- Très bien Esclave, très très bien... je suis très satisfaite par ta décision, tellement satisfaite que finalement je vais te laisser le bandeau te dévorer le cerveau et corrompre ton corps. En attendant je vais te faire plaisir et te punir comme tu le demande.
Ces mots, ces mots qui auraient dut la terroriser, mais qui finalement ne lui offraient que quelques promesses de souffrances futures, de juste retour de bâton pour son terrible comportement de plus tôt, ces mots qui normalement l'aurait fait se défendre pour sa liberté, pour son honneur, était juste en train de la rendre folle de bonheur. Elle ne se contrôlait plus, ne savait pas vraiment ce que faisait sa nouvelle maîtresse, mais sans honte, elle avait une plaine confiance en la capacité de cette divine personne à lui offrir la punition qu'elle se devait d'accepter, et ainsi, ne cherchait même plus à faire le moindre geste pour se défendre, ou fuir, elle attendait purement et simplement qu'elle vienne la châtier pour tout ce qu'elle s'était permise auparavant. C'est dans cette situation qu'elle sentit le pied de sa maîtresse lui écraser le visage au sol, la réduire à moins que rien alors qu'elle entendait, sans pouvoir bien sur le voir à cause du bandeau, quelque chose quitter un contenant quelconque pour finalement, très mystérieusement, ne plus produire le moindre son. Qu'avait sa maîtresse comme idée, qu'allait-elle lui faire subir ? L'excitation mêlée au mystère irrésolue était en train de lui faire imaginer les pires choses, à moins que ce soit le bandeau qui lui soufflait à l'esprit les quelques idées les plus saugrenues, des choses qu'elle n'aurait put jamais imaginer d'elle même ? Elle s'en moquait au final, tout cela ne faisait que confirmer ses envies les plus folles, et elle n'espérait qu'à ce que Dame Irina se mettent enfin au travail, pour lui apprendre à être une vraie bonne soumise.
Mais quand elle sentit les doigts de sa maîtresse sur l'un de ses tétons, elle ne put s'empêcher de gémir, bruyamment. Cette sensation, ce plaisir, il était si fort, si important, elle serait prête à tuer pour y avoir droit ! Pire que tout dans le fond, ça traversait son corps de part en part, le moindre toucher de plus ne faisait qu'augmenter le divin plaisir qui s'en écoulait, et alors même qu'elle cherchait encore à comprendre ce qui lui arrivait, les vrilles qu'imposait la femme à sa poitrine lui vidait la tête, ne laissait qu'une page blanche sur laquelle seule vibrait la terrible et inégalable sensation de se faire caresser sans qu'elle ne puisse se débattre, telle la pire des chiennes. Elle n'avait même pas mal à cause du dispositif dans son dos, elle ne le ressentait même pas, ce qui l'affectait était bien trop fort, bien trop intense, et elle en jouissait sans se retenir, bavant sans élégance son bonheur alors que sa maîtresse n'avait encore jouer qu'avec un seul de ses seins. Mais quand finalement la maîtresse passa aux choses sérieuse, ce fut un choc soudain, une révélation pour Yesarath, dont le corps tremblait de manière visible, évidente, car quand soudainement la mâchoire de la pince vint à écraser son téton, à le pincer cruellement sans qu'elle ne puisse s'y préparer, quand elle sentit cette douleur l'affecter, ce fut accompagné d'un plaisir si intense, si incontrôlable, que tout son corps se bloqua, se tendit alors qu'elle se mit à crier, de bonheur plus que de douleur, mouillant sans pouvoir se retenir, haletant plaintivement, perdant la tête sous les doigts de sa maîtresse.
- Tss tss... on est une bonne esclave à sa maitresse et on la laisse te transformer en belle monture.
- Ouiii.... Ouiiii maîtresse... Pa...hhnnn... pardon je vais me ... me retenir.
Dans l'état actuel des choses, c'était sûrement l'un des demandes les plus cruelles qu'on pouvait lui faire, mais comment pourrait-elle aller à l'encontre des voeux de celle à qui elle appartient ? Non, jamais, elle n'avait qu'à attendre, là, hagarde, se mordant les lèvres pour cesser de faire du bruit pour Irina, serrant les main dans son dos comme un rappel du fait qu'elle ne devait pas craquer, en aucune circonstances, et essayant malgré elle d'oublier le divin plaisir qui était peu à peu en train d'effacer son esprit, et de le remplacer par une pensée pleine de débauche et de lubricité. Quand la deuxième pince vient être installée sur son autre téton, elle ne manque pas de se bouffer la lèvre jusqu'au sang pour en pas venir crier d'agonie face à cette attaque, prête à prier pour que la femme accepte de la laisser exprimer tout ses besoin, toutes ses envies, mais elle sait qu'elle serait une mauvaise soumise en faisant cela, si bien qu'elle se retient encore et encore, de toutes ses forces, y donnant tout son âme pour ne pas décevoir Irina. Toutefois, quand le femme finit pas installer les deux chaines, puis le poids au bout de celles-ci, venant d'un coup tirer sur sa poitrine, manquant presque de lui faire ressentir que ses tétons vont se faire arracher sous le poids de l'objet, elle ne tient plus et hurle de plaisir, chacune de ses respirations ne manquant pas de la foudroyer d'une nouvelle vague supplémentaire de plaisir, l'entraînant lentement dans un cercle vicieux de plaisir répété qui ne lui permet même plus de réfléchir à sa servitude envers Irina, et donc du fait qu'elle doit se maîtriser pour le plaisir de sa supérieur.
- Tu es de plus en plus belle Esclave, on continue..
- Nnnhhh... gaaaaah ... aaaaah ... Ouiiiiii.
Le seul mot qu'elle a prononcé, en tout cas qu'elle a réussi à prononcé de manière intelligible malgré son état d'excitation catastrophique, c'est ce oui minaudant, plein d'extase, alors qu'elle sent en plus les doigts de sa maîtresse vénérée commencer à se perdre autour de son endroit le plus sensible, de sa fente intime qui ne demande qu'à être prise depuis tout à l'heure. Elle s'imaginait la femme utiliser ses doigts pour la faire vriller encore une fois, car elle n'était sûrement pas dôtée d'un sexe masculin, alors qu'elle ne fut pas sa surprise, et son extase, quand elle sentit soudain un objet large, bien rond et délicieusement chaud rentrer sans délicatesse en elle, ouvrant d'un coup ses chairs sensibles pour la faire hoqueter de bonheur, la sensation lui coupant même le souffle. Elle était si chanceuse d'avoir sa maîtresse, si chanceuse d'être traitée ainsi, et c'est autant qu'elle pouvait qu'elle souleva son bassin pour s'empaler encore un peu mieux sur l'objet, pour le ressentir bien au fond d'elle, pour que sa douce chaleur vienne bien occuper la moindre place dans son intimité, alors même que dans un état normal, elle aurait surement eut un peu peur d'un membre qui soit aussi large, et capable ainsi de lui faire perdre la tête. Et sa maîtresse le comprenait, car elle semblait tout faire avec ce membre pour bien détendre ses chairs pour qu'elle puisse l'englober dans sa totalité, pour qu'elle puisse jouir avec encore et encore. Plus le temps passait, plus elle arrivait à prendre cet énorme morceau en son bas-ventre, et l'extase qu'elle en retirait était plus fort, plus impérieux que la moindre des sensations au monde... Elle voudrait se faire prendre en permanence par cela, pouvoir en jouir sans discontinuer, et s'endormir alors même qu'on la baise comme une chienne avec cela...
- J'aime les montures bien dociles, pour les mâles on coupe les bourses, pour les femelles on féconde. Tu n'imagine pas à quel point une jument enceinte est douce et gentille... enfin tu vas le découvrir maintenant.
Incapable de garder la tête claire, elle mélange tout... le plaisir, les sensation, son corps, elle ne sait plus qui elle est, ce qu'elle fait là, tout ce qui compte c'est à quel point elle se fait défoncée par le membre large et épais de la femme, et la manière avec laquelle Irina le manipule n'aide en rien à lui clarifier les idées, ne la poussant qu'en son travers de sirénéen esclave ravie d'être le jouet le plus dépravé et honteux de sa maîtresse. Alors quelle jouissance, quel bonheur quand elle sent enfin le mécanisme de cette chose étrange en elle s'activer, et que d'un coup, un flot ininterrompu de semence vient à la remplir, d'une force sans limite, faisant apparaître un petit rebond clair et mou au milieu de son bas-ventre, tandis que le trop plein a le malheur de s'échapper de son intimité, venant couler sur ses cuisses alors même que sa terrible dominante est encore en train de torturer l'un de ses points sensibles. Sa queue tremble de bonheur, tandis que tout son corps humain, vidé de force par la puissance des sensations, elle qui n'en avait déjà plus beaucoup, s'écroule lentement, la bave lui coulant de ses lèvres entrouverte alors qu'elle gémit encore sans se maîtriser, le corps terrassé par un orgasme sans aucune mesure avec ce qu'elle avait put connaître juste là. Elle n'est même plus capable de sentir l'installation de la pince et du poids sur son clitoris, et se retrouver à contempler, de manière complètement hagarde, l'image qui lui est renvoyée d'elle dans son esprit : une pute, une catin sans honneur, une salope vide de force, l'intimité débordante de semence tandis que l'appareil d'insémination animale est encore planté en elle, ouvrant grand ses lèvres vaginales, d'une manière totalement obscène.
Et elle aime ça, elle adore ça, ne pouvant qu'ajouter une dernière supplique, marquant son abandon total :
- Maîtresse... Je ... je vous aime maîtresse... Je suis à vous... ferais tout pour vous.... Aaaah c'est tout chaud en moi... un ... un bébé pour maîtresse ...?
Elle perd la tête, mais n'y peux plus rien...