Quand le directeur lui avait dit que son nouveau client était une cliente, Irina s'était d'abord détendue. Après tout, une femme ne pouvait pas lui faire tout le mal que les hommes lui faisaient et elles étaient généralement plus douce. Qui plus est, l'avantage des rapports lesbiens était qu'elle n'était pas obligé de subir la souillure de leur corps répugnant qui rentrait en elle pour cracher leur semence nauséabonde. Non, Irina était rassurée, presque satisfaite, si tout ceci n'était pas un viol perpétuel de son corps et de son esprit contraint et malmené par ses implants cérébraux.
La nouvelle cliente la voulait en tenue, ce qui rassurait aussi la belle blonde, sans doute louait elle ses services pour mener un traque au dehors sans qu'elle n'ait a subir de nouveaux sévices sexuels. Irina s'était donc rendue confiante à la chambre 9, libérée de la peur de devoir encore servir de jouet pour un quelconque détraqué.
Une fois la porte passé, le tableau qu'elle s'était fait commença à changer. La chambre était équipé comme les autres, de tout les instruments de plaisir et de torture imaginable, mais l'un d'entre eux avait été sorti pour l'occasion...
Un des employé de la firme se tenait devant elle avec un jeu de sangles et de courroies en cuir noir.
Employé - La cliente te veux attachée, vient ici, ferme la porte et agenouille toi face à la porte.
Irina sert les dent et les poings, elle ne savait plus quoi penser. La cliente avait elle peur d'elle ? Voulait elle jouer avec elle avant de l'envoyer en mission ? Si oui, pourquoi n'avait elle pas demandée qu'elle soit dévêtue ?
Employé - J'ai dit ! Avance toi, ferme la porte et t'agenouiller face à la porte !
L'ordre était impératif et tonitruant, la cyborg essai de lutter quelques instants mais ses implants commencent à s'activer et a modifier la chimie de son cerveau pour la rendre plus docile. Au bout de quelques secondes de combat intérieure, elle obéit aux ordres de l'employé et vient se positionner dos à lui. Il lui lie alors les poignets et les bras avant de descendre lui lier les jambes et les mollets à une puissante barre d'acier.
Irina essai de tirer sur ses liens pour se libérer, mais ils sont solidement arnachés. Enfin, l'employé vient placer la petite touche personnelle de BIOGENIX que la jeune femme hait par dessus tout: un bandeau, fin mais qui épouse parfaitement les yeux d'Irina pour la plonger dans le noir total. Elle l'entend partir et fermer la porte derrière lui, elle commence alors à se débattre et a tester chaque nœuds de ses liens, mais aucun ne cède. Au bout d'interminables minutes, des bruits de pas résonnent et la porte s'ouvre.
Irina entend alors une voie belle et séduisante, qui prononce des paroles qui lui glacent le sang.
Leona -
Oh alors c'est elle... je suis agréablement surprise, très agréablement surprise même ! C'est la première fois que je vais réduire à néant une femme plus âgée que moi... et d'une telle beauté en plus ! Je devrais peut-être profiter de cette belle image avant que son visage ne soit qu'une déformation de douleur et de grimace face aux supplices !"Réduire à néant" , "déformation de douleur" , "supplices", elle qui pensait que sa nouvelle cliente serait surement gentille...
Chacun de ses mots bouleverse Irina et font monter une peur panique. Elle recommence à se débattre en gémissant.
Irina -
Non... attendez... s'il vous plaie... je ne suis pas consentante... je suis retenue ici contre ma volonté... aidez moi.Courtier -
Silence Irina, excusez la Madame, nous l'avons choisit parce qu'elle était récalcitrante et que nous pensions que cela vous plairait beaucoup. Par souci de confidentialité, nous lui mettons un bandeau sur les yeux mais vous êtes libre de le lui enlever quand bon vous semble. Si vous désirez lui faire oublier votre visage, il vous suffira d'aller en laboratoire pour lui faire un lavage de cerveau. Je vous laisse prendre vos aises, n'hésitez pas à réclamer tout ce qu'il vous plaira en utilisant les interphones. C'est d’ailler la démarche à suivre si vous désirez faire usage d'un animal vivant pour vos jeux. Bonne journée Madame.Pendant que Leona contourne Irina et s'installe confortablement sur le lit derrière elle, le courtier sort et ferme la porte derrière eux, les laissant seules. Immédiatement, Irina en profite pour tenter d'engager une discutions.
Irina -
Attendez... s'il vous plaie... je vous en supplie aidez moi... je suis prisonnière ici... je... qu'es ce que... Qu'es ce que vous faite ? Non... pas ça...La cyborg sent que Léona lui dégage la nuque de son opulente chevelure et cherche ses prises du boit des doigts.
Irina -
Attendez... non je...Léona vient d'enfoncer les prises dans la nuque d'Irina, la tête de celle-ci remonte légèrement et se met à toiser le vide du plafond, la bouche demie ouverte. Elle ne dit plus rien, l'esprit bloqué par l'interface qui se déroule sous les yeux de la cliente de BIOGENIX.
Leona -
Voyons voir... Oh il y a tant de réglage intéressant... mhhh c'est difficile de choisir... je ne vais pas toucher tout de suite à ta personnalité nous avons tout notre temps... mhh... Oh tiens, des décharge électriques... et réglons là sur ce paramètre... voila !Elle pianote sur le petit ordinateur et donne un ordre simple aux implants cérébraux de la cyborg. Toute à son affaire, la jeune cliente en oublie totalement que le courtier est déjà parti depuis quelques instants.
Leona -
Je pense que j'ai compris comment ça marche, vous pouvez nous laisser, je vous remercie pour toutes ces explications.Elle débranche les câbles de la nuque d'Irina qui reprend connaissance.
Irina -
Pitié... pitié... libérez moi...Mais sa Maitresse reste sourde à ses misérables supplications et continue.
Leona -
Quant à toi ma belle poupée de chiffon, je vais procéder à un petit teste pour m'assurer que BIOGENIX ne sont pas des escroc. On m'as promit que tu serais d'une résistance à toute épreuves alors je veux le voir de mes propres yeux.Irina -
Que... qu'es ce que vous allez me faire ?La cyborg, tremblante de peur, entend Leona se lever et partir ouvrir une armoire de matériel. Elle délie ses chevilles de la barre pour la faire basculer en avant. Ses mollets, toujours attachés à ses cuisses, l'obligent à se tenir sur ses genou, le visage contre le sol.
Puis Leone prend le tuyau et pousse le bout sur le muscle délicat de son anus.
Irina -
Que ? Qu'es ce que c'est... att.. attendHAA !Elle sursaute et pousse un petit cris de douleur au moment ou le bout s'enfonce entre ses fesses et lisse la belle auréole de son cul. Elle commence à se débattre mais une décharge soudaine la fait hurler et elle se cambre contre le sol.
Leona -
Mais ne t'en fais pas ce n'est rien qu'un petit test tout simple. Je vais juste te remplir d'eau comme un ballon. Irina -
Nan ! Nan ! Je vous en supplie ne faite pas ça nan !Mais encore une fois Leone ignore ses supplications et ouvre le robinet.
Leone -
Il parait qu'un corps humain normalement constitué ne peut pas supporter plus de 4 litres d'eau. J'en attends donc beaucoup plus de ta part si tu es aussi résistante qu'ont me l'as fait croire.L'eau parcoure le tuyau et commence à se déverser dans les intestins de la belle captive. Sa fraicheur les fait se contracter mais rapidement le volume augmente, et ils commencent à gonfler, à boire, à se bouffir.
Irina -
Ho mon dieu non pas ça haaaaaaa...Son ventre commence à gonfler, d'abord une petite bosse dans le bas ventre, puis elle remonte et gonfle pour lui donner le ventre d'une femme enceinte de six mois.
Irina -
Stop... Stop ! Je... j'ai mal... arrêtez... pitié ! Pitié Maitresse arrêtez !Mais rien n'y fait, et son ventre gonfle encore au point de venir toucher le sol entre ses cuisses. Très vite le ventre d'une femme enceinte de neuf mois laisse sa place à celui d'une truie qui attend une douzaines de petits et l'eau continue de couler. Irina ne parle plus, elle gémit et cris de douleur, comme si elle avait oubliée le langage des hommes.
L'eau remonte encore, faute de place et vient comprimer son diaphragme et transforme son ventre en un énorme fruit mur, ovale et gondolé sur la forme de ses intestins dilatés.
Irina -
Stop ! Je ! ça passe plus je ! je vais... je vais éclater !La peau de son ventre se strie soudainement de vergetures qui remontent jusqu'à son nombril qui jailli hors de son ventre pour former une sorte de monstrueux téton bouffi d'eau. Irina voudrait mourir, elle appel la mort de ses vœux, mais son métabolisme est trop résistant, ses facultés de régénération trop efficaces et sa chaire ne romps pas.
L'eau, alors prisonnière et sous pression, ne trouvant plus de surface à occuper, commence à pousser sur le muscle de son anus qui commence à fuir. Irina recommence à hurler à mesure que son muscle anal ramolli et se distend sous la pression. Incapable de tenir encore, le muscle complétement dilaté et se distend totalement. L'eau se met alors à jaillir de son anus pour se rependre entre ses cuisses. Elle est parfaitement propre, du fait qu'Irina ne soit que rarement nourrie naturellement.
Irina pousse un long gémissement parcouru de sanglots, son anus totalement dilaté ne se contracte plus, il laisse, inerte, passer le tuyau et l'eau qu'il déverse.
Irina -
je vous en supplie libérez moi...Dit elle en gesticulant faiblement pour se libérer de ses liens.[/b]