Lamentablement et dans un sentiment d'humiliation qui avait prit le pas sur tout le reste, mon nectar recouvrait le sol dans une cuisante défaite. J'avais fini par jouir malgré la douleur et l'étrange bien fou que cela me procurait, pour autant qu'elle n'aille surtout pas croire que j'étais l'une de ces maso, mes quelques jours d'abstinence forcé ont juste finis par faire la différence. La voir jubiler sur sa victoire du haut de ses sabots équestres me fait vraiment pitié, qu'elle me fasse jouir sans son foutu sort qu'ont en reparle, on verra si elle y arrive. Mais non, bien sure qu'elle ne va pas le faire puisqu'elle a le dessus, pourquoi s'emmerder puisque je suis devenu sa marionnette ? Autant user y aller à fond dès le début et faire de moi sa " petite pute " comme elle semble si bien aimer m'appeler... Mais qu'elle fasse gaffe à la rébellion qui viendra tôt ou tard, je peux paraitre soumise et perdue mais au fond je ne le suis surement pas.
Quand elle recommence à m'humilier par les mots je ne fais que grincer les dents pour ne pas l'énerver d'avantage, en me disant que ça va simplement la calmer. Grave erreur, malgré les excuses et toute la bonne volonté du monde je me prends son sabot entre mes cuisses dans un contact... étrangement plaisant. A la fois dur et chaud le contact est différent de celui d'un pied et salement humiliant tant il donne l'impression que c'est un cheval qui se le permet, augmentant encore ce sentiment d'être prise par un animal.
Toujours silencieuse et grinçant des dents de douleurs ne bougeant la tête de droites à gauche, je semble m'habituer peu à peu à la douleur, au moins assez pour ne plus hurler à tout bout de champs même si cela reste une véritable épreuve tant sa magie est douloureuse. Mais il fallait tout de même admettre une chose dans tous ça, le corps à moitié équestre et humain avait un certains et étrange charme qui ne me laissais pas indifférente. Dans mon état, je commençais même vaguement à penser que ce serait une aventure plaisante que de partager un moment avec cette créature peu conventionnelle... Jusqu'à ce qu'elle ne m'offre une nouvelle scène horrifique...
Certes, ce n'était qu'une verge qui poussait entre ses cuisses et je n'en était pas dégouté même si je ne savais pas quoi penser. Je détestais les hommes mais je ne savais pas ce que donnerait un attribut masculin sur une dame. Non, la vision d'horreur était plutôt provoquée par la taille du mandrin tout diablement énorme, et il était aisé de deviner qu'elle ne l'avait pas fait apparaitre pour l'exhibitioner fièrement. La suite de la punition allait être douloureuse...
Non.. nooooon, arrête !! Ca va jamais pouvoir ren... AIIIIIIIIE !!!! ça fait mallll, arrête !!!!
Jamais rentrer ? Elle s'en fiche, elle me prends comme un vulgaire animal en rute et mon vagin encore suintant de cyprine éclabousse la partie de sa verge encore dehors, qui ne peut rentrer, la lubrifiant généreusement. La douleur est telle que j'en ai presque envie de pleurer... se faire pénétrer à sec était déjà bien douloureux mais quand il s'agissait d'une chose de cette taille la douleur était tout simplement insupportable... tout comme le plaisir malgré mon utérus en feu.
Stop stop !!!! s'il te plait !! arrête !!! c'est trop gros !!! ça fait mal !!!!
Mes yeux se révulsent de plaisir lorsqu'elle s'enfonce d'une nouvelle longue poussée, et mon corps gigote dans tous les sens. J'étais prête à abandonner et à me dire qu'après tout, ça la calmerait peut-être de se vider un bon coups... jusqu'à ce que ses dernières paroles ne me réveillent comme un électrochoc.
- Hmmm.... Ta chatte est délicieuse ma belle... Tu as intérêt à vite t'habituer à mon sexe, car je compte te sauter très souvent.
Hoquetant de douleur et inondée d'un plaisir à m'en couper le souffle au sens prononcé du terme, le regard vague et perdue vers mon bas ventre dont on devine aisément la bosse formée par son énorme bâton... Je me dit que je ne peux pas abandonner maintenant, que si je le fais elle va effectivement me remplir, et très souvent. Ce que je veux essayer de ne pas expérimenter vu la taille de ses bourses. Alors dans un dernier hoquet de douleur et de plaisir qui me fait presque à nouveau à nouveau jouir je laisse ma tête retombée en avant comme simulation d'un abandon. En réalité je prends le plus d'élan possible pour jeter ma tête en arrière et cogner sa mâchoire, en espérant que le coups porte. Et encore, elle a bien de la chance que mes mains soient encore liées...
Ce mouvement de violence fait tanguer la verge dans mon bas ventre et fait vibrer mes parois intimes jusqu'à m'en faire pousser un grand cri suave de plaisir, rongé par la fatigue... Mes jambes prisent de spasmes indiquent que je suis à deux doigts de jouir à nouveau bien que je contient de justesse mon orgasme qui aurait inondé la surface de son mandrin, déjà bien luisant de mouille.
Va plutôt... faire ça à un cheval... salope...
Non vu la taille il ne fallait surement pas que je me laisse faire... surtout s'il lui venait l'idée de changer d'orifice pour mon anus... voir pire... ma gorge...
Dommage, dans d'autres circonstance elle aurait surement fait un jouet de choix pour m'amuser...