Monica sentit les mains de Losgar explorer son corps, cherchant les limites de son costume, la méthode pour la déshabiller. Oh, elle aurait pu le lui dire, bien sûr, mais... Comme ça, elle trouvait les choses encore plus excitante. Finalement, le Noxien, en palpant le plastron, sentit finalement, entre les parties de différentes couleurs, on pouvait détacher l’ensemble en tirant dessus. Ce tel geste ne fut pas sans faire doucement frissonner, Spectrum, qui soupirait au contact des mains de l’homme. Délicat et attentionné, Losgar prenait tout son temps, et entreprit de retirer chacun des morceaux, tirant dessus, la combinaison crissant contre le corps de Monica, filant le long de sa peau. Un contact assurément délicieux, amenant Monica à se tortiller sur le lit, jusqu’à sentir ses pieds se libérer, la tenue collant un peu contre ses orteils, avant de se retirer.
« Haaaa... »
Désormais nue, Spectrum offrait à Losgar le spectacle de son corps nu, nu et magnifique. Elle était effectivement très belle, une magnifique beauté à la peau sombre, au corps musclé et ferme, présentant quelques cicatrices sur les hanches et dans le dos, souvenirs de bataille lors de ses multiples formations au sein des Avengers. Nue, elle s’offrait à Losgar, sans la moindre protection, lui offrant également la vue de son intimité, superbement épilée.
Elle lui souriait, et vit l’homme regarder ses seins, deux belles bosses qui se dressaient devant lui. Il se pencha alors vers elle, et vint les palper, les suçoter, la faisant gémir, ses tétons se durcissant, le plaisir, présent, croissant progressivement, en même temps que le désir. Oui, l’homme était beau, mais, au-delà de ça, elle sentait un amant expérimenté, qui savait comment faire plaisir au corps d’une femme, et qui, de surcroît, et c’était là un élément important, était bien membré. Cette virilité, en effet, elle la sentit avant que Losgar n’attrape sa main, mais, quand ses doigts s’approchèrent de ce sexe, Monica se pinça les lèvres, et serra ses doigts sur cette hampe de chair.
Tout en soupirant légèrement, elle se permit ainsi une petite remarque :
« Tu as de très bons arguments, Losgar... Mais... Hmmm... Je crois que... Que ça ne va pas être possible comme ça... »
Et, inversant les rôles, Monica renversa Losgar, le couchant sur le dos, et posa ses mains sur son torse, tout en se dressant à califourchon sur lui. Le désir était là, visible dans la manière dont elle agissait rapidement, ou dont ses yeux semblaient être en train de brûler sur place. Ses mains tirèrent sur les vêtements de l’homme, enlevant son haut, manquant le déchirer, et elle posa ensuite ses deux mains sur ses omoplates, se mordillant les lèvres, serrant cette masse de chair. Le Noxien lui offrait un torse glabre, musclé, solide, et très agréable à palper.
Monica en sourit, et lui rendit ensuite la pareille, le déshabillant en quelques secondes. Les deux amants se retrouvèrent ainsi nus, la jeune femme à la peau d’ébène se remettant agenouillée sur lui, en califourchon, sentant, contre ses fesses, le sexe de l’homme, ce mandrin tendu qui heurtait sa peau. Les deux amants se faisaient ainsi face, dans l’intimité de cette chambre, et Monica caressait son torse.
« Tu as une très belle plaquette, mon chéri... »
Les muscles de Losgar étaient très impressionnants, faisant saliver Monica, qui se pencha ensuite vers lui, courbant son dos vers l’avant, et l’embrassa tendrement.
« Hmmmm... »
Monica se lova contre lui, et, tout en l’embrassant, descendit sa main le long du corps de l’homme, jusqu’à caresser son sexe, le masturbant doucement, tout en se montrant coquine, et joueuse :
« Tu sais, chez moi, on dit qu’un sexe masculin n’aime pas se sentir seul quand il est à l’air libre, qu’il est comme un enfant dont il faudrait toujours veiller à lui prodiguer des douceurs... Et un peu de fermeté, glissa-t-elle, en serrant ses doigts sur le sexe de l’homme. Quel est ton opinion là-dessus, dis-moi ? »