Gods among us [Supergirl]

Encantadora courrait dans les rues de Seikusu, cherchant désespérément à échapper à sa poursuivante. Elle avait utilisé ses pouvoirs mystiques afin de se téléporter hors de portée de sa poursuivante, mais la magicienne savait pertinemment que cela ne ferait que retarder l’inévitable confrontation... La criminelle s'était mise dans de beaux draps : grâce à ses capacités surnaturelles, elle avait réussi à faire passer du simple quartz teinté en vert pour de la kryptonite et l'avait vendu à un certain nombre de personnes peu recommandables. Bien sûr, ces cailloux sans valeur n'avaient pas su prémunir les hors la loi contre ce dont ils cherchait à se prémunir... et, ainsi, Encantadora ne s'était pas faite beaucoup d'amis. En plus de ça, l'espoir d'impunité qui leur avait été donné avait crée une vague de criminalité, cause de quelques morts et blessés, faisant d'elle une coupable d'homicide par imprudence, s'attirant les foudre de l'être que la prétendue kryptonite devait tenir à l'écart : les clients trahis de la magicienne étaient bien trop heureux de dénoncer celle qui les avait arnaqués...

Ainsi, Encantadora courait entre les passants, fonçant vers cet immeuble de verre teinté affublé d'un gigantesque néon. En lisant ces lettres lumineuse, on pouvait déchiffrer des mots aussi surprenants que ridicules : "Temple de Sodome". Mais la criminelle avait autre chose à faire  pour le moment que de s'inquiéter de ce genre de sornettes, l'endroit dégageait une sensation de magie et, à défaut de pouvoir échapper à sa poursuivante, la brune voulait au moins trouver une arme qui lui permettrait de faire face. Impatiente, elle fit de nouveau appel à ses pouvoirs, disparaissant dans un nuage de brume pour réapparaître dans la seconde juste aux portes du bâtiment. A l'intérieur, la donzelle fut surprise de constater qu'elle venait d'entrer dans un gigantesque sex-shop et vendeur de revues, films et autres bandes dessinées pornographiques. Le blanc, le rouge et le noir dominaient et le mobilier était dans un style moderne. Ce que l'endroit avait de frappant, c'était que tout le rez de chaussez semblait n'être qu'un gigantesque magasin d'articles sexuels à regarder, écouter, toucher, goûter... et Encantadora se demandait comment diable pouvait on trouver quelque chose de mystique dans ce lieu. Mais, n'écoutant que son instinct, elle se dirigea vers une réceptionniste, sans faire attention au fait que tous les articles présentés favorisaient le plaisir anal.

"Je veux accéder au sous sol, tout de suite."

Son ordre claqua, appuyé par la dague volant au dessus de son épaule. La vendeuse ouvrit des yeux ronds et jeta un oeil vers la caméra la plus proche. Mais la dague se rapprocha, menaçante. Quittant le comptoirs, elle conduisit l'intruse vers les ascenseurs, avant d'être poussés dans l'un d'eux. En dessous des boutons qui indiquaient les étages - et aucun sous sol - trônait un petit digicode. Après y avoir pianoté une série de chiffres, la caisse de métal se mit en branle, pour descendre vers les profondeurs terrestres. Et pendant que la poursuivante d'Encantadora se rapprochait, la magicienne, elle, ignorait totalement dans quoi elle était en train de se fourrer. Il lui aurait fallut une super-ouïe pour capter les prières, mêlées de gémissements de plaisirs aussi bien masculins que féminins, qui invoquaient un nom : Sod-Oni.

Aussi résistant que soit un Kryptonien sur une planète soumise au rayonnement solaire d’une étoile jaune, il y avait deux éléments qui, du fait de ce rayonnement, rendaient les Kryptoniens sensibles et vulnérables : la fameuse kryptonite, dont les effets variaient sur les Kryptoniens en fonction de la couleur, et la magie. Il avait été prouvé depuis longtemps que les Kryptoniens pouvaient être blessés et manipulés par les attaques magiques ou psychiques, ce qui, dans le monde d’où elle venait, avait toujours rendu son cousin assez sensible aux toxines, comme celles de Poison Ivy. Kara savait donc de quoi il fallait se méfier, et, quand elle tombait sur une femme mélangeant les deux, kryptonite et magie, il était temps qu’elle agisse.

Tout avait commencé il y a environ deux semaines, quand elle était venue à un braquage, et où elle avait eu la mauvaise surprise de voir les braqueurs avec des morceaux de kryptonite. La surprise avait été de taille, et avait conduit le SHIELD à mener une enquête en parallèle de la sienne. L’organisme interdisait la commercialisation de kryptonite, non seulement parce qu’elle était novice aux Kryptoniens, mais aussi parce qu’il avait été scientifiquement prouvé que ce matériel était cancérigène, une exposion prolongée à la kryptonite verte pouvant agir sur les humains... Et, enfin, dans la mesure où la kryptonite était un matériel extraterrestre, il faisait partie d’une législation très spécifique, en interdisant strictement l’usage et la vente. Cependant, cette kryptonite-là n’était pas similaire aux autres, ce que les examens avaient montré. C’était un matériel dérivé d’un autre matériel, du quartz. Kara avait de fait pu le réaliser, car, face à cette pierre, elle avait perdu ses facultés... Mais bien moins que de la kryptonite pure. Ce produit était donc une semie-arnaque, que quelqu’un avait vendu aux différents criminels de la ville.

Supergirl avait mené son enquête, et, finalement, ses principales sources avaient été les hommes qu’elle avait neutralisés, furibonds de constater qu’ils s’étaient faits avoir en se faisant refiler de la kryptonite de piètre qualité. On lui avait parlé d’une Espagnole... La Encantadora, qu’on pouvait traduire par « La Charmeuse ». Une femme magnifique, avec une poitrine énorme, mais qui était visiblement aussi un bel escroc. Kara s’était alors mis en tête de la retrouver, car elle avait vite compris que les Yakuzas voulaient tuer la jeune femme. Elle les avait floués, et elle avait vendu sa camelote au plus redoutable clan yakuza de la ville, les Guramu. Ces derniers avaient mis sa tête à prix, et Supergirl, même si elle n’approuvait pas les méthodes de cette femme, n’avait pas non plus envie qu’elle se fasse tuer.

Entre-temps, le SHIELD avait mené une enquête sur Encantadora, notamment en remontant la piste du quartz, grâce à leurs scanners très développés, et à leurs examens magiques. Ils avaient ainsi compris que La Encantadora utilisait des artefacts magiques aussi rares que puissants, les « Brumes d’Ibella ». La recherche menée sur ces derniers avait permis d’apprendre que quelqu’un avait cherché à les retrouver, la famille Lucero, dont les derniers représentants étaient Victor et Lourdes. C’était ainsi que Kara avait réussi à remonter la piste de Encantadora, jusqu’à retrouver son appartement. Elle était arrivée trop tard, de quelques minutes, et, preuve que la situation urgeait, des Yakuzas se trouvaient déjà dans l’appartement. Il y avait eu une courte bataille, puis elle avait ensuite cherché à suivre l’Espagnole, en flottant dans les airs, usant de ses super-sens pour la retrouver dans la foule. La tâche était difficile, car elle se trouvait au centre-ville, au milieu de multiples rues piétonnes.

*Je dois me concentrer...*

Elle flottait dans les airs, sans tenir compte des touristes la montrant du doigt, et perçut ainsi la femme... Elle avait réussi à obtenir une photographie pendant ces quelques jours, montrant une femme, grande, musclée, avec des vêtements rouges moulants. Autrement dit, une personne difficile à rester cachée. Kara la vit alors s’enfoncer dans un bâtiment, et se laissa tomber, atterrissant devant ce dernier, et fronça les sourcils en voyant le nom de cet établissement commercial : « Temple de Sodome ».

*Oh Seigneur...*

Kara ne put que soupirer. Bienvenue au Japon ! Un pays où on pouvait trouver de tout et n’importe qui, comme ces fameux maid cafés, ou encore d’autres cafés remplis de chats, soit autant de techniques potentielles et exotiques pour attirer la clientèle, le tout dans une ambiance sexualisée et... Nippone.

« C’est Supergirl !
 -  Elle est encore plus belle qu’à la télé’ ! »

Sans trop comprendre pourquoi, Kara était assez populaire au Japon, mais elle n’avait pas le temps de faire une série d’autographes, et pénétra à l’intérieur de l’établissement.

*Beurk !*

Elle fut accueillie par une série de rayons montrant de multiples articles sexuels différents. Des catsuits, des fouets, des godemichés, et tout un tas d’autres trucs dont elle était bien incapable de dire le nom... L’imagination humaine l’avait toujours laissée pantoise, et, quand elle voyait ce genre d’établissements, elle comprenait bien pourquoi. Son trouble ne fit que s’accroître quand elle approcha d’une partie du magasin où elle vit des cosplays sexuels... À son effigie. Elle rougit comme une tomate en voyant des costumes de Supergirl moulants et brillants, ainsi que des vidéos pornographiques avec des tenues de super-héros. Wonder Woman avait aussi droit à ses propres pastiches, y compris ceux pour son fouet.

*Ohlàlà ! Vite, retrouve ta cible, et fous le camp d’ici !*

Les serveuses avaient toutes des combinaisons en cuir moulantes, ou des tenues de latex. Kara se retourna vers l’une d’elle, dans une impressionnante combinaison moulante noire brillante en latex, tentant de la regarder juste dans les yeux.

« Excusez-moi... commença-t-elle.
 -  Vous êtes la vraie ? lâcha alors, tout de go, la femme.
 -  Pardon ? La vraie quoi ?
 -  Ben, la vraie Supergirl ! Vu tous les gens qui vous suivent, j’ai bon espoir que oui... »

Tous les gens ? Kara releva la tête, et vit alors que le magasin s’était rempli de plus d’une quinzaine de personnes. Elle soupira, et, devant son silence, le visage de la femme sembla s’illuminer... Puis elle posa ses mains sur ses hanches, faisant à nouveau rougir Kara.

« Hey ! Bas-les-pattes !
 -  Hum... C’est quelle texture ? J’aurais dit du lycra à la base, mais... »

La combinaison était faite en un tissu kryptonien que les humains ne pouvaient pas connaître, et était une nano-suit qui se fixait automatiquement sur son corps, et pouvait se retirer sur simple commande de sa propriétaire, en séparant tous les éléments la composant.

« Bon, ça suffit ! Je cherche une femme qui vient d’entrer il y a quelques minutes, elle n’a pas dû aller bien loin...
 -  Oh... Elle... Bien sûr, bien sûr. »

La joueuse femme hocha la tête avec un sourire mielleux, puis fit signe à Kara de la suivre. Perturbée, cette dernière obtempéra, tout en louchant sur ses fesses. Son cul était parfaitement moulant, avec une fermeture, discrète, située le long de la croupe... Par curiosité, car elle voyait une bosse, Kara utilisa sa super-vision et regarda à travers le vêtement... Puis rougit en constatant que la femme portait un plug anal. Elle releva la tête en voyant la femme, d’une démarche lente et sensuelle, s’approcher de l’ascenseur. Elle l’ouvrit, puis descendit en compagnie de la femme. Cette dernière appuya sur le digicode, puis les portes se refermèrent, et l’ascenseur se mit à descendre.

Kara entendit alors d’étranges sons, tandis que la femme la regardait en souriant.

« Où est-ce qu’on va ? Je ne vois aucun bouton menant à un quelconque sous-sol... »

La femme sourit de toutes ses dents.

« N’ayez pas peur... Votre amie est bien en bas. »

Kara allait objecter que ce n’était pas son amie... Mais les portes s’ouvrirent, donnant sur un couloir assez agréable à voir, avec un long tapis rouge sur le sol, et une série de tableaux et de peintures tournant toutes autour du sexe, et plus particulièrement de la sodomie. La servante se mit à marcher, toujours de sa démarche sensuelle, et, plus elle marchait, et plus Kara avait tendance à observer ses fesses, se fascinant d’un seul coup pour son cul, sans pouvoir se l’expliquer.

Alors qu’elle marchait, elle entendit du bruit sur sa gauche, et vit, à travers la porte, en usant de sa super-vision, un singulier spectacle : deux femmes jouaient ensemble, celle à terre avant sa fermeture Éclair baissée à hauteur de ses fesses. Kara cligna encore des yeux, et vit le couloir mener vers une double porte, avec, à gauche et à droite, deux statues en pierre montrant une femme, plantureuse, avec, à chaque fois, un phallus en érection.

« Que... Qu’est-ce que c’est que ça ?!
 -  C’est notre Déesse... Sod-Oni. Votre amie se trouve juste derrière ces portes... »

La femme appuya sur la clenche de l’une des deux portes, et la poussa, invitant Kara à passer... Et, quand la porte s’entrouvrit, une sorte de nuage gazeux passa, et Kara en frémit, en sentant quelque chose de bizarre à hauteur de ses fesses.

Mais où était-elle donc passée ?! Alors qu’elle s’approchait, elle sentit la main de la femme caresser ses fesses, et, si elle en fut gênée, elle ne demanda nullement à la femme de retirer cette main insidieusement placée.

« Nous sommes très heureux de recevoir dans notre temple une femme aussi puissante que vous, Supergirl... Un fantasme pour toute une génération, avec un cul... Magnifique. »

La pauvre Supergirl ne savait pas plus qu'Encantadora dans quel endroit elle était entrée. Une vendeuse sur deux était membre du culte qui se cachait ainsi sous terre et celle que Kara avait interpellé en faisait partie. Pire encore : non seulement elle faisait partie de ce culte sodomite, mais elle en était prêtresse, ce qui expliquait sa connaissance du mot de passe menant vers le sous-sol... et son peu de retenue face au beau fessier de la kryptonienne. Ce charmant petit couple se trouvait actuellement dans la salle principale du temple, là où se faisaient leurs prière. La pièce en elle même était grande, large d'une quinzaine de mètres pour une longueur quatre fois plus étendue. De structure simple, plusieurs larges poutres de bois - que Supergirl aurait pu voir renforcées de métal grâce à sa vision à rayons X - zébraient le plafond, agrémentées d'autres qui traçaient une diagonale entre ce plafond et le mur, soutenant ainsi la structure en épargnant à la vision des fidèles des piliers qui l'obstruerait. Ces éléments étaient habilement camouflés par des rideaux rouges, donnant au tout l'effet de multiples arches drapées. Les murs étaient couverts de boiseries sombres, les seules zones nues se révélant peintes du même pourpre que l'étoffe qui dégoulinait partout. A intervalle régulier, on pouvait constater la présence de statues de la déesse aux dimensions humaines, toutes aussi nues, leurs sexes érigés dans les airs. Le sol était un vaste plancher de lattes claires, mais que l'on avait peine à voir sous la multitude de coussins. A la vérité, seule une allée centrale, dépourvue des douceurs de plumes enfermées dans la soie, menait du seuil où se trouvait actuellement Kara jusqu'à l'autel, surélevé sur une estrade de pierre.

Une chose était sûre, la ferveur religieuse était intense dans les environs... mais, au lieu de prière, chaque homme et chaque femme était munis de son godemiché, le faisant doucement aller et venir au creux de leurs reins enflammés. Ces godemichés étaient de toutes tailles, formes et matière, mais aucun ne semblait être réellement bon marché. Il s'agissait là d'outils de prière et non de simple gadgets sexuels : tout comme le chrétien ne se satisfait pas d'un crucifix de plastique, le fidèle du culte de Sodome ne peut accepter un épieu de latex. Les plus proches de l'entrée tournèrent la tête vers Supergirl et sa guide du moment, sans arrêter de s'assouplir le conduit anal, intrigués. Les autres étaient concentrés sur une petite scène qui se déroulait, non pas au niveau de l'autel, mais plus près, vers le centre de la pièce : la fameuse Encantadora Cette criminelle, trafiquante de fausse kryptonite était à genoux au sol, lson pantalon moulant et sa culotte baissée à mi-cuisses, faisant aller et venir deux doigts au plus profond de son rectum en gémissant d'une voix mi fiévreuse, mi furieuse : " Qu'est ce que... vous m'avez... fait... Arrêtez... ça... " Et, à ses côtés, un bel homme d'apparence jeune, à la crinière rousse aussi flamboyante que désordonnée. Bien qu'il parut imberbe, ses joues était mangées par de discrets favoris. Ses yeux noisette, flamboyants d'une lueur surnaturelle, fixaient la pauvre magicienne qui ne semblait pas pouvoir s'empêcher de se chatouiller le fond du fondement. Ce qui le faisait sortir du lot, hormis son charisme, était le fait qu'il fut la seule personne habillée dans la pièce, si l'on exceptait Kara et la vendeuse qui l'avait conduite ici. Sa tenue était simple et, de toute évidence, très facile à enlever ou écarter, puisqu'il s'agissait d'une simple toge brune. D'une voix grave et sensuelle, l'individu répondait calmement à la belle brune :

" Tu es venue ici pour trouver la puissance de notre déesse et tu as réussis... nous ne faisons rien, mais sa présence t'affecte. "
" Arrêtez... vos... conneries ! Pourquoi je... je ne... pourquoi j'en veux encore ? Pourquoi... j'en veux plus ? "
" Plus de quoi ? "
" Je... "
" Plus. De. Quoi ? "
L'homme semblait prendre un malin plaisir à torturer l'enchanteresse avec ses propres désirs, décomposant bien sa phrase, insistant sournoisement sur le dernier mot.
" Raah ! J'en veux plus ! dans mon cul ! mes doigts, c'est pas assez ! donnez moi une bite, une grosse bite ! "

De toute évidence, la jeune brune commençait à perdre tout contrôle. Elle en était déjà à quatre doigts et cherchait déjà à introduire son pouce entre ses fesses. Si on la laissait faire, il y avait fort à parier qu'elle aurait finit par y mettre la main. Mais l'homme, satisfait, se redressa, remarquant alors la présence des deux nouvelles venues. Son sourcil se haussa, puis il se détourna d'Encantadora, comme s'il avait oublié sa présence. La pauvre sanglotait des " Pitié... " répétés. Quelques uns des fidèles du culte les plus proches la regardaient avec compassion, mais personne ne bougeait pour l'aider. Une fois arrivé à hauteur de Supergirl, le beau rouquin fit une petite courbette, attrapant la main de l'héroïne comme un gentilhomme, avant d'y déposer un baiser courtois. Kara avait pu sentir l'étrange impression de... vide... qui s'emparait de sa sublime croupe s'accentuer à chaque pas que l'individu effectuait dans sa direction, une chaleur commençait même à pointer au creux de ses reins alors qu'il lui faisait son baisemain.

" Mademoiselle Supergirl, c'est un véritable honneur de vous voir au sein de notre modeste temple. Ma soeur, je vous félicite d'avoir amené une si illustre personne ici, bien que je me demande s'il est sage de l'avoir fait sans s'être assuré de sa sympathie à notre cause au préalable... "
La vendeuse en combinaison moulante eut un froncement de sourcils agacé, mais ne fit aucune remarque, semblant reconnaître l'autorité de l'homme. " En fait, elle cherche notre autre invitée. "
" Aaaah oui. " Il jeta un coup d'oeil à la belle brune qui, cette fois, avait fait disparaître sa main entre ses fesses, remuant toujours comme une possédée. " Ses intentions n'étaient pas les plus pacifiques, je comprends qu'une héroïne de votre calibre puisse poursuivre une telle personne. Nous vous la livrerons, après que vous ayez rendu hommage à notre déesse. " Il leva les mains, montrant ses paumes à la kryptonienne en geste d'innocence. " J'espère que vous comprenez, c'est un lieu sacré ici, avec ses propres coutumes. Elles peuvent vous paraître étrange, mais nous ne faisons rien de mal. "
" Puis-je l'initier aux prières, Haut Prêtre ? "
" Non, occupe toi de la brune, avant qu'elle se fasse du mal en voulant épancher son désir. "
" Mais... "
" Oui, je sais, tu aurais aimé avoir la chance d'initier la grande Supergirl, mais ne crois pas que je profite de la hiérarchie pour m'octroyer ce droit. C'est à la Déesse que revient ce privilège, pas à toi, ni à moi. "

La vendeuse grommela, avant de relâcher le fessier de Kara, pour s'avancer vers Encantadora. Avec des gestes doux, elle lui caressa le dos, avant de glisser sa main vers son poignet, déjà presque porté disparu avec le reste de la main. Il lui fallut être plus rude pour forcer la magicienne à s'arrêter. Malgré ses protestations, l'envie que cela cesse, elle se débattait lorsqu'il s'agissait de l'empêcher de s'enfoncer quelque chose dans le cul. Plusieurs fidèles durent l'aider et, ensemble, ils la maîtrisèrent. La femme en combinaison moulante se pencha alors sue la raie ouverte de la brune, y plongeant sa langue. La criminelle laissa échapper un soupire d'aise, avant de se calmer, restant là, le buste sur le sol, les fesses dressées dans les airs.

" Si vous voulez bien me suivre, je vais vous présenter une des rares personnes en ce monde plus grande et plus illustre que vous. "

Disant cela, il désignait l'allée dégagée d'un geste de la main, avant de s'avancer tranquillement vers l'autel. A peine eut il fait quelques pas qu'une brume se forma sur le bloc de pierre sculptée, une forme bleutée se matérialisant à l'intérieure. Ce petit brouillard se dissipa très vite, laissant apparaître une femme - ou du moins ce qui y ressemblait - aux formes alléchantes et bien proportionnées. Son apparence n'était clairement pas humaine : peau bleutée, petites cornes... elle était totalement nue et, entre ses jambes, une longue et épaisse verge dardait vers le plafond. Il ne fallait pas être très malin pour reconnaître immédiatement la fameuse déesse dont on parlait dans le coins et dont les statues étaient présentes partout. Cette apparition poussa tout les fidèles à se prosterner, cessant leurs masturbations. Même le grand prêtre s'arrêta dans sa marche pour poser un genou à terre et pencher la tête, la vendeuse seule ne faisant rien, trop occupée à plonger sa langue dans les profondeurs culières d'Encantadora. Si la proximité avec le bel homme roux avait pu échauffer le fessier de Kara, la simple présence de cette divinité - même à l'autre bout de cette grande salle - y mettait carrément le feu. La sensation n'était certes pas insoutenable, mais caler quelque chose de dur bien au fond était une idée qui rampait inexorablement dans le cerveau de la kryptonienne.

" Bonsoir, chères ouailles, j'ai entendu dire que nous avions une invitée très spéciale ici... " Prononçant ces paroles, Sod-Oni faisait glisser son regard turquoise vers l'héroïne en uniforme. " Bienvenue dans mon temple. Si j'avais été d'humeur espiègle, j'aurais dis un truc du style : prosterne toi devant ma toute puissance, mortelle ! Mais vous n'êtes pas comme le commun des mortels. "

Qu’est-ce que c’était que ce truc ? Ébahie, Kara voyait une sorte de... De... De secte sodomite ! Incrédule, elle voyait quantité de gens, nus, en train de se doigter les fesses, utilisant des godes assez longs, soupirant et gémissant, en profitant aussi pour se masturber. Et, au milieu de tout ça, Kara pouvait voir la fameuse vendeuse de fausse kryptonite, Encantadora, qui était... En train de se masturber. Kara n’y comprenait plus rien, et rougit en sentant la main de la vendeuse en combinaison moulante revenir masser ses fesses. Mais, cette fois, elle ne ressentit pas l’envie de la pousser, mais, au contraire... De mieux la sentir. Les joues de Supergirl étaient rougies par la honte, mais aussi, et clairement, par le désir. La pauvre jeune femme était aussi perturbée qu’Encantadora, et elle vit un homme se rapprocher, venir lui faire un élégant baisemain. La pièce était une vaste pièce, ressemblant à une sorte de salle de prière, et Kara comprit progressivement ce qui lui arrivait.

Il n’y avait que deux éléments qui constituaient la faiblesse d’un Kryptonien : la kryptonite, et la magie. Aussi résistants soient-ils physiquement, les Kryptoniens étaient sensibles à la magie, et Kara était sûre que cet endroit était infesté de magie. Probablement une sorte de curieuse magie rose qu’elle avait inhalé en entrant, et qui était en train de faire fondre toutes ses résistances et ses inhibitions.

« Je-je... Que m’avez-vous fait ? »

Elle n’eut aucune réponse, car l’homme discutait avec la serveuse, parlant de prières. Toujours aussi perturbée, Supergirl, pour le coup, pensait surtout à ses fesses... Ou, plutôt, à son anus. Chaque fois qu’elle sentait les doigts de la serveuse se rapprocher de sa croupe, elle en frissonnait, se mordillant les lèvres. Son anus la démangeait, comme si quelque chose soufflait dedans, ou l’irritait. Elle avait envie qu’on le palpe, qu’on le défonce, qu’on s’y enfonce. Se pinçant les lèvres, la jeune femme serrait les poings, en essayant de lutter contre ça, contre ce sort totalement inattendu.

La femme qui avait accompagné Kara alla alors voir Encantadora, et positionna cette dernière en lui offrant la vue de ses fesses, fesses que la criminelle s’empressa de lécher joyeusement. Supergirl tourna alors la tête vers l’homme, et, docile, le suivit. Elle avait de plus en plus mal aux fesses, mais pas dans le sens où elle avait des hémorroïdes, ou qu’elle avait l’anus coincé. C’était... C’était une douleur différente. Elle avait le sentiment que son cul était desséché, et, en voyant tous ces gens se sodomiser, la femme n’avait qu’une seule envie : en faire de même.

Et puis, la situation se compliqua nettement plus quand une femme à la peau grisâtre, et au corps magnifique, arriva. Toute nue, elle sembla obtenir l’adoration de tous ses fidèles, mais Kara remarqua surtout, après la vue de sa poitrine, de son visage magnifique avec des yeux verts éblouissants et des cornes noires, la présence d’une grosse verge disproportionnée. La femme se mit alors à parler, et Kara, incapable de parler, avait la gorge totalement desséchée... Et terriblement mal au cul.

Kara avait les joues toutes rouges, et déglutit longuement, réussissant quand même, presque par miracle à parler, même si elle se sentait totalement incapable de s’opposer à l’aura de cette femme :

« Q-Qui êtes-vous ? Que... Que m’avez-vous fait ?! »