Okiku est un fantôme qui hante le complexe scolaire de Seikusu depuis quelques jours déjà, ayant élu domicile dans les toilettes des filles, essayant de se faire discrète, mais, il arrivait qu'elle puisse surprendre des demoiselles sur le trône ou dans d'autres situations gênantes. Okiku est le fantôme d'une fille morte il y a très longtemps, à cause du fait qu'elle aimait les filles, elle était donc maltraitée et n'eut pas le droit au bonheur, sauf une fois. C'était avec une de ses servantes qui s'occupait de la demoiselle pendant qu'elle était enfermée dans sa chambre, ayant séduit sa maîtresse, se faisant passer pour quelqu'un qui aimait les hommes auprès du reste des gens. Au final, leur relation fut découverte et les deux amoureuses essayèrent de fuir, jusqu'à une falaise où elles sautèrent dans le vide pour se tuer, préférant cela que de vivre malheureuses et séparées. Quelques années plus tard, les deux demoiselles furent ressuscitées par une nécromancienne qu'elles se mirent à accompagner durant le restant de leur vie, profitant de leur immortalité pour évoluer dans le monde et surtout apprendre à se nourrir. Oui, car Okiku devait garder sa forme physique, pour cela, elle se nourrissait de l'énergie sexuelle des demoiselles vivantes, en gros, la fantômette devait excitée sexuellement sa partenaire et aspirer l'excitation par la bouche, le sexe ou l'anus. Si la partenaire atteint l'orgasme, cela faisait un très grand flux d'énergie, ce qui lui permettait de vivre très longtemps.
Finalement, les trois demoiselles arrivèrent à Seikusu, après plusieurs années à voyager ici et là, découvrant une nouvelle ville où elles s'installèrent pour le moment, dans une chambre d'hôtel de luxe, l'invocatrice ayant beaucoup de ressources financiers. Les deux fantômes, sous forme humaine, n'avaient jamais vu une ville aussi grande pour le moment, elles étaient donc impressionnées par les voitures, les immeubles et le monde qui les entourait. La nécromancienne leur expliqua alors le fonctionnement de la ville ou de certains objets, comme elle connaissait tout cela, il fallait qu'elle les éduque un peu. La magicienne fit le tour des environs avec les deux autres, habillées normalement, pour qu'on ne suspecte pas qu'elles viennent d'un autre monde, afin de leur montrer et leur faire visiter, elles devaient se repérer pour retrouver l'hôtel. Mais, ceci n'empêcha pas Okiku de se perdre en ville, lorsqu'elle sortit avec l'autorisation de la nécromancienne, pour se balader un peu, il fallait dire que les ruelles étaient longues, il y avait plein de gens. Ainsi, elle suivit simplement des demoiselles qui portaient la même tenue, leur uniforme scolaire, se retrouvant dans le complexe d'études, essayant de reproduire leur habit. Mais ceci l'attira plus d'ennui, on croyait que c'était une nouvelle élève et on la traîna ici et là, pour l'aider, surtout au bureau de la Directrice, afin qu'on puisse l'identifier.
Cela la mettait dans une situation délicate et elle fuit donc, avant qu'on puisse griller sa vraie identité et se retrouva donc dans les toilettes des filles, pleurant au départ, avant de se calmer, mais la situation devenait encore pire. Le fantôme manquait d'énergie, après tout, cela faisait déjà plusieurs jours qu'elle ne s'était pas nourrie, elle avait besoin de l'excitation des filles pour reprendre une apparence décente afin de retourner à l'hôtel. Okiku était coincée dans sa forme de spectre, essayant de se trouver une lycéenne pour faire le rituel, qui consistait simplement à attraper la cible pour la peloter ou la masturber, afin qu'elle soit excitée et absorber toute cette envie de sexe. Elle avait réussi à le faire sur certaines proies, les amenant jusqu'à l'orgasme, mais ce n'était pas encore assez, il lui fallait encore une demoiselle et la fantômette pourrait réutiliser sa magie normalement et avoir une enveloppe charnelle. Elle entendit quelqu'un venir dans les toilettes, sûrement la prochaine victime, le spectre se cacha donc dans l'ombre, épiant l'arrivante, une blonde à lunettes, avec des formes alléchantes, en uniforme de l'école. L'inconnue semblait être nerveuse, elle ouvrait toutes les portes des toilettes, avant de la voir dans une position de faiblesse, c'était le moment d'attaquer, Okiku se rapprocha donc de la lycéenne :
« Okiku a faim, Okiku doit manger, Okiku doit se nourrir d'énergie sexuelle pour reprendre des forces. »La fantômette attrapa la demoiselle par les poignets, afin de la plaquer contre le mur, doucement, pour ne pas faire mal à la blonde aux yeux violets, approchant son visage du sien, ses lèvres à moitié ouvertes, avant de venir embrasser langoureusement la belle, lançant le rituel. Un cercle apparut autour d'elles, à moitié lumineux, avec des signes étranges, tandis qu'Okiku continuait le baiser, allant même jusqu'à utiliser sa langue pour jouer avec celle de sa partenaire. Le muscle s'enroula autour de son semblable, avant de faire une danse endiablée, créant des bruits assez pervers, surtout quand la spectre gémissait. La fantômette sentait l'excitation de sa partenaire, rompant le baiser, un mince filet de salive reliant leurs lèvres, remarquant un fil d'énergie émaner de la bouche de l'humaine, c'était la fameuse énergie. La demoiselle commença à aspirer par la bouche, le fil d'énergie remontant et sortant de la bouche de sa partenaire, le fantôme vint prendre le fil entre ses lippes et l'avalant, c'était ainsi qu'elle se nourrissait. Cela lui suffisait, mais à chaque fois qu'Okiku exécutait ce rituel, elle en avait encore plus envie, car elle ressentait l'excitation de sa partenaire, ce qui la motivait pour aller plus loin et cela se voyait sur son visage qui trahissait son envie :
« Okiku veut encore de l'énergie, Okiku veut orgasme de l'humaine. »A ses mots, elle vient poser ses mains contre les seins de la blonde afin de les peloter, englobant bien les monts de chaire de la lycéenne, ses doigts se mettant en action en appuyant bien contre le tissu, avant de relâcher. Elle faisait des mouvements circulaires sur la poitrine, serrant bien les globes, les faisant remonter avant de les laisser, un peu, tomber, revenant embrasser sa victime, le même baiser qu'avant, avec la langue, un partage de salive, voulant faire jouir la blonde, mais ce n'était que le début de l'acte.