Vol de nuit avec complication d'un pervers (avec Zacharie)

Le quartier de la Toussaint, quel drôle de nom étrangère dans un pays ou vivent les bridés, enfin ça change bien de l'environnement sociale épuisant ou sévissent les bourgeois et les innocents qui respectent la Loi mais cet univers a Toussaint et l'ambiance sinistre qui y règne convient parfaitement pour la métisse au sang mêlée, vu que c'est la première fois qu'elle y foulait le sol de ses bottes mais se trouver un refuge en moins d'une journée n'est pas chose facile et encore moins accueillie avec la racaille et les bandes rivaux qui l'en peuplait quand il verrait une blanche venir dans ce coin interdit de la ville. Bon bref ! La garce ne s'est pas rendue par ici pour se balader dans ce trou paumé comme une touriste mais afin de préparer un grand coup et le but de sa quête fut d'entrer dans la cour des grands en volant une bagnole ! Bien qu'elle n'a pas obtenue son permis via une auto-école (d'ailleurs, elle ne s'est jamais inscrite), ça ne devrait pas être compliquer non plus pour conduire une voiture. Miss Baudelaire fut arriver a bon port en fraudant dans un bus, elle avait prit avec elle un sac de transport qui est enfaîte une espèce de besace qu'elle porte en bandoulière, il ne contient bien sure aucun objet de valeur, juste l'essentiel de ce qu'elle a besoin autrement dit le parfait accoutrement de la voleuse à la tire pour se mêler à la masse, quand on commet un forfait, il faut passer incognito après tout... Violette avait ouïe dire que les bandits particuliers (ou voleurs expérimenté) qui exerçait le plus beau métier qu'était le vol se passait généralement à la nuit tombée et quand ils étaient fixé sur un objectif, il fallait faire vite et discrètement avant de détaler du lieu du crime. La jeune fille n'était encore que débutante dans le milieu mais elle apprend vite, par contre, tenter de voler une caisse de luxe peut rapporter gros dans la revente mais c'est chaud de réussir la manœuvre sans équipement manuel et de contacts et c'est pourquoi la meuf de cité se focalisait sur de vieux coucous genre par exemple une Renault 5 GTR couleur beige, un ancien modèle qui doit surement dater des années 90' !



La jeune femme n'avait pas traîner à coté du véhicule mais ne l'avait pas pour autant perdue de vue, et c'est pourquoi tout en prenant un café et avoir fait semblant de faire la causette avec des voyous nippon en costard (probablement des hommes de mains de yakusa de quartier) bien qu'elle avait du mal a parler correctement sa langue maternelle, elle fut surtout chanceuse que ces types qui la draguait de près savait causer en anglais. Ils voulurent s'échanger leurs numéros respectifs pour se revoir un jour prochain lorsque l'un d'eux aurait un moment de libre mais c'est peine perdue car elle n'avait pas de portable sur elle, elle vit que le deuxième type avait arquer un sourcil (genre il commençait a se douter quoi) mais elle le rectifia qu'elle sauterait en fin de journée dans une boutique de téléphonie et qu'elle se procurerait un cellulaire, sur ces paroles les hommes sortirent du café en remettant leur lunette de soleil avec un sourire plein d'espoir. La jeune femme grimaça de dégoût en fanant les bouts de papier et en sortant, elle les mit à la poubelle. La lune ne tarda pas a se montrer et qui s'accompagna de la nuit, la fille avait élue temporairement domicile dans un hôtel bas de gamme pour approximativement deux jours, correspondant à la durée courte de son action pour embarquer la bagnole et voir si elle est vraiment faite pour ce métier... Résident dans le rez-de-chaussée, elle pouvait facilement sortir par la fenêtre qui donnait dans la rue d'en face là ou était garé son objectif qui n'avait guère bouger de son parking, elle ne comptait pas porter de fringue tape-à-l’œil mais voulu tester la mode Tomb Raider en se regardant dans le miroir, sweat-shirt gris à capuche surmontée d'une écharpe autour du cou avec un petit haut noir en tissu et plusieurs harnais la ceinturant le haut-du-corps et bien au niveau de sa poitrine, queue de cheval pour ne pas se masquer la vue, pantalon en jean de type "bootcut" avec les bottes à talons argentés assortie en claquant le sol et petite brassière sombre ajustés aux mains, elle était prête !

"Ma chérie, ce soir tu sera Lara Croft !"

Violette jeta un œil à la pendule qui afficha une heure quinze du matin, malgré la soirée tardive et la nuit qui porte conseille, elle ne sentait pas la fatigue et semblait en pleine forme comme un bébé ! Elle s'étira en prenant soin de fermer la porte de sa chambre avant de partir et sortit de la pièce en ouvrant la fenêtre délicatement, une fois dehors, elle prit la direction de l'autre parking qui se situait dans la rue d'en face et se posta de l'autre coté de la voiture, elle regarda en tout sens en espérant ne pas se faire prendre, elle remarqua une espèce d'allée noire derrière elle, intriguée, elle voulu y jeter un coup d'oeil mais constatant que c'était qu'enfaite qu'une ruelle débouchant sur un cul-de-sac avec pour seul objet des bennes a ordure et de grosse corbeille à poubelle avec des couvercles en plastique d'ou s'échappa une odeur nauséabonde qui ferait gerber rien qu'en l'inhalant, elle revint sur ses pas et entreprit de faire glisser une tige mince sur le rebord de la portière entre le caoutchouc pour actionner un petit bout de métal qui est supposer faire levier sur la pièce afin que la portière droite s'ouvre à travers ce silence macabre.

Seikusu... Dit Zack d'un ton songeur allongé sur le sol, un tasse de café dans la main.

Zack avait déjà eu l'occasion d'aller au Japon. Il n'aimait pas ce pays. Tout était trop petit, il y avait trop de gens, et la passion de certain et certaine pour les culottes blanches le rendait malade. En temps normal, il n'aurait jamais remis les pieds là-bas, mais il avait entendu parler de la ville dans laquelle il se trouve par l'un de ses anciens employeurs. C'était il y a plus de 2 ans maintenant, tout est une histoire d'opportunité et ils se trouvent que le hasard à rendu cette contrée particulièrement accueillante, pour quelqu'un qui cherche à fuir les autorités internationales.

Seikusu... Répéta t'il, sur le même ton après avoir porté la tasse qu'il tenait à ses lèvres.

Quel surprise ce fut pour lui lorsqu'il arriva dans cette ville. Un véritable bijoux étincelant au milieu d'un océan de merde. C'était la meilleur description qu'il pouvait faire de cet endroit, et plus particulièrement, du quartier de la Toussaint. Il faut être capable d'imaginer un lieu, mal famé au possible, avec pratiquement aucune lois et un nombre de proie potentiel quasiment illimité. C'était tout simplement ahurissant, les femmes qui s'y trouvaient étaient toutes des victimes en devenir et il y en avait pour tous les goûts. Jeunes pucelles naïves, femmes d'expériences et caractérielles, putes ravagés par des milliers de pénis à peine lavé, la liste est encore longue et on ne compte pas celle dont l'espèce n'est pas déterminable. C'est surréaliste de savoir que TOUT LE MONDE est au courant que se balader là bas doté d'un vagin vous condamne automatiquement au viol mais qu'il y a toujours autant de femme qui y traîne. C'est un véritable paradis pour un prédateur comme Zack, une sorte de Valhala mais pour les mortels.

Seikusu... Dit-il une dernière fois avant de reposer vide sur le sol.

Cela faisait en vérité presque 2 mois qu'il y vivait et il n'avait pas envie de la quitter. Zack n'avait qu'à descendre dans la rue pour y assouvir ses pulsions autant de fois que nécessaire, et l'homme allait devoir bientôt y retourner pour apaiser son insatiable faim. Après quelque instant, le criminel se leva pour se préparer à sortir. Profitant de l'occasion pour fouiller un peu les tiroirs et placard de l'appartement, sur certains meubles ont pouvait y trouver des photos d'une familles de trois personnes : Un homme, une femme et une fille. C'était un peu le bordel là-dedans mais ce n'était pas grave, il n'allait pas y rester longtemps. Le mode de vie de Zack fonctionnait de la manière suivante : Ne pouvant pas s'établir durablement à une endroit sous peine qu'on retrouve sa trace, il avait pris l'habitude de faire comme certains oiseaux, s'installant dans le nid que d'autre avait fait. L'homme de la photo avait été enlevé pour que ses organes lui soit enlevé et revendu. La fille du couple avait été kidnappé puis envoyé dans un pays de l'est pour étudié l'art de la prostitution. Quand à la mère, elle s'était suicidé et son corps reposait encore sur le lit conjugal. Zack vivait donc ici le temps que leur entourage se rendent compte de leurs disparitions. Il faut en général 3 à 7 jours pour qu'ils se rendent compte que quelque chose ne tourne pas rond et parfois le double pour qu'ils essaient de prendre des nouvelles des disparus. Lorsque c'était le cas, le criminel quittait la maisons en quête d'un nouveau domicile à vider pour pouvoir y vivre dedans, et ce dans un cycle sans fin.

Hum !? ça a l'air d'être celle là. Dit Zack en vérifiant qu'il avait bien les clés de l'appartement.

C'était le seul quartier dans tous le Japon où il pouvait se balader sans avoir à changer de visage, tout les flics qui y traîne sont des ripoux, tous les autres sont violé et tué, dans cet ordre ou dans l'autre, qu'ils soient des femmes ou même des hommes. C'est un lieu ou le sexe est une religion et où tous ses habitants en sont les croyants. Déambulant dans la rue à la recherche d'une nouvelle proie. Il ne fallut pas longtemps à Zack pour trouver de quoi le nourrir. Une femme aux cheveux châtain avait attiré son attention. Pourquoi elle plus qu'une autre ? Lui-même ne le savait pas, le criminel mettait cela sur le compte de la fatalité et du destin. Lorsqu'il n'était pas payé pour le faire, l'homme se laissait guider par ses pulsions quand au choix de ses victimes. Sauf dans un cas : S'il découvrait que la femme portait le sous vêtement qu'il affectionne tant, il devenait un animal assoiffé de sexe, un monstre obsédé par la luxure et incapable de se contrôler.

La femme qu'il suivait semblait porter une attention particulière à quelque chose se trouvant dans cette rue. Zack ne parvînt pas à déterminer ce que c'était, il avait beau faire l'effort de voir ce qui pouvait y avoir d'intéressant ici cela lui échappait complètement. Afin de ne pas se faire remarquer lors de sa filature, le criminel devait anticiper les mouvements de la jeune fille afin de ne pas forcément prendre le même chemin qu'elle, mais arriver cependant au même endroit. Il découvrit ainsi qu'elle résidait dans une sorte d’hôtel miteux. Après avoir marqué un temps d'arrêt, il pénétra à son tour dans l'établissement et se présenta à l’accueil. L'homme qui se présenta devant lui avait le faciès d'un homme avec peu de scrupule. Après un rapide coups d’œil autours de lui pour analyser la clientèle, il compris rapidement que cet endroit servait également de lieu de passe pour un nombre considérable de pute du coin.

Bonjour, une jeune fille aux cheveux châtain vient tout juste de rentrer. C'est une "amie" mais elle ne m'a pas dit où se trouvait sa chambre, vous pourriez me l'indiquer ? Demanda Zack, appuyant sa question avec un clin d’œil qui aurait pu en dire très long.

Hum. Un sourire en coin se dessina sur son visage, déformant encore d'avantage ses traits. Chambre 6, le couloir sur votre droite. Tachez de ne pas faire trop de bruit pour ceux qui occupe les chambres voisines.

Je vous remercie. Termina Zack en déposant un billet généreux sur le comptoir.

Une fois la chambre trouvé, il ne s'attarda pas dans l’hôtel, l'homme cherchait plutôt à déterminer où pouvait se trouver la fenêtre qui donne sur l'extérieur, ce qui ne lui prit pas beaucoup de temps. Le criminel retourna alors dans son logement temporaire afin de s'équiper pour ce soir. Il lui arrivait parfois d'enlever une femme en plein jour ou alors à peine quelque minute après l'avoir rencontré. Le frisson que cela pouvait provoquer était grisant mais il n'avait pas eu l'information capitale pour cela. Une fois le harnais équipé, il retourna à l’hôtel dès le couché du soleil, prenant position sur un bâtiment voisin pour espionner la jeune fille à travers la fenêtre à l'aide de ses lunettes. Le temps passa lentement, mais Zack était patient et rodé à ce genre d'exercice. Il avait connu au cours de sa carrière, des moments d'attente interminable, tentant de saisir la moindre opportunité afin de récolter des informations ou même de passer à l'attaque. Pour lui, passer quelques heures à espionner une personne était une broutille. Lorsque le criminel aperçu la futur victime en nuisette, l'idée d'agir pendant son sommeil devînt tentant. Mais il fut surpris par le comportement de cette dernière plus tard dans la soirée. En effet, la jeune fille se rhabilla préparant également ses affaires. Zack l'a vit avec une culotte noire, ce qui le rassura et le deçeva en même temps. Mais ce n'était pas grave, il allait quand même pouvoir y prendre du plaisir.

Tiens ? Mais qu'est-ce qu'elle fait ? Elle aurait reçu un appel ? On dirait pas qu'elle va quitter l'hôtel définitivement. Pensa t'il.

Le criminel était perplexe. Il descendit rapidement du toit du bâtiment en usant d'un câble d'escalade d'une épaisseur équivalente à celui d'un fils de pèche. Ses gants avaient chauffé lors de la descente mais n'avait pas été abîmé pour autant. Une fois au sol, une pression sur l'un des bouton de la bobine fit revenir le câble en à peine 3 secondes. Lorsque la jeune fille sortie de l'immeuble, Zack était déjà caché dans la pénombre d'une ruelle qui faisait angle. Profitant de son absence, il utilisa la fenêtre pour pénétrer dans la chambre de sa victime. Analysant l'environnement, le criminel transforma la pièce en piège géant, il plaça des fils fin d'entrave et d'escalade un peu partout dans la chambre. L'homme n'était pas sûr qu'elle parviennent à lui résister suffisamment pour parvenir à revenir ce cacher içi mais il valait mieux prévoir l'éventualité. En à peine 2 minutes, tout était prêt, le soucis du détail avait été poussé jusqu'au point d'enlever les ampoules de la pièce.

Zack reprit la traque de la jeune fille, il avait une idée de l'endroit où elle pouvait se trouver au vu de la direction qu'elle avait prise en partant. Il arriva sur le lieu du café où il l'avait aperçu la première fois. Cette dernière se tenait proche d'une vieille voiture miteuse, et au vu du comportement, c'était ceci qui l'intéressait tant.

Une voleuse ? Drôle de goût en matière de voiture...

L'occasion de débuter l'affrontement c'était présenté, la jeune fille avait jeté un œil dans une impasse sordide avant de se rencontrer sur son larcin. L'endroit serait la scène parfaite pour commencer le jeu. Après une préparation rapide, il tira un fils d'escalade de l'une de ses bobines et forma un lasso instantanément. Calculant la trajectoire, Zack jeta la corde en prenant soin qu'elle passe par dessus un barre qui jouxte les deux bâtiment de l'impasse. A l'instant où l'anneau de fils se resserra sur la jeune fille. L'homme se jeta dans le vide pour faire contrepoids et ainsi la tirer violemment dans l'obscure ruelle.

La boucle qui avait été faite ne servait qu'à tirer, nul doute que même une personne comme elle parviendrait à s'en défaire. Zack était là pour s'amuser, alors c'est ce qu'il allait faire. Ne prenant pas la peine de répondre à sa future victime, il tira calmement un fils d'entrave de la bobine situé sur son poignet gauche. De la même façon qu'un magicien ferait pour faire un tour de passe-passe, la main droite fit un mouvement rapide qui transforma le câble en boucle. Ses lunettes brillait sensiblement dans la pénombre donnant sensiblement l'impression d'un monstre tapis dans noir. Il ne restait plus que des questions. Est-ce qu'elle allait se battre ? Avec le pied ? Le poing ? Une arme ? Il l'attraperait avant qu'elle ne puisse agir. Allait t'elle tenté de s'enfuir ? Dans ce cas, avait-elle vu le fils qu'il avait tendu au ras du sol ? Si elle tombait, il n'aurait plus qu'à tirer sur ce dernier pour la ramener dans la ruelle sombre. Serait-il surpris et ce serait un scénario imprévu qui se produirait ? Quelque soit la réponse à ses questions qui traversaient son esprit, il allait se concentrer sur le plaisir que cette rencontre aller lui procurer.

Miss Baudelaire était un peu angoissé au début et songea même a tout annuler et revenir sur ses pas pour ne pas commettre l’impensable mais étant arrivé jusqu'au bout (en plus d'avoir fait le chemin jusqu'à destination) donc autant finir le travail. Comment faisait les gars pour l'ouvrir avec cette tige maigrichonne ? En temps normal, elle leur aurait tout simplement poser la question mais il y avait pas un chat sur les lieux et bien sure les cambrioleurs n'auraient jamais poster leurs exploit de casse dans Youtube car les ch'tar les aurait immédiatement choper sinon... Tout en tournant la tête en tous sens avec la queue de cheval qui lui masqua légèrement le visage afin de s'assurer qu'il n'y avait pas de danger dans les environs mais c'était peine perdu car cette saleté de porte n'avait pas l'air de vouloir s'ouvrir a moins que (théoriquement parlant) briser la vitre serait la meilleur des options et rameuter les flics dans le coin ou encore moins le proprio' de la caisse craignait bien ! Alors qu'elle réfléchissait a une autre idée, un son bizarre déchira le silence de la nuit puis soudainement quelque chose la frôla sur la taille avant de remonter sur le ventre en l'entourant, la garce cru que c'était un serpent mais avant qu'elle ne baisse le regard sur ce qui l'étreint, une masse sombre surgit de nulle part en l'agrippant ce coup-ci avant de la conduire dans la même ruelle qu'elle avait précédemment aperçue tout à l'heure avant de se concentrer sur la Renault 5. Tout s'était passer en une fraction de seconde, Violette n'avait rien vu venir ! D'abord son cerveau lui avait fait matérialiser l'image d'un serpent dans son esprit quand elle a sentit cette forme mystérieuse qui l'avait ceinturer et maintenant, elle crut que c'était un gros animal qui s'était échapper d'un zoo. Elle se débattit rageusement comme un cafard et crut voir un truc briller sur la silhouette humanoïde, elle comprit que c'était les glaces noire des lunette de soleil qui avait refléter sous la lueur d'un réverbère et conclut donc que le type qui a oser la toucher était un homme ! 

Sale enfoiré de mes deux ! Qu'est-ce que tu cherche a faire, putain ?!

Elle n'eut pas l'occasion de voir nettement le fascié de son assaillant car la noirceur des ténèbres le dissimula bien, a part qu'il était grand de par sa silhouette et de plus son visage sembla être recouvert d'un tissu le rendant pas identifiable et qu'est-ce que ça pouvait bien faire et il se prenait pour qui ce mec, n'ayant pas froid au yeux, elle s'avança vers elle avec une mine déterminée et elle put le voir en partie mais a première vu, on aurait dit que ce gars portait un costume de carnaval ou il a du le concevoir lui-même genre comme dans Kick-ass. Elle tourna un œil en arrière et vit un autre truc briller sous une flaque d'eau de pluie et il n'y avait aucun mal a distinguer un fil tendu vers le bas comme si elle attendait qu'une victime se mêle les pinceaux pour couper toute retraite. Elle attrapa alors le col du gus en le regardant de bas vers le haut, avec sa taille actuelle sa tête n'atteignait que la limite du cou de son adversaire alors que celui-ci le dépassait grandement et elle lui cracha dessus car elle lui faisait pitié, et si ça se trouve, il devait d'un gamin voire un ado de quinze pige dessous sous ce costume et qu'est-ce qu'elle avait à craindre de lui d'ailleurs ? Elle retira facilement le fil lui lui retenait le bas du ventre qui la liait a lui et tout en levant le talon de sa botte argent, elle ne remarqua que le talon touche un sachet humide et en voulant l'écarter de sa botte du pied, le papier troué par le talon du soulier se déchira et tout l'excrément de clebs contenue dedans s'écrasa sous sa semelle droite, elle s'en ficha complètement sans même s'en soucier malgré l'odeur fétide qui monta jusqu'à ses narines car bien décider à en découdre avec son opposant mais ne préférant pas lui laisser le temps de parler (comme de se présenter ou de ses piètres excuses à la con), elle baissa alors la main vers son service trois-pièce sous le tissu afin de lui serrer les boules et le faire souffrir pour lui faire apprendre à ne pas se mêler de ses affaires !   

Aucune peur apparente dans le comportement de la jeune fille, cela était dû soit à un excès de confiance, soit à une idiotie profonde. Jusqu'à présent, aucun indice sur les capacités de combat de la jeune fille avait pu être récolté, il aurait été donc normal de n'avoir rien à craindre, mais il y avait dans cette ville tant de phénomène de foire, que Zack n'était pas à l'abri d'une surprise. Se faisant attraper par le col, la voleuse semblait particulièrement déterminé à ne pas se faire marcher dessus. Il pensait au départ que cela allait virer au duel d'intimidation lorsque sa futur victime décida sans prévenir de lui empoigner les testicules avec forces.

Huuuuuuuurrrrggghhh !!! Grogna Zack de douleur

La voix du kidnappeur était audible pour la première fois, et le premier son qui avait émergé était un son de douleur sincère et véritable. L'humiliation était totale. Il en avait connu des filles hargneuses depuis qu'il était arrivé au japon, mais c'était la première fois  de sa carrière qu'on lui faisait ce coups là. Ce faire cracher dessus puis blesser aux testicules, c'était sans précédant pour lui.

Arrg... aar... ha... haha... HAHA !! MWUHAHAHAHA !!!! La démence du rire de Zack résonna dans l'ensemble de la ruelle.

Décidément cette ville était parfaite, c'était littéralement un monde à part. Chaque jour transportait son lot de surprise, il était impossible de s'ennuyer lorsqu'on habite ici. La main droite qui tenait la boucle d'entrave se posa calmement sur le poignée qui le tenait par le col, le câble c'était instantanément refermé. L'homme tenait maintenant la voleuse, et il allait être extrêmement difficile pour elle d’ôter cette menotte fait à partir de fils de pèche. D'un seul coup, la tête de Zack se releva, rappelant un peu certain jumpscare dans les films d'horreur, deux lueurs blanches étaient rivé sur le regard de la jeune fille comme pour la sonder en profondeur. Malgré le masque de l'homme, on pouvait presque y voir se dessiner un rictus malfaisant.

Je vais prendre beaucoup de plaisir avec toi ! Pensa t'il.

Comme pour rendre la politesse, l'homme frappa sans prévenir. Se courbant sensiblement pour gagner de l'élan, un coup pied alla s'enfoncer dans le ventre de la jeune fille sans la moindre once de pitié. La force du coup avait repoussé cette dernière d'un bon mètre, mais elle n'eut pas le temps de se rétablir. Zack tira sur le cable avec sa main droite pour la ramener à lui. D'un mouvement qui rappellerait celui d'une valse, il l'a fit tourner sur elle même, se servant de sa main gauche pour tendre un fils autours du torse de la voleuse. Ce dernier, qui provenait de la bobine qui se situait sur sa hanche, contenait un fils cranté. Lorsqu'il eu fini son pas de danse, il tira sur le câble qui lacéra tant les vêtements que la peau de la jeune fille. La blessure était superficielle car il n'avait pas serré fermement la boucle. Zack avait déjà trancher la gorge de nombreuse personne grâce à ce fils, mais il ne prenait pas particulièrement de plaisir à tuer les gens, ce qu'il aimait c'était se battre pour capturer sa proie.



Le lien d'entrave reliait toujours les poignées des deux personnages, l'homme pointa avec le pouce de sa main gauche, le flanc droit de son torse, puis traça une ligne jusqu'à son flanc gauche.

J'espère que tu es prête ? La prochaine fois, je t'arrache tout le haut. Dit Zack dans son esprit

Le kidnappeur fit un pas en arrière, s'enfonçant sensiblement d'avantage dans l'obscurité afin de dissimuler ses prochains agissements. Rien ne l’empêcherait de capturer sa proie. Si des gens venaient, que ce soit des civils ou bien des policiers, ils les tuerait tous sans exceptions.

L'inconnu ne sembla même pas impressionner ni même ciller d'un pouce, quoique... Au vu du gémissement qu'elle venait d'entendre, elle était certaine que l'intrus souffrait en silence, et oui tout "big boss" ou surhomme qu'ils pouvaient être, ces chétifs qui avait tendance a se défiler avaient tous des points faible et pour les hommes principalement concernés, ce n'était pas si difficile que ça pour le découvrir car c'était dans leur intimité, même dans l'armée ou la police, les machos de la Loi et de la lutte anti-terrorisme portaient probablement des gilet pare-balle ou du kevlar mais la zone la plus fragile du mâle se situe toujours dans l'entre-jambe et ne prenant pas souvent cela en évidence, c'est comme ça qu'ils se font mal. Concernant le gus anonyme, il n'aurait jamais cru qu'il été atteint a cet endroit précis du corps mais à présent il doit être d'humeur comme rouge de colère... Ce n'est que lorsqu'il sortit de la pénombre que miss Baudelaire pu voir sa silhouette, il était vêtue comme un loubard et il est bizarrement couvert de fil (notamment sur ses bras !) et sa tête dissimulé sous une espèce de toile coloré, a première vue il avait presque des similitudes avec Deadpool mais loin de là, sans savoir comment il a fait la jeune fille vit un fil bizarre s'être nouer sur sa main gauche et elle fut solidement arrimé a tel point qu'elle ne pouvait pas l'enlever en secouant le bras, qui plus est un fil pouvait aisément découper du papier alors imaginez le résultat sur de la chair humaine et pas besoin de couteau de boucher pour y arriver... Il lui lança alors un message plein de sadisme et qui sonna dans l'oreille de l'adolescente comme étant une mise en garde, elle reçu un méchant coup de pied a l'abdomen la forçant a se courber, tellement le coup fut minutieux et rapide qu'elle en avait le souffle coupé en se maintenant le ventre en reculant d'un pas, la demoiselle tituba presque en ayant du mal a tenir son équilibre après le choc que ses bottes s'entrechoquaient en claquant des talons.

UUUUUUUUUrrrrrrggggghhhhhhh... hhhhh.... hhhh....

Son ennemi ne lui laissa pas le temps de reprendre son souffle alors qu'elle avait de la salive qui s'écoula de sa bouche et comme si elle exécutait une chorégraphie de danse, elle se mit subitement a tourner sur elle-même, dans sa valse de tango, elle remarqua des fourmillement se former sur le haut-du-corps et brusquement, des craquelures de tissus résonna a travers le rire macabre du sale type, elle remarqua alors de mince marque de fil sur le haut du corps et sa tenue de cambrioleuse qu'elle s'était confectionner fut esquinté... Bouillonnante de fureur et malgré que les liens fut nouer sur ses poignets, elle s'avança directement vers son agresseur alors que celui-ci avait déjà reculer d'un pas en disparaissant dans le noir, elle fit de même en lui balançant un coup de tête mais se ravisa à la dernière minute en lui percutant le nez avec son front en fermant les yeux et en profita pour lui balancer un coup de genoux dans le bide ! La jeune femme eut alors une idée et plutôt que de faire user de la parole pour le prévenir de ses actions sur ce qu'elle comptait lui faire, elle voulu utiliser l'astuce de l'anonyme en la retournant a son propre jeu, autrement dit, elle souleva ses bras avec les fils qui continuait de danser dans les airs en brandissant  tel une championne de gymnastique du lasso et se colla de dos contre le torse du sale type et elle croisa alors ses bras sur sa poitrine en tirant bien les fils contenue dans ses poings compact de ses mains, le mec quant a lui avait son cou submergé de fil, Violette tira avec ses mains toujours croisé sous sa poitrine en se régalant de le voir mourir par strangulation, il n'y a pas mieux pour quitter le monde des vivants en paix sans risquer d'avoir de douleur sur le corps en plus de souffrir !

Zack n'aurait pas su dire si cette fille avait un bon instinct, une bonne expérience du combat, ou les deux ? A peine avait-il mit de la distance entre eux, que cette dernière lui rentra dedans pour réduire la distance. Un choix lucide contre un adversaire qui n'avait pas l'habitude qu'on tente de l'affronter au corps à corps. Cela le déstabilisa à peine 1 seconde, mais ce fut suffisant pour que la voleuse lui assène plusieurs frappes qui le firent tituber. Cependant, c'était encore loin d'être suffisant pour le mettre k.o, d'autant plus que l'excitation que lui procurait le combat ne faisait qu'augmenter.

Oui, continue, débat toi ! ENCORE ! Jubila t'il dans son esprit.

Alors qu'il était plus concentré sur les sensations qu'il ressentait, la jeune fille décida de retourner les armes contre son propriétaire. Se servant de son poids et du fil qui les reliait pour l'étrangler. C'était plutôt bien pensé, elle faisait preuve intelligence malgré ses allures de bourrines. Décidément, c'était la soirée des nouvelles expériences, le câble d'entrave s'enfonçait dans le cou de Zack au point de lui déformer la peau. Alors c'était ça que ses victimes ressentaient lorsque celui-ci le faisait subir à ses adversaires ?

Dommage... que tu ai fait l'erreur de me sous-estimer. Pensa t'il.

Puisque la jeune fille était penché en avant pour ajouter son poid à la force qu'elle exerçait sur Zack, il lui suffit de lancer son pied par dessus lui pour déplacer le centre de gravité vers l'avant, lui permettant de se servir du dos de la voleuse comme appuis pour rouler en arrière, et ainsi se défaire de l'étreinte. Il avait maintenant un genoux à terre, et était incliné comme pour faire une révérence. D'un mouvement de sa main gauche, il tira un nouveau fils d'entrave de sa bobine, qu'il fixa avec sa vivacité habituelle sur le pied gauche de sa victime. Alors que cette dernière venait à peine de se remettre de la précédente acrobatie, Zack se leva d'un coup et plongea ses deux mains dans la déchirure du vêtement de la voleuse, puis ils les écarta avec violence et en utilisant toute la force dont il disposait pour arracher d'une traite le haut de la jeune fille. Il ne restait plus qu'un soutient gorge et quelques lambeaux inutiles sur le torse de cette dernière. Tout cela n'avait pas durée plus de cinq secondes en réalité.

Tu vois ? je t'avais prévenu pourtant que je t'arracherai le haut. Murmura t'il si bas, qu'il était même pas sûr qu'elle ai entendu ses paroles, mais cela importait peu.

En tant normal, la stratégie de la jeune fille aurait sûrement fonctionné, mais il se trouve que Zack à eu largement le temps de perfectionner son art, un peu plus de 10 ans en réalité. Ce n'était sûrement pas le plus grand artiste martial de la planète, mais il connaissait son style sur le bout des doigts, ses forces comme... ses faiblesses. Il était donc normal qu'une ruse comme celle employé par la voleuse n'avait aucune chance d'être réellement efficace sur lui.

La situation était la suivante : Il était maintenant relié à deux parties du corps de la jeune fille, sa main droite tenant respectivement les fils du poignet gauche et du pied gauche de cette dernière. Zack n'exerçait visiblement aucune peur sur elle mais sa viendrai, et comme la mêlée était visiblement son seul but, l'homme pris la décision cette fois-ci de ne pas mettre de la distance avec la voleuse mais bien de rester au corps à corps.

Utilisant à son tour, tout le poids de son corps, il chargea avec son épaule pour la pousser violemment en arrière, l'a faisant trébuché sur le fils qui était tendu au raz du sol depuis le début. Une fois cette dernière au sol, il s'assit sur elle pour l'immobiliser, et à la manière d'un free fighter, Zack leva la garde et commença à donner des coups de poing en visant la tête. Un premier, un deuxième, puis un troisième, il lui importait peu si la voleuse parvenait à bloquer ses coups ou non, le but était de lui insuffler la peur, de lui montrer que la situation était grave et qu'à ce rythme, ça allait sentir le roussi. Cependant, si les coups était trop bloqué, Zack se servit de son fils pour lui tirer son poignet gauche et ainsi ouvrir la garde. Après une dizaine de frappe dans cette position, l'homme se releva. Sa main détacha le câble de la bobine qui était relié au pied gauche de la voleuse et alla l'attacher solidement à un tube en fer qui servait probablement d'arrivé d'eau pour le bâtiment voisin. La fille était maintenant attaché à la ruelle de la même façon qu'on le ferait avec une laisse pour pas qu'un chien s'en aille, mais également à Zack qui pouvait toujours lui manipuler le poignet. L'homme pointa du doigt le pantalon de la voleuse et fit de nouveau un signe menaçant avec le pouce.

Allez ! la prochaine fois c'est le pantalon qui y passe. Décida t'il dans son esprit.

Hargneuse comme elle était, Zack se disait que la jeune fille allait probablement se relever. Tant mieux, il n'en avait pas fini, peut être que la bastonnade au sol avait commençait à avoir un impact sur le moral de celle ci, peut être que non. Dans tous les cas, il comptait bien la dompter. l'homme fit alors craquer ses doigts de manière sinistre, et avança calmement vers sa proie.

La jeune fille croyait tenir la vie de son agresseur au bout d'un fil mais le maître en la matière avait comme qui dirait plus d'un tour dans son sac car elle sentit comme un poids la faire basculer vers l'avant, elle ne comprit qu'après que l'individu avait tenter un truc en lui mettant le pied dans son dos. Elle ne savait guère si il a du faire un genre de salto mais la jeune femme se retrouva étaler a plat ventre sur sol, ses fringues légèrement déchirer sur le haut-du-corps, elle put sentir le froid glacial et collant du sol sur la peau de ses seins mi-dévoilé par-dessous le tissu  sur le sol tandis que lui avait la posture d'un héros de film avec un genoux par-terre, l'adolescente ne savait guère de ce qu'il compta faire pour la suite des initiatives mais elle ne tarda pas a le savoir quand elle sentit un autre fil s'enrouler autour de sa cheville, le gus s'était déjà avancer sur elle et le temps qu'elle se tourna pour le fixer des yeux, ce dernier avait déjà ses mains gantés sur ce qu'il restait de textile qui lui couvrit la poitrine et l'arracha sans retenue ! La petiote devint un instant rouge de gêne puis elle fit place à la colère mais elle ne désira pas foncer dans le tas une nouvelle fois et étant consciente de la situation (à demi-nue, et en plus de l'avertissement de l'autre clown, a propos de lui enlever le bas-du-corps), le gaillard s'était libérer en laissant pratiquement sa poitrine exposées a l'air libre, la jeune femme avec l'esprit emplie de haine contre son ennemi du résister a la furieuse assaut dans laquelle elle fut malheureusement victime car le type lui asséna une multitude de coup de poing au visage, il n'y avait pas de douceur ressentie rien que des solides points d'impact ! Miss Baudelaire eut assez mal à la tête et espéra ne pas avoir le visage tuméfié ou couvert de bleu sinon, elle en aura pour deux mois de reconstruction faciale a l'hosto' mais encore si ce pourrit avait une force d'Hulk, il lui aurait littéralement écrabouiller le visage avant même le début du combat mais heureusement que ce n'était pas le cas.

"Diable ! Il vaudrait mieux que j'y aille doucement avec cet Héraclès... Il faudra que j'attende une nouvelle ouverture dans sa garde.."

Elle n'aurait pas du sous-estimer ce bonhomme et maintenant elle en paye le prix de son arrogance, en plus de ça, elle se fit traîner par le pied comme dans l'anime de Dragon Ball avec le combat de Videl contre Sporovitch quand son assaillant lui tira la jambe pour la conduire hors du ring mais ici avec la réalité, c'est avec un fil attaché dans le pied qu'elle se faisait guider en étant nouer sur un tuyau de canalisation voisin, la jeune fille ne pouvait a présent plus s'échapper ou tenter quoique ce soit avec ce handicap. L'adolescente légèrement sonné par les coup du mec mais toujours consciente se releva difficilement mais elle parvint quand même a se remettre sur pied, le froid ne sembla pas lui poser de souci malgré qu'elle fut a demi-nue, cependant la chair de ses seins n'était pas aussi résistant que son mental donc elle ôta son écharpe et le plaça sur sa poitrine en prenant soin de couvrir entièrement ses nichons par-dessus son soutien-gorge, ce n'est que rudimentaire comme textile mais c'est mieux que rien (au moins elle n'aura pas froid a cet endroit). L'homme se mit alors a marcher calmement dans sa direction n'annonçant rien de bon dans sa démarche mais la jeune fille n'avait pas froid aux yeux en arquant un sourcil et l'attendit de pied ferme. Elle n'avait pas pour intention de se battre car au vu de ce qui s'est passer sur le haut-du-corps, il est très probable que ce crétin en costume de carnaval ne fasse la même chose sur le bas-du-corps... Alors au lieu de l'attaquer, elle va juste commencer par encaisser les coup du mec, elle avait préférer changer de posture car se faire viser a la tête qui n'est pas si résistant que ça dans le corps humain aurait pu conduire à un coma suite a une mauvaise frappe sur le côté cérébrale mais peut-être que quand il la touchera durement a l'abdomen là ou se situe son estomac, Violette aura alors une certaine possibilité de réaction après quelques encaissement d'attaque lors son adversaire aura allonger un de ses bras sur son ventre et elle en profitera alors pour lui faire une prise de soumission mais en attendant, elle n'avait pas encore réfléchit a l'idée de quel partie de son corps qu'elle allait tenter de bloquer car il n'avait pas encore entrer dans son champs d'action.
 

L'air était frais ce soir, mordant même, Zack pouvait le sentir du bout de ses doigts qui n'étaient pas couvert par ses mitaines. Le froid lorsqu'il était trop grand pouvait avoir une influence particulièrement néfaste sur ses performances. Il avait prit l'habitude de jouer avec, les faisant claquer ou gigoter pour essayer de les garder chauds. Cependant, c'était une ruelle sombre d'une ville du Japon, et pas la rude toundra de Sibérie, aucun risque donc pour lui que ses doigts de fée en pâtissent, ce qui ne l’empêcha quand même pas de frotter ces derniers sur la paume de sa main au fur et à mesure que l'homme approchait de la jeune fille.

Le fil qui rattachait la voleuse au tuyau était suffisamment long pour lui laisser de la marge, mais pas assez pour quitter la rue, 2 ou 3 mètre tout au plus. Son comportement avait changé, elle ne semblait plus avoir cette obsession pour charger comme un taureau dans son adversaire. Zack ne distinguait pas de la peur, mais visiblement, elle commençait à le prendre au sérieux. C'était donc la bonne marche à suivre pour la dompter, et aucun doute que ça allait continuer ainsi. Il fallut une longue minute qui aurait pu paraître interminable à l'homme pour réduire l'espace qui le séparait de la voleuse.

D'un coup, Zack tira un fil d'une bobine avec sa main gauche et leva sa garde comme le ferait un boxeur. Il tenta dans un premier temps de lui mettre la pression en adoptant une posture intimidante, afin de la faire reculer contre le mur et de limiter ses mouvements. Puis, les premiers coups fusèrent, d’abord rapide mais léger, ces derniers gagnèrent progressivement en lourdeur et perdirent leur vitesse, devenant plus ample mais plus fort. Probablement à cause de la bastonnade au sol, la jeune fille avait tendance à protéger sa tête, ce qui n'échappa pas à la vigilance de l'homme.

Lorsque la rafale pris fin, l'homme leva la main gauche, on pouvait désormais distinguer que le fil qu'il tenait, était maintenant relié au poignet gauche de la voleuse. Là par contre, c'était un véritable tour de magie et un réel aperçu du talent de l'homme pour attacher les gens, seule une personne avec une perception ou une vigilance particulièrement aiguisé aurait pu voir Zack faire son lien pendant l'échange de coup. L'homme pouvait désormais influer sur les deux mains de la jeune fille, il ne manquais plus grand chose pour pouvoir la ligoter pour de bon. Zack serra alors le poing droit aussi fort qu'il pouvait, et le fit reculer tout en tordant son corps vers l'arrière. Si l'homme était torse nu, on aurait pu apercevoir les veines sur son bras tant ce dernier était crispé.

Ouh celle là va faire mal ! Pensa t'il avec délectation.

Zack mit toute sa force dans le coups, il n'était pas rapide mais allait être particulièrement douloureux. L'homme avait conditionné la jeune fille pour que cette dernière ne protège que la tête, il décida donc de viser le ventre pour saper d'un coup toute l'endurance de sa victime. De plus, cette dernière semblait particulièrement sensible à cette endroit, c'était donc l'occasion parfaite. Plus que quelque centimètre et la voleuse serait au sol en train de pleurer pour qu'on épargne ses souffrances.

Saloperie de fil, si seulement cette connerie ne lui entravait pas les gestes, elle aurait surement déjà étaler le type depuis belle lurette en lui faisant les poches avant de filer, et crotte ! Décidément ce "kick-ass" lui donna bien du fil a retordre car elle voulait lui botter le train et au final c'est miss Baudelaire qui se fait latter a la place. Ce gars n'allait pas être aimable, c'est certain au vu de ce qui s'est passer mais encore c'est comme s'il lisait dans les pensées de l'adolescente donc ça n'allait pas être facile de lui rendre la monnaie de sa pièce, Violette fit de son mieux pour lui résister mais c'est a croire que le Gustave la dominait petit-à-petit. Pour le moment, elle allait devoir jouer a la boxeuse amatrice même si elle n'avait pas d'expérience, elle pouvait toujours de lui tenir tête au niveau de la résistance, les coups reprirent de plus belle en pleuvant, le gaillard cherchait a l'atteindre au visage afin de lui exploser la tête mais heureusement que Violette tint bon mais chaque volée de poings reçut sur les bras ne fut guère tendre et elle du se serrer les dents pour ne pas baisser les bras car elle souffrit un peu sur la partie osseuse (heureusement que ce dernier non plus ne portait pas de poing américain sinon il lui aurait casser les os). Il fallait fuir mais comment faire ? Elle garda les yeux fermés pendant plusieurs seconde en attendant que les attaques de front cesse jusqu'à ce que le gars au moins s'épuise mais brusquement, elle ne sentit plus rien genre comme si le type s'était volatiliser comme une apparition fantomatique, ses lèvres semblait sec puisqu'elle n'arrêtait pas d'expirer par la bouche et l'air qu'elle en sortit en haletant la rendait faible, peut-être qu'en ayant bien manger le soir, elle aurait des forces pour affronter le mec.

Elle avait bien préparer son équipement avant de partir mais il faut dire que les bottes à talon était vraiment mal adapter à la situation, non contente seulement de leur utilité mais a chaque rythme de coups paré, elle en avait mal au pieds et comme les pieds était mi-levé sous le talon entre la plante, elle pouvait sentir la faiblesse la gagner en essayant tant bien que mal de garder l'équilibre malgré qu'elle fut acculer contre le mur... Brusquement, quelque chose de douloureux plus encore l'avait percuter, elle ne crut pas l'espace d'un instant mais la seconde entre la forme qui pénétra sa chair et qui poursuivit son chemin en la déformant au passage lui prouva le contraire. Le truand ne l'avait pas louper ce coup-là, sa main compact l'avait comme qui dirait transpercer comme une flèche, son estomac en avait prit un sacré coup, elle se sentit si mal qu'elle en eut le souffle coupé, son agresseur ne s'arrêta pas que là, le poing de ce dernier tourna alors comme avec le sens des aiguilles d'une montre en déformant ses boyaux, la jeune fille avec la bouche gonflé comme un hamster eut alors une idée suicidaire, ses restes digéré remonta instantanément du bout de ses intestins a sa gorge alors que ses joues comprimés rosirent, elle recracha toute sa gerbe dans la face du mec qui fut complètement aveuglé pendant quelques secondes lui laissant ainsi le champs libre avait les mains couvert sur sa face, miss Baudelaire ne se sentit pas non plus au meilleur de sa forme mais si elle avait une chance de pouvoir retourner la situation a son avantage, il ne fallait pas perdre une minute ! Elle en profita pour l'attaquer sur le bord du cou avec le tranchant de la main par une méchante tape (histoire que sa circulation sanguine soit bloquer pour une seconde avant que le type ne retrouve ses esprits), elle plia ensuite sa jambe en prenant sur les épaules du héros masqué et lui infligea un violent coup de genoux sur le flanc pour lui faire casser son rythme et lui envoya un dernier coup de tête en le touchant sur le front avec les dernières forces qui lui resta... Violette ne possédait plus rien pour se défendre ou pour parer de nouvelles attaques et avait donner tout ce qui lui resta d’énergie dans cette riposte, le corps debout mais titubant à cause de ses bottes a talon argenté en restant adossés contre le mur avec la vue qui se brouilla peu à peu, la salive sortant de sa bouche et les mains de nouveau élever devant elle en garde, elle ne pouvait plus savoir ce qui pourrait lui arriver au tour suivant mais vivement que ce démon l'achève pour de bon et qu'il passe à table, vaux mieux ça que mourir en luttant pour rien, en tout cas il ne va pas y couper. 

Ce coup que Zack avait porté lui avait fait ressentir une intense satisfaction. La déformation de la peau, le craquement des cartilages, le son d'un souffle coupé, chaque secondes de cet instant était analysé et savouré pleinement. Au vu du bruit qu'avait fait la jeune fille, et la façon dont elle se courbait, il était évident que la voleuse allait régurgiter son repas. Ce n'était pas la première fois que ça se produisait et l'homme en avait l'habitude, il fit un petit pas en arrière pour éviter de se salir avec les fluides de sa victimes. C'est alors que l'improbable ce produisit : Alors que tout semblait croire que le combat était terminé, la jeune fille se mit à vomir, mais elle eu la lucidité de le faire sur le visage de son agresseur.

Qu'est-ce que ?! Bwaarh !! Hurla de dégoût et de surprise Zack.

Porté par la force du désespoir, la voleuse profita que l'homme avait la vue obstrué par la bile chaude et malodorante pour brûler ses dernières forces, et le frapper. Zack subit un enchaînement de coup, chacun porté avec précision et dans un but précis, la violence de l'assaut fit tomber Zack. Il était maintenant étendu de tout son long sur le sol, face vers le ciel, les frappes l'avait secoué et son esprit c'était mis à vagabonder.

Je crois que j'ai jamais été autant humilié. Pensa t'il calmement. On m'avait encore jamais fait ce coup là. Maintenant, je vais sentir le vomi pendant des heures.

Décidément j'ai eu du nez... Se dit-il dans son esprit, la tournure de la phrase le fit ricaner. Je pensais juste qu'elle serait un petit amuse gueule, mais cette fille est un véritable repas pour moi. C'est si rare de nos jours des proies qui se débattent jusqu'au bout, c'est un véritable délice. Dommage que je ne puisse pas me régaler d'avantage. Puis il eut soudain une prise de conscience. Bon, ben il faudrait peut être que je me lève maintenant.

Zack passa lentement de la position couché à la position assise, il le fit de la même manière que le ferait un vampire qui sortirait de son cercueil. Puis, avec la même lenteur il se mit à genoux et poussa sur ces jambes pour se mettre debout.

C'est bon ? Tu t'es bien amusé ? Parce que moi, j'y ai pris beaucoup de plaisir. Dit-il sur un ton qui ne cachait en rien son amusement.

La jeune fille était adossé au mur, le souffle court mais la garde toujours haute, son esprit était toujours combatif, mais c'était probablement tout. Zack était maintenant persuadé qu'elle n'avait plus aucun atout dans sa manche, il se décida donc à avancer avec un pas confiant vers son adversaire qui aura été admirable jusqu'au bout. L'homme pris les fils qui étaient relié aux poignets de la voleuse avec sa main gauche. et tira d'un coup vif dessus pour lui faire baisser la garde, chaque fois qu'elle tentait de la relever, il retirait sur les câbles pour le lui faire rebaisser. Il n'y avait maintenant pratiquement plus d'espace qui séparait les deux personnages, l'odeur du vomi était devenu très certainement inévitable. Zack leva sa main droite pour la diriger vers le pantalon de la jeune file, même lorsque cette dernière tentait de l’empêcher de la toucher, il la repoussa avec ses fils, si une jambe faisait mine de se lever, l'homme donner un petit coup avec le bout de la semelle pour la refaire mettre pied à terre. Elle était devenu une véritable marionnette entre les mains de son marionnettiste, tout ses mouvements étaient stoppé avant même d'avoir commencé. Zack utilisa sa main droite pour défaire la ceinture de la voleuse, puis pour déboutonner le pantalon, révélant légèrement la culotte noire de cette dernière.

Je l'avais dit que je m'occuperai de ça ensuite.

Il glissa ensuite sa main dans le jean pour malaxer un peu les fesses mais ne s'y attarda pas.

Hum... Dommage que tu n'es pas de goût pour choisir tes sous-vêtements. Dit-il avec un petit soupir de déception.

Zack posa son doigt sur le ventre de la jeune fille avant de reprendre la parole : Pourquoi je m'en suis pris à toi ? il fit ensuite remonter son index doucement jusqu'à arriver sur la bande de tissus. On me paye en général pour kidnapper des gens, mais parfois... L'homme tira d'un coup sec sur l'écharpe qui servait à cacher les seins de la voleuse, le noeud se défit sans difficulté et laissa la poitrine exposé aux yeux de tous. ...Je le fait uniquement pour le plaisir. Termina t'il avec un sourire dissimulé derrière son masque.

Une gifle foudroyante fusa sur le visage de la jeune fille, la faisant tomber sur le côté, puis il enchaîna avec un coup de pied dans le ventre. Les gémissements et les crachats de cette dernière montraient qu'elle n'avait pas encore perdu connaissance.

Ca, c'est pour m'avoir vomi dessus. Dit-il

L'homme se baissa pour se rapprocher du sol, il retourna la voleuse et la plaqua ventre contre terre, écrasant ses seins sur le sol froid de la ruelle. Ensuite, il utilisa les fils sur les poignets de la jeune filles pour lui attacher les mains dans le dos. Le nœud qui avait été fait était impossible à défaire sans une aide extérieur, trop élaboré et complexe à la fois pour pouvoir sans débarrasser, c'était un peu sa marque de fabrique. Il ôta les bottines de la voleuse et pendant qu'il s’exécutait Zack, se rapprocha du visage de sa victime pour lui murmurer à l'oreille.

J'ai réussi à trouver ta chambre à l'hotel en faisant croire au mec de l'accueil que tu vendais tes charmes. Te trouver fut un jeu d'enfant ensuite. il enleva ensuite le pantalon de la jeune fille, l'homme le retirait doucement pour profiter pleinement de l'instant. Peut-être que je vais te revendre à un proxénète après tout, je pense que tu y aurais un certain succès.

Il ne restait plus à la voleuse que sa culotte noire, une fois que les pieds de cette dernière furent lié et qu'elle fut détaché du tuyau de la ruelle, Zack laissa glisser sa main sur l'entrejambe de la jeune fille.

Mais il est sûr qu'avant ça, je profiterai bien de mon trophée de chasse. Après t'avoir fait mettre un string ou un tanga bien sûr.

L'homme se redressa et sortie un bâillon boule de sa besace, il se mit à genoux sur le dos de sa victime et attendit qu'elle tourne la tête pour que cette dernière aperçoivent la sphère noire anti-bruit pour reprendre la parole.

Si tu as une dernière chose à dire c'est maintenant !

Dans l'anime japonais du célèbre auteur Akira Toriyama, il existait des graines de haricot magique, il suffisait seulement de croquer dessus en l'avalant et toute blessure vilaine et énergie physique revenait à la hausse en un instant ! Dommage que ce genre d'ingrédient miracle n'existait qu'en histoire fictive et dessin animé... Ça aurait très bien pu requinquer notre amie ici présente et qui se trouve actuellement en bien mauvaise posture mais bien évidemment ce n'est qu'en faisait un séjour à l'hosto et en restant sous l’œil attentive des médecins en observation. L'adolescente ne savait pas comment elle à pu en arriver là malgré que son objectif était de piquer la vieille caisse qu'elle l'avait aperçue hier en arrivant dans le quartier de la Toussaint et comme par hasard, ce fut ce guignol qui l'avait "entraver" en plus d'avoir fait tomber son plan a l'eau ! Pourquoi s'être attarder sur une proie menue et chétive comme elle ? Elle n'avait rien pour plaire et n'était pas non une célébrité. Bref ! Miss Baudelaire avait maintenant perdue le combat et fut maintenu à la merci du monstre. Son ennemie prit un malin plaisir a la torturer vivante par ce temps glacé et bien entendue, lui-même fut bien vêtue contre le froid au contraire de la jeune fille, elle n'avait plus aucune carte en main pour renverser la situation (à moins qu'il ne lui laisse le temps de réfléchir à une autre option, ce qui l'étonna), l'idiot s'amusa avec elle comme si elle était une poupée articulé en jouant des fils reliés a ses poignets, il parla qu'il va empester la gerbe pour des heures, il lui conte, il suffit qu'il aille prendre une douche et ça sera réglé en moins de temps qu'il ne lui en faut ou peut-être qu'il n'avait pas de maison et qu'il vivait à la rue. Violette ne serait pas proche du même cas mis a part qu'elle au moins, elle voyage en découvrant de nouveaux horizons.

"La ferme et dépêche-toi de m'emporter hors d'ici, vieux con ! Je me gèle les pattes a t'entendre palabrer ducon."

Il déséquilibra la fille de cité par une réaction des plus maniaque, il lui ôta son écharpe rouge et la déchaussa de ses souliers haut avant de lui retirer le pantalon, la fille passait vraiment un mauvais quart d'heure, elle sentit les mains glissante vers le bas-du-corps entrain de lui palper le fessier mais ça ne servait à rien car les popotins ne sont pas galbé comme les vraies meufs noires ou métisse qui adore ça dans les soirées cocktails ou discothèque, pas de bol pour son assaillant. Il avait renverser à plat ventre après de prétentieux échange de coup a l'abdomen en plus de l'avoir dénudé sur la partie la plus voyante dans le corps d'une femme dont les seins ne résistèrent à l'assaut du sol glacial par contact du toucher, et comme qui dirait, elle apprit également un autre détail qu'elle n'avait pas remarquer, ce sale type l'avait suivi depuis son arrivée dans le quartier et ose vociférer ses intentions futures (ou prochaine) qu'il l'irait jusque la vendre comme une marchandise auprès d'un client en échange d'un bon prix. D'ailleurs miss Baudelaire n'avait rien d'une esclave sexuelle mais le bouffon masqué l'a voyait comme ça, elle pouvait voir une espèce d'item de type SM que se servent généralement les hommes soumis à leur maîtresse dominatrice (peut-être que les femmes font aussi parti de cette catégorie) et se pencher vers elle avec l'objet en main. Violette n'avait aucun compte a lui rendre, le froid lui avait engourdi le corps et des marques de gerçure se forma sur ses lèvres, elle tourna simplement de coté attendant le geste de soumission et garda les yeux a demi-ouvert avec l'esprit noire de honte et de colère en revoyant par réflexion un autre plan de rechange pour plus tard. 

La ferme et dépêche-toi de m'emporter hors d'ici, vieux con ! Je me gèle les pattes a t'entendre palabrer ducon.

Teigneuse mais pas trop. Zack c'était imaginé que sa victime grognerait plus que ça après c'être battu comme une lionne, mais il semblerai qu'elle ai compris que c'était fini. Pas de cri non plus, cette dernière préféra se murer dans son silence. En général, il y a plusieurs type de filles : Les désespérés qui tente d'appeler l'aide de quelqu'un à tout pris, les bagarreuse qui préfèrent se battre que de se rendre... Quand à la voleuse, il semblerait que ce soit une résignée, elle a accepté sa condition et préfère expédier ça en vitesse. Si seulement...

Bien ! ça me va aussi. Lui dit-il.

Zack appuya sur les joues de la jeune fille avec son pouce et son index, pour lui forcer à ouvrir la bouche. Ce n'était pas spécialement nécessaire, la victime se laissait relativement faire, mais il était important de bien continuer à montrer sa force afin que l'information se grave dans l'esprit de la voleuse. D'un coup, le kidnappeur enfonça le bâillon dans la bouche de cette dernière, puis tira sur les lanières en cuir de la même façon qu'on tire les rennes d'un cheval, après tout, il chevauchait sa proie. Une fois correctement en place, il le noua à l'arrière de la tête de la jeune fille et serra suffisamment fort pour qu'elle ne puisse pas le recracher ou l'ôter sur un malentendu.

Je te trouve mieux comme ça. Un sourire narquois se dessinait derrière son masque. Mais pourquoi tant d'empressement ? Profitons de cette instant pour ce réchauffer un peu.

Tirant sur le tissus qui lui cachait les seins, Zack se pressa d'avantage contre le corps presque nu de la jeune fille. Ses mains glissèrent sous les seins pourtant écrasé de cette dernière et les joua avec. D'abord pressant avec force, malaxant comme pour pétrir une patte à pain, puis frottant les tétons en les faisant passer entre son index et son majeur. Alors qu'ils les pinçaient avec force, l'homme laissa glisser sa langue sur le cou de la voleuse, continuant lentement son chemin vers la joue de sa victime et de s’arrêter vers les oreilles, qu'il commença à mordiller. Son corps bougeait pour s'adapter aux gesticulation de la jeune fille, frottant son entrejambe sur les fesses de cette dernière pour lui faire sentir son érection. Sa bouche retourna vers le cou afin d'y faire un suçon dévorant. L'une de ses mains se désintéressa de la poitrine de la voleuse pour descendre jusqu'à la culotte.  Les doigts se faufilèrent à l'intérieur pour y trouver les lèvres du plaisir, faisant de langoureux cercle pour pouvoir profiter de chaque parcelle de son intimité.

Toujours dans l'ombre de la ruelle, le quartier semblait désert. Peut être quelqu'un était passé, peut être même que quelqu'un les avaient aperçu malgré la pénombre. Mais nous sommes dans le quartier de la Toussaint. Au mieux, la personne serait un voyeur timide se délectant d'un viol, au pire, il aurait demandé à participer. Ça il n'en était pas question, tout du moins, pour le moment. Cette fille était SA proie, SON trophée et il comptait bien en profiter. Zack stoppa son "repas" pour se redresser, se tenant à genoux sur sa victime, il remit son masque et ouvra grand les bras.

Laisse moi la faveur de devenir ton hôte et de t’accueillir ... en moi. Dit il sur un ton solennel.

Soudain, ses mains s’enfoncèrent dans son propre torse. En temps normal, il aurait fallu une force incroyable pour pouvoir pénétrer un corps par la simple force de ses doigts, et une opération de cette violence aurait très certainement dû projeter du sang, mais il ne fut rien de tout cela. A la place d'un liquide écarlate, ce sont des filets de lumière qui s'échappa de la poitrine de Zack. Un craquement sinistre résonna dans la ruelle alors que ses mains agrandir la plaie avec peu de difficulté. Une fissure se forma allant du haut du cou de l'homme, puis se scinda en deux pour aller jusqu'au bas des pied. Le corps de l'agresseur semblait petit à petit s'ouvrir comme s'il s'agissait d'une porte à double battant, laissant s'échapper de plus en plus de lumière de lui. Alors que l'intérieur de Zack ne semblait être constitué que d'une matière visqueuse et translucide, des bras surgirent pour s'agripper sur le corps de la jeune fille. Ces dernier étaient recouvert d'une forte pilosité à la couleur noir comme le goudron, les doigts était terne, avaient une forme arachnéenne, et possédaient des griffes sales et cassantes. Ces masses noires commencèrent à tirer lentement la voleuse dans le corps de Zack, l'immergeant dans cette substance surnaturelle. Il était inutile de se débattre, car la situation était similaire à celle d'un sable mouvant mais en bien pire, car là, la victime était ligoté, avec des mains qui l'attiraient vers le fond et à peine capable de gémir de terreur face à un phénomène qui n'avait plus rien de logique. Alors que la moitié du corps de la la jeune fille avait été absorbé, d'autre griffes noir apparurent et s'enroulèrent autour de ce qui restait d'elle, l'enfonçant d'avantage et plus rapidement, jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien. C'est alors que l'homme referma son corps comme si rien de tout ça n'avait jamais eu lieu.

...Qui ne dit mot consent. Dit il comme s'il venait de terminer un rituel.



Huuum... Quel serait le meilleur endroit pour pouvoir profiter de mon trophée maintenant ? Se demanda t'il dans son esprit. L'appartement est déjà occupé par le cadavre de son ancien propriétaire... Soudain, il s'exclama. Je sais ! ça devrait être parfait.

Et l'homme parti.

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La pièce était sombre malgré l'éclairage d'appoint, des ampoules autrefois enlevé avait été remis à leur place, des câbles qui avaient été mis pour tendre des pièges furent retiré pour être disposé autrement. Seul le strict minimum en terme de mobilier avaient conservé sa place. Le lieu était effectivement familier puisqu'il s'agissait tout simplement de la chambre de la jeune fille. Cette dernière d'ailleurs, toujours dans la même tenue que lorsqu'elle c'était fait absorber, était inconsciente sur le lit minable qui trônait au centre de la chambre. La disposition de ses liens avaient été changé, elle n'avait plus les mains ligotés dans le dos mais elles l'était à l'avant, lui octroyant un peu plus de liberté de mouvement. Sa bouche était toujours bailloné et un câble épais et noir formé un anneau autour du cou de la jeune fille. Enfin, cette dernière était relié à un réseau de fils plus fin qui parcouraient l'ensemble de la pièce jusqu'à ce rejoindre là où Zack était confortablement assis sur la seule chaise de la chambre.

Attendant patiemment que la voleuse reprennent conscience, il prit alors la parole.

Rebonsoir ma chère. Tu reconnais cet endroit ? C'est ta chambre. Lui dit-il avant de se lever. L'homme se dirigea alors vers elle calmement et lui ôta le bâillon de la bouche qu'il laissa pendre autour du cou de la jeune fille comme si c'était un collier. Vois-tu, c'est l'endroit que j'ai choisi pour faire de toi une pute si tu n'es pas digne d'entrer dans ma collection.

Elle ne sut pas si le mec a du lire dans ses pensées car il elle s'exécuta immédiatement, elle se mit à réfléchir une seconde et comprit qu'elle avait juste penser a voix haute... Elle sentit un truc froid frôler sa bouche qui avait l'allure d'un textile, le gars est entrain de la bâillonner afin qu'elle ne pousse sans doute pas de cri ou n'alerte la galerie, après cela et comme un vieux pervers, il se mit a jouer avec elle, miss Baudelaire ne supportant pas d'être toucher aussi sensuellement sans son accord secoua sa tête dont ses cheveux bougèrent en même que le crane. Ce fut vraiment humiliant mais elle devait endurer ça le temps qu'une porte s'ouvre au plus tard dans son champs de vision. Elle n'émit mot pour le reste de l'heure qui joua sur la durée de la séance et attendit juste la fin. Violette sembla être soit un mannequin de cire ou une poupée inoffensif mais inébranlable, car en usant d'une pareil astuce, il apparaît que certainement l’agresseur finira par se lasser de cette proie qui n'a aucune réaction ou d'interactivité sociale dans son univers car l'adolescente avait cette seule carte en main et avait miser son espoir dans cette technique ultime. Chose qui bien sure n'arrivera jamais car quelque chose d'anormal sembla justement se produire, elle crut d'abord que son corps est tirer par une force invisible (style une araignée ramenant sa proie piégé vers elle). La petiote paniqua comme jamais en essayant de s’éveiller de ce cauchemar sinistre mais elle ne pouvait rien y faire, elle refusa d'ouvrir la yeux et assista impuissante à l’absorption de son organisme dans cette poche surnaturelle qui continuera de la happer jusqu'à son dernier membre.

...

Elle ne saura jamais ce qui s'est réellement passer et cru que son heure fut arriver et que ce fut le faucheur de l'ombre qui fut venu la chercher pour la conduire dans le territoire des ombres (qui sait ? car il se pourrait que ses parents fut sans doute des pécheurs ayant fini en enfer vu qu'elle ne les as initialement jamais connus). Elle leva enfin les paupières et découvrit une pièce éclairé et chaude, elle ne se trouvait pas dans cette obscure ruelle glaciale ni a l'extérieur d'ailleurs. Comment avait-elle fait pour revenir dans sa piaule ? Il y a une heure environ elle allait préparer un grand coup mais elle fut stopper dans son élan par un maniaque qui l'a violer en plus de s'être acharner sur cette dernière puis plus rien, le trou noir ! Une voix qui ne lui ait pas familière mais détestable et aisément identifiable parvint à son conduit auditif, l'interrompant dans ses songes. Le sale gaillard se trouvait pas loin d'elle assit sur son fauteuil et osa lui dicter son objectif, qui d'ailleurs miss Baudelaire ne fut pas d'avis a lui rendre une affirmation positive parce qu'elle crevait de soif et donna une réponse par de simples raclement de gorge, elle ne fut pas en mesure de communiquer quoique soit avec la langue et la gorge vide et attendit pour l'instant d'être abreuver et elle ne fit rien que de le fixer du regard, attendant qu'il se bouge le cul en allant se rendre utile pour lui apporter un verre d'eau tiède et c'est par la suite qu'elle pourra savoir si elle pourra lui donner satisfaction ou non. 

Les chambres voisines avaient été vidé de leurs occupants un peu plus tôt. Cependant, au vu de l'épaisseur des murs, si la voleuse se mettait à crier, il serait facile de l'entendre jusqu'à l’accueil probablement. Ce n'était pas bien grave, déjà parce que personne dans ce batîment n'était capable de tenir tête à Zack, que l'hôtel se situait dans le quartier de la Toussaint (la police n'a aucun pouvoir dans cet endroit), mais en plus, le gérant était persuadé que la jeune fille avait commencé à vendre ses charmes, et personne ne voudrait prendre la défense d'une pute. La victime semblait avoir du mal à s'exprimer, ne communiquant qu'à travers quelques raclements de gorge disgracieux.

Est-ce que tout ce temps passé avec bâillon dans la bouche, t'aurai assécher la gorge ? Il prend une petit bouteille d'eau de 30 cl à moitié vide situé à côté de lui et lui jette sur le lit juste devant les genoux de la jeune fille. Hydrate toi donc. Profite bien de chaque gorgé car la prochaine chose que tu boiras sera ce qui sortira de ma bite.

D'un mouvement de doigt, les liens qui retenait la jeune fille, se désserent juste ce qu'il faut quel puisse attraper la bouteille. En vérité, quel boivent ou non ne change strictement rien pour lui, et même si elle tentait de le lui jetait à la figure, cela ne l'empêcherait pas de lui ravager la gorge avec sa colonne de chair (même si ligoté de la sorte, la voleuse ne pourrait pas l'envoyer bien loin).

Tu dois sûrement sentir une corde autour de ton cou, il se trouve que tu as été une proie un peu récalcitrante lors de notre première rencontre, mais maintenant tu m'appartiens. Zack fit un mouvement du pouce et le nœud noir se resserra fortement, empêchant la jeune fille de respirer. Le lien à été fait de tel manière à exercer une forte pression sur ta nuque, un seul mouvement brusque de mon bras et le résultat sera le même que si on venait de te pendre. Ne s’arrêtant pas de la stranguler, il reprit la parole avec une voix exagérément grave. La mort. Sur ces derniers mot, il relâcha son étreinte pour permettre à la voleuse de reprendre sa respiration.

Zack se délectait de la scène, voir sa victime au milieu de ce réseau de fils, pouvant être manipulé à volonté en agissant sur ces derniers comme un marionnettiste, cela lui donnait un peu l'impression d'être un dieu qui avait les pleins pouvoirs sur sa création. En fonction de comment allait se comporter la jeune fille, l'homme la rajouterait à sa collection et lui permettrait de rencontrer les autres femmes qui ont eux le malheur de croiser la route du Grey Stalker. Il pointa du doigt un petit sac de sport à bandoulière noir situé à proximité de la voleuse.

Sur ta droite, tu peux voir un sac poser à côté de toi. Tes liens sont suffisamment desserrer pour te permettre de l'atteindre et de prendre ce qu'il y a dedans. Il est rempli de sous-vêtement féminin, glané ça et là lorsque je déloge les gens de leurs habitats. Tu vas me faire le plaisir de changer ce que tu portes pour quelque chose qui mettra d'avantage en valeur ton postérieur. Inutile de chercher des culottes, caleçon, boxer ou même des shorty il n'y en a pas.

L'homme plongea son regard dans celui de la jeune fille, on pouvait y distinguer le vice sans aucune difficulté. Zack se lécha les lèvres, comme s'il se préparait à déguster un bon repas. Son impatience commençait à se lire sur son visage et ses actions, ne pouvant contenir sa jambe droite qui se mit à trembler d'excitation.

Allez dépêche toi ! On commence dès que tu te seras changer et je commence à avoir le pouce qui me démange. Ordonna l'homme.