Tu ne savais pas ce qui t'avait pris pour poser cette question plutôt stupide de ta part, si le yoga pouvait calmer les ardeurs sexuelles, peut-être le fait d'être prise sur le fait t'a fait réfléchir bêtement et du coup, tu allais poser cette question pour éviter de paraître suspecte. D'ailleurs, tu trouvais très belle l'inconnue que tu venais d'aborder au hasard, une origine sûrement asiatique à la vue de ses yeux bridés, elle avait aussi de belles courbes qu'elle semblait bien entretenir. Tu lui jetais des petits regards timides, le visage rouge, enfin, si on arrivait bien à distinguer cette couleur avec ta peau bronzée, c'était de la gêne, mélangé au fait que tu avais couru bien avant cela. Tu voyais l'inconnue prendre une serviette et s'essuyer de la sueur puis te répondre sur son point de vue par rapport au yoga, elle en savait, à coup sûr, davantage à ce sujet que toi. On pouvait dire qu'elle avait répondu à ton interrogation, voire te donner plus d'information sur le yoga, elle parlait d'un point de vue global, donc, cela devait apaiser l'envie de sexe, comme c'était une tension en soi. Peut-être que tu t'y mettrais un jour, avec ta copine ou un professeur de yoga qui t'apprendrait à calmer tes envies de sexe, quoique, les tenues moulantes de sport avaient, pour habitude, de t'exciter encore plus. Tu secouas la tête pour essayer de chasser toutes ses idées perverses de la tête, remarquant qu'on te matait, tu étais encore plus gênée, tu te triturais les doigts en regardant ailleurs, sur le côté, puis en bas. Tu attirais autant que ça ? Tu ne savais pas, enfin, si, tu le savais, ta copine le dit toujours et tu voyais souvent le regard sur toi et ta copine te taquinait sur le fait, disant que tu devrais essayer de coucher avec les femmes qui te mataient, après tout, vous étiez un couple libertin.
Tu la vis se mordiller les lèvres puis continuer à te parler d'une manière tout à fait raisonnable, il était vrai que pour satisfaire ses envies charnelles, il suffisait d'agir simplement, mais la demoiselle ne connaissait pas certains paramètres. Le fait que tu aies une très grosse libido, donc, toute seule, cela n'apaisait que très peu, seule une vraie relation sexuelle pouvait te calmer, mais ta copine était absente, c'est surtout elle qui s'occupait de cela. Quoique, tu pouvais le faire avec d'autres filles, il n'y avait pas de problème à cela, ta copine te laissait le champ libre, d'ailleurs, elle devait se taper d'autres demoiselles pendant ce voyage, ce qui te rendait un peu jalouse, mais tu l'enviais assez. Tu étais du genre un peu réservée et timide, tu n'osais pas trop t'approcher des femmes et leur lancer un « on baise ? » comme pouvait le faire ton amoureuse. Tu restais toute rouge toujours, notamment à cause de la question gênante, y répondant : « Vous avez raison… Mais ma copine est absente… Du coup, il n'est pas très possible de le faire... Enfin, elle me permet d'avoir des relations avec d'autres femmes… On est libre, mais je suis trop timide pour demander… Donc, c'est difficile… Bref, désolé de vous déranger… Je dois aller prendre ma douche et rentrer chez moi… Bonne journée... » Tu t'inclinas devant la demoiselle, attrapant tes affaires pour te diriger vers les douches, déposant tes affaires sur un banc, te déshabillant et posant tes habits mouillés sur ton sac, il n'y avait personne, tu étais toute seule.
Tu fis couler l'eau à la bonne température, te mettant sous l'averse, c'était plutôt rafraîchissant, surtout après le sport, cela faisait toujours une bonne sensation, ta main caressait tout ton corps pour le nettoyer. Tu pris du gel douche de ton sac, en faisant couler sur tes mains et l'appliquer sur ta peau pour la laver de toute saleté et sueur, afin d'être toute propre quand tu rentreras chez toi, tout ton corps avait du gel douche. Tu repensais aux paroles de la demoiselle asiatique à qui tu avais posé une question gênante, rougissant de nouveau, céder à la tentation, c'est normal de se faire plaisir, cela dépendait des cas, sexuellement parlant, on ne pouvait pas trop dire ça, enfin, de ton point de vue. Tu ne savais pas quoi faire, ta copine serait à mille pour cent d'accord avec cette inconnue, étant une véritable perverse, l'envie de sexe te reprenait, tu ne savais pas quoi faire, tu frottais doucement tes cuisses entre elles, une main au niveau de ton pubis, le caressant du bout des doigts. Tu hésitais, avant de craquer, tu décidas d'apaiser ton envie charnelle, il n'y avait personne, enfin, c'est ce que tu croyais, transformant ton intimité par un service trois pièces, ta partie entièrement masculine entre les cuisses t'apaisant le plus après avoir éjaculé. Tu attrapas ta queue dans ta main et tu commenças à te masturber doucement, poussant des petits soupirs d'aise, tu ne pensais pas que la suite des événements allaient être intéressants.