuit entière avec ces bêtes sauvages et folles. La porte se referme.

-Non... attendez...

-Baiser.... baiser...

Elle se retourne et se dresse sur ses pieds, dos au mur, elle le rase en reculant vers un autre angle de la pièce pour leur échapper.

-Attendez... je... je peu vous aider... on peut tous s'enfuir de cet enfer... par pitié... reprenez vous...

Elle recule encore jusqu'à ce que l'angle la bloque et qu'il ne lui reste plus aucune direction de fuite. Elle se recroqueville comme un petit animal blessé en cachant désespérément son sexe et ses seins derrières ses petits membres bien dérisoire.

-Non... non... pitié...

Comme dans un cauchemar de petite fille, leurs silhouettes massives la surplombe et leurs innombrables mains tombent lentement vers elle pour l'agripper.

-NAAAAAN !

Face à douze paires de bras chargés d'hormones de croissance et de stéroïdes, la force de la belle gangster et ses aptitudes au combat sont bien dérisoire. Leurs doigts se posent partout sur elle, ils l'agrippent aux bras, par la chevelure, par les jambes les pieds, le bassin. Lentement et méthodiquement, il la soulève comme une poupée de tissu et la ramène vers le centre de la pièce, là ils pourront tous profiter d'elle en même temps.

Rachele se débat, hurle, mord, donne des coups de poings et de pieds, mais à chaque fois la poigne conjuguée de tout ces mâles en rûte la maîtrise et accompagne ses mouvements pour les canaliser. Telle un papillon de nuit pris dans une toile d'araignée, elle s'épuise de plus en plus en lutant pour survivre.

Sans attendre qu'elle soit vaincue ou épuisée, les hommes-bête commencent déjà à la gouter...

Leurs bouches avides et baveuses se referment sur ses seins pour les mordre et les sucer. Ils le font si violemment qu'ils lui laissent des marques de dent ou lui tire du lait à cause de la thérapie hormonale qu'elle à elle-même subit quand Dowell l'a capturée.

-Haaaaaaaa ! Naaaaaan...

Soupire t'elle en haletant, le souffle cours alors que la douleur et le plaisir la font chavirer et brulent ses dernières forces.

Ceux qui n'ont pas de place pour profiter de sa poitrine se rabattent sur ses bras, ses mains, ses pieds pour les lécher et les sucer avidement, provoquant en elle de nouvelles vagues de sensations contradictoires et perverses qui l'horrifient.
 
Une main brutale brise la boucle de sa ceinture et la lui arrache lentement, extirpant les gods fichés dans son cul et sa chatte. Rachele pousse un long gémissement de soulagement qui lui brise les reins et le souffle.

-Haaaaaaaaaa !

Elle se relâche l'espace d'une seconde pour reprendre son souffle, immédiatement elle en est punie. Les mâles profitent de ce moment de faiblesse pour lui écarter les jambes...  une tête se fraie alors un passage entre ses cuisses.

-Nan pas ç...

Une bouche se referme sur la sienne et des mains sur sa gorge pour l’empêcher de parler ou de se débattre. Prisonnière d'un baiser gras et libidineux, elle ne peut que ressentir avec répugnance d'autres lèvres se refermer sur sa vulve et une langue énorme se mettre à la lui rapper violemment.

-Mmmmnnn !

Gémit elle en se convulsant, refusant encore et toujours le destin que le vampire lui réserve. A mesure qu'elle se fait lécher et mordre de toute pare, elle sent un plaisir malsaint et répugnant monter en elle, et elle le refuse de toute son âme.

Un autre visage passe entre les deux ravissantes courbures de ses fessier pour les écarter et une dernière paire de lèvres se posent sur son anus. Une nouvelle langue commence alors à lui humecter les plis du lotus avant de profiter de cette brève lubrification pour s'y enfoncer de plus en plus profondement.

Rachele perd peu à peu le contrôle de son corps et de ses désirs, sa nymphomanie, réveillée par le vampire, recommence à faire vibrer son corps et les assauts de tout ces mâles conjugués la font chavirer.

A mesure qu'elle cesse de se débattre, les mains des hommes-bêtes migrent vers leur propres queues qu'ils commencent à luster. Quand le baiser du violeur cesse enfin, Rachelle ne trouve plus la force de crier, elle se contente d'ouvrir grand la bouche pour reprendre sa respiration comme si elle venait de surgir de l'eau. Les yeux à moitiés révulsé par ce subtile mélange d’asphyxie, d'horreur et de plaisir confondus, elle voit une armée de sexes se dresser autour d'elle pour la baiser sauvagement.

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Prise dans un véritable maelström de chaire, de sang et de sexe, Rachele est perdue, elle ne sait plus où est le sol, où sont les murs, combien sont ses assaillants. Entourée de cette trempette de mains, de visages et de bites dressée, elle sombre inexorablement jusqu'à ne plus voir que leurs corps horriblement torturé et déformés par les hormones.

- Ha ! ha... mon dieu je... non je...

Celui qui lui lèche la vulve avec bestialité est soudain récompensé de leur assiduité combinée. Son visage et sa bouche deviennent le réceptacle de la cyprine de Rachele qui, rouge de honte, jouit d'un seul coup. Totalement perdue, elle ne parvient plus à savoir quand cette journée a commencé et combien de fois elle a déjà jouis. Terrifiée par ce qu'elle est en train de redevenir, elle se met à pleurer de désespoir.

Mais cela n'attendri pas un seul instant les hommes bêtes. Celui qui vient de recevoir sa mouille en plein visage, surexcité par la réaction de la jeune femme, pousse un cris guttural de victoire. Rachele le regarde avec répugnance tans sa posture et son comportement lui donne l'impression de ce faire violer par un gorille.

Comme une poupée sexuelle dernier cris, il la manipule de nouveau sans ménagement ni douceur. Il se dresse entre ses jambes, plaque son sexe contre le sien, empoigne ses seins fermement et se laisse basculer sur le dos. Déstabilisée par cette manœuvre habile et rapide, Rachele réalise trop tard qu'elle est maintenant à terre, assise à califourchon sur le mâle qui lui agrippe toujours les seins pour la tenir dans cette position.

Le cercle se referme à nouveau autour d'elle. Un autre mâle vient se positionner derrière elle et appui son gland sur le trou encore entrouvert de son anus déformé par le god et la langue du prisonnier. Pendant ce temps, celui allongé sous elle cherche l'entrée de sa chatte  en donnant de petits coups de queue contre sa vulve trempée.

Elle tourne vivement la tête pour protester mais un autre homme lui attrape le visage de ses doigts puissants et presse sa mâchoire pour l'obliger à ouvrir la bouche. De douleur, elle craque et l'ouvre grand pour avaler son sexe tout entier.

Maîtrisée de toute pare, totalement prisonnière de cette toile de chaire humaine, elle ne peut plus empêcher l'inéluctable. Le regard terrifié et suppliant, la bouche prise jusqu'à la gorge, elle commence à pousser un long grognement d'horreur et de plaisir en sentant ses deux violeurs s'enfoncer en elle en même temps.

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Ils commencent à coulisser en elle de plus en plus vite, de plus en plus fort, lui arrachant coups après coups de nouveaux orgasmes de plus en plus violent. Quand le premier jouit enfin dans sa bouche, il se libère pour pouvoir inonder le visage de Rachele de sa semence chaude et gluante. La pauvre esclave ferme les yeux pour ne pas voir ça.

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Quelques instants plus tard, ce sont les deux autres qu'elle sent venir. Ils la remplissent de longues rasades de foutre qui ne semblent jamais s'arrêter. A chaque cou de queue, Rachele sautille sur ses genou avec surprise alors que son ventre et son cul commencent à se dilater.

Mais alors qu'elle crois que son calvaire est enfin fini, les trois autres mâles se jettent à leur tour sur elle.

-Nan... nan... je n'en peu plus stop... je gllll...

Une nouvelle bite, aussi dure et grosse que la précédente recommence à la fourrer jusqu'au fond de la gorge. Les autres en profitent pour se glisser sous elle et sur elle pour continuer de la baiser et de la sodomiser sans interruption.

Le calvaire continue ainsi, encore et encore, minutes après minutes, heures après heures, a chaque fois que les suivants jouissent, les précédant à nouveau en rûte les remplacent et recommencent encore et encore.

Parfois, certains sentent l'envie revenir plus tot, alors que les autres n'ont pas fini. Ils se contorsionnent alors pour forcer la jeune femme à prendre leur bites turgescente en plus des autres, lui faisant découvrir dans la douleur la double pénétration  parfois par l'anus, parfois par la vulve.

Porté au delà de ce que son corps peut supporter, Rachele ne trouve hélas jamais le réconfort dans la mort ou la perte de connaissance, le sang du vampire la protège. Si bien qu'a force de ce faire baiser non stop pendant de si longues heures, elle en vient à ne plus avoir de mouille pour se lubrifier, ses violeurs, à ne plus avoir de salive pour enduire leurs épées...

Ils continuent quand même... arrachant à la pauvre esclave de plus en plus de douleur et de moins en moins de plaisir à mesure qu'elle sent sa vulve et son cul gonfler à causes des micro blessures qu'ils lui infligent.

--- Le lendemain ---

Quand le vampire décide de revenir le lendemain et qu'il ouvre la porte, il assiste à un spectacle aussi cruel qu'excitant.

Quatre des hommes-bête gisent en divers endroit de la pièce, couvert de sperme et de cyprine sèche. Les deux autres, les plus puissants, les plus jeunes, et les mieux membrés, ont visiblement ramassé le gag-ball pour étouffer les hurlements de douleur de Rachele pendant qu'ils continuent de lui labourer le cul et la chatte.

Le premier est allongé sur le dos et tient entre ses bras ceux de Rachele, elle même allongée sur lui, sur le dos, il la sodomise lentement et brutalement. L'autre se tient au dessus d'elle et lui tient fermement les hanches pour mieux s'enfoncer au plus profond de son vagin et frapper aux portes de son utérus.

Rachele est au supplice. Incapable d'échapper à la torture, elle pousse de longs grognements de douleur du fond de la gorge à chaque fois qu'ils poussent en elle, le corps totalement arc-boutée par la souffrance. Le visage couvert de larmes de souffrance et de désespoir coulent de ses yeux fermés et plissé à l'extrême sous l'effort.

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Le vampire remarque que sa vulve à gonflé et est devenue énorme, son clitoris trône comme une mure monstrueuse au dessus, pendant que la queue du violeur utilise les quelques gouttelettes de sang qui coule de sa chatte pour se lubrifier et continuer le supplice.

Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le lundi 26 juin 2017, 00:36:16
Alexandre la laissa en galante compagnie. Des caméras étaient néanmoins situés dans l’entrepôt, et filmèrent toute la scène. Il pouvait y avoir accès depuis son téléphone portable, car, même ici, à Ashnard, il avait utilisé de la technologie tekhane contrefaite pour disposer d’un peu de réseau, à l’aide d’une antenne satellite reliée aux satellites tekhans. Tout en travaillant et en accomplissant ses obligations seigneuriales, il consultait régulièrement les enregistrements, et souriait en voyant la petite pute succomber, peu à peu, à ses plus bas instincts.

Les hommes qui la baisaient n’avaient plus d’hommes que l’apparence. Ils avaient une endurance sexuelle exceptionnelle, couplée à des queues très grosses, mais au détriment de leurs capacités intellectuelles et de leurs performances mentales. Le résultat était plaisant à voir. Rachele disparaissait parfois sous une forêt de queues, et n’arrivait tout simplement pas à sombrer dans le coma. Non seulement était-elle très résistante, mais elle avait aussi le sang du vampire dans ses veines, qui la stimulait et la réveillait. Et puis, à chaque fois qu’elle semblait s’évanouir, ses violeurs n’hésitaient pas à la battre ou à la fouetter, à l’aide de cravaches ou de fouets. Certains se reposaient, et d’autres venaient les remplacer. Ainsi, Rachele fit continuellement l’amour, sans relâche, de plus en plus perversement.

En effet, à plusieurs reprises, ses violeurs se vidèrent en elle, jouissant certes, mais lui pissant aussi dans le corps. Ainsi, l’un d’eux, après avoir joui dans son cul, crispa ses doigts, et relâcha d’épaisses quantités d’urine. Un autre en fit de même dans la bouche de la femme, qui ne pouvait plus lutter, telle une poupée désarticulée soumise aux ardeurs de ses tortionnaires. Alexandre fit également l’amour le soir, pendant une bonne partie de la nuit, en compagnie de plusieurs de ses esclaves, dont celles qui l’avaient aidé à martyriser Rachele.

Il le fit sur Terre, dans la grande chambre de son penthouse, face à un écran plasma qui retransmettait les images de la tournante que Rachele subissait. Loin de le gêner, ou d’éveiller en lui quelque remords infondé, la torture sexuelle de Rachele forma comme une sorte d’arrière-plan qui le rendit particulièrement hargneux ce soir, au grand plaisir de ses dames. Il les baisa donc longuement, sans relâche, avec une ardeur incroyable, les griffant.



Au petit matin, la porte de l grange s’ouvrit. Plusieurs femmes entrèrent, et un rayon de lumière éclaira le corps nu et sale de Rachele. Des contusions, des ecchymoses, des traces de morsure, sans parler de tout ce foutre qui lui collait au corps, tâchant ses cheveux, mélangés à de l’urine... Une forte odeur s’échappait du corps ravagé et épuisé de la femme, qui était prostrée au sol.

« Diable, ils jouent encore avec elle !
 -  Ils n’ont pas arrêté de la nuit, c’est que cette femme a dû les motiver... »

Plusieurs s’approchèrent d’elles, mais l’une attrapa un sifflet, et l’utilisa. Un sifflement strident résonna, et stoppa les hommes. C’était un signal de sécurité, et ils relâchèrent alors Rachele. La jeune femme siffla à nouveau, et ils retournèrent s’asseoir docilement, en respirant longuement. Souriant, les filles se rapprochèrent alors de Rachele, et posèrent devant elles une grande bassine d’eau. Toutes ces filles étaient des adolescentes portant des uniformes scolaires japonais.

« Elle comate à moitié... »

Elles attrapèrent des éponges, et commencèrent alors à nettoyer la femme, frottant son corps, utilisant des serviettes hygiéniques et du savon. Pendant ce temps, d’autres filles rattachaient les hommes, remettant les sangles, les gags-balls, leurs casques de réalité virtuelle, puis leurs ceintures phalliques.

« Là, voilà, ne résiste pas, il est important de te nettoyer...
 -  Une petite chienne ne peut pas rester sale, le Maître n’aime pas ça.
 -  Et il faut aussi que tu reprennes des forces, une grosse journée t’attend. »

Rachele avait droit à un bref moment de répit, mais qui ne serait aussi qu’une autre manière de l’humilier. Car l’une des adolescentes lui avait apporté son plateau-repas (http://img110.xooimage.com/files/e/d/3/food_dog-5285789.jpg), et il était... Très atypique.

« Allez, il faut reprendre des forces, petite chienne ! »

Elles avaient fini de la nettoyer, et l’amenèrent devant le plateau-repas. Il y avait un gode dessus, ainsi qu’un bol rempli de... De croquettes. Il y avait aussi un petit bol de lait. Une main caressa les cheveux de Rachele, tapotant sa tête... Et une cravache s’abattit sur ses fesses, pour la motiver.

« Allez, mange ! »

Une situation particulièrement humiliante, car les filles gloussaient... Et s’amusaient même à la photographier.

« La grande Dona Florenza...
 -  Hihi ! On dit qu’elle est très influente dans le milieu du crime organisé...
 -  Et elle fera une très bonne chienne. Hein, Dona Florenza ? » fit une autre femme, en insistant délibérément sur son titre.

Plus aucun respect... Pour elles, Rachele n’était qu’une dévergondée qui avait osé attaquer leur Maître, et qui allait maintenant devoir en payer les conséquences.
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le lundi 26 juin 2017, 21:31:33
Au moment où les mâles relâchent enfin Rachele, elle n'est plus capable de tenir sur ses jambes, ni même sur ses genou. Elle s'effondre en gémissant dans la vaste flaque de foutre, de cyprine et d'urine froide qu'elle et ses "amants" ont crachés pendant la nuit. Les traces les plus impressionnantes sont celles de leurs doigts sur ses bras, alors qu'ils jouissaient une dernière fois en elle avant de la libérer ainsi que les morsure sur ses seins.

Dans l'espoir de retrouver un soupçon de dignité, de se redresser pour affronter ces petites garces adolescentes, elle enlève la gag-ball qui se met à pendre entre ses seins. Puis elle essai maladroitement de se remettre à genou, mais elle ne parvient qu'a ramper ventre et sexe contre terre au pieds des jeunes femmes, en bavant encore le sperme de ces brutes.

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Apres quelques mouvements, elle pousse un nouveau gémissement d'épuisement et s'effondre de nouveau, le corps partiellement sorti de la flaque de souillure, totalement aracée.

Quand les écolière posent leurs innombrables mains sur son corps meurtri pour la manipuler, Rachele ne pousse qu'un léger souffle de protestation et utilise ses dernières forces pour donner un coup de poing, mais il est si lent et maladroit qu'une adolescente le rattrape en riant et commence à le lui nettoyer.

Elle donne un petit coup de hanche, mais sa jambe ne décolle pas du sol, les jeunes femmes profitent alors pleinement de sa faiblesse et de ses blessures pour la déplacer ou jouer avec elle sans danger.
Les yeux mis clos, l'esprit noyé entre ténèbres, folie et désespoir, elle pousse de petits cris délicats et sexy quand les éponges tièdes se posent sur les marques de morsure sur ses seins, puis sur le petit dôme écarlate de sa vulve torturée et enflée.

Rapidement, le sang du vampire fait effet, et les équimauses ainsi que les plaies commencent à disparaître et rétablir la beauté de son corps ravagé. Rachele se met alors à sangloter en sentant son corps se rétablir ainsi, en sentant les chaires de son vagin et de son anus, totalement élargies et distendues, reprendre leur fermeté et leur élasticité, comme si rien ne s'était passé, prélude à de nouvelles souffrances la prochaine fois où elle se ferait baiser.

Désormais prisonnière de son propre corps, elle comprend qu'un des plus odieux pouvoir du sang de vampire, c'est qu'il lui infligera toujours la sensation de se faire violer pour la première fois, que jamais elle n'aura la "chance" de s'être suffisamment faite baiser pour que son sexe, devenu béant et mou, ne inflige plus douleur à chaque séance.

Temps qu'elle sera droguée au sang d'Alexandre, elle n'aura pas le droit de mourir, de dormir ou de ne pas souffrir, sans son accord...

Les petites servantes interrompent ses lamentations intérieures en posant devant elle son plateau repas.
Rachele regarde le god, le regard toujours fatigué mais néanmoins surpris, ne comprenant pas ce qu'il vint faire sur son repas. Puis elle regarde les croquettes et détourne le regard d'un air dégoutté et hautain.

Les coups de cravache qu'elles lui donnent ne suffisent pas à la faire craquer, elle se tient aussi droite que son épuisement le lui permet, digne face à l'humiliation qu'elle est en train de subir, sans se douter une seule seconde que des cameras la surveillent en ce moment même.

Jusqu'à ce que les adolescentes, habités par l'impatience typique de leur âge, ne commencent à se montrer plus cruelles. L'une d'entre elle lui tient les mains dans le dos pour la forcer à manger comme un animal, la tête dans la gamelle pendant qu'une autre appui sur sa tête pour lui plonger le visage entier dans la coupe de lait. Le nez et la bouche immergée, Rachele se débat faiblement avant de commencer à en laper le contenu pour ne pas s’étouffer avec.

Quand elle reprend enfin sa respiration, une autre petite servante lui fourre une poignée de croquette dans la bouche et la force à les mâcher pendant qu'une autre lui donne de petits coups de cravache sur les seins et sur la croupe. Surpassée par la brutalité de ces petites peste, Rachele se met à mâcher à toute vitesse, comme un chien pressé de finir sa patté. A chaque fois qu'elle avale une bouchée, on lui pince les seins, on lui fouette la vulve pour la faire crier et lui enfourner une nouvelle bouchée.

Jusqu'à ce qu'épuisée et ne supportant plus les coups, elles lui enfoncent la tête dans la gamelle pour la forcer à la manger comme une chienne. Quand elle à enfin terminée, Rachele retombe à plat ventre sur le sol, dans la même position que moment d'être lavée, elle essai faiblement de se mettre en position fœtale, mais les lycéennes l'en empêche pour passer à la suite de leur plan...
 


Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le lundi 03 juillet 2017, 00:46:18
Bien que déguisées en lycéennes, ces adolescentes venaient en réalité du domaine d’Alexandre. Elles avaient l’âge de cueillir des fleurs, l’âge de raconter des poèmes, de les faire rêver. On les imaginait douces et serviables, aimables et agréables, alors que, en réalité, elles étaient surtout perverses et cruelles. La réalité, c’est qu’on sous-estimait beaucoup trop la cruauté et la perversion dans le cœur de l’être humain. On aurait pu croire que Dowell manipulait ces filles, qu’elles étaient forcées d’agir, mais ce n’était même pas ça. Elles étaient tout à fait volontaires, et, tout en torturant ainsi Rachele, en l’humiliant sans la moindre forme de pitié, en se moquant d’elle en riant méchamment, elles pouvaient tout aussi bien se montrer romantiques, ou poétiques. Surprenant ? Pour le croire, il fallait être le dernier des idiots, ou avoir oublié ses années de collège. L’être humain avait, dès son plus jeune âge, une tendance naturelle à la propriété, et à la fierté. C’est ce qui faisait que l’Homme avait une tendance naturelle à humilier les autres, à se définir par rapport aux autres en se valorisant. Tout ça n’en était qu’une démonstration.

Et puis, Rachele était si belle, si forte, que c’était pour elles un vrai régal de la battre ainsi. Elles la fouettaient sans hésitation, pinçaient ses sens, mordaient sa chair, consciente que la peau de la femme cicatrisait à chaque fois. Cependant, comme elle n’était qu’une humaine, la douleur, elle, stagnait et restait.

« Allez, petite pute, mange !
 -  Maître Dowell a dit que c’était une forte tête, ça se voit...
 -  Tu crois encore pouvoir lui résister, hein ? Petite conne... Maître Dowell est bien plus puissant qu’une vulgaire criminelle qui se défoule dans sa cave puante ! »

Dowell, de fait, utilisait déjà des filles de ce genre sur Terre, en partant précisément du principe qu’on faisait toujours confiance aux enfants. Elles étaient très douées, et rémunérées à la hauteur de leurs précieux services. Elles forcèrent donc Rachele à manger, et la fessaient et la fouettaient sévèrement quand elle commettait l’erreur de recracher. Elles allèrent finalement plaquer sa tête contre la gamelle, la forçant à en manger le contenu, giflant encore ses fesses.

« Allez, alle, mange et croque bien !
 -  Miam-miam, ch’est bon, hein ?
 -  Regardez comment elle avale ça, cette chienne ! »

Et elles gloussèrent encore, continuant à la provoquer, à se moquer d’elle, à ne lui faire aucun cadeau. Finalement, Rachele réussit à tout avaler, et resta prostrée, brisée... Mais avec visiblement, en elle, un fond de volonté qui refusait encore de se briser. Les filles lui avaient mis un collier autour du cou, véritable collier de chiens avec l’inscription « DOGGY » écrit dessus.

« Tu ne vas pas dormir ici, petite chienne !
 -  Qu’elle est mal élevée ! »

Les adolescentes amenèrent Rachele dans une grande niche à taille humaine, mais accessible uniquement à quatre pattes. Elles la poussèrent à l’intérieur, et attachèrent la laisse à une sangle située à l’intérieur de la niche, avant de lui tapoter la tête, et de se saisir d’une télécommande. D’un doigt, l’une des filles désigna alors un petit écran télévisé situé à l’intérieur de la niche.

« Regarde ! Des souvenirs ! »

Puis elle appuya sur le bouton, et sortit. L’écran s’alluma rapidement, et diffusa des images particulièrement osées. Il s’agissait tout simplement des enregistrements de la nuit, où on voyait Rachele se faire prendre, sans relâche. Une monstrueuse tournante, qui finit par s’arrêter sur le corps de Rachele en pleine extase, des chibres plantés en elle, sa bouche s’ouvrant dans un cri de plaisir.

« Je te laisse imaginer ce qui se passerait si, par inadvertance, cette vidéo filerait sur les réseaux sociaux, et tomberait entre les mains de tes rivaux. Tu sais comme moi combien les milieux mafieux sont sexistes. »

Une voix aisément reconnaissable. De l’autre côté de la niche, Alexandre Dowell était là, mains dans les poches, et fléchit le genou, son visage apparaissant dans l’embrasure de la niche.

« Tu es endurante, mon sang bouillonne encore dans tes veines... Mais je savais déjà que tous ces hommes en rut ne seraient qu’un petit échauffement, à tes yeux. Je vais te briser, Rachele. Physiquement, d’abord. Puis mentalement ensuite. Tu vois, c’est simple. Je vais briser tout ce que tu es, écraser ta personnalité, éparpiller tes souvenirs, détruire ton identité... Je le ferais avec passion et avec dévouement. Puis, quand il ne restera plus rien de toi, que tu ne seras plus qu’un sac à foutre que je traînerai dans les bordels les plus sinistres qu’on puisse imaginer, là, je te reconstruirai. Et je ferais de toi une merveille incroyable, Rachele. »

Alexandre conclut alors :

« Mais il faut d’abord commencer par te briser. »
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le lundi 03 juillet 2017, 13:00:57
Du bout des talons, elles la pousse sur le ventre. Elles lui fouettent alors l'intérieur des cuisses pour l'obliger à se remettre à quatre pattes, puis les fouettent encore pour l'obliger à les écarter et leur montrer le bas de sa vulve gonflé et son anus encore entrouvert.

L'une d'entre elle lui passe alors la badine d'une cravache entre les lèvres et la fait coulisser le long de son anus, arrachant à Rachele de nouveau râle de résistance et de plaisir mélangés. Coulissement après coulissement, elle l'oblige à avancer, à mettre un genou devant l'autre, à marcher à quatre patte, en laisse, jusqu'à une grande niche. En la voyant, Rachele essai de tirer sur sa laisse et murmurant un petit "non" fatigué. Mais les adolescentes s'amusent de son refus et la fouettent de plus belle pour l'obliger à avancer, enroulant sa laisse autour de son cou pour l'étrangler quelques instants. La gangster perd rapidement ses forces et lâche prise, elle recommence à avancer sans faire d'histoire comme une chienne épuisée.

Elles attachent sa laisse et sanglent son corps à un harnais qui la fait ressembler à une chienne, assise sur son séant, les mollets liés aux cuisses et les bras aux avant bras pour qu'elle ai l'air de quémander des pattes.

- Regarde ! Des souvenirs !

Quand Rachele se reconnait dans cette orgie de corps poisseux, elle pousse un hurlement de dégoût et de désespoir et détourne le regard. Mes les mains habiles et cruelles de ses deux petites geôlières l'obligent à ne pas manquer la moindre scène. Pendant que la première lui agrippe les cheveux et le menton pour l'obliger à se tenir face à l'écran, l'autre lui écarte les paupières.

Harnachée à sa niche et prisonnière de leurs doigts cruels, elle regarde en gémissant et en criant de rage en se voyant violer encore et encore, en se regardant pleurer de désespoir, en se regardant souffrir le partir alors que les derniers butons la baisent alors qu'elle est devenue complètement sèche. La vue de son propre corps arque-bouté et son visage pétrifié dans la douleur la révulse et la fait instinctivement mouiller, ce qui dégage à nouveau une odeurs musquée et délicate à l'intérieur de la niche.

-Je te laisse imaginer ce qui se passerait si, par inadvertance, cette vidéo filerait sur les réseaux sociaux, et tomberait entre les mains de tes rivaux. Tu sais comme moi combien les milieux mafieux sont sexistes.

Rachele baisse la tête, elle crache au sol et murmure:

-Ra... rassure toi... j'utiliserai chaque exemplaire de cet enregistrement pour alimenter ton bûcher...

La jeune femme ne réalise pas qu' aujourd’hui les enregistrement ne sont plus nécessairement sur support physique... Mais elle comprend la menace et sait que maintenant, elle ne peut plus se contenter de fuir, elle doit aussi trouver ces images et les détruites, ce qui complique encore plus ses plans d'évasion.
D'ailleur, le fait que Rachele, après tout ce qu'elle vient de subir, croie encore à ses chances d'évasion doit beaucoup amuser le vampire.

-Tu es endurante, mon sang bouillonne encore dans tes veines... Mais je savais déjà que tous ces hommes en rut ne seraient qu’un petit échauffement, à tes yeux. Je vais te briser, Rachele. Physiquement, d’abord. Puis mentalement ensuite. Tu vois, c’est simple. Je vais briser tout ce que tu es, écraser ta personnalité, éparpiller tes souvenirs, détruire ton identité... Je le ferais avec passion et avec dévouement. Puis, quand il ne restera plus rien de toi, que tu ne seras plus qu’un sac à foutre que je traînerai dans les bordels les plus sinistres qu’on puisse imaginer, là, je te reconstruirai. Et je ferais de toi une merveille incroyable, Rachele.

En entendant ces mots, elle commence à trembler de peur.

"Je dois m'enfuir... vite... vite avant qu'il ne le face... je dois partir... mais... les enregistrements... mon dieu que faire... que faire... que faire... m'enfuir... je dois m'enfuir..."

Se répète t'elle intérieurement alors que son esprit fiévreux se met à imaginer les pires des scénarios.

- Mais il faut d’abord commencer par te briser.

Conclut'il finalement. Et Rachele comprend alors qu'il ne va pas lui accorder le moindre moment de répis, jusqu'au moment où elle sera heureuse de mettre un masque pour effacer son individualité, où elle le masturbera amoureusement à son réveil dans l'espoir de ce faire prendre, où elle boira passionnément ses humeurs et ses sécrétions comme un cadeau divin.

Rachele refuse ce destin de toute ses forces, mais elle a peur, des femmes fortes comme elle combien en a t'elle déjà vue se soumettre ? Elle ne les compte plus. "Non !" se crit elle intérieurement.

"Non... je ne suis pas comme les autres ! je suis plus forte ! je suis invincible je..."

Elle est interrompu dans son propre discoure galvanisant par le contact froid et douloureux des petits écarteurs que la première lycéenne lui passe sous les paupières. Elle les vice jusqu'à ce qu'ils soient totalement écarquillés et qu'elle ne puisse plus fuir le spectacle que lui offre l'écran.

(https://img4.hostingpics.net/pics/819271destinationfinale5tf1lesmortslesplusimprobablesdelasaga.jpg) (https://www.hostingpics.net/viewer.php?id=819271destinationfinale5tf1lesmortslesplusimprobablesdelasaga.jpg)

Rachele se met à pleurer de désespoir. Oui, il va la briser, la briser totalement et irrémédiablement, et cela commence tout de suite. La première étape idéal pour porter un esprit aux portes de la folie, pour grignoter sa volonté et sa combativité: la priver de sommeil, tout en brisant l'image idéalisé qu'elle se fait d'elle-même.

A l'écran les images de ses multiples viols recommencer à défiler, ceux des brutes, ceux des enregistrements de sécurité du Rachele's, tout ce que le vampire à pu voler en partant.

- Tiens, c'est pour que tu profite bien de tes hurlements de salopes nympho...

Rit la lycéenne en lui mettant un casque sur les oreilles. Elles quittent alors la niche, abandonnant Rachele à la contemplation incessante de ses propres ébats sexuels, mélangés à d’innombrables autres images pornographiques trash montrant ce que le Maître des lieux à fait à d'autres esclaves comme elle. Comment il en a mutilé certaines pour laisser son sang les réparer physiquement, mais sans soigner le traumatisme psychologique. Grace à ses pouvoirs, Alexandre pouvait aller bien au delà de tout ce que Jucio lui avait fait... et la détruire pour de bon.

Abandonnée à son sort, le cerveau noyé d'image et de son porno et répugnants, Rachele hurle comme une folle. Elle sent son corps lui réclamer toujours plus de repos et de sommeil, sans jamais qu'elle ne puisse lui en accorder.

Quand on lui rend visite à nouveau, des heures plus tard, ses hurlements on cessés, elle se contente de gémir en même temps que sa propre représentation filmée qui continue de ce faire baiser derrière l'écran. Ses yeux rougit à demi révulsé fixent l'écran sans bouger, ses larmes se joignent à la bave qui coule le long de son menton et tombe en gouttelettes sur la petite mare de cyprine qui stagne entre ses cuisses.
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le mardi 04 juillet 2017, 13:18:36
Alexandre avait un emploi du temps très chargé, malheureusement. Même si Rachele occupait en ce moment ses pensées, il devait aussi songer aux autres activités requérant sa présence. Après tout, il administrait sur Terre un riche cabinet d’avocat, et, sur Terra, un vaste domaine. Et, même si Alexandre avait délégué à des personnes de confiance, le fait est qu’il devait encore suivre scrupuleusement ce qui se passait, sa signature étant souvent requise pour contresigner quantité d’actes, surtout dans son domaine. Il laissa donc Rachele s’abreuver d’images, son propre film se variant avec d’autres, faits par Alexandre, où elle put le voir torturer des femmes jusqu’au sang. Il était accompagné de « lycéennes », mais aussi, souvent, de dominatrices portant des combinaisons moulantes intégrales, recouvrant également leurs visages, leurs longs cheveux noués en une queue-de-cheval. Elles portaient de longues cuissardes lacées, des fouets, et s’attaquaient aussi bien aux femmes qu’aux hommes.

Rachele vit ainsi un homme, nu, attaché à une croix de Saint-André, se faisant longuement fouetter le dos, tandis que, devant lui, une autre dominatrice pompait son dard. Avec les femmes, le traitement était similaire, si ce n’est qu’un esclave lui labourait la chatte. Pour d’autres, on les électrocutait, ou on les enfermait dans des vierges de fer spécialement conçues. Elles n’avaient pas de pointes tranchantes en acier, mais dans une texture tekhane évoquant du caoutchouc, diffusant des ondes électriques, pendant que le prisonnier voyait ses parties intimes être assaillies par de gros godes. Les films qui s’enchaînaient étaient une véritable présentation du domaine Dowell, et de tous les vices qui attendaient les multiples prisonniers, comme un programme à venir pour Rachele.

Les images se succédèrent ainsi pendant un long moment, jusqu’à ce que des raclements métalliques se fassent entendre devant la niche, avec de multiples grincements, et des bruits de pas. Que se passait-il ? Les images se turent brusquement, et les liens retenant Rachele se défirent, lui rendant l’usage de ses membres.

« Allez, Rachele, on avance ! »

La voix du Maître venait de résonner, depuis un haut-parleur. Et, comme d’habitude, dès que Rachele hésitait, le collier autour de son cou l’électrocutait.

« N’oblige pas les filles à venir te chercher ! »

Nouvelle séance d’électrocution, les éclairs se répandant dans le corps de Rachele, continuant à l’humilier et à la briser. Après tout ce qu’elle avait vu, Alexandre voulait encore lui conserver l’élément de surprise. Devant la femme, il y avait un chenil métallique, faisant qu’elle ne pouvait qu’avancer à quatre pattes. Et, dès qu’elle sortit de la niche, un claquement se fit entendre dans son dos. La cage venait de se refermer, de sorte qu’elle ne put qu’avancer dans le chenil, rejoignant une grande cage métallique. Là encore, le chenil se referma derrière elle, et elle put constater qu’il y avait un public conséquent. Outre les « lycéennes », de simples gens se trouvaient là. Des paysans, des gueux avec leurs vêtements rapiécés, gros et gras, des femmes vieilles et boudinées, ou des familles, amenant joyeusement leurs enfants.

« La voilà !
 -  La putain !
 -  C’est ce qu’on fait aux filles comme elle, ma chérie », glissa une mère à sa jeune fille, en la tenant par les bras.

La voix d’Alexandre, moqueuse, résonna alors, et Rachele put alors réaliser que, contrairement à ce qu’elle aurait pu croire initialement, elle ne venait pas d’un haut-parleur, mais de sa tête. Il lui parlait télépathiquement !

« Ça t’étonne ? Vous, les humains, avez toujours eu une fascination morbide pour la mort et la souffrance. Dans le passé, les bûchers étaient publics, les gens organisaient des fêtes autour, des foires, on riait, on rigolait, on se moquait des condamnés. Tu comprends ? Plus je te ferais souffrir, et plus ils seront contents. »

On tapait même contre la cage, se gaussant d’elle, de cette femme si belle qui était à ce point humiliée. Les femmes seraient les plus mauvaises, car elles ne pouvaient que jalouser la beauté de Rachele. Des bruits de claquements se firent à nouveau entendre.

« Je suis sûr que tu te dis, dans un recoin de ta petite tête, que tu as encore une échappatoire, un moyen de survivre à ce qui t’attend. Mais on ne peut pas lutter contre le destin, Rachele. Vous, les humains, êtes bercés dans cette philosophie judéochrétienne qui vous incite à croire que le libre-arbitre décide tout. Mais il est des déterminismes contre lesquels nul ne peut lutter, Rachele. Moi, j’en suis un. C’est tout, c’est aussi simple que ça. Comme on fait son lit et on se couche. Tu aurais dû continuer à t’en prendre à des truands minables, à des pisseuses en manque de queue. Ça, c’est de ton niveau. Là, tu t’en es prise à ton supérieur légitime. En définitive, tu ne peux t’en plaindre qu’à toi-même. Chez vous, humains, l’arrogance a toujours été pathologique. »

Des sifflets se firent alors entendre, et le public se calma un peu... Puis la punition de Rachele approcha depuis d’autres chenils. Des grondements se firent entendre... Puis des aboiements.

Et, sous les yeux horrifiés de Rachele, quatre chiens entrèrent tout autour d’elle, guidés par quatre dominatrices en latex : un doberman (http://www.racedechien.fr/wp-content/uploads/2014/08/Doberman-4-723x1024.jpg), un rottweiler (https://static.wamiz.fr/images/animaux/chiens/large/rottweiler.jpg), un berger allemand (https://www.chien.fr/assets/races/000/006/large/berger-allemand.jpg), et un berger d’Anatolie (https://www.guide-du-chien.com/wp-content/uploads/2016/06/Berger-Antolie-top-10-grand-chien.jpg).

Quatre chiens avec la langue pendante, et avec des sexes bien tendus, énormes et monstrueux, qui se rapprochèrent de leur chienne. Rachele ne le réalisait pas, mais, dans la niche, elle avait été discrètement aspergée d’aphrodisiaques très particuliers, des phéromones destinés à exciter furieusement les chiens, et ce d’autant plus qu’ils étaient, de base, formés à coucher avec des humaines, et à être des prédateurs sexuels...
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le lundi 10 juillet 2017, 22:20:35
Au moment où le harnais libère son corps, Rachele glisse lentement entre ses courroies de cuir et s'effondre sur le sol. Même libérés des écarteurs, ses yeux rouges de fatigue restent ouverts et fixe. La bouche entre-ouverte un filet de salive coule entre ses lèvres et vient tacher les planches de la niche. La voix du maitre résonne dans sa tête.

"Le Maitre ?!"

Réagit elle intérieurement, surprise d'avoir défini Alexandre par ce titre sans s'en rendre compte. La gangster papillonne des yeux et se mord la lèvre pour se punir de sa faiblesse.

"Dowel... il s'appel Alexandre Dowel... et ce n'est pas mon maitre... je suis mon..."

-HAAAA !

Rachele sent une violente décharge traverser son corps et bruler son cou gracieux. Elle se tortille et convulse devant les servantes du vampire avant de s'immobiliser brusquement, la décharge viens de cesser...

Dès que ses muscles lui répondent de nouveau, elle se redresse et se mette vite à quatre patte, prête à marcher sur ses genou et ses mains. Pendant une nouvelle seconde de stupeur, elle réalise qu'elle s'est elle-même positionnée ainsi, et à une vitesse qui tient du reflexe conditionné...

"Non... non... je ne voulais pas... je suis mon..."

-HAAArg !

A nouveau, alors qu'elle essai de formuler une pensée positive, une phrase lui rappellant qu'elle n'a à obéir à personne hormis elle, une décharge la fauche et la fait se tortiller de nouveau devant le visage gaugenard des geolières.

A nouveau, elle se relève avec la même rapidité et se remet à quatre patte comme une bonne petite chienne, sauf que cette fois, elle ne réfléchie pas, elle se met à avancer, sans même se rendre compte qu'elle dandine son beau cul comme on le lui appris.

"Mon dieu non... Qu'es ce que le Maitre à encore prévu de me faire ?!"

Elle se reprend à l’appeler ainsi intérieurement et se mord à nouveau la lèvre, la colère et la honte la font rougir et mouiller en même temps. Elle n'arrive pas à croire qu'elle à formulé ce mot dans son esprit. Ce mot maudit qu'elle avait mis des années de thérapie à reugner de son langage, ce mot qu'elle s'était mise à utiliser pour nommer son oncle honni...

Ce mot, synonime de honte, d'humiliation et d'esclavage, ce mot... qu'elle avait vaincue...
Lié télépathiquement à elle, le vampire assiste à de violent combat intérieur que Rachele se livre à elle-même pour rester libre.

Soudain, elle réalise tout le monde qui l'entoure, toute cette foule de badeaux ignares qui sont venu pour la regarder, pour lui cracher dessus, pour l'insulter. Horrifiée, elle se recroqueville sur elle-même, mais une nouvelle décharge la brise de nouveau et la fait se convulser devant tout le monde. La foule pousse de grand cris de satisfaction et d’allégresse, le spectacle de sa souffrance la ravie...

Rachele se remet à quatre patte et avance de nouveau, mais plus vite, dans l'espoir de leur échapper, dans l'espoir qu'elle n'est que de passage, qu'elle va bientôt retourner dans l'isolement rassurant d'une cellule. La voix du vampire résonne dans sa tête de nouveau et elle réalise que son esprit millénaire visite le sien. Plus il parle, et plus elle tremble, plus elle perd son courage plus elle imagine le pire. Elle se prend la tête entre les mains et la secoue comme une aliénée victime de paranoïa.

-Tais toi ! Tais toi ! Tais toi !

Mais il continue de la torturer de son verve et à enfiévrer son esprit avec sa voix puissante et magnétique, sans le vouloir, Rachele se met à mouiller et son jus s'étale entre ses cuisses à chaque fois qu'elle se croisent pour faire un pas de plus.

Le coup de sifflet retenti, la foule se calme et s'écarte pour former un grand cercle autour de la prisonnière. Rachele pousse un soupire de soulagement, enfin ces répugnants badeaux s'éloignent de sa superbe plastique. Les premiers aboiements lui glacent alors le coeur et la font trembler de nouveau comme une feuille.

-Non... non pitié... pas ça...

Les quatre domina fendent la foulent dans leurs tenues provoquantes, claquant des talons, leur main décontracté sur la bride de leurs molosses affamés de sexe. Elles entourent alors Rachele de toute pare. Terrorisée, la belle jeune femme s'assiée sur les fesses, ramène ses genou devant son ventre en serrant les cuisses et cache sa poitrine avec ses bras.

-Re... reculez... ne me touchez pas... pitié...

Les bêtes commencent à lui tourner autour et à la renifler, à poser leur truffe baveuse sur ses cheveux, sur ses courbes, à chaque fois, elle les repousse d'un tressaillement, provoquant l'hilarité des dominatrices et de la foule surchauffée. Elle sent soudain leur odeur, elle lève les yeux et voit leur bites roses et longues sortir de leur fourreaux lentement et se contracte sur elle-même.

Une main d'acier lui empoigne les cheveux et la tire en avant pour la faire basculer de nouveau sur ses genou.

-NAN !!

Une autre dominatrice lui donne un coup du bout des orteils dans le ventre pour l'obliger à courber l'échine.

-Ta gueule chienne !

Rachele se retrouve face contre terre, le cul levé vers le ciel bien campé sur ses genou. Elle sent qu'on passe une barre en bois derrière l'articulation de ses genoux pour l’empêcher de quitter cette position humiliante et qui offre aux bête tout loisir de lui renifler la vulve.

-Nan pitié pas ça !

Hurle t'elle de nouveau en sentant la truffe de l'alpha de la meute s'écraser contre ses lèvres et inspirer profondément son odeur. Elle essai d'envoyer ses mains vers ses fesses pour chasser l'animal, mais la troisième dominatrice les lui empoigne et les tiens alors dans les siennes.

-Serre moi chienne, sert moi fort, je veux les sentir dans tes mains quand ils vont te baiser.

Réduite à l'impuissance, Rachele perd tout orgueil et se tourne vers un dernier recours pour empécher que ce viol odieux n'arrive.

-Nan ! Pitié... pitié Maitre, je vous en supplie, je serais une bonne esclave je vous le jure ! Arretez ! Arretez les ! Je vous servirai... je...

Soudain, ses propres mots la plongent dans un violent souvenir du passé longtemps enfoui. Ces mots, elle les a déjà prononcés, mot pour mot, des années plus tôt, à Jucio au moment où il s'appretait à lui percer le clitoris avec une aiguile pour lui mettre un bel anneau d'argent. Et le souvenir de sa réponse baleye tout ses espoirs.

Citer
"-Je sais... je sais que tu seras une bonne esclave... je sais que tu me servira... et c'est justement comme ça que tu vas le devenir..."

Le souvenir de la tige d'acier perçant son petit bouton du plaisir se superpose à la sensation de la grosse bite d'Alpha qui se met à coulisser en elle. Rachele se met à pousser un gémissement de dégout et de refut alors que ses larmes viennent brouiller sa vue. Elle sent la fourrure du ventre de la bête frotter contre son cul et contre son  dos, elle  sent sa bave et son alène chaude et fétide déferler sur sa nuque et ses ravissantes épaules.

Maladroit et stupide, l'animal se met à faire de rapides petites vas et viens et jappant de plaisir pendant que Rachele continue de pleurer et de gémir de dégoût en sentant le tuyau brulant se son sexe la pénétrer encore et encore, sans aucune maitrise, sans aucun talent. Ce n'est qu'une baise mécanique et animal qui transforme la belle mafieuse en simple chienne et très vite, elle commence à le sentir tressaillir et gonfler.

-Nan... retirez le... nan...

Refusant de satisfaire les lubies de la dominatrice qui lui tient les mains au début, elle les lui écrase soudain en sentant le foutre épais et chaud du chien gicler en elle et lui salir le ventre.

-Noooooon...

Gémit elle en pleurant alors que l'animal continue de jouir en bavant sur elle.

-Alé hop hop ! Laisse en pour les autres !

Crie la dominatrice sur son chien pour qu'il se retire. Rachele hurle alors de nouveau pour qu'on lui accorde pitié, mais à nouveau seul la foule lui répond en s’esclaffant ou en se masturbant devant le spectacle. Autour d'elle, tous les hommes et les femmes, de tout âge et de toute classe sociale se repaissent du spectacle en se touchant les uns les autres.

Un autre chien est mené entre les jambes de la belle qui dandine désespérément du cul pour éviter sa truffe et sa longue langue. Celui-ci ce met d'abord à lécher le sperme de son comparse et la mouille de la jeune femme qui lui dégouline entre les cuisses avant de se dresser sur les pattes arrière.

En bonne maitresse, sa dominatrice lui saisi le gland et l'aide à trouver l'entrée de la vulve de Rachele malgré ses mouvements de bassin. Après quelques coups maladroit, il parvient à trouver l'entrée de sa chatte et s'y enfonce d'un coup, paralysant dans un cris de douleur la belle petite chienne attachée. Le nouveau molosse commence comme son Alpha à la baiser rapidement et mal, Rachele à l'estomac au bord des lèvres mais le supplice ne fait que commencer.

Un autre chien, qui ne supporte plus d'attendre son tour, commence à japper à sa maitresse.

-Oui Oui mon beau... tu peu aussi l'avoir...

La dominatrice qui tient Rachele par les cheveux lui tire alors la tête en arrière et la force à ouvrir la bouche.

-Nan ! Han ! Han !

Tente t'elle de dire alors que sa mâchoire grande ouverte ne lui permet plus de crier "non" sans avaler le début du mot. L'animal se campe contre son visage, le regard de Rachele se perd dans son poil ras et puant. La bite de l'animal surgit de plus belle et claque contre son visage alors qu'il essai de lui baiser la bouche en envoyant des coups dans tout les sens. Rachele sent son pénis brûlant lui flanquer les joues, le long du nez.

Puis, comme pour l'autre qui la baise encore, sa maitresse lui empoigne délicatement la queue entre les doigts et guide calmement l'animal vers la bouche de Rachele.

-Han ! Hagllllp...

La viande palpitante du chien empli sa bouche et transforme ses cris de refus en gloussement gutturaux alors qu'il commence à lui violer la bouche. Rachele est au supplice, sa haine et sa peur alimentent son dégoût et son désespoir. Elle voudrait mourir mais elle sait qu'elle ne peut pas, qu' Alexandre ne le permettra pas.

Elle gémit de nouveau en sentant le second chien qui lui bourre la chatte commencer à venir. Avec horreur, elle réalise que celui qui lui bourre la gorge est sur le point de jouir aussi et de lui faire découvrir le gout du sperme de chien...

Rachele soudain qu'il existe peut être une échappatoire, un dernier, qui lui évitera les innombrables autres tortures que le vampire lui réserve. Elle prend son courage à deux mains, ferme les yeux, se prépare à mourir, et de toute ses forces, elle mord la queue du chien jusqu'à ce que ses dents la lui coupe.
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le lundi 17 juillet 2017, 00:50:07
Prisonnière, Rachele commençait à sentir la paniquer exploser en elle. Les dominatrices, de leur côté, avaient ouvert la cage, et étaient descendues dans l’arène, entourant Rachele, ricanant et gloussant. Sous leurs masques, elles étaient des femmes redoutables, qui servaient le clan Dowell. Rachele n’était pas la première femme qu’elles torturaient ainsi, et ne serait nullement la dernière. Grâce à des élixirs et à des potions, ainsi qu’à la patience et à l’entraînement, elles avaient réussi à dresser leurs chiens à la perfection. Le public n’avait rien à craindre, et était ravi de voir la condamnée recevoir sa punition. D’aucuns pouvaient trouver ça cruels... Mais Alexandre était en réalité magnanime.

« L’écartèlement, le bûcher, ou l’écorchement... Vous, les humains, avez développé tant de techniques cruelles pour savoir comment faire souffrir votre prochain. Tu me crois monstrueux, Rachele, mais, le véritable monstre, c’est toi. Si je devais t’infliger un cinquième des souffrances que toi et les tiens êtes capables de faire subir aux autres, ma chérie, ça n’aurait rien à voir avec la promenade de santé que tu endures actuellement. Profite donc, Rachele... Accepte ce que tu es, accepte le fait que tu ne sois, fondamentalement, qu’une chienne en chaleur, une hyène qui, comme Louis-Napoléon, a cru qu’il suffisait de se vautrer dans le costume d’un tigre pour en prendre l’étoffe. »

Il n’y avait que Dowell pour citer les métaphores de Victor Hugo avant un acte zoophile d’une violence rare. Les quatre chiens étaient très puissants, et équipés de terribles bracquemarts. Ce que les gens ignoraient, c’est que, contrairement à un phallus humain, un chien avait un os pénien, qu’on appelait le baculum (https://fr.wikipedia.org/wiki/Baculum). La présence de cet os facilitait beaucoup le rapport sexuel entre espèces, en permettant au mâle de tenir plus longtemps, d’avoir une érection plus longue, et bien plus puissante. Le baculum restait du reste un mystère historique. C’était un os très particulier, car il ne se rattachait pas au squelette, mais se trouvait à l’intérieur du sexe, comme une sorte d’os libre, autonome et indépendant.

Toujours est-il que ces quatre bestiaux de compétition allaient offrir à Rachele un savoureux moment. Les chiens commencèrent à la besogner à tour de rôle, grognant, aboyant parfois, et, en tout cas, lui bavant dessus sans ménagement, leurs longues langues pointues déversant un torrent de salive sur leurs épaules. Une grosse bave poisseuse qui filait sur le sol, ruisselant le long des épaules de Rachele.

« Tu crois que ça va se résoudre aussi facilement, Rachele ? Je le sens, tu cherches encore à te révolter... Tu ne comprends donc pas que je ne suis pas ton ennemi ? Je viens de libérer de la pire prison qui soit, ma chérie... Celle que vous, les humains, vous vous forgez tout seul. Tu es née pour courber l’échine devant ton supérieur, Rachele. Née pour être ma chienne, ma belle chienne prédatrice, qui grognera devant les autres, et fera la belle devant moi. »

Et, pendant qu’un chien lui labourait la gorge, l’image s’implanta dans l’esprit de Rachele. Elle était là, dans son manoir, au sommet de sa puissance, traversant le hall d’entrée, avec des rangées de fidèles à droite et à gauche. Esclaves, hommes de mains, partenaires, amantes... Tous la respectaient et la craignaient pendant que Dona Florenza, comme une copie féminine et sensuelle d’Al Pacino, montait les marches menant à son bureau, arrogante et fière... Pour voir son Maître, assis à sa place, lui ordonnant de mettre son collier de chienne, et de boire un bol comprenant l’urine d’Alexandre.

Comme en réponse à ce fantasme, elle mordit très fort la queue du chien, qui hurla alors, aboyant furieusement, avant de jouir lourdement.

« C’est inéluctable, Rachele... »

Elle avait beau lutter, sa résistance étant vaine. Néanmoins, les dominatrices virent clairement leur chien couiner de douleur, et, quand il se retira, elles inspectèrent sa verge, et virent les traces de morsure.

« Ah, tu veux la jouer comme ça, sale pute ?
 -  Le Maître nous avait prévenu que tu serais rebelle ! »

Elles sifflèrent alors, et le chien qui prenait Rachele ne se contenta pas que de jouir en elle, mais marqua aussi son territoire, puisque, juste après avoir balancé une épaisse quantité de foutre, il termina en urinant joyeusement, bien dressé pour ça. Les autres chiens retournèrent ensuite à l’assaut, et, cette fois, plus aucun n’osa se risquer à aller dans la bouche de la femme, qui les régala de ses hurlements, tant les chiens étaient besogneux et endurants.

« Ils pissent tous en toi, les uns après les autres... Tu n’es même plus digne d’être leur sac à foutre, tu es un sac à pisse, maintenant !
 -  Mais ne t’inquiète pas, on va s’occuper aussi de ta sale bouche de salope, sale pute. »

Pour l’heure, qu’elle régale le public, qu’elle hurle ! Et, comme pour ne rien arranger, tandis que les hommes ricanaient, les pères tendirent des pommes pourries à leurs enfants, qui s’amusèrent à les lancer sur le corps de Rachele. Un projectile s’éclata violemment sur son visage, répandant un liquide infâme sur toute une moitié de son visage, continuant à la salir et à l’humilier, pendant que les chiens, inépuisables, mettaient de plus en plus de temps à jouir... Mais, du fait de l’os pénien présent en eux, leurs érections ne diminuaient jamais.

C’était un long et terrible supplice !
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le lundi 17 juillet 2017, 21:46:21
L'esprit désarçonné par l'horreur de son supplice, Rachele ne parvient pas à mobiliser sa volonté pour repousser les intrusions du vampire. Celui-ci voit tout, ses rêves, ses ambitions démesurées, ses peurs, ses vices. L'image de son avenir s'impose alors à son esprit et pendant quelques instants de félicité, elle oublie les bites poisseuses qui lui labourent la gorge et la vulve. Projeté dans un de ses fantasmes de grandeur, elle se sent forte et magnifique. Invincible et crainte, elle marche au milieux de ses misérables séides tous prêt à mourir pour elle.

Son orgueil flatté au delà de toute limite, elle se prend à glousser comme une petite pute alors que la queue de l'animal continue de lui déformer la trachée. Elle monte les escaliers du pouvoir, prête à imposer sa volonté à un parterre d'hommes politiques corrompus et de gangsters de tout bords.

Mais quand elle passe cette étrange porte honirique, le rêve se fait plus réel et précise, et lui montre ce qu'elle va devenir en échange de cette révérence.

"Non"

Impuissante, elle veux s’arrêter, faire machine arrière, mais il est trop tard, elle a accepté les cadeaux du vampire, elle doit donc en accepter le prix. Sa perception prisonnière de son double illusoire, elle en ressent toute la folie, toute la soumission béate et heureuse tout ce qui l'amuse et la répugne à la fois chez ses propres esclaves. Car la Rachele de son fantasme n'est pas la femme de pouvoir qu'elle croyait, elle n'est qu'une esclave docile et totalement soumise à son Maître.

"Non !"

Cris t'elle de nouveau en se voyant mettre son collier et laisser glisser ses vêtements, se retrouvant nue est offerte au mâle qui la domine.

"Jamais !"

Hurle t'elle finalement en son fort intérieur quand, impuissante, elle se voit sourire à son maitre et laper ses sécrétions comme une bonne chienne...

S'en est trop ! Rachele mord l'animal pour le faire lâcher prise, espérant que l'animal va enrager de douleur et la prendre à la gorge pour la tuer. Morte, le vampire ne pourra pas profiter d'elle et la transformer en esclave servile...

Mais les bêtes sont bien dressées, leurs maitresses, experte pour déceler leurs envies et leur emotions. Et leur réaction ne se fait pas attendre.

-Noaaaaan !

Hurle alors Rachele, indignée et sur le point de vomir, quand elle sent son petit utérus se remplir de pisse de chien bien chaude. Les yeux écarquillés par l'horreur et le dégout, elle gigotte en tout sens dans le vain espoir d'échapper à l'étreinte du molosse.

Mais au lieu de ça un autre animal revient à la charge et lui fait ravaler sa bile en lui enfournant son pénis rose et dur jusqu'au fond de la gorge.

-Mmmmmmm !

Grogne t'elle cette fois en sentant l'urine et le foutre de la bête remplir son estomac. L'animal qui jouissait et se soulageait entre ses petites lèvres sort enfin mais la gangster n'a pas le temps de profiter d'un répis, un autre chien, qui n'a pas encore été "servi", la pénètre sauvagement et commence à lui donner de puissants coups de bassins.

Contracté par le dégoût, les lèvres et le vagin de Rachele forment un étau puissant autour de sa queue. Il vient rapidement et continue de la remplir se vidant lui aussi en elle. Le ventre de la belle se met à gonfler comme une outre et ses bras ne parviennent plus à la retenir. Elle finit littéralement empalée des deux coté, et ne tient plus qu'au bout de la bite des molosses pendant que des fruits pourris commencent à pleuvoir sur son visage et son corps.

Les bêtes se succèdent encore jusqu'à ce que la belle n'en puisse finalement plus. Après des heures et des heures de supplice, elle finit par craquer et son esprit à chavirer. De toute ses forces, son âme hurle un seul mot:

"Maître !"

Avant qu'elle ne perde connaissance...
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le mardi 18 juillet 2017, 07:20:47
Croyait-elle vraiment pouvoir s’en tirer à si bon compte ? Croyait-elle sincèrement qu’il suffisait de tomber dans les pommes une fois pour tirer une croix sur tout ce qui s’était passé ?

« Elle est plutôt mignonne... Je comprends pourquoi tu l’aimes bien.
 -  Ça n’a rien à voir.
 -  Oh, je te connais, Alexandre, je sais que ça a tout à voir. »

Rachele était couchée, nue, sur une table, dans les sous-sols du manoir. Historiquement, ce manoir était une ancienne forteresse, que les Dowell avaient peu à peu reconstruit, en  abattant certaines murailles, mais Alexandre avait conservé les souterrains, les cachots... Et avait notamment réaménagé une partie spéciale de ces derniers. La femme qui lui parlait sur ce ton si nonchalant, et dont les délicats doigts caressaient le corps de la femme, n’était autre qu’Allison Dowell (http://img110.xooimage.com/files/3/b/6/allison-4e5716e.jpg), la sœur d’Alexandre. Plus jeune que lui, plus douce aussi, elle n’en était pas moins perverse, et elle savait que cette femme, en tentant de capturer son frère, avait scellé son destin.

« Alors, que comptes-tu faire avec elle ?
 -  Rachele Florenza peut nous être très utile, Allison. Ça fait des années que les Yakuzas repoussent les Siciliens. Cosa Nostra n’a jamais réussi à s’implanter durablement sur Seikusu, et cette femme a réussi à développer autour d’elle un petit réseau, incluant notamment quelques politiciens, ce qui lui permet de bénéficier d’une protection politique. En bref, les Guramu ne peuvent pas la virer comme ils le veulent... Et, étant leur avocat, je sais que ça les agace. Ils m’ont déjà demandé de trouver un moyen de la virer, et c’est d’ailleurs suite à ça qu’elle m’a capturé, lorsque j’ai initié une procédure judiciaire pour tenter de faire fermer son casino. »

Elle portait encore ses collants et ses bottes, mais, pour le reste, Rachele était nue, en train d’être nettoyée par d’autres serfs, cette fois de jeunes enfants. Leurs mains innocentes et pures glissaient sur le corps parfait de cette femme.

« Je veux manipuler les deux mafias, mais je ne peux pas m’impliquer sans être repéré.
 -  Hmmm-hmm... »

Allison fit signe aux enfants de s’écarter, et commença à embrasser le corps nu de Rachele. Elle n’allait pas encore se libérer, car, après s’être écroulée, Alexandre l’avait également drogué, pour être en mesure de préparer tranquillement la suite. Allison parcourut donc le corps de la femme de baisers et de morsures, et lécha même ses lèvres, tout en écoutant son frère lui exposer ses plans. Comme toujours, Alexandre avait longuement réfléchi. C’était bien pour ça qu’il était le Grand Maître du clan, car il était très calculateur. Il veillait à leurs intérêts sur Terre avec raison, car ils avaient beaucoup à gagner venant de ce monde.

Finalement, Allison se repositionna devant Rachele, dont les bras et les jambes étaient retenus par des sangles, et abaissa son pantalon en cuir, dévoilant rapidement une belle verge, qu’elle utilisa ensuite pour pénétrer la femme. Cette dernière émit quelques soupirs, tandis que les enfants, formant un demi-cercle, regardaient silencieusement. Il fallait les former dès l’enfance, afin d’avoir les « lycéennes » que Rachele avait eu tout à l’heure.

« Ah, j’adore sa petite chatte de salope...
 -  Oui, je dois le reconnaître... Sa beauté en fait une pièce inestimable. Je la veux dans ma collection, Allison, mais pas uniquement par désir pervers ou machiste.
 -  Oh... Mais je le sais bien, ça ! »

En tout cas, ça ne l’empêchait pas de profiter. Il fallait habituer le corps de Rachele au sexe, réveiller la nymphomanie qui sommeillait en elle. Elle n’était pas encore prête pour la reconstruction mémorielle qu’Alexandre envisageait ensuite... Mais, après son séjour au Laboratoire, tout serait bon.


Plus tard...

La décharge électrique fusa dans le corps de Rachele, et l’arracha définitivement à son sommeil.

« Tu as assez dormi, la Belle au bois dormant ! »

De puissants projecteurs vinrent l’aveugler pendant quelques secondes. Le temps que Rachele s’habitue à ce qu’elle voyait, elle pourrait avoir l’impression d’avoir débarqué dans une sorte de vaisseau spatial. Il n’y avait plus de décor médiéval, mais plutôt une sorte de laboratoire futuriste, aux murs blancs immaculés. Elle-même était attachée, toujours nue (mais avec ses gants et collants, ainsi que son collier de chienne autour du cou), à une sorte de grande table médicale futuriste, bras et jambes en croix, retenus par des sangles, et des diodes contenues sur la table avaient diffusé dans son corps des arcs électriques.

Surtout, devant elle, il y avait des femmes... Très spéciales.

Une première (http://orig08.deviantart.net/9aa7/f/2009/289/7/2/tech_mistress_by_dmitrys.jpg) se trouvait devant une machine, et venait d’ailleurs de lui parler. Par pur sadisme, elle appuya encore sur un bouton, déclenchant les arcs électriques situés à l’intérieur de la table.

Une seconde (http://orig05.deviantart.net/1ec4/f/2009/281/3/8/mistress_xxx_by_dmitrys.jpg) l’observait, avec des seins énormes, moulés dans une parfaite combinaison, et qui se retourna vers la première, permettant à Rachele de voir l’arrière de son uniforme (http://orig10.deviantart.net/28c1/f/2009/322/d/9/mistress_xxx_back_by_dmitrys.jpg), largement ouvert à hauteur des fesses... Et, surtout, une grosse queue se dressait le long de son corps, sortant de sa combinaison, qu’elle avait ouvert jusqu’au pubis.

« Tu es au Laboratoire, précisa la femme. Et tu es notre jouet... L’étape finale de ton entraînement. »

Les réponses viendraient sûrement plus tard, mais, pour l’heure, les sangles qui retenaient Rachele se mirent à bouger, et l’écartèrent de la table, la maintenant bras et jambes écartés, au milieu de la pièce. La technicienne appuya sur un autre bouton, ce qui permit aux « sangles » retenant Rachele (en réalité des tentacules métalliques) de soulever ses jambes légèrement. La mystérieuse femme se rapprocha ensuite, et se glissa entre ses jambes.

« Mais, d’abord, les présentations... »

Une troisième femme (http://orig07.deviantart.net/8d03/f/2010/071/d/d/dominatrix_womman_by_dmitrys.jpg) approcha également, exhibant fièrement une énorme queue. Elle se glissa dans le dos de Rachele, et lécha son cou.

« Toi, je vais adorer te baiser... Tu n’as pas idée d’à quel point c’est rare, de nos jours, de trouver une femme endurante comme toi... Sais-tu seulement combien de fois tu as été baisée pendant ton sommeil ?
 -  Essaie de ne pas la mettre dans le coma, celle-là aussi...
 -  Oh, ça... Je ne peux rien promettre ! »

Et les deux la pénétrèrent alors de concert, sans ménagement, sans douceur, et sans préparation aussi... Mais ce n’était pas bien grave, car les parties intimes de Rachele étaient déjà lubrifiées. Les deux puissantes Futas s’enfoncèrent donc en elle, et commencèrent une longue séance.

Un nouveau chapitre du calvaire de Rachele venait de commencer...
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le mercredi 26 juillet 2017, 21:04:49
L'esprit aracé et le corps meurtri de toute pare, Rachele flotte dans de douloureuses ténèbres. Sa chaire toute entière lui fait mal. Elle sent des mains l'empoigner et la soulever, elle sent qu'on l’entraîne encore vers d'indéfinissables supplices. De petites mains innombrables, fines et délicates, des mains qui lui semblent si jeunes, comme si elle flottait sur une prairie couvert d'un épais gazon.
Elle sent enfin la fraîcheur d'un espace couvert, l'humidité réconfortante des pierres du château, loin des regards et de la brutalité de la foule, stupide et perverse.

La texture, froide et rigide d'une table mord la peau brulante de son dos et de son fessier galbé et rond. Elle gémit faiblement et commence à dodeliner de la tête, les yeux papillonnants de droite à gauche. La voix du Maitre résonne dans la pièce et la fait frissonner tans de peur, de haine, que d'excitation, et la Rachele d'autre fois ne trouve pas la force de combattre ce sentiment étrange et pourtant si familier de soumission. Il lui semble qu'il donne des ordres, mais sans vraiment comprendre ce qui se dit autour d'elle.

De petits doigts commencent à palper l'intérieur de sa cuisse, juste à la naissance de sa vulve, la où la peau est si tendre et fine. Soudain, à cet endroit si sensible, elle sent la fraîcheur d'une petite linguette que l'on à alcoolisée pour nettoyer sa peau des miasmes putrides des animaux du Maitre.
Prenant conscience de ce que l'on s'apprête à lui faire et des terribles conséquences que cela va avoir, elle essai faiblement de se redresser d'un bond, presque un spasme ou un réflexe conditionné par la peur.

-Non pitié pas ça !

Mais la forêt de petites mains se posent sur ses épaules et sur son front pour la retenir et la maintenir délicatement adossée à sa table pendant que d'autres doigts lui immobilisent les poignets et les jambes. Rachele, les yeux empli de terreur, regarde les visages juvéniles qui l'entourent et la retiennent et les supplie d'arrêter avant qu'il ne soit trop tard.

-Non. Ne faite pas ça. Vous ne savez pas ce que vous faite, vous allez me... Ha...

Rachele pousse un petit gémissement de douleur en sentant l'acier d'une seringue pénétrer sa cuisse et se ficher dans son artère. Ses suppliques n'y ont rien fait, le vampire sait parfaitement ce qu'elle à voulu dire. Il connais le passé de junky de la belle et sait que la droguer va la faire glisser de nouveau dans l'enfer de la dépendance, mais elle n'en sera alors que plus facile à contrôler...

Le liquide épais et gras commence à se rependre en elle et la submerger d'une intense sensation de bien-être et de félicité.

-haaaaaaaaa...

Toute résistance meure doucement dans sa voix à mesure que sa volonté et sa conscience se dissolvent dans le flot de sensation de plaisir qui inondent ses synapses. Les petites mains la relâchent enfin pour commencer à la laver de toute pare. Les yeux mis-clos, la belle italienne s'étant lascivement sur la table et se prête docilement aux petits serviteurs qui l'entourent , les laissant lui nettoyer le corps en tout point sans aucune forme de pudeur ou d'orgueil. Ses anciens reflexes d'esclave de la drogue lui reviennent ; elle empoigne faiblement un de ses bras pour le frotter pendant qu'elle se caresse tendrement l'entrecuisse là où elle a été piquée pour faciliter la circulation du poison.

Une nouvelle voix résonne dans la pièce, la voix douce et chaude d'une femme, elle semble discuter avec le Maitre, mais la « chose » Rachele s'en moque, elle se tortille lentement et lascivement sur la table de travail comme un pantin relié aux ficelles du venin qui inonde son cerveau. De nouveaux ordres fusent, les petites mains attrapent celles de l'esclave droguée ainsi que ses pieds pour les sangler à la table. Elle se laisse faire en dodelinant toujours de la tête, les yeux à moitié révulsé et pétillants de plaisir. Ce sont alors des baisers et une langue pleine de dextérité qui les remplacent.

Rachele accueil ces lèvres en gémissant de plaisir, ses morsures en grognant d'extase, tentant malgré la drogue de faire le point, ne serais ce qu'une seconde, sur ce visage angélique qui lui procure tans de plaisir. Quand leurs yeux se croisent enfin, elle lance à la vampire un regard fiévreux et dépossédé de toute pudeur, celui de la Rachele qu'elle était avant, La Rachele de Jucio, l'esclave brisée et prostituée.

En cet instant, elle redevient cette jeune femme détruite qu'elle était et retrouve ses réflexes de pute défoncée au craque. Elle agite les lèvres dans un balbutiement inintelligible en papillonnant des yeux et agite les doigts de la main pour faire signe à Allison de venir la prendre.

Quand la vampire penche son visage sur le sien pour l'embrasser langoureusement, Rachele lui rend son baiser avec ferveur et lenteur. Accueillant sa langue entre ses dents, léchant ses lèvres de porcelaine, emplissant la pièce de bruits humides et érotiques pour le plus grand bonheur de l'assistance.

Quand ce long échange prend fin, Rachele gémit de désespoir. Les seins de la belle mafieuses sont gonflé et rebondissent admirablement sur sa poitrine en sueur, ses tétons érigé et turgéssants ressemblent à son clitoris dressé au dessus de sa gangue de chaire. Complètement corrompue et soumise par la substance qui l'empoisonne, elle se tortille lascivement entre ses liens, tenant de se frotter à la table pour noyer ses perceptions de toujours plus de stimulis de plaisir.

Quand le bruit de boucle de ceinture et de braguette résonne à ses oreilles, elle tourne son regard vers la futanari et lui lance un regard brûlant de désir en se mordillant la lèvre inférieure. Quand la vampire commence à s’immiscer en elle, son gland et sa hampe se laissent glisser entre ses lèvres ferme et serrées grâce à sa cyprine chaude et abondante.

-Mmmmmm...

Rachele, transporté par la sensation de pénétration et de bien être factice, commence à pousser de long gémissement de plaisirs en roulant des hanches pour accueillir le plus profondément possible le sexe de sa partenaire. Ses mains, bien que sanglées à la tables, lui permettent d'épouser et de caresser la peau des hanches d'Alisson alors qu'elle pousse en elle. Dévasté par l’épuisement et la drogue, la jeune femme ne lute plus contre le plaisir et dès le second coup de rein, commence à jouir en poussant de petits cris de sa voix cassée.

Sous le regard des deux vampires et de leurs serviteurs, la fière chefe de gang jouit comme une nymphomane accro de bas étage avant de sombrer doucement dans le néant, la dernière chose qu'elle ressent est le fluide chaud que le pénis de la vampire crache en elle...

--- Plus tard ---

-HAAAA !

Le hurlement de Rachele ne trouve nul écho dans cet enfer blanc et aseptisé. Elle ouvre les yeux et ne voit rien, rien qu'une lumière insupportable qui l'éblouie et la tourmente de son éclat pervers.
Elle était au paradis, dans un cercueil de bien être et de félicité, elle ne se souvenait plus avec précision mais, elle avait été bien, heureuse, elle avait pris du plaisir, du vrai. Comment tout cela pouvait il prendre fin ainsi ? Une nouvelle décharge électrique lui brûle les seins et vrille son corps

-HAAAAA Non ! Arrêtez ! Je serais gentille ! Je vous obeirai ! Je suis votre esclave !

Rachele se tait, surprise et horrifiée parce qu'elle vient de dire. Elle n'en revient pas, elle à réutilisé ce qu'elle disait quand Jucio la torturait pour l'obliger à se prostituer.

« Non »

Se crit elle intérieurement à elle-même.

« Je ne dois pas ceder, je dois être forte... »

Mais la jeune femme se sent si faible et la vie lui semble si dur, elle a besoin de quelque chose pour se sentir mieux, pour l'aider à se sentir bien, elle a besoin de ressentir de nouveau ce bien-être extraordinaire de la nuit passée. Sans s'en rendre compte, elle recommence à sentir l'appel de la drogue, la dépendance ultime.

-Tu es au Laboratoire et tu es notre jouet... L’étape finale de ton entraînement.

Les paroles de la dominatrice la font revenir à la réalité. Elle regarde alors en face les trois futanaris avec horreur, les yeux exorbités devant leurs pénis monstrueux et bestiaux.

-C... Comment... comment es ce possible...

Murmure la belle en gémissant alors que les tentacules qui la sanglent commencent à glisser pour la dresser entre ses tortionnaires.

-Attendez... non... vous ne pouvez pas... je... ne suis pas prête je...

La dernière arrivée se glisse dans le dos de Rachele et lui lèche l'oreille, la future esclave se met à trembler comme une feuille, sa peur fait sourire ses trois tortionnaires.

-Toi, je vais adorer te baiser... Tu n’as pas idée d’à quel point c’est rare, de nos jours, de trouver une femme endurante comme toi... Sais-tu seulement combien de fois tu as été baisée pendant ton sommeil ?

-Non... ne... ne faite pas ça... donnez moi quelque chose d'abord... pour... pour...

Rachele réalise avec horreur qu'elle à envie d'un shout. Misérable, elle essai de négocier pitoyablement son corps dans l'espoir de cette clef dérisoire avec le pays des merveilles. Elle baise la tête avec honte, réalisant qu'elle est en train de redevenir la pitoyable petite pute qu'elle était entre les doigts de Jucio. Sa libération, son combat n'auront servi à rien, elle est à nouveau une esclave...

Sans autre forme de procès les deux futa s'enfoncent en elle avec sauvagerie. Rachele découvrent de nouveau sommet de douleur et de plaisir ainsi que les surprenantes capacité de survie de son corps qui se fait littéralement déformer par leurs queues monstrueuses.  La bouche grande ouverte et la langue sortie pour laisser couler de longs filet de salive, l'ancienne gangster désormais bimbo salope se met à hurler et grogner du font de la gorge.

Alors qu'elles ressentent lentement pour s'enfoncer à nouveau en elle, les deux femmes rient à gorge déployée en voyant la nouvelle esclave du Maître jeter des regard totalement fou et lubriques autour d'elle pendant qu'elle se perd entre orgasme et souffrance.

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Alors que son intégrité intellectuelle vole en éclat, ses hurlements redoublent de puissance pour dépeindre l'étendue de la folie qui la ravage. Dans sa voix, on entend le plaisir mêlé au désespoir de se sentir disparaître, de se sentir prendre par la nymphomanie et entraîner loin de toute raison et de tout amour propre...
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le lundi 31 juillet 2017, 00:47:34
« Rachele Florenza a déployé d’importants efforts pour dissimuler son passé, Maître, mais rien ne reste éternellement caché.
 -  Je vois cela... Et vos informations éclairent tout cela sous un jour nouveau, mon frère. »

Victor Dowell (http://img12.deviantart.net/392d/i/2010/216/d/f/red_murder_in_your_eyes_by_sakimichan.jpg), un autre membre du clan Dowell, acquiesça lentement. Jambes croisées, son frère gérait au sein du clan tout ce qui relevait, de près ou de loin, aux enquêtes et aux investigations. Si le clan disposait d’un bonr éseau d’espions et d’informateurs au sein de l’Empire, sur Terre, els choses étaient toujours un petit plus compliquées, mais Dowell, grâce à ses relations avec le crime organisé de Seikusu, avait néanmoins de bonnes bases de données. Il avait chargé Victor de faire un dossier complet sur sa nouvelle prisonnière, Rachele Florenza. Victor avait retrouvé d’anciennes figures du passé de Rachele, et, si les langues s’étaient difficilement déliées, il avait su se montrer persuasif.

Alexandre avait devant lui un dossier, avec des photos, souvent de piètre qualité. Rachele avait dépensé énormément d’argent pour s’assurer que son passé soit effacé. Elle était la fille d’un ancien Parrain des Florenza, une famille traditionnelle de la Sicile. Les Florenza étaient un clan puissant depuis des siècles, et l’ancien Don, Alerandro, avait voulu aller contre les traditions en confiant la gestion des affaires familiales, non pas à son frère, Jucio, mais à sa fille, Rachele. Une décision qui allait tout simplement contre les pratiques mafieuses, les mafias étant extrêmement sexistes. Et Jucio avait capturé Rachel, et avait fait d’elle, pendant une année, une pute de bas étage, en la droguant, et en la violant régulièrement.

« Et ce Jucio est... ?
 -  En vie, étonnamment... Mais castré. »

Alexandre hocha lentement la tête. Peu à peu, il commençait à voir une stratégie se dessiner. Victor n’avait pas fait que retracer le passé de la belle, il s’était aussi renseigné sur son casino. Pour l’heure, personne ne paniquait, car il arrivait que Rachele s’absente pour plusieurs semaines, généralement en retournant en Sicile. Victor ignorait où se trouvait Jucio, et Alexandre était convaincu que Rachele ne l’avait pas laissé vivre libre, et qu’elle devait encore le surveiller. Et, même si le sort de Jucio lui était totalement indifférent, non seulement ce dernier avait posé des bases qu’Alexandre allait joyeusement emprunter, mais, s’il pouvait le retrouver, il disposerait d’un moyen d’en finir avec les velléités de Rachele, et de mener à bien son plan.

« C’est excellent, comme toujours. Je sais maintenant ce qu’il me reste à faire avec elle.
 -  Prendre le contrôle de son club ? » s’hasarda Victor.

Le Maître du clan sourit brièvement.

« Du club, oui... Mais pas uniquement. Je veux cette fille, Victor. Je la veux comme elle est. Forte, dominatrice, cruelle, perverse... Mais à moi. Je veux tout d’elle. Et je sais comment faire. »



Les deux Futas s’avérèrent aussi monstrueuses qu’endurantes. Elles n’étaient clairement pas normales. Leurs proportions énormes, déjà, trahissaient les multiples implants et modifications génétiques qu’elles avaient reçue. Elles baisaient lourdement Rachele, l’envoyant disparaître dans une spirale infinie de sexe intense et dur. Coucher avec elles, ça n’avait rien de doux, ou de tendre. Elles étaient en effet très endurantes, violentes, et ne se souciaient guère du bon plaisir de la femme. Les hurlements de Rachele, ses yeux écarquillés, sa langue pendante... Ah, comme elles aimaient ce spectacle !

« Hey, Triple, elle a vraiment... Un cul magnifique, cette salope !
 -  Oui, Lolita, je suis bien d’accord... Hmmmm... Maître Dowell trouve toujours des salopes rares, mais elle, putain... Hmmmm... Et tu aimes ça, sale pute, hein ? Nous sentir en toi, hein ? Mais... Ça ne doit pas être suffisamment parfait pour toi, j’en ai bien conscience... »

Elle se tourna vers la technicienne, celle qui était restée près du pupitre, et aux proportions plus humaines. Elle se déplaça alors, faisant claquer ses talons, pendant que les grosses queues des deux Futas’ continuaient à labourer longuement et puissamment le corps de la femme. Lolita en profita alors pour pincer les seins de la femme, tirant sur les tétons, et laissa un accès à la technicienne, qui approcha une seringue abritant un liquide rose.

« Le Laboratoire fabrique ses propres drogues, précisa la technicienne. Plusieurs cultures font pousser des plantes que nous synthétisons ici, pour créer des injections très spéciales. Et toi, ma chère, ton organisme ne les rejette pas du tout.
 -  C’est ça que tu veux, salope. Au-delà de te faire hargneusement bourrer le cul, tu veux... Hmmmm... Tu veux vraiment apprécier ça, plonger dans les méandres de la luxure et du vice sans jamais en sortir.
 -  Tu es une junkie ! »

Pouvait-elle le nier, maintenant ? La technicienne tenait la seringue au liquide translucide entre ses beaux doigts nimbés de latex, et enfonça finalement la seringue sur son sein, puis appuya sur le bouchon, diffusant le poison rose. De quoi rendre Rachele beaucoup plus réceptive, et bien plus endurante à ce qui allait suivre, et au viol dont elle était victime.

« On va te baiser très longtemps, ma chérie...
 -  Avec cette drogue, tous tes nerfs sont amplifiés... Tu ne trouveras jamais une drogue comme ça ailleurs, car elle dispose d’un ingrédient secret... Le sang de ton Maître. »

Un sang qui était savamment distillé dans les ateliers du Laboratoire. Pour le reste, cette drogue rose était une drogue sexuelle qui amplifiait sensiblement les sensations nerveuses, rendant chaque partie du corps beaucoup plus réceptif. Chez certains sujets, il suffisait d’un simple pincement appuyé des seins pour déclencher des orgasmes. Autrement dit, les femmes allaient plonger Rachele dans une longue spirale de jouissance, dans un seul et unique objectif, qui expliquait sa chute aux enfers, et dans cet endroit sinistre et cruel...

...La briser.
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le mercredi 02 août 2017, 16:54:15
Les deux mutantes s'amusent des hurlements de la belle et de son regard fou et perdu. Elles coulissent en elle de plus en plus vite à mesure que le corps de leur prisonnière se déforme et se dilate au passage de leur énorme queue.

Quand elles ralentissent la cadance pour jouer avec son sein gonflé de désir, son visage retombe légèrement en avant et elle fixe la troisième femme qui se rapproche avec sa seringue emplie d'un liquide rose. A chaque pas que celle-ci fait vers le trio, les yeux de Rachele s'arrondissent de terreur.

-N... non...

-Le Laboratoire fabrique ses propres drogues. Plusieurs cultures font pousser des plantes que nous synthétisons ici, pour créer des injections très spéciales. Et toi, ma chère, ton organisme ne les rejette pas du tout.

Elles... elles ont réussi à créer une substance que le corps ne rejette pas ? Pas du tout ?

Se demande t'elle intérieurement, suspendue à la vue de la longue aiguille qui s'approche, mesurant toute l'étendue de ce que cette déclaration signifie. Car la narcotrafiquante sait très bien qu'une substance parfaitement assimilée et accepté par l'organisme créera ou renforcera automatiquement un puissant syndrome de dépendance. Si la technicienne dit vrai, Rachele avec ses antécédents n'a aucune chance, malgré sa volonté de fer, elle redeviendra une junkye accros à cet étrange produit rose.

"NON"

-Non ! Reculez ! N'approchez pas ! Je refuse ! Vous ne m'aurez pas aussi facilement !

Hurle t'elle en réponse au cris de son âme. Elle se débat comme une furie mais reste paralysée, clouée aux deux énormes bites qui la transpercent et la tienne en place. Elle agite alors la poitrine dans l'espoir de libérer son sein des doigts de la futa, mais la encore la prise de la femme est trop forte.

Elle se répète alors à elle même pour se donner du courage:

- [murmure] Je doit lutter, je... je sent que je... commence à craquer... mon corps réclame... mon corps en veux plus... Non ! Je ne suis pas mon corps ! je suis moi ! Mon esprit est en acier... en ac...
 HA !

L'aiguille pénètre la groseille de son sein et s'enfonce dans sa chaire, Rachele la regarde en secouant la tête de droite à gauche pour faire de petits "non". Puis la technicienne presse le piston et la prisonnière assiste impuissante au spectacle du liquide rose qui disparaît en elle.

-NÔ ! ooooooooooon... haaaa...

Son cris de refus se transforme immédiatement en longues complainte lassive à mesure que la drogue se diffuse dans ses veines et empoisonne chacune de ses cellules. Ses yeux écarquillés d'horreur s'apaisent et ses paupière retombent à mi hauteur alors que sa bouche s'ouvre mollement pour laisser sortir sa langue sur laquelle se met à couler un mince filet de salive.

(https://img4.hostingpics.net/pics/357462druggednipple.jpg) (https://www.hostingpics.net/viewer.php?id=357462druggednipple.jpg)

La peau du sein qui a subit l'injection se met à rougir et se couvre de petites veines gonflées qui montent toutes vers l'auréole de son téton boursouflé et vermeille. Le simple contact des doigts de la futa fait crier Rachele de plaisir et la femme cheval peut sentir un liquide chaud jaillir sur son bas ventre, la petite mafieuse ne peut plus se retenir, et les derniers fragments de sa dignité se noient dans la drogue rose.

Très vite, l'autre sein de la prisonnière rougit et se couvre a son tour de veine avant que son téton ne se mette à pointer et à trembler d'excitation.

Le râle de Rachele continue toujours alors qu'elle sent la substance tiède parcourir son corps et la transformer profondément. Elle sent un bien être incroyable la submerger et son désir sexuel exploser au point que la souffrance que lui procure les deux énormes queues enfoncées en elle se transforme en plaisir, puis en orgasmes, puis en un stade encore au delà qu'aucune langue ne peut nommer.

Quand son rale se termine enfin, la drogue a envahie son cerveau et fait chavirer sa raison, elle ne sait plus qui elle est, pourquoi elle est ici, tout ce qu'elle sait, c'est qu'elle en veux plus, plus de plaisir, plus d'orgasmes. Elle se met alors à hurler non pas de douleur, mais de jouissance.

-Raaa ! S... sexe... je veux... bite... encore ! Encore ! Sexe... encore...

Et elle commence à rouler du bassin autour des deux énormes pénis qui l'empalent tout en se balançant d'avant en arrière comme une aliénée en pleine crise de démence. Au bout de quelques minutes, son corps à parfaitement et totalement assimilé jusqu'à la dernière molécule de cette drogue impie et le sang du maître commence à raffermir ses chaires détendues et dilatées. La Futa qui la sodomise sent son anus totalement lissé reprendre du tonus , l'autre sent son vagin se resserrer autour de sa hampe pendant que Rachele redouble de hurlement à cause de cette nouvelle affluence de souffrance et de stimulis sexuels insupportables.

Tout les efforts qu'elle à fait pendant toutes ces années s'effondrent, sa lute contre la dépendance, contre la drogue, contre la nymphomanie et le sexe a outrance, tout cela est balayé par la lame de fond qui la subjugue et la transforme en pauvre petite pute junkye et dépendante des bons plaisir de son dealer...


Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le jeudi 03 août 2017, 20:34:51
« Salope... Salope !
 -  Je crois... Je crois qu’elle ne t’entend plus...
 -  La vache... Elle est partie, alors ? »

Les deux femmes firent un essai, en faisant mine de se retirer du corps de Rachele, ou de ralentir le rythme... Et, comme elles s’y attendaient, la jeune femme, incapable de réagir de manière intelligible, émit des soupirs, en se tortillant sur place, réclamant les queues en elle. La drogue tekhane était un puissant stimulant sexuel, mais avait aussi des effets secondaires. Curieusement, et même si le désir sexuel était aussi vieux que le monde, scientifiquement, la manière dont le désir fonctionnait était encore très obscur. La drogue utilisée sur Rachele était le fruit de recherches tekhanes très poussées en la matière, d’études réalisées sur de multiples cobayes, qu’on stimulait sexuellement, tout en étudiant la manière dont le cerveau réagissait. Les conclusions dressées montraient que, sous l’effet de l’excitation sexuelle, des neurotransmetteurs se déclenchaient, amplifiant certaines zones du cerveau, et en atténuant d’autres, des zones « inhibitrices »... Et, surtout, l’excitation sexuelle jouait sur une zone très particulière du cerveau, le claustrum. Une zone énigmatique, qui, d’après les recherches scientifiques, jouerait un rôle dans la conscience de soi.

Et les études scientifiques tekhanes avaient donc commencé à jouer sur le claustrum, car, sous l’effet de l’excitation sexuelle, cette zone était stimulée. Et la drogue que les femmes venaient d’injecter à Rachele influait naturellement sur cette partie du cerveau. Les résultats, cependant, variaient d’un sujet à l’autre, mais Rachele, avec son passé de junkie, y fut très réceptive, ne réagissant plus que par le biais de stimuli sexuels... Ce qui amena naturellement les deux femmes à la baiser très longuement.

« Incroyable, une telle endurance ! grogna la femme.
 -  Et ce n’est même pas une Tekhane... »

Raison de plus pour être impressionnées ! Belle, forte, et endurante, Rachele avait vraiment tout pour leur plaire ! la technicienne, qui observait la scène, commençait à être sérieusement assoiffée. La femme nichée dans le dos de Rachele pinçait fortement les tétons de la femme, faisant hurler leur proie.

« Allez... Augmentons le rythme ! »

La femme dans le dos de Rachele poussa en avant, et la Mistress du devant se laissa tomber au sol, la tête de Rachele venant rebondir entre ses seins, pendant qu’elle-même finissait par se trouver à quatre pattes. Et, dans cette position, une main gantée se saisit de ses cheveux, la relevant, avant de lui fourrer de force une troisième queue dans la bouche.

« Là... Suce bien, sale pute, hmmm... !! »

La redoutable technicienne posa ses deux mains sur la tête de Rachel, et commença à la baiser sèchement, enfonçant sa queue profondément dans sa bouche, jusqu’à taper contre sa gorge, avant de repartir en arrière, et de filer de nouveau en avant. C’était du sexe long, intense, hard, et où les trois redoutables Tekhanes n’étaient pas pressées de jouir. Mais, après tout, il fallait bien éliminer la drogue présente dans l’organisme de la femme.

Même s’il y en aurait pour plusieurs jours...


Plusieurs jours après

« Hmmmmm... !! »

*SPLAAAATCH !!*

Un autre esclave venait de jouir en elle. Difficile d’entendre autre chose que ses gémissements, car il portait un masque de latex sur le visage, scellant ses lèvres et ses yeux. L’un des multiples esclaves sexuels du Laboratoire, qu’on privait de tous les sens possibles, grâce à un épais masque l’empêchant d’entendre, de parler, de renifler, ou d’écouter. C’était la logique de l’aveugle. Privez un individu d’un sens, et les autres s’amplifiaient. Et les esclaves des Mistresses s’avéraient très doués dans ce domaine. Ils ne raisonnaient plus que par le sexe, comme cet homme.

Et, après sa jouissance, on s’empressa de remettre sur le corps de Rachele sa culotte, avec deux vibromasseurs orientés vers l’intérieur, l’un s’enfonçant dans sa chatte, l’autre dans ses fesses. Ils vibrèrent doucement, et servirent surtout à retenir tout ce sperme qui s’accumulait en elle depuis plusieurs jours. Méconnaissable, Rachele était baisée presque sans relâche depuis maintenant des jours, dans l’une des pièces du Laboratoire... Et elle avait un masque noir sur la tête. Il avait fallut out ça pour éliminer la drogue, pendant qu’elle était régulièrement nourrie par intraveineuse. On ne l’avait guère autorisé qu’à faire ses besoins naturels, mais, là encore, la culotte était restée. On avait juste retiré le vibromasseur dans ses fesses, et, grâce à l’aide d’injections spéciales, déclenché son appareil digestif, lui permettant de chier dans un tuyau, qui était ensuite évacué.

Elle n’était plus une humaine, mais un véritable objet sexuel, attachée à des tentacules métalliques qui l’immobilisaient par les chevilles et par les poignets, et l’électrifiaient régulièrement quand les capteurs situés à hauteur de son crâne détectaient que certaines zones de son cerveau se mettaient en veilleuse, signe qu’elle s’endormait.

Son ventre, notamment, était bien gros, bien épais, comme si elle était une femme enceinte au neuvième mois de sa grossesse. Le sperme se retirait très lentement, et, comme on la remplissait ensuite à chaque fois...

...Mais, cette fois, elle allait pouvoir dormir, car Alexandre avait besoin qu’elle soit en pleine forme. Une seringue lui fut donc injectée dans les veines, et Rachele s’écroula sur place.

« En place pour le grand spectacle... »

Alexandre allait apporter l’estocade finale, et quitta la baie d’observation menant à la salle d’emprisonnement, pour rejoindre une salle d’opération. Le Laboratoire était un bunker totalement illégal, mais bien pratique. Un homme était allongé sur une table, et des femmes en combinaison de latex rose opéraient ce dernier à hauteur de son sexe.

« Alors ? »

June (http://orig11.deviantart.net/2e87/f/2010/284/9/5/a_advance_notice_by_azazel1944-d30jjwn.jpg), l’infirmière-en-chef, se retourna vers lui.

« Nous avons fait de notre mieux, mais il a été castré depuis trop longtemps, Maître...
 -  Eh bien... Ce ne sera pas le premier freak que j’aurais dans ma petite galerie. L’opération est finie, non ?
 -  Son nouveau membre est opérationnel, et jute énormément.
 -  Vous l’avez essayé ? »

June rougit en se pinçant les lèvres, et acquiesça.

« Bon... Alors, il est temps d’assister aux retrouvailles de famille, ça me rend toujours émouvant. »

Le patient ouvrit ensuite les yeux, sortant de sa torpeur, et son regard croisa celui du vampire, qui avait les mains paisiblement enfoncées dans ses poches, et savourait la mise en place du dernier pion dans son plan machiavélique.

« Vous... C’est vous qui m’avez retrouvé ?
 -  Tout à fait... Navré de vous avoir enlevé à vos surveillants sans votre autorisation, mais je tenais à vous faire une offre que vous ne pourrez pas refuser. »

Et le vampire lui sourit. Il avait beau détesté les humains, il fallait reconnaître que Le Parrain était l’un de ses films préférés.

Et, s'il avait été un méchant dans un film, c'était probablement à ce moment-là que Dowell aurait poussé un rire machiavélique.


Quelques heures plus tard...

Rachele dormait paisiblement... Quand des accords de basse très profonds se firent brusquement entendre, la réveillant rapidement, les accords laissant rapidement place à une mélodie très entraînante, du genre à vous motiver le matin pour aller travailler :

« We're on easy street
And it feels so sweet
'Cause the world is 'bout a treat
When you're on easy street
And we're breaking out the good champagne
We're sitting pretty on the gravy train
And when we sing every sweet refrain repeats
Right here on easy street
(https://www.youtube.com/watch?v=JoQ4GidQP-k) »

Et, quand la musique se termina, un déclic se fit entendre à hauteur de la nuque de Rachele... Et le masque se retira enfin.

D’épaisses lumières blanches éclairaient le plafond, mais une silhouette se devina devant elle. Peut-être crut-elle halluciner au début en la reconnaissant... Un cauchemar ? Un rêve ? Ce n’était pas possible... Un homme se tenait devant elle, entièrement nu, avec une verge cybernétique qui avait, ici et là, des diodes bleuâtres, et qui avait été fixée sur son corps comme une sorte de prothèse futuriste.

« Coucou, sœurette. Ça faisait longtemps, hein ? »

C’était lui...

Jucio !
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le samedi 05 août 2017, 21:24:43
Le corps de l'ancienne junky se pâme tout entier en recevant ce flot monstrueux de plaisir et de stimulis biaisés par les drogues. Comme le peuple épuisé et mourant de faim d'une ville assiégée, chaque cellules, chaque portions de son être ouvre les portes de son intimité et de son intégrité à l'envahisseur qui rentre sauvagement en elle pour piller et violer tout son saoul.

Le visage fendu d'un plaisir béat et stupide, les yeux presque révulsé par les orgasmes successifs que lui procurent les sexe chevalins qui la défoncent, elle continue de hurler de plaisir sans aucune retenue. Les portes fracturé de son inconscient laissent déborder le puis de ses souvenirs pour ressusciter la pute que Jucio avait fait d'elle des années plus tôt.

La salope dévergondée qu'elle devient ne se contente plus de subir, elle tente désespérément de se libérer pour participer à sa propre déchéance. A chaque fois qu'une queue ou qu'un membre quelconque passe à porté de ses mains liées, elle tente de les caresser ou de les empoigner pour les diriger vers son entre-jambe. Elle répond aux lèvres qui l'embrassent avec fougue et passion. Quand les deux futa se rient de son comportement et ventent son endurance, elle leur sourit en tirant la langue comme une actrice porno sur le point de recevoir une éjaculation faciale.

(https://img4.hostingpics.net/pics/741202Sanstitre4.jpg) (https://www.hostingpics.net/viewer.php?id=741202Sanstitre4.jpg)

Quand elle bascule vers l'avant et que la futa devant elle lui ordonne sans vergogne de la sucer avec violence. L'esclave Rachele, la jeune adulte tout juste sortie de l’adolescence qu'elle était autrefois en Sicile sous les chaînes de son oncle, acquisse avec plaisir et ouvre grand la bouche pour la recevoir.

- Oui Maitresse... donnez la moi... je la veux... doGAaaaaa !

Gargouille t'elle en se faisant empaler la gorge par l’énorme pénis animal, ses cris se transforment alors en de gluants bruits de succion entrecoupés de grognement et de gémissements de plaisir.
Rachele et ses trois partenaire connaissent encore de nombreux orgasmes. Galvanisée par la drogue qui la maintiens dans un état d'excitation constante, l'esclave perdue dans son plaisir ne voit plus le temps passer jusqu'à l'instant fatidique où ses partenaires jouissent enfin et l'emplissent de leur semence poisseuse. En bonne esclave, Rachele tache d'en boire le plus possible et sent dès les premières rasades son ventre se tendre pendant que son estomac et son utérus se remplissent. Elle ferme les yeux et essai d'ignorer la douleur jusqu'à ce que son ventre ait enflé comme une femme enceinte de trois bons mois.

Les futanaris se libèrent enfin de son corps et la laisse retomber misérablement dans la mare de leurs fluides. Mais alors qu'elle commence à prendre ses aises dans cette fange sexuelle et que ses partenaires se remettent de leur orgasme, la technicienne, elle, continue d'accomplir la volonté de son maitre...

Sans laisser de répis à Rachele, elle lui passe dans le dos et lui enfonce un bâillon fait d'un cercle en cuir et en métal que l'on peut à loisir ouvrir ou fermer pour accéder à sa bouche.

- MMM ?!

Gémit elle, interrogeant les trois femmes du regard. Elle se demande ce qu'elle a fait de mal, pourquoi ses maitresses la punissent alors qu'elle a été gentille. Mais elle ne reçoi pour toute réponses que regards pervers et amusé quand la technicienne lui enfonce deux boulettes de résine dans les oreilles, la coupant totalement de son ouïe, deux dans ses narines, la coupant totalement du gout et de l'odorat.

- MMM !?

Gémit elle encore en tremblant de peur.

- Chuuuuuut... ne reflechi pas... oublie tout, oublie qui tu es... tu es un objet maintenant...

Lui murmure finalement la technicienne en lui présentant un grand masque aveugle pour couvrir son visage. Rachele écarquille les yeux d'horreur en voyant la masse noir s'approcher de son visage.

- NNNNNNNN !!!

(https://img4.hostingpics.net/pics/425535sens4.jpg) (https://www.hostingpics.net/viewer.php?id=425535sens4.jpg)

Le noir. Rachele est perdue dans le noir. Elle respire par la bouche, par les minuscules petits trous de son baillon. Elle ne sent même plus l'odeur de l'air, elle est seule, prisonnière des vastes étendues désertiques de sa propre solitude. Déséquilibrée par le silence insupportable qui pacifie son esprit, elle perd l'équilibre et tombe à quatre pattes en se tenant la tête, tentant désespérément de retirer le masque qui la rend folle.

Attention contenu explicite:
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

En vain, elle n'y parvient pas, un mécanisme complexe le tient parfaitement lové contre la peau de son visage. Désarçonnée et totalement perdue, elle accueil la pression d'une main contre son collier et la fixation d'une laisse à son cou comme une bénédicition. Comme un mouton perdu que l'on mène à l’abattoir, elle se met à suivre ses Maitresses à quatre patte sans rechigner ou se poser de question, se laissant guider par les coups de laisse ou de badine qu'on lui donne sur les fesses.

Elle ne sait pas où on l’emmène ni combien de temps cela prend, plus rien n'a de sens jusqu'à ce qu'enfin, elle sente qu'on entrave ses poignets et ses chevilles à quelque chose qui la soulève. Son esprit, privé de ses sens, à faim de sensation et reçoit la froideur de ses liens avec un plaisir qui la fait pousser un petit gémissement sous son masque.

-Mm...

Elle sent la fraicheur de lingettes alcoolisé sur ses cuisses et ses bras, elle les accueil à nouveau avec bonheur, pensant qu'on va encore lui offrir de la drogue pour la récompenser de son obéissance. Elle accepte la douleur des catétaires qui s'enfoncent dans ses veines et ses artères et attend qu'une nouvelle vague de bien être l’inonde... mais rien ne vient.

Rachele sent une sueur froide lui couler le long de la nique en réalisant qu'elle ne va pas avoir droit à un nouveau shoot. Elle commence à gémir et gesticuler à mesure que la peur s'empare à nouveau d'elle.

Je... veux pas... avoir mal... je veux pas... réfléchir... je veux...

- Mmmmmmmmmm !

Elle pousse un long gémissement au moment où un nouveau gland, gros et bien gonflé vient lui écarter les lèvres vigoureusement pour s'enfoncer tout entier en elle. Submergée par la surprise, le corps rendu ultra-sensible par le manque de sensation, elle jouit instantanément. Sans attendre la bite qui la prend commence à aller et venir frénétiquement. Autour d'elle, dans un monde qu'elle ne perçois plus, les Maitresses rient et jouent avec l'esclave qui est en train de baiser Rachele. Comme elle, il n'est qu'un animal d'élevage, privé de ses sens, élevé aux hormones et aux stéroïdes comme une poule en cage pour obtenir une queue bien grosse et dure.

Rachele est aux anges, elle ne se pose plus de questions, elle jouit et c'est suffisant. Très vite, elle le sent venir en elle, comme une petite chienne, elle tourne la tête vers lui et gémit pour qu'il continue de la baiser. Elle ne peut pas savoir que son amant est aussi dépourvu qu'elle. La Maitresse lui donne de petit coups sur les testicules pour qu'il se retire et Rachele grogne avec lui de frustration.

- Il faut en laisser pour les autres... amène nous le suivant ma chérie.

Dit l'une d'entre elle à sa camarade derrière laquelle attendent en file indienne toute une meute de ces hommes taureau. Celle-ci hoche la tête en souriant et prend le mal suivant par les bourses pour le trainer jusqu'au cul de Rachele. Dès qu'il sent contre son gland une vulve bien trempée, il la pénètre sauvagement en hurlant dans son masque pendant que la prisonnière se joint à son cris.

Les amants de Rachele commencent à se succeder sans interruption tans est si bien qu'elle finit par sentir son ventre gonfler toujours plus jusqu'à ce qu'elle pousse de petit cris de douleur, sa peau se strie de petites lignes blanches alors que son ventre grossie comme celui d'une femme enceinte de sept mois.

Au bout d’innombrables heures, peut être même journée de se traitement, Rachele commence à nouveau à ressentir la douleur et sent l'excitation retomber. Elle réalise avec effroi que la drogue est en train de se dissiper. Une fois que tous les esclaves a disposition se sont fait  traire dans le cul et la vulve de Rachele, les Maitresse lui enfoncent une culotte armée de vibro dans la fente, retenant tout le foutre en elle.

La pauvre esclave à l'impression qu'elle va exploser. La douleur et la fatigue l'assaillent de nouveau ainsi qu'un besoin insupportable d'être droguée de nouveau. Sous son masque, la belle sicilienne pleure, elle sait maintenant qu'elle est redevenue accro, une sale petite pute junky qui acceptera tout pour avoir droit à sa dose. Quand elle s'abandonne finalement au désespoir et au sommeil, une vive douleur lui brûle les tempes et désordonne ses pensées, les petites tiges posées sur son front lui grillent les neurones à chaque fois qu'elle essai de s'endormir.

Commence alors d'incessantes heures de calvaire où se mellent manque, désespoir, oubli, souffrance et sexe. Ne trouvant le repos que quand elle jouit, elle ne se met à vivre que pour attendre qu'on lui donne de nouvelles queues. A chaque nouvelle traite, elle accueil les bites de ses amants en gémissant de plaisir et de désespoir, recevant leur foutre comme un cadeau, et une malédiction qui lui déforme toujours plus le ventre jusqu'à ce que son nombril sorte et que son ventre soit couvert de vergetures. Trop détruite pour penser à cela, elle ne parvient même plus à pleurer sur la beauté de son corps que l'on saccage.

Finalement, alors que la folie et le besoin de drogue finissent de grignoter sa personnalité, une nouvelle substance se met subitement à circuler dans ses veines... et soudain tout s'arrêt...

--- JUCIO ---

Un déclic, une tensions qui disparaît, l'Esclave qui s'appelais Rachele ne parvient pas y croire, le cauchemar est enfin terminé ! Ses mains se ruent sur le masque et l'arrachent de son visage. Elle défait le bâillon, le jette au loin et prend une grande goulée d'air avant de pousser un grand gémissement de soulagement. Instinctivement, elle arrache les boules de cire enfoncées dans ses orifices et se repait de toutes ses sensations qui lui ont tans manqué. L'espace d'une seconde, elle en oublie le mal-être horriblement pernicieux du manque de drogue et parvient à se focaliser sur le plaisir de redécouvrir ses sens.

Elle accepte même la lueur douloureuse qui l'aveugle et commence petit à petit à faire le point sur la silouette qui lui fait face. Instinctivement, elle lui sourit, car une bonne esclave se doit de sourire à son nouveau cli...

- NAAAAAN !!

Hurle t'elle alors que le visage de Jucio se découpe dans la clarté.

Instinctivement, elle se recroqueville sur elle-même, les bras autour des jambes, comme une adolescente frappée par son premier véritable chagrin d'amour. La vision de son oncle se superpose à ses anciens souvenir de jeune femme, à l'époque où il l'avait torturée, et fait totalement chavirer sa conscience.

Sa personnalité brisé, en manque et en recherche de cohérence se met à fusionner son passé et son présent pour créer une nouvelle ligne de souvenir qui explique tout cela. La petite pute junky de l'époque rencontre la nouvelle esclave accro de maintenant et fusionnent à leur tour en écrasant au passage la véritable Rachele qu'elle était devenue. L'attaque du repaire de Jucio par les hommes resté fidèles à son père, la cure de désintoxication et de "dé-ninphomanisation" qu'elle à suivit pendant toute ces années. Tout ça n'était qu'un rêve, Dona Florenza n'a jamais existé, elle n'a toujours été que la petite pute de Jucio.

- Non Maître ! Je vous en supplie... j'ai été gentille... j'ai bien baisée vos invités... demandez leurs, ils sont content...

Elle a retrouvé les intonations et la voix qu'elle avait à ses dix sept ans quand elle tapinais pour le mafieux sicilien. Sans lui en dire plus, Jucio la gifle d'un revers de la main et se terre à nouveau dans le mutisme en la toisant de haut, tirant une nouvelle bouffée de cigarette.

Rachele, les yeux baissés, ravale sa salive et essuie la bave qui a giclé hors de sa bouche quand elle a pris le coup. Elle se met à genou devant Jucio, les cuisses bien écarté pour lui offrir la vue de sa vulve, le dos bien droit pour mettre ses seins en valeur et les mains dans le dos, posées naissance de ses fesses.

Jucio prend la badine de sa cravache et s'en sert pour soulever le menton de Rachele, celle-ci ferme les yeux pour ne pas commettre l'affront de le regarder dans les yeux, ouvre la bouche et tire la langue comme une bonne petite chienne. Le mafieux prend alors sa cigarette et l'écrase sur celle-ci, la pauvre petite pute gémit de douleur, une larme coule sur sa joue mais elle reste dans cette position jusqu'à ce qu'il est fini.

Pour la récompenser, il lui crache dans la bouche et la lui referme en remontant la badine sur son menton.

- Il a longtemps que j'attend ce moment ma petite pute... j'ai hâte de rattraper le temps perdu...

Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le dimanche 06 août 2017, 13:48:52
C’était un nouveau Jucio qui se présentait devant elle. Un véritable Jucio 2.0... Mais, visiblement, Rachele n’avait pas encore assez dormi.

« Elle est en état de choc...
 -  C’est ce que tu voulais, non ? »

Allison, sa chère sœur, venait de rejoindre le vampire dans leur baie d’observation, où ils purent voir Jucio pénétrer sauvagement Rachele. Une pénétration particulièrement brutale, car sa queue cybernétique était dotée d’électrodes qu’il enclencha. Ainsi, non seulement une grosse queue était en train de labourer le corps de Rachele, mais était aussi en train de l’électrocuter. Et, vu la sensibilité de sa vulve en ce moment, la douleur devait être... Indescriptible. Depuis des microphones, le couple vampirique pouvait entendre les hurlements démentiels de la femme, ainsi que la voix moqueuse et cruelle de Jucio :

« Tu pensais vraiment pouvoir te débarrasser de moi comme ça, salope ?! Toi et moi, on a des années de retard à rattraper ! Ta trahison va te coûter cher, HAHAHAHAHAHAHA !! »

Allison regarda son frère, légèrement sceptique.

« Ce type est taré...
 -  Merci de cette observation, ma chère, je ne l’avais pas encore remarqué.
 -  Et les implants cybernétiques que tu lui as implanté pour qu’il retrouve une queue ne vont pas l’aider. Pourquoi faire appel à ce type ? »

Le vampire lui expliqua alors le passé trouble de Rachele Florenza.

« Don Alejandro Florenza... C’était son père. Tu ne le sais sans doute pas, mais, en Italie, les Florenza ont un nom. Ils sont très bien implantés au sein de Cosa Nostra. Don Alejandro Florenza était un proche de Tommaso Buscetta et de Toto Riina... »

L’histoire de Cosa Nostra en Italie avait connu un point d’orgue dans les années 1980’s, sous le règne de Salvatore Riina, surnommé « Toto Riina », ou encore « La Belva », « Le Fauve ». De toute l’histoire de cette mafia, on avait rarement connu un individu plus cruel et plus sanglant que Toto Riina. La période de Totot Riina avait été marquée par un bras de fer sanglant entre Cosa Nostra et l’État italien, une histoire digne d’un blockbuster hollywoodien, avec des rôles légendaires. Toto Riina dans le rôle du méchant, qui aurait tout à fait pu être interprété par un Robert De Niro à l’heure de sa gloire, et, en face, le juge Giovanni Falcone, véritable Elliot Ness de l’Italie, que Dowell aurait bien vu camper par Kevin Costner.

Falcone avait obtenu, dans les années 1980’s, des avancées significatives dans la lutte contre Cosa Nostra, grâce à un petit homme, central au cœur de la machine mafieuse : Tommasi Buscetta, le consigliere de Cosa Nostra. Buscetta était une figure historique, car il était le premier mafioso à avoir brisé l’omerta, permettant à l’État d’obtenir un nombre très élevé d’informations sur la Mafia, et faisant de lui le premier pentito, le « repenti ». C’est grâce à Buscetta que la police avait découvert l’existence de la Cupola, l’organe de fonctionnement suprême de Cosa Nostra, la Commission. Les témoignages de Buscetta ont abouti à la condamnation de plus de 300 mafieux lors du maxi-procès de Palerme, organisé par Falcone, mais ont aussi eu des influences aux États-Unis, permettant de révéler l’existence de la Pizza Connection, terme désignant toute une organisation de blanchiment d’argent résultant de la vente de stupéfiants entre les États-Unis et l’Italie.

« Et, à l’origine de toute cette histoire, il y a eu le massacre, par Toto Riina, de la famille de Buscetta.
 -  Et pourquoi tu me parles de tout ça ?
 -  Don Alejandro Florenza, le père de notre chère amie occupée à baiser avec passion, était un membre de la Commission. Il a su tirer son épingle du jeu après les révélations de Buscetta, mais était trop vieux pour devenir le nouveau Don. Jucio était pressenti pour être le successeur de Toto Riina, car il était très proche de lui. La Belva torturait avec lui des putes et des ennemis.
 -  Charmant.
 -  Mais Alejandro savait que Jucio ne pouvait pas gouverner. La folie et la cruauté de Toto Riina avaient conduit Cosa Nostra aux abois. Après la chute de Toto Riina,  en 1993, il y a eu des luttes de pouvoir. Jucio a raté sa chance, au profit de  Bernardo Provenzano... Mais Cosa Nostra souffrait encore des conséquences de Toto Riina, et voulait négocier avec les autorités italiennes. Beaucoup accusaient Provenzano et ceux le soutenant d’être des mous... Dont Jucio Florenza, qui voulait remplacer Provenzano. »

Dans les années 1990’s, Cosa Nostra, qui se remettait à peine de la lutte contre Falcopne, avait également dû faire face à un autre scandale, un véritable séisme politique qui avait provoqué l’anéantissement de la classe politique italienne en amenant à la dissolution de quasiment tous les partis politiques de gouvernement : l’opération Mani Pulite, « Mains Propres ». Un terme regroupant une série d’investigations judiciaires qui avaient commencé en 1992 par l’arrestation de Mario Chiesa, un membre du Parti socialiste italien, candidat à la mairie de Milan. Une simple affaire de pot-de-vin, mais qui avait été le début de multiples enquêtes, révélant un scandale de corruption qui touchait presque l’intégralité de tous les hommes politiques italiens de l’époque.

« Mani Pulite a mis Cosa Nostra aux abois... Littéralement. Ils ont perdu presque tous leurs soutiens politiques, ainsi qu’une opinion publique largement défavorable. Et c’est là que notre ami Jucio a voulu s’imposer. Mais Alejandro, lui, pensait que les temps avaient changé, et voulait que ce soit sa fille, Rachele, qui soit la nouvelle Don. »

Alejandro avait éduqué Rachele dans ce rôle, en lui expliquant comment les choses fonctionnaient, et pourquoi le crime organisé était le dernier rempart contre l’anarchie et la barbarie C’est à ce titre qu’ils avaient voyagé à Seikusu, un cas d’école. En effet, au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, le Japon avait été ravagé. L’économie s’était effondrée, l’armée américaine avait dissous les services de police, réquisitionné des millions d’armes appartenant à l’armée japonaise, et Seikusu avait fait l’objet de bombardements incendiaires par les redoutables Boeing B-29 Superfortress.

« Ce sont les Yakuzas qui ont permis d’offrir aux Japonais de la nourriture, des cigarettes, de l’eau... Et qui ont aussi permis de repousser les communistes. Les Yakuzas ont une image pour se désigner eux-mêmes. Dans l’organisation d’un État, il y a les forces étatiques reconnues, la partie émergée de l’iceberg, et il y a, ensuite, les forces occultes, la partie immergée. Et, entre les deux, il existe un lien indéniable.
 -  Mais où est-ce que tu veux en venir ? s’agaça Allison.
 -  Rachele Florenza devait être la nouvelle Don, non seulement de son clan, mais aussi, à terme, de tout Cosa Nostra. Quand Jucio l’a appris, il est devenu furieux. Il s’est vengé de Rachele en l’asservissant... Et, aujourd’hui, il sert parfaitement mon propos.
 -  Qui est ? »

Alexandre se redressa, s’extirpant du fauteuil en cuir où il avait longuement parlé, et s’approcha de la fenêtre. En contrebas, Rachele hurlait de moins en moins, mais avait pleuré, et sombrait peu à peu dans le coma, tandis que Jucio continuait à la labourer sauvagement.

« Je vais réécrire son passé. Je veux qu’elle soit une Dona Florenza améliorée... Sous mon service. Et c’est pour ça que j’ai besoin de Jucio, afin de la faire craquer, et de pouvoir m’immiscer dans son esprit, et remodeler ses souvenirs à ma convenance. Ensuite... Elle fera ce qu’elle veut de son oncle, je me moque totalement de lui. »

Seule Rachele l’intéressait...

...Et Dowell était maintenant extrêmement proche de son but, ce qui provoquait en lui un sentiment jubilatoire puissant.
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le dimanche 06 août 2017, 21:31:24
Sous le regard de Jucio et des deux vampires qui l'observent, la Rachele de dix sept ans, la pauvre ado démolie, fait tourner sa langue dans sa bouche grande ouverte pour que tous puissent voir la salive de son Maître lui imbiber les lèvres et couler dans sa gorge au moment où elle déglutie en plissant les yeux de dégoûts.

- Glp... Maître... je... je vous en supplie... ne me faite pas de mal je

La main de Jucio s'abat sur son visage avec violence et la fait tomber en arrière. Comme une petite fille battue injustement par son frère, elle se tiens la joue en versant des larmes silencieuses, assise les jambes toujours écartés.

Le regard du mâle cybernétisé en rûte se pose alors sur la vulve offerte et rouge de la jeune femme. Malgré les innombrables heures de baise qu'elle à subit, le sang du Maitre à déjà raffermi ses chaires et réparé sa vulve endolorie et à nouveau prête a se faire déformer.

Sous ses yeux, la belle frissonne et se frotte les bras, se gratte nerveusement au plus des coudes en respirant très fort.

- Tu es en manque petite pute... pas de drogue pour toi maintenant... je veux que tu ais mal quand je vais te défoncer avec ça !

Dit il en lui présentant son étrange queue qui se met à crisser quand un arc électrique parcoure sa surface. Les yeux écarquillés d'horreur, la petite esclave se retourne a quatre patte, présentant involontairement son cul à son oncle libidineux, et essai désespérément de fuir en rampant.

D'un bond, Jucio se jette sur elle, s'agenouille derrière son cul en lui empoignant les cheveux d'une main et un poignet de l'autre pour le lui remonter dans le dos.

- J'vais t'prendre le cul...

Lui crache t'il à l'oreille en lui tirant les cheveux en arrière.

- J'vais t'enculer comme on t'a jamais enculé...

Ajoute t'il alors que la jeune femme femme se met à pleurer à chaudes larmes. De sa main libre, elle essai de le repousser, de chasser la main qui l'immobilise. Mais l'ancien mafieux s'en moque, il libère la chevelure de Rachele et se lèche les doigts avant de lui lubrifier l'anus du bout de leur pulpe poisseuse.

- Naaan pitié pas ç... !

Hurle Rachele juste avant que la main de Jucio ne se referme sur sa bouche.

- NNNNN...

Gémit elle à nouveau en sentant son énorme chibre se placer devant son anus et pousser contre ses délicates plissures. Jucio pousse alors un long "HÔ" alors qu'il enfonce sa monstrueuse bite cybernétique dans le cul étroit de Rachele et ressent après toutes ces années le plaisir du sexe.

Rachele de son côté se met à hurler si fort que même les doigts de son oncle ne retiennent ses cris. Il libère alors sa bouche pour l'aggriper par le sein gauche d'une main et par les cheveux de l'autre. Il commence alors à la défoncer sans ménagement en pousser des beuglements de plaisir.

De temps à autres, la queue de Jucio crépite et électrocute le vagin et le cul de Rachele qui s’assèchent à cause de la douleur et de la chaleur. Le mafieux prend alors le temps de cracher sur ses doigts pour la lubrifier de nouveau à chaque fois pendant que Dowel devise tranquillement avec sa congénère d'histoire et de politique.

Le corps crispé par la douleur, les jambes tendues à l’extrême de part et d'autre des fesses flasques du mafieux, les doigts crispé sur tout ce qui passe à sa porté, Rachele cris en bavant pendant que ses yeux roulent dans ses orbites. Privée de drogue ou de la moindre stimulation agréable, elle ne ressent que douleur, qu'horreur, que déchirure, elle implore qu'on la délivre, elle demande qu'on lui face un shoot pour qu'elle aime se faire baiser par son oncle, elle se prostitue désespérément pour échapper à son châtiment. Mais jamais Jucio ne la soulage ou n'arrête, il la défonce encore et encore, jusqu'à ce qu'elle commence à saigner et à perdre connaissance.

- Ho non salope... ce n'est pas encore fini !

Il s'extirpe sèchement de son anus totalement dévasté, la soulève par les poignets et lui donne de petites giffles sur le visage. Quand elle revient à elle, il lui crache à nouveau dessus et l'entraine vers un vieux fauteuil répugnant dans un coin de la pièce. Il lui attache les poignets à un crochet de boucher suspendu à une poulie et en ajuste la hauteur pour obliger Rachele, totalement dévastée à s'accroupir au dessus du siège en cuir.

Le répugnant sicilien s'installe alors à l'intérieur, décapsule une bière brune à l'odeur atroce, et prend Rachele par les hanches pour bien installer sa vulve sur son gland d'acier.

- Vient sale pute, vient gagner ta dose.

Comme au "bon vieux temps", Rachele baisse la tête entre ses bras levés et commence à s'empaler d'elle-même sur l'énorme bite de Jucio, poussant un long gémissement de douleur. Une fois totalement empalée sur sa garde, il lui donne de petit coups de reins et des fessées pour l'obliger à danser sur sa verge. Totalement obnubilée par la promesse de drogue et de soulagement, la belle brisée commence à faire de petit bons douloureux en gémissant de désespoir et d'épuisement.

Attention contenu explicite:
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le mardi 08 août 2017, 23:35:03
Des années auparavant...
Villa des Florenza
Sicile, Italie


Un véritable décor perdu dans le temps. Qu’était la Sicile, si ce n’est un voyage dans le passé ? On remontait de plusieurs siècles en arrière, en s’aventurant dans les étroits petits villages de campagne, bâtis sur des montagnes, perdus dans la forêt, avec une vue imprenable sur la Méditerranée. Même Palerme avait conservé le charme historique de la Sicile. Aucun grand complexe touristique blanc et gris, rien d’autre qu’une de bâtisses ancestrales typiques du Moyen-Âge italien, avec ces toits en tuile rouge, ces petites ruelles pavées le long de la mer... Et ces grandes villas disséminées dans la montagne, le long de sentiers ancestraux où le visiteur croise partout des vaches et des brebis.

La cloche sonnait ce matin dans la cour des Florenza. Un visiteur inattendu arrivait, et la jeune Rachele, portant une belle robe, trépignait d’impatience. Une journée magnifique, à n’en pas douter. Il régnait un soleil magnifique depuis plusieurs jours dans le ciel en cette période estivale. La plupart des hommes de Don Alejandro se réfugiaient à l’ombre, tandis que les fermiers et les serviteurs de la villa essayaient, tant bien que mal, de maintenir l’endroit en bon état de propreté.

« Soyez sage, Dona Florenza, je n’ai pas encore fini votre coiffure ! » s’exclamait la gouvernante.

Les doigts experts et habiles de la gouvernante nouaient les tresses d’une impatiente jeune fille. On pouvait la comprendre... Après plusieurs semaines d’une agitation sans pareille, qui avait vu quantité de gens défiler dans le manoir familial, son père venait de rentrer ! La petite était bien sûre trop jeune pour comprendre ce qui se passait, mais les évènements étaient d’importance. Après huit ans de traque dans la Sicile, Renato Cortese, chef de la police palermitaine affectée à la lutte contre Cosa Nostra, avait arrêté Bernardo Provenzano,
Capo di tutti capi de Cosa Nostra, le 11 avril 2006. Un jour fatidique, car, depuis cette date, Don Alejandro Florenza oscillait entre le manoir et d’autres endroits. La Copola se réunissait pour élire le nouveau chef, et les discussions allaient bon train. Les candidats étaient nombreux.

Mais tout ça, Rachele Florenza ne pouvait évidemment pas s’en douter, et devait surtout être heureuse de retrouver enfin son père. Elle fila donc, dès qu’elle fut prête, malgré les protestations de la gouvernante, et, alors qu’elle rejoignait le grand salon, elle s’arrêta sur place. Son père était là... Mais il n’était pas seul. Un homme dans un très élégant costume blanc, et avec une longue chevelure brune, l’accompagnait.

« C’était le bon choix, Don Florenza.
 -  Je n’en suis pas convaincu. Avec mon vote, Jucio aurait pu être
Capo, et il le sait...[/b][/color]
 -  Matteo Denaro est un bon choix. Il ne fera pas trop de vagues, le temps qu’elle soit prête.
 -  Mais il sait que je vais lui léguer le clan ! s’énerva son père. S’il apprend ce que je compte faire d’elle, j’ai peur qu’il...
 -  Laissez-moi vous occuper de Jucio, Don Alejandro, et occupez-vous de votre fille... Qui est d’ailleurs là. »

Comment avait-il pu la repérer ? En d’autres circonstances, elle aurait sans doute pu se poser cette question, mais, en ce moment, elle était surtout heureuse de voir son père, et se précipita vers lui, dans sa belle robe à fleurs, avec un élégant chapeau d’été. Son père la serra dans ses bras, et le regard de la jeune Rachele croisa alors celui de l’homme, qui lui sourit, mais avec une lueur dure et déterminée dans les yeux.

Sa main gantée caressa alors le menton de Rachele, et pinça affectueusement son nom.

« Dis bonjour à Monsieur Dowell, Rachele, c’est un grand ami de la famille !
 -  Bonjour, Rachele... Tu es très intrépide, toi, ma petite. Tu iras loin, ma beauté... Vraiment très loin. »



Maintenant

Elle était encore tombée dans les pommes. De manière plutôt sale, en se vomissant dessus. Jucio l’avait sodomisé en l’électrifiant, et ses intestins avaient fini par lâcher. La jeune femme s’était effondrée, l’esprit brisé en mille morceaux, la fierté envolée, son esprit suffisamment rompu pour que Dowell puisse s’immiscer dans son esprit, et jouer avec ses souvenirs. La mémoire de Rachele allait commencer à lui jouer des tours, exactement comme Alexandre l’avait souhaité. Jucio, en revanche, s’était révélé difficile à contrôler. Même avec sa sœur inanimée, il avait continué à la baiser. Il avait agrippé sa tête, et l’avait fourré dans son vomi, en riant comme un dément, et, quand on avait tenté de le repousser, il avait giflé plusieurs femmes. Alexandre avait dû intervenir, et ses yeux avaient rougi, tandis que Jucio s’était contorsionné sur place, ses veines se mettant à saillir le long de son corps.

Alexandre avait ordonné qu’on nettoie et qu’on soigne Rachele, et qu’on la sorte du Laboratoire. Elle était restée inanimée pendant de nombreuses heures, et avait été patiemment soignée, lavée, et même parfumée. La tâche avait été confiée aux gamines que Rachele avait aperçu tantôt, qui lui avait refait une magnifique manucure, remettant un peu de rouge à lèvres sur son visage, et la recoiffant.

Finalement, Rachele se réveilla sur un lit, coiffée de sa longue robe blanche, de son chapeau, et de ses gants. Alexandre lui avait remis sa tenue usuelle, et un miroir, dressé devant le lit, permet à Rachele de voir celle qu’elle rêvait d’être... Dona Florenza. Et, tandis qu’elle observait la scène, la porte s’ouvrit alors.

Alexandre était de retour.

« Pardonne-moi d’avoir été aussi brutal, ma chère Rachele, mais il le fallait... Tu as oublié tes souvenirs d’enfance, et il fallait un choc psychologique pour que tu puisses te souvenir de ce passé que tu as refoulé. »

Le vampire lui lança une gourmette dorée. L’appareil fila sur les cuisses de Rachele.

« Ouvre-le. »

On pourrait voir, à l’intérieur, une vieille photo, où on voyait Rachele, en tant que jeune fille, avec sa robe à fleurs, tenue par son père, souriant de toutes ses dents devant l’objectif, collant sa joue contre la sienne... Et Alexandre à côté, avec un sourire plus léger.

« Tu vois ? J’ai toujours été près de toi, Rachele... C’était la volonté de ton père. J’ai son testament, si tu veux t’en assurer. Si jamais il devait lui arriver malheur, il voulait que je prenne soin de toi. »

Il s’assit à côté d’elle, et sa main caressa délicatement et tendrement le visage de la jeune femme, avant de porter l’estocade finale :

« Il voulait que je t’adopte, Rachele. »
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le vendredi 11 août 2017, 11:04:38
Perdue dans les réminiscences d'un lointain passé, la petite Rachele regarde le monde qui l'entoure avec un regard neuf et enjouée. Son père est enfin rentré, la fête va pouvoir commencer. Elle adore la nouvelle robe qu'il lui a offerte et à hâte de danser avec.

Elle se regarde dans son miroir pendant qu'on la coiffe. Quelque chose attire son attention. Une lueur étrange dans son propre regard, inconsciente, elle s'approche de la surface lisse de la glace. Son reflet accompagne son mouvement jusqu'à ce qu'elle se retrouve face à face avec lui. La surprise la tétanise et le monde entier se fige en même temps que son esprit, ce ne sont pas ses yeux, ce sont ceux d'un autre qui percent les siens et s'enfoncent dans son âme.

La Rachele du miroir fend soudain la surface qui les sépare de ses mains pour emprisonner le visage de la jeune fille entre ses doigts. Le souvenir vol en éclat autour d'elles comme le verre brisé d'un vitrail  et l'espace d'une seconde, la réalité transparaît entre les pans de son esprit.


Les traits du reflet se déforment pour laisser apparaître ceux du vampire qui tient le visage de Rachele entre ses griffes pour l'obliger à la regarder droit dans les yeux. Les pupilles totalement dilatés, la bouche grande ouverte laissant couler un petit filet de salive le long de son menton, la jeune femme complètement hébétée laisse le vampire violer librement sa psyché.

Profitant de ses pensées décousues, confuses, abstraites et du chevauchement maladif de ses souvenirs provoqué par le supplice de Jucio, l'esprit d' Alexandre navigue à sa guise entre les souvenir de la jeune femme et les modifie à loisir. Comme une esclave bien lubrifiée et consentente, Rachele se pâme sous ses assauts et le laisse modifier ce qu'il désir avant de replonger dans son souvenir.

- Soyez sage, Dona Florenza, je n’ai pas encore fini votre coiffure !

Rachele est à nouveau la jeune fille inconsciente de ses jeunes années et cours rejoindre son père au moment même ou la gouvernante termine son chignon.
Quand elle arrive dans le grand salon, elle le trouve en compagnie d'un homme grand et beau. A sa vue, immédiatement, son cœur bondit dans sa poitrine et elle ressent un fourmillement étrange dans son ventre, elle qui ne connais pas encore la signification du désir.

Pendant quelques secondes, elle se dit qu'elle ne devrait pas ressentir cela, qu'elle devrait ressentir de la colère et de la haine contre lui. Mais très vite cette petite voix rageuse qui chuchote à ses oreilles se tais et cet étrange sentiment d'exaltation revient.


- Gaaaaaa...

Dans le monde réel, Rachele pousse un glapissement stupide en sentant l'âme écrasante d'Alexandre s'enfoncer plus brutalement en elle et lui écarter les pans de l'esprit comme un violeur écartant ceux de son vagin au moment de sa première pénétration.

L'espace de quelques instants, la volonté de Rachele à eu un léger soubresaut et à tenté de défendre l'intégrité de son souvenir. Mais le pouvoir de Domination du vampire est bien trop puissant pour sa personnalité fragile, et tenter de lui résister n'a fait que la ravager plus encore.

- Dis bonjour à Monsieur Dowell, Rachele, c’est un grand ami de la famille !

-  Bonjour, Rachele... Tu es très intrépide, toi, ma petite. Tu iras loin, ma beauté... Vraiment très loin.

- Bonjour Monsieur Dowell !

Répond la jeune fille à l'esprit brisée en rougissant devant l'homme qui lui fait tans d'effet.



--- AUJOURD’HUI ---

Rachele se réveille au sursaut, totalement confuse en criant:

- Bon... bonjour... bonjour Monsieur Dowell ! Quoi ?! Pour... pourquoi je dis ça...

Elle regarde autour d'elle et ne comprend pas ce qui se passe, ou elle est, ce qu'il s'est passé. Tout ce bouscule dans sa tête. Elle ne porte plus la moindre blessure, son corps est intact, elle ne souffre plus, tout cela n'était il qu'un rêve ? Elle regarde ses vêtements, ce sont ceux de Max, de Dona Florenza, elle ne comprend pas non plus. La dernière fois qu'elle s'est évanouie, elle n'était plus Dona Florenza, elle ne l'avait jamais été, elle était toujours Rach, la pute de Jucio, qui se faisait bourrer comme elle le méritait dans l'espoir d'avoir sa dose.

Sa dose, oui, si son esprit est confus son corps lui la rappel toujours à l'ordre. Même si elle se sent bien en cette instant, le mal-être profond du manque la torture toujours et obscurcie son jugement. Elle ferait n'importe quoi, s'agenouillerait devant n'importe qui pour que son Maître lui donne sa dose.

Fiévreusement, elle se rappel de ce liquide rose et épais, et de ce qu'il lui a fait ressentir. La belle junky ne peut désormais plus s'en passer et frissonne déjà d'impatience à l'idée d'en avoir de nouveau, quoi qu'il faille faire pour l'obtenir.

Rachele ne sait plus qui elle est, son ancienne personnalité d'esclave à fusionnée de manière totalement déséquilibrée avec son identité de baronne du crime. Même si elle admire son reflet vêtu de ses plus beaux atours de Dona, elle se sent désormais plus proche de la petite pute junky soumise à son Maître qu'elle était avant.

"Mon Maître ? Mais... mais quel maître ?"

Se dit Rachele en fronçant les sourcils et en secouant la tête. Quand elle fouille dans la vase informe que constitue désormais ses souvenirs, différents visages se superposent, celui de Jucio bien sur, mais aussi, celui de Dowel, l'homme qui l'a tans torturée et humiliée.

A cet instant Alexandre entre dans la chambre et assiste à la confusion de la jeune femme qui secoue sa tête lentement entre ses mains dans l'espoir d'y voir plus clair, de comprendre ce qu'il lui arrive.

- Non... non... non... ce n'est pas mon maître... mon maître c'est Jucio... quoi ? Non...non... je n'ai pas de maître... enfin si mais... je ne sais plus je ne sais plus...

- Pardonne-moi d’avoir été aussi brutal, ma chère Rachele, mais il le fallait... Tu as oublié tes souvenirs d’enfance, et il fallait un choc psychologique pour que tu puisses te souvenir de ce passé que tu as refoulé.

La jeune femme totalement confuse frisonne involontairement d'excitation en entendant sa voix et lève son regard vers lui. Ses iris s'ouvrent grand et elle se met à respirer de plus en plus fort à mesure que son cœur bat violemment dans sa poitrine.

Leur lien télépathique lui permettant de lire en elle comme dans un livre ouvert, il mesure enfin toute la confusion dans laquelle elle se trouve. Il entend toutes les questions qu'elle se pose à son sujet et tous les désirs contradictoires qui l'anime.

"C'est mon Maitre ? Mon ennemi ? Je l'aime ou... ou je le hais ? Je ne sais plus... C'est mon nouveau Jucio ? Maitre ? non... ennemi ? Pourquoi j'ai envie de lui comme ça alors ? Attend... il... c'est lui qui me donne ma dose... si j'en veux je dois lui obéir..."

Rachele revient à elle quand le médaillon atterri sur ses cuisses. Fébrilement, elle le prend entre les mains, espérant qu'il s'agisse d'une réponse à toutes ses questions. Quelque chose qui la libérera de cette insupportable confusion mentale.

- Tu vois ? J’ai toujours été près de toi, Rachele... C’était la volonté de ton père. J’ai son testament, si tu veux t’en assurer. Si jamais il devait lui arriver malheur, il voulait que je prenne soin de toi.

L'image qu'elle voit et les paroles du vampire ne la libère pas de ses questions et de ses incompréhensions. Elle est épuisée de devoir réfléchir, de tenter de mettre de l'ordre dans sa tête, elle voudrait cesser de souffrir, cesser de se poser des questions.

Pourquoi son père aurait il voulu qu'elle soit élevée par un monstre odieux qui l'a tans fait souffrir ? ça n'a aucun sens pour elle. Son père l'aimait et était très prude sur le sujet du sexe avec sa fille, comment pouvait il la confier à un pervers pareil ?

Mais si ce qu'il dit est vrai, et que son père l'a bien confiée à lui sur son testament, alors en vertus des lois de la Famille elle lui appartenait entièrement, et il pouvait faire absolument ce qu'il veux d'elle. A sa grande surprise, cet état de fait l'excite et la rend fiévreuse et le fait que le vampire vienne s'installer à coté d'elle n'arrange rien.

Si proche de lui, elle se met à rougir et à trembler de désir, même si elle ne comprend pas pourquoi. Pourquoi ce désir maladif pour lui ? Pourquoi ce choix de son père ? Pourquoi ce bordel dans ses souvenirs ?

Elle sent sa main passer sur son visage, son corps répond à se contact en faisant gonfler sa poitrine au point que ses tétons saillent sous sa robe.

-Il voulait que je t’adopte, Rachele.

Ces mots heurtent à nouveau sa logique et sa personnalité de mafieuse. D'un geste fluide elle attrape la main d'Alexandre pour qu'il cesse son geste et réalise soudain avec horreur le geste qu'elle vient de faire.

Elle reste prostré alors que le combat entre Dona Florenza et Rachele la petite pute accro éclate de nouveau dans sa psyché corrompue par les pouvoirs du vampire. Ses souvenirs grimés, ses opinions, ses personnalités, sa logique, tout ce percute avec violence et chaos pendant qu'elle hurle intérieurement de désespoir pour qu'on la délivre de cette vie trop complexe.

Grace au lien télépathique, Alexandre peut suivre cet affrontement. Libre à lui désormais d'agir pour faire pencher la balance d'un coté ou de l'autre.
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le mardi 15 août 2017, 02:47:34
Il pouvait sentir la confusion dans l’esprit de Rachele. La jeune femme ne savait plus où donner de la tête. Mais Alexandre l’avait prévenu. Il l’avait brisé… Et, maintenant, il la reconstruisait selon sa convenance. Il n’y avait aucune autre alternative pour elle. Elle était là, face à lui, confuse, partagée entre le désir violent qu’elle ressentait pour cet homme, et sa peur, comme si, au fin fond de sa psyché, elle luttait encore contre les émotions et les souvenirs qu’il avait implantés en elle. Alexandre venait de lui sortir quelque chose d’énorme, et Rachele s’y opposait, tant cela semblait improbable. Il fallait donc réagir rapidement, l’empêcher de réfléchir trop longtemps, et continuer à enfoncer le clou.

C’est ce qui l’amena à poser sa main sur le visage de Rachele, et à la forcer à le regarder… Puis il l’embrassa, et la poussa en avant. Tout en continuant à l’embrasser, il la coucha sur le lit, et se dressa au-dessus d’elle, frottant son corps contre le sien.

« Tu es confuse, Rachele… Jucio, quand il t’a pris sous son aile, t’a manipulé. Il t’a hypnotisé pour faire de toi sa chienne… Mais tu as réussi à te libérer de son influence, Rachele. Sais-tu qui a été là pour te sauver, Rachele ? Qui a veillé sur toi pendant deux ans ? »

Ses lèvres étaient proches des siennes, et il l’embrassa encore, tout en déboutonnant son pantalon. Sa verge ne tarda pas à caresser la robe de la femme, et il écarta cette dernière, ainsi que sa culotte, tirant dessus, et, tout en lui parlant et en l’embrassant, la pénétra. Son membre s’enfonça en elle, et les visions continuèrent à affluer.



Alexandre la tenait contre elle, caressant ses cheveux d’une main, et sa jambe de l’autre. Rachele était encore petite, bien trop petite pour pouvoir encore ressentir le désir, ou avoir des formes, mais il suffisait de voir ses yeux pour constater qu’lele était sous le charme de cet homme. Lui et Don Florenza marchaient ensemble, le long des jardins du manoir familial, et Rachele, qui était d’habitude si joyeuse et si énergique, avait sauté dans les bras de Monsieur Dowell quand il lui avait demandé ça.

« Je te promets un grand avenir, Rachele… Un très grand avenir. Tu l’ignores sans doute, mais tu es destinée à faire de grandes choses.
 -  Tu devras toujours écouter Monsieur Dowell, ma chérie. Sans lui, nous ne saurions pas là où nous en sommes aujourd’hui.
 -  Je ferais de toi une grande fille, Rachele… Grâce à moi, ma chérie, tu dirigeras un empire, et les gens trembleront devant toi. Tu seras une louve, furieuse et sauvage. »




« C’est moi, Rachele… Ça a toujours été moi. Si Jucio a pu te capturer, c’est parce que je l’ai voulu. Ton père… Il ne voulait pas t’offrir cette vie. Il voulait que tu aies une vie simple. Il… Il a rompu notre engagement, il t’a volé à ton destin. »

Alexandre continuait à la pénétrer, sa queue remuant d’avant en arrière. C’était une pénétration lente et délicate, pendant qu’il continuait à jouer avec ses souvenirs.

« Ton père t’a voulu faible, et c’est pour ça que tu es tombée si bas entre les mains de Jucio… Et, même maintenant, Rachele, tu restes cette petite fille fragile, encore terrorisée par la présence de Jucio. J’ai lancé Jucio sur toi, parce que je voulais que tu t’endurcisses, mais… Je ne pensais pas qu’il irait si loin avec toi, mon beau petit bébé. Il m’a fallu du temps pour te retrouver, et pour te soigner. »

Le vampire l’embrassa dans le creux du cou, mordillant également sa peau, et commença à diffuser en elle de nouveaux souvenirs, plus récents.



Elle était allongée dans une petite chambre modeste, une cellule de moine dans un monastère au fin fond de la Toscane. Elle gisait dans le lit, reprenant peu à peu des forces, quand la porte s’ouvrit. Un mince rayon de lumière éclaira sa silhouette endormie. L’un des moines chargés de veiller sur elle déposa sur la table de chevet un modeste plateau en bois comprenant un verre d’eau avec des médicaments, et un pain frais avec du beurre. Le moine partit ensuite, mais laissa quelqu’un d’autre dans son sillage, un homme qui s’avança lentement.

« Ma pauvre petite… »

Les pas d’Alexandre résonnèrent lentement dans la pièce, puis il s’assit sur le lit, et saisit la main de Rachele. Les moines disaient qu’elle émergeait peu à peu, mais elle était en plein sevrage. Son visage était épuisé, ses traits fatigués, sa beauté envolée sous la fatigue et les multiples doses et injections que son cousin psychopathe lui avait infligé. Les lèvres d’Alexandre se posèrent alors sur sa paume.

« Tu vaux mieux que ça, Rachele… »

Alexandre se redressa alors, et posa sa main gantée sur le menton de Rachele, forçant cette dernière à le regarder.

« Tu es ma louve, Rachele… Je sais qu’au fond de toi bouillonne la haine de ce qu’on t’a fait subir. Sers-toi de cette haine, Rachele. Sers-t-en pour te venger. »




« Tu crois que tu es libérée de l’emprise de Jucio, Rachele ? Jucio… Hmmm… Il n’était qu’un pantin. Les gens de la Coupole l’ont autorisé à te torturer, à t’humilier, car ils voulaient ensuite te récupérer, et t’avoir à leurs bottes. Ils ont voulu briser ma louve, Rachele… Ils ont été bien au-delà de ce que je voulais. Moi, je voulais juste réveiller la louve en toi. C’est moi qui t’ai sauvé des griffes de Jucio, qui t’ai soigné, qui ai veillé sur toi, ma chérie… Et, maintenant, il est temps que tu deviennes vraiment ce que je voulais… »

Le vampire continuait encore longuement à la pénétrer, sa grosse queue filant profondément en elle.

« Je veux que tu conserves ton empire, Rachele… Je veux que tu sois Dona FlorenzaMa Dona Florenza. C’est grâce à moi que les Florenza ont atteint leur réputation actuelle… Et tu prospéreras encore en me suivant, Rachele… Comme tu as toujours été supposée le faire. »

Et il la pénétrait encore…
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le samedi 19 août 2017, 12:32:19
Quand il la pousse contre le lit et qu'elle bascule en arrière, la jeune femme confuse pousse un petit gémissement de surprise et essai de ce relever et de fuir ses baisers jusqu'à ce qu'il épouse son corps du sien pour la maitriser.

D'où peut bien encore venir ce noyau de résistance ? La jeune femme à l'esprit brisé à beau être un livre ouvert, la réécriture de ses pages est plus difficile que prévu, quelque chose la protège encore, la défend...

- Tu es confuse, Rachele… Jucio, quand il t’a pris sous son aile, t’a manipulé. Il t’a hypnotisé pour faire de toi sa chienne… Mais tu as réussi à te libérer de son influence, Rachele. Sais-tu qui a été là pour te sauver, Rachele ? Qui a veillé sur toi pendant deux ans ?

Il ne cesse de répéter son nom pour la captiver, retenir son attention pendant qu'il lui brouiller l'esprit de ses paroles et de ses fausses vérités. Son regard hypnotique plongé dans les yeux écarquillés et perdus de sa prisonnière, elle ne peut s’empêcher de boire ses paroles et de remettre en question tout ce qui lui est véritablement arrivé.

- Non... non... ce... ce n'est pas ... possible... je ne vous crois pas... je... non... je... ne sais plus... peut être que... hum ?

Murmure t'elle jusqu'à ce que les lèvres du vampire se referment sur les siennes et lui offre un baiser si profond qu'elle en soupire de plaisir. Malgré toutes ces petites victoires, elle continue de dire "non", de douter, son subconscient se défend de ses paroles comme jamais une humaine ne lui à résisté au cours de sa longue existence.

Quand elle sent la queue puissante du vampire frotter contre sa cuisse et écarter les pans de sa robe fendue, elle sursaute et se libère du baiser pour continuer de murmurer faiblement son refus, les yeux mis-clos et le visage rouge d'excitation.

- Non... non... attend... je... je ne sais pas si je veux... att... attende... je dois... réfléchir je...

Mais en passant la mains sous l’étoffe pour écarter la fine bande de tissu qui recouvre son intimité, Alexandre sent que le corps de la jeune femme à déjà trahis sa volonté. Le tissu est trempé de la mouille qui dégouline de sa vulve, redevenue aussi délicate et serrée qu'autre fois grâce au sang du vampire et ses vertus régénérantes.

Quand elle sent qu'il empoigne sa verge pour venir lover son gland à l'entrée de ses lèvres, elle se débat de manière langoureuse et lente, comme si elle était au ralentie, prisonnière de son trouble, incapable de se décider, de savoir si elle le veux ou non.

Le vampire prend alors la décision pour elle et commence à s'enfoncer en elle avec lenteur et régularité. Sur son passage, les muscles fermes, vigoureux et bien lubrifiés de son vagin se dilatent et s'écartent alors que Rachele se pâme toute entière en poussant un long gémissement de plaisir. Elle à l'impression de faire l'amour à un superbe étalon après des mois d’abstinence, et les mains qui repoussait jusqu'ici son mâle dominant, glissent fébrilement jusqu'aux fesses de celui-ci pour les empoigner et accompagner son mouvement de rein.

Subgugée par le plaisir, les iris de Rachele se dilatent de nouveau, signe que les portes de son esprit s'ouvrent à leur tour. Le vampire profite de cet instant de faiblesse pour projeter à nouveau sa conscience dans la psyché de la mafieuse.
Comme une comète dans le paysage onirique de ses souvenirs, il strie le ciel en tombant et fracasse une petite porte cachée loin dans sa mémoire: un souvenir d'enfance.

Elle se voit sautant dans les bras du vampire, le plaisir qu'elle éprouve physiquement dans le monde réel désarme son sens critique, et cette fois-ci, elle ne remet pas en doute les raisons de son père. Sans défense, l'ancien souvenir se nécrose alors et meurs pendant que le vampire implante le nouveau dans sa tête. Une fois terminé, ce fragment de lui-même ressort de la psyché modifiée de la jeune femme en même temps que son pénis coulisse lui aussi vers l'extérieur.

Les yeux entrouverts et lourds de désirs, ses lèvres pulpeuses et charnue gonflés de son sang chaud et savoureux faisant la moue pour réclamer un baiser, elle l'écoute. Sans dire un mot, elle le regarde toujours, incapable de se libérer de ses yeux hypnotiques, elle cligne lentement des yeux en d'érotiques battements de cils.

Quand il la pénètre de nouveau, elle gémit de nouveau de plaisir et c'est peut être la première fois qu'il l'entend prendre son pied comme une jeune femme amoureuse et comblée.

- Hannnn...

Il lui parle de son père, les termes sont durs, mais elle ne reprend pas, elle ne le met pas en doute, elle se contente d'attendre de le sentir bouger à nouveau en elle pour gémir encore, un peu plus fort. Encore une fois, le vampire pénètre Rachele physiquement et mentalement en s'enfonçant de nouveau dans ses souvenirs.

Cette fois ci, alors qu'il se rapproche de la nouvelle porte cachant un souvenir plus douloureux et ressent, Alexandre remarque, surement avec surprise, que celle-ci à été fermé et scellée à double tour par une matière d'un gris-bleu luisant.Mais sa puissance est bien plus grande que celle qui protège cet univers mental, et à nouveau, il en brise les gonds et repend sa volonté dans ce nouveau souvenir.

La Rachele du souvenir voit le décors d’hôpital de luxe fondre mur après mur et son personnel soignant être remplacé par les bons moines d'un monastère.
Elle ressent de nouveau toute la faiblesse, toute la souffrance qui déchire son corps de junky accro et nymphomane, qui réclame sa dose.

Dans le monde réel, cette souffrance fait écho aux nouveaux besoin dont souffre désormais Rachele, mais que Dowel satisfait désormais. Redevenue complètement nympho et folle de sexe grâce aux bons soins du vampire, elle ne peut désormais épancher ce besoin plus qu'avec lui, et les lents aller-retours qu'il est en train de faire la soulage et la rendent heureuse.

Quand à la drogue, les substances empoisonnées et destructrices dont Jucio l'abreuvait et qui la tuais petit à petit ont été remplacé par ce fluide rose et épais, spécialement conçu pour elle avec le sang du vampire.

Rachele se tend légèrement et pousse un soupir plus long que les autres, les premières pénétrations du vampire, mêlée à ces réminiscences de besoin et de désir, viennent de lui arracher un premier petit orgasme. La nouvelle réalité de Dowel écrase alors les murs du véritable souvenir et les fait chuter dans l'abyme, une nouvelle page de son histoire à été réécrite.

Il ressort à nouveau de son esprit et la regarde jouir alors qu'elle relève les jambes le long des reins de son maître pour lui permettre de s'enfoncer encore plus loin en elle, ses mains plaquées contre ses fesses.

Quand il lui dit qu'il l'a sauvé, quand il lui dit qu'il l'a soigné, elle hoche la tête avec innocence pour lui montrer qu'elle le crois mais ne parvient pas à parler tans le plaisir et le bien-être qu'elle éprouve est grand. Elle se contente de le regarder de ses yeux mis clos, qui papillonnent à chaque fois qu'il s'enfonce en elle pendant qu'elle gémit de plaisir.

Elle est prête pour le coup de grâce, le coup de pinceau final qui donnera un nouveau sens à toute la fresque de sa vie. Un dernier souvenir et elle sera perdue pour toujours, damnée, réécrite et recrée en une nouvelle Rachele, aussi forte avec le monde que faible et soumise avec Alexandre.

Alors qu'il la pénètre à nouveau de son chibre énorme et viol sa psyché pour porter l'estocade. Alors que son avatar onirique  plonge de nouveau dans l'univers mental de sa futur esclave masquée, le vampire voit une porte immense se dresser devant son triomphe. Alors qu'il s'en rapproche à toute vitesse pour la défoncer comme les autres, un éclair de lumière, une lueur argenté file à sa rencontre et le percute avec violence, le repoussant de quelques mètres.

Pendant qu'il se remet, l'étrange lueur se concentre et prend forme. Alexandre découvre alors pourquoi la réécriture a été si longue et difficile. Devant lui, une superbe jeune femme, portant les traits de Rachele, se tient entre lui et la porte du dernier souvenir intact. Elle porte une armure d'argent, mais celle-ci a été mise en pièce et presque totalement détruite, révélant totalement sa jambe gauche jusqu'à la limite du pubis, son sein droit et ses bras. De grandes ailes de métal sortent de son dos et elle arbore une longue épée. En revanche, le vampire remarque que ses bottes, ses jambes, son bassin, ses bras et ses ailes sont englués, presque paralisés par d'étranges ronces noirs sur lesquelles bourgeonnes de petits boutons de rose rouge sang.

Pour qui connait les représentation oniriques et les avatars de personnalité, il n'est pas difficile de décoder ce ravissant spectacle. Cette femme en armure n'est autre que la Volonté de Rachele, le concentré de sa fierté et de son indépendance. Son armure a été sérieusement endommagée car ces traits de caractères ont été attaqué et brisés par le vampire, mais ils n'ont pas encore été tués. Enfin, les ronces qui ralentissent ses mouvements et torture son corps sont l'incarnation du lien du sang qu'Alexandre lui à imposé en la rendant accro à son sang et à son sexe.

- Recule Vampire ! Je ne te laisserai pas nous détruire, quoi que tu face, quoi qu'il arrive, je suis toujours là. Moi vivante, tu n'auras jamais Rachele !

Et sur ces mots, elle lève son épée vers lui et commence à avancer péniblement à sa rencontre pour l'affronter, luttant contre les ronces qui sortent sans cesse du sol pour la retenir ou l'immobiliser.
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le samedi 19 août 2017, 18:55:56
Elle se débattait encore… Comme si elle croyait, en son for intérieur, pouvoir lui échapper. Dans le monde réel, Rachele se dandinait contre lui, et Alexandre l’embrassait régulièrement, se délectant de ses soupirs, et la laissa palper ses fesses, tout en usant de ses mains pour se déshabiller. Rachele l’aida également à se dévêtir, et le vampire se retrouva finalement tout nu, avant de retourner en elle, enfonçant sa verge dans ses cuisses, son épée partant à l’assaut de sa forteresse, chaque coup de reins étant comme un coup de bélier qui enfonçait les murs de l’esprit de la jeune femme. Elle ne pouvait désormais plus lutter, même si elle en avait envie. Nu, Alexandre retourna encore l’embrasser, fourrant sa langue dans sa bouche.

« Mmmhmm… Oui, Rachele, hmmm… Là… Tu es… Hmmm… À moi… »

Il l’embrassa encore dans le creux du cou, et planta ses crocs dans sa chair, venant la mordre.

Ailleurs, dans ce monde onirique, où l’esprit d’Alexandre flottait, Rachele, dans une armure étincelante, s’élança vers lui.

« Que de théâtralité… Qu’espères-tu accomplir, Rachele ? Ce combat est terminé ? »

Malgré les ronces, la femme s’élança vers lui, et abattit son épée, coupant le corps d’Alexandre en deux… Le faisant disparaître dans une flopée de brume. Le ciel se décora alors d’une image géante, montrant le corps de Rachele, son visage hurler de plaisir pendant qu’Alexandre la baisait sèchement, le visage de l’homme disparaissant contre le cou de la femme, occupé à la mordre, et à avaler son sang.

Même si elle l’avait tranché en deux, la présence d’Alexandre était toujours là, flottant autour d’elle, comme un mauvais génie. Une onde frappa Rachele dans le dos, l’envoyant voler contre un arbre. Ils se battaient en effet à l’orée d’une forêt imaginaire, et, quand Rachele heurta le tronc de l’arbre, des pensées s’en échappèrent, flottant autour d’eux. Des images dansèrent encore dans le ciel, des fantômes qui marchaient autour d’eux. Peu à peu, Rachele devrait reconnaître cet endroit. Une maison se dressait là, immense et belle… Le manoir familial des Florenza.

Et, tout autour de Rachele, des hommes armés s’avancèrent, symbolisant la pire journée de la vie de Rachele… Le jour où Jucio avait attaqué le manoir, et l’avait capturé.

« Qu’as-tu cru pouvoir accomplir seule, Rachele ? Tu n’es pas de taille contre moi… »


Alexandre grognait et soupirait. Le sang de Rachele était délicieux, mais néanmoins encore marqué par tous les stupéfiants qu’elle avait reçu, et qui influait clairement sur la qualité de son sang. Néanmoins, ceci ne l’empêchait nullement de profiter, et la scène l’excitait tellement qu’il se mit à jouir, répandant sa semence chaude dans le ventre de Rachele, accélérant encore le rythme, épuisant, non seulement son corps, mais aussi son esprit.

Après tout, il ne la prenait pas que par pur plaisir masculin, mais aussi parce que corps et esprit étaient intimement liés. Plus il la pénétrait physiquement, et plus il affermissait son emprise mentale sur elle.

À l’intérieur du manoir, c’était le chaos. Jucio avait des hommes à l’intérieur, et menait un putsch dans la pure tradition familiale.

« Ils ont violé ta servante, celle qui te coiffait, et te mettait des robes à fleurs… J’avais prévenu ton père que ceci arriverait, mais il a refusé de me croire. Mais, à chaque chose, malheur est bon… Ce que Jucio t’a fait subir t’a endurci, mais tu n’as jamais pu en guérir totalement. Au fond de toi, tu ne t’es jamais libérée de son emprise. Tu te demandes pourquoi j’ai ramené Jucio du fin fond de sa cellule en Sicile ? Parce que, au fond de toi, Rachele, tu restes toujours cette petite fille marquée par la brutalité de Jucio, et par l’abandon de ton père. Tu n’as jamais eu l’occasion de te venger en personne de Jucio, ni de te libérer de ses griffes. »

Dehors, c’était un véritable carnage, amplifié par les souvenirs traumatisants de Rachele. Alexandre se tenait au milieu de la cour, impeccable dans un costume blanc, observant autour de lui les rivières de sang. Les hommes de Don Florenza n’avaient aucune chance, attaqués par des commandos, et trahis par plusieurs des leurs. Le long de terrasses, plusieurs furent égorgés, et leurs corps balancés au sol, pendant que les balles pleuvaient, la Mort fauchant tous les serviteurs.

« Aujourd’hui, je prends la place de Jucio, non pas en tant que tortionnaire, mais en tant que mentor, ce que j’ai toujours été pour toi. Avec moi, tu nourriras de plus grandes aspirations que ton casino. Tu ne seras plus la poupée des Siciliens, mais enfin une fiere femme indépendante. »

Rachele bondit encore vers lui, et son épée se heurta à celle d’Alexandre. Son costume avait laissé place à l’armure de combat ashnardienne qu’il portait quand il se battait, une élégante armure noire complète en ébonite. Les épées se heurtèrent, et Alexandre la repoussa.

On entendait alors Rachele hurler, pendant qu’une porte s’ouvrit en grand. Deux hommes armés traînaient Don Florenza, au milieu d’une cour jonchée de cadavres, pendant que Jucio s’approchait, tirant Rachele avec lui. Un sourire haineux déformait son visage, pendant que le ciel s’assombrissait profondément. Alexandre affronta alors la femme, pendant que Jucio, une machette à la main, se rapprochait du Don, et que sa fille hurlait et pleurait, clouée au sol, et qu’on lui déchirait les vêtements.

« Regarde bien, le vieux… Tu vas regretter de m’avoir éloigné du pouvoir… »

Alexandre continuait à affronter Rachele.

« Tu faiblis, Rachele… Tu manques de concentration. Ou peut-être d’entraînement à l’épée ? »

Elle l’attaqua encore, et il esquiva, puis la frappa au visage. Un coup surhumain, qui l’envoya voler contre une fontaine, juste à côté de son double du passé, qui avait été déshabillée, pendant que Jucio retournait vers elle, et agrippait ses mains sur ses hanches.

« Regarde-toi… Si faible, si pathétique… Tellement humaine, si facile à briser. Alors que tu as un tel potentiel… Je ne pardonnerais jamais à Jucio toutes ces années gâchées, Rachele… »

Jucio la viola alors, et, quand Rachele tenta encore d’attaquer, des tentacules noirs jaillirent brusquement du sol, et immobilisèrent ses membres, la maintenant à genoux. La vision disparut alors, se noyant dans le flou, et montra, au contraire, un puissant château, où siégeait, sur un trône, une femme puissante, devant une assemblée de gens qui la craignaient, et dont les canines édentées luisaient dans son sourire maléfique, alors qu’elle ordonnait la mise à mort des manants.

« Tu n’as plus de famille, Rachele… Seule, tu seras toujours faible. J’ai toujours voulu que tu rejoignes la vraie famille qui tienne, Rachele. Tu en as la beauté et le tempérament, il ne t’en manque plus que le sang… »


Ce fut à son tour d’atteindre un orgasme, tandis qu’il cessa de la mordre, ayant déjà bu trop de sang, et retourna l’embrasser fougueusement.

« Laisse-moi t’offrir ce que tu recherches… Un pouvoir qui dépasse l’entendement, une puissance terrible, l’immortalité, la jeunesse éternelle… Rejoins-moi, et tu deviendras ma sœur de sang… Un vampire. »
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le mardi 29 août 2017, 11:00:08
- Que de théâtralité… Qu’espères-tu accomplir, Rachele ? Ce combat est terminé ?

- Jamais !

Hurle l'avatar de sa volonté alors qu'elle s'élance vers son ennemi pour le trancher en deux. Au moment où elle le frappe, elle ressent un fourmillement délicieux naitre sur sa gorge et descendre le long de sa colonne vertébrale pour enflammer ses reins.

Déstabilisée, elle se laisse entrainer par le poids de son arme et passe au travers du corps vaporeux de l'avatar du vampire. Elle plante son épée dans le sol quelques pas plus loin et met un genou à terre pour reprendre son souffle et comprendre ce qu'il lui arrive. Ne nervosité, elle arrache son gorgerin et passe sa main sur son cou, là ou elle ressent cette étrange sensation. Avec horreur, elle y sent deux petits trous.

Les nuages de son ciel onirique fusionnent alors pour former une sorte de toile blanche sur laquelle apparait l'odieux spectacle de son corps en pleine fornication avec l'ennemi qu'elle combat, les canines plongées dans sa gorge. Elle laisse choir sur le sol la pièce d'armure qu'elle vient d'arracher et pousse un hurlement de frustration et de colère.

Une onde de choc la percute alors de plein fouet et lui fait traverser d'un seul coup la porte qu'elle défendait avec tans d'ardeur pour s'encastrer lourdement contre un arbre. Le vampire à réussi à entrer dans la plus sacrosainte des forteresse de l'esprit de Rachele. La où elle garde ses plus violents souvenirs, les plus refoulés, ceux qui détiennent les clefs de son asservissement total et définitif. En les explorant et en les modifiants, Alexandre peut enfin porter le coup de grâce à la belle mafieuse, la transformer psychologiquement et l'ajouter à sa prestigieuse collection d'esclaves sexuelles de luxe.

Mais avant cela, il lui fallait déjà trouver un moyen de se débarrasser de la gardienne des lieux...

Attaquée par un des pires souvenirs de la vie de son  corps, l'avatar de volonté lutte de toute ses forces et plonge son épée dans les ombres du passé pour les faire disparaitre.

- Qu’as-tu cru pouvoir accomplir seule, Rachele ? Tu n’es pas de taille contre moi…

- J'ai réussi à vaincre le conditionnement de Jucio ! J'ai luté pendant deux longues années mais j'y suis parvenue ! Jamais il ne m'a vaincue, jamais il ne m'a détruite, et un jour, je l'ai eu, comme je t'aurais ! Je ne te laisserai pas détruire tout ce que nous avons crée, toutes ces années de combat et de travail pour vaincre nos addictions et nos pulsions perverses.

La voix du vampire semble venir du manoir, elle donne de grands coups d'épée sur les ronces qui on de nouveau commencé à serpenter le long de ses cuisses pour se libérer de leur emprises et s'y engouffre sans la moindre hésitation.

Alexandre remarque que plus il affaiblit le corps de Rachele, plus l'avatar de sa volonté peine à frapper. Les ronces quand à elles, sont l'incarnation de son addiction au sexe et à la drogue que Dowel à créer spécialement pour elle, et leur bois continue de proliférer sur son corps sublime, preuve qu'elle retombe petit à petit accro à tout cela.

- Ils ont violé ta servante, celle qui te coiffait, et te mettait des robes à fleurs… J’avais prévenu ton père que ceci arriverait, mais il a refusé de me croire.

L'avatar évolue dans la scène de carnage en sabrant les fantômes du passé pour se rapprocher de la voix du vampire. Elle assiste impuissante à la scène horrible du viol de sa servante. Elle voudrait frapper les images fantasmagoriques de ces brutes, mais le souvenir est trop fort, et son épée passe au travers sans autre effet que l'épuiser d'avantage. Impuissante, elle ne peut s'empêcher de les regarder lui passer un sac en plastique sur la tête et de profiter d'elle jusqu'à ce qu'elle ne bouge plus.

- Mais, à chaque chose, malheur est bon… Ce que Jucio t’a fait subir t’a endurci, mais tu n’as jamais pu en guérir totalement. Au fond de toi, tu ne t’es jamais libérée de son emprise. Tu te demandes pourquoi j’ai ramené Jucio du fin fond de sa cellule en Sicile ? Parce que, au fond de toi, Rachele, tu restes toujours cette petite fille marquée par la brutalité de Jucio, et par l’abandon de ton père. Tu n’as jamais eu l’occasion de te venger en personne de Jucio, ni de te libérer de ses griffes.

A ces mots pleins de morgue et de cynisme, l'avatar hurle à nouveau de colère en fondant vers sa voix. Elle brise une série de doubles portes et arrive dans la cour intérieur, au cœur du carnage. Au centre de celle-ci, resplendissant dans son costume de triomphateur, Alexandre l'attend.

- Aujourd’hui, je prends la place de Jucio, non pas en tant que tortionnaire, mais en tant que mentor, ce que j’ai toujours été pour toi. Avec moi, tu nourriras de plus grandes aspirations que ton casino. Tu ne seras plus la poupée des Siciliens, mais enfin une fiere femme indépendante.

- Garde tes mensonges pour mon corps Vampire ! Je suis l'incarnation de sa fierté et de sa volonté, et jamais tu ne me fera accepter une laisse pour une autre. J'ai libérée Rachele de Jucio, elle est devenue une femme forte et indépendante, sans personne pour lui passer un collier et la dresser comme une chienne !

Sur ces mots elle bondit en avant pour le frapper de toutes ses forces. Un tintement de métal retenti comme le son d'une cloche monstrueuse et souffle littéralement le champ de bataille autour d'eux.

Quand la poussière retombe enfin, L'avatar de Rachele observe avec stupéfaction la puissante épée qui à parée son coup alors que les costume d'Alexandre s'effrite pour laisser apparaitre son armure.

D'un simple mouvement du bras, il la repousse avec force, la belle championne creuse un véritable sillon de terre retournée dans son vol plané et perd encore quelques pièces d'armures. Ses genou et ses tibias sont maintenant totalement exposé et elle à perdu son dernier gant. Il ne lui reste plus que son casque ailé, une portion de son bustier qui cache encore un de ses seins, et quelques longues plaques de métal sur sa jupe de combat romaine pour cacher son intimité. Les plaques couvrant ses fesses ont supporté le choc de sa chute et se sont désolidarisée, laissant désormais apparaitre son superbe fessier en entier.

Malgré tout cela, elle se redresse, pousse un petit cris d'énervement en chassant les nouvelles ronces qui ont commencé à proliférer sur son corps et recommence à marcher vers son ennemi. Mais en voyant le nouveau spectacle qui se déroule sous ses yeux, elle s'arrête net. Jucio, Rachele, son père, la première fois de la jeune femme, le premier acte d'horreur qu'elle va subir, le vampire à parfaitement bien orchestré son coup pour la déstabiliser.

Voyant son hésitation, le vampire surenchéris et repasse à l'attaque.

- Tu faiblis, Rachele… Tu manques de concentration. Ou peut-être d’entraînement à l’épée ?

Elle s'apprête à esquiver son coup, mais ses pieds refusent de bouger. Horrifiée, elle baisse les yeux, et découvre que les ronces ont profité de son moment d'hésitation pour s'enraciner autour de ses chevilles. Elle lève son épée pour protéger son visage mais la puissance du vampire est bien trop grande. L'arme de la jeune championne vole en éclat pendant que son corps désarticulé vole vers la fontaine pour s'y encastrer.

- Regarde-toi… Si faible, si pathétique… Tellement humaine, si facile à briser. Alors que tu as un tel potentiel… Je ne pardonnerais jamais à Jucio toutes ces années gâchées, Rachele…

Le bustier de la jeune femme vole en éclat et dévoile toute la poitrine du ravissant avatar. Toujours coiffée, il ne lui reste que quelques lamelles sur sa jupe de métal, une épaulière et une brassière. Juste à coté d'elle, elle entend un petit cris de douleur, suivit d'un long gémissement d'horreur et de dégout. Quand elle tourne la tête, elle verse une larme de peine et de compassion en voyant Rachele, si frêle et sans défense, alors que son oncle la prend en levrette, à genou sur le sable de la cour, devant son propre père.

Malgré l'épuisement et la douleur, l'avatar essai de se relever, mais les ronces autour d'elles ont recommencé à proliférer. Elle tente de les arracher avec ses griffes, mais les tentacules du vampire jaillissent pour lui ceinturer les poignets et les chevilles pour la maintenir à genoux.

- Tu n’as plus de famille, Rachele… Seule, tu seras toujours faible. J’ai toujours voulu que tu rejoignes la vraie famille qui tienne, Rachele. Tu en as la beauté et le tempérament, il ne t’en manque plus que le sang…

L'avatar secoue lentement la tête en signe de refus, même si elle n'arrive pas à dire un mot de plus, les ronces se sont enroulées autour de son ventre avant de remonter le long de ses seins pour les enserrer. L'un des tronc s'est immiscé entre ses cuisses et glisse le long de son anus et de sa vulve pour la faire mouiller.

A cet instant, dans le monde physique, le vampire jouit enfin en elle et l'emplie de sa semence. A cette instant, Rachele empoigne les fesses musclés de son amant de toutes ses force et passe ses jambes autour de ses hanches pour lui permettre de jouir plus profondément en elle.

Dans le monde psychique, l'avatar pousse un petit gloussement de surprise et de douleur en baissant le regard vers ses cuisses ouvertes. Elle ouvre de grands yeux plein de terreur en voyant le tronc qui se lubrifiait entre ses lèvres s'y enfoncer de plus en plus. Soudain, alors que le vampire fertilise le corps de Rachele, son avatar sent le liquide brulant du vampire l'emplir elle aussi, alors que la ronce s'ouvre à l'intérieur de son corps et crache son venin.

- Laisse-moi t’offrir ce que tu recherches… Un pouvoir qui dépasse l’entendement, une puissance terrible, l’immortalité, la jeunesse éternelle… Rejoins-moi, et tu deviendras ma sœur de sang… Un vampire.

A ces mots, l'avatar lève vers lui des yeux bordés de larmes, et lui crache au visage. Les ronces de sang qui l'enserre se mettent soudain à convulser, comme si le refus de la championne et son affront les avaient plongées dans une colère noire. Leurs épines se mettent alors à pousser et à lui griffer la peau pendant que les troncs continuent de proliférer sur le corps de la jeune femme jusqu'à lui faire une sorte de harnais d'esclave, végétal et vivant.

Les plus longues épines s'enfoncent alors dans ses seins, ses bras, ses cuisses.

- Hag...

Son cris de douleur est étouffé par de nouvelles lianes qui s'enfoncent dans sa gorge pendant qu'un autre force la plissure de son anus pour s'y engouffrer.
Une fois parfaitement immobilisée, incorporée en un superbe roncier noir épousant ses formes parfaites, toute la structure se met à palpiter comme le membre viril du vampire alors qu'il jouit.

- MMMMMM !

Gémit l'avatar alors que les innombrables lianes qui l'épousent gonflent au passage du liquide brulant qu'elles éjaculent en elle par toutes ses blessures.

Prisonnière de ses propres addictions, Alexandre est enfin libre d'arpenter la psychée de Rachele et de modifier les derniers souvenirs qu'il veux pour achever son œuvre. Quand il revient finalement vers l'avatar, le roncier s'est effrité, comme si il s'était totalement vidée de toute substance. A ses pieds, totalement nue à l'exception de son casque qui semble maintenant bien dérisoire, le corps couvert de scarifications vulgaire la traitant de salope, de pute, de chienne, les seins et la vulve gonflés et gorgés du venin qui l'a achevée, l'avatar rampe jusqu'au vampire pour le supplier.

- Pitié Maître... pitié... encore... donnez m'en encore...

Attention contenu explicite:
(sans les menottes)
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le mercredi 30 août 2017, 22:37:34
Ce fut un travail de longue haleine, bien plus difficile que ce qu’Alexandre avait initialement cru. Mais il fallait bien reconnaître que Rachele était têtue. Là, dans le monde réel, il venait de jouir en elle, et continua ensuite, encore dans la même position, la bourrant à nouveau, avant de l’embrasser encore, murmurant son nom. La main de Rachele se remonta pour se saisir de ses cheveux, afin de sentir davantage son Maître contre elle.

En elle, profondément en elle, Alexandre avait gagné. Devant lui, le dernier rempart s’inclinait, telle une pute en manque de sexe. Il l’observa sans rien dire, et le décor changea alors, les amenant tous les deux dans une sorte de hall central, où des tentacules verts se saisirent du corps de l’avatar de Rachele, la plaquant contre un pilier, où elle fut alors violée par plusieurs tentacules qui s’enfoncèrent en elle, par la bouche, s’enfonçant jusque dans son estomac, ou par son vagin ou ses fesses, filant progressivement en elle.

Pendant ce temps, Alexandre regardait autour d’elle. Ils étaient tous les deux dans une sorte de grand abîme noirâtre avec des portes autour d’eux, formant un cercle.

« Navré, ma chère... J’ai encore beaucoup à faire, tu sais. »

Alexandre examina attentivement les portes, puis en ouvrit une. Une scène, un souvenir de Rachele, alors une petite-fille d’à peine six ans, qui venait d’apprendre à lire, et qui lisait seul un atlas géographique, son père étant absent. Alexandre observa la scène, et la remodela à ses goûts. Le décor resta le même... Mais Alexandre apparut à côté d’elle.

« Tu vois, Rachele, ce que l’Histoire nous apprend, c’est que les hommes ne sont bons et ne font des choses grandioses que quand ils sont guidés pour le faire. Les humains sont majoritairement ainsi, des moutons qui suivent les autres, et se plaisent dans leur situation, tant qu’ils ont l’assurance que les chefs qu’ils choisissent sont bons et les protègent. »


Nouveau coup de reins. Plus profond. Bref relâchement des lèvres, il sentit les ongles de Rachele griffer son dos, faisant couler son sang, et retourna la fourrer.

Autre porte, autre souvenir volé. Rachele à la plage, vers ses dix-huit ans. Une magnifique fille, qui avait droit à une petite plage isolée sur une crique sicilienne. Elle était couchée sur un transat, à bronzer, tandis que des serviteurs nettoyaient ses pieds et refaisaient son maquillage. Une petite précieuse, qui jouait l’arrogante pour qu’on la remarque, parce que son père lui manquait. À nouveau, Alexandre s’approcha d’elle, et le livre que Rachele lisait avait été changé par un grand classique de la littérature italienne, un livre qu’Alexandre aimait beaucoup, ‘‘Le Guépard’’. Le livre évoquait l’histoire de la Révolution garibaldienne,  un phénomène politique majeur survenu au cours du 19ème siècle, et qui avait permis l’instauration de la démocratie. Le livre racontait cette histoire du point de vue de la noblesse, et notamment de Don Fabrizio Salina, un « prince », représentant de la puissante noblesse.

« Qu’as-tu appris en lisant ce livre, Rachele ?
 -  Je... Je ne sais pas trop, mon oncle... »

Alexandre n’était pas vraiment son oncle, mais Rachele le voyait ainsi. Il lui sourit alors, et caressa son visage.

« C’est un livre riche en enseignements. Il me rappelle aussi cette fable de Victor Hugo, sur ce singe qui se prenait pour un tigre en se déguisant en félin. Ce livre raconte la chute d’individus nobles au profit de bourgeois gras et bas...
 -  Nous fûmes les guépards et les lions, récita Rachele. Ceux qui nous remplaceront seront les chacals et les hyènes. »

Alexandre soupira. Elle le connaissait bien pour savoir que c’était sa citation préférée.

« C’est exact, Rachele.
 -  Mais mon père... Est-ce que c’est un lion ? »

Alexandre la regarda silencieusement pendant quelques secondes.

« Il en a le prestige, oui... Mais il lui en manque l’ambition. Ton père est le Prince de Sicile, ancré dans des traditions qui font qu’il n’est plus en phase avec ce monde.
 -  Entourés de chacals comme Jucio ?
 -  Tu ne l’aimes vraiment pas, hein ?
 -  C’est un pervers !
 -  Oui... Mais il manque à ton père le sens du sacrifice. N’oublie pas ce que ces chacals ont, c’est qu’ils ne sont partis de rien. Si les lions ont sombré, c’est parce qu’ils se sont reposés sur leurs lauriers. Ce qu’on a, on doit le mériter, pas en hériter comme un vulgaire nanti. »

Elle buvait ses paroles, comme toujours, et il se rapprocha d’elle, avant de lui sourire. Il caressa ses cheveux, et l’embrassa ensuite sur les lèvres.

« Toi, Rachele, toi, tu es une lionne... »


Dehors, le soleil commençait à se coucher, ce qui signifiait qu’ils faisaient l’amour depuis plusieurs heures, maintenant, froissant le lit dans tous les sens, leurs mains se crispant et se décrispant, leurs corps collés l’un à l’autre, leur sueur se mélangeant.

Les tentacules avaient totalement recouvert la volonté de Rachele, pendant qu’Alexandre la façonnait enfin comme il le voulait. Là, il réveilla un autre souvenir à Naples, la première fois qu’elle avait fait l’amour, et le modula à son aise. Elle était alors une jeune fille très capricieuse, qui aimait sortir en boîte, et des sales types la suivaient. Jucio planifiait déjà son putsch, et elle reconnut même plusieurs des hommes, qui la coincèrent dans l’une de ces petites ruelles de Naples. Elle portait une jupe très courte, et se reçut une violente gifle, pendant qu’ils ricanaient devant ses vaines menaces.

« Vous n’avez pas le droit, vous êtes sur le territoire de mon père !
 -  Ah ouais ? Quelle conne, cette pute ! Ton Papounet, y gère plus que dalle ! T’es notre pute à nous, salope ! »

Une nouvelle gifle, encore, et elle se retrouva contre le mur, pendant que les deux se rapprochaient... Lorsqu’une silhouette bondit sur eux, rapide mortelle. Elle vit des griffes manquer de décapiter Bosnio, l’un des lieutenants de Jucio, un homme chauve qui l’avait toujours regardé en se demandant de quelle manière il allait la baiser. Elle hurla quand le sang éclaboussa sa robe et ses bijoux, mais le pire fut le traitement réservé à l’autre. Une main se saisit de sa tête, et... Et l’arracha de ses épaules, entraînant une partie de sa colonne vertébrale, avant que le tueur aux griffes longues et aux dents pointues ne jette la tête au sol.

Puis l’homme se précipita vers elle, et l’embrassa. Elle fondit en larmes en reconnaissant le corps protecteur d’Alexandre.

« Là, Rachele, là...
 -  Pou... Pourquoi ?! Je... »

Il la guida ensuite dans une chambre d’hôtel. Elle était confuse, et ils parlèrent. Longuement. Elle lui expliqua qu’elle n’était pas une lionne, qu’elle ne savait pas se battre, et lui lui expliqua ce qu’il était vraiment. Rien à voir avec le folklore, il était un vampire.

« Je ne suis pas un mort-vivant, si cela peut te rassurer... Mais un homme qui a eu une longue existence, et qui cherche des individus potentiels. Les Florenza m’ont toujours intéressé, par leur profond respect des traditions, une valeur très rare de nos jours... Et toi, Rachele, tu es la plus proche candidate digne d’intérêt. »

Elle en fut flattée, bien entendu, mais il lui rappela l’épisode de tout à l’heure, quand elle avait pleuré et hurlé, en refusant de se battre. Elle ne put qu’accepter.

« Si tu veux me rejoindre, Rachele, tu dois t’endurcir...
 -  Mais... Je ne sais pas comment faire !
 -  Bientôt, Jucio renversa ton père, car ton père, aussi noble soit-il, n’a pas su attaquer quand il le fallait. La gentillesse est l’apanage des faibles, Rachele. Un lion n’est pas gentil, un lion agit pour le bien du troupeau, on lui obéit, ou on meurt. Ton père a toujours trop voulu concilier avec Jucio, et la moitié de ses hommes ne sont déjà plus ses hommes. »

C’était l’ultime domino, la pièce maîtresse qui allait faire renaître Rachele.

« Dis-moi comment faire... Dis-le-moi, et je ferais tout !
 -  Je t’ai longuement parlé du sacrifice, n’est-ce pas ? De l’importance historique du sacrifice... Si tu veux cesser d’être une gazelle et devenir une lionne, Rachele, il faut te sacrifier. »

Il lui parla encore, et, peu à peu, ils firent l’amour.

« Survis à Jucio... Et tu seras une hyène parmi les hommes. Puis je te retrouverai, et je ferais de toi une lionne. »

Et il la fourra encore, puissamment.


Dehors, la nuit tombait, sans que rien n’interrompe Alexandre, même si le rythme ralentissait, pour mieux repartir ensuite.

Il se retourna finalement vers le cocon de tentacules, qui avait agi comme une chrysalide, et claqua des doigts. Les portes disparurent alors, et la chrysalide éclata, pendant qu’une femme en sortait. Forte, musclée, belle, puissante. Rachele Florenza se dressait devant lui, ayant retrouvé toute sa superbe, et ils étaient sur la terrasse d’un gratte-ciel gigantesque, tour d’ébène pointant dans les nuages. Alexandre la regarda alors pendant quelques instants.

« Maintenant que tu te souviens, Rachele... Qui es-tu ? Un chacal qui veut juste empiler de l’or ? Ou une lionne qui veut dompter le monde à sa botte ? »

La détruire, la briser... Pour la reconstruire ensuite !
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le jeudi 03 janvier 2019, 01:36:45
Brandissant la plume acérée de son esprit, Alexandre ouvre grand le livre des souvenirs de Rachele et en parcours chaque paragraphe à la vitesse de l'esprit. Chaque chapitre est une nouvelle porte qu'il enfonce en donnant un nouveau coup de rein à la jeune femme qui se pame et pousse de longues plaintes étouffées par les baisers des deux esclaves masquées.

--- La première porte, la naissance d'un fantasme---

Le souvenir du vieux percepteur choisit par le père de Rachele fond lentement à mesure que le vampire réécrit la mémoire de la jeune femme et s'y installe dans toute sa splendeur. Les longues leçons monotones d'un vieillard arthritiques et aimable disparaissent peu à peu à mesure que Dowell prend sa place.

La petite fille se souvient alors avec une clarté de cristal de cet étrange et fantastique « Oncle Dowell », sa beauté, la perfection de ses traits, la profondeur vibrante de sa voix alors qu'il lui donnait la leçon...

Elle avait éprouvé pour lui, des sensation étranges et nouvelles, une chaleur déconcertante et enivrante, des idées et des images qu'elle ne s'expliquait pas encore mais dont elle croyait devoir avoir honte, sans comprendre pourquoi.

Puis il était parti, pour ne pas revenir, et l'image de l'étrange Alexandre s'était imposée à son esprit comme celle du prince charmant qui viendrait un jour la libérer de l'ennui de son existance de petite fille gâté, mais seule.

---La seconde porte, le guepard---

La plume du vampire écrit les dernières lettres du chapitre et s'envole vers le ciel ténébreux de la psychée de Rachele pendant que la queue de son corps physique s'extirpe lentement du sexe de la jeune femme. Pendant quelques seconde, le sentiment de vide et d'absence qu'elle ressent aurait presque réussi à briser le lien psychique qui relie son esprit à celui d'Alexandre. Mais sa verge turgessante s'enfonce à nouveau en elle avec puissance et l'éloigne de nouveau du monde réel... La-bas, la jeune femme brisée pousse un gémissement épuisé de jouissance. Les deux esclaves masquées se regardent et échangent un petit gloussement complice en se souvenant de leur propre transformation, puis elle emprisonnent à nouveau leur petite soeur de leurs baiser fiévreux.

Un jour il était revenu.

Elle était presque devenue une femme, elle vivait dans un loft superbe construit sur une plage de sa Sicile natale, juste assé loin du manoir familial pour qu'elle ressente une illusion de liberté. Et alors qu'elle soupirait d'ennui en regardant disparaître la dernière lueur du soleil au delà de l'horizon, son attention avait été attiré par un subtile bruissement d'étoffe derrière elle.

Le véritable souvenir de l'assassin venu pour la tuer s'effaça avant qu'elle ne put le voir. D'un geste vif et puissant de l'esprit, le vampire balais la scène de violence qui avait suivie et la mort du malandrin abattu par les gardes de son père. A sa place se tenait cet homme mystérieux et sexy qu'elle n'avait pas revu depuis l'enfance et pour lequel elle avait imaginé tans et tans de fantasmes.

Comme pour le meurtrier de son précédant souvenir envolé, elle s'était figée. Mais ce n'était pas de terreur cette fois-ci, mais de fascination. Il était aussi beau que dans ses souvenirs. A cet instant, elle s'était imaginée marchant en silence vers lui, fixant son regard de braise. A l'instant où le bout de ses orteils auraient touché le cuir de ses chaussures, elle aurait baissé le regard, rougissant de tout son corps, et aurait laissé glisser son pénoir le long des courbes encore juvenilles de ses dix sept printemps, pour lui offrir ce qu'elle avait toujours refusé à qui que ce soit, aussi beau fut il...

Mais elle s'était reprise, elle était finalement resté sage et avait refoulé ce fantasme au plus profond de son corps, serrant les poings au point de s'égratigner les paumes avec ses ongles.

Il était revenu et à nouveau lui avait prodigué son savoir et sa philosophie. Elle avait bu ses paroles cet été là, pendant des heures et des heures, espérant secrètement qu'il ferait le premier pas, qu'il la toucherait, qu'il lui ferait un compliment désinvolte... elle en aurait profité pour le saisir et l'embrasser, elle en avait tremblé de désir à chaque fois qu'il s'était approché d'elle... mais ce moment n'était jamais venu.

Quand il était parti de nouveau, rongée par le remort, elle s'était jurée de ne pas laisser passer sa chance, la prochaine fois et ce quoi qu'il en coute...

---La troisième porte---

Voguant sur la oule de la frustration sexuelle de la jeune Rachele, Alexandre quitte ce souvenir raturé et modifié pour franchir une nouvelle porte, plus lourde, plus sombre pour y trouver un souvenir fondamental, un de ceux qui avait forgé la jeune femme et fait d'elle ce qu'elle était devenue.

Mobilisant toute sa puissance psychique, il commence à faire couler l'encre de cette scène d'horreur pour la remodeler à son image. Car le souvenir véritable auquel il s'attache avait eu un dénouement bien plus monstrueux que ce qu'il décide d'en faire. Cette nuit la... elle s'était enfuie du manoir familial sans que son père le sache pour aller en boite de nuit sans gardes...


Mais dans le monde réel, il n'y avait pas eu d'Oncle Dowell pour la défendre, il n'y avait pas eu de chambre luxueuse et de première fois idéale avec l'amant de ses rêves. Cette nuit la, elle avait été seule avec ces hommes.

L'un d'eux l'avait giflé si fort qu'elle s'était tue, sonnée, ils l'avait alors trainée entre les ruelles comme un animal blessé vers une pièce crasseuse d'un hôtel miteux. Là, il l'avaient jeté sur un matelas jauni et taché de biere, de sang et de sperme.

Comme une pute de plus ou l'une des nombreuses autres jeunes femmes tombée entre leurs griffes, ils lui avait attaché les poignet ensemble, en tête de lit avec du fil de fer. Ils lui avait écarté les cuisses à l'endroit précis où l'accumulation d'innombrables tache de semence et d'hémoglobine avait rendu le matelas dur et noir. Quand ils lui avait arraché sa petite jupe courte et écarté la mince bande de tissu de son string, elle avait hurlé de nouveau et supplié, mais à nouveau la main brutale de son « premier homme » s'était abattu sur sa joue pour la faire taire.

Les yeux baignés de larme et écarquillés d'horreur, elle avait alors vu le spectacle répugnant des fesses de son violeur plongeant sauvagement entre ses cuisses pendant que son sexe franchissait sans vergogne la porte de ses lèvres pour déchirer son imène.

Cette scène répugnante et les suivantes s'effacent à leur tour, comme le souvenir de son père venant la sauver, de son premier flingue, de son premier meurtre, de sa première vengeance...

Le vampire les remplace alors par une nouvelle histoire qui chasse la haine et le dégout de la jeune femme par une émotion qu'elle n'avait jusqu'ici jamais connu... l'amour.

Au moment ou il fini de réécrire ce chapitre, le vampire sent le séisme qu'il vient de provoquer en elle se rependre et transformer tout le reste en cascade. Il quitte la porte et referme ce chapitre, fonce dans le ciel nocturne de la pensée de Rachele, désormais striée d'éclairs et revient vers le cocon de sa nouvelle « créature ».

Le nouvel avatar de Rachele en sort avec fracas. Transfigurée, elle semble plus forte, plus belle encore et plus résolue, pourtant, contrairement à la précédente, celle-ci porte à son cou un collier d'esclave.

- Maintenant que tu te souviens, Rachele... Qui es-tu ? Un chacal qui veut juste empiler de l’or ? Ou une lionne qui veut dompter le monde à sa botte ?

Quand la précédente Rachele lui aurait ri au nez comme une hyène ou se serait enfuie comme un chacal, la nouvelle avatar ne dit mot. Un long silence s'installe, comme si un dernier carré se livrait au fond d'elle-même. Puis elle se met à quatre pattes et avance vers son Lion en faisant rouler ses superbes hanches de gauche à droite avec une grâce féline, jusqu'à ce que son visage se trouve à quelques centimètres du renflement de son pantalon. Elle se redresse alors sur ses genou et pose son front contre le dos de la main d'Alexandre.
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le vendredi 04 janvier 2019, 00:38:59
Alexandre ne comptait pas la tuer, il n’avait jamais envisagé de le faire. Cette femme lui était précieuse, bien plus précieuse qu’elle ne pouvait se l’imaginer. Le vampire avait utilisé un puissant rituel, utilisant la magie rouge et la magie rose. Un rituel mélangé de sexe et de puissance, il avait fouillé dans les profondeurs de l’esprit de Rachele. Alexandre avait utilisé une arcane magique très rare, qu’on appelait la métempsycose, soit la capacité de transférer une âme d’un corps à l’autre. Il avait lié son âme à la sienne pour remodeler Rachele, pour alterner ses souvenirs, afin qu’elle conserve en elle la souffrance (car sa souffrance était la source de sa puissance et de son masochisme latent), mais aussi une forte obstination envers Alexandre, qu’elle devait voir comme son maître, son mentor et son sauveur. Les souvenirs n’étaient toutefois pas quelque chose avec quoi on pouvait jouer aisément, mais il avait pris le risque. Et il avait réussi. Du moins, l’espérait-il, car il ne serait pas aisé de revenir en arrière.

Ils revinrent ainsi dans le monde réel, où Rachele avait fini par prendre la position de son avatar. Ils avaient longuement baisé, ensemble, pendant toute la durée de ce rituel psychique, et Rachele était là, nue, agenouillée devant le corps nu et en sueur d’Alexandre, son sexe trempé de sperme et de mouille. Il l’observait lentement, étudiant ses mouvements sanguins, ne sentant aucune répulsion. Même pour lui, la métempsycose était épuisante, et il était encore imbibé des souvenirs de Rachele, dissociant les vrais des faux, et se rappelant les siens. Sa main caressa machinalement le visage de Rachele, glissant sur ses cheveux.

*Vérifions la soumission avant de lui faire sortir les griffes…*

C’était ça qui compliquait les choses, car il voulait à la fois d’une femme extrêmement docile, mais aussi violente, sauvage, et dominatrice. Un paradoxe difficile à obtenir, mais il y avait chez Rachel un terreau favorable. Dans sa psyché de base, elle était déjà partagée entre un masochisme inconscient qui pouvait avoir bien des origines, et une froide domination, faisant d’elle une dominatrice cruelle et violente, comme Alexandre avait pu le constater en étant attaché dans les souterrains de son casino.

Alexandre s’éclaircit alors la gorge, et baissa la tête vers la jeune femme.

« Nettoie ma queue, Rachele… »

La jeune femme obtempéra, et Alexandre frémit doucement, l’observant. Sa langue filait sur son membre dressé, toujours érectile. Le vampire avait déjà démontré à Rachele qu’il avait une force surnaturelle, et une endurance sexuelle effrayante. Il ne se fatiguait pas aisément, ce que sa constitution ne cessait de démontrer à chaque instant. Toutefois, il y avait encore un dernier test qu’il voulait faire avec elle, comme pour voir si elle lui était vraiment soumise…

« Ouvre bien la bouche maintenant, Rachele… Tu vas avoir la chance de boire mon liquide doré. »

Alexandre avait encore en mémoire la scène où Rachele avait vu ses concubines se presser devant lui pour récupérer son urine, une scène humiliante et dégradante qui avait horrifié la femme. Mais, pour le vampire, c’était bien là le meilleur moyen de voir, si au-delà du sexe, Rachele lui était vraiment soumise ! Il approcha ainsi son membre tendu de sa bouche, bien décidé à uriner directement entre ses lèvres…
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le vendredi 04 janvier 2019, 16:20:39
Le visage encore bordé de larme et de la salive de ses deux nouvelles soeurs, Rachele reprend difficilement ses esprit. Sa volonté, ravagée par le viol psychique du vampire a du mal à quitter son avatar mental pour revenir dans le monde matériel.

Pendant une fraction de secondes, la jeune femme se voit une dernière fois comme ce quelle est devenue. Une panthère mise en captivité et dressé à servir son nouveau maître. Elle regarde ses seins gonflé par les innombrables journées de baise entre les doigts des "mâles" fou du cheptels. Sa vulve, autrefois parfaite et d'aspect virginale laisse désormais saillir ses lèvres intérieur de manière obscène à la manière d une actrice porno. La semence du vampire dégouline encore du baillement de son vagin rempli.

Pendant cette fraction de secondes, elle est sur le point de hurler, de se débattre, de frapper et de mordre comme une bête en cage... comme... une lionne ?

Le vampire ne manque rien de cette poussé de fureur et constate, probablement avec soulagement, qu il n a rien brisé de la fougue et de la fureur de la jeune femme.

Quand enfin il prononce son premier ordre, le simple timbre de sa voix  empli tous l univers de Rachele et capture son esprit. Comme mue par une force supérieur, elle se fige et retient son corps avide de combat et de liberté.

Lentement elle lève ses yeux de biche vaincue vers le regard de braise d Alexandre. Ses pupillent se dilatent lentement à mesure que sa nouvelle personnalité écrase l'ancienne et que ses nouveaux souvenir transforment chaque émotion chaque sentiment de la belle en dévotion pour son violeur.

Elle baisse enfin le regard vers la queue puissante et couverte de sperme de son Maître et la fixe pendant quelques secondes. Elle se met à trembler, entre ses cuisses, de nouvelles goutes de cyprine se mettent à rouler vers ses genou. C'est fait... Elle est accro, elle admire, elle vénère cette queue et ne peut plus s empêcher de la vouloir en elle... tout le temps...

Sans qu elle le réalise vraiment, sa bouche s'ouvre grand, ses doigts approchent fébrilement de ce membre dressé et sa langue sort toute entière pour l accueillir.

Toujours sans un mot, elle commence à lui caresser les bourses d'une main et saisir la base de sa queue de l'autre pendant quelle lèche longuement le gland puis la hampe de haut en bas.

Pendant toute la scène, elle plonge son regard fiévreux épuisé et vaincu dans celui du vampire. Sa langue continue d aller et venir et ses doigts de flatter sa virilité jusqu'à ce quelle soit parfaitement propre de l urètre jusqu'à la base des bourses.

Il lui ordonne enfin de se soumettre à sa dernière condition. Cet acte d'humiliation ultime qui l'avait tans révulsé et révolté quand elle l avait vu faire. Le spectacle de ses deux esclaves masqué s agenouillant devant lui pour recevoir sa pice, la transgression pour laquelle elle s était jurée de jamais flancher.

Mais la transformation psychique de ses souvenirs opère  à nouveau de violent changement de personnalité et sa répugnance, sa révolte  fondent alors comme neige au soleil pour se transformer en adoration et en béatitude.

Ce que le vampire s apprete à lui faire boire n est soudain plus l urine de son ennemi, mais la récompense de sa servitude et de son obéissance. Le breuvage doré de sa soumission, la liqueur de domination de son Maître adoré.

Toujours sans un mot, Rachele recule de quelques centimètres pour qu Alexandre puisse contempler plus aisément sa poitrine et son visage. Puis, toujours à genou, elle écarte les cuisses pour offrir sa vulve à son regard.

De part et d'autre de son corps parfait, les deux esclaves masqué se blotissent contre elle, tournées vers la queue de leur maître et l imitent.

Et de manière instinctive, synchronisé, elles lèvent leurs yeux plein d'espoir et de dévotion vers lui, joignent leur main pour former de petites coupes de fortune quelle posent entre leur énormes seins, puis ouvrent grand leur bouche en tirant la langue pour réclamer leur récompense
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le lundi 07 janvier 2019, 00:51:49
Pendant toute la durée de leur rituel psychique, Alexandre s’était entouré de deux de ses concubines, portant sur le visage des masques : Gloria (https://i.pinimg.com/736x/71/7f/d7/717fd72381e6776a2d5b2d5a91f66310.jpg), et Isabelle (https://i.pinimg.com/564x/41/24/88/412488a095b66667452802a30be36798.jpg). Deux sensuelles beautés qui, comme pour chacune des concubines d’Alexandre, étaient des femmes bien élevées, bien éduquées, et qu’il avait progressivement asservi. Le vampire aimait souvent à dire qu’on reconnaissait la puissance d’un homme au talent des personnes qui l’accompagnaient. Vampire dans l’âme, il n’aurait jamais pu accepter le mariage, et préférait multiplier les conquêtes, dans une sorte de libertinage qui, malgré ses premières réticences, n’était finalement pas si déplaisant que ça. Gloria et Isabelle l’avaient donc accompagné, immobilisant Rachele de temps en temps. Voir leur maître faire ainsi l’amour n’avait pas manqué de les exciter, et, maintenant qu’ils étaient à la fin, et que Rachele avait enfin été dressée, elles semblaient impatientes de recevoir leur dû. Comme Rachele, elles regardaient avec envie le sexe dressé de l’homme, qui se fascinait à chaque fois de la simplicité avec laquelle un esprit pouvait être brisé.

Les humains et les philosophes ne cessaient de dire combien leur esprit pouvait être résistant, combien leur résilience face à toute tentative de soumission et de conditionnement était forte, car ils s’inspiraient du postulat fallacieux que l’être humain cherchait avant tout à être libre. Une erreur pour le vampire, qui estimait depuis toujours que les êtres humains étaient faibles, couards, vénaux, et qu’ils préféraient naturellement courber l’échine et réclamer de l’aide que prendre leurs propres décisions. Des individus terrifiés, terrorisés, effrayés par tout et par n’importe quoi. Même la puissante Rachele Florenza avait sombré ! Certes, Alexandre avait dû aller jusqu’à remodeler son esprit et modifier ses souvenirs pour cela… Mais l’esprit n’était pas indestructible.

Et là, en voyant son sexe, Rachele ouvrit naturellement la bouche. Le vampire sourit brièvement, et frémit en sentant les doigts de la femme caresser ses bourses. Il guida son membre dans sa bouche, et attrapa les cheveux…

« Bienvenue parmi nous ! » glissa alors rapidement Isabelle dans le creux de l’oreille de Rachele, avant de l’embrasser furtivement sur la joue.

Puis Alexandre se mit à uriner. Le jet doré fusa de son sexe, et alla inonder la bouche de Rachele, se déversant ensuite dans sa gorge. Et son sourire ne manqua pas de s’accentuer quand il constata que, loin de sentir la répugnance usuelle, la femme ne pouvait ici que ressentir un profond plaisir, comme si elle avait le sentiment, probablement, d’être baptisée. Beaucoup de ces gros lards rampants de Seikusu auraient sans aucun doute payé cher pour avoir la puissante Rachele Florenza à leurs pieds. Mais elle était là, agenouillée devant lui, et le vampire ne manquait pas d’en jubiler de joie, d’un plaisir malsain et puissant ! Sa queue se mit à bander tandis qu’il se relâchait en elle, et, après une bonne quinzaine de secondes, le flux doré sembla enfin se calmer.

Alexandre lâcha alors un soupir, puis récupéra sa queue. Gloria et Isabelle se précipitèrent dessus pour la nettoyer, leurs langues filant amoureusement et voracement sur sa verge et sur ses testicules. Le vampire les laissa faire, caressant distraitement leurs cheveux, puis se racla la gorge.

« Je m’occuperai de vous après, les filles… J’ai un dernier test à faire passer à Rachele. Commencez par lui remettre ses gants et ses collants, et préparez sa robe. »

Gloria et Isabelle acquiescèrent, et soulevèrent Rachele, puis l’assirent sur le lit. Sa longue paire de gants noirs lui fut restituée, ainsi que ses collants, tandis qu’Alexandre avait récupéré une dague. Toujours nu, le vampire attrapa la main de Rachel, et lui sourit brièvement, avant de l’embrasser sur les lèvres.

« Viens, Rachele, je veux m’assurer que ma Princesse ait encore des griffes… »

Ils sortirent ensuite de la chambre. Se déplacer nu ne dérangeait pas le moins du monde Alexandre, et, s’il avait demandé aux filles de ne pas remettre la belle robe blanche de Rachele, ce n’était pas sans raison. Le duo descendit une volée de marches, et se retrouva rapidement dans les profondeurs du manoir, dans des cachots sinistres. Alexandre ouvrit une lourde porte en bois, et le duo pénétra dans une petite pièce sombre, sans fenêtre.

Le vampire alluma plusieurs bougies, ce qui permit à Rachele de voir trois individus attachés sur le sol. Ils étaient agenouillés, leur tournant le dos, et chacun portait une cagoule sur la tête.

« Je veux que tu tues l’un de ces types, Rachele, de la façon qui te plaira le plus. »

Qui étaient-ils ? Alexandre n’avait donné aucune indication. En l’entendant parler, les trois hommes se mirent à gémir et à gesticuler, tirant vainement sur leurs chaînes, cherchant inutilement à s’arracher à leur funeste destinée. Rachele, de son côté, devrait également constater, frottant contre sa cuisse, l’érection lancinante de son Maître, qui lui tendit la dague pour qu’elle l’attrape.
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le mardi 08 janvier 2019, 13:40:07
Rachele reçoit la liqueur dorée de son maître avec la ferveur et la voracité d'une hébreux affamée recevant la mane céleste en plein désert.

Sur son visage, toute trace du dégoût ou de la répugnance qu'elle avait eu en assistant à ce spectacle la premier fois à disparu pour offrir à Alexandre les traits d'une femme subjugué par sa dévotion et son désir intarissable de sexe.

Les mains jointes sur la poitirne pour en perdre le moins possible, elle prend le jet dans sa bouche grande ouverte et déglutie à gorge déployé pour que son maître puisse assister pleinement au spectacle de sa substance disparaître entre les muscles de sa gorge.

Pendant toute la durée de la "récompense" Rachele fixe Alexandre de ses yeux mis clos, dans lesquels brille une lueur de folie et de fanatisme, comme un Aedre qui fixerait pour la premier fois son dieu primitif.

Quelques gouttes perlent entre ses doigts et roulent sur sa poitrine. Les deux soeur masqué les lèchent de manière avide, leur salive faisant luir ses tétons et la peau halée de ses seins. Submergé par les sensation que cela lui procure et par la satisfaction bestiale de se faire remplir par son maître, Rachele se pamme de nouveau et pousse un gargouillement étranglé de plaisir. Entre ses cuisses, le vampire voit la jeune femme se souiller à nouveau avec sa cyprine brûlante.

En le voyant commencer à bander de nouveau, l esclave italienne gargouille encore de plaisir et se remets à rougir. Le jet de mouille provoqué par son précédant orgasme s épaissit encore pour la lubrifier d avantage. Malgré ces innombrables heures, journées même, de viol de baise intensive et de jouissance, Rachele est désormais si nymphomane et accro à son maître que la simple vue de sa queue dressée l enflamme comme une succube.
Le passé de junky de la jeune femme à refait surface pour noyer son instinct de survie et de retenue, remplaçant au passage la cock et l'hero par le besoin maladif de sperme, de salive, de sang et de tout autre fluide que son maître décide de lui offrir.

Quand le flot tari enfin et que les derniers goutes roulent de sa bouche, Rachele les rattrape en se passanr érotiquement le bout de la langue sur les lèvres.

Les deux concubines masquées se jettent alors sur la queue du vampire pour la nettoyer. À cet instant, Alexandre voit un éclair de jalousie et de colère traverser le regard de Rachele. Les penses de la belle sont si fortes qu'il n'a même pas besoin de se concentrer pour lire dans son esprit. Prédatrice dans l'âme, celle-ci échafaude déjà un plan pour supprimer ses deux "concurrentes" et avoir Alexandre pour elle toute seule...

Maintenant que la belle Italienne à été maté et soumise par son maître, un nouveau problème ce pose. Si la belle lionne n'est pas également soumise mentalement par ses deux nouvelles soeurs, elle cherchera à les tuer. Et elle y parviendra, à un moment où à un autre... c est le prix à payer pour avoir une lionne en laisse.

Mais Alexandre doit d abord en finir lui même avec Rachele avant de trouver un moyen de la briser au près de ses concubines. Il donne ses ordres et alors qu'il les observent toutes trois, il remarque que déjà Rachele cherche à percer les secrets et les faiblesses de ses "soeurs" en épiant leurs fait et gestes avec minutie.

En quelques minutes, Rachele est à nouveau divine avec ses gants et ses cuissardes noire qui remontent jusqu'à mi-cuisse. Dès que le vampire lui ordonne de la suivre, instinctivement elle se met à quatre patte comme une bonne esclave et essai tans bien que mal de le suivre au travers du château jusque dans le sombre cachot.

Rien qu'au froid et à l'humidité des lieux, Rachele frissonne, mais elle ne s en plaint pas, sa sensibilité a été exacerbé par son conditionnement. Desormais, une simple brise sur son clitoris peut la faire mouiller comme une chienne.

Quand ils arrivent enfin devant les trois condamnés et qu Alexandre lui tans le poignard, Rachele à son premier mouvement de recule depuis sa "transformation".
Mais celui-ci est arrêté net par le contact de la queue du vampire contre sa peau. La simple idée de déplaire à son maître lui provoque une étrange douleur dans le bas ventre, elle se saisis du poignard d'une main tremblante.

L ancienne Rachele aimait les scènes d'exécution sordide, la peur de ses victimes, le pouvoir qu'elle avait sur eux. Mais Alexandre à effacé certains souvenir qui avaient fait d elle le monstre qu'elle était devenu, et les nouveaux qu'il lui avait implanté l'avaient rendu plus douce.

Autrefois, elle en aurait choisit un totalement au hasard, lui aurait enlevé sa cagoule pour pouvoir le regarder droit dans les yeux. Elle lui aurait parlé pendant quelques minutes, jusqu'à ce qu'il commence à pleurer et ou se pisser dessus. Elle l aurait écouté la supplier, vendre son père et sa mère pour avoir la vie sauve.

Puis, elle aurait planté son regard dans les yeux emplis de terreur de sa victime en même temps que sa lame dans la chaire meuble et gorgée de sang de ses couilles. Pendant les quelques minutes qui auraient suivi, elle lui aurait parlé comme si de rien n'était, fumant une cigarette en admirant la vie quitter son corps jusqu'à ce qu'il ne reste rien.

Mais cette Rachele la était morte, dissoute dans l acide comme la plupart de ses victimes. Ce qui était resté d elle avait été remodelé par Alexandre pour créé une nouvelle personne.

Et cette personne avance maintenant d un pas hésitant vers les trois hommes enchaînés. Déchiré par son devoir d obéir et sa répulsion de tuer un innocent.
Au bout d'interminables secondes de réflexion, chose qui lui est désormais difficile tans elle ressent l'envie de prendre la queue de son maître dressée quelques centimètres derrière elle pour la lui sucer, elle se décide.

Elle s avance vers l'homme qui lui semble le plus vieux d après la couleur de sa pilosité et l'état de son corps. Un homme qui a sans doute déjà bien vécu et à qui elle volera moins d'années de vie.

Elle se place devant lui mais ne trouve pas la force de lui retirer sa cagoule pour affronter son regard et sa frayeur. C'est trop pour elle.

Elle relève la tête vers l'entrée de la pièce, Alexandre la regarde, le sexe dressé, ses yeux surnaturels flamboient dans les ténèbres et lui imposent sa volonté toute puissante.

- Pour vous... Mon Maître...

Lui chuchote t elle dans un souffle. Puis elle se penche vers le condamné qu elle a choisit et pose une main sur son épaule.

- Je suis désolée...

Et d'un coup sec, habile et miséricordieux, elle le poignard en plein coeur. Quand elle ressort sa lame, un jet de sang éclabousse la belle et laisse une appétissante trainée d'hémoglobine qui va de son visage jusqu'à sa vulve, en passant par ses seins maculés de rouge.

Quand l'homme pousse son dernier râle et succombe, une larme coule sur la joue de la mafieuse.
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le lundi 14 janvier 2019, 00:42:28
Alexandre ne tarda pas à avoir la confirmation de ce qu’il craignait. Il avait remodelé Rachele, et jouer avec l’esprit comme de la pâte à modeler avait toujours des conséquences. S’il avait soumis Rachele à son autorité, il avait dû pour cela se faire une place de choix dans ses souvenirs, ce qui l’avait adouci, émoussé. Et ça, il le vit clairement dans l’hésitation de la jeune femme à tuer l’un de ces trois misérables, allant jusqu’à s’excuser. Il sentait ses hésitations. L’ancienne Rachele n’aurait pas hésité, et en aurait profité pour s’amuser avec sa proie, telle la prédatrice cruelle et sensuelle qu’elle était. Et c’était pour Alexandre une qualité3. Elle se devait d’être cruelle, elle se devait d’être comme elle était, car c’était comme ça que Rachele avait su s’élever, qu’elle avait su s’imposer dans le milieu du crime organisé.

*C’est le but de ce test...*

Elle poignarda l’homme du milieu, le tuant proprement, même si le sang fusa de la blessure de l’homme, éclaboussant le corps nu de Rachele, formant une ligne ensanglantée qui partait de ses seins et descendait sur son ventre, recouvrant sa vulve. Alexandre l’observa silencieusement, la vue de ce corps sensuel et ensanglanté ne manquant pas de l’exciter.

*Il y a aussi ces étranges palpitations sanguines que j’ai ressenti en présence des concubines quand elles ont nettoyé ma queue...*

Des palpitations qui avaient évoqué chez lui une forme de jalousie. Il se rapprocha de la femme en constatant qu’une larme avait perlé le long de sa joue, et glissa son pouce dessus, nettoyant son visage.

« Une larme... »

Il observa cela silencieusement, comme pour laisser à Rachele le temps de comprendre le sens de cette remarque.

« Tu m’as habitué à mieux que cela, Rachele... Mais c’est normal, tu es confuse. Nous nous retrouvons enfin ensemble, mon amour, mais... Ce n’est pas ce que je veux. Je ne veux pas que tu ressentes de la pitié pour les autres. Tu es une prédatrice, Rachele, tu es ma lionne, tu es Lady Florenza, pas une pimbêche d’adolescente ! »

Son ton se fit plus virulent, ses yeux se froncèrent... Et il la gifla alors. Une claque puissante qu’il accompagna en plaquant Rachele contre le mur du cachot, écrasant son corps contre le sien. Ses lèvres l’embrassèrent, et son sexe fila s’enfoncer dans le sien, remuant dans sa chatte.

« Tu as un tel potentiel, Rachele, celui d’être une tueuse impitoyable, c’est ça que je veux en toi ! Je veux ma lionne ! »

Son sexe remuait encore en elle, et il accéléra progressivement, la besognant sèchement, le sang sur le corps de Rachele allant sur le sien.

« Une femme sans pitié, une tueuse sensuelle qui prend du plaisir à torturer ses proies, à jouer avec ! Une femme qui est autant crainte par ses alliés que par ses ennemis ! Il n’y a que comme ça que tu te démarqueras du lot, Rachele ! Sinon... Tu seras de même hauteur que mes autres concubines ! »

L’homme continuait à la prendre, savourant comme toujours son délicieux corps. Il l’avait détruite, il l’avait brisé, et il était maintenant en train de la reconstruire, de réveiller en elle la tueuse, la violence, toute cette cruauté qu’il avait dû atténuer pour pouvoir s’imposer en elle, mais qui était encore là, quelque part, pulsant en elle.

« Toi et moi, Rachele, nous sommes pareils... Qui verrait en moi un vampire cruel et sanglant, moi qui suis officiellement un respectable avocat d’affaires ? Tout est question d’apparences, Rachele, hmm... J’ai tellement de projets pour toi et moi, amour, hmmm... Mais... Hmmm... Tout ça ne fonctionnera pas tant que je n’aurai pas Max à mes côtés ! »

Et il allait tout faire pour résoudre ce problème...
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le jeudi 17 janvier 2019, 14:28:02
Quand Alexandre commence à la houspiller de manière réprobatrice, la jeune femme n'arrive pas à retenir ses larmes et une honte authentique se peint sur son visage. Mais la jeune esclave n'a pas le temps de s’apitoyer sur son sort ou de demander pardon que la main brutale mais mesurée du vampire s’abat sur son visage et la souffle contre le mur.
Elle à un hoquet de surprise plus que de douleur et essai de porter une main à la peau cuisante de son visage. Mais le démon est sur elle en une fraction se seconde, l'écrasant contre le mur comme un félin le ferait de sa proie avant de la mordre à la jugulaire.

Tout s’enchaîne si vite qu'elle n'as pas le temps de voir les membres du vampire bouger sur elle à une vitesse surnaturelle. Elle ne voit que son torse puissant l'écraser, son visage parfait et impitoyable la dévisager pendant qu'un de ses bras passe sous sa cuisse gauche pour la remonter contre sa hanche.

-Maître... je... je suis déso HA !

De l'autre bras il l'a soulevé et l'a empalé sèchement sur sa queue dressée et couverte de sang. Malgré ses derniers jours de baise, la vagin de Rachele est toujours ferme et étroit, il la sent se contracter et jouir dès qu'il la pénètre, les muscles de son jardin de plaisir se contractent et écrasent sa queue. Elle pousse un petit gémissement, bref et épuisé, comme celui d'un petit animal sur lequel un chat vient de poser sa patte.

Mais Rachele n'a pas le temps de souffler ou de profiter de cet orgasme, le vampire comme à la labourer sèchement et sans douceur, provoquant instantanément l'arrivée d'autres orgasmes. A chaque fois qu'il sort pour s'enfoncer à nouveau en elle d'un coup sec, il la sent se contracter de tout son corps, ses doigts viennent griffer la peau de son dos, mais sans parvenir à égratigner l'épiderme millénaire de la créature. Et à chaque fois elle pousse un nouveau gémissement épuisé de plaisir, toute forme de sanglot ou d’apitoiement à disparu pour laisser place à l'instinct animal de plaisir et de reproduction. A cet instant, elle s'approche plus de la nature animale et bestiale de Max, la lionne solitaire qui se fait saillir par le seul lion de la savane qui soit suffisamment puissant pour la vaincre.

"Max"

Ce nom résonne à ses oreilles, Alexandre vient de le prononcer, non, de l'invoquer. Il l'appel, il lui ordonne de ressurgir, de renaître. Mais "Max" s'est profondément enfoncé dans la psychée de Rachele pour ne pas être totalement détruite par les manipulation du vampire. Cette nature, primale et survivante se méfie comme un animal terré dans son terrier, qui hume l'air et écoute le cris de son mâle dominant qui l'appel au dehors. A force de coup de queue brutaux, la petite Rachele se désintègre petit à petit et le terrier de la Bête s'effrite, l'obligeant progressivement à sortir.

L'esclave se met à lentement à pousser des cris de plaisir de plus en plus forts, elle resserre ses cuisses autour des hanches d'Alexandre alors que son vagin fait de même autour de son pénis. Hésitante au début, ses griffes essaient maintenant de labourer son dot de marbre blanc. Alors qu'elle se contentait jusque la de recevoir ses baiser brutaux et fougueux, elle commence à les lui rendre avec passion, tentant même de lui mordre la lèvre inférieur ou la langue.

Insatiable, inépuisable, il continue de la baiser encore et encore jusqu'à ce qu'elle se mette à jouir à gorge déployée, sans la moindre crainte d’être entendu par les deux prisonniers restants, abandonnant sa gène humaine pour s'abandonner au plaisir animal. Quand il jouit enfin en elle, elle pousse machinalement un long feulement de satisfaction et de fierté en sentant son foutre se rependre dans son  ventre. Puis elle repose sa tête contre son épaule, les yeux perdus dans sa chevelure enmelée, le corps couvert de sueur, une longue trainée de sang, de sperme et de cyprine mélangés s'écoulant le long de son cul pour couler en goûtes épaisses sur le sol du cachot.
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le lundi 21 janvier 2019, 01:13:50
Alexandre savait qu’il jouait avec le feu. Il n’avait encore jamais tenté de faire quelque chose comme ça avec une femme pareille. Rachele Florenza n’avait rien à voir avec ses courtisanes, qu’il prenait temps d’éduquer, et dont il ne cherchait pas à en faire des tueuses assoiffées de sang. Il prenait beaucoup de risques avec elle, sans doute plus que ce que les nejeux nécessitaient... Mais le vampire était ainsi. Il était le Maître d’un puissant clan vampirique ashnardien, et un homme qui aimait les défis. C’était ça qui l’avait amené à se rendre à Seikusu, à y fonder un cabinet d’avocats en s’associant avec des avocats locaux, et c’était bien sa hargne, sa ténacité, qui avaient permis de faire de lui un richissime avocat terrien, très en vue à Seikusu, et connu pour être l’avocat des puissants de la ville, notamment des Yakuzas. Il avait brillamment réussi, et il continuerait encore, intimement convaincu que son plan avec Rachele allait aboutir.

Il la pénétrait donc, et sentit le corps de Rachele s’effondrer contre lui, preuve de la soumission profonde qu’il avait instauré en elle. En s’immisçant dans son esprit, Alexandre avait découvert que Rachele avait des tendances schizophréniques, et que « Max », ce pseudonyme qu’elle utilisait sur Terre, était une véritable personnalité secondaire. Un véritable phénomène de « Dr Jekyll & Mister Hyde », même si ce n’était pas, de ce qu’il avait pu en voir, une véritable schizophrénie. Il y avait indéniablement un changement de comportement, mais pas de personnalité. Elle avait un irrépressible besoin de confort, de sécurité, et sa cruauté était la résultante de ses traumatismes passés. Des traumatismes qu’Alexandre avait nécessairement dû atténuer dans son esprit pour réussir à s’imposer en elle.

*J’aurais pu lui offrir une nouvelle vie, heureuse et insouciante, en balayant ses traumatismes...*

Oui, il aurait pu, et le subterfuge aurait sans aucun doute pu tenir pendant des années avant que la réalité ne rejaillisse. Il aurait pu la changer, mais il ne le voulait pas. Il voulait la conserver telle quelle... Mais à ses ordres. L’esprit n’était pas une chose qu’on pouvait moduler et remanier à volonté, et il s’imprégnait en elle, venant encore la marquer, la pénétrant durement, lourdement, violemment. Ses coups de reins étaient puissants, marqués, prononcés. Alexandre la besognait sans ménagement, sans chercher à être tendre ou romantique. Là, dans ce cachot puant, avec le sang décorant leurs corps, et les soupirs étouffés des prisonniers, il avait une belle érection, une trique d’enfer, et la prenait donc, encore et encore.

Il la baisa contre le mur, la sentant jouir contre lui, s’effondrant sur place, se crispant à son corps... Il la sent évoluer, il la sent changer, il voit en elle la petite fille s’effacer au profit de « Max », cette femme furieuse et sauvage, indisciplinée, une tueuse assoiffée de sang, cruelle et perverse. Comprenant qu’il est en train de la marquer, Alexandre sourit malicieusement, et lui mord le cou, plantant ses crocs dans sa chair, et la sent hurler, avant de jouir en elle. Sa queue se relâche, elle tressaute nerveusement, et des chapelets de foutre se répandent dans son corps. Il s’abandonne copieusement, crachant son venin, sa douce et chaude semence, puis se redressa lentement.

Rachele reprend lentement ses esprits, ses jambes serrées autour de son bassin. Alexandre va l’embrasser, tendrement, sa queue toujours nichée en elle.

« On recommence ? » demanda-t-il alors.

Son regard croisa celui de la femme, et il la libéra. Elle retomba doucement au sol, et il se rapprocha d’un des prisonniers, puis tira sur sa cagoule, le renversant en arrière. L’homme se coucha au sol. Il était plutôt gros, ou tout du moins ventripotent, avec une queue poilue qui émergeait sous son bide, assez molle. Alexandre tenait un couteau dans sa main, et le fit doucement tournoyer entre ses doigts.

« J’aime ma douce Rachele, c’est un fait, mais ma douce Rachele n’a pas été de taille à lutter contre Jucio et contre ceux qui lui ont fait du mal... Et elle ne sera pas non plus de taille à reprendre les activités de son casino. Je veux que tu le tortures, Rachele... Que tu laisses Max s’exprimer en toi, et que tu tortures ce type, comme tu sais si bien le faire. Je veux être sûr que je pourrai te confier des gens à torturer, et que tu pourras le faire sans sourciller, afin de leur montrer à tous qui est vraiment Dona Florenza. »

Il n’était pas convaincu que cela suffirait...

Mais il avait d’autres cordes de secours le cas échéant.
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le mercredi 23 janvier 2019, 12:59:56
Encore tremblante, essoufflé par la baise, soudaine et brutale que lui a infligé son Seigneur et Maître, Rachele essai maladroitement de se relever et de tenir sur ses jambes. Quand elle y parvient, un filet de cyprine et de sperme commence à lui couler des lèvres pour venir glisser le long de ses cuisses, lui donnant l'aspect d'une pute du XIX ème siècle qui vient de se faire tirer, debout, dans une ruelle sombre.

Sans un mot, le teint pâle, elle avance vers sa nouvelle victime désignée d'un pas hésitant. Tout ce bouscule dans sa tête. Comme si deux mondes s'étaient créé et se disputent maintenant la légitimité de son passé. Le premier dans lequel elle à grandit comme une enfant pourrie gâté par un père absent. Dans lequel sa première fois à été un viol sordide sur un sommier imbibé de bière et de sperme. Un premier monde dans lequel est né le monstre: Max, après des années de mauvais traitement et de désespoir entre les doigts répugnants de Jucio.

Dans ce monde, elle se serait délècté de voir cet homme nu étendu sur le sol, attendant le couteau avec terreur. Elle aurait reproduit son calvaire et celui de son propre père quand Jucio s'était emparé du pouvoir. Elle lui aurait fisselé le dard et les bourses pour le faire bander, avant de le chevaucher jusqu'à ce qu'elle le sente venir. Pour lui couper les bourses au dernier moment, lui refusant cet ultime jouissance avant de faire "le grand saut".

Mais dans le nouveau monde qu'avait créé Alexandre, le père absent avait été remplacé par un mentor sexy et fantasmagorique. Sa première fois en sauvetage héroïque et en nuit romantique, parfaite. Même le désespoir qu'elle avait éprouvé une fois enchaîné au lit de Jucio avait été remplacé par la certitude que son Mentor reviendrait un jour pour la sauver. Dans ce nouveau monde, le monstre n'était jamais né, sa nouvelle vie n'était pas suffisamment cruelle...

Rachele prend finalement le couteau des mains du vampire, ses doigts tremblent, elle à peur de la souffrance, pas juste de la sienne, de celle des autres, de celle de cet homme. Pourtant elle se souvient de toutes ces fois, de toutes ces personnes qu'elle a torturé, elle se souvient du plaisir qu'elle y prenait. Max est toujours là dans ses souvenirs, mais son coeur s'est attendri. La lionne est bien présente, elle à soif de vivre, de combattre, de gagner, mais elle a perdu son goût pour la cruauté.

Alexandre le comprend sans doute en la voyant se positionner au dessus du condamné à mort. Tenant sans conviction ni plaisir le poignard qu'elle dirige fébrilement vers son torse pour lui faire une entaille. Face au spectacle de cette superbe femme nue qui lui égratigne la peau, le porc ficelé sur le sol se met à bander. Sa queue courte mais épaisse surgit entre ses poils frisés, dégoulinante de pré sperme et de saleté.

En voyant cela, Max aurait joué avec lui, lui aurait parlé, l'aurait chauffé, n aurait même pas hésité à donner un peu de son corps pour le rendre fou, avant de le torturer à mort. Au lieux de cela, Rachele se contente de détourner pudiquement le regard et continue de lui lacérer le torse d'une main tremblante. Cet homme la dégoûte. Elle obéit à son maître pour lui faire plaisir mais pas d'avantage. Pour réveiller la Bête, il va falloir la faire renaître.
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le lundi 04 février 2019, 01:15:04
Alexandre constata que... Ça ne marchait pas. Il n’y avait pas chez Rachele ce plaisir psychotique et cruel qu’elle ressentait en torturant à mort ses victimes. Cette joie sadique qu’il avait discerné dans son regard quand elle l’avait capturée dans son casino. Avait-il limé les ongles de la Bête ? N’y avait-il aucun moyen de préserver Max en la soumettant à lui ? Dans le fond, Alexandre jouait avec le feu. La personnalité de Max était une femme cruelle, perverse, dominatrice, une femme qui refusait de se soumettre. Mais Alexandre restait convaincu qu’elle était là, et qu’il allait devoir la réveiller. C’était capital pour son plan. Il l’observa donc trembler sur place, tandis que le prisonnier, tout en tremblant de peur, commençait à bander furieusement, sous l’effet des drogues qu’il avait reçu. Un petit plus pour encourager Rachele, mais sans succès. Agacé, Alexandre finit par attraper le couteau d’une main ferme.

« Tu n’y es pas, Rachele... Regarde, ce n’est pourtant pas compliqué ! »

Et, brusquement, Alexandre jeta le poignard au sol, et ses yeux se mirent à rougir, puis un grondement terrifiant, inhumain, sortit de sa gorge. Sa main se serra alors sur le torse de l’homme, et il le griffa violemment, enfonçant ses ongles pointues dans sa chair. L’homme hurla alors, un terrible hurlement, tandis que le sang se mit à ruisseler. Alexandre continua à griffer, jusqu’à arracher la chair, tirant d’un coup sec, ouvrant sa peau dans des projections de sang, des veines et des morceaux d’organes s’enroulant autour de ses ongles. Et, pendant ce temps, une lueur malsaine animait son regard, un sourire cruel sur les lèvres. Le prisonnier hurla encore, tout en commençant à cracher du sang, tandis que son torse se recouvrait d’hémoglobine.

Loin de s’arrêter, Alexandre avait, d’une main, soulevé la tête de l’homme, l’appuyant sur ses genoux, et, de l’autre, continuait à le torturer, s’enfonçant dans sa chair.

« Regarde-le HURLER, Rachele... ! Pathétique créature mortelle qui n’existe que pour nos propres plaisirs ! Ne me dis pas que cette chose t’inspire de la pitié ? Es-tu une louve, ou un agneau ?! »

Et il s’enfonça encore dans sa poitrine, faisant encore hurler l’homme. Des hurlements un peu plus faibles, toutefois, et, pendant ce temps, si Rachele regardait mieux le vampire, elle pourrait voir, contre le visage de sa victime, son sexe en érection. Une superbe érection, tandis qu’il continuait à s’enfoncer dans la poitrine de l’homme... Et, après quelques minutes, il tira d’un coup violent, et sortit alors un organe vital, ce qui déclencha un véritable geyser de sang depuis le trou dans la poitrine de l’homme.

Celui-ci ne hurlait alors plus, et, tandis que le sang éclaboussa le vampire et sa promise, elle pouvait voir, contre sa main ensanglantée, au milieu de petits morceaux osseux blanchâtres flottant sur sa paume écarlate comme des grumeaux dans un bol de soupe... Le cœur encore palpitant du prisonnier. Un organe rouge vif qui palpitait, tandis qu’Alexandre l’observait, ses canines pointant dangereusement hors de sa bouche.

Le corps de sa victime n’était plus qu’un torrent de sang. Il était mort avec le sexe légèrement tendu, comme une sorte d’ultime spasme nerveux, les yeux dans le vague, le sang affluant sur son corps, et tout autour. Le souffle battant, la respiration lourde, Alexandre laissait la femme observer l’organe encore palpitant de l’homme... Puis Alexandre le lécha, et l’approcha des lèvres de Rachele, tout en se dressant au-dessus du corps de l’homme, l’enjambant.

« Tiens... Lèche-le, Rachele. »

La moitié du visage de la femme était rouge, pleine de sang, tout comme le reste de son corps. Difficile pour elle de ne pas ressentir l’excitation du vampire, car sa magie influait instinctivement sur elle. Et, juste après cela, Alexandre bondit en avant, et la renversa sur le sol. Il la coucha, la tête de la femme atterrissant sur le ventre du cadavre, et il la pénétra durement, sa queue en rut se plantant en elle, tandis qu’il tenait toujours le cœur dans sa main, invitant Rachele à le lécher avec lui.

« Vas-y, lèche-le, réclame ton dû de prédatrice, Rachele... Et mangeons-le ensemble. »
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Rachele Florenza le lundi 11 février 2019, 09:31:49
Devant le spectacle du vampire se jetant sur sa proie pour lui ouvrir la poitrine. Rachele porte d'abord les mains à sa bouche l'air choqué. Puis elle baisse les bras en serrant les poings pour se montrer forte, mortifié de décevoir son Maître.

Quand il hurle, elle frissonne, mais tâche de rester stoïque, la peur qu'elle éprouve refoulée par sa morgue de mafieuse. Tout au fond d'elle-même la terreur fait place à une colère primale, bestiale, celle du prédateur confronté à un autre, plus puissant, mais qui refuse de baisser le front.

Quand enfin la cage thoracique du prisonnier craque comme la carapace d'un insecte et qu'Alexandre en extirpe l'organe tel un ancien prêtre inca faisant une offrande au Soleil, Rachele le regarde dans les yeux. Même s'il n'y lit pas encore le plaisir cruel et pervers de l'ancienne Max, il y voit une résolution farouche, une dévotion fanatique, comme celles d'une prêtresse face à son Dieu.

Le constat est simple, elle est prête à faire n'importe quoi pour lui faire plaisir, pour le satisfaire, mais pour lui faire à nouveau aimer ça elle va devoir être dévoyée comme le fit Jucio en la détruisant. En la louant au premier venu ou aux pires ennemis de son père. Ou encore comme ses violeurs lors de sa première fois. La haine et le dégoût avaient été les initiateurs de sa perversion, de sa monstruosité, la haine de ses ennemis et le dégoût d'elle-même... C'est cela qui avait consumé la bonté originelle de l'adolescente pour en faire une véritable succube humaine.

Le sang artériel, sombre et brûlant gicle à son visage annonciateur du bond de son prédateur de Maître. Elle n'a pas le temps de réagir, mais même dans le cas contraire elle n'en aurait rien fait. Elle est sa chose, sa créature, son objet, pire que cela son jouet sexuel, il peut disposer d'elle comme il le désire et elle n'en éprouve que plaisir et satisfaction. Quand il l'empoigne, la reverse et la pénètre avec sauvagerie, elle pousse un grognement de jeune chatte lors de sa première saillie et plonge ses propres dents dans la peau du vampire. Alexandre s'enfonce en elle avec une fluidité déconcertante, sa vulve encore pleine de foutre et de mouille formant un fourreau brûlant et bien lubrifié. Ses coups de boutoir lui arrachant déjà de petits cris de jouissance.

-Vas-y, lèche-le, réclame ton dû de prédatrice, Rachele... Et mangeons-le ensemble.

Rachele plonge alors son regard dans celui d'Alexandre, ses pupilles sont dilaté à l'extrême, comme si elle était sous influence d'un puissant aphrodisiaque, mais c'est le magnétisme magique du vampire et de son sang ancien qui la galvanisent. Elle est subjuguée, totalement hypnotisée par son amant, il lui ordonnerait de mourir que son cœur s'arrêterait sur-le-champ. Sans jamais le quitter des yeux, elle tire la langue de manière obscène et pornographique et commence à lécher l'organe, maculant son menton de sang chaud. Ils partagent alors le festin, la mafieuse suçant la plus grosse artère comme s'il s'agissait de la queue de son maître, le corps tremblant de désir, mis à la torture par sa présence de son pénis gonflé et palpitant en elle.
Titre: Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
Posté par: Alexandre Dowell le mardi 12 février 2019, 07:19:59
L’amour de Rachele, la haine de Max... Alexandre devait battre le chaud et le froid en jouant avec des sentiments proches, et en même temps radicalement opposés. Car il voulait le beurre et l’argent du beurre. Il voulait à la fois la dévotion de Rachele et la rage noire de Max. Mais, en sondant l’esprit de sa concubine, Alexandre avait compris que Max était née de la peur que Rachele avait ressenti, de ses frustrations et de ses faiblesses, comme une sorte de ligne de défense par rapport à tout ce qu’elle avait subi. En modifiant le passé de Rachele, il avait fait croire à celle-ci que ce passé funeste avait été en partie évité grâce à lui. De cette manière, il s’était effectivement attiré la dévotion de Rachele, mais il avait aussi mis fin au traumatisme initial ayant provoqué la naissance de Max. C’était simple sur le papier... Mais, en réalité, l’esprit humain ne fonctionnait pas de manière aussi binaire, de manière aussi simple. Max était toujours , elle avait juste besoin... D’un stimulant.

Et Alexandre savait quoi faire.

Il n’avait pas encore abattu toutes ses cartes, mais, pour l’heure, il s’unissait de nouveau avec sa partenaire. Allongé sur elle, il pénétrait donc Rachele, tout en stimulant ses instincts de guerrière, en offrant à la femme une offrande sanglante et cruelle. Elle n’était pas encore une vampire, de sorte que ce cœur palpitant ne devrait pas l’exciter autant que lui... Mais Alexandre avait marqué la femme, et la magie rouge pulsait instinctivement en lui, excitant également la femme, lançant une sorte de magnétisme ambiant qui emballa Rachele. Elle lécha à son tour l’organe, qu’Alexandre tenait entre eux, et donna un brusque coup de reins.

Sous eux, le sang du cadavre s’étalait sur le sol, glissant le long de leurs jambes, formant une flaque rouge, tandis que le sang fusait également du cœur bouillonnant. Alexandre planta ses crocs dedans, à l’emplacement des artères gauches, qui ressemblaient à des tuyaux venant nourrir l’organe principal. C’était l’organe préféré des vampires, et, même si la viande en elle-même n’était pas très bonne, il était surtout gorgé de sang. Et, là, ce sang était encore tout frais, vu qu’Alexandre venait de l’extraire d’un corps vivant. Rachele ne le savait pas, mais les vampires détestaient le sang coagulé. C’était un sang épais, caoutchouteux, comparable à du vin frelaté. Là, c’était un délicieux festin. Toutefois, quand il déchira avec ses dents les artères de la carotide et de la sous-clavière, le sang explosa encore, tombant sur le corps de Rachele, venant recouvrir la moitié de son visage et le haut de sa poitrine, tout en renforçant l’érection d’Alexandre. Ses yeux avaient viré à un rouge carmin, tandis que sa queue durcit encore, jusqu’à prendre la forme d’une verge canine, se contractant à l’entrée du vagin de sa femme, formant comme une sorte de nœud qui empêchait Alexandre de la retirer.

« Hmmm... »

Il lécha ensuite, avalant ce sang, le suçant, puis sa langue croisa celle de Rachel, et il l’embrassa alors, son visage ensanglanté se heurtant au sien. Ils baignaient dans le stupre et le sang, et le vampire accéléra le rythme, l’intensité de ses coups de reins. Il la baisait sauvagement, bestialement, brutalement contre le sol. Pas de romantisme abstrait, mais de l’érotisme sauvage, purement vampirique. Du sexe entre prédateurs se gargarisant de la proie qu’ils profanaient sans vergogne.

« Là... Oui... »

Elle était belle, si belle, majestueuse et somptueuse.. Vampirique.

Quand il rompit son baiser et grogna, elle put voir ses canines, de belles dents pointues. Il grogna encore, et planta ses crocs dans son cou, venant boire son sang, la marquant encore, faisant d’elle définitivement la sienne. Le sang de Rachele explosa dans sa gorge, mais il n’en prit que quelques lampées... Ce qui allait déclencher chez elle un orgasme incontrôlé. De base, l’Étreinte était quelque chose qui exerçait sur les humains un effet hypnotique, sans doute du fait de cette sensation névralgique et euphorisante de perdre un peu de sang... Mais, avec le lavage mental qu’avait subi Rachele, l’effet serait décuplé.

Il voulait la faire jouir, qu’elle jouisse en ayant léché un cœur humain, qu’elle ressente du plaisir au milieu de la cruauté et de la violence.

C’était le premier pas de sa reconstruction.