Et il ne se ferait pas prier, oh ça non. Quand on libérait une bête de sa cage, il fallait s’attendre à subir son courroux féroce et son appétit insatiable. La bête en question était un homme qui avait beaucoup d’idées derrière la tête et un ego qui le poussait à vouloir jouer avec sa nouvelle proie, la tester et voit jusqu’où elle était capable de plonger dans les abysses de la perdition, un peu comme ces incubes perfides et rusés qui entraînaient les âmes de leurs infortunées victimes dans la damnation la plus délicieuse, une lente décadence dans les plaisirs de la chaire.
Débarrassé de son manteau encombrant, il l’accrocha par-dessus la porte du box où ils étaient savamment entremêlés, et en reportant son regard, il constata avec un plaisir infini que sa compagne s’était déjà attaquée à sa chemise, lui offrant donc une vue des plus magnifiques, celle d’une lourde poitrine dont les monts de chaire avaient un effet presque hypnotique, suivant du regard leur doux balancement au rythme de la respiration excitée de Magdalena.
L’homme laissa donc la femme se coller confortablement contre lui avant qu’il ne l’enlace dans une sensuelle caresse, ses mains explorant sans gêne son corps si désirable, s’attardant sur les parties sensibles de sa peau et pressant doucement son fessier rebondit qui semblait épouser parfaitement la forme de ses mains puissantes. Un instant plus tard, et il alla l’embrasser de nouveau, cette fois-ci avec plus d’ardeur et de passion, sa langue s’immisçant entre ses lèvres pour rejoindre sa sœur dans une danse endiablée tandis que ses mains se faisaient plus actives.
L’une d’elles vint s’aventurer vers ce buste fièrement dressé et en malaxa l’un de seins avec amour, éprouvant sa douceur voluptueuse. Enchanté par ce délicieux contact, il rompit son baiser, glissant lentement sa tête en mordillant le cou de la charmante dame jusqu’à atteindre ses seins dont il prit un soin tout particulier, les honorant de baisers et de caresses, de mordillements et de suçotements coquins à la faire fondre d’extase, y mêlant expertise et talent dans un savant mélange.
Sa main libre se saisit alors de celle de son amante, la dirigeant lentement vers son pantalon où elle pouvait deviner, à travers l’épais tissu, une bosse impressionnante qui s’était formée, laissant fantasmer la belle quant à la qualité de l’arme du bel étranger qui l’avait abordé. Relâchant sa main, il caressa de nouveau sa chute de rein, y donnant une légère tape assez énergique pour la faire sursauter, puis commença à tirer avec malice sur la fine culotte de la demoiselle, dont il pouvait sentir l’humidité apparente de l’excitation qui la gagnait.
Attrapant soudain la tête de la femme, il lui déroba un énergique baiser, le faisant durer jusqu’à ce qu’elle soit au bord de l’évanouissement avant de la relâcher et de plaquer sans ménagement son jolis minois contre son puissant bassin, frottant sa joue le long de son pantalon.
« Tu le désires, je peux le lire dans tes yeux. Demandes-moi seulement l’autorisation, implores-moi de te l’accorder, et tu pourras étancher ta soif sur le champ. Dis-le, et sers-toi avec appétit et gourmandise. »