La cérémonie de remise des diplômes était aussi appelé, de manière plus solennelle, la Cérémonie de Citoyenneté. C’était une cérémonie importante, mais qui ne consistait pas qu’à ramasser un diplôme, mais aussi à montrer qu’on était prêt à devenir Citoyen, et, donc, à enfanter. Si le Premier avait la chance d’avoir trois esclaves, il devait aussi être particulièrement viril, car il lui fallait engrosser toutes ses esclaves, pour qu’elles donnent au moins un enfant par an. Pour maintenir son esclave, il fallait assurer ce devoir, faute de quoi, on pouvait les perdre, et même subir un procès. Enfanter, c’était un devoir, et, en ce moment, pour devenir Citoyen, Tatsuo allait devoir coucher avec ces trois femmes.
Quand il avait appris qu’il serait diplômé, et qu’il serait le Premier, il avait dû choisir ses trois esclaves sur un catalogue, et avait opté pour ces trois-là, qui se tenaient devant lui. Trois magnifiques beautés. En les regardant, l’homme esquissa un léger sourire. Il pensait il y a encore quelques semaines n’éprouver du désir que pour sa sœur, mais là, face à ces trois beautés, son érection se maintint, semblant même s’accroître, à tel point que les femmes purent sans problème lavoir, déformant son pantalon. Il devait coucher avec elles, sous les yeux de l’assemblée. S’il ne le faisait pas, s’il échouait, il ne serait jamais Citoyen, et finirait dans les Bas-Fonds.
«
Vous êtes vraiment belles, mes chéries... Encore plus que sur les vidéos que j’ai eu de vous. »
Il leur sourit légèrement, et ses mains se relevèrent, venant caresser les visages de deux d’entre elles. Tatsuo savait ce qu’on leur faisait subir, comment on les formait, comment on les
dressait. Elles subissaient des traitements destinés à leur faire perdre la mémoire, les transformant ainsi en esclaves terriblement dociles. Sa main caressa la blonde, et il sourit en voyant cette dernière rougir en baissant les yeux. Trois femmes se trouvaient donc là. La première était une blonde assez plate, violets, avec un peu plus de forme, et la troisième, enfin, avait des formes nettement plus plantureuses.
Ensemble, elles étaient toutes belles à leur façon, et il caressa donc leurs visages, tout en sachant qu’il lui incombait de les nommer. C’était son rôle, sa fonction, car elles étaient totalement siennes.
«
Alors... »
Il les baptisa donc, en posant à chaque fois une main sur leur tête.
Il baptisa donc
Blondie, car c’était surtout ses cheveux blonds, naturels, qu’il aimait. Les blondes étaient très rares chez les Japonais, et, partant de là, elles étaient très prisées. Il était donc normal qu’il la baptise ainsi, et termina donc par l’embrasser, permettant à la femme de sentir, contre ses cuisses, son membre en érection.
Se penchant près de la seconde femme, il l’appela
Lila, et l’embrassa à son tour.
Enfin, Tatsuo se tourna vers la dernière femme, et choisit de l’appeler
Nora, car, avec son uniforme, elle avait un style militaire, et il trouvait que «
Nora » lui allait bien. Il l’embrassa à son tour, et leur sourit ensuite. Nora était devant lui, et chacune de ses mains rapprocha Blondie et Lila, se posant sur leurs fesses, les massant.
«
Vous êtes à moi, toutes les trois... Mes petites putes rien qu’à moi... »
Tatsuo savait que, tout en étant vierges, elles étaient aussi formées. On les entraînait à sucer des sexes sur des mannequins, et il frémit d’excitation en sentant leurs petites odeurs de salope. L’homme frémit, en sentant la chaleur croître dans son corps.
«
Blondie... Tu vas ouvrir mon pantalon, et me sucer la queue, pendant que vous deux, Lila et Nora, vous allez m’embrasser et me caresser, pendant que je palperai vos culs de petites putes d’étrangères... Et appelez-moi Maître. »
Il ne leur avait même pas donné son nom, et pourquoi l’aurait-il fait ? Tatsuo était excité par ces femmes, mais paradoxalement furieux d’être excité, car ces femmes étaient des inférieures à lui. Ressentir du désir pour elles, c’était presque une sorte de zoophilie. C’était donc énervant... Et en même temps terriblement excitant.