Sous le traitement de Maman Kimiko, Pauline laissait parler ses pires et ses plus intenses pulsions. Un véritable bonheur à voir, et même Kimiko haussa les sourcils, sous l’effet de la surprise, quand elle vit Pauline enfoncer sa main dans le cul bien élargi d’Amber. Il fallait bien admettre que la neko l’entretenait bien, et, quand cette dernière sentit les doigts resserrés de Pauline filer en elle, elle se mit à hurler, plus fort encore, crispant ses doigts, des vagues de plaisir venant la traverser de part en part. C’était intense, et très éprouvant, mais aussi terriblement excitant. Amber se mit à miauler de plaisir, pendant que sa mouille venait dégouliner le long de ses cuisses. Le must, toutefois, restait Kimiko, qui continuait à bourrer la chatte en feu de Pauline, la sentant jouir à plusieurs reprises.
Finalement, la jeune fille se retourna vers Maman Kimiko, et lui fit une demande qui ne manqua pas d’amuser la puissante femme. Magnifique dans sa combinaison, impérieuse dans ses mouvements, Kimiko retira sa verge du vagin de la femme, laissant sa mouille couler sur le sol, et, très rapidement, approcha sa queue trempée de son fondement. Ses pouces écartèrent sa croupe, dévoilant l’accès à sa rondelle, et, dans un soupir, elle alla se planter en elle.
«
Han... PUTAIN !! »
La sensation était d’autant plus exquise que Kimiko était bien excitée, avec une queue bien dure et bien tendue. Sentir ce cul étroit se crisper sur sa queue, ça n’avait tout simplement pas de prix, et ses mains s’abattirent à plusieurs reprises, en conséquence, sur la croupe de Pauline, venant la gifler sèchement, pendant que son membre s’enfonçait progressivement en elle, arrachant à la jeune salope des hurlements de douleur. Kimiko serra les dents, forçant progressivement le passage, se tortillant sur place, jusqu’à sentir les parois internes de Pauline s’écarter, lui laissant le passage.
«
Hmmmmmmmmmm... !! »
Silencieuse, Noémie observait le spectacle avec un mélange de fascination et d’excitation, puis Kimiko commença à remuer, les crissements du latex venant reprendre pour signaler que la pénétration retrouvait un rythme plus soutenu. Kimiko, tout en soupirant longuement, fit alors signe à Noémie d’aller lui chercher quelques objets pratiques. Hochant la tête, la jeune fille se releva, et s’empressa de s’exécuter.
Kimiko reprit donc sa pénétration, accélérant le rythme.
«
J’ai rarement vu une salope comme toi, Pauline... Tu es là depuis même pas une journée, et... Hmmmm... Vous, les Terriennes, vous êtes vraiment des salopes en manque ! »
En couchant avec les Mamans, Pauline allait devoir s’habituer à être insultée. Elles étaient beaucoup moins douces que leur Maîtresse, comme si elles avaient besoin de marquer leur supériorité. C’était une marque de fabrique locale à laquelle, cependant, on se faisait rapidement. Et puis, qui serait contre le fait de sentir la verge de Kimiko s’enfouir en vous, et vous ramoner votre petit cul ? Sûrement pas Pauline, en tout cas, qui se dandinait joyeusement sur place au fur et à mesure que Kimiko venait la butiner.
La sodomie durait depuis de nombreuses minutes quand les muscles de Kimiko se crispèrent. Ses lèvres se serrèrent, et tout son corps se relâcha brusquement, tandis que, dans un long cri ténu, elle laissa d’épais filaments de foutre s’échapper de sa queue, venant remplir les fesses de Pauline, remontant dans son colon. Kimiko avait la jouissance généreuse, et, pendant une bonne minute, elle continuait à prendre Pauline, se lâchant de plus en plus, répandant des filaments de foutre en elle.
Maman Kimiko se calma peu à peu, ses doigts enfoncés dans la chair moelleuse et en sueur de Pauline, et commença à respirer plus calmement.
«
Hm, bordel, ça fait un tel bien... De se vider les couilles dans ton cul de petite chienne en manque, Pauline... Tu le sens en toi ? Mon sperme chaud ? Tu es bien remplie, là, hein ? »
Le temps que Noémie (qui prenait décidément tout son temps !) revienne, Kimiko s’amusa à remuer délicatement, d’avant en arrière, juste pour offrir à Pauline la sensation délectable de sentir une bite se nicher dans son cul. Puis une porte s’ouvrit, et Noémie s’approcha rapidement, tenant des accessoires dans chaque main.
«
Voilà, voilà... Aide-moi, Amber ! -
Nyaaaa... ! »
Amber attrapa la laisse, et l’attacha au collier de Pauline, puis, tout en restant à quatre pattes, le tendit à Kimiko, qui l’attrapa d’une main. Amber aida ensuite Noémie à attacher sur la tête de Pauline un petit serre-tête avec des oreilles douces et moelleuses, pointues et tendres... Des oreilles de chat, tandis que Noémie se rapprocha ensuite des fesses de Pauline. Kimiko retira alors sa verge dans un soupir, et, sans plus attendre, enfonça dans ses fesses un
plug anal avec une queue de chat à la fin.
«
Et voilà ! Tu es notre belle petite chatte, maintenant ! -
Avec le cul bien rempli, Noémie n’a pas laissé une seule goutte déborder ! »
Pauline pouvait sentir ce délicieux sperme rester en elle. Kimiko fléchit les genoux, et sa main caressa le visage de la petite beauté, pendant que Noémie perfectionnait sa tenue en fonçant un vibromasseur dans sa chatte, avant de refermer sa culotte en souriant. Noémie termina en déposant un baiser sur ce sous-vêtement.
«
Es-tu prête à être une bonne chatte, et à aller voir ta Maîtresse, mon minou ? »
Une telle question ne pouvait connaître qu’une seule réponse...
...Un
miaulement !