Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Dongeon Keeper

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Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Dongeon Keeper

mercredi 19 octobre 2016, 21:14:50

Une eau cristalline miroitait à la surface, éclairée par de majestueux cristaux de roche et de toute la nature bio luminescente des Profondeurs d'Ahn Ak'Thar.
C'était un superbe endroit pour pécher, et aujourd'hui, Irina était là pour un superbe poisson aux écailles bleues turquoise...

La chasseresse cyborg de BIOGENIX avait prévue son expédition dans les Tréfonds depuis longtemps. Elle avait écouté les témoignages des survivants, volé leur plans, leurs croquis, les données des rares scanners qui y étaient entrés et en étaient ressorti pour connaitre chaque faille, chaque piège, chaque créature qui le peuple.

Elle avait préparé son plan de bataille avec soin pour ne laisser aucune chances aux gardiennes des lieux. Pour cela, elle avait jeté son dévolue sur celle qui lui semblait, malgré sa puissance, la plus faible des quatre. En effet Yesarath était connue pour son coeur tendre et amoureux et sa gentillesse, autant de points de faiblesses qui l'avait désignée comme première proie.

Mais plus encore que cela, la seconde faiblesse de Yesarath venait de sa nature aquatique. L'eau était un vecteur de vie... mais la manipuler était facile, et un simple bouleversement toucherait à coup sur toute créature qui y évoluait, la buvais, la respirait...


---

Le sol de la grotte est humide mais ça ne perturbera pas les appareils et les pièges qu'Irina a disposé autour du bassin d'eau souterrain. Elle est enfin prête. Elle prend une grande inspiration, ferme son coeur et son âme aux atrocités qu'elle s’apprête à commettre, et ferme les yeux pour laisser sa seconde personnalité la remplacer.

Quand elle ouvre les yeux, les doutes et sentiment humains ont été purgés de son esprit par ses implants cérébraux, il ne reste d'elle qu'une créature vicieuse et traitresse, soucieuse de servir ses Maitres avec efficacité.

Sans un mot elle se rapproche de l'énorme bidon qu'elle a disposé sur le lit du lagon brillant, elle pose son pied dessus, et le pousse dédaigneusement à la reverse. Le bidon tombe sur le bord de l'eau et commence à déverser une substance translucide, totalement indétectable au gout, à l'odeur ou à l’œil.

Irina regarde sa toxine infecter l'eau de ses miasmes chimiques.

Ce poison, elle l'a élaborée elle-même à partir de tout ce qu'elle a pu glaner sur la femme poisson. Une belle écaille qu' Yesarath avait stupidement offerte à une petite fille tombé dans ses eaux, lui avait permise de connaitre son adn, les forces et faiblesses de son corps. Des l'instant où la sirène touchera l'eau infecté, son sort sera scellé. Car la substance sapera ses pouvoirs magiques et sa force physique pour la réduire à l'état de simple femme poisson... et alors Irina pourra pécher...

La cyborg récupère le bidon vide et le cache dans une alcôve pour ne pas éveiller les soupçons. Puis elle pose un appât à sa ligne. Elle pose une tablette tactile à quelques mètres du lagon et enclenche une vidéo. Celle-ci montre ce que BIOGENIX à fait de la petite fille devenue femme, qu'Yesarath avait sauvé de la noyade de nombreuses années plus tôt, nul doute qu'elle reconnaitrait ça voie, elle n'avait que peu changée.

Irina lance sa ligne à l'eau en jetant dans le bassin un micro d'où s'échappent les hurlement de la jeune femme. Puis elle se drape de ténèbres alors que son camouflage optique s'active, et elle attend, prête à déclencher ses pièges.
« Modifié: mercredi 19 octobre 2016, 21:28:09 par Sujet 2501 »

Sulfure

Légion

Re : Dongeon Keeper

Réponse 1 vendredi 21 octobre 2016, 14:22:22

Il n'y a pas souvent d'occasions pour qu'une personne rentre à l'intérieur du donjon d'Ahn Ak'Thar sans que Sulfure ne l'apprenne, mais en cette journée, il faut avouer que la maîtresse des lieux n'as pas capté l'intrusion d'un nouveau danger, pour la simple et bonne raison que celle-ci, sûre de sa vigilance, a bien malheureusement oublié quelques détails qui lui aurait normalement permit de détecter la dangereuse présence. Mais non, se fiant à son regard, à sa nature précautionneuse, la femme perdit naturellement un brin de sa prudence, chose qui ne tardera pas à se révéler particulièrement dangereux pour les événements à suivre, car généralement se sont les plus prudents dans leurs approches qui ont les pires désirs envers le donjon. C'est ce qui explique notamment la haine de Sulfure pour tout les êtres qui se dissimulent pour entrer chez elle, la fourberie dont il font preuve étant pour elle une façon bien évidente de lui faire comprendre qu'il s'agissait non pas des êtres humains honorables qu'elle souhaite rencontrer, mais plutôt ces entités détestables, cruelles, les même qui autrefois ont eut l'occasion de lui détruire sa vie. Mais encore une fois, en cette journée, sa vigilance fut trompée, pour la première fois depuis bien longtemps d'ailleurs, et il est difficile d'imaginer ce que cela viendra à provoquer, dans les profondeurs d'Ahn Ak'Thar, dans les beaux et frais bassins d'une pureté éclatante depuis des siècles et des siècles... Oui, mais pour combien de temps encore ?

N'ayant reçue aucune visite ces derniers temps, Yesarath en profitait pour pouvoir réaménager son milieu naturel, prenant de son temps pour s'assurer que la faune, et la flore des grands points d'eau qu'elle traversait tout les jours se trouvent en excellente condition, et encore aujourd'hui elle produisait un travail merveilleux, nourrissant d'argile ou de terre riche les plantes qui s'affaiblissaient, ou cherchant à déplacer les bancs de poissons d'un habitat à un autre pour qu'ils puissent vivre, ou servir de repas quand ils commençaient à trop se reproduire. C'était un travail de longue haleine, mais elle avait le temps, son amie ne l'ayant pas informée pour l'instant de la présence d'un danger, et ses autres camarades étant elles aussi sûrement en train de se laisser aller à leurs propres activités, aussi choisissait-elle simplement de s'occuper de ses petites affaires. Et puis elle avait un nouveau camarade dans les environs depuis un moment, un drôle de poisson aux écailles mouvantes, et  la robe argentée, qu'elle essayait tant bien que mal d'apprivoiser à sa présence malgré la nature craintive de l'animal, et même si elle se doutait bien qu'elle ne parviendrait pas de suite à l'approcher, elle essayait au moins de lui créer un habitat convenable par de loults observations, cherchant à comprendre dans quel milieu il pouvait se plaire, afin de le lui reproduire de a manière la plus fidèle. C'est durant ce petit temps de recherche simple, mais active, que la sirénéen ressentie soudainement un trouble majeur, une gêne anormale, à l'intérieur de ses eaux... Quelque chose s'y était introduit, et cette chose n'était pas du tout pour lui plaire, la faisant frissonner de déplaisir.

Elle fronça les sourcils, et abandonna son observation pour produire un large looping aquatique afin de se retourner, puis banda les nombreux muscles de sa partie corporelle animale pour produire un départ puissant, vif, qui la fit fendre l'eau en direction de la zone de trouble qu'elle avait détectée. Il fallait être honnête, mais la femme n'appréciait pas plus les intrus que Sulfure, ayant bien connue la cruauté mortelle, et même si elle n'avait pas une vision aussi tranchée que son amie sur la nature humaine, savoir qu'il y avait ici quelque chose capable de modifier le lit tranquille de son habitat était en soi particulièrement désagréable, elle qui mettait tant de coeur à offrir à chacun de ses protégé le meilleur des refuges. Quiconque observerait son empressement, depuis la surface, aurait sûrement le droit de contempler un spectacle assez impressionnant, une flèche turquoise fendant les eaux de la grotte pour se précipiter vers un lagon éloigné, normalement peu visité tant sa position était particulière par rapport au reste des grottes, s'avançant à une vitesse prodigieuse, inégalable en milieu marin. En revanche, personne ne serait capable de voir l'air qu'elle portait sur le visage, un air encoléré, contrarié, car elle ne comprenait pas qu'elle n'ait pas été prévenue d'une visite, et pensait ainsi que cette étrange apparition d'un trouble ne pouvait être due qu'à une blague malsaine de ses camarades, blague qui aurait tôt fait de créer quelques réprimandes si elle venait à mettre la main sur la potentielle coupable, quitte à se tromper et à simplement passer ses nerfs sur la première qui lui tomberait sous la main.

Sauf qu'un détail vint soudainement changer sa perception des choses, car alors même qu'elle était en train de se déplacer en direction du bassin vicié, et même, qu'elle s'y précipitait avec une hâte à nulle autre pareille, quelque chose d'autre vint à capter son attention, quelque chose qui avait le don de changer l'intégralité de sa perspective des événements en cet instant. Il s'agissait de cris, d'hurlements perçants que l'eau lui ramenait depuis les tréfonds de la grotte, et même si ceux-ci paraissaient étranges, terribles même dans le fond tant ils étaient signe d'un profond malheur, cela laissait à comprendre à la femme au grand coeur que le trouble qu'elle avait pressenti provenait d'un être vivant, et celui-ci semblait purement paniqué. Elle n'avait plus de temps à perdre, et ce redoublement d'empressement ne manqua pas de pousser la sirénéen à faire preuve d'un certain manque d'attention, car elle ne capta aucunement les changements infimes dans l'eau qu'elle traversait désormais, elle ne sentit pas non plus ses communications avec Sulfure se brisée, et ses forces perdre en consistance. Elle avait l'impression d'aller toujours aussi vite, car ses muscles étaient toujours usés de la même manière, et pourtant elle perdait de ses capacités, de ses forces, rapidement, l'intoxication faisant si bien son effet que sans l'adrénaline, elle se serait sentie fébrile, et incapable. Et c'est dans cet état qu'elle déboucha dans le grand lagon, cherchant d'abord vivement du regard celui-ci pour voir si qui que ce soit était en train de se noyer, mais devant se rendre à l'évidence que non, elle se redressa rapidement et fendit la surface de l'eau pour s'y dresser, alerte, seule sa partie humaine visible, alors qu'elle cherchait autour d'elle le moindre signe de vie.

C'est là qu'elle l'aperçut. Une petite forme rectangulaire, étrange, lumineuse dans un coin de la grotte, et qu'elle s'en approcha qu'elle découvrit avec effroi ce qui y était affiché, par un procédé qu'elle n'expliquait guère : un image mouvante. D'ailleurs, des images d'une cruauté sans noms, d'autant plus qu'elle finit enfin par comprendre de quoi il s'agissait, une représentation d'une fille qu'elle avait aidée autrefois, une enfant fragile, perdue, qui avait bien grandit, mais don le timbre de voix déchirant lui vrillait désormais les oreilles, tandis que la vidéo lui montrait une véritable scène de torture à lui en retourner l'estomac. L'envie de vomir lui vint, et elle se retint de peu, le regard fiévreux et indigné, le souffle lourd par une panique incompréhensible.. Qui, qui avait osé faire cela ? Qui avait posé ces images ici ? Pourquoi n'avait-elle pas été au courant de l'arrivée de quelqu'un hostile au donjon ? Passant de l'empressement initial à la peur, au besoin de comprendre, elle commença à se tourner dans tout les sens, cherchant des yeux la moindre forme anormale dans cette partie de son chemin de prédilection, tandis qu'elle alla pour récupérer son arc et une des flèches de son carquois, et se rendit compte qu'elle avait à peine la force de se servir de ses mains, son corps tremblant continuellement, sans qu'elle ne puisse se contrôler. Mais qu'est-ce qui lui arrivait ? Elle se sentait mal, mentalement, physiquement, et observait les lieux alors même qu'elle savait que si elle devait se défendre, elle ne saurait même pas tirer une flèche convenablement dans son état... Devait-elle fuir ...? Devait-elle... :

 -  Sortez ! Qui que vous êtes, sortez ! Comment osez vous faire ça !? Montrez vous de suite !

La panique l'avait fait hurler cela bien malgré elle, d'une voix brisée...

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : Dongeon Keeper

Réponse 2 samedi 22 octobre 2016, 16:09:14

La proie est précisément là ou Irina espérait qu'elle se placerait, le corps intégralement sorti de l'eau après que ses poumons et sa peau ai bien absorbé la substance corruptrice de l'eau. Sa grande nageoire reposant sur le sable granuleux de la caverne, elle ne s'était pas encore rendu compte qu'elle avait perdu sa force surnaturelle et ses pouvoirs magiques. Le piège ne pouvait pas mieux fonctionner.

Irina actionne le mécanisme et l'enfer tombe sur la pauvre gardienne...
De puissants projecteurs dissimulés aux quatre coins de la pièce et au plafond inondent la salle d'une lumière vive et d'une chaleur étouffante. Yesarath en est éblouie pendant quelques instants, elle sent la chaleur assécher sa peau. L'air s'assèche lui aussi, comme l'humidité sur les roches qui s’évapore en quelques instants. Une petite détonation éclate suivit d'un étrange bruit de craquellement grésillant à mesure que le bassin se recouvre intégralement d'une mousse polyuréthane solide qui coupe tout espoir de retraite par l'eau, emprisonnant et tuant au passage tout les organismes qui vivaient dans le petit lagon.

A peine la femme poisson commence t'elle à retrouver la vue et se redresser sur son séant que deux nouvelle détonation éclatent de chaque coté d'elle,  l’assourdissant et la désorientant aussi efficacement que des grenades incapacitantes. Sauf que ce ne sont pas des grenades mais des lance filets. Fait d'un maillage étroit de matériaux ultra solides, tissées dans les meilleurs laboratoires de BIOGENIX dans le but de contenir les plus grandes et puissantes créatures Formiennes, les deux grandes toiles ouvrent leurs griffes et se précipitent sur Yesarath pour l'emprisonner.

Elle s'enroulent autour d'elle et compriment ses bras contre son corps avant de tourner autour de sa queue de poisson. Irina surgit alors de l'ombre et se précipite alors sur la nageoire que les filets ne peuvent pas immobiliser. Sans la moindre humanité, elle se comporte comme le plus cruel des pécheur qui attrape un requin. Elle saisit la nageoire en bout de queue pour y lier une solide courroie de cuir qu'elle cloue au sol avec la crosse de son fusil.

Irina - Bonsoir Gardienne... je suis ta nouvelle Maitresse... tiens toi tranquille et je ne te ferais aucun mal... mais si tu résiste, je vais devoir te soumettre par la force.

Ajoute la traqueuse en déposant une grande valise sur le sol.

Irina - J'ai besoin de toi pour accéder aux autres parties du complexe sans être vue de tes sœurs... et tu vas m'aider.

Sulfure

Légion

Re : Dongeon Keeper

Réponse 3 dimanche 23 octobre 2016, 19:35:09

Elle ne se sentait clairement pas en sûreté, c'était clair, mais elle ne pouvait pas non plus se permettre de jouer les froussarde, elle qui était une des personne les plus ancienne du donjon ! Elle s'était d'elle-même sortie de l'eau face à cet horrible spectacle qu'on lui obligeait de subir, plus pour une raison de détruire ces images mouventes de ses mains plutôt que de les contempler de plus près,  étant donné qu'elle n'avait étrangement pas la force de tirer une flèche, mais s'assurait de rester le plus près du bassin le plus longtemps possible pour pouvoir se permettre une retraite rapide en cas d'attaque. Les sirénéens étaient des êtres vifs et rapides, même quand ils se trouvaient sur terre, en comparaison des simples sirènes qui une fois hors de l'eau devenaient de véritable proie pour qui avait de mauvaises intentions, et sûrement se reposait-elle un peu trop sur cela pour réagir, car les choses se préparaient pour être bien plus soudaine qu'elle ne l'escomptait. Mais comment pouvait elle le savoir, elle s'était approchée un peu de l'écran déjà, et s'était placée de la meilleure des manières pour son adversaire, sans jamais s'y être suffisamment préparée au vu de sa faiblesse physique inexpliquée, et alors qu'elle se préparait à fondre vers cette chose insupportable pour elle, elle se fit enfin la remarque fatidique, mais bien trop tard : Est-ce que justement, cette chose n'était pas faite pour la rendre folle de colère, et la tirée hors de l'eau ? Est-ce que sa faiblesse physique n'était pas prévue dés le départ, et que le trouble qu'elle avait ressentie dans l'eau n'était pas la raison de sa perte drastique de capacité ? Malheureusement encore, ce doute normalement salvateur vint trop tard ...

Soudainement, avec un claquement sonore que la femme n'avait encore jamais entendue en ce monde, une lumière éclatante vint naître au coeur de la pièce, une lumière si forte et importante, tout autant que soudaine, qu'elle n'eut pas le moindre instant pour s'en défendre ! Ses yeux adaptés à la pénombre vinrent d'un coup à la faire souffrir cruellement, tandis qu'aveuglée, elle ne put que se protéger de cet éclat imprévisible en venant placer ses mains devant ses paupières fermées, essayant tant bien de mal de récupérer de cette soudaine surimpression sur sa rétine, sans jamais ne voir autre chose q'un écran blanc éclatant devant son regard. La chaleur elle aussi la cuisait, à mesure qu'elle sentait l'huile naturelle sur sa peau se transformer lentement en une couche sèche, aride, qui se craquelait à une vitesse incompréhensible, pour tomber d'elle-même au sol en de légères couches d'un blanc pur, mais fragile, se réduisant en poussière une fois le sol touché. Elle était bien incapable de comprendre le reste, les explosions qui se produisèrent autour d'elle étant proprement un mystère pour la femme dont la vue était couverte par l'éclat lumineux, et elles résonnaient si bien dans la grotte que même avec l'oreille tendue, elle n'avait aucune capacité de savoir d'où elles pouvaient venir. Fuir dans l'eau aurait été une bonne chose, mais elle n'avait aucune connaissance de sa position, et sa souffrance occultait sa lucidité, si bien qu'elle se retrouvait là, immobile, mains sur le visage, geignant légèrement dans un chaos sans précédent.

C'est à ce moment là qu'elle sent, dans le sol même, deux explosions plus claire, des explosions qui ne présageaient rien de bon et qu'elle en se sentit que l'instinct d'esquiver avec la plus grande des vivacités... mais inutile, ses forces, elle en était privée depuis son arrivée aquatique, et alors même qu'elle n'arriva même pas à se déplacer normalement, ses muscles engourdis pour des raisons qu'elle ignorait encore pleinement, elle sentit deux formes terriblement oppressantes l'enserrer, l'écraser l'une entre l'autre, comprimant ses bras contre son corps, écrasant sa poitrine, faisant éclater les derniers reste d'huile sèche pour finalement ne laisser que l'apparence nubile de la femme, sa chair désormais sans protection placée sous pression entre les mailles quadrillées du filet qui la paralysait. L'objet s'enroulant autour d'elle avec cruauté, elle sentit sa jupe d'écailles en bas se briser, s'arracher, découvrant son bassin et ses formes intimes, avant que finalement le bruit cinglant des griffes attachés à l'outil de torture, qui cinglait son corps, vin à se produire alors qu'elle se fixait au sol avec force, la déséquilibrant finalement pour qu'elle s'échoue mollement à terre, non sans un brin de douleur supplémentaire, ne laissant que sa partie serpentine libre, prête à venir cingler le visage de quiconque s'approcherait une fois qu'elle aura enfin recouvrer la vue. Elle fut prise de vitesse pour autant, car quelque chose de crochu, de terribleemnt douloureux vint soudainement percer sa nageoire inférieur, la faisant crier franchement à l'intérieur de la grotte, alors que finalement elle sentit l'objet se tendre d'un doup pour se fixer plus loin, l'empêchant désormais de produire le moindre geste dans l'immédiat. Elle geignait légèrement, la douleur étant clairement difficile à supporter, et récupérait difficilement son sens de la vue quand finalement, le brouhaha ambiant se calma, et qu'elle put enfin entendre près d'elle des bruits de pas, accompagné d'une voix qu'elle analysa immédiatement comme désagréable.

 -  Bonsoir Gardienne... je suis ta nouvelle Maitresse... tiens toi tranquille et je ne te ferais aucun mal... mais si tu résiste, je vais devoir te soumettre par la force.

Honnêtement ? Yesarath ne serait pas dans une telle situation, rivée au sol, la poitrine comprimée, quasiment aveugle et n'ayant ni force physique, ni capacité à respirer, une personne qui lui aurait sortie ces mots aurait eut le droit de finir cribler de flèches avant même qu'il n'ai eut le temps de comprendre ce qu'il était en train de lui arriver. Malheureusement, celle qui s'était fait ainsi dépasser et piéger, alors même qu'elle était dans son habitat naturel, dans le domaine où elle était reine, était celle qui se trouvait actuellement au sol, dans une position terrible, où même ce qu'elle souhaitait normalement dissimuler, à savoir ses attributs sexuels, étaient mis à vue de son adversaire à cause de la pression des filets qui avait briser les attaches entres les écailles factices. Elle se sentait misérable, vaincue, et dans cette position elle n'était même pas capable d'aller chercher la graine de contact, qu'elle cachait normalement dans sa jupe, pour appeler Sulfure, et la prévenir du danger imminent qu'elle encourait face à son adversaire. Alors elle ne disait rien, elle ne s'exprimait même pas, elle faisait taire sa colère envers l'intrus non sans se faire la remarque qu'elle avait uniquement le désir ultime de la tuer, elle qui pourtant était si douce de coeur normalement. Interdite, elle essaya bien de se déplacer au moins un minimum pour sortir de son inconfort, mais le pic flagrant de douleur qui remonta de la base de sa blessure caudale jusqu'à l'arrière de son crâne lui mis les larmes aux yeux, et la paralysa immédiatement, l'amenant à taire son état, et à ne plus essayer le moindre mouvement.

 -  J'ai besoin de toi pour accéder aux autres parties du complexe sans être vue de tes sœurs... et tu vas m'aider.
 -  Ah oui ? Rêves donc, il n'y a aucune chance que je te guide après cela pétasse ! Bon courage pour survivre à la colère de Sulfure une fois que tu auras été découverte !

Elle faisait la brave, mais ses mots étaient faibles, comme sa voix, et même si elle voulait paraître agressive pour faire passer son avis sur la question, elle était bien incapable de ne pas laisser les sanglots passer au travers de sa gorge, pour finalement ternir ses propos d'une marque flagrante de faiblesse. Elle était vaincue, il fallait se rendre à l'évidence, et elle avait beau faire tout les efforts du monde pour se contrôler, elle pouvait très bien imaginé, au plus profond d'elle, la mort qu'elle allait subir sous peu, par le biais d'une femme qui se prétendait être sa nouvelle maîtresse. Jamais elle n'accepterait à nouveau l'esclavage, et le fait de subir chaque jour le comportement insupportablement dédaigneux des êtres humains, aussi savait elle qu'elle chercherait toujours à défier ceux qui voudront l'asservir, quitte à s'approcher dés lors dangereusement de son départ funeste. Retrouvant enfin la capacité de voir, elle ne put que remarquer les filets autours de son corps, dont le fil sombre paraissait étrangement résistant, et le fait de les remarquer ne fit que rajouter à l'inconfort qu'elle percevait lors du frottement de cette matière sur sa peau dénudée. Elle avait l'impression de ressembler à un morceau de viande, sa poitrine comprimée se séparant grossièrement en plusieurs morceaux entre les lignes de cette prison factice, sans parler de son bassin dont les quelques attaches avaient tracés de fines lignes rougeâtres sur son corps fragile. Essayant de respirer tant bien que mal, incapable de produire le moindre effort pour sa libération, elle finit par passer tant bien que mal un regard par dessus son épaule, contemplant la forme encore flou de la femme grossière qui venait de la réduire à l'état de pauvre petite victime en un temps record :

 -  Alors que vas-tu faire, chienne ? Achèves moi vite avant que je ne recouvre assez de force pour me défendre ! Tu ne voudrais pas finir avec une flèche coincée dans la gorge, n'est-ce pas ?

Voilà, quitte à subir cette honte, autant en finir de suite... Désolé Sulfure, je serais la prochaine à partir.

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : Dongeon Keeper

Réponse 4 lundi 24 octobre 2016, 19:31:51

Un rire délicat et cristallin résonne dans la caverne au moment où le camouflage optique d'Irina tombe et révèle sa beauté glaciale.

Irina - Te tuer ? Non... Ne t'en fais pas pour le poison, il fera effet aussi longtemps qu'il le faudra. D'ailleur à ce propos...

Irina donne un coup de pied dédaigneux dans le bidon de toxine qui vient rouler au dessus du corps de Yesarath. Le fond du récipiant se déverse et forme une petite flaque autour du corps de la Gardienne. En contact avec le produit pure, elle se sent soudain faiblir au point de n'avoir pas plus de force qu'une simple humaine.

Irina - Bien, maintenant au travaille ma belle...

Dit elle en ouvrant sa valise. La cyborg en sort deux pinces en métal chromé reliées à une petite, mais épaisse barre de fer. Elle pose son pied contre le dos de la gardienne pour lui appuyer la poitrine contre le sol et la chevauche pour venir s’assoir sur ses reins.

Irina - Bien... tu feras une superbe monture... et confortable qui plus est...

Ajoute t'elle en caressant la courbe écailleuse des fesses de Yesarath. Puis elle découpe le filet dans le dos de la captive et attrape ses avants bras. La poigne de fer d'Irina est implacable, et la femme poisson n'a aucune chance de lui échapper. Irina passe une pince à chacun de ses avants bras et plaque la barre de fer contre son dos. Yesarath se retrouve immobilisée les bras le long du corps, légèrement ramenés en arrière.

Irina lui passe alors un collier de cuir autour du cou et le sert jusqu'à ce que la gardienne ai du mal à respirer. Elle passe une chainette dans l'anneau de nuque et la tire jusqu'à la barre de fer dans son dos, lui obligeant ainsi à relever la poitrine et légèrement l'arquer en arrière comme un cheval de course.

Irina - Bien... Tu es prête à obéir maintenant ? Tu veux dire un dernier mot avant que...

Irina laisse pendre devant le regard de Yesarath un bâillon en forme de more d'équitation.

Sulfure

Légion

Re : Dongeon Keeper

Réponse 5 mardi 25 octobre 2016, 01:01:29

 - Te tuer ? Non... Ne t'en fais pas pour le poison, il fera effet aussi longtemps qu'il le faudra. D'ailleurs à ce propos...

Le fait que la femme prétexte que le poison qu'elle avait ingéré allait durer autant de temps que nécessaire était très étrange. Un poison durait toujours un temps donné, elle ne voyait pas comment celui qu'avait utilisé cette connasse pouvait durer seulement le temps nécessaire à cette dernière pour qu'elle puisse mettre à l'oeuvre ses pensées sadiques et réductrices. Pourtant, comme si elle semblait parfaitement sure de cela, elle ne tarda pas à venir pousser une sorte de lourd baril, qui était là, placé bien à couvert derrière un lourd rocher du lagon, et vint à en déverser les restes directement sur Yesarath, qui ressentie une sensation étrange et poisseuse lui provoquer un long frisson dans tout le corps. Alors c'était cela ? Ses forces la quittaient à une vitesse folle, et malgré l'hydratation de sa peau, elle était incapable de reformer une couche d'huile protectrice : quoi que c'était, et elle ne savait pas comment cela était possible, mais ce poison était tout simplement la forme la plus parfaite de ce qui était capable de l'amoindrir, et de la vaincre. Comment la femme avait put en obtenir une telle dose était aussi quelque chose dont elle était en pleine incapacité d'imaginer. Tout ce qu'elle savait, c'est qu'à l'instant, même si elle avait l'usage de ses bras et de sa queue, elle ne serait surement pas capable de gérer cette adversaire, ses muscles ne lui offrant même plus assez de forces pour pouvoir se déplacer, et elle le savait bien, étant donné qu'elle avait essayée malgré la douleur, que son corps était devenu trop lourd pour elle...

 -  Bien, maintenant au travail ma belle...

Et voilà que cette ... elle n'avait pas de mot assez fort pour la définir, cette ignoble et insupportable femme se pose sur elle sans la moindre douceur, lui coupant la respiration alors qu'elle peut sentir ses mains se balader sur son corps, allant palper ses fesses avec une insistance plus qu'importante, rajoutant aux termes "ignoble" et "insupportable", le terme "lubrique" !

 -  Bien... tu feras une superbe monture... et confortable qui plus est...
 -  Qu'est-ce que tu as en tête espèce de dépravée ?

Mais pas de réponses, à la place elle sent enfin le filet quitter son corps et la libérer en partie, ce qui lui fait se poser une question pendant un court instant : est-ce qu'elle est en présence d'une humaine capable des pires atrocités, ou tout simplement d'une cinglée qui n'en fait qu'à sa tête, qui s'est perdue dans le désert et qui depuis a désirée produire ses jeux malsains sur la première personne possédant un minimum de bon sens qu'elle croiserait. Bon le fait qu'elle ai préparée un piège parfait invalidait la deuxième option, mais en tout cas il est clair que Yesarath remettait clairement en doute la pensée de la femme, qu'elle jugeait comme déviante, et elle ne fut pas déçue quand elle sentie finalement ses bras être tirée en arrière sans tendresse ou douceur, avant qu'elle ne sente un dispositif barbare lui lier les bras dans le dos, l'obligeant à se plier en arrière avec une certaine douleur, surtout quand on considérait qu'elle avait à peine la force d'user de ses muscles. Puis, comme si cela ne suffisait pas, la femme continua son train-train ignoble, poursuivant son comportement de soumission forcé en l'affublant d'un collier qui manqua presque de lui couper la respiration, la laissant pantelante dans une position des plus désagréables, alors qu'elle rajouta à la cambrure de son dos en liant le collier au premier dispositif, la faisant terriblement souffrir. Elle se sentait honteuse, mais surtout, au delà de la honte, elle avait infiniment peur de connaître à nouveau l'esclavage, et tout ce fatras dont elle était désormais affublé commençait à faire vriller son esprit sous l'effet de la terreur.

 -  Bien... Tu es prête à obéir maintenant ? Tu veux dire un dernier mot avant que...
 -  Avant que ...? Avant que quoi ?

C'est là qu'elle put voir le dernier outil que la femme comptait lu imposer, et se sentit presque au bord de la panique. Si la douleur n'avait pas été aussi vive, il était certain que Yesarath serait déjà entrée dans un état de terreur telle qu'elle en serait devenue folle, et aurait fuit au loin avant de devoir recevoir une bonne grosse thérapie de câlin de la part de Mor'Medras ou de Sulfure, mais la lucidité forcée qu'elle subissait ne faisait que lui rappeler à quel point ce genre d'événement lui rappelait son terrible passé. Elle ne voulait pas subir à nouveau cette humiliation, elle ne voulait pas non plus souffrir encore comme elle avait souffert lorsqu'elle avait été capturée par des esclavagistes autrefois. Et surtout elle ne voulait pas obéir à cette femme, malgré sa peur, malgré ses craintes, malgré le fait qu'elle imaginait très bien ce qui pouvait lui arriver après ce qu'elle avait contemplée sur le moniteur, elle n'avait proprement aucune envie de baisser la tête, étant proprement incapable de se résoudre à le faire même avec la provocation ouverte du mors de cheval devant son nez. Elle était une amie de Sulfure plus que toute autre, et jamais elle n'irait la trahir en s'avouant ainsi faible et vaincue à cause de ce genre de chose ! Alors non, et peut-être cela allait être l'humiliation de trop pour elle, mais elle ne comptait pas se laisser abattre, et alors qu'elle voit le cuir ainsi que la barre se balader devant ses yeux, elle sert le dent, avant de crier haut et fort :

 -  Tu ... TU PEUX ALLER TE FAIRE VOIR ! Jamais je ne me soumettrais à quelques putes dans ton genre, JAMAIS !

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : Dongeon Keeper

Réponse 6 mardi 25 octobre 2016, 22:37:42

Irina maitrise les gesticulations de la femme poisson en passant une main dans sa chevelure pour l'empoigner fermement et lui tiré la tête en arrière.

Irina - Je vois que tu refuse de te soumettre... tempis pour toi... je ne peut pas prendre le risque que tu te blesse en te débattant, tu serais une bien mauvaise monture avec les nageoires coupées. Tu ne me laisse pas le choix.

La cyborg plonge la main dans sa valise et en sort un grand bandeau de cuir moulé pour épouser la forme des globes oculaires de Yesarath. La surface du cuir est gravée de runes d'un rouge sombre que la femme poisson reconnait très bien depuis qu'elle connait les démons qui s'aventurent parfois dans le Donjon. Ce sont des runes succubiques, de la magie rose, mais un penchant très noire de celle-ci. Yesarath reconnait les mots de pouvoir qui composent le sortilège qui imprègne le bandeau.

Ugoloth la rune du dévoreur d'esprit, qui dévore les souvenirs et les mots. La victime affecté oubli lentement le nom des choses et les souvenirs qui s'y rattachent. D'abord les derniers mots et visage découverts, puis les gens et les choses du commun, puis les amis, la famille, la maison, jusqu a ce que la victime oublie son propre nom.

Vasharun la rune du chuchoteur, qui suce l’intelligence et la volonté de ses victimes pour les remplacer par le vide de la stupidité.

Et enfin Vicinia la rune corruptrice, qui sali la vertu et transforme la chaire pour instiller la perversion et la nymphomanie dans le corps de ses victimes.

Irina - Il y a quelques années, j'ai été la captive d'un seigneur de guerre démoniaque dans les plus profondes strates du plan infernal. J'ai lutté pour ne pas me soumettre... jusqu'à ce qu'il m'attache à son trône et me face porter ce bandeau...

Toujours en tenant la tête de Yesarath mais sans l’empêcher de parler, elle lui passe la boucle du bandeau derrière le crâne et le serre bien fort sur ses yeux. La femme poisson se retrouve aveuglée et de petites voies commencent à chuchoter dans sa tête.

Irina - Au bout de quelques heures je ne savais déjà plus ce que j'étais venue faire là... En revanche j'étais très heureuse de sucer la bite de mon Maitre...

Alors qu'elle parle, Yesarath sent un fourmillement insupportable naitre au creux de ses reins, ses seins s'alourdissent et elle sent ses tétons pointer naturellement. Elle comprend que le masque à déjà commencé à la corrompre, et qu'elle est en train d'ovuler, soumise à un cycle de chaleurs animales.

Irina - A la fin je me souvient qu'il m'avait renommé "Ma pute favorite" et que j'étais très fier de ce nom. A cette époque mes seins et mon culs avaient tellement enflés que je ressemblait plus à une Doll in latex qu'à une femme...

Yesarath sent la chaire de ses lèvres vaginales et bucal se gorger peut à peu de sang, elle sent son clitoris sortir de lui même de sa petite protection de chaire comme une fleur qui perce la neige.

Irina - Mais je ne suis pas un monstre et je sais a quel point tout cela peut te paraitre dégradant. Alors je te propose un marché... tu trahis ta patronne et tu m'aide a piéger tes sœurs, et je t’enlève ce vilain bandeau avant qu'il ne t'ai complétement transformée en bimbo décérébrée.

Sulfure

Légion

Re : Dongeon Keeper

Réponse 7 mercredi 26 octobre 2016, 16:23:36

 -  Je vois que tu refuse de te soumettre... tant pis pour toi... je ne peut pas prendre le risque que tu te blesse en te débattant, tu serais une bien mauvaise monture avec les nageoires coupées. Tu ne me laisse pas le choix.

Oui c'est ça, continue ton jeu de salope dépravée, de toute manière elle ne pouvait pas se défendre et n'avait même plus la force de déplacer sa partie caudale, bien trop lourde pour sa faiblesse musculaire, alors elle n'avait bien qu'à accepter son sort, et attendre tristement que l'humiliation se prolonge, n'est-ce pas ? Pourtant, au lieu de sentir l'installation sur son visage du dernier outil qu'elle avait présentée, elle eut au contraire le droit d'entendre la femme continuer de fouiller dans la lourde valise qu'elle avait amenée avec elle, et vaincue par la curiosité, elle ne put s'empêcher de laisser traîner un rapide regard en arrière, non sans contempler dés lors avec terreur ce qu'elle venait de tirer de sa boîte à malice ! Il s'agissait d'un long bandeau de cuir accompagné de quelques signes cabalistiques qui ne devaient pas dire grande chose à bien du monde, mais qu'elle était en pleine capacité de traduire depuis qu'elle vivait avec Mor'Medras, et s'était intéressée au langage de ses origines. Si elle devait résumée ses connaissances de l'objet, dire qu'il s'agissait là d'une des pires formes d'esclavagisme serait en deçà de la vérité, mais du moins une honnête manière de définir l'objet, car cette chose faisait partie de l'attirail "correctionnel" démoniaque, lavant l'esprit de celle qui s'en trouvait affublée pour s'assurée de sa loyauté et de sa docilité au moindre ordre qui lui serait dés lors exprimé. C'était une honte, intense, inacceptable que de porter pareil objet, et elle qui désormais n'avait pas la capacité de se défendre, ne pouvait même pas repousser la femme qui se préparait à l'en affubler, faisant gonfler sa rage :

 -  Il y a quelques années, j'ai été la captive d'un seigneur de guerre démoniaque dans les plus profondes strates du plan infernal. J'ai lutté pour ne pas me soumettre... jusqu'à ce qu'il m'attache à son trône et me face porter ce bandeau... Au bout de quelques heures je ne savais déjà plus ce que j'étais venue faire là... En revanche j'étais très heureuse de sucer la bite de mon Maitre...

Yesarath l'entendait monologuer au début, mais quand elle vint à poser le bandeau sur ses yeux, et l'attacher solidement derrière sa tête, ce fut rapidement d'autres voix qui vinrent traverser sa conscience, son esprit même, l'empêchant de se focaliser sur le discours de cette salope pour ne chercher qu'à faire taire les paroles insidieuses qui commençaient lentement leur travail de domination. Mais la sirénéen avait un défaut, malgré sa fuite d'il y a bien longtemps, elle avait déjà eut l'occasion de connaître le traitement rabaissant fait aux esclaves, elle avait aussi, naturellement, commencer à imprimer ce genre de choses en elle comme étant importante, dégradante... mais forte, très forte, le genre de choses contre lesquelles elle ne pouvait lutter naturellement, et cela provoquait tout simplement son inconscient à accepter la domination de ce genre de procédé avec une aisance presque malsaine. En de simples termes, elle avait beau essayer de se défendre, le bandeau agissait avec une rapidité croissante, et si sa tortionnaire parlait de quelques heures, il n'était pas dit que la demoiselle aquatique puisse tenir aussi longtemps, commençant déjà lentement la lubricité l'envahir, son corps se réchauffer, alors que son esprit avait tendance à s'embrouiller rapidement, lui répétant intérieurement qu'elle était cette esclave sans nom et sans famille, cette chienne sans honneur et sans vertu, cette inconnue sans volonté et libre-arbitre. La violence des mots, la violence de cette attaque mentale est quasiment impossible à résister pour la femme, et même tandis que cette sa... cette femme continue de parler, elle sent sa rage vaciller, fuiter lentement, vers une douce et appréciable servilité débilitante :

 -  A la fin je me souvient qu'il m'avait renommé "Ma pute favorite" et que j'étais très fier de ce nom. A cette époque mes seins et mon culs avaient tellement enflés que je ressemblait plus à une Doll in latex qu'à une femme...
 -  Ma... Ma pute favorite ...? C'est honteux.

Elle ne sais pas quoi répondre de plus à cela, ne fais pas gaffe à son corps, mais il est vrai que sa poitrine excitée a légèrement gonflée, que ses tétons se sont mit lentement à saillir, pour venir frotter contre la roche froide, sensation qui lui provoque maints frissons, sans parler de son "entre-jambe", qui semble lentement demander à ce qu'on la délivre de ses souffrances par un procédé des plus... abject ? Délicieux ? Dans le fond, les changements corporels étaient mineurs, son corps pouvant réagir à la rune, mais pas se métamorphoser complètement, ce qui allait surement décevoir la fe... la supérieure qui la chevauchait actuellement, elle la vaincue sans gloire, et cela la gênait un peu, mais son esprit lui était en train de s'accorder corps et âmes avec les désirs de cette délicieuse personne, non sans lui faire comprendre qu'elle devait lui accorder tout son être. Cela ne lui ressemblait pas, mais elle appréciait, pourquoi résister à quelqu'un qui lui offrait tant de merveilleuses choses ? Elle ne pouvait plus la voir, c'était le seul défaut de ce genre de procédés, mais après tout, avait elle le droit de poser les yeux sur la formes angélique de celle qui la dressait. Se rappelait-elle même de ce qui avait provoqué toute cette situation ? Elle n'en avait aucune idée, mais résister à la servitude fait mal non ? Elle ne peux s'empêcher d'accepter désormais, elle ne peux même plus s'empêcher d'avoir envie de demander, même si son coeur lui hurle de ne pas le faire, son esprit préférant se complaire graduellement dans le savant plaisir que le bandeau est en train de lui faire découvrir... ça a du bon d'être une chienne dans le fond !

 -  Mais je ne suis pas un monstre et je sais a quel point tout cela peut te paraître dégradant. Alors je te propose un marché... tu trahis ta patronne et tu m'aide a piéger tes sœurs, et je t’enlève ce vilain bandeau avant qu'il ne t'ai complètement transformée en bimbo décérébrée.
 -  Soeurs... Patronnes ? Qui ...?

De quoi parlait la maîtresse ? Elle ne savait pas, s'agissait-il d'autres servantes qui comme elle n'avait pas acceptée de lui obéir directement, et qui méritaient ainsi d'être punies, d'être réduites à l'état de salope bavante contre le sol ? Elle ne savait pas, mais la lubricité faisant son travail, elle trouva assez de force pour frotter son bassin contre la roche froide en dessous d'elle, son clitoris gorgé de sang venant frotter cruellement contre celle-ci pour lui provoquer de larges décharges, remontant tout du long de sa colonne vertébrale avant de la faire couiner de plaisir une fois son cerveau atteint, continuant de lui faire perdre la tête au point de se laisser complètement faire par le bandeau, son esprit grand ouvert à l'emprise psychique. Elle... Elle avait osée lui dire non, elle avait osée faire face à la maîtresse comme la pire des esclaves imaginable, elle ne trouvait même pas la moindre excuse à son comportement, c'était tout simplement intolérable de sa part, et elle imaginait bien que celle qui se trouvait sur elle n'aurait aucune valeur à lui accorder le moindre pardon. La terreur s'empara d'elle soudainement quand elle reconnue ses erreurs, et cessant de se frotter contre le sol, tremblante, de légère larmes vinrent à couler de sous le masque, vers ses joues, avant qu'elle n'essaye tant bien que mal de contrôler ses émotions pour s'exprimer envers sa chère, sa terrible, son omnipotente maîtresse. Le courage mis du temps à venir, mais sa voix se fit enfin entendre, saccadée de sanglots, de peurs, mais aussi d'une pleine servitude.

 -  Je... Je ferais tout maîtresse... je ... ne mérites pas pareille bonté. Je ferais tout pour vous, mais par pitié, châtiez moi pour mon atroce comportement... Je ne vous mérites pas.... pardon ... pardon pardon...

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : Dongeon Keeper

Réponse 8 mercredi 26 octobre 2016, 18:18:23

Irina, d abord surprise par l'efficacité fulgurante du bandeau, se reprend vite et décide de passer directement à la vitesse supérieure. Se disant qu'ainsi elle disposera de plus de temps pour vaincre et briser les autres gardiennes.

Mais avant de lui injecter l'antidote au poison, Irina devait s'assurer que l'esprit et la chaire de la femme poisson lui seraient totalement acquis pour éviter toute rébellion. Elle décide alors de condamner sa captive corps et âme en revenant sur sa promesse.

Irina - Très bien Esclave, très très bien... je suis très satisfaite par ta décision, tellement satisfaite que finalement je vais te laisser le bandeau te dévorer le cerveau et corrompre ton corps. En attendant je vais te faire plaisir et te punir comme tu le demande.

Irina relâche sa prise et pose son pied nu sur le visage de sa captive pour la tenir au sol pendant qu'elle tire un étui épais et noir de sa valise. Elle en sort un jeu de petites pinces  ornées de ravissants petits anneaux en argent.

Du bout du pied elle retourne Yesarath sur le dos. La pauvre esclave sent ses mains et la barre de fer lui égratigner le dos. Mais elle oubli soudainement cette sensation désagréable au moment où les doigts experts d'Irina se referme sur la chaire pulpeuse de son téton droit pour le masturber de bas en haut.

Sous l'effet de l'excitation et de la magie mutagène et corruptrice du bandeau, le téton de Yesarath se met à gonfler et prendre en volume, il s'allonge au point qu'Irina peut le faire rouler entre son pouce et son index.

Irina - Incroyable, il te corromps tellement vite... ça m'a pris des mois pour en arriver à ce stade. Peut etre que si je prend mon temps tu auras fini ta transformation avant qu'on ne rencontre ta consœur...

Yesarath sent soudain une vive douleur exploser dans son sein quand Irina referme la première mâchoire de pince sur son téton. Ignorant les plaintes de la femme poisson, elle fait teinter l'anneau sur son attache en lui donnant une petite pichnette

Irina - Tss tss... on est une bonne esclave à sa maitresse et on la laisse te transformer en belle monture.

Elle empoigne l'autre sein et commence à le masturber à son tour. Irina attend la aussi que la corruption du bandeau ai fait gonfler sa chaire avant de faire comme avec le premier. La poitrine de la gardienne se retrouve ornée de deux ravissants anneau d'argent. Yesarath entend un bruit de chainette, un cliquetis sec résonne et lui arrache un mélange de douleur et de plaisir à chaque sein alors qu'une boule vient pendre entre ses seins. Irina à relié ses deux obus par une chaine tendue par un poids en suspension, les embouts des pinces lui procurent un mélange chaotique de plaisir et de douleur.

Irina - Tu es de plus en plus belle Esclave, on continue..

Irina sait que cette partie là est plus sensible et qu'elle risque de se défendre. Alors elle trompe la vigilance de sa captive en lui donnant ce qu'elle veux. Yesarath sent un objet chaud et visqueux presser à la porte de son vagin, elle sent qu'il vibre et se tortille en tournant, lentement il s'enfonce en elle.

Irina fait de petit vas et viens avec sa pipette à insémination, la faisant tourner et vibrer entre ses doigts pour détendre les lèvres et le col de Yesarath. Elle l'enfonce de plus en plus profondément en elle pendant qu'avec son autre main elle dégage son clitoris de sa gangue de chaire et le prend entre ses doigts pour le masturber à son tour.

Irina joue avec le sexe de sa prisonnière encore et encore, jusqu'à ce qu'elle commence à la sentir jouir. A cet instant, la cyborg en profite pour enfoncer le reste de sa pipette et écarte les portes de son col de l'utérus. Elle le fait pénétrer jusqu'à ce que la garde en forme d'outre et pleine de foutre vienne toucher les cuisses de Yesarath. Celle-ci réalise alors tout à coup que ce n'est pas un god qui lui donne du plaisir depuis tout ce temps. Mais un monstrueux appareil utilisé pour inséminer les juments.

Irina - J'aime les montures bien dociles, pour les mâles on coupe les bourses, pour les femelles on féconde. Tu n'imagine pas à quel point une jument enceinte est douce et gentille... enfin tu vas le découvrir maintenant.

Et ignorant les suppliques ou les récriminations de Yesarath, Irina prend l'outre dans sa main et presse le contenu qui gicle bien au fond de l'utérus de la gardienne. Elle sent son ventre se remplir de semence et au bout de quelques instants elle se sent heureuse et comblée, comme magnifiée et accomplie. Elle voudrait se caresser le ventre avec tendresse, mais ses bras sont toujours liés dans son dos.

C'est alors qu'Irina prend le clitoris de Yesarath entre les doigts et commence à le faire rouler entre le pousse et l'index. Comme pour ses tétons, il gonfle et s'étire et la gardienne sent les mâchoires de la dernière pince se refermer sur la plus sensible de ses parties intimes. Son ravissant clitoris se retrouve pris en étaux et Irina y accroche à nouveau une boule  pour que celui ci pende manière obscène.


Afin de briser plus encore sa psychée, le masque démoniaque renvoi à Yesarath l'image de son propre corps. Il est beaux mais obscène et corrompu par le sexe. Ses tétons et son clitoris sont exibés et mis en valeur comme des fruits murs sur un étal. Mais par dessus tout c'est son propre visage qui la choque, car elle se voit sous son masque, ses yeux sont à demi révulsés et hagard, comme si elle était devenue complétement stupide. Sa bouche est grande ouverte et forme un rictus, une sorte de sourire satisfait alors que sa langue pend au coin de sa lèvre. La gardienne est choquée, ne sachant pas si elle est effectivement en train de se regarder, ou si ce n'est qu'une vision de plus imposée par le bandeau qui la noie en permanence d'images obscène.[/b]
« Modifié: mercredi 26 octobre 2016, 19:52:13 par Sujet 2501 »

Sulfure

Légion

Re : Dongeon Keeper

Réponse 9 jeudi 27 octobre 2016, 19:31:49

 -  Très bien Esclave, très très bien... je suis très satisfaite par ta décision, tellement satisfaite que finalement je vais te laisser le bandeau te dévorer le cerveau et corrompre ton corps. En attendant je vais te faire plaisir et te punir comme tu le demande. 

Ces mots, ces mots qui auraient dut la terroriser, mais qui finalement ne lui offraient que quelques promesses de souffrances futures, de juste retour de bâton pour son terrible comportement de plus tôt, ces mots qui normalement l'aurait fait se défendre pour sa liberté, pour son honneur, était juste en train de la rendre folle de bonheur. Elle ne se contrôlait plus, ne savait pas vraiment ce que faisait sa nouvelle maîtresse, mais sans honte, elle avait une plaine confiance en la capacité de cette divine personne à lui offrir la punition qu'elle se devait d'accepter, et ainsi, ne cherchait même plus à faire le moindre geste pour se défendre, ou fuir, elle attendait purement et simplement qu'elle vienne la châtier pour tout ce qu'elle s'était permise auparavant. C'est dans cette situation qu'elle sentit le pied de sa maîtresse lui écraser le visage au sol, la réduire à moins que rien alors qu'elle entendait, sans pouvoir bien sur le voir à cause du bandeau, quelque chose quitter un contenant quelconque pour finalement, très mystérieusement, ne plus produire le moindre son. Qu'avait sa maîtresse comme idée, qu'allait-elle lui faire subir ? L'excitation mêlée au mystère irrésolue était en train de lui faire imaginer les pires choses, à moins que ce soit le bandeau qui lui soufflait à l'esprit les quelques idées les plus saugrenues, des choses qu'elle n'aurait put jamais imaginer d'elle même ? Elle s'en moquait au final, tout cela ne faisait que confirmer ses envies les plus folles, et elle n'espérait qu'à ce que Dame Irina se mettent enfin au travail, pour lui apprendre à être une vraie bonne soumise.

Mais quand elle sentit les doigts de sa maîtresse sur l'un de ses tétons, elle ne put s'empêcher de gémir, bruyamment. Cette sensation, ce plaisir, il était si fort, si important, elle serait prête à tuer pour y avoir droit ! Pire que tout dans le fond, ça traversait son corps de part en part, le moindre toucher de plus ne faisait qu'augmenter le divin plaisir qui s'en écoulait, et alors même qu'elle cherchait encore à comprendre ce qui lui arrivait, les vrilles qu'imposait la femme à sa poitrine lui vidait la tête, ne laissait qu'une page blanche sur laquelle seule vibrait la terrible et inégalable sensation de se faire caresser sans qu'elle ne puisse se débattre, telle la pire des chiennes. Elle n'avait même pas mal à cause du dispositif dans son dos, elle ne le ressentait même pas, ce qui l'affectait était bien trop fort, bien trop intense, et elle en jouissait sans se retenir, bavant sans élégance son bonheur alors que sa maîtresse n'avait encore jouer qu'avec un seul de ses seins. Mais quand finalement la maîtresse passa aux choses sérieuse, ce fut un choc soudain, une révélation pour Yesarath, dont le corps tremblait de manière visible, évidente, car quand soudainement la mâchoire de la pince vint à écraser son téton, à le pincer cruellement sans qu'elle ne puisse s'y préparer, quand elle sentit cette douleur l'affecter, ce fut accompagné d'un plaisir si intense, si incontrôlable, que tout son corps se bloqua, se tendit alors qu'elle se mit à crier, de bonheur plus que de douleur, mouillant sans pouvoir se retenir, haletant plaintivement, perdant la tête sous les doigts de sa maîtresse.

 -  Tss tss... on est une bonne esclave à sa maitresse et on la laisse te transformer en belle monture.
 -  Ouiii.... Ouiiii maîtresse... Pa...hhnnn... pardon je vais me ... me retenir.

Dans l'état actuel des choses, c'était sûrement l'un des demandes les plus cruelles qu'on pouvait lui faire, mais comment pourrait-elle aller à l'encontre des voeux de celle à qui elle appartient ? Non, jamais, elle n'avait qu'à attendre, là, hagarde, se mordant les lèvres pour cesser de faire du bruit pour Irina, serrant les main dans son dos comme un rappel du fait qu'elle ne devait pas craquer, en aucune circonstances, et essayant malgré elle d'oublier le divin plaisir qui était peu à peu en train d'effacer son esprit, et de le remplacer par une pensée pleine de débauche et de lubricité. Quand la deuxième pince vient être installée sur son autre téton, elle ne manque pas de se bouffer la lèvre jusqu'au sang pour en pas venir crier d'agonie face à cette attaque, prête à prier pour que la femme accepte de la laisser exprimer tout ses besoin, toutes ses envies, mais elle sait qu'elle serait une mauvaise soumise en faisant cela, si bien qu'elle se retient encore et encore, de toutes ses forces, y donnant tout son âme pour ne pas décevoir Irina. Toutefois, quand le femme finit pas installer les deux chaines, puis le poids au bout de celles-ci, venant d'un coup tirer sur sa poitrine, manquant presque de lui faire ressentir que ses tétons vont se faire arracher sous le poids de l'objet, elle ne tient plus et hurle de plaisir, chacune de ses respirations ne manquant pas de la foudroyer d'une nouvelle vague supplémentaire de plaisir, l'entraînant lentement dans un cercle vicieux de plaisir répété qui ne lui permet même plus de réfléchir à sa servitude envers Irina, et donc du fait qu'elle doit se maîtriser pour le plaisir de sa supérieur.

 -  Tu es de plus en plus belle Esclave, on continue..
 -  Nnnhhh... gaaaaah ... aaaaah ... Ouiiiiii.

Le seul mot qu'elle a prononcé, en tout cas qu'elle a réussi à prononcé de manière intelligible malgré son état d'excitation catastrophique, c'est ce oui minaudant, plein d'extase, alors qu'elle sent en plus les doigts de sa maîtresse vénérée commencer à se perdre autour de son endroit le plus sensible, de sa fente intime qui ne demande qu'à être prise depuis tout à l'heure. Elle s'imaginait la femme utiliser ses doigts pour la faire vriller encore une fois, car elle n'était sûrement pas dôtée d'un sexe masculin, alors qu'elle ne fut pas sa surprise, et son extase, quand elle sentit soudain un objet large, bien rond et délicieusement chaud rentrer sans délicatesse en elle, ouvrant d'un coup ses chairs sensibles pour la faire hoqueter de bonheur, la sensation lui coupant même le souffle. Elle était si chanceuse d'avoir sa maîtresse, si chanceuse d'être traitée ainsi, et c'est autant qu'elle pouvait qu'elle souleva son bassin pour s'empaler encore un peu mieux sur l'objet, pour le ressentir bien au fond d'elle, pour que sa douce chaleur vienne bien occuper la moindre place dans son intimité, alors même que dans un état normal, elle aurait surement eut un peu peur d'un membre qui soit aussi large, et capable ainsi de lui faire perdre la tête. Et sa maîtresse le comprenait, car elle semblait tout faire avec ce membre pour bien détendre ses chairs pour qu'elle puisse l'englober dans sa totalité, pour qu'elle puisse jouir avec encore et encore. Plus le temps passait, plus elle arrivait à prendre cet énorme morceau en son bas-ventre, et l'extase qu'elle en retirait était plus fort, plus impérieux que la moindre des sensations au monde... Elle voudrait se faire prendre en permanence par cela, pouvoir en jouir sans discontinuer, et s'endormir alors même qu'on la baise comme une chienne avec cela...

 -  J'aime les montures bien dociles, pour les mâles on coupe les bourses, pour les femelles on féconde. Tu n'imagine pas à quel point une jument enceinte est douce et gentille... enfin tu vas le découvrir maintenant.

Incapable de garder la tête claire, elle mélange tout... le plaisir, les sensation, son corps, elle ne sait plus qui elle est, ce qu'elle fait là, tout ce qui compte c'est à quel point elle se fait défoncée par le membre large et épais de la femme, et la manière avec laquelle Irina le manipule n'aide en rien à lui clarifier les idées, ne la poussant qu'en son travers de sirénéen esclave ravie d'être le jouet le plus dépravé et honteux de sa maîtresse. Alors quelle jouissance, quel bonheur quand elle sent enfin le mécanisme de cette chose étrange en elle s'activer, et que d'un coup, un flot ininterrompu de semence vient à la remplir, d'une force sans limite, faisant apparaître un petit rebond clair et mou au milieu de son bas-ventre, tandis que le trop plein a le malheur de s'échapper de son intimité, venant couler sur ses cuisses alors même que sa terrible dominante est encore en train de torturer l'un de ses points sensibles. Sa queue tremble de bonheur, tandis que tout son corps humain, vidé de force par la puissance des sensations, elle qui n'en avait déjà plus beaucoup, s'écroule lentement, la bave lui coulant de ses lèvres entrouverte alors qu'elle gémit encore sans se maîtriser, le corps terrassé par un orgasme sans aucune mesure avec ce qu'elle avait put connaître juste là. Elle n'est même plus capable de sentir l'installation de la pince et du poids sur son clitoris, et se retrouver à contempler, de manière complètement hagarde, l'image qui lui est renvoyée d'elle dans son esprit : une pute, une catin sans honneur, une salope vide de force, l'intimité débordante de semence tandis que l'appareil d'insémination animale est encore planté en elle, ouvrant grand ses lèvres vaginales, d'une manière totalement obscène.

Et elle aime ça, elle adore ça, ne pouvant qu'ajouter une dernière supplique, marquant son abandon total :

 -  Maîtresse... Je ... je vous aime maîtresse... Je suis à vous... ferais tout pour vous.... Aaaah c'est tout chaud en moi... un ... un bébé pour maîtresse ...?

Elle perd la tête, mais n'y peux plus rien...


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