« Les Amazones sont un peuple antique qui a grandi à Themiscyra, une île assez éloignée. Nous avons été arrachées de notre île par des Barbares qui nous ont attaqué, et nous ont asservi.
- C’est à partir de là que les Amazones ont formé une diaspora. La Horde est issue d’une fraction d’Amazones qui ont été asservis dans des contrées barbares, comme en Hyrkanie. Nous nous sommes affranchies des chaînes que les Barbares de ces régions imposaient aux femmes. » Tout en dégustant son morceau de viande, Apogée écoutait avec attention leur histoire, ressentant un peu de peine pour elles. Triste histoire pour un peuple aussi fière, bien qu'elles aient réussit à s'en sortir. Apogée se sentit habiter par un désir ardent de les aider, d'apporté son aide, sûrement due par le fait qu'elle leur était reconnaissante de l'avoir sauver et qu'elle voulait leur rendre la pareille. Après elle n'était pas spécialement outré ou n'avait pas pitié de ces pauvres femmes.
« Notre exode ne prendra fin que le jour où nous retrouverons les autres Amazones disparues, et refonderont Themiscyra. »-J'espère être présente quand ça arriva ! Commenta Apogée, après avoir avaler une boucher de son morceau de viande.
Après toutes ces épreuve ce s'rait la meilleur chose pour votre peuple Suite à ça, l'une d'elle lui parla des objectifs de la Horde, qu'elles se devaient de venir en aide à toute femmes et filles en difficultés, battues, exploitées et autre. C'était en peu les défenseurs de la veuve et de l'horphelins, qui n'hésiterait pas à casser des têtes, au yeux d'Apogée, gardant peur elle-même ses pensées. Les esclavagistes devaient être une cible récurrente pour les amazones, Apogée n'osa imaginer leur réaction face à un marcher d'esclaves, avec les femmes briser ou qui prie pour leur salue. Ensuite la prénommée Fanis s'engagea dans la description de la horde, abordant le système de caste qui compose la horde, somme toute un système plutôt simple et classique, bien que l'un d'eux était fais de plusieurs sous-castes. Apogée ne dit rien, glissant juste un commentaire de temps en temps, histoire de montré qu'elle s’intéressait, son visage pouvant ne pas être assez explicite sur sa curiosité.
« Nous récoltons tout ce que nous trouvons dans le monde pour les exploiter.
- Et, au sommet de la Horde, il y a notre Reine, Andromaque, et un Conseil. Cependant, outre ce pouvoir temporel, nous servons aussi Artémis, ce qui fait que les prêtresses d’Artémis exercent sur nous un grand pouvoir. C’est la Déesse-mère qui nous dira quand notre pèlerinage aura cessé, et quand nous pourrons refonder Themiscyra. Pour l’heure, nous agissons pour protéger les femmes.
- C’est en partie pour ça que nous avons pris ton parti contre ce sale mage. »-J'suis contente d'être née femme alors ! Plaisanta Apogée.
Elles lui sourirent ensuite.
« Bref, pour l’heure, nous devrions nous reposer. »-J'vais montée la garde dans ce cas ! Clamât Apogée en se relevant et saisissant son épée.
Pas envie qu'une saloperies me renifle le cul durant mon sommeille ! Vous pouvez dormir sur vos deux oreilles avec moi. Leur dit-elle avec un grand sourire amicale. Tandis que les amazones préparait leur couchette, Apogée sortie un simple oreiller de son sac et rangea ses victuailles, s'envoyant encore une gorger de sa gourde, avant de s’asseoir face au feu qui avait perdue de l'ampleur. Quelque flammèche dévorait le bois encore disponible, mais il devait lui restait encore du temps avait qu'il ne reste que des braises. Apogée jeta quelque branche, afin qu'il survive un peu plus longtemps. Apogée regarda le ciel étoilées, tandis que les deux autres se coucher. Elle ne pensait pas les réveiller et n'avait pas envie de les réveiller. Faire une nuit blanche lui était courant, en faite dormir ne lui était pas vital et pouvait passer une semaine sans dormir.
Le matin, lever du soleil.
Apogée regarda les dernières fumer du feu. Le ciel était plutôt gris, le soleil se leva timidement, des nuage le cachant, qu'Apogée contempla. Elle sentait que la journée serait couvert espérant qu'il ne pleuvra pas, mais rien ne semblait indiquer une t-elle chose, mais le doute était permit. Les amazones sortirent de leur tropeux quelque minutes après, pour Apogée il devait pas loin d'être 7h, ramassant ses effets, Apogée lança à la cantonade.
-B'jour ! Bien dormit ?
Rien n'aurait pus dire si Apogée s'était endormit durant la nuit et c'était réveille quelque minutes avant ou si elle avait fait nuit blanche et et supporté très bien. Toujours est-il qu'elle était d'attaque, en pleine forme et énergétique.
-On y va quand vous êtes prête ? Demanda Apogée, sac prête et son épée planté dans le sol, parfaitement horizontale.
Question plutôt rhétorique, car il est évidemment qu'elles n'allaient pas traîner pour aller à la forteresse.
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Mitiel, porte de la ville
La soirée fut longue et la nuit courte, n'ayant eu que deux-trois heures de sommeils. Rassembler des mercenaires fut plus difficiles qu'il ne l'aurait voulue, beaucoup déjà au service de marchant ou de noble comme garde du corps, trop exigent ou n'inspirant pas assez de confiant. Au final,
le mage Arnold (donnons lui nom) était arriver à recruter quelque échantillon, bien qu'il aurait voulue plus de personne à son service. Mais il restait tout de même confiant, ce n'était pas non plus des péquenot, il avait ses chances. Il se tourna vers sa clique hétéroclite :
Bryngnolf, un homme massif de plus de 2 mètres de haut, un descendant des nordique selon ses dires. Une brute épaisse qui n'était intéresser que par l'or et les femmes, ce qui avait été facile pour le recruter la simple mention des richesses de la forteresse naine l'avait fait accepter. Bien que le mage craignait que l’appât du gain ne le pousse à le trahir, il était confiant, de plus il avait besoin de lui, car sa force pourrait lui être utile contre le golem.
Arckans un barbare à moitié fou, qui ne voulait que se battre jusqu’à en mourir. Il n'avait pas était difficiles à convaincre, le mage ayant manipuler sa folie du combat pour le convaincre qu'il n'aurait pas de plus beau combat que celui avec la créature qu'il pourchasser. Le problème est qu'il imprévisilbe, un peu lunatique, Arnold craignant qu'il ne doit le maîtriser pour éviter qu'il n’abîme trop son golem.
Andoleïne une elfe étrange et mystèrieuse qui l'avait abordé par surprise, ayant entendue sa discutions avec Bryngnolf. Elle s'était imposer plus qu'il ne l'avait recruter, ce qui l'inquiéter sur se réelle motivation, mais l'habilité légendaire des elfes à l'arc et leur discrétion l'avait fait accepter, car les amazones étaient de bonne archères et sûrement pas des débutantes pour tendre des embuscades.
Maxime, un aventurier vénal et orgueilleux, mais qui avait le mérite d'être un expert en donjon, selon ses dires, et en plus d'être un E.S.P.er, son pouvoir lui permettant de créer un clone de lui même, disparaissant au bout de quelque minutes dans un flash lumineux et qu'il manipuler à sa guise. Cela pourrait être utile.
Hajad, une sauvage parlant à la troisième personne. Calme et de sang froid, cette femme lui rappel les amazones, et quoi de mieux qu'une sauvage pour comprendre des sauvages ? L’appât du gain était sa seule motivation comme tant d'autre, mais elle avait été difficile à convaincre, car elle fut réticente à l'idée s'aventurer dans une forteresse, mais les richesses que le mage lui avait fait miroité l'avait fait céder.
Il aurait bien voulue un groupe plus homogène, mais le temps était compter. En partant maintenant il pourrait arriver plus tôt, l'ennuie était qu'aucun d'eux n'avait de cheval, ni le moyen d'en louer et il n'avait pas assez de puissance pour tous les téléportés. Voila bien longtemps qu'il n'avait plus fait de téléportation de groupe, il avait due retrouvé des parchemins pour palier son manque de pouvoir et de puissance.
-Bien, je vous ait tous renseigner du mieux que j'ai put, on à pas le temps de faire mieux connaissance, donc je vous prie d'évité les disputes ou tension, si vous ne voulez pas que je vous abandonne dans un cercueil de glace ! Commenta le mage.
Allons-y le temps est compter et l'or risque de ne plus être à nous.-Ouais, ouais grogna Bryngnolf de sa voix grave. Dépêchons.
Il se retourna dissimulant son sourire. Sa menace du cercueil de glace marchait ainsi que la potentielle perte de l'or, car ils avaient blêmit à la mention de ce dernier, aucun ne voulait rater cette occasion et avait bien comprit que le temps jouer contre eux. Le mage avança d'un pas décider, ses sbires à ses talons.