Le sexe, c’était une aliénation. Le sexe vous offrait la chance ultime, unique et jouissive, de s’effacer. Face au sexe, face à l’intensité de ce moment, tout le reste, en effet, devenait accessoire. Les petits soucis, les petites hésitations du quotidien, tout s’effaçait devant l’impériosité du moment. C’était pour ça que le sexe était si bon. Il était, outre un moyen de se rapprocher, un moyen de s’évader, et, en ce sens, c’était bien pour ça que Samara aimait autant le sexe, et le pratiquait avec autant d’assiduité et de fermeté. Juliette en faisait la démonstration. Prise par l’arrière, en levrette, elle était la petite chienne d’une Samara amplifiée, plus grosse et plus forte qu’à l’accoutumée, sa fine silhouette laissant place à des muscles saillants. Une forme au demeurant peu esthétique, présentant peu de ces courbes et de ces formes que l’Archimage adorait tant, mais qui lui permettait de prendre Juliette avec encore plus d’énergie. L’hymen de Juliette fut défoncée bien rapidement, et Samara continuait à la prendre, à s’enfoncer en elle, encore et encore.
Et, pour ne rien arranger, Rania se crispait dans son dos, satisfaisant aux pulsions sodomites de Samara en la prenant par là. L’Ambassadrice ne s’y était pas trompée, Samara adorait tout ce qui touchait à l’anal, que ce soit le sien, ou celui des autres. Ce contact onctueux la faisait doucement saliver, son corps vibrant sous les coups de butoir qu’elle recevait en ce moment. Rania mordillait son cou, crispant ses mains sur ses seins, en multipliant, elle aussi, les coups de reins. Elle remuait néanmoins moins vite que Samara, car un cul était tout de même plus serré qu’une chatte luisante et humide.
« Haaaa... Haaaa... Hmmmm, bon sang... !
- Oui... Ouiii... Hmmmm... ! »
Ensemble, les trois femmes poursuivaient joyeusement leur rodéo, les seins de Samara étant malmenés par les mains de la belle Papuanne, une Papuanne qui faisait honneur à son pays et à sa réputation. Oui, Samara était franchement ravie. Outre le sexe en lui-même, savoir qu’elle couchait avec une Visconti, et renforçait donc son influence, n’était qu’encore plus plaisant. L’Archimage s’enfonçait donc dans le corps de cette femme, remuant agréablement en elle. Le corps de la Visconti se ployait sous le sien, mais c’en était visiblement trop pour elle, car ses bras finirent par la lâcher, et elle s’affala sur le sol, dans une position qui s’avérait être aussi grotesque qu’excitante. Un sourire victorieux traversa les lèvres de Samara, qui multiplia ses coups de reins, sa verge s’enfonçant dans le corps de la femme, coulissant longuement en elle.
La partie de sexe se poursuivait donc, avec de multiples soupirs venant de Samara. L’Archimage la prit encore, même après l’orgasme de Juliette, jusqu’à se vider en elle, dans un long soupir, et ce au bout de plusieurs minutes. Elle remplit le corps de la femme de son foutre, chaud et fort, la remplissant, puis se retira ensuite, en soupirant, son cul ayant également été bien labouré. Cependant... Juliette avait vu juste. Les deux femmes se tenaient devant elle, avec leurs sexes dressés, humides, mais toujours actifs, et prêts à s’enfoncer encore en elle.
« N’espère pas te reposer si facilement, Juliette, glissa alors Samara. Tu as semé le vent. Ce n’est que justice que tu récoltes la tempête.
- Est-ce là tout ce dont l’héritière des Visconti est capable ? ironisa alors Rania. On dit à Ashnard que le sexe est un indicateur de la vitalité et de l’énergie d’une personne. Je suis sûre qu’une femme comme vous peut faire mieux que ça. »
Elle rajouta ensuite, en souriant malicieusement :
« Ou alors, on surestime très largement vos capacités. »